POPULARITY
durée : 00:04:20 - Le Reportage de la rédaction - Les syndicats du monde de la culture ont déposé un préavis de grève dans tous les secteurs de leur milieu. Le mouvement a pour slogan "bloquons tout" mais les syndicats incitent les acteurs du monde de la culture à rejoindre des piquets de grève pour faire nombre et peser davantage.
durée : 00:04:20 - Le Reportage de la rédaction - Les syndicats du monde de la culture ont déposé un préavis de grève dans tous les secteurs de leur milieu. Le mouvement a pour slogan "bloquons tout" mais les syndicats incitent les acteurs du monde de la culture à rejoindre des piquets de grève pour faire nombre et peser davantage.
Blocages et perturbations sont annoncés dans tous les secteurs ce mercredi en France : transports, écoles, entreprises. Et ce ne sont pas les syndicats ou les partis politiques qui ont lancé le mouvement, ce sont des milliers et des milliers d'anonymes en colère qui se sont fédérés sur les réseaux sociaux au cours des dernières semaines. Et « c'est la grande incertitude, s'exclame Le Parisien. Sur les réseaux sociaux, les appels à manifester et bloquer massivement la France résonnent de plus en plus fort. Les premiers sympathisants du mouvement “Bloquons tout“ ont incontestablement fait des émules, grâce également aux propositions budgétaires impopulaires du gouvernement de François Bayrou. Pour autant, si la grogne sociale existe, impossible de mesurer précisément quelle sera l'ampleur des actions menées ce mercredi. » « Niveau inégalités le plus élevé depuis 30 ans » Le Monde nous explique les raisons de cette colère : c'est le ras-le-bol de « la France ric-rac », des « fins de mois difficiles » ; « nombreux sont ceux à dénoncer le budget de l'ex-Premier ministre François Bayrou, qui demandait beaucoup à ceux qui ont peu, prônant une austérité douloureuse. Nombreux sont ceux à décrier les salaires qui ne bougent pas, les budgets de plus en plus difficiles à tenir, les arbitrages impossibles au moment de remplir les chariots de courses, si éloignés des préoccupations du gouvernement. » Si l'on regarde les chiffres, poursuit Le Monde, « la baisse du chômage, aujourd'hui stabilisé à 7,5 % environ de la population active, n'a pas empêché une hausse du taux de pauvreté et du surendettement. La faute notamment à une précarisation croissante de l'emploi. (…) Au contraire des revenus salariaux, les revenus financiers, eux, ont augmenté de 7 % en moyenne, poussés par la hausse des taux d'intérêt. Et cela a profité aux ménages les plus aisés, ceux qui possèdent un patrimoine financier. » Résultat, constate le journal : « le niveau d'inégalités atteint en France est ainsi le plus élevé depuis trente ans. » Lecornu Premier ministre : « la droite comblée, la gauche exaspérée » C'est dans ce contexte tendu que le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prend ses fonctions aujourd'hui. L'ex-ministre de la Défense est un très proche d'Emmanuel Macron. « On ne change pas une équipe qui perd », soupire Libération. « La droite comblée, la gauche exaspérée. (…) L'arrivée de Sébastien Lecornu à Matignon révèle qu'Emmanuel Macron manque décidément d'oxygène, s'exclame le quotidien de gauche. Face à la crise, il se recroqueville dans un espace politique qui, chaque jour, ressemble de plus en plus à une cabine téléphonique. Il a pourtant besoin d'espace. De se redonner des marges de manœuvre. Mais non. En nommant Sébastien Lecornu, le chef de l'État confirme qu'il lui est impossible de retirer l'énorme œillère qui l'empêche de regarder vers sa gauche. Peu importe ce qui se passe autour de lui. » Ligne claire ? À contrario, Le Figaro acquiesce. « À la veille d'une journée vampirisée par l'extrême gauche, la France a un premier ministre qui vient de la droite. Ministre depuis huit ans, il est, pour le grand public, neuf, intact. (…) Bien qu'à la tête d'une minorité de gouvernement, Sébastien Lecornu doit se faire le porte-voix de la majorité oubliée, invisible, abandonnée. Pression fiscale et normative désespérante, dépenses délirantes, immigration incontrôlée, insécurité galopante. Les inquiétudes qui réunissent plus de deux Français sur trois sont connues, affirme encore le quotidien de droite. (…) C'est cette ligne claire qu'il faut dessiner. (…) Le succès n'est pas garanti, mais l'autre choix, celui de la tambouille, mènerait à l'échec et au déshonneur. » L'extrême-droite en embuscade En tout cas, sur le plan politique, économique et social, la France va mal et pourrait bien finir par se jeter dans les bras de l'extrême-droite. Un vrai danger pour l'avenir de l'Europe et de ses valeurs, s'exclame La Repubblica à Rome : « nous sommes dangereusement proches du point de non-retour, affirme le quotidien italien. En Allemagne, les néonazis pro-Poutine de l'AfD, soutenus par Trump, aspirent à devenir le premier parti. En Grande-Bretagne, la droite anti-européenne de Farage nourrit les mêmes ambitions. En Italie, l'extrême droite est déjà au pouvoir. (…) Le seul espoir qui nous reste, estime La Repubblica, est que les électeurs et les responsables politiques français comprennent que le jeu dont ils sont les arbitres, au nom de 450 millions d'Européens, ne se résume pas à la suppression d'un ou deux jours de vacances ou au recul d'un an de l'âge de la retraite, mais à la survie même de l'Occident et de ses valeurs. »
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 2 septembre, la puissante vague de protestations et de manifestations violentes qui a secoué l'Indonésie, ainsi que les raisons de cette colère, notamment le niveau élevé de tension dans le contexte économique du pays, ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
« Un samedi comme un autre à Tel-Aviv, relève Libération à Paris. Des manifestations qui s'enchaînent et plusieurs dizaines de milliers de personnes dans la rue. Courant août, le mouvement social contre la guerre dans la bande de Gaza qui agite la capitale d'Israël depuis des mois a encore gagné du terrain, nourri par la nouvelle opération militaire dans la ville de Gaza annoncée par le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, qui menace d'aggraver encore le désastre humanitaire dans l'enclave palestinienne. Dimanche 17 août, rappelle le journal, une manifestation gigantesque avait rassemblé jusqu'à 500 000 personnes au niveau de la place des Otages, selon les organisateurs. Samedi, ils étaient encore près de 100 000 au même endroit. Et des milliers d'autres ailleurs ». Certes, pointe encore Libération, « ce mouvement social n'est pas unifié. Il est composé de plusieurs groupes avec leurs propres revendications ». Mais, « familles d'otages, réservistes, pacifistes de gauche dessinent la diversité, la multitude et parfois les contradictions d'un mouvement social qui ne cesse de prendre de l'ampleur ». Reste, constate le quotidien français, que « ce mouvement est minoritaire au sein de la société israélienne, en dépit de son expansion. Il peine toujours à mobiliser au-delà des classes moyennes et des classes moyennes supérieures, quand les classes populaires, dans l'ensemble, restent fidèles au gouvernement. Il y a 8 jours, la grève générale convoquée par le Forum des familles d'otages n'a eu un qu'un effet limité. Trop peu pour faire flancher Benyamin Netanyahu qui les balaye du revers de la main, pour le moment ». Israël ébranlé par le rapport de l'ONU sur la famine à Gaza Netanyahu qui contre-attaque après le rapport de l'ONU confirmant l'état de famine avancé à Gaza. Son argumentaire est repris par le Jerusalem Post : « c'est le Hamas qui est responsable du manque de nourriture, affirme le quotidien proche du pouvoir. Le Hamas qui pille l'aide pour la revendre à des prix exorbitants et qui manipule la couverture médiatique ». Faux, rétorque Haaretz. « Israël s'est empressé de discréditer le rapport de l'ONU établissant que Gaza souffrait d'une famine sans précédent. Mais les mensonges et les victimisations ne changent rien à un fait fondamental, affirme le quotidien de gauche israélien : Israël a affamé les Gazaouis jusqu'à l'intervention de la communauté internationale. (…) Depuis des mois, des camions chargés de nourriture attendent en Égypte, en Jordanie, en Cisjordanie et en Israël, prêts à entrer à Gaza pour nourrir la population. Le gouvernement israélien, mus par la vengeance et la survie politique, a sciemment créé cette catastrophe. La faim à Gaza est une réalité, conclut Haaretz. Et c'est de notre faute. » Dans une tribune publiée par Le Monde à Paris, les juristes Julia Grignon et Alexandre Miliani affirment que « la déclaration de famine de l'ONU à Gaza constitue une injonction à agir pour tous les États du monde. Parce qu'ils ont tous signé les conventions de Genève de 1949, les pays ont l'obligation de faire respecter le droit international humanitaire. (…) S'indigner est indispensable, mais, affirment encore les deux auteurs, c'est uniquement en prenant des mesures concrètes que des vies humaines pourront être sauvées ». Seule la chute de Netanyahu… Justement, au-delà d'éventuelles sanctions internationales, pour le Times à Londres, « il n'y a aucun espoir pour Gaza tant que Netanyahu est au pouvoir. Israël est une démocratie. Seul son électorat peut renverser son gouvernement. Par conséquent, avec ou sans le soutien des États-Unis, nous devons dire aux Israéliens ce que nous savons être vrai, s'exclame le Times : leur gouvernement salit la réputation de leur nation ; Israël est en train de devenir un État paria. (…) Nous devons parler franchement au peuple israélien. Il doit comprendre que nous ne sommes pas ses ennemis et que nous voulons contribuer à le défendre contre les mouvements terroristes meurtriers (…). Mais pas avant qu'il n'ait débarrassé son pays de la coalition gouvernementale actuelle ». Alors peut-être un début de solution avec la proposition formulée avant-hier par l'un des principaux opposants à Benyamin Netanyahu, Benny Gantz : la formation d'un gouvernement temporaire permettant de libérer tous les otages à Gaza, un gouvernement de centre-droit qui écarterait l'extrême droite du pouvoir. Et on revient à Libération pour qui cela pourrait être « un tournant politique majeur en Israël ». Mais pour l'instant, aucune réaction des dirigeants israéliens.
durée : 00:31:22 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - Quelle valeur politique Jacques Ellul accorde-t-il à la croyance religieuse ? Converti au protestantisme à l'âge de 18 ans, il conçoit la foi chrétienne comme un moyen de s'octroyer un espace de liberté et d'opérer un recul critique pour échapper aux injonctions aliénantes de nos sociétés modernes. - réalisation : Manoushak Fashahi, Margot Page - invités : Frédéric Rognon Philosophe, théologien
durée : 00:31:22 - Avoir raison avec... - par : Juliette Devaux - Quelle valeur politique Jacques Ellul accorde-t-il à la croyance religieuse ? Converti au protestantisme à l'âge de 18 ans, il conçoit la foi chrétienne comme un moyen de s'octroyer un espace de liberté et d'opérer un recul critique pour échapper aux injonctions aliénantes de nos sociétés modernes. - réalisation : Manoushak Fashahi, Margot Page - invités : Frédéric Rognon Philosophe, théologien
Le Journal en français facile du vendredi 1ᵉʳ août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BtKZ.A
Carl Meuus analyse les conséquences politiques et sociales du plan de redressement des finances publiques présenté par le Premier ministre. Il explique que le risque social est peut-être plus important encore pour le gouvernement que le risque politique, avec une opposition virulente de certains partis et des syndicats inquiets des mesures annoncées. Carl Meuus souligne que le soutien de la majorité parlementaire semble également fragile, ce qui pourrait compliquer la mise en œuvre du plan de rigueur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bilge Yabancı on “Civil Society and Authoritarianism: Co-optation, Repression and Contestation in Turkey” (Edinburgh University Press). The book examines the transformation of civil society groups under pressure from mounting authoritarianism. Support Turkey Book Talk on Patreon or Substack. Supporters get a 35% discount on all Turkey/Ottoman History books published by IB Tauris/Bloomsbury, transcripts of every interview, and links to articles related to each episode.
La réforme de l'audiovisuel public, portée par la ministre de la Culture, Rachida Dati, est examinée ce lundi 30 juin à l'Assemblée nationale. Le projet prévoit de regrouper Radio France, France Télévisions et l'INA au sein d'une holding exécutive appelée France Médias. Objectif : créer un pôle public plus grand, capable de rivaliser avec les plateformes comme Netflix ou Amazon. Un texte qui suscite l'inquiétude et la colère, notamment à Radio France, en grève contre ce projet. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au début du XIVe siècle, la population de Bruges profite des maladresses de la couronne de France pour se révolter contre le nouveau suzerain : Philippe Le Bel. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des campus américains contre la guerre du Vietnam dans les années 1960 aux chansonniers anarchistes, jusqu'aux airs entêtants scandés en manifestant, la chanson contestataire ne connait pas de frontières. Dans l'espace francophone, cet art a la belle vie mais depuis quand la critique ou la franche opposition politique s'exprime-t-elle de cette façon en musique ? Réponse avec Cécile Prévost-Thomas, maîtresse de conférence en sociologie et en musicologie à l'Université Sorbonne-Nouvelle. Une série d'Etienne Duval, réalisée par Jean-Philippe Zwahlen et produite par Anaïs Kien.
Donald Trump envoie 700 Marines et mobilise 2000 gardes nationaux. Franchit-il une ligne en envoyant des militaires sur place ? Ulysse Gosset et Lucas Menget sont nos invités.Tous les samedis à 19h sur France 5, Aurélie Casse et son équipe reviennent sur les événements qui ont marqué la semaine écoulée autour d'invités fil rouge.
C dans l'air du 11 juin 2025 - Trump envoie les Marines, la contestation s'étendFace à des manifestations contre la police fédérale de l'immigration (ICE) à Los Angeles, le président des Etats-Unis a décidé de miser sur le tout sécuritaire, et a opté pour une militarisation de la crise. Il a ordonné le déploiement de 2 100 membres de la Garde nationale, malgré l'opposition formelle du gouverneur de Californie — du jamais-vu depuis soixante ans.Mais Trump ne s'est pas arrêté là. Il a demandé l'envoi de deux mille membres supplémentaires de la Garde, auxquels s'ajoutent désormais 700 soldats du corps des Marines. Une décision rarissime dans l'histoire récente du pays, immédiatement perçue comme une provocation politique d'ampleur."Les Marines américains ont combattu pour défendre la démocratie. Ce sont des héros. Ils n'ont rien à faire face à leurs propres concitoyens pour satisfaire le fantasme autoritaire d'un président en roue libre", a dénoncé Gavin Newsom, gouverneur de Californie, sur le réseau X. Candidat putatif à la présidentielle de 2028, Newsom n'a pas mâché ses mots, qualifiant la manœuvre d'"attitude antiaméricaine". Il affirme d'ailleurs avoir été menacé d'arrestation par le président lui-même.À Los Angeles, la maire Karen Bass partage cette indignation. "Pourquoi déployer la Garde nationale ? Pourquoi des Marines ? Nous ne sommes pas un champ d'expérimentation militaire". L'élue démocrate fustige une opération disproportionnée, rappelant que les affrontements restent confinés à "quelques rues" du centre-ville — loin de l'image d'une ville à feu et à sang entretenue par Trump. Elle a néanmoins décrété à partir de mardi un couvre-feu et exigé que le président restitue le "pouvoir" aux autorités locales.Depuis vendredi dernier, la deuxième plus grande ville américaine, à forte population d'origine hispanique, est le théâtre de heurts entre protestataires dénonçant des raids de la police fédérale de l'immigration (ICE) et des forces de l'ordre en tenue anti-émeutes. Ces affrontements sont néanmoins restés sporadiques et très localisés.Qu'importe : Trump évoque une "invasion" d'"ennemis étrangers", et brandit désormais la menace de recourir à l'Insurrection Act, une loi d'exception permettant le déploiement des forces armées pour maintenir l'ordre intérieur. Une escalade verbale assumée par Stephen Miller, qui promettait ce week-end : "Nous reprendrons l'Amérique".Le chef adjoint de l'administration s'est imposé comme l'un des conseillers les plus influents du président américain. Proche dans sa jeunesse des nationalistes blancs, il est très marqué idéologiquement. Pourfendeur du "wokisme" et partisan d'un renforcement du pouvoir exécutif, il est l'architecte de la politique anti-immigration du président. C'est lui qui aurait mis ces dernières semaines sous pression les agents fédéraux de l'immigration (ICE) pour qu'ils passent de 600 arrestations par jour à 3000. Depuis, les rafles s'intensifient et les protestations gagnent du terrain.Après Los Angeles, des manifestations ont éclaté mardi à Chicago, Atlanta, Seattle, Denver, San Francisco et d'autres grandes villes. Au Texas, le gouverneur républicain Greg Abbott a annoncé le déploiement de réservistes de la Garde nationale, en anticipation de mobilisations attendues dans les jours à venir. LES EXPERTS :- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de Qui est vraiment Donald Trump ? - Josephine STARON - Directrice des études et des relations internationales - Synopia- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin
C dans l'air du 11 juin 2025 - Trump envoie les Marines, la contestation s'étend LES EXPERTS :- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de Qui est vraiment Donald Trump ? - Josephine STARON - Directrice des études et des relations internationales - Synopia- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin
durée : 00:14:40 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur une nuit d'élection au Parti socialiste.
durée : 00:14:40 - Journal de 7 h - Retour dans ce journal sur une nuit d'élection au Parti socialiste.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
The Asia-Pacific is an area of great power contestation, of an intense rivalry between major powers, particularly the United States and China. How influence and dominance intersect in the Asia Pacific has major implications for the politics, economies and militaries of the countries in the region. Guest: Mike Bosack (Special Adviser for Government Relations,Yokosuka Council on Asia-Pacific Studies) Recorded 29th April, 2025.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
这是继《E.25 超级英雄政治学 Superhero Politics(2018.8.4)》与《E.32 回顾金斯伯格大法官 Revisiting JusticeGinsburg (2020.9.19)》之后的又一期《小声喧哗》节目回放,录制于2020年12月13日。其时2020年的美国大选刚刚结束一个月,时任总统特朗普一方正在大肆造谣,指控对手拜登的胜利是通过投票舞弊而获得的。一晃四年多过去了,特朗普再度入主白宫,所作所为比第一任期更甚。重听当时的讨论,令人无限感慨。 【以下是《小声喧哗》原节目的文案】大选在即,国难当头,人民走上街头示威,抗议国家暴力机构制造的无辜血案,而总统眼里只有党争和权斗——我们该如何讲述这样的政治现实?2020年,两个导演给出了两份截然不同的答卷:艾伦·索尔金(Aaron Sorkin)借史讽今的《芝加哥七君子审判》(The Trial of the Chicago 7),与萨沙·拜伦·科恩(Sacha Baron Cohen)荒诞黑色的《波拉特II》(BoratSubsequent Moviefilm: Delivery Prodigious Bribe to American Regime for Make Benefit Once Glorious Nation of Kazakhstan)。这一期节目里,我们和老朋友林三土(林垚)、新朋友Huey Li一起聊了聊这两部电影。4:36 提到Sorkin的影视作品,你第一个想到的是什么?11:38 芝加哥七君子审判的历史背景,对比影片中所呈现的左翼路线冲突26:06 六十年代芝加哥示威冲突在2020年Black Lives Matter(BLM)运动中的重演40:16 在2020年,Borat似乎比Sorkin更写实47:36 我们都爱Tutar53:06 在后真相时代,我们该如何看Borat?我们还需要Borat吗?【附】《空谈》E.35 特朗普时代的美国:左翼篇 Trump's America,Part 1: The Left (2025.1.24)E.36 特朗普时代的美国:右翼篇 Trump's America,Part 2: The Right (2025.3.22)E.31 进步主义破产了吗 Is ProgressivismFalling Apart? (2025.1.3)E.30 信息茧房时代的公共说理 Public Reasoning inthe Age of Information Cocoon (2024.12.7)
durée : 00:05:59 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Une coalition d'opposition de 100 partis au Mali a annoncé jeudi qu'elle rejette "catégoriquement la suspension de (ses) activités" par un décret qu'elle juge "totalement illégal", après que la junte au pouvoir a décidé de suspendre les activités des partis politiques.
C'est confirmé : les partis politiques n'ont plus le droit de cité au Mali. Mercredi dernier, la junte militaire au pouvoir avait annoncé l'abrogation de la loi encadrant le fonctionnement des partis politiques, une décision interprétée par des juristes comme une étape vers leur dissolution. Mercredi, le général Assimi Goïta a suspendu et ce « jusqu'à nouvel ordre » les partis et plusieurs associations à caractère politique, invoquant une « raison d'ordre public ».Commentaire du Monde Afrique : il s'agit là d'un « nouvel acte de répression des voix dissidentes et de réduction de l'espace civique dans ce pays d'Afrique de l'Ouest dirigé par des militaires depuis 2020 ».Pour leur part, les partis politiques maliens n'entendent pas se laisser faire et appellent à un nouveau rassemblement de protestation vendredi après celui de samedi dernier.Mobilisation« Une nouvelle mobilisation se prépare, pointe Info Matin à Bamako. Ce sera vendredi au Boulevard de l'indépendance. Le message des partis est clair : exprimer un rejet catégorique de ce qu'ils qualifient de « dérive autoritaire » de la transition, tout en demandant le retour à l'ordre constitutionnel d'ici à la fin de l'année. Les partis organisateurs dénoncent une volonté de confiscation du pouvoir, de faire taire les voix divergentes, contrairement aux lois de la République, notamment la nouvelle Constitution de juillet 2023. Pour eux, le régime, à la dérive, veut museler la classe politique, à travers sa dissolution en violation de la Loi fondamentale. »« Assainir le jeu politique »Sahel Tribune justifie l'action des militaires : « le pouvoir n'a pas tremblé. Hier, à 48 heures des rassemblements annoncés, les autorités de la transition ont suspendu les activités de tous les partis politiques et associations à caractère politique. Un coup d'arrêt net, légal et assumé, face à ceux qui, sous couvert du pluralisme, préparaient un affrontement. Les manifestations du week-end dernier ont donné un avant-goût de ce que certains appellent un « réveil démocratique » mais qui, vu de Koulouba, s'apparente davantage à une tentative de contrecarrer une refondation nationale par des méthodes de pression et de clivage. Face à cela, le pouvoir ne pouvait rester inerte. Il fallait trancher, protéger l'essentiel : la stabilité. (…) Soyons clairs, s'exclame encore Sahel Tribune : les partis politiques maliens, pour nombre d'entre eux, ont supprimé d'être des vecteurs d'expression démocratique. Ils sont devenus des outils de blocage, des machines clientélistes, des relais d'influences étrangères parfois opaques. Dans ce contexte, les autorités de la transition ont raison de vouloir assainir le jeu politique. »Le Nouveau Réveil, toujours à Bamako, s'en prend à Mountaga Tall, l'un des fers de lance de la contestation. Le Nouveau Réveil qui affirme que l'opposant « s'est cru doté d'une mission divine pour empêcher la tenue de la consultation des forces vives de la nation. L'occasion pour lui de rebondir sur la scène politique, comme un phœnix qui renaît de ses cendres, afin de s'imposer en leader suprême d'une contestation politique pouvant aboutir à l'accession au pouvoir tant rêvé. (…) Un comportement peu surprenant, peste encore Le Nouveau Réveil. Mountaga Tall a été de tous les mouvements insurrectionnels de changement de pouvoir pendant ces trois dernières décennies. »À qui le tour ?Autre analyse pour Le Matin, toujours à Bamako. Le Matin qui fustige les militaires : « la démocratie est en train d'être remise aux calendes grecques, dénonce le journal. (…) Geler les acquis démocratiques pour conserver les rêves du pouvoir quelques années de plus ! Une rotation pourtant prévisible ! En effet, il fallait être vraiment naïf pour n'avoir pas vu l'anéantissement de la démocratie à venir. »Et Le Matin de s'interroger : « après les partis politiques, à qui le tour ? Les syndicats sont aussi dans la ligne de mire des Princes du moment. Que la presse se prépare également, car elle ne sera pas épargnée ! »Enfin, Ledjely à Conakry prévoit le pire pour les militaires au pouvoir à Bamako. Et en premier lieu pour Assimi Goïta pour qui « la chute » serait « proche », affirme le site guinéen. « Assimi Goïta n'inspire plus confiance, poursuit Ledjely. En cinq ans, lui, ses camarades et, avec eux, les mercenaires russes, n'ont pas réussi à restaurer la sécurité dans le pays. Mais au lieu de tirer les conséquences logiques de cet échec, voilà qu'ils voudraient plutôt s'en prévaloir pour confisquer le pouvoir. (…) Les manœuvres manipulatrices, conclut Ledjely, ne prospèrent plus aux yeux d'une population qui commence à réaliser qu'elle a été une nouvelle fois bernée. »
durée : 00:37:58 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - L'arrestation du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoğlu, a provoqué une mobilisation massive en Turquie. Tandis que la foule descend dans la rue et que la répression s'intensifie, le régime d'Erdoğan est-il réellement menacé ou en train de verrouiller encore davantage le pays ? - réalisation : François Richer - invités : Ayşegül Sert Journaliste américano-turque. Elle réside actuellement à Paris où elle est Professeur affiliée à l'École de journalisme de Sciences Po.; Adel Bakawan Directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa (EISMENA), chargé d'enseignement à Sciences Po Lyon 2, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI).
durée : 00:37:58 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - L'arrestation du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoğlu, a provoqué une mobilisation massive en Turquie. Tandis que la foule descend dans la rue et que la répression s'intensifie, le régime d'Erdoğan est-il réellement menacé ou en train de verrouiller encore davantage le pays ? - réalisation : François Richer - invités : Ayşegül Sert Journaliste américano-turque. Elle réside actuellement à Paris où elle est Professeur affiliée à l'École de journalisme de Sciences Po.; Adel Bakawan Directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa (EISMENA), chargé d'enseignement à Sciences Po Lyon 2, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI).
durée : 00:04:50 - Le Zoom de France Inter - La Turquie est secouée par une vague de manifestations antigouvernementales depuis l'arrestation puis l'incarcération du maire d'Istanbul Ekrem İmamoğlu, accusé de corruption. Bête noire du président Erdogan, il est le plus sérieux rival politique. Et c'est la jeunesse qui mène la fronde.
Les Turcs descendent dans la rue pour le 6è jour consécutif, et la répression s'est accentuée lundi matin, après l'incarcération hier (23 mars 2025) du maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu. Turquie :Lundi matin (24 mars 2025), au moins huit journalistes ont été arrêtés. Le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu a passé sa première nuit en prison. Le principal opposant à Recep Tayyip Erdogan avait été démis de ses fonctions dans la foulée de son incarcération pour corruption hier. Devant la mairie d'Istanbul dimanche soir, l'appel au rassemblement a été massivement suivi. Pour l'opposition, l'enjeu est de maintenir la pression sur le président Erdoğan - avec un mot d'ordre : «korkma», «n'aie pas peur»... C'est ce que Güney Efe, étudiant de 21 ans, avait écrit sur sa pancarte... un témoignage recueilli par Anne Andlauer. Quel impact la situation intérieure peut-elle avoir sur les relations avec l'Union européenne, dans le contexte de la guerre en Ukraine notamment ? Sur cette question, parmi d'autres, l'analyse de Dorothée Schmid, directrice du programme Turquie - Moyen-Orient à l'Institut Français des Relations Internationales. Guerre en Ukraine :La semaine dernière, l'Ukraine et la Russie ont échangé chacune 175 prisonniers de guerre. Certains soldats ukrainiens retrouvaient la liberté après plus de deux ans de prison. Le sort de ces détenus qui se comptent par milliers fait d'ailleurs partie d'un volet à part entière dans la proposition de cessez-le feu de Volodymyr Zelensky.Taras, 39 ans a été libéré à la faveur d'un de ces échanges en juin 2024. Cet ancien soldat ukrainien a passé 20 mois en Russie dans différentes prisons. Il a confié son récit à Cerise Sudry-Le Dû. Environnement :Comme le changement climatique, la pollution au plastique est une crise planétaire. D'après certains scientifiques d'ici à 2050 la quantité de plastiques présents dans les océans sera supérieure à celle des poissons. La France accueillera en juin prochain à Nice la troisième Conférence des Nations unies sur l'Océan. Et un peu partout dans le pays, la société se mobilise. En Bretagne, à Brest, le fond Oceanopolis Acts organise chaque année une collecte de déchets pour sensibiliser les habitants. La prochaine a lieu samedi 29 mars, Olivier Favier a rencontré ses organisateurs.Le plastique génère aussi les microplastiques, ces particules présentes partout : dans l'eau que nous buvons, dans notre nourriture, dans les cosmétiques... À Bruxelles, une première législation sur le sujet est entrée en vigueur en 2023, mais les discussions ont repris pour tenter de faire adopter un nouveau texte, plus contraignant. Elena Louazon.
Les Turcs descendent dans la rue pour le 6è jour consécutif, et la répression s'est accentuée lundi matin, après l'incarcération hier (23 mars 2025) du maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu. Turquie :Lundi matin (24 mars 2025), au moins huit journalistes ont été arrêtés. Le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu a passé sa première nuit en prison. Le principal opposant à Recep Tayyip Erdogan avait été démis de ses fonctions dans la foulée de son incarcération pour corruption hier. Devant la mairie d'Istanbul dimanche soir, l'appel au rassemblement a été massivement suivi. Pour l'opposition, l'enjeu est de maintenir la pression sur le président Erdoğan - avec un mot d'ordre : «korkma», «n'aie pas peur»... C'est ce que Güney Efe, étudiant de 21 ans, avait écrit sur sa pancarte... un témoignage recueilli par Anne Andlauer. Quel impact la situation intérieure peut-elle avoir sur les relations avec l'Union européenne, dans le contexte de la guerre en Ukraine notamment ? Sur cette question, parmi d'autres, l'analyse de Dorothée Schmid, directrice du programme Turquie - Moyen-Orient à l'Institut Français des Relations Internationales. Guerre en Ukraine :La semaine dernière, l'Ukraine et la Russie ont échangé chacune 175 prisonniers de guerre. Certains soldats ukrainiens retrouvaient la liberté après plus de deux ans de prison. Le sort de ces détenus qui se comptent par milliers fait d'ailleurs partie d'un volet à part entière dans la proposition de cessez-le feu de Volodymyr Zelensky.Taras, 39 ans a été libéré à la faveur d'un de ces échanges en juin 2024. Cet ancien soldat ukrainien a passé 20 mois en Russie dans différentes prisons. Il a confié son récit à Cerise Sudry-Le Dû. Environnement :Comme le changement climatique, la pollution au plastique est une crise planétaire. D'après certains scientifiques d'ici à 2050 la quantité de plastiques présents dans les océans sera supérieure à celle des poissons. La France accueillera en juin prochain à Nice la troisième Conférence des Nations unies sur l'Océan. Et un peu partout dans le pays, la société se mobilise. En Bretagne, à Brest, le fond Oceanopolis Acts organise chaque année une collecte de déchets pour sensibiliser les habitants. La prochaine a lieu samedi 29 mars, Olivier Favier a rencontré ses organisateurs.Le plastique génère aussi les microplastiques, ces particules présentes partout : dans l'eau que nous buvons, dans notre nourriture, dans les cosmétiques... À Bruxelles, une première législation sur le sujet est entrée en vigueur en 2023, mais les discussions ont repris pour tenter de faire adopter un nouveau texte, plus contraignant. Elena Louazon.
durée : 00:14:54 - Journal de 12h30 - Malgré l'incarcération du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoglu, son parti, le CHP, maintient la tenue de la primaire ce dimanche. L'objectif : désigner le candidat de l'opposition pour les présidentielles de 2028. Le maire d'Istanbul est le seul candidat. - invités : Elise Massicard Directrice de recherche au CERI/Sciences-Po
durée : 00:14:54 - Journal de 12h30 - Malgré l'incarcération du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoglu, son parti, le CHP, maintient la tenue de la primaire ce dimanche. L'objectif : désigner le candidat de l'opposition pour les présidentielles de 2028. Le maire d'Istanbul est le seul candidat. - invités : Elise Massicard Directrice de recherche au CERI/Sciences-Po
durée : 00:20:21 - Journal de 18h - Le CHP (Parti républicain du peuple) appelle tous les opposants au pouvoir à descendre dans les rues ce soir encore. Parmi les manifestants, on compte de nombreux étudiants dont la protestation va très au-delà du sort réservé au maire d'Istanbul.
durée : 00:20:21 - Journal de 18h - Le CHP (Parti républicain du peuple) appelle tous les opposants au pouvoir à descendre dans les rues ce soir encore. Parmi les manifestants, on compte de nombreux étudiants dont la protestation va très au-delà du sort réservé au maire d'Istanbul.
En Côte d'Ivoire, faut-il réintégrer Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro sur la liste électorale ? Leur absence peut-elle provoquer des tensions ? Pour l'instant, ces trois personnalités ne peuvent pas se présenter à la présidentielle du mois d'octobre. Nous lançons le débat
Près d'un Suédois sur trois boycotte les produits américains, en signe de protestation contre l'administration Trump, selon un sondage de l'Institut d'opinion Verian. Outrés par la politique du président américain et sa position sur l'Ukraine, de nombreux Scandinaves ont fait une croix sur tout ce qui provient des États-Unis. C'est le cas notamment de ce couple de Suédois qui vit à Stockholm. Un reportage de notre correspondante à Stockholm est à retrouver dans sont intégralité dans Accents d'Europe.À lire aussiFace à Trump, certains pays nordiques lancent un mouvement de boycott des produits américains
Aujourd'hui, Joëlle-Dago Serry, Étienne Liebig et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En 1969, la Confédération a signé le Traité de non-prolifération nucléaire. La Suisse n'aura pas de bombe atomique. Si le programme suisse d'armement nucléaire n'est vraiment enterré qu'en 1988, elle est toujours championne des abris antiatomiques. Le pays a aussi une histoire de la contestation antinucléaire, notamment à Genève. Mais à partir de quelle date peut-on commencer à tracer cette histoire ? Nicolas Stenger, historien à l'Université de Genève et spécialiste de l'œuvre de Denis de Rougemont, répond à David Glaser. Également Frédéric Deshusses, responsable des Archives contestataires à Carouge et Ivo Rens, Professeur émérite de droit à l'Université de Genève et fondateur de l'Association pour l'Appel de Genève.
Impartiality is a guiding principle in United Nations peace operations that has helped legitimize multilateral intervention in dozens of armed conflicts around the world. In practice, it has long been associated with passive monitoring of cease-fires and peace agreements. In the twenty-first century, however, its meaning has been stretched to allow for a range of forceful, intrusive, and ideologically prescriptive practices, all in the name of building durable peace. In Intrusive Impartiality: Learning, Contestation, and Practice Change in United Nations Peace Operations (Oxford University Press, 2024), Dr. Marion Laurence explains how these new ways of being "impartial" emerge, how they spread within and across missions, and how they become institutionalized across UN peace operations. Dr. Laurence argues that new peacekeeping practices are not only products of top-down pressures from member states or instructions from the UN Secretariat; they often emerge from tacit knowledge and unconscious decisions about how to follow orders or comply with social rules. By foregrounding the creativity and agency of the field staff who are responsible for translating mandates into action, Dr. Laurence shows that new definitions and practices of impartiality are products of contestation, learning, and the interplay between top-down pressures and bottom-up drivers of change in UN peace operations. Drawing on original data gathered through extensive fieldwork, Dr. Laurence uses evidence from UN missions in Sierra Leone, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of the Congo, and from UN headquarters in New York, to provide an innovative framework for studying authority and change in global governance. In doing so, Intrusive Impartiality sheds light on controversial changes in peacekeeping practice and yields valuable insights about the practical and ethical dilemmas that confront UN peacekeepers. This interview was conducted by Dr. Miranda Melcher whose new book focuses on post-conflict military integration, understanding treaty negotiation and implementation in civil war contexts, with qualitative analysis of the Angolan and Mozambican civil wars. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
Impartiality is a guiding principle in United Nations peace operations that has helped legitimize multilateral intervention in dozens of armed conflicts around the world. In practice, it has long been associated with passive monitoring of cease-fires and peace agreements. In the twenty-first century, however, its meaning has been stretched to allow for a range of forceful, intrusive, and ideologically prescriptive practices, all in the name of building durable peace. In Intrusive Impartiality: Learning, Contestation, and Practice Change in United Nations Peace Operations (Oxford University Press, 2024), Dr. Marion Laurence explains how these new ways of being "impartial" emerge, how they spread within and across missions, and how they become institutionalized across UN peace operations. Dr. Laurence argues that new peacekeeping practices are not only products of top-down pressures from member states or instructions from the UN Secretariat; they often emerge from tacit knowledge and unconscious decisions about how to follow orders or comply with social rules. By foregrounding the creativity and agency of the field staff who are responsible for translating mandates into action, Dr. Laurence shows that new definitions and practices of impartiality are products of contestation, learning, and the interplay between top-down pressures and bottom-up drivers of change in UN peace operations. Drawing on original data gathered through extensive fieldwork, Dr. Laurence uses evidence from UN missions in Sierra Leone, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of the Congo, and from UN headquarters in New York, to provide an innovative framework for studying authority and change in global governance. In doing so, Intrusive Impartiality sheds light on controversial changes in peacekeeping practice and yields valuable insights about the practical and ethical dilemmas that confront UN peacekeepers. This interview was conducted by Dr. Miranda Melcher whose new book focuses on post-conflict military integration, understanding treaty negotiation and implementation in civil war contexts, with qualitative analysis of the Angolan and Mozambican civil wars. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/military-history
Impartiality is a guiding principle in United Nations peace operations that has helped legitimize multilateral intervention in dozens of armed conflicts around the world. In practice, it has long been associated with passive monitoring of cease-fires and peace agreements. In the twenty-first century, however, its meaning has been stretched to allow for a range of forceful, intrusive, and ideologically prescriptive practices, all in the name of building durable peace. In Intrusive Impartiality: Learning, Contestation, and Practice Change in United Nations Peace Operations (Oxford University Press, 2024), Dr. Marion Laurence explains how these new ways of being "impartial" emerge, how they spread within and across missions, and how they become institutionalized across UN peace operations. Dr. Laurence argues that new peacekeeping practices are not only products of top-down pressures from member states or instructions from the UN Secretariat; they often emerge from tacit knowledge and unconscious decisions about how to follow orders or comply with social rules. By foregrounding the creativity and agency of the field staff who are responsible for translating mandates into action, Dr. Laurence shows that new definitions and practices of impartiality are products of contestation, learning, and the interplay between top-down pressures and bottom-up drivers of change in UN peace operations. Drawing on original data gathered through extensive fieldwork, Dr. Laurence uses evidence from UN missions in Sierra Leone, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of the Congo, and from UN headquarters in New York, to provide an innovative framework for studying authority and change in global governance. In doing so, Intrusive Impartiality sheds light on controversial changes in peacekeeping practice and yields valuable insights about the practical and ethical dilemmas that confront UN peacekeepers. This interview was conducted by Dr. Miranda Melcher whose new book focuses on post-conflict military integration, understanding treaty negotiation and implementation in civil war contexts, with qualitative analysis of the Angolan and Mozambican civil wars. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/political-science
Impartiality is a guiding principle in United Nations peace operations that has helped legitimize multilateral intervention in dozens of armed conflicts around the world. In practice, it has long been associated with passive monitoring of cease-fires and peace agreements. In the twenty-first century, however, its meaning has been stretched to allow for a range of forceful, intrusive, and ideologically prescriptive practices, all in the name of building durable peace. In Intrusive Impartiality: Learning, Contestation, and Practice Change in United Nations Peace Operations (Oxford University Press, 2024), Dr. Marion Laurence explains how these new ways of being "impartial" emerge, how they spread within and across missions, and how they become institutionalized across UN peace operations. Dr. Laurence argues that new peacekeeping practices are not only products of top-down pressures from member states or instructions from the UN Secretariat; they often emerge from tacit knowledge and unconscious decisions about how to follow orders or comply with social rules. By foregrounding the creativity and agency of the field staff who are responsible for translating mandates into action, Dr. Laurence shows that new definitions and practices of impartiality are products of contestation, learning, and the interplay between top-down pressures and bottom-up drivers of change in UN peace operations. Drawing on original data gathered through extensive fieldwork, Dr. Laurence uses evidence from UN missions in Sierra Leone, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of the Congo, and from UN headquarters in New York, to provide an innovative framework for studying authority and change in global governance. In doing so, Intrusive Impartiality sheds light on controversial changes in peacekeeping practice and yields valuable insights about the practical and ethical dilemmas that confront UN peacekeepers. This interview was conducted by Dr. Miranda Melcher whose new book focuses on post-conflict military integration, understanding treaty negotiation and implementation in civil war contexts, with qualitative analysis of the Angolan and Mozambican civil wars. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/world-affairs
Impartiality is a guiding principle in United Nations peace operations that has helped legitimize multilateral intervention in dozens of armed conflicts around the world. In practice, it has long been associated with passive monitoring of cease-fires and peace agreements. In the twenty-first century, however, its meaning has been stretched to allow for a range of forceful, intrusive, and ideologically prescriptive practices, all in the name of building durable peace. In Intrusive Impartiality: Learning, Contestation, and Practice Change in United Nations Peace Operations (Oxford University Press, 2024), Dr. Marion Laurence explains how these new ways of being "impartial" emerge, how they spread within and across missions, and how they become institutionalized across UN peace operations. Dr. Laurence argues that new peacekeeping practices are not only products of top-down pressures from member states or instructions from the UN Secretariat; they often emerge from tacit knowledge and unconscious decisions about how to follow orders or comply with social rules. By foregrounding the creativity and agency of the field staff who are responsible for translating mandates into action, Dr. Laurence shows that new definitions and practices of impartiality are products of contestation, learning, and the interplay between top-down pressures and bottom-up drivers of change in UN peace operations. Drawing on original data gathered through extensive fieldwork, Dr. Laurence uses evidence from UN missions in Sierra Leone, Côte d'Ivoire, the Democratic Republic of the Congo, and from UN headquarters in New York, to provide an innovative framework for studying authority and change in global governance. In doing so, Intrusive Impartiality sheds light on controversial changes in peacekeeping practice and yields valuable insights about the practical and ethical dilemmas that confront UN peacekeepers. This interview was conducted by Dr. Miranda Melcher whose new book focuses on post-conflict military integration, understanding treaty negotiation and implementation in civil war contexts, with qualitative analysis of the Angolan and Mozambican civil wars. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:58:29 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Margaux Leridon - Un an après une élection contestée, qui a reconduit Azali Assoumani à la présidence des Comores pour la troisième fois, les Comoriens votaient à nouveau ce week-end pour élire leurs députés et élus locaux. Un scrutin boycotté par l'opposition qui témoigne d'une vie politique verrouillée. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Mahmoud Ibrahim Docteur en Histoire de l'Université Jussieu Paris 7, enseignant dans le secondaire et fondateur de l'hebdomadaire Masiwa; Kamal Saindou Journaliste indépendant, membre du collectif citoyen de la 3eme voie; Walter Bruyère-Ostells Professeur d'histoire à Sciences Po Aix-en-Provence
durée : 00:05:47 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Depuis presque deux mois, le gouvernement serbe fait face à des manifestations dans tout le pays. Jeudi soir encore, ces étudiants étaient rassemblés à Belgrade, exigeant des réponses immédiates concernant l'effondrement meurtrier du toit de la gare de Novi Sad le 1ᵉʳ novembre dernier.
Why has Thailand's politics been so contested and so intensely polarized in recent decades? How can we account for the persistent democratic regression of the past twenty years, despite the fact that the parallel vigour of progressive oppositional politics remains a source of hope for many? In this episode of Talking Thai Politics, prominent Thai political scientist Prajak Kongkirati discusses his new book Thailand: Contestation, Polarization and Democratic Regression (Cambridge UP, 2024), with Duncan McCargo. Prajak is an associate professor in the Faculty of Political Science at Thammasat University, and is well known for his extensive writings on Thai politics, notably on elections and political violence. His new book is an invaluable introductory text that anyone teaching Southeast Asian politics is likely to assign to their students. Duncan McCargo is President's Chair in Global Affairs at Nanyang Technological University. Talking Thai Politics brings crafted conversations about the politics of Thailand to a global audience. Created by the Generation Thailand project at Nanyang Technological University, the podcast is co-hosted by Duncan McCargo and Chayata Sripanich. Our production assistant is Li Xinruo. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
durée : 00:54:31 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles : l'histoire de "Naissance d'une Nation", film réalisé en 1915 par l'américain David Wark Griffith. Invitée Anne Crémieux, enseignante-chercheuse à l'Université de Nanterre Paris X.