Profitez de l'analyse de Bernard Boutboul sur les tendances en écoutant le podcast Conseils Marketings. Depuis 1923, L’Hôtellerie Restauration accompagne les professionnels et étudiants du secteur à travers le journal, le magazine, le site internet, les réseaux sociaux et sa chaîne de podcasts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Votre clientèle baisse ? C'est l'objet de ce nouvel épisode du podcast Conseils marketing, réalisé avec Bernard Boutboul. Baisse d'activité ou anticipation de la saison creuse, il est essentiel d'analyser ses performances et de repenser son offre pour attirer des nouveaux clients et fidéliser ceux qui nous connaissent. Selon l'expert, cinq indicateurs peuvent être la raison d'une baisse d'activité : - erreur d'emplacement,- être trop cher par rapport à ce que je vends et/ou par rapport au salaire des Français,- positionnement produit qui n'est pas en phase avec la demande,- la communication locale trop faible ou inexistante, il est important de recevoir des clients nouveaux,- vos clients ne se fidélisent pas assez à votre restaurant. Alors comment se diagnostiquer pour relancer sa fréquentation ? Il faut absolument être objectif si on souhaite s'auto-diagnostiquer, notamment en faisant appel à toute son équipe. Il est également possible de faire appel à un consultant. Un conseil : en cas de baisse d'activité, il ne faut pas baisser les prix avant d'avoir réalisé son diagnostic. Une baisse de prix peut effrayer la clientèle et être synonyme de perte en qualité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment maintenir le contact avec vos clients au fil du temps ? C'est l'objet de ce nouvel épisode du podcast Conseils marketing. Dans un contexte où la concurrence est féroce et où la fidélisation des clients peut faire toute la différence, nous explorons, avec Bernard Boutboul, les meilleures pratiques pour rester présent dans l'esprit de vos clients. Pourquoi est-il crucial de maintenir le contact avec ses clients ?"Il faut que le restaurant existe en permanence dans la tête de vos clients", et pas seulement communiquer au moment de l'ouverture des lieux. "On pense que tout le monde nous connaît dans le quartier, que tout le monde sait ce qu'on fait. Et c'est faux, parce que on est tellement sollicité par autre chose, on a tendance à oublier, même son restaurant préféré, parce qu'on est sollicité par d'autres", explique l'expert. Quels sont les principaux canaux de communication?Les newsletters, à construire avec des informations qui sensibilisent les clients, comme l'informer de la nouvelle carte qu'on va sortir, communiquer sur les nouveautés, de parler de ses fournisseurs...Les réseaux sociaux : être présent sur Instagram ou Tiktok où l'on se montre dans des vidéos très courtes (discussions avec l'un de ses fournisseurs, tour du restaurant, en cuisine, transmettre des recettes simples à exécuter pour ses clients...).Les programmes de fidélité, si le jeu en vaut la chandelle, organiser des jeux concours, des quizz (je change de décoration, laquelle vous préférez...). Communication et criseGérer les avis négatifs ou les insatisfactions clients fait partie de la communication. "Il faut répondre aux avis négatifs, mais ne pas le faire dans la seconde. Il est nécessaire de prendre du recul". Dans sa réponse, il faut être "humble" et s'excuser, recommande Bernard Boutboul, sans oublier de proposer au client de revenir vers vous. Le plus important c'est ce que vos futurs potentiels clients vont lire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La période de la basse saison peut effrayer certains professionnels de l'hôtellerie-restauration. Dans ce podcast Conseils marketing nous essayons, avec Bernard Boutboul, de livrer quelques conseils pour animer son établissement pendant cette période creuse. La clientèle locale"Globalement, en basse saison, il faut être moins cher, proposer une carte plus courte, ralentir le rythme de service". Bernard Boutboul nous livre ses conseils pour s'adapter au mieux à la basse saison. "Il faut chouchouter les locaux, ce sont les plus fidèles", ajoute l'expert qui conseille de proposer des offres, de créer des animations comme des rencontres avec des producteurs, des animations liées à l'actualité type Fête des mères, Saint Valentin... Côté communication, privilégiez "la communication à l'ancienne" : actions de marketing directe locale type flyer, radio locale, le journal local. Formation et investissementLa basse saison c'est aussi le moment de se former, de prendre du temps pour s'occuper de ses équipes et aussi de revoir la disposition de son établissement, de faire des petits travaux... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Préparation des fêtes de fin d'année, moment clé pour nombreux professionnels du secteur de l'hôtellerie-restauration. C'est le thème du nouveau podcast des Conseils marketing. Tous les restaurateurs ne proposent pas un menu de fête au moment de la fin d'année. Menu festif, menu habituel, ou menu loin des clichés, à chacun sa méthode pour accueillir ses clients au moment des fêtes, explique Bernard Boutboul, qui constate par ailleurs que "le 31 décembre est un service qui monte". Les boissons : un élément clé pour accompagner les repas de fête "Il faut faire attention aux boissons car c'est là qu'on fait de la marge. Il faut penser à des accords mets-boissons", insiste l'expert. Mets-vins, mets-boissons au sens large (thés, mocktails...), les boissons doivent être "chouchoutées" à ce moment-là. Il faut miser sur le local et la saison et éviter les fraises en plein hiver. Pour sortir des sentiers battus, ne pas hésitez à miser sur le végétarien pour certains plats. Comment communiquer sur son menu de fête On peut communiquer sur les réseaux sociaux. Néanmoins, la meilleure méthode est certainement celle de prévenir ses clients habituels, un mois avant, via des chevalets posés sur les tables par exemple. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les nouveaux modes de distribution sont indispensables pour développer le chiffre d'affaires, surtout lorsque la capacité de la salle est atteinte. Toutefois, ils doivent être mis en place de manière intelligente et maîtrisée pour garantir la satisfaction client et préserver les marges. Pour discuter de ce sujet, nous avons échangé avec Bernard Bouboul. Voici les points clés de notre conversation.Echange à écouter en intégralité en podcast. Les avantages et les défisCes modes de distribution - vente à emporter, livraison, click and colletc - apportent du chiffre d'affaires supplémentaire. Cependant, ils peuvent aussi entraîner des marges dégradées et perturber les clients sur place. Par exemple, les livreurs impatients ou le manque d'espace dédié au click and collect peuvent nuire à l'expérience client. La digitalisation et l'avenirLes bornes de commande se répandent car elles permettent aux clients de prendre leur temps et souvent de dépenser plus. Cependant, elles pourraient disparaître au profit des smartphones, rendant les espaces de commande physiques obsolètes. Le QR code pour passer commande depuis une table pourrait devenir la norme. Les coûts et la rentabilitéLes restaurateurs doivent être conscients des commissions prélevées par les plateformes de livraison, qui peuvent représenter jusqu'à 32 % du chiffre d'affaires. Il est risqué de dépendre fortement de la livraison pour une part importante du chiffre d'affaires en raison de ces coûts élevés. L'équilibre entre les modes de distributionIl est crucial de ne pas multiplier les modes de distribution pour une même adresse car cela peut perturber le fonctionnement du restaurant. Les restaurateurs doivent aussi être attentifs aux coûts d'embauche supplémentaires nécessaires pour gérer ces nouveaux modes de distribution. Adapter l'offreTous les plats ne se transportent pas bien. Les restaurateurs doivent donc adapter leur carte pour garantir une bonne expérience client, que ce soit sur place ou à emporter. Par exemple, les sushis se prêtent bien à la livraison, contrairement aux burgers et frites qui peuvent arriver froids et dégradés. Stratégie et maîtriseIl est essentiel de développer son chiffre d'affaires de manière maîtrisée pour ne pas nuire à l'expérience client. Les restaurateurs doivent réfléchir stratégiquement aux modes de distribution qu'ils adoptent et s'assurer qu'ils sont adaptés à leur concept. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
170 000. C'est le nombre de restaurants que compte la France. 10 000 de plus si on compte les fast food. Comment faire face à cette concurrence accrue, comment se démarquer et se positionner comme un leader ? Eléments de réponses avec Bernard Boutboul.Être bien implantéLorsque l'on cherche un lieu pour son établissement, il faut avoir un emplacement avec du potentiel, lié à l'activité qu'on souhaite. Par exemple, pour une restauration de midi, avec des actifs, on va privilégier un lieu avec une grosse densité d'emplois tertiaires. Il faut également prendre en compte l'accès (gare, métro, parking…), s'il y a une terrasse ou pas… Être à l'écoute des consommateursIl faut être en observation et à l'écoute des consommateurs : ce qu'ils veulent, ce qu'ils aiment, ce qu'ils n'aiment pas, qu'est-ce qu'ils achètent sur la carte, qu'est-ce qu'ils n'achètent pas… Il faut regarder les avis et aussi les écouter sur place, sans attendre le moment de l'addition pour échanger avec eux. Les Américains, une fois qu'ils ont posé le plat à table, reviennent deux fois : au bout d'une minute pour demander si le plat correspond à la commande (en termes de cuisson, de garniture…) et un peu plus tard pour proposer si le client a besoin de quelque chose, d'un rajout de garniture... Être agileNe plus créer un concept en se disant que tout sera figé. Il faut évoluer avec le consommateur. Être un bon communicantIl faut communiquer à l'ouverture et après. Tout le monde n'est pas au courant de l'existence de votre établissement. Il y a la communication traditionnelle (flyer, publicité dans la presse locale, la gazette du coin, éventuellement la radio) et les outils digitaux. Être en veille sur ce que proposent ses confrèresEtre en veille sur la concurrence et comprendre ce qu'ils font, regarder leurs offres, leurs menus, leurs tarifs, leurs nouveaux produits. Ça permet d'analyser les tendances, d'innover, de se différencier… Connaître les forces et les faiblesses de ses concurrents permet de définir sa propre stratégie et de rester compétitif.Musique ©icons8, sleepless-night, Bimbotronic Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ouvrir un restaurant, et le maintenir, il faut être un vrai-couteau Suisse. Il faut bien évidemment maîtriser les règles d'hygiène, la réglementation de manière générale, s'y connaître en gestion, en marketing, en management, gérer la relation client, les fournisseurs, mais aussi savoir négocier avec son banquier… Le métier s'est considérablement professionnalisé ces dernières années. Ce qui permet aux professionnels de rester compétitifs.Dans ce nouvel épisode de notre podcast Conseils marketing, réalisé avec Bernard Boutboul, nous détaillons : Connaissances en managementLes méthodes de recrutement : on recrute quel profil, avec quelles compétencesSavoir gérer l'organisation du travail de ses équipes : planning, mise en place de temps partielProductivité : calcul à faire pour connaître sa productivité pour ensuite la suivre et l'analyserFidéliser son personnel : combattre le turnover, rémunération (cooptation rémunérée, innover dans le mode de rémunération), formation Le marketingLa carte : construire sa carte, son menu, sa formule, savoir fixer les prix (revoir les coefficients pour se rapprocher de 30-32 %), suivre les statistiques de vente, calculer sa rentabilitéLa communication : chercher des nouveaux clients, soigner sa communication digitale + la communication traditionnelle (réseaux sociaux et flyer). La gestionLa comptabilité : maîtriser les charges d'exploitation avec les charges fixes comme le coût d'occupation (loyer - environ 10/11 %) et les frais de personnel (environ 40 %) ainsi que les charges variables notamment le coût matière (doit représenter environ 30 à 32 % en fonction du type d'établissement). La financeLa trésorerie : savoir gérer ses stocks Cet épisode dure 23 minutes. Musique ©icons8, sleepless-night, Bimbotronic Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La profession a fait parler d'elle sur les différents canaux d'information pendant l'été dernier, pas toujours de manière positive, notamment en raison des prix pratiqués. Quelle est la stratégie à adopter concernant les tarifs pour la saison estivale ? Ne faut-il pas repenser les cartes pour éviter un décrochage de fréquentation en misant sur des produits ayant moins subi l'inflation ? Pourquoi ne pas modifier ou adapter certaines recettes ? Faut-il miser sur la marge ou plutôt sur le chiffre d'affaires ?Bernard Boutboul nous livre son analyse et ses conseils pour se préparer au mieux à accueillir sa clientèle pour la haute saison dans ce podcast. Musique ©icons8, sleepless-night, Bimbotronic Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Un café et l'addition s'il vous plait". "Et pourquoi pas un dessert", rajoutera Bernard Boutboul. Dans ce podcast j'évoque, avec le fondateur de Gira et expert sur notre site, la fin de repas : le dessert, le café ou le thé, le moment de payer l'addition et le départ.La fin de repas en 4 phasesLe dessert (les ventes sont passées de 30 à 20 %)Le café/le théL'additionLe départ => moment où on doit donner envie aux clients de revenir Le paiement au barLe paiement au bar a ce gros avantage d'offrir un dernier point de contact avec le client, peu importe le moyen de paiement et même si tout est digitalisé. C'est l'occasion de lui demander si tout s'est bien passé, de discuter avec lui pendant qu'il procède au paiement. On ne laisse pas partir sans client une fois qu'il a payé avec son smartphone sans lui dire au revoir, pour une question de "satisfaction et pour lui donner envie de revenir", explique l'expert. La digitalisation permet de gagner du temps et notamment pour garder le contact avec son client. "Il ne faut surtout pas zapper le au revoir sous prétexte que le client a payé avec son smartphone son addition". Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
McDonald's lance sa chaîne de coffee-shops baptisée CosMac. En France, le chef pâtissier Cédric Grolet vient d'inaugurer dans le IIe arrondissement de Paris un coffee shop, et y propose, des boissons chaudes ou froides, allant du Flat White (un peu comme un café latte), des Milk Punch ou encore des croissants-beignets et le cookies-pizzas, à la part, ou en format XXL. Une course à l'ouverture de son coffee shop semble être en marche. Les différents acteurs :Les traditionnels, plus ou moins connus :Boulangeries low-costMarie BlachèreLa boulangerie de quartierPaulBrioche DoréeLes historiques d'un point de vue coffee shop :StarbucksColumbus caféMac CaféA côté de ces acteurs il y a le coffee-shop traditionnel, qui relance le café filtre et les bars d'hôtel. Le très haut de gamme également commence à être présent sur le segment à l'image de Ladurée qui a ouvert son premier coffee shop à Paris. Certains restaurants traditionnels se lancent aussi, mais ils ne sont pas nombreux selon Bernard Boutboul, qui regrette que « certains préjugés les empêchent de se lancer ». Les établissements ouvrent vers midi, ferment à 14h30, pour rouvrir vers 18h30. Pendant la fermeture de l'après-midi, il y a un créneau à prendre sur le segment café pour certains emplacements explique l'expert. "En faisant cela, ces restaurateurs pourraient également embrayer sur l'afterwork". L'offre à proposer :Boissons chaudes avec boissons gourmandes type macchiato, cappuccino. Prix de vente conseillé : entre 6 et 7 €Pâtisseries gourmandes, part de cake à la partGâteaux de voyage type muffin, cookie…Proposer un espace accessible aux personnes qui souhaitent travailler Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Il ne faut pas avoir peur du digital. Ce n'est qu'un outil qui permet de gagner du temps et de faire plus de chiffre d'affaires plus vite". Face à la révolution digitale, l'heure n'est pas à l'hésitation mais à l'action. Bernard Boutboul, directeur de Gira, démystifie pour nous le monde du digital, dévoilant comment cet univers, souvent perçu comme complexe, se révèle être un puissant levier de croissance pour le secteur de la restauration. Dans ce podcast, il nous guide à travers les méandres des technologies numériques et de l'intelligence artificielle, révélant des outils indispensables non seulement pour optimiser le temps et accroître les revenus, mais aussi pour renforcer les liens avec nos équipes.Avec Bernard Boutboul, plongez au cœur des pratiques qui transforment le quotidien des restaurateurs : de la gestion des achats, cruciale pour maîtriser ses coûts et améliorer ses marges, à la gestion fine du personnel et l'indispensable conformité aux normes d'hygiène. Mais quid du coût de ces innovations ? L'expert nous éclaire sur le véritable retour sur investissement de ces outils digitaux, nous invitant à voir au-delà de l'investissement initial pour embrasser les bénéfices durables qu'ils apportent.Dans ce podcast, innovation rime avec opportunité. Et pour plus d'info, rendez-vous au salon Food Hotel Tech. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À quelques mois de l'ouverture de la cérémonie des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 (24 juillet 2024), certains professionnels du secteur de l'hôtellerie-restauration sont inquiets face à la potentielle désertion de la capitale. Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, se veut rassurant pour les restaurateurs : "Il y a plus de deux millions d'habitants dans Paris. Il y aura bien un afflux de clients pendant cette période". Tous les parisiens ne prendront pas deux mois de vacances et le 100 % télétravail ne sera pas possible pour tout le monde.Alors comment gérer cet afflux de clients ? Comment bien présenter son offre ? Comment donner envie aux touristes internationaux de venir chez nous ? Les conseils de Bernard Boutboul :Préparez-vous à travailler en continue. Les anglo-saxons par exemple ne mangent pas aux mêmes heures que les Français. Ce qui signifie aussi savoir s'organiser avec les équipes.Attention à vos prix : les chiffres d'affaires vont s'envoler, à la condition d'être assez raisonnable sur les prix de vente.Regardez les horaires des diffusions. En fonction des sports vous pouvez miser sur des offres différentes, par exemple une offre ‘afterwork' pendant les matchs ou à des petits-déjeuners (avec une offre salée) pour l'athlétisme qui commence souvent dès 7h30.Pensez à thématiser vos offres en fonction des pays, pensez à la décoration.Misez sur une offre de partage.Misez sur l'offre liquide.Et côté recrutement, malgré la période difficile, il va falloir trouver du personnel qui peut travailler de manière partielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La franchise est un mode de développement rapide, puisque le propriétaire de la marque n'est pas investisseur. Ce sont des investisseurs indépendants ou institutionnels qui investissent dans sa marque. Attention : la rapidité de développement peut être dangereuse. Pourquoi ? Parce que le passé nous a montré qu'il y avait probablement des erreurs d'emplacement, des erreurs de casting franchisés et parfois les deux. Quel est l'intérêt d'un créateur d'entreprise d'investir dans une franchise ? C'est d'exploiter une ancienne clé en main. Contrairement à s'il devait créer un concept de toutes pièces, ce qui est extrêmement compliqué et très long. Un franchiseur est là aussi pour aider le franchisé à faire croître sa fréquentation. Évidemment le but principal c'est qu'il ait un retour sur investissement. Il faut tout ça pour convaincre un franchisé de signer un contrat. Comment choisir une franchise ? Le franchisé doit se poser plusieurs questions avant de décider dans quoi il investit. En 2024, on peut miser sur quoi ? Bernard Boutboul, auteur sur notre plateforme SOS Experts et directeur de Gira répond à toutes ces questions dans ce nouveau podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Nous sommes un des rares pays au monde où la restauration rapide monte en gamme". Il y a des perspectives d'évolution pour ce secteur assure Bernard Boutboul, président de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts. Parmi les produits les plus consommés en France on a "le roi sandwich, irratrapable", le burger et la pizza. "Dès qu'on met des protéines entre deux tranches de pain ça cartonne", l'assure l'expert. La révolution silencieuse des boulangeriesAujourd'hui, la très grande majorité des boulangeries ne ferment plus entre midi et deux. Et c'est bien le seul endroit où il y a sans arrêt la queue le midi. Ils ont élargit leur offre en s'installant sérieusement sur le snacking. Sur les 27 000 boulangeries en France, elles font 50 % de leur chiffre d'affaires sur le snacking. Elles proposent aussi des mange debout dès que c'est possible car elles ont compris que les Français appréciaient manger assis. Le succès du snacking ? C'est "qu'on prend de moins en moins de temps pour déjeuner", explique Bernard Boutboul. Le snacking répond à ce phénomène sociétal de rapidité, c'est pratique et il y a une diversité de produits. Pour plus d'info, rendez-vous sur le salon Sandwich and Snack Show, les 13 et 14 mars 2024, à la Porte de Versailles (Paris). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Selon l'Agence Bio, en 2022, les 170 000 restaurant en France ne proposent que 1 % de bio à leur carte. Pourquoi les chefs ne font pas plus que ça la part belle aux produits bio ? Pour Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, il y a une "défiance" envers le bio et "dans l'imaginaire des gens, ça reste cher". Par ailleurs, la question de la demande se pose. Si 68 % des consommateurs disent vouloir du bio au restaurant selon l'Agence Bio, pour Bernard Boutboul ce n'est pas une véritable demande, "il faut faire attention au déclaratif des Français", leurs attentes portent plutôt sur du circuit court. Si les coûts sont parfois élevés et l'offre pas toujours suffisante, c'est en partie en raison des débouchés qui ne sont pas suffisants. Si la restauration collective a une obligation d'introduire 20 % de produits bio dans ses menus avec la loi Egalim, ce n'est pas suffisant. La Fondation pour la Nature et l'Homme (FNH) propose d'étendre ces chiffres à la restauration commerciale. L'ensemble des secteurs de consommation doivent être mobilisés pour maintenir la filière. L'agence bio est en train de mettre en ligne une plateforme digitale B2B cuisinonsplusbio.fr avec des outils, des bonnes pratiques et des astuces. Vous pouvez d'ores et déjà vous inscrire sur leur site pour être mis au courant de la mise en ligne de cette nouvelle plateforme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Il y a un problème de pouvoir d'achat, mais il ne baisse pas pour tout le monde". Bernard Boutboul, président du cabinet Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous explique les conséquences de la baisse du pouvoir d'achat sur les comportements : baisse des réservations, réservations de plus en plus tard, multi réservations... Les consommateurs sont de plus en plus attirés par des établissements spécialistes, qui mettent en avant leur sourcing, ils consomment plus quand ils voient ce qu'on leur propose... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"L'intelligence artificielle est une fantastique révolution, bien plus puissante que le train à vapeur ou internet". Bernard Boutboul, président du cabinet Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous parle dans ce podcast des avantages pour un restaurateur à se lancer dans l'utilisation de l'intelligence artificielle. Attention néanmoins à "ne pas se lancer tête baissée" selon lui. Car si ça peut être un formidable outil d'aide dans sa gestion au quotidien, "le risque c'est qu'elle se substitue à notre réflexion humaine". Si s'équiper est un avantage indéniable, il faut conserver son indépendance. Exemples d'aide pour un restaurateur : connexion à la caisseconnaissance de la météo et donc anticipation de la clientèleprévision des ventes futures et donc ses commandes à effectuerautomatisation des stocksaide à la fixation des prix de ventegestion des plannings aide à la fidélisation des clients Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis vingt ans, de nombreux restaurateurs se sont lancés dans la restauration rapide sur le segment moyen et haut de gamme. En 2023, on se rend compte que pour la majorité ils ne sont pas rentables ou ne se développent plus. Pourquoi ? Parce que ces acteurs "devraient vendre plus cher pour s'en sortir et être rentable, mais c'est impossible, ça serait trop dissuasif", selon Bernard Boutboul, directeur de Gira. Autre raison, selon l'expert : "Les clients s'attendent, dès qu'on passe la barre des 20 euros, à un service à table". Des modèles économiques qui ne fonctionnent donc pas. Y'a-t-il quand même une place à prendre ? Surement. "Mais il faut trouver des sources de chiffre d'affaires plus rentable que d'avoir une unité en dur", comme l'ouverture au B2B, aux événements... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La génération Z sont les consommateurs de demain". S'ils n'ont pas un énorme pouvoir d'achat aujourd'hui, ce sont des clients à séduire car ils sont passionnés de restauration (les foodistas), ce sont des clients de demain donc il est important de capitaliser sur eux et de manière générale ils arbitrent en faveur du restaurant dans leurs dépenses. Leurs particularités : ils sont à la recherche d'une nourriture saine et en même temps "ils se lâchent sur de l'hyper gras", en le justifiant par le fait qu'ils vont à la salle de sportce sont des adeptes du snackingils sont soucieux du bien-être animal ils sont flexitariens ou végétariens ils recherchent des 'spot' ils font confiance aux gens qu'ils suivent sur les réseaux sociaux Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Nous sommes à plus de deux ans de la réouverture des restaurants. Pas grand chose ont changé et en même temps beaucoup de choses". Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous livre son analyse sur l'ère post covid. D'après lui, les gens sortent toujours au restaurant, le midi reste toujours la sortie préférée par rapport aux soirs, nous mangeons quasiment les mêmes plats et les clients préfèrent toujours la "bonne vieille carte". Parmi les changements, on notera que :- les clients mangent aujourd'hui plus lentement,- trient de plus en plus sévèrement les restaurants,- veulent plus de transparence,- réservent plus tardivement... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La saison 2023 affiche 9,2 % de croissance par rapport à 2022, qui était déjà une bonne année. L'hôtellerie a fait de très bons scores, l'hôtellerie de plein air a fait un carton. La restauration s'est quant à elle plutôt bien portée malgré les changements de comportement des consommateurs (système D avec un complément de repas, plus de temps à table...). Le pouvoir d'achat baisse mais dans la réattribution des dépenses des ménages, la restauration ne fait pas, pour l'instant, l'objet d'arbitrage. Ces raisons font que pour l'année 2023 les professionnels feront surement plus de chiffre d'affaires mais seront moins rentable. Par ailleurs, les clients ont souvent tiré les prix vers le bas pour profiter au restaurant. De nombreux professionnels (66 %) disent avoir répercuté une partie de la hausse des prix notamment en raison de l'augmentation de l'énergie. Un tiers n'a donc rien fait, un bon plan pour les consommateurs mais mauvais point pour la rentabilité. Et sur ces 66 % de professionnels, ils sont majoritaires à annoncer avoir répercuté la hausse des prix de manière raisonnable, surement par peur d'une désertion des clients. Ce qui là encore est plutôt une bonne annonce pour les consommateurs. Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous livre son analyse suite à la saison été 2023 et quelques prévisions pour la fin d'année, en rappelant qu'il est encore temps de profiter du tourisme sportif grâce à la coupe du monde de rugby. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Tour d'argent vient d'effectuer la plus grande rénovation de son histoire. Afin de développer son offre, après la boulangerie et la rôtisserie, le restaurant parisien a choisi de proposer un rooftop et une suite luxueuse avec vue imprenable sur Paris. Une façon pour André Terrail, troisième génération à la tête de l'établissement, de marquer son passage. Nous vous invitons dans cette institution parisienne, créée en 1582, emblématique de la haute gastronomie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Le salé pour se nourrir, le sucré pour le plaisir”, telle pourrait être la maxime de Pierre Hermé. Le pâtissier-créateur nous explique comment il fait le lien entre les gâteaux et la parfumerie. Il revient sur son parcours et de ses bases solides acquises chez Lenôtre.Pierre Hermé affiche sa volonté de différentiation, il a créé sa marque. Aujourd‘hui chef d'entreprise, il est installé dans 12 pays et affiche fièrement 72 points de vente et 1 000 collaborateurs sont “au service du goût”.Le pâtissier évoque aussi la place du dessert en restauration. De ses secrets de réussite, il dit simplement : “Il n'y a pas de bonne pâtisserie sans bons produits”. Les projets sont également au rendez-vous : un centre de formation, un hôtel et l'ouverture d'une boutique à Riyad (Arabie saoudite). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ambassadeur de France de la gastronomie, représentant personnel du président de la République auprès des acteurs de la gastronomie, Guillaume Gomez a cuisiné pour quatre présidents de la République. Il a quitté les fourneaux pour se consacrer à l'image de notre gastronomie française : "J'ai souhaité servir celles et ceux qui œuvrent avec passion pour la gastronomie." Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après le succès à Paris des restaurants Daroco Bourse, Daroco 16 et du cocktails bar Danico par Nico de Soto, les restaurateurs Alexandre Giesbert et Julien Ross traversent la Manche et annoncent leur première ouverture à Londres, en septembre 2023 : Daroco Soho. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment construire sa carte, on mise sur quelle longueur de taille, quelle typographie choisir, combien de référence indiquer, quelle part doit représenter le végétal dans une carte, multilingue ou pas ?… Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous livre ses conseils, parmi lesquels : miser sur une carte courte - le client y voit un gage de qualité et c'est un avantage en cas de manque de personnel - elle doit être dynamique, avec de moins en moins de menu, il faut y faire apparaître des gammes à partager, ne pas mettre de décimal sur ses prix - c'est réservé à la grande distribution -, ne pas trier ses produits par rapport au prix, insérer deux ou trois offres végétariennes pour les 51 % de flexitarien et enfin, ne pas avoir peur d'afficher des propositions à la carte plus chers pour suivre la hausse généralisée des prix. L'expert nous explique également que la carte ne doit pas non plus être le moment d'exprimer son art en utilisant toutes les typographies possibles et nous explique que l'ardoise représente toujours un excellent moyen de présenter son offre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec son accent chantant, Juan Arbelaez fait voyager nos oreilles, et nos papilles par sa cuisine. Associé aux fondateurs de la marque grecque Kalios, Grégory et Pierre-Julien Chantzios, le chef d'origine colombienne est aujourd'hui à la tête de 12 établissements. Il nous parle de ses projets autour des restaurants grecs Yaya, de ses envies d'hôtellerie, d'international mais aussi de télévision. Car sa présence sur les plateaux (Top Chef et Quotidien, entre autres) lui a donné des ailes.Juan Arbelaez a créé des lieux, des assiettes, des ambiances autour d'un produit. “Il faut être aligné dans ce qu'on entreprend, respecter l'aliment et aimer ce que l'on fait”, déclare-t-il.Une rencontre avec un chef bouillonnant à écouter dans Talents, le podcast de L'Hôtellerie Restauration. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"L'expérience client n'est pas une mode mais une réelle demande". Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, nous parle, dans ce nouveau podcast, de l'expérience client. Comment est-ce qu'on crée, aujourd'hui, de l'expérience client avec toujours moins de personnel ? Quelles sont les attentions qu'un professionnel doit délivrer à ses clients ? Comment faire pour traduire ce mot en 'véritable' expérience et pas juste le dire pour être à la mode ? Et surtout, derrière cette notion, est-ce que ce n'est pas d'abord l'expérience collaborateur sur laquelle il faut miser en travaillant sur son épanouissement, son engagement, sa motivation, pour qu'il puisse exprimer son potentiel et offrir ainsi une bonne expérience client ? Tous ces sujets sont évoqués dans ce podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chef étoilé, ambassadeur de bonne volonté pour la biodiversité, chevalier de la Légion d'honneur et vice-président de l'Association internationale Relais & Châteaux, Mauro Colagreco est un ardent défenseur des circuits courts et un amoureux des bons produits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La révision du modèle économique est aujourd'hui impérative", alerte Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts. Et il existe quatre postes du compte de résultat sur lesquels il est nécessaire de s'appuyer pour faire évoluer son modèle économique, et que nous détaillons dans ce podcast, à savoir les frais de personnel, les achats de matières premières, l'énergie et les couts d'occupation au travers des loyers. Répercuter les différentes augmentations de manière générale, sur tous les prix, n'est pas forcément la bonne idée. Il faut plutôt répercuter cela sur certains prix, en le justifiant auprès des clients. Il y a également d'autres leviers pour revoir son modèle économique comme des actions sur la carte. N'hésitez pas à parcourir l'ensemble des podcasts pour avoir d'autres idées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"La restauration avec service à table doit se mettre à travailler sur différents moments" de consommation, insiste Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts. Petit déjeuner, déjeuner, goûter, afterwork, dîner… varier les moments de consommation peut générer du chiffre d'affaires et ça évite les coupures. A partir du moment où on ouvre d'autres moments de consommation, on peut générer du chiffre d'affaires de 20 à 40 % selon l'expert. C'est une façon, pour le professionnel, de faire venir ses clients ou des personnes qui n'ont pas l'habitude de venir, à d'autres moments. Ce qui signifie qu'il faut donc ouvrir avec une carte évolutive et fidéliser le consommateur sur ces différents moments de la journée. Mais s'il y a des avantages, il y a aussi des inconvénients : ça va nécessiter une réorganisation totale, notamment au niveau des équipes. De même, l'emplacement de l'établissement déterminera également la faisabilité de ce projet : un emplacement habitat, mixte ou de travail par exemple ne permettront pas les mêmes choses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on parle de réussite familiale, la famille Haeberlin s'impose. C'est la quatrième génération de restaurateurs et d'hôteliers qui tient aujourd'hui les rênes de l'Auberge de l'Ill à Illhaeusern. Marc Haeberlin a passé toute sa carrière derrière les fourneaux. Chef et chef d'entreprise, il fait travailler 120 personnes dans ses différents établissements : l'Auberge, la brasserie des Haras à Strasbourg, l'hôtel de 18 chambres à Illhaeusern et trois restaurants implantés au japon.À 68 ans, Marc Haeberlin aime être dans l‘action. Il vient de racheter l'ancien presbytère du village pour y créer un dépôt de pain et une épicerie.Humble et loin du monde médiatique Marc Haeberlin vous dira que pour devenir chef, il faut être curieux et garder les pieds sur terre. Nous vous invitons à écouter ses conseils d'homme d'expérience. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"En 2019, avant le covid, la livraison pesait 4 % du chiffre d'affaires de la restauration. En post covid il est monté à 10 %." Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts, constate que le boom de la livraison n'est pas significatif notamment à cause du dérapage énorme des frais supplémentaires qui apparaissent sur la facture. "Les Français préfèrent le click and collect à la livraison", affirme l'expert. Le restaurateur a tout de même un double intérêt à s'y mettre puisque d'une part il va augmenter son chiffre d'affaires et d'autre part c'est un moyen de se faire connaître par une clientèle différente. Néanmoins, deux conseils : ne pas dépasser 30 % de son CA en tant que restaurateur dans le cadre de la livraison car l'augmentation du chiffre d'affaires est dégradée et négocier ses taux de commission. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Le voyage, la découverte, la surprise des goûts". Les Français apprécient sortir des sentiers battus et voyager à travers leur assiette, explique Bernard Boutboul directeur de Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts. La preuve en est, en France, chaque année, on a une multitude de nouvelles enseignes ou nouveaux concepts issus des cuisines du monde qui voient le jour avec une ouverture sur deux à connotation internationale ou ethnique. Si certaines cuisines font des entrées plus modestes, comme la cuisine brésilienne par exemple, d'autres sont très présentes. Comment expliquer un tel essor des cuisines du monde ? "On s'est ouvert aux cuisines du monde il n'y a qu'une dizaine d'années, explique l'expert. La nouveauté ces dernières années, c'est le côté sain, exotique et de partage" de ces nouvelles offres. L'expert met également en garde sur le côté expérientiel en "allant jusqu'au bout de la thématique pour offrir une expérience immersive". Cette tendance va-t-elle perdurer ? Qui séduit-elle ? Quelles sont les nouvelles cuisines qui vont arriver ? Réponse dans ce podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le concept de la création d'entreprise, et notamment de la franchise, séduit toujours. Il se veut rassurant puisque les intérêts du franchiseur sont en adéquation avec ceux du franchisés. Ils sont tous les deux à la recherche d'un développement de l'enseigne. Selon la Fédération Française de la franchise, le secteur de l'hôtellerie-restauration, pour l'année 2021, enregistre 342 enseignes différentes (sur un total de 2 000 enseignes tout secteurs confondus) pour un total de plus de 10 000 points de vente (sur un total de 80 000). La nette majorité étant attribuée à la restauration rapide. Mais avant de se lancer, franchisés comme franchiseurs doivent se poser les bonnes questions... En tant que franchiseur, quand est-ce que l'on décide de franchiser son concept et est-ce qu'on peut tout franchiser ? Côté franchisé, quels sont les avantages de ce modèle économique, vers quelle type de structure se tourner et quels sont les écueils à éviter (emplacement, fausses promesses ou mauvais profil)… Toutes ces questions sont abordées dans ce podcast Conseils marketing réalisé avec Bernard Boutboul, président de Gira et expert sur notre plateforme SOS Experts. Cet échange a également été l'occasion d'évoquer des concepts bien différents : Factory and Co, Stadium, Prêt à Manger ou encore Wok to walk. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elsa Jeanvoine, 36 ans, a décroché il y a quelques mois le titre de MOF maître d'hôtel, du service et des arts de la table. Elle partage son activité entre l'auberge de la Poutre à Bonlieu, dans le Jura, et le restaurant Azimut à Courchevel à la table de François Moureaux.Pour le podcast Talents, elle évoque tout le travail qu'elle a effectué, accompagnée par un coach sportif, pour devenir MOF. Exigeante et professionnelle, elle explique aussi comment elle réussit à créer du lien dans son équipe, à valoriser le travail de la cuisine, à jouer la carte de la complémentarité. Un véritable engagement au quotidien.“En salle, on a envie de rendre les gens heureux”, résume Elsa Jeanvoine. L'humain, l'empathie, les rencontres sont autant de jalons dans son parcours. Elle aime transmettre et expliquer aux jeunes professionnels comment accueillir les clients, remettre le service au cœur du restaurant. Sur un sourire, on peut affirmer qu'elle sait recevoir ! Démonstration...#Podcast #Serviceensalle #ElsaJanvoine Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le digital doit être pris comme un gain de temps et venir au service des clients (pour regarder la carte, via les qr code, payer ou inciter ses clients à laisser un avis) selon Bernard Boutboul, fondateur du cabinet Gira et auteur sur notre plateforme SOS Experts. C'est l'objet de ce nouveau podcast des conseils marketing. L'occasion d'évoquer les différentes solutions qui s'offrent aux restaurateurs, que ce soit pour améliorer et fluidifier le parcours client mais aussi pour améliorer l'expérience collaborateur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2023 vient de commencer. Quels sont les grands défis qui attendent les professionnels de l'hôtellerie-restauration ? Bernard Boutboul, directeur du cabinet de conseils Gira et experts sur notre plateforme SOS Experts nous livre son analyse sur l'année à venir. Il nous parle du recrutement et met en garde sur le personnel, en conseillant de rédiger ses petites annonces autrement et en apprenant à manager ses équipes pour les garder. Au niveau des équipements, on parle d'une carte ou de menuboard qui doit évoluer en termes de produits et références en acceptant d'avoir des cartes plus courtes avec une vitesse de rotation plus rapide mais aussi par rapport aux cuissons avec une remise en cause de certains équipements. Et enfin, le troisième défi : s'adapter aux nouvelles attentes des clients qui ont changé leur rapport à leur alimentation, notamment au restaurant. Dès qu'ils sortent, ils veulent du gourmand, du gras, du sucré. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chef engagé, chef d'entreprise, élu récemment à la tête de l'Umih, Thierry Marx se livre dans Talents, le podcast de L'Hôtellerie Restauration. Il nous parle de sa nouvelle adresse dans le VIIIe arrondissement à Paris, Onor. Un nouveau modèle économique de restauration où la croissance doit se faire “en conscience”, selon ses mots, afin de redonner du sens à l'économie.Manageur, leader, il aime dire que la confiance doit être présente et visible dans l'entreprise. Côté formation, là aussi, Thierry Marx s'est investi : il a créé une dizaine d'écoles en France, baptisées Cuisine, mode d'emploi(s), où l'engagement est au centre du projet.Au Japon, où il a étudié, l'un de ses professeurs lui disait : “Rien d'impossible à une âme honnête”. Il en a fait son credo. Vous allez l'entendre, Thierry Marx nous parle de ses projets, de son mode d'organisation.Actualité oblige, dans cet entretien, il est aussi question de ses missions au sein de l‘Umih, des premiers chantiers pour aider les professionnels : de la transition écologique des établissements au coût des matières premières en passant par le remboursement des PGE et l'attractivité des métiers de l'hôtellerie-restauration. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si elles ne représentent bien souvent que 20 % de l'addition, les boissons ont pourtant longtemps représenté une part plus importante du chiffre d'affaires d'un établissement. Pourquoi ? Explications (et leviers pour augmenter ses ventes) avec Bernard Boutboul, directeur du cabinet de conseils Gira et experts sur notre plateforme SOS Experts. Il nous délivre des pistes pour vendre mieux, rendre sa carte plus attractive et il nous présente quelques idées nouveautés.#Boisson #BernardBoutboul Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Avoir une âme, un nom et une expérience à offrir". Quand on le questionne sur : qu'est-ce que le positionnement d'un restaurant, c'est ainsi que Bernard Boutboul, président du cabinet de conseil Gira et auteur sur SOS Experts nous répond. Dans ce nouveau podcast, nous nous sommes donc retrouvés pour parler du positionnement d'un restaurant. Qu'est-ce que c'est concrètement ? À quel moment du projet doit-on le définir ? Comment attirer sans tromper le client ? Comment sortir de l'anonymat ? Pouvons-nous ou devons-nous plaire à tout le monde ? Ce qui est certain, pour Bernard Boutboul, c'est "qu'il ne faut pas tromper le client" et "arrêter le marketing paillettes". #ConseilsMarketing #Podcast #BernardBoutboul Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le chef étoilé, chef d'entreprise et figure incontournable des plateaux de télévision, Philippe Etchebest, se livre dans Talents, le podcast de L'Hôtellerie Restauration. Vous allez l'entendre, il nous dévoile quelques indiscrétions sur la 14e saison de Top Chef. Il nous livre également quelques conseils pour lutter contre l'inflation, en lien avec la hausse des prix qui impose de nouvelles contraintes aux restaurateurs, les oblige à faire des choix, à se réinventer. L'actualité est riche pour le chef : il fête le premier anniversaire de son dernier restaurant, Maison nouvelle à Bordeaux, et il vient également de sortir un nouveau livre, Cuisinez bien accompagné avec ma méthode Mentor aux Éditions Albin Michel.Dans ce podcast, il sera question de partage et de transmission. Pour Talents, il nous invite à aller au bout de nos rêves. Bonne écoute !#Talents #podcast #PhilippeEtchebest Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode du podcast Conseils marketing, réalisé avec Bernard Boutboul, président du cabinet de conseil Gira et auteur sur SOS Experts, nous avons échangé sur la pénurie de main d'œuvre et le management. Le chef Eric Guérin a par exemple expliqué - via les réseaux sociaux - qu'il avait deux ans d'avance de CV. Il vient d'ailleurs de recevoir le premier Marianne de la cuisine, créé par le mouvement #Respecte ta cuisine. Ne serait-il pas pertinent d'inclure plus de management dans les formations initiales ? Quels sont les critères pour être un bon manager en 2023 ? Toutes ces questions sont abordés dans ce podcast.#ConseilsMarketing #Podcast #BernardBoutboul #Management #Attractivité Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour ce nouvel épisode du podcast Conseils marketing, réalisé avec Bernard Boutboul, président du cabinet de conseil Gira et auteur sur SOS Experts, nous nous sommes focalisés sur le sujet des pourboires : origine du pourboire, son évolution, usages en Europe ou aux États-Unis... Et pourquoi ne pas être rémunéré en fonction de la qualité du service offert ? Le pourboire est-il toujours une forme de complément de salaire, au service de l'attractivité des métiers du secteur ? Faut-il partager les pourboires ? Est-ce que de verser un pourboire par carte bancaire augmente son montant et les chance d'en recevoir un ? Toutes ces questions sont abordés dans ce podcast.#ConseilsMarketing #BernardBoutboul #Inflation Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Actuellement consultante pour le Carlton Tower à Londres où elle a créé un bar à pâtisseries, Jessica Préalpato lancera au premier trimestre 2023 un tout nouveau concept de pâtisserie-boutique, dans le XVIIe arrondissement à Paris. Elle veut créer un lieu différent, cuisiner devant les clients, servir les desserts à l'assiette. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Le secteur est dévalorisé", "l'image de la restauration est trop vieille école", "ambiances pesantes", "absence de bien être"… Les étudiants de l'école hôtelière de La Rochelle, âgés entre 18 et 23 ans, ont eu l'occasion de s'exprimer lors d'une journée débat en compagnie de Bernard Boutboul, directeur de Gira et auteur de SOS Experts. Ils n'ont pas mâché leurs mots. Mais est-ce que ce n'est pas eux que nous devons écouter ? Dans ce podcast, vous écouterez Bernard Boutboul nous résumer leurs remarques et idées pour faire évoluer les choses en faveur de plus d'attractivité pour le secteur. Contrats plus courts, trois jours de repos, amélioration des conditions de travail, matériel trop obsolète pour travailler… les pistes d'amélioration sont nombreuses.#BernardBoutboul #Podcast #Attractivite Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Claire Vallée, première cheffe végane étoilée au guide Michelin (2021) est l'invitée du podcast Talents de L'Hôtellerie Restauration. Dans cet entretien, il sera question d'équilibre, de balance entre les mondes. La cheffe nous explique pourquoi elle préfère le terme de cuisine végétale à celui de cuisine végane. Elle nous amène à nous poser les bonnes questions, à nous informer autrement pour mieux comprendre le fonctionnement de la nature. Claire Vallée s'est tournée d'instinct vers des aliments naturels et le végétal pour imaginer une cuisine goûteuse. Vous allez l'entendre, ses voyages sont de véritables sources d'inspiration. Son restaurant ONA, pour Origine Non Animale, installé sur les bassins d´Arcachon, est actuellement en pause. Elle nous explique pourquoi elle a choisi de prendre le temps de réfléchir, faisant face à la réalité du métier, et au manque de personnel. Elle s'est consacrée ces derniers mois à la sortie de son livre appelé ONA, synthèse de ses trois dernières années de travail, aux éditions du Chêne.#Ona #ClaireVallee #Talents #Podcast Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour cette nouvelle rentrée du podcast Conseils marketing, réalisé avec Bernard Boutboul, président du cabinet de conseil Gira et auteur sur SOS Experts, nous nous sommes focalisés sur un sujet d'actualité : l'augmentation du prix des matières premières. Est-ce que tous les produits ont réellement augmenté ? Comment réaménager sa carte en conséquence ? Quels sont les outils ou indicateurs qui peuvent aiguiller les restaurateurs dans la chasse aux coûts ? Nous répondons à ces questions dans ce podcast.Conseil : munissez-vous d'une feuille et d'un stylo lors de l'écoute de ce podcast, Bernard Boutboul livre dans cet épisode plusieurs outils concrets accessibles à tous (calcul du ticket moyen, répartition des prix sur la carte, tableau de bord…).#ConseilsMarketing #BernardBoutboul #Inflation Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dominique Guidetti est concierge depuis 26 ans, il est depuis 20 ans au Park Hyatt. Être concierge d'hôtel, c'est savoir endosser chaque jour un nouveau costume, répondre à un client en se mettant à sa place. Quand un client s'installe à l'hôtel, il veut vivre une expérience et s'adresser à des experts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment négocier dans les métiers de l'hôtellerie-restauration ? Il est utile de rappeler que toute négociation est basée sur un désaccord. Alors, comment entrer dans une logique de compromis ? Comment réussir ensemble à avancer, sans frustration, sans colère ? Comment réagir face à un client de mauvaise foi ? Comment négocier un prêt à la banque ? Nous sommes allés à la rencontre de Laurent Combalbert, ancien négociateur du Raid. Il a fondé l'agence The Trusted Agency pour aider les dirigeants d'entreprise à mieux négocier. Vous allez l'entendre, Laurent Combalbert vous parlera d'objectif commun partagé. Au travers de situations concrètes, nous vous proposons de trouver des réponses à vos questions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Talents, le podcast de L'Hôtellerie Restauration, vous invite dans l'une des plus prestigieuses maisons de Champage : Taittinger. Nous sommes allés à la rencontre de sa présidente, Vitalie Taittinger, qui nous confirme que l'univers du vin s'est fortement féminisé ces dernières années : “Les femmes ne se mettent plus de barrières.”Dans ce podcast, elle se livre sans détours, en toute transparence. Vitalie Taittinger nous parle de sa famille, de la reprise de maison de champagne, après une lutte acharnée menée par son père, Pierre-Emmanuel Taittinger, en 2006, de son arrivée à ce poste de présidente en 2020. Elle est désoramais aux commandes d'une entreprise qui emploie 250 collaborateurs et aime régler “la voilure humaine”, selon une expression chère à son père. Elle se définit comme une animatrice d'équipe.Vous allez l'entendre, elle évoque ses liens privilégiés avec les restaurateurs : un rapport d'affection et de gourmandise. La table, dit-elle, doit rester un lieu d'échange, de générosité. #Talents #podcast #VitalieTaittinger Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.