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Après une saga législative mouvementée, la loi de finances pour 2025 a été promulguée le 14 février dernier. Jeanne Eve Lépinay, ancienne avocate et journaliste en droit fiscal chez Lefebvre Dalloz, vous propose une sélection des principales mesures visant les entreprises.Vous trouverez l'intégralité de la loi de finances analysée et commentée par notre rédaction fiscale dans le Feuillet Rapide spécial loi de finances pour 2025. Un supplément Loi de finances pour 2025 comprenant l'intégralité de ces commentaires est également offert aux acheteurs du Mémento fiscal 2025. Préparé par : Jeanne Eve LEPINAY, journaliste en droit fiscal, Lefebvre DallozAnimé par : Jeanne Eve LEPINAY, journaliste en droit fiscal, Lefebvre Dalloz et Angeline DOUDOUX, journaliste, Lefebvre DallozRéalisé par : Angeline DOUDOUX, journaliste, Lefebvre DallozHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 21 janvier, les effets de la politique agressive de Donald Trump pour redresser l'économie américaine, ainsi que l'astuce trouvée par Bercy et François Bayrou pour contourner la baisse de la CVAE, ont été abordés par Jérôme Dedeyan, président de Mon Partenaire Patrimoine, Philippe Manière, président de Vae Solis Communications, et Philippe Dessertine, professeur à l'IAE Paris-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air du 28 octobre - Des impôts, des taxes …mais pas de budget !L'examen du budget est suspendu à l'Assemblée nationale, après six jours de discussions intenses dans l'hémicycle et une série de revers cinglants pour l'exécutif. Les députés ont en effet adopté, contre son avis, la création d'un nouvel impôt sur le patrimoine des milliardaires. Baptisée "taxe Zucman", du nom de l'économiste français Gabriel Zucman qui l'a conçue comme un impôt mondial sur les milliardaires, celle-ci consiste à taxer à hauteur de 2 % la fraction du patrimoine supérieure à un milliard d'euros. Elle concernerait, si elle était appliquée, tout milliardaire résidant fiscalement en France ou ayant du patrimoine en France. Les parlementaires ont également décidé de rendre pérenne la contribution exceptionnelle demandée aux entreprises de fret maritime, et plafonné à 500 millions d'euros la niche fiscale dont bénéficie ce secteur ; approuvé un rétablissement progressif de la CVAE (Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) ; et supprimé un article prévoyant d'alourdir le « malus » pour les voitures essence et diesel. Ils ont par ailleurs voté une taxe exceptionnelle de 10 % sur les dividendes distribués par les entreprises du CAC40 et ont étendu à l'ensemble du territoire les prêts à taux zéro pour l'immobilier, dans le neuf (comme le proposait le gouvernement), mais aussi dans l'ancien.Le tout au gré d'alliances parfois changeantes ou du fait de l'absence de nombreux députés de la coalition gouvernementale dans l'hémicycle : si le Nouveau Front populaire a obtenu seul le rétablissement progressif de la CVAE, c'est une alliance hétéroclite d'élus RN, LR, socialistes et communistes qui a eu raison du malus automobile. Le MoDem de son côté après avoir voté de nombreux amendements en commission des finances avec la gauche rejoue la même partition dans l'hémicycle en additionnant ses voix au NFP pour par exemple pérenniser la surtaxe sur les hauts revenus au nom de la « justice sociale ». Une situation qui fait grincer des dents au sein de l'aile droite de la coalition gouvernementale. De son côté le président du Modem François Bayrou a dénoncé l'absence des députés du socle commun, notamment des élus du parti Renaissance dont les rangs étaient très dégarnis notamment vendredi 25 octobre jour du vote de la "taxe Zucman".La gauche et l'extrême droite accusent, eux, le camp du gouvernement de faire de l'"obstruction" et de ralentir les débats sur le projet de loi de Finances. Près de la moitié des amendements sur la partie "recettes" du budget ont été déposés par LR et la Macronie. Le NFP et le RN redoutent un manœuvre qui permettrait de transmettre le texte au Sénat, où Michel Barnier dispose d'une majorité, sans que les députés n'aient pu se prononcer. Ce qui lui permettrait ainsi d'éviter un rejet de son texte à l'Assemblée, et même d'utiliser le 49.3.Pour l'heure, le ministre du Budget a annoncé hier que les débats sur le projet de budget 2025 allaient reprendre dans l'hémicycle le 5 novembre prochain, toujours sur la première partie, celle des recettes. D'ici là c'est le budget de la Sécurité sociale que doivent examiner à partir de cet après-midi les parlementaires. Rejeté à l'unanimité en commission, le texte promet des débats électriques notamment sur le report de six mois de l'indexation des pensions de retraite sur l'inflation, des taxes sur le sucre ou encore sur le remboursement des consultations.Autant de points qui seront scrutés par les Français qui d'après les derniers sondages placent la santé comme premier sujet de préoccupation juste devant le pouvoir d'achat. Et ce alors que ce dernier a reculé dans notre pays en 2022 et 2023 pour les ménages d'après l'INSEE. Selon deux notes publiées la semaine dernière par l'institut, sur ces années l'augmentation des salaires a été inférieure à l'inflation. Ce qui fait que "le salaire net moyen a diminué de 0,8 % en euros constants en 2023 après -1% en 2022 (…) En 2023, le pouvoir d'achat des salaires a résisté en bas de l'échelle salariale, en raison notamment des revalorisations du SMIC, puis a diminué à mesure que l'on progresse dans la distribution. En conséquence, les inégalités salariales ont continué de diminuer". Plus précisément "le salaire net moyen des cadres a baissé de -2,8 % en 2023, celui des ouvriers et des employés de -0,3 % et -0,5 %" explique l'INSEE.Alors quels enseignements peut-on tirer de ce premier round au Palais Bourbon sur le budget 2025 ? Comment Michel Barnier compte-t-il faire adopter le projet de loi de Finances ? Le pouvoir d'achat des Français va-t-il baisser en 2025 ? Enfin que sait-on sur les coups de feu qui ont touché un enfant de 5 ans à Rennes samedi soir ? Les experts :- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- FANNY GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique -France info TV- JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babeau se penche sur la décision controversée de l'Assemblée nationale de rétablir la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE), un impôt de production considéré comme particulièrement néfaste pour la compétitivité des entreprises françaises.Il explique en détail les raisons pour lesquelles la CVAE est un « impôt bête », pénalisant les activités à forte intensité capitalistique et aux marges faibles. Cet impôt renchérit les exportations françaises tout en épargnant les importations, offrant ainsi un avantage concurrentiel à nos voisins.Malgré les nombreux rapports soulignant les effets désastreux de cette taxe sur la désindustrialisation du pays, les élus semblent s'entêter dans cette voie, animés par une vision à courte vue qui considère les entreprises comme une simple variable d'ajustement budgétaire.Olivier Babeau déconstruit cette logique perverse, montrant comment ce cercle vicieux conduit inexorablement à une aggravation du déficit commercial et à de nouvelles vagues de délocalisations, nécessitant encore davantage de prélèvements sur l'industrie restante.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
La bataille du budget a commencé. On en parlait déjà la semaine dernière, le projet de loi de finances pour 2025 est tombé. Michel Barnier avait prévenu “ça va être dur'”. Le Gouvernement a pour objectif de ramener le déficit à 5% du PIB en 2025, alors qu'il pourrait atteindre 6,1% en 2024. Il table sur des économies de l'ordre de 60 milliards. Et pas de surprise, pour deux tiers de “l'effort”, ce sera une réduction des dépenses publiques. Concrètement, cela veut dire moins de budget pour les services et missions de l'Etat. Le gouvernement lui parle de “maîtrise” ou de meilleure “efficacité”, “réorientation”. Le Premier Ministre disait être attaché aux services publics, à l'école, au sport… Résultat du PLF 2025 : la mission “sport, jeunesse et vie associative” perd 3 millions. La plupart des missions restent quasi stables : donc pas d'investissement. Et une annonce a pas mal choqué : alors que Michel Barnier disait miser sur l'éducation et l'école, le budget prévoit la suppression de 4000 postes d'enseignants. Il prévoit aussi 2000 embauches d'accompagnants d'élèves en situation de handicap. En tout, l'Etat prévoit -2200 postes, les missions budget et comptes publics ou encore travail et emploi sont concernés. L'Etat compte faire des économies sur la sécurité sociale et les dépenses de santé. Thomas Porcher alerte : ce budget austéritaire va coûter in fine très cher aux français les moins fortunés. L'économiste alerte aussi sur la récession à venir et la baisse de l'activité ce qui va créer une boucle et finalement, ne pas réduire le déficit. Sur les 60 milliards, 20 sont concentrés dans l'augmentation des recettes, par de la taxation. Tout d'abord : les grandes entreprises. 9,8 milliards de recettes concernent “des mesures de mise à contribution des profits des entreprises” : ça passe par une contribution exceptionnelle et temporaire, une taxe exceptionnelle pour les entreprises de fret maritime, suspension de la baisse de la CVAE, et la fiscalisation des rachats d'action. Sur les particuliers : 2,2 milliards concernent un impôt pour les hauts revenus avec un taux moyen minimum de 20%. Par contre, il y a aussi 3 milliards de recettes récupérées sur la hausse des accises sur l'énergie (mais le gouvernement assure une baisse de facture de 9%). Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Ce mardi 27 août, l'hypothèse du gouvernement levé aujourd'hui selon laquelle la NFP ne fera pas partie de l'éxécutif, les différents sphères patronales, ainsi que la question du pouvoir d'achat et des salaires dont il faut trouver des solutions structurelles à long terme, ont été abordés par Leonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation et Arguments & fondateur des Entrepreneurs pour la République, Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, et Guillaume Richard, président du groupe de services à la personne OuiCare, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le gouvernement continue son projet de sabrer dans les dépenses publiques et les acquis sociaux, et ne veut pas entendre parler de recettes. L'exécutif doit constituer les chiffres du déficit qui sont tombés pour 2023 : 5,5 % du PIB, bien au-dessus des 4,9 % prévus par le gouvernement. Ce mauvais calcul est notamment dû aux recettes qui ralentissent nettement en 2023 bien que les dépenses aient aussi ralenti. Depuis le premier quinquennat, les macronistes ont fait la promesse de ne pas toucher aux impôts, et de même les réduire : impôt sur le revenu, suppression de la taxe d'habitation sans oublier surtout la baisse des impôts sur les sociétés, entre autres allègements de cotisations employeurs ou réduction de la CVAE. Les entreprises paient d'ailleurs de moins en moins d'impôts et contribuent de moins en moins à l'effort collectif : il y a 10 ans, ménages et entreprises contribuaient à peu près de façon proportionnelle au budget de l'Etat. Ce n'est plus le cas en 2019 comme le montre Maxime Combes. Pour régler cette question du déficit qui occupe l'esprit de l'exécutif, pas question de toucher aux recettes, et surtout aux impôts selon Bruno Le Maire. Thomas Porcher dénonce les mensonges du Ministre et sa confusion volontaire entre impôts des particuliers et classes moyennes, et impôts des très riches et grandes entreprises. L'économiste dénonce les très bons résultats du CAC40 d'une part, et les demandes d'économies sur la population d'autre part. Il démonte aussi toutes les idées reçues autour de l'investissement économiques des plus riches et du ruissellement : les études montrent que tous ces “cadeaux” n'ont eu aucun effet pour l'activité et l'emploi, si ce n'est les bénéfices. Gabriel Attal était l'invité du 20h de TF1 jeudi dernier. Le Premier Ministre a esquissé le plan du gouvernement sur le travail : durcissement des droits à l'assurance chômage (durée, montant, règles d'accès) ; ou encore baisse des cotisations patronales pour réduire l'écart entre le salaire net et le salaire brut dans le but d'améliorer la fameuse compétitivité avec, pour compenser, l'augmentation de la TVA. Thomas Porcher dénonce l'hypocrisie du gouvernement et l'inefficacité des ces mesures, à part appauvrir la population et suivre un programme libéral et “très dur”. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
La Cotisation Foncière des Entreprises a suscité beaucoup... beaucoup... BEAUCOUP... de questions. Alors aujourd'hui, on y répond ! Nahima et Patrick entre dans le détail de cette cotisation qui peut parfois paraître complexe : son lien avec la CVAE, la THRS, ... Cet épisode t'a plu ? Abonne-toi aux Secrets de l'entrepreneur pour ne pas rater les prochains épisodes. Ça ne te suffit pas ? Tu voudrais devenir un chef d'entreprise étoilé ? Inscrit-toi aux Recettes de l'entrepreneur, la newsletter de Dougs, et reçoit 1 mail par mois pour optimiser la gestion de ton entreprise !
Ce mercredi 13 septembre, Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, Pierre-Henri de Menthon, directeur de la rédaction de Challenges, et Ronan Le Moal, fondateur d'Épopée Gestion, sont revenus sur la prolongation du plafonnement à 1,99 euro des carburants par TotalEnergies, sur l'annonce de Bruno Le Maire, qui dès 2024, compte supprimer définitivement la CVAE pour 300 000 petites entreprises, ainsi que sur la promesse de Clément Beaune comme quoi la taxation des autoroutes n'aura pas de répercussions sur les prix des péages, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 11 septembre, la promesse du gouvernement de ne pas augmenter les impôts, ainsi que la possible fin définitive de la CVAE en 2027 ont été abordées par Eric Heyer, directeur du département Analyse et Prévision à l'OFCE, Denis Payre, président de Nature & People First, et Augustin Landier, professeur à HEC, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 11 septembre, Nicolas Doze a reçu Eric Heyer, directeur du département Analyse et Prévision à l'OFCE, Denis Payre, président de Nature & People First, et Augustin Landier, professeur à HEC, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 29 août, le message d'Élisabeth Borne devant le Medef concernant les impôts de production et sur la polémique naissante sur l'éventualité d'une cagnotte de l'Unédic, a été abordé par Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, Philippe Askenazy, économiste au CNRS, et Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le MEDEF tient lundi 28 août et mardi 29 août 2023 ses universités d'été de rentrée à l'Hippodrome de Longchamp à Paris. Cette rencontre des entrepreneurs de France réunit plus de 10 000 personnes, 150 intervenants et propose une trentaine de débats. La mobilisation des chefs d'entreprise « ne se dément pas » puisque cela se déroulera dans un environnement « assez incertain ». « Il y a des préoccupations. Tout le monde se réjouit des bonnes performances en moyenne des secteurs d'activité sur le premier semestre, mais on voit que cela ralentit, que la consommation et l'investissement ralentissent. En toile de fond, il y a la pression des taux d'intérêts qui pèse sur le niveau d'activité ». Les principaux concurrents de la France sont en train d'accélérer sur l'investissement comme les États-Unis ou l'Allemagne. Le président du MEDEF souhaite avoir des explications avec le gouvernement et le parlement afin de rester cohérent sur cette politique de l'offre. Parmi les invités se trouve la Première ministre, Elisabeth Borne. Celle-ci prononcera un discours pour rassurer les chefs d'entreprises : « Tout ce qui a été fait depuis avant même la première élection du président Macron avec le crédit d'impôt pour l'emploi : cela a marché. Deux millions d'emplois ont été créés depuis 2017. La France a repris des couleurs encore ces derniers mois en termes de commerce extérieur, les entreprises françaises investissent » explique l'invité Patrick Martin, président du Medef. Gouvernement / Patronat, rentrée tendue Pour rassurer les entrepreneurs, le gouvernement compte étaler la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) jusqu'en 2027, 4 milliards d'euros devaient être supprimés en 2024. « Les impôts de production ne sont pas des impôts sur les bénéfices car au premier euro de chiffre d'affaires, vous êtes taxés » tient à clarifier Patrick Martin et d'ajouter : « Nous avons besoin de cet argent, avec le durcissement international, la France doit investir plus. » Les chefs d'entreprises investissent dans la durée, sur des matériels, recherche etc... « Tout ce qui vient « perturber la trajectoire de ces investissements créé du doute ». Malgré cela, la confiance n'est pas rompue avec le président de la République puisque Emmanuel Macron interviendra au début de l'Université d'été avec un message vidéo. Pour le président du Medef, « il y a tout de même une crainte de la part des chefs d'entreprise autour de ces mesures. Les chefs d'entreprise font des efforts en créant des emplois, augmentant des salaires etc. Les entreprises françaises sont les plus taxées au monde. » et de continuer « On est victime de la dette et des déficits ».
Ce lundi 10 juillet, la crise immobilière, notamment la flambée des loyers, a été abordé par Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Guillaume Poitrinal, co-fondateur de WO2, et Philippe Martin, doyen de l'école des affaires publiques de Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 10 juillet, la première baisse de 4 milliards d'euros de la CVAE, malgré la faible croissance, l'augmentation des taux et l'inflation ont été abordés par Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, Guillaume Poitrinal, co-fondateur de WO2, et Philippe Martin, doyen de l'école des affaires publiques de Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Vous avez une heure devant vous et vous souhaitez vous mettre à jour des dernières actualités fiscale et sociales ? Ce podcast est pour vous !
Bonjour tout le monde et bienvenue pour ce nouvel Instant Porcher ! L'Instant Porcher c'est un petit moment qu'on se prend, entre nous, avec Thomas Porcher, chaque semaine pour décrypter l'actualité. Car on le sait, le discours est politique et les comprendre est un véritable enjeu démocratique. Au programme aujourd'hui : La partie du budget 2023 a été adoptée sans vote mercredi dernier. Après 7 jours de discussion, où : les députés ont voté contre le projet du gouvernement et son article liminaire qui prévoyait de limiter le déficit public à 5% du PIB en 2023 ; les députés ont adopté une taxe sur les super dividendes avec des députés macronistes ; 3300 amendements ont été déposés ; Elisabeth Borne a annoncé recourir au 49.3, permettant de faire adopter le budget sans vote parlementaire. Retour à la case départ. Pas de taxe super dividendes, pas de vote sur les amendements, suppression de la CVAE (cet impôt que les entreprises doivent payer aux collectivités locales) et article liminaire sauvegardé. Puis le lendemain, le jeudi, débute l'examen du PLFSS, projet de loi de financement sur la sécurité sociale. Alors que les deux premières parties ont été rejetées, Elisabeth Borne actionne de nouveau le 49.3 pour faire adopter la troisième partie, car la première ministre affirme que "nous avons besoin de cette troisième partie du PLFSS. Sans elle, nous ne pourrions garantir les ressources de la Sécurité sociale". Décryptage de Thomas Porcher. La dépense publique. Cette expression qui nous fait peur ! Il faut la baisser, on est endetté, on doit faire des économies, des efforts, surtout avec la crise covid… C'est ce qu'on entend depuis des années non ? C'est ce qu'on entend aussi pour défendre le budget ou réduire les coûts dans les services publics, ou encore réformer le chômage ou les retraites, ne pas augmenter le smic, baisser les budgets des collectivités locales bref des exemples on en aurait des tas. On analyse tout cela, c'est l'Instant Porcher. ▶ Soutenez Le Média :
François Asselin, président de la CPME, était l'invité de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mercredi 5 octobre. Ils se sont penché sur sur la convocation des grands producteurs énergétiques par le gouvernement français, ainsi que sur les propositions de la CPME afin de stabiliser les prix de l'énergie, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 3 octobre, la décision de Bercy d'étaler sur deux ans la fin de la CVAE, estimée à huit milliards d'euros, a été abordée par Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris 8 Saint-Denis, Jérôme Dedeyan, associé de Tout Sur Mes Finances, et Robin Rivaton, directeur général de Stonal, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 3 octobre, la décision de Bercy d'étaler sur deux ans la fin de la CVAE, estimée à huit milliards d'euros, a été abordée par Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris 8 Saint-Denis, Jérôme Dedeyan, associé de Tout Sur Mes Finances, et Robin Rivaton, directeur général de Stonal, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 13 septembre, les impôts de production qui ne seront pas supprimés dans le budget, contrairement aux promesses du gouvernement a été abordé par Robin Rivaton, fondateur de Real Estech, et Sylvie Matherat, économiste et senior advisor du cabinet de conseil et d'audit Mazars, reçu par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 9 septembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyna ont présenté le Journal de l'économie dont voici les premiers sujets : La cumulation des crises au Royaume-Uni, la fermeté des banques centrales sur l'inflation, et la possible disparition de la CVAE étalée sur deux ans. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 9 septembre, les sanctions contre la Russie après l'exposé très précis de Laurence Daziano, ainsi que sur la suppression de la CVAE, ont été abordées par Laurence Daziano, maître de conférences à Sciences Po Paris, Denis Payre, président de Nature and People First, et Ludovic Subran, chef économiste d'Allianz, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 9 septembre, les sanctions contre la Russie après l'exposé très précis de Laurence Daziano, ainsi que sur la suppression de la CVAE, ont été abordées par Laurence Daziano, maître de conférences à Sciences Po Paris, Denis Payre, président de Nature and People First, et Ludovic Subran, chef économiste d'Allianz, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Pour ceux qui ont la chance d'être propriétaires, la taxe foncière risque de faire mal cette année ... Elle va pas mal augmenter ... mais pourquoi Katell ? Selon Bercy la taxe foncière va augmenter de 3.4% pour 2022 ... Depuis 2018 cet impôt ne fait qu'augmenter ... mais là c'est beaucoup plus que prévu ... La taxe foncière est calculée à partir des valeurs locatives cadastrales, qui sont les bases qui servent à évaluer le montant des impôts locaux ... Ces valeurs locatives sont revalorisées annuellement, depuis 2018, « en fonction du calcul de l'inflation ... Et vous le savez l'inflation a grimpé en flèche ... +4.5% sur un an au mois de mars selon l'INSEE ... Donc pour 2022, le coefficient de revalorisation annuelle des bases locatives est de 3,4% », contre +0,2% en 2021 ... Mécaniquement, s'il y a de l'inflation, la taxe foncière grimpe. La taxe foncière a augmenté de 11,4% en cinq ans – soit « six fois plus vite que les loyers (+2%) ... Et il n'y a pas de rapport avec la suppression de la taxe d'habitation ? Et bien si un petit peu aussi ... Parce que les collectivités peuvent décider une hausse du taux de la taxe foncière pour compenser un peu la disparition des revenus de la taxe d'habitation ... Et il faut savoir qu'Emmanuel Macron, s'il est réélu, a pour projet de supprimer la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) qui rapportait sept milliards, dont un peu plus de la moitié pour les communes et les intercommunalités. Donc certaines collectivités vont peut-être aussi anticiper ce nouveau manque à gagner ... Et tout ça va se retrouver sur notre taxe foncière ...
MACRON : UNE CAMPAGNE EN TEMPS DE GUERRE – 18/03/22 Invités CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Directeur de la rédaction - « Franc-Tireur » CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » A trois semaines du premier tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron est entré un peu plus dans la campagne ce jeudi, en dévoilant les grandes lignes de son projet lors d'une conférence de presse organisée aux Docks de Paris à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Promesse de plein emploi d'ici cinq ans, indépendance énergétique avec un mix nucléaire et renouvelables, hausse du salaire des enseignants contre de nouvelles missions, réforme des retraites et du RSA… Le président-candidat a exposé une trentaine de mesures-phares d'un programme économique et social qui pour l'instant est plus ancré à droite qu'en 2017. Ainsi comme Valérie Pécresse, le chef de l'État propose notamment de conditionner l'attribution du RSA (550, 93 euros par mois) à une activité, à hauteur de quinze à vingt heures par semaine. « Il faut reconnaître la dignité de chacun et demander une part d'effort », a lancé le président candidat. Emmanuel Macron souhaite également poursuivre « les réformes du marché du travail en simplifiant et en déconcentrant le dialogue social », mais aussi de l'assurance chômage et des retraites en augmentant l'âge légal « progressivement » jusqu'à 65 ans. Il a également précisé qu'il comptait mettre fin aux régimes spéciaux. Emmanuel Macron propose également, comme les candidats de droite et d'extrême droite, de défiscaliser encore davantage les héritages. Il veut concrètement relever l'abattement sur les successions en ligne directe à 150 000 euros contre 100 000 euros actuellement, tout en élargissant ce régime aux enfants des conjoints. Et pour les successions en lignes indirectes, il suggère de porter l'abattement à 100 000 euros. En matière fiscale il compte aussi accorder aux entreprises une réduction supplémentaire des impôts de production, de 7 milliards d'euros via la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Enfin il prévoit pour les ménages la suppression de la redevance, sans préciser comment il entend financer l'audiovisuel public. Au total, le coût du programme d'Emmanuel Macron est évalué à 50 milliards d'euros par an, dont 15 milliards de baisses d'impôts. Dans le même temps, le président-candidat veut ramener le déficit budgétaire en dessous des 3 % à l'horizon 2027. Pour cela, il compte sur les « gains de la réforme des retraites » et de « la réforme chômage » (15 milliards d'euros), mais aussi grâce à la « simplification et optimisation » de l'administration et la lutte contre la fraude (15 milliards d'euros). Et grâce à « la réduction des coûts de fonctionnement des collectivités publiques » (20 milliards d'euros). Enfin, Emmanuel Macron a indiqué qu'il comptait faire de l'école et de la santé « deux chantiers majeurs », promettant de mettre en place une « nouvelle méthode » faisant appel à une « large concertation » des acteurs de ces deux milieux. Après la présentation de ce programme, les critiques des autres candidats à la présidentielle n'ont pas tardé. A droite, Valérie Pécresse considère qu'il copie ses idées, notamment sur l'âge de départ à la retraite, le RSA et le nucléaire. « C'est un projet du déni et de la contrefaçon », a raillé la candidate LR qui a appelé les électeurs à préférer « l'original à la pâle copie ». A gauche, Jean-Luc Mélenchon parle d'un « projet de maltraitance sociale généralisée », et d' « une politique datée des années folles du libéralisme ». La candidate socialiste Anne Hidalgo dénonce de son côté « des propositions de droite d'une violence inouïe ». « Macron promet cinq ans de malheur en plus pour le monde du travail », renchérit le communiste Fabien Roussel. Le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan s'alarme quant à lui d'une présidentielle « truquée » faute de « débat entre tous les candidats » puisqu'il n'y aura pas de débat avec le président sortant avant le 1er tour. Des concurrents du chef de l'État qui face à une guerre en Ukraine qui recouvre toute l'actualité, tentent néanmoins de mettre en avant leurs propositions en matière économiques et sociales. Car la question du pouvoir d'achat demeure prioritaire pour les Français et pèse sur les intentions de vote d'après les instituts. Selon les derniers sondages, Emmanuel Macron serait en tête du premier tour avec 30 % des intentions de vote, devant Marine Le Pen (19,5 %) et Jean-Luc Mélenchon (13,5 %). DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce vendredi 18 mars, la suppression du CVAE, impôt de production pesant sur la valeur ajoutée des entreprises, a été abordée par Nicolas Doze et Frédéric Coirier, co-président du METI, PDG du groupe Poujoulat, dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Notes: Conversations with songwriters can be illuminating. Moira and I talk about wanting our voices to make a difference, and how to evaluate that, how Moira's voice has protected and shaped her, rest as part of the job of being a creator, and so much more. She shares a song that is in the process of becoming, and we get a very special glimpse of this creative process, which includes a calling sound that fascinates Moira right now. As you sing along, you'll be able to really tune in to what feels good to you this day -- is it the commitment and determination of "each day we make a little light"? The seeking melodic curve of "mmm...render...mmm...a remedy?" The wild, aching cry of the calling sounds? Or something else that you feel called to bring to the song? As you're singing in your own space, I wonder if there will be movement -- stepping or dancing or swaying? Songwriter Info: As a composer, Moira Smiley is known worldwide for choral arrangements like Bring Me Little Water, Silvy and originals, Stand in That River and How Can I Cry. Her music is sung by millions of singers worldwide. She's credited with helping to bring body percussion into the choral mainstream and is in demand as a commissioned composer, writing multi-movement pieces including Time In Our Voices and In The Desert With You for the Los Angeles Master Chorale, evening-length secular liturgy, The Song Among Us and Tis A Fearful Thing for Craig Hella Johnson's Conspirare and CVAE, Vonnegut Requiem: Light Perpetual for Voces Novae, Loud My Soul for Ad Astra Festival and I Have A Voice for ACDA Women's Choral Consortium. The European premiere of Time In Our Voices was performed by the voices and mobile phones of Ars Nova Copenhagen under the direction of Paul Hillier. In 2018-2019 Moira released the album and choral songbook, Unzip The Horizon as companion to her ‘The Voice Is A Traveler' solo show. In 2021 she released the all-vocal social-justice centered album, In Our Voices with four powerful singers of diverse ethnic and cultural backgrounds. She continues composing and improvising in collaboration with artists in film, video game production, theater and dance, and her work can be heard on feature film soundtracks, BBC & PBS television programs, NPR, and on more than 70 commercial albums. “Moira Smiley is a marvel—an omnivorous singing and composing chameleon with a voice that can wail or caress at will!” -- Grant Gershon - artistic director, Los Angeles Master Chorale “Moira Smiley is a brilliant musician – an innovative composer and arranger, and a heartbreakingly beautiful singer. Her music transcends (and expands) boundaries.” -- Billy Childs - multi-grammy-winning composer/pianist “I'm so thankful I've had the privilege of performing and recording with Moira. She embodies the endless creative potential of the voice, and… (has made) a deeply moving body of work.” -- Merrill Garbus - Tune-Yards Links: www.moirasmiley.com for all info including sheet music, practice tracks! https://moirasmileysubscription.com/ to support Moira monthly for as little as $4/mo. https://www.instagram.com/moirasmiley/ for up-to-date personal and music pics https://www.youtube.com/c/MoiraSmileyMusic for official music videos, song and body percussion tutorials and live performances Lissa Schneckenburger -- the link goes to her interview on A Breath of Song, which includes her own site links and more Night Song - Nusrat Fateh Ali Khan & Michael Brook. The link goes to the title song of the album. Here is the album on Apple Music. Shara Nova - "My Brightest Diamond" -- This link goes to a live performance and interview (go to about 2'40" to get close to the start). Song Learning Time Stamps: Start time of teaching: 00:03:12 Start time of reprise: 00:54:45 Nuts & Bolts: 4:4, Minor, Dorian & Aeolian, harmonized layers Visit abreathofsong.com for lyrics, more of Patty's artwork, and a way to nominate songs or songwriters for the podcast. Join the A Breath of Song mailing list to receive a heads up as a new episode is released, plus a large version of the artwork, brief thoughts from my slightly peculiar brain... and occasional extras when they seem vitally important! No junk -- I will never sell your address. I read out all your names into my living room when I send new mailings... I appreciate the connection to you who are listening and singing these songs with me. Exchange energy with A Breath of Song with dollars at the Gratitude Jar (whoo-hoo!!!!), or by making comments, leaving reviews, suggesting songs or songwriters (including yourself) ..... your participation matters!
Notes: Okay, I procrastinated on recording this episode for the longest of any song yet... I respect Moira so much, and I desperately wanted to share her song in a beautiful way that convinced you to love it, too. I felt like I wasn't good enough, and I got a good run of the whole imposter syndrome going, yada, yada, yada. But you know what shifted? I remembered why this podcast exists -- to share songs that help me heal, adapt, and grow, so you can sing them, too. And this song is one that I've sung to myself over and over in the middle of troubling times to help me release and let go. When I sing this into myself, I can see more clearly which actions might be mine to make next. And when the world is in turmoil, this is what helps me navigate a way forward. None of us (myself included) need to have a stunning voice for a song to be a companion... and I'm grateful to Moira for this gift. Please notice, I haven't shared the entire song here, only an excerpt... check out the links below to hear the whole song, and buy the music on her website for yourself or to share with others. Next episode: a conversation with Moira Smiley herself, who turns out to be absolutely lovely and generous -- we talk creativity, how rest is part of the job, how her voice has protected her, and more... Songwriter Info: As a composer, Moira Smiley is known worldwide for choral arrangements like Bring Me Little Water, Silvy and originals, Stand in That River and How Can I Cry. Her music is sung by millions of singers worldwide. She's credited with helping to bring body percussion into the choral mainstream and is in demand as a commissioned composer, writing multi-movement pieces including Time In Our Voices and In The Desert With You for the Los Angeles Master Chorale, evening-length secular liturgy, The Song Among Us and Tis A Fearful Thing for Craig Hella Johnson's Conspirare and CVAE, Vonnegut Requiem: Light Perpetual for Voces Novae, Loud My Soul for Ad Astra Festival and I Have A Voice for ACDA Women's Choral Consortium. The European premiere of Time In Our Voices was performed by the voices and mobile phones of Ars Nova Copenhagen under the direction of Paul Hillier. In 2018-2019 Moira released the album and choral songbook, Unzip The Horizon as companion to her ‘The Voice Is A Traveler' solo show. In 2021 she released the all-vocal social-justice centered album, In Our Voices with four powerful singers of diverse ethnic and cultural backgrounds. She continues composing and improvising in collaboration with artists in film, video game production, theater and dance, and her work can be heard on feature film soundtracks, BBC & PBS television programs, NPR, and on more than 70 commercial albums. “Moira Smiley is marvel—an omnivorous singing and composing chameleon with a voice that can wail or caress at will!” -- Grant Gershon - artistic director, Los Angeles Master Chorale “Moira Smiley is a brilliant musician – an innovative composer and arranger, and a heartbreakingly beautiful singer. Her music transcends (and expands) boundaries.” -- Billy Childs - multi-grammy-winning composer/pianist “I'm so thankful I've had the privilege of performing and recording with Moira. She embodies the endless creative potential of the voice, and… (has made) a deeply moving body of work.” -- Merrill Garbus - Tune-Yards Links: www.moirasmiley.com for all info including sheet music, practice tracks! https://moirasmileysubscription.com/ to support Moira monthly for as little as $4/mo. https://www.instagram.com/moirasmiley/ for up-to-date personal and music pics https://www.youtube.com/c/MoiraSmileyMusic for official music videos, song and body percussion tutorials and live performances A beautiful recording of a quartet singing the full Stand In That River, part of "The Mt. Tom Sessions". Moira's own recording of Stand In That River with VOCO. Visit abreathofsong.com for lyrics, more of Patty's artwork, and a way to nominate songs or songwriters for the podcast. Nuts & Bolts: 3:4, Ionian, harmonized melody Join the A Breath of Song mailing list to receive a heads up as a new episode is released, plus a large version of the artwork, brief thoughts from my slightly peculiar brain... and occasional extras when they seem vitally important! This week, for example, I shared a video collected by the Polyphony Project of Ukrainian women singing a traditional song about a son who has gone to be a soldier, and I included a list of possible organizations to support the people harmed by war. No junk -- I will never sell your address. I read out all your names into my living room when I send new mailings... I appreciate the connection to you who are listening and singing these songs with me. Exchange energy with A Breath of Song with dollars at the Gratitude Jar (whoo-hoo!!!!), or by making comments, leaving reviews, suggesting songs or songwriters (including yourself) ..... your participation matters!
A retrouver dans cet épisode : Modalités de paiement de l'impôt sur les sociétés et de la CVAE : Communiqué - Gérald Darmanin adapte les modalités de paiement des acomptes d'impôt sur les sociétés (IS) et de contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) dans le contexte de reprise progressive de l'activité ; TVA : BOFIP - TVA - Taux réduit - Taux applicable aux produits adaptés à la lutte contre la propagation du virus covid-19 ; CFE : BOFIP - SJ - Procédure d'agrément - Compétence géographique des services en matière d'agréments déconcentrés.