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Si vous pensez que l'assurance est une invention moderne, vous vous trompez ! L'assurance est aussi vieille que le commerce… Elle existe depuis la Grèce antique ! À cette époque, ce sont les marchands qui s'assurent auprès de particuliers fortunés à travers ce qu'on appelle “le prêt à la grosse aventure”. Avant de partir en expédition, les marchands pouvaient protéger leur marchandise avec le prêt à la grosse aventure. Ils empruntaient à un particulier l'équivalent de leur marchandises et une fois arrivés, si la marchandise était complète et intacte, ils remboursaient le prêteur avec un intérêt élevé. Qu'est-ce que le prêt à la grosse aventure ? Comment a-t-il favorisé la fraude ? Qu'est-ce qu'un aléa moral ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. En partenariat avec Brief.eco Abonnez-vous à la newsletter Brief.eco avec l'essai gratuit À écouter ensuite : Quel est le lien entre votre salaire et le sel ? Dans quel pays le premier billet de banque est-il apparu ? De quand date le premier écran tactile ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez".Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:05:30 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Le Sénat examine ce mercredi une proposition de loi qui vise à garantir aux collectivités une solution d'assurance. Un texte porté par le sénateur LR de Meurthe-et-Moselle Jean-François Husson, invité d'ICI Sud Lorraine.
Au Congo-Brazzaville, le gouvernement a annoncé la fin d'une mesure controversée : la mise à disposition de terres notamment pour des projets agricoles à des entreprises rwandaises. Des accords avaient été signés en 2022, mais ils avaient provoqué un tollé dans une partie de l'opinion. Aujourd'hui, les conventions sont déclarées caduques. C'est une déclaration qui a fait grand bruit jeudi dernier lors de la conférence de presse de la « quinzaine du gouvernement » congolais. « Vous vous rappelez la polémique sur la fameuse histoire des terres rwandaises, la salive, l'encre que tout cela a fait couler, interroge le porte-parole du gouvernement Thierry Moungalla s'adressant aux journalistes. Mais pourquoi vous ne vous êtes pas demandés quelle a été la suite ? Pourquoi on n'en parle plus ? Parce que tout simplement, le dossier est terminé. »Dossier terminé même si aucun document officiel sur cette résiliation n'a été fourni. Les entreprises titulaires d'un bail sur ces terres auraient été notifiées. Le conglomérat rwandais Crystal Ventures au cœur du dossierCe que rapporte le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla, c'est qu'une clause dans les contrats initiaux prévoyait que si aucun projet n'avait été réalisé 8 décembre 2024 sur les zones, l'accord devenait caduc. « Figurez-vous que le 8 décembre, n'ayant pas eu de retour positif eu en tout cas, pas de retour cohérent des entreprises concernées, le ministre d'État Mabiala, ministre des Affaires foncières, qui avait délivré au nom du gouvernement les autorisations, a informé les partenaires que c'était annulé », explique Thierry Moungalla.Pourtant, les zones d'ombre restent immenses dans ce dossier. On trouve trace dans le Journal officiel congolais du 18 mai 2022 de la mise à disposition de 12 000 hectares à la société Eleveco Congo pour une durée de 20 ans dans le département de la Bouenza. Il s'agit d'une filiale du conglomérat Crystal Ventures, propriété du FPR, le parti au pouvoir au Rwanda.Des accords critiqués au Congo-BCe qui inquiétait Kinshasa, c'étaient surtout les accords concernant la zone économique spéciale (ZES) de Maloukou. Des terres à 70 km de Brazzaville, au bord du fleuve Congo, juste en face de la RDC, dont la gestion avait été confiée à la holding rwandaise.Le Congo-Brazzaville s'est toujours justifié sur ce rapprochement avec Kigali. « Dans un premier temps, les autorités congolaises ont fait prévaloir le principe de coopération Sud-Sud à travers ces accords. Ce que nous constatons, c'est qu'il y a comme une espèce de reculade du côté de Brazzaville. Par conséquent, est-ce qu'elles n'ont pas cédé à la pression populaire ? », se demande le journaliste économique indépendant Alphonse Ndongo. « Ces accords ont été critiqués par l'essentiel du peuple congolais, qu'il s'agisse des hommes politiques de l'opposition et même parfois de manière confidentielle, par ceux qui sont au pouvoir ». Ce dossier est-il vraiment clos ? Le ministre rwandais des Affaires étrangères assurait ce mardi n'avoir reçu aucune information n'allant dans le sens d'une résiliation des contrats.À lire aussiLe Congo-Brazzaville stoppe la mise à disposition de terres à des entreprises et entrepreneurs rwandais
durée : 00:02:31 - C'est mon boulot - La précarité du travail a été multipliée par deux en 40 ans. En 1980, les contrats en CDD et d'intérim représentaient 4,5% de l'emploi total. L'an dernier, c'était près de 10%. Pour vérifier que ces contrats sont utilisés à bon escient, l'inspection du travail lance une grande campagne de contrôle spécifique.
Voici l’essentiel de l’épisode du jeudi 29 mai 2025 pour l’émission La commission: Entre 2012 et 2024, la valeur des contrats accordés aux firmes de génie-conseil a explosé. Leur valeur a été multipliée par huit, apprend-on dans une étude de l’Institut de recherche et d’information socioéconomique (IRIS). Simultanément, le taux horaire facturé par ces firmes a bondi de 82 %. On reçoit l’auteur de cette étude. Alors que Paul St-Pierre Plamondon et Éric Duhaime proposent de réduire le prix de l’essence, le Comité consultatif sur les changements climatiques sonne l’alarme : cette stratégie va à l’encontre de la science et risque d’encourager la pollution tout en affaiblissant le financement de la transition écologique. Baisser le prix de l’essence est-elle une fausse bonne idée? La commission transpartisane sur les écrans a déposé son rapport final jeudi matin à l’Assemblée nationale. Ils ont fait un grand tour de piste sur les impacts des écrans chez nos jeunes. Cinquante-six recommandations sont formulées. Avec le nombre de grèves qu’on connaît au Québec en ce moment, on se demande si chaque grève permet aux travailleurs d’améliorer leurs conditions de travail et leur salaire. Les grèves sont-elles bénéfiques pour les travailleurs? Les travailleurs ont-ils trop facilement recours à la grève? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Une nouvelle étude de l’IRIS révèle que les contrats de génie-conseil octroyés par la Ville de Montréal ont explosé depuis 2012, alors même que la qualité des services diminue. Colin Pratte, auteur de l’étude, soutient que la Ville a ignoré les recommandations de la commission Charbonneau, laissant place à une sous-traitance coûteuse et mal encadrée. Entrevue avec Colin Pratte, chercheur à l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Savez-vous que 70 % des entrepreneurs estiment être mal protégés par le régime général ?Dans cet épisode, Olivier accueille Ludovic Guillet, agent général d'assurance, pour décrypter les enjeux essentiels de la prévoyance. Trop souvent mise de côté, cette thématique est pourtant déterminante pour assurer la pérennité de votre activité et protéger votre avenir.Ludovic partage son expertise sur les différentes solutions de prévoyance adaptées aux dirigeants : incapacité de travail, invalidité, décès… Vous découvrirez comment construire une couverture sur mesure en fonction de votre situation et pourquoi il est crucial de revoir régulièrement vos contrats pour qu'ils restent en adéquation avec l'évolution de votre vie personnelle et professionnelle.Ne laissez pas votre sécurité financière au hasard. Cet épisode vous aidera à mieux comprendre les mécanismes de la prévoyance, à éviter les pièges courants et à faire les bons choix pour vous et votre entreprise.Merci de votre écoute
Trump et les grands patrons de la tech en tournée dans les pays du Golfe. Paris prépare Choose France 2025. La Chine innove pour s'affranchir des Etats-Unis. La tech plus géopolitique que jamais. Découvrez Frogans, l'innovation française qui souhaite réinventer le Web tout en restant accessible et sécurisée [Partenariat]-----------L'ACTU DE LA SEMAINE :- Donald Trump et le swing du business tech aux Émirats, avec un objectif de 1 000 milliards de contrats dans le secteur de la défense et de la tech.- Emmanuel Macron organise l'édition 2025 de "Choose France" pour attirer des investissements internationaux.- La Chine dévoile une puce fonctionnelle sans silicium, une vraie rupture technologique et des promesses de rapidité et d'efficacité d'un nouveau genre.- Samsung lance son nouveau smartphone ultra-fin, le Galaxy S25 Edge.LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE :- Bruno Guglielminetti en Italie parle de l'IA dans le sport automobile, en mettant l'accent sur les données générées par les véhicules de Formule 1.- On évoque le lancement prochain d'un système d'exploitation pour ordinateur d'un nouveau genre signé Huawei.LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE :- Florian Gauthier, cofondateur de Vera, présente le service Ask Vera de lutte contre les fake news.- Julien Villeret, d'EDF, nous présente une technologie révolutionnaire d'impression 3D de pièces métalliques, utilisés notamment l'énergie et l'aéronautique [PARTENARIAT].- Tommy Tran, jeune ingénieur français chez Meta, nous parle de son expérience en tant qu'expatrié et des projets innovants sur lesquels il travaille, notamment la réalité augmentée et l'intelligence artificielle.-----------
Le président américain visait jusqu'à 4 000 milliards de dollars de contrats lors de sa tournée dans le Golfe, qui s'est achevée ce vendredi aux Emirats Arabes Unis. Protocoles d'accord, déclarations d'intentions, contrats vraiment signés : cette moisson de contrats est-elle vraiment historique ? Réponse avec Philippe Escande, éditorialiste économique au Monde. Ecorama du 16 mai 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Retour sur le premier voyage officiel du président des États-Unis d’Amérique. Istanbul: la montagne qui accouche d'une souris ? La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Contrats du CH. Sports et société avec Jean-Charles Lajoie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le Journal en français facile du mardi 13 mai 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BfNE.A
Tu as l'étrange sensation que l'État te pique plus que ce qu'il t'aide ? Ce podcast va te retourner le cerveau. Maxime Balcon — Stratégiste en structuration et gouvernance d'entreprises spécialisé en propriété intellectuelle— te révèle comment reprendre légalement le contrôle de ton argent en structurant tes revenus autour de tes actifs invisibles : ton image, tes idées, tes contenus. Mais attention, on ne parle pas de magouilles fiscales. On parle de stratégie, de liberté, et de maîtrise. Ce que Maxime dévoile ici ? C'est une arme que 99% des créateurs ignorent. Voici pourquoi tu dois écouter cet épisode jusqu'à la dernière minute :
durée : 00:05:21 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Parfois qualifié de "scandale géologique" pour l'abondance de ses ressources minérales, la République Démocratique du Congo cherche à renégocier les contrats qui ont surtout profité aux Chinois et à diversifier la nationalité de ses investisseurs en se tournant davantage vers les États-Unis.
Notre invitée est co-autrice du dossier « Gaz et électricité, les meilleurs contrats » paru dans le magazine 60 Millions de consommateurs Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Des compagnies aériennes et des entreprises de sûreté aéroportuaire sont soupçonnées d'avoir recruté en contrat d'alternance des salariés déjà diplômés, qui auraient donc dû être embauchés en CDD ou CDI. Un procès pour escroquerie doit se tenir à la mi-avril à Bordeaux et d'autres enquêtes sont en cours. Un article de Cécile Hautefeuille publié dimanche 13 avril 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous vous êtes déjà demandé comment est rémunéré votre contrat d'épargne investi en fonds en euros ?Dans cet épisode, Santiago nous explique tout sur la revalorisation des contrats d'épargne, et plus particulièrement sur le fonctionnement des fonds en euros. Ces derniers demeurent un placement attractif pour les épargnants, notamment grâce à la garantie du capital. Toutefois, leur rendement n'est pas connu à l'avance : le taux de rémunération est fixé en début d'année, sur la base des encours de l'année précédente. L'épargnant découvre donc le rendement de son placement a posteriori.Au delà de la garantie en capital, les assureurs sont tenus de respecter une exigence réglementaire qui les oblige à allouer un pourcentage minimum de leurs résultats financiers aux assurés. Cette allocation peut se faire immédiatement ou être différée dans le temps : la provision pour participation aux excédents permet aux assureurs de moduler la distribution des rémunérations. Un épisode qui nous éclaire sur les rouages des fonds en euros si prisés par les épargnants.Abonnez-vous à notre podcast pour rester informé des dernières évolutions et tendances dans le secteur de l'assurance.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:47 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - En contrepartie des baisses d'indemnités liées à la réforme de l'assurance chômage de 2019, les entreprises devaient aussi être mises à contribution, notamment pour freiner le recours aux contrats courts grâce à un système de bonus malus pour les employeurs. - invités : Claire Vivès Sociologue, chercheure au Centre d'études de l'emploi et du travail au Lise, le laboratoire de sociologie du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers)
Dans ce nouvel épisode, on revient sur le projet de décret relatif à l'Activité partielle de longue durée rebond (APLD rebond), un dispositif visant à assurer le maintien dans l'emploi des salariés des entreprises en difficulté. On revient aussi sur les premiers résultats d'évaluation du dispositif de modulation de la cotisation patronale à l'assurance chômage en fonction du recours aux contrats courts publiés par l'Unédic le 10 mars. Notre focus texte porte sur une décision de la Cour de cassation qui juge que l'employeur doit consulter le CSE même en l'absence de possibilités de reclassement d'un salarié déclaré inapte. Enfin, notre chiffre de la semaine est issu d'une étude de l'Apec sur la perception du télétravail par les cadres, les managers et les employeurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous êtes chef d'entreprise et vous vous demandez comment éviter les impayés ? ❌
En fin de contrat, les documents remis par l'employeur sont essentiels pour le salarié, mais comment réagir en cas de retard ou d'oubli ? Quels sont les droits du salarié pour les réclamer, et quelles obligations pèsent sur l'employeur ? Réponses dans ce podcast avec Me Anne-Claire Moser. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".
À Hollywood, les mariages ne sont pas seulement des unions romantiques, mais aussi de véritables affaires contractuelles. Les fortunes en jeu et les vies sous les projecteurs poussent les célébrités à inclure des clauses parfois surprenantes dans leurs contrats de mariage. Voici un tour d'horizon des clauses les plus inattendues repérées chez les stars. L'infidélité coûte cher Certaines célébrités imposent des sanctions financières en cas d'adultère. On raconte ainsi que Jessica Biel aurait exigé que Justin Timberlake lui verse 500 000 dollars s'il venait à la tromper. De son côté, Catherine Zeta-Jones aurait négocié 5 millions de dollars en cas d'infidélité de Michael Douglas. Des mesures dissuasives qui visent à préserver leur dignité et à éviter les... • La suite sur https://www.radiomelodie.com/podcasts/12898-contrats-de-mariage-des-celebrites-entre-amour-et-business.html
durée : 00:24:17 - A votre service avec Nelly Sorbier et ses experts - Les assurances, un sujet complexe que beaucoup évitent… jusqu'au jour où un sinistre survient. Thierry Bontemps, expert en assurance, nous éclaire sur les hausses de tarifs, les garanties essentielles et l'importance de bien lire et revoir de temps en temps ses contrats.
Luxe, impact, matières premières, environnement, crypto ... Chaque jour, une nouvelle thématique d'investissement !
Ce jeudi 6 février, Frédéric Simottel a reçu Michel Lévy Provençal, prospectiviste, fondateur de TEDxParis et de l'agence Brightness, Thomas Serval, PDG de Baracoda, et Philippe Dewost, fondateur de Phileos et ancien directeur général de l'EPITA. Ils se sont penchés sur l'avenir de la pépite française Mistral AI, les business modèles pour l'intelligence artificielle, et la manière de gagner de l'argent dans ce secteur, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce n'était plus le cas depuis 2020 ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Point majeur des promesses de campagne des nouvelles autorités au Sénégal : la renégociation des contrats stratégiques (pétrolier, gaziers, miniers). Pour ce faire, une commission a été mise en place au mois d'août qui est en charge d'examiner ces contrats afin de proposer les « correctifs nécessaires à la sauvegarde de l'intérêt national ». Mais de quelles marges de manœuvre disposent les autorités ? Les renégociations pourraient porter sur des points très concrets. « Nous savons clairement que le gouvernement aurait besoin de ressources financières pour pouvoir investir sur son développement ou bien certaines priorités, souligne Aïda Diop chargée de programme principale au Natural Resource Governance Institute. De ce fait, la renégociation pourrait porter, par exemple, sur tout ce qui a trait avec la fiscalité. Il pourrait essayer de revoir certaines dispositions fiscales pour pouvoir maximiser peut-être la rente côté de l'État, cela pourrait aussi être tout ce qui a trait avec les clauses liées à l'aspect contenu local. »Des négociations qui devraient d'abord débuter à l'amiable à la demande de l'État. En cas de litige ou d'irrégularités constatées, le Sénégal peut alors engager des procédures. « L'État, s'il constate par exemple qu'il y a eu des irrégularités graves sur la conclusion d'un contrat, peut initier une procédure d'arbitrage pour rechercher l'annulation de ces contrats-là », explique Mamadou Gacko avocat au barreau de Paris, spécialiste des questions d'arbitrage international. Des procédures qui peuvent être initiées « devant la Chambre de commerce international qui est à Paris, ça peut être devant le centre international des résolutions des différents liés aux investissements qui est à Washington », précise encore l'avocat qui exerce au sein du Cabinet DLA Piper.Quels moyens pour la commission ?Mais pour cela, l'État va devoir se doter de dossiers très bien ficelés. Le Sénégal dispose de ses experts et de son personnel administratif et ministériel. Il peut également faire appel à des forces extérieures. « Il y a notamment au sein de la Banque africaine de développement, une instance qui s'appelle la facilité africaine de soutien juridique qui a été mise en place par la banque et dont l'objet est précisément, entre autres, d'assister les États lorsqu'ils sont en phase de négociation ou de renégociation de contrat avec des investisseurs étrangers », souligne Mamadou Gacko.« Évidemment, l'État doit consacrer les ressources nécessaires à ce processus pour en tirer le meilleur bénéfice. Cela implique de recruter, si nécessaire, des cabinets d'experts, des cabinets d'avocats qui vont venir fournir un appui sur des éléments précis de la négociation et apporter à l'État des ressources supplémentaires dont il ne dispose pas nécessairement en interne », ajoute-t-il encore. Sollicitées, les autorités sénégalaises n'ont pas précisé les budgets et moyens prévus pour le fonctionnement de la commission.À lire aussiSénégal: comment préparer la renégociation des contrats stratégiques ? [1/2]
Promesse de campagne des nouvelles autorités au Sénégal : la renégociation des contrats stratégiques (pétrolier, gaziers, miniers…). Pour ce faire, une commission a été mise en place au mois d'août qui est en charge d'examiner les contrats afin de proposer les « correctifs nécessaires à la sauvegarde de l'intérêt national ». Car avant de renégocier, des prérequis sont nécessaires. Si la renégociation des contrats est monnaie courante, ce processus doit d'abord s'appuyer sur une commission dont les contours de la mission sont bien définis et qui pourra brosser la réalité de la situation. « D'aucun pense que les contrats du Sénégal ne sont pas bien négociés. Mais est-ce que c'est le cas ? », questionne Aïda Diop chargée de programme principale au Natural Resource Governance Institute. L'évaluation devrait ainsi permettre de déterminer si oui ou non, certains éléments des contrats n'ont pas été bien négociés sur la fiscalité ou l'embauche de main d'œuvre sénégalaise. « Cette évaluation préalable devrait être le fondement même du bien-fondé de la nécessité de renégociation », souligne-t-elle.Autre élément à prendre en compte, le bénéfice temps-coût de l'engagement d'une négociation, voire d'une procédure, souligne encore Aïda Diop. « On sait qu'en général, si on annonce le souhait de vouloir négocier, ça peut jouer. Les investisseurs vont peut-être attendre d'avoir une plus grande clarté de la perspective. Et donc tout cela va impacter, détaille la spécialiste. Et on sait que par exemple, d'après toujours les évaluations, que chaque année de retard [sur un projet] a un impact significatif sur, par exemple, les prévisions budgétaires ou bien même par exemple la dette, etc. »Se préparer aux procédures d'arbitrageMamadou Gacko travaille au sein du cabinet DLA Piper. Il est avocat au barreau de Paris, spécialiste des questions d'arbitrage international. Toute action doit être minutieusement préparée en cas de procédures d'entreprises qui se sentiraient lésées. « L'État doit faire très attention avant d'initier ce levier-là. Parce que dès lors que le contentieux démarre naturellement, l'investisseur aura aussi des demandes à présenter et ça peut se retourner contre l'État si la procédure n'est pas très bien préparée en amont », met-il en avant.« Ces risques sont notamment de subir des procédures d'arbitrage si l'investisseur estime avoir subi une discrimination, par exemple. Ou avoir été injustement traité par l'État et que ces droits, du coup garantis par des conventions internationales, n'ont pas été respectées. Et c'est dans ces procédures-là, ces investisseurs peuvent rechercher une compensation de leur préjudice et cela peut coûter des millions, voire des milliards à l'État si cette procédure aboutit favorablement à l'investisseur », poursuit l'avocat.Par ailleurs, ces deux experts alertent sur la nécessaire communication autour du processus : à la fois pour rassurer les investisseurs, mais aussi gérer les attentes des Sénégalais.À lire aussiLe Sénégal, face au défi de l'industrialisation, ouvre une première usine d'outils agricoles
Dans cet extrait, Rémy Métailler raconte ce que ça implique d'être pilote professionel de VTT et comment il est parvenu à devenir l'un des pilotes des mieux payés.——
Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 29 octobre 2024.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Dans cette édition : Le président français Emmanuel Macron est accueilli en grande pompe au Maroc, avec la signature de nombreux contrats économiques entre les deux pays.La délégation française comprend des personnalités controversées, suscitant des interrogations.À Rennes, la maire appelle à faire de la lutte contre le trafic de drogue une priorité nationale face à une violence décomplexée.Aux États-Unis, à une semaine de l'élection présidentielle, des urnes ont été incendiées dans deux États, ajoutant de la tension dans une course serrée.Une électrice indécise de l'Arizona, Denise Lewis, peine à se projeter dans l'avenir avec les programmes des candidats. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Emmanuel Macron est accueilli comme un roi au Maroc à Rabat jusqu'à mercredi. Une visite d'État diplomatique, mais aussi commerciale, avec d'importants contrats et investissements à la clé, estimés à 10 milliards d'euros.
Au sommaire de la dernière édition du journal :Le président français Emmanuel Macron est accueilli en grande pompe au Maroc, avec la signature de nombreux contrats économiques entre les deux pays.La délégation française comprend des personnalités controversées, suscitant des interrogations.À Rennes, la maire appelle à faire de la lutte contre le trafic de drogue une priorité nationale face à une violence décomplexée.Aux États-Unis, à une semaine de l'élection présidentielle, des urnes ont été incendiées dans deux États, ajoutant de la tension dans une course serrée.Une électrice indécise de l'Arizona, Denise Lewis, peine à se projeter dans l'avenir avec les programmes des candidats.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Emmanuel Macron est accueilli comme un roi au Maroc à Rabat jusqu'à mercredi. Une visite d'État diplomatique, mais aussi commerciale, avec d'importants contrats et investissements à la clé, estimés à 10 milliards d'euros.
Aviation, ferroviaire, énergie. Au delà de la diplomatie, la visite d'Etat d'Emmanuel Macron au Maroc revêt un enjeu économique majeur. La preuve en est, une cinquantaine de chefs d'entreprises partent avec lui dans l'avion, une cinquantaine d'autres sont déjà sur place. Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 28 octobre 2024.
Emmanuel Macron entame aujourd'hui une visite d'État au Maroc. Trois jours pour effacer trois années de brouille et même un peu plus car la dernière visite d'État d'un président français au Maroc remonte tout de même à 2013, avec François Hollande. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 28 octobre 2024.
Aviation, ferroviaire, énergie. Au delà de la diplomatie, la visite d'Etat d'Emmanuel Macron au Maroc revêt un enjeu économique majeur. La preuve en est, une cinquantaine de chefs d'entreprises partent avec lui dans l'avion, une cinquantaine d'autres sont déjà sur place. Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 28 octobre 2024.
Emmanuel Macron entame aujourd'hui une visite d'État au Maroc. Trois jours pour effacer trois années de brouille et même un peu plus car la dernière visite d'État d'un président français au Maroc remonte tout de même à 2013, avec François Hollande. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 28 octobre 2024.
Cette semaine Didier est accompagné par Marc-André Chaloux. Ensemble ils discutent des Alouettes qui n'ont pas de victoire à leurs deux derniers match ainsi que de l'attaque montréalaise qui a moins de mordant qu'en début de saison. Didier et Marc-André enchaîne ensuite avec une analyse de tous les matchs qui seront présentés dans la NFL lors de semaine, en plus des recommandations Fantasy Football pour cette semaine. Didier termine l'épisode en répondant à vos questions dans le cadre de « La Minute des Fans ». (00:00:00) Intro (00:01:08) Retour sur le match nul des Alouettes (00:16:20) Patriots c. Jets (00:23:19) Chargers c. Steelers (00:28:03) Texans c. Vikings (00:31:58) Eagles c. Saints (00:42:25) Ravens c. Cowboys (00:48:50) Lions c. Cardinals (00:53:29) Jaguars c. Bills (00:58:01) Broncos c. Buccaneers (00:59:10) Packers c. Titans (01:01:41) Giants c. Browns (01:02:38) Bears c. Colts (01:05:05) Panthers c. Raiders (01:07:25) Dolphins c. Seahawks (01:08:19) 49ers c. Rams (01:08:53) Chiefs c. Falcons (01:10:13) Commanders c. Bengals (01:11:00) Tableau des prédictions (01:12:20) Fantasy Football - Dans la formation & sur le banc (01:21:39) La minute des fans - Contrats garantis & Ja'Marr Chase
Cours Halakha Time du Lundi 16 Septembre 2024 (durée : 5 minutes) donné par Rav Yossef CHARBIT.
Problèmes de Ribbit dans les contrats d'achat, vente ou location
Cours Halakha Time du Mercredi 4 Septembre 2024 (durée : 5 minutes) donné par Rav Yossef CHARBIT.
Problèmes de Ribbit dans les contrats de travail
« Le gouvernement ouvre la chasse aux contrats léonins », titre Seneplus, qui parle d'une « démarche audacieuse ». Le Premier ministre Ousmane Sonko vient de créer une commission chargée d'examiner les contrats signés par l'État avec des compagnies étrangères. Seneplus parle d'une « commission d'élite composée des meilleurs experts du pays ». Leur mission, écrit le site d'information : « traquer les déséquilibres, débusquer les failles juridiques et redonner au Sénégal la place qui lui revient dans les partenariats économiques », notamment dans le secteur pétrolier et gazier, précise Jeune Afrique. Qui ajoute que la commission est « attendue principalement dans les dossiers Woodside – qui exploite le bloc pétrolier de Sangomar, à 100 kilomètres au sud de Dakar – et British Petroleum – qui opère le champ gazier de GTA, partagé avec la Mauritanie au nord du pays ». « Il y a beaucoup à revoir et beaucoup à récupérer pour le compte du Sénégal », assure Ousmane Sonko.La Tribune du Sahel rappelle qu'il s'agissait d'une promesse de campagne du duo Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko, qui ont remporté la présidentielle en mars dernier. Mais « alors que certains saluent cette initiative pour plus de justice économique, d'autres craignent des conséquences désastreuses pour l'économie du pays », écrit le quotidien malien, qui note d'ailleurs que côté gouvernement, « la prudence est de mise ». Car, estime La Tribune, « on ne joue pas impunément avec des accords internationaux qui, même s'ils sont imparfaits, ont le mérite d'exister et de stabiliser des relations économiques souvent fragiles ». Bref, écrit le quotidien, « le défi est de taille : il s'agit non seulement de faire mieux, mais aussi de ne pas tout casser en chemin ».À lire aussiLe Sénégal met en place une commission pour réexaminer les contrats stratégiques signés par l'ÉtatEmbouteillages pour le Grand MagalSénégal toujours, vendredi 23 aout se tiendront les célébrations religieuses du Grand Magal à Touba. Et Walf Quotidien se penche sur « le défi de la mobilité » : l'arrivée en nombre des pèlerins commence à occasionner des embouteillages sur les axes menant à la cité religieuse. Voitures particulières, bus, charrettes… Habitants et visiteurs plaident pour la construction de ponts et d'autres infrastructures qui pourraient aider à désengorger les routes pendant le Magal.Autre problème, la hausse des prix : les tarifs, selon les voyageurs, ont déjà doublé, voire triplé, et ils pourraient quintupler dans les prochaines heures. Pour le moment, on en est à 1 000 francs CFA à l'aller comme au retour, écrit Walf Quotidien. Et puis il y a la sécurité : Dakar Matin rappelle que le Khalife général des mourides a appelé les conducteurs et usagers de la route à faire preuve de prudence, « l'affluence des fidèles étant souvent accompagnée de tragédies sur les routes, avec de nombreux accidents entraînant des pertes en vies humaines ».À lire aussiSénégal: le président Faye à Touba en pleins préparatifs pour le MagalL'asile politique en France pour un ex-ministre nigérien ?Selon Jeune Afrique, Rhissa Ag Boula a obtenu l'asile politique en France. Ce vétéran des rébellions touarègues, ex-ministre d'État, est en exil depuis le coup d'État du 26 juillet 2023. L'hebdomadaire affirme qu'il avait déposé une demande d'asile devant l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), expliquant qu'il lui était impossible de rentrer au Niger sous peine d'être arrêté par les nouvelles autorités, la junte dirigée par le général Abdourahamane Tiani. Selon Jeune Afrique, l'Ofpra lui aurait reconnu le statut de réfugié le 31 juillet dernier.Contacté par RFI, Rhissa Ag Boula nie ces affirmations de Jeune Afrique.Au Mali, la rentrée des classes s'annonce difficileAu Mali, le Premier ministre Choguel Maïga veut suspendre les subventions allouées aux écoles catholiques. Une décision, écrit Bamada.net, qu'il justifie par « des principes de laïcité et d'égalité, inscrits dans la nouvelle constitution ». Dans les faits, écrit Maliweb, « au Mali, les écoles catholiques sont reconnues d'utilité publique depuis 1960. Ce faisant, l'État accordait une subvention à hauteur de 80 % des salaires des enseignants, sur la base d'une convention avec l'Église catholique » datant de 1972. Cette subvention serait suspendue à partir de janvier prochain. Et l'État, précise Maliweb, n'a jusque-là pas proposé une solution alternative pour la prise en charge des milliers d'élèves et des 1 613 enseignants de ces écoles « réputées pour leur excellence dans le travail », rappelle Maliweb.Conséquence, écrit Mali Actu : les évêques du pays menacent de fermer ces écoles dès septembre si aucune solution n'est trouvée. Une situation délicate pour le gouvernement à quelques semaines seulement de la rentrée scolaire, écrit Bamada.net. Les parents vivent eux dans « l'angoisse et la crainte », Maliweb est allé les interroger, certains proposent même aux établissements catholiques de trouver un arrangement si le gouvernement ne revient pas sur sa décision : « nous serons prêts à accepter une augmentation des frais de scolarité ». « Face à cette crise », écrit Mali Actu, « le gouvernement malien se trouve confronté à un dilemme : comment concilier ses engagements en matière de laïcité avec la nécessité de garantir l'accès à l'éducation pour tous ? »À lire aussi«Au Mali, Niger et Burkina, à cause de l'insécurité, les écoles ferment plus qu'elles ne rouvrent»
Le Sénégal veut renégocier ses contrats pétroliers et gaziers. Le Premier ministre Ousmane Sonko a nommé une commission pour travailler sur le dossier. Sa mission : trouver les failles dans les contrats avant d'engager les discussions avec les multinationales qui exploitent ces hydrocarbures sénégalais. Correspondance de Dakar par Elimane Ndao.
L'équipementier américain veut faire des JO la vitrine de ses innovations tandis que la Fédération française de football a signé avec lui un contrat historique. Une année de relance pour Nike sur laquelle reviennent Pierrick Fay et son invité Pierre Demoux dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos ».Retrouver l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juin 2024. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Pierre Demoux (journaliste aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : France tv sport, MotivaShian, Nike, Radio Monaco, « Forrest Gump » (1994). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.