POPULARITY
durée : 00:17:10 - 8h30 franceinfo - Le député de Paris et président du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 7 avril 2024.
Totalenergies fête son 100e anniversaire. Pour l'occasion, l'entreprise annonce un certain nombre de mesures en faveur des clients des stations-service mais aussi d'abonnés à l'électricité. En premier lieu, une prime de 100 euros accordée aux 100 000 prochains clients de l'électricité s'ils restent abonnés pendant six mois. Les automobilistes auront également droit à une ristourne puisque les 100 000 premiers qui dépenseront 1000 euros dans les trois prochains mois, bénéficieront d'un chèque de 100 euros. Un dispositif combiné à l'opération de plafonnement du tarif de l'essence à 1,99 euro dans 1000 stations. « Le plafond est atteint dans les autoroutes et un certain nombre de stations-service dans les zones rurales », souligne Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, invité sur le plateau des 4 Vérités, le 30 mars, sur France 2. Jusqu'où le prix du litre peut-il grimper ? « Il est assez stable. (…) Chez TotalEnergies il ne pourra pas monter plus que 1,99 euro », précise-t-il. Invité, ce jeudi 28 mars sur LCI, Michel-Edouard Leclerc n'a pas hésité à tacler les prix du carburant en dénonçant les profits engendrés par les raffineurs. « Il nous fait beaucoup de publicité. Il doit être un peu vexé que nous ayons fait notre slogan '1,99'. S'il veut investir avec moi dans les raffineries, il est le bienvenu. Je suis prêt à partager », ironise le PDG. Pour les salariés, le dirigeant a également annoncé un dispositif exceptionnel. « L'ensemble des 100 000 salariés dans le monde vont recevoir 100 actions pour le centenaire. C'est un geste important de plus de 6000 euros, à la condition qu'ils restent cinq ans chez nous ». Une opération qui devrait coûter près de 20 000 euros à l'entreprise souvent ciblée pour ses superprofits. En 2023, la raffinerie a enregistré près de 20 milliards d'euros de bénéfices nets. Déficit public : taxer les superprofits ? Alors que le gouvernement vient d'annoncer les très mauvais résultats des déficits publics, le Premier ministre n'exclut pas une taxe exceptionnelle sur les superprofits. « Les profits de TotalEnergies en France ne sont pas des superprofits. (…) On est une des entreprises les plus taxées au monde. Nous contribuons de multiples façons à l'économie française, notamment à travers des opérations comme le plafonnement des prix de l'essence. Les Français apprécient cette mesure », argue Patrick Pouyanné. « Je suis heureux qu'en France, il y ait des grandes entreprises qui fassent des profits. Des Profits qui sont des investissements futurs », assure-t-il. TotalEnergies est également taclée pour son empreinte carbone. « On vit majoritairement avec des énergies fossiles. Mais on en sort. On investit massivement dans l'électricité et les renouvelables. On est dans une transition énergétique. Il faut pouvoir maintenir le système actuel tant qu'on n'a pas construit des énergies nouvelles. On y consacre un tiers de nos investissements », affirme le PDG.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la tentation de taxer les superprofits qui réapparait après l'annonce de l'explosion de la dette et du déficit public.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la tentation de taxer les superprofits qui réapparait après l'annonce de l'explosion de la dette et du déficit public.
durée : 00:16:54 - Taxe sur les superprofits: Attal dit ne pas avoir "de dogme sur le sujet"
durée : 00:23:34 - 8h30 franceinfo - Roland Lescure, le ministre délégué chargé de l'Industrie et de l'Énergie était l'invité du "8h30 franceinfo" du mercredi 27 mars.
Les Grandes Gueules s'affrontent sur un débat de société, que la meilleure équipe gagne ! Ce mercredi 27 mars 2024, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Antoine Diers, consultant, s'affrontent sur l'idée de la taxation des superprofits.
durée : 00:03:51 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Dans la majorité, une hausse d'impôts ciblée n'est plus un tabou. Entre partisans et détracteurs, une bataille s'engage.
L'émission 28 Minutes du 26/03/2024 Edouard Bergeon, “lanceur d'alerte” du monde agricole, s'attaque à l'huile de palme “Je suis un passeur et un lanceur d'alerte.” Après le succès de son film “Au nom de la terre”, dans lequel il mettait en scène le suicide de son père paysan joué par Guillaume Canet, le journaliste et réalisateur Edouard Bergeon s'attaque à la production et à l'exploitation de l'huile de palme dans “La Promesse verte” avec Alexandra Lamy et Félix Moati. À travers l'histoire fictive de Carole, qui va se battre pour sauver son fils injustement condamné à mort en Indonésie, il dénonce ici les exploitants d'huile de palme responsables de la déforestation. “Produire l'huile de palme à l'autre bout du monde s'avère un désastre écologique. Elle implique une déforestation massive. C'est aussi un désastre humain.” Il est notre invité. Taxe sur les “superprofits” : la fin d'un tabou en Macronie ? Faut-il taxer les superprofits ? Alors que depuis des mois le ministre de l'Économie Bruno Le Maire fait de la non-augmentation des impôts un marqueur du quinquennat, le débat autour de la question ressurgit sérieusement. C'est la présidente de l'Assemblée Nationale, Yaël Braun-Pivet, qui l'affirme : il faut “entamer la réflexion” sur une contribution “exceptionnelle” des entreprises “lorsqu'il y a des superdividendes, des superprofits, des rachats d'actions massifs”. De quoi s'agit-il exactement ? Des profits et des dividendes records annoncés par les entreprises du CAC40 pour 2023 : au total 153,6 milliards d'euros de bénéfice net, le top cinq rassemblant TotalEnergies, Stellantis, LVMH, BNP Paribas et Axa. Des chiffres records, et ce alors que la France sort de deux années de forte inflation. Alors, faut-il mettre en place cette taxe exceptionnelle ? On en débat. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 26 mars 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 26/03/2024 Taxe sur les “superprofits” : la fin d'un tabou en Macronie ? Faut-il taxer les superprofits ? Alors que depuis des mois le ministre de l'Économie Bruno Le Maire fait de la non-augmentation des impôts un marqueur du quinquennat, le débat autour de la question ressurgit sérieusement. C'est la présidente de l'Assemblée Nationale, Yaël Braun-Pivet, qui l'affirme : il faut “entamer la réflexion” sur une contribution “exceptionnelle” des entreprises “lorsqu'il y a des superdividendes, des superprofits, des rachats d'actions massifs”. De quoi s'agit-il exactement ? Des profits et des dividendes records annoncés par les entreprises du CAC40 pour 2023 : au total 153,6 milliards d'euros de bénéfice net, le top cinq rassemblant TotalEnergies, Stellantis, LVMH, BNP Paribas et Axa. Des chiffres records, et ce alors que la France sort de deux années de forte inflation. Alors, faut-il mettre en place cette taxe exceptionnelle ? On en débat. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 26 mars 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Après une année 2023 marquée par des départs en cascade, le secteur de la « tech » traverse une nouvelle phase de licenciements aux États-Unis. Et ce, malgré les profits records affichés par les grandes entreprises de la Silicon Valley. Microsoft, Google, Meta ou encore Amazon... Aucun des géants de la « tech » n'a été épargné. Sur le mois de janvier 2024, 25 000 personnes ont ainsi été licenciées dans une centaine d'entreprises. Le phénomène devient même une tendance sur les réseaux sociaux. Sur TikTok, le hashtag « tech layoffs » cartonne. Des employés de la tech par milliers se filment en train de se faire licencier. À chaque fois, c'est le même scénario : un rendez-vous en visioconférence calé la veille pour le lendemain, intitulé « on fait le point ». Et, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, vous avez perdu votre emploi.Recentrage sur l'intelligence artificielleCette vague de licenciements est en fait une poursuite de celle de l'année dernière qui avait vu 260 000 personnels de la tech perdre leur emploi aux États-Unis. Il faut les distinguer en trois catégories. D'abord, les géants du secteur : Amazon, Microsoft, ou encore Google. Eux licencient les « managers qui managent les managers », selon les mots de Mark Zuckerberg, le patron de Meta. On simplifie la hiérarchie pour focaliser les efforts sur l'intelligence artificielle, très rentable en ce moment.Ensuite, il y a les compagnies de taille moyenne, comme le serveur de discussion Discord. Elles se restructurent, après les années fastes du Covid-19 où elles ont embauché à tour de bras, l'activité ralentit légèrement et il faut donc adapter les équipes en fonction. Enfin, il y a les petites entreprises, qui elles doivent absolument licencier pour survivre, car le temps des levées de fonds record et des prêts à taux zéro est révolu.En Bourse, les cours s'envolentIl y a une quatrième catégorie : les jeux vidéo. Là aussi, les pertes d'emplois sont nombreuses. Les studios se séparent de leurs employés, car il y aura peu de sorties de grands jeux vidéo cette année, donc forcément, besoin de moins de main d'œuvre.Malgré ces licenciements en cascade, le monde de la tech se porte particulièrement bien aux États-Unis. En Bourse, les cours s'envolent. Le mois dernier, Microsoft est devenue l'entreprise la plus valorisée au monde, à près de 3 000 milliards de dollars. Côté résultats, les plus grandes compagnies affichent des profits records sur un an. Augmentation de 14% pour Meta, de 7% pour Amazon, ou encore de 13% pour Alphabet, la maison mère de Google et YouTube, à 86 milliards de dollars. Des superprofits qui devraient permettre au géant américain de payer ses indemnités sans problème. L'an dernier, Google a déboursé plus de 2 milliards de dollars en indemnités de départ.À lire aussiBruxelles va examiner l'investissement de Microsoft dans OpenAI
➙ Cette chaîne vit grâce à vos dons ! https://linktr.ee/limit.media Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Étienne de Callataÿ, économiste belge. Il est le co-fondateur et le Chief Economist d'Orcadia Asset Management. Après avoir travaillé au service d'étude de la Banque nationale de Belgique (BNB) de 1987 à 1992, il travaille au Fonds monétaire international (FMI) de 1992 à 19961. De 1996 à 1999, il est chef de cabinet adjoint du Premier Ministre Jean-Luc Dehaene, et en 1999, chef de cabinet du Ministre des Finances. En 1999, il entre à la Banque Degroof dont il devient l'économiste en chef. Il est nommé membre du Comité de Direction de la Banque Degroof en 2012. En 2015, il quitte la Banque Degroof. En 2016, Etienne de Callataÿ, avec quelques associés, fonde au Grand-Duché de Luxembourg une société de gestion de fortune nommée Orcadia Asset Management. En parallèle, il est chargé de cours invité à l'Université Catholique de Louvain (UCL) et à l'Université de Namur. Il y dispense respectivement un cours de Macroéconomie et de finances publiques. Il a également enseigné et à l'Université Libre de Bruxelles.
Ce matin, le sénateur écologiste de Paris Yannick Jadot était l'invité de Thomas Sotto dans les 4 vérités. Dans le contexte de la COP28, il a cité les mots d'António Guterres, secrétaire général des Nations unies, qui parle d'un monde climatiquement « en train de s'effondrer, de se suicider ». « Ce chaos climatique, on n'en voit que les prémices », alerte-t-il, pointant l'inaction de nos sociétés comme de nos économies. La peur de changer ses habitudes ? La peur de s'attaquer aux rentes pétrolières ? En tout cas, quelles que soient les raisons qui poussent à cet immobilisme, « il va falloir changer ». Pour ce, la solution (partielle) serait de mettre en place un traité de non-prolifération des énergies fossiles. Porté depuis 2015 par un groupe d'États du Pacifique, celui-ci met en avant des mesures fortes, comme le stoppage des gisements. Il exhorte notamment les actionnaires de TotalEnergies à voter contre le plan climat de l'entreprise, jugé largement insuffisant. Car les scientifiques, les Nations Unies et l'Agence internationale à l'énergie conviennent tous de la même chose : il faut arrêter d'aller chercher du pétrole et du gaz. Les principales banques françaises, dont BNP Paribas et le Crédit Agricole, participent largement au dérèglement climatique. Concrètement, Yannick Jadot propose trois mesures : tripler les énergies renouvelables, investir dans la sobriété et l'efficacité énergétique, et taxer les superprofits des groupes, qui, selon lui « participent du malheur du monde ». À l'heure actuelle, ces superprofits bénéficient d'aides d'État, de subventions et de crédits d'impôts. « L'argent public finance des groupes qui sont en train de remettre en cause nos conditions de vie et le règne du vivant. » D'ici 2050, la France prévoit de tripler les productions nucléaires. Un engagement notamment pris avec le Royaume-Uni, la Suisse, et d'autres pays. Mais l'homme politique parle d'une urgence plus immédiate : « la seule énergie que l'on peut installer maintenant, sont les énergies renouvelables, c'est la seule urgence », martèle-t-il. Dans une France fracturée, un risque maximal de dérives vers des voies extrêmes Lorsque l'on observe le degré de tension en France en ce moment, une autre question se pose : comment en est-on arrivé là ? La France est-elle au bord du basculement ? Le militant écologiste avoue que, en trente années de carrière, c'est la première fois qu'il ressent un sentiment de peur, « une vraie trouille ». L'effondrement démocratique, l'effondrement climatique, la peur sociale, les chocs climatiques, les crises, les pandémies : cette énorme crise de l'avenir entraîne des réactions d'instinct qui pourraient faire advenir le pire, le drapeau de l'extrême droite continuant d'être brandi et faisant les louanges d'une France « qui n'a jamais existé ». Dans un pays agité, fracturé, au bord du basculement, les individualismes prennent le dessus, et l'angoisse du futur peut mener vers des voies extrêmes. « Ce qu'il faut, c'est arriver à nous remettre en mouvement, et quel plus beau projet que la justice sociale, la fraternité, pour retrouver un dessein commun ? » Au sujet d'Éric Dupond-Moretti —dont la présence dans l'hémicycle comme Garde des Sceaux et en même temps comme personne mise en examen devant la Cour de Justice de la République est « lunaire »— Yannick Jadot apporte une opinion claire et ferme : « S'il est condamné, évidemment, il devra partir. On a besoin d'exemplarité en politique ».
Ce mercredi 13 septembre, Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, Pierre-Henri de Menthon, directeur de la rédaction de Challenges, et Ronan Le Moal, fondateur d'Épopée Gestion, sont revenus sur la prolongation du plafonnement à 1,99 euro des carburants par TotalEnergies, sur l'annonce de Bruno Le Maire, qui dès 2024, compte supprimer définitivement la CVAE pour 300 000 petites entreprises, ainsi que sur la promesse de Clément Beaune comme quoi la taxation des autoroutes n'aura pas de répercussions sur les prix des péages, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Déshabiller Paul pour habiller Jacques, c'était l'idée initiale de la leader italienne pour répondre à l'envolée des taux d'intérêts et aux politiques de la BCE. À l'Est, Kiev avance ses pions en faisant (re)naviguer un cargo en mer Noire.
Why does the United States of America keep children at its southern border? Why did Ronald Reagan give millions of dollars a day to fascists in El Salvador? Why does the Black Widow want a fake ID? It's all for Tony Stark. For the current count of children held at the US border: https://healthdata.gov/widgets/ehpz-xc9n Erratum: The Trump administration assassinated Qasem Soleimani on Jan. 3rd, 2020, not 2021 as was stated in the episode. I'm a doofus who likes to type dates wrong and then read them that way on the air. Thank you. ---------- Email: collectiveactioncomics@gmail.com Instagram: https://www.instagram.com/collectiveactioncomics/ Twitter: https://twitter.com/CAComixPod
Alors que l'Assemblée générale des actionnaires de TotalEnergies a suscité la polémique, après que des activistes qui tentaient d'en bloquer l'accès ont été délogés par la police, nous rediffusons cet épisode du 4 janvier 2023 sur le modèle TotalEnergies.Superprofits, présence en Russie, projets qualifiés de « bombes climatiques » : TotalEnergies est au cœur de nombreuses polémiques. Dans ce podcast, Jean-Michel Bezat et Nabil Wakim, journalistes au « Monde », nous expliquent pourquoi le géant du pétrole et du gaz est attaqué de toutes parts.Un épisode de Claire Leys. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.
Le 24 mai 2023, le ministre du Travail Olivier Dussopt présente son projet de loi sur le partage de la valeur en entreprise. Plusieurs propositions y sont faites, dont la redistribution des superprofits au sein d'une entreprise, notamment pour revaloriser le travail des salariés. Pour rappel, les superprofits ne concernent que les sociétés de plus de 50 travailleurs. Mais la suggestion sur laquelle les projecteurs se braquent concerne le plan d'épargne salariale. Le principe est de verser une prime à chaque salarié en fonction des performances de l'entreprise, et/ou des bénéfices réalisés sur l'année. Ce dispositif pourrait devenir obligatoire dès le 1er janvier 2025 pour les entreprises entre 11 et 49 salariés. Le vote de la loi se tiendra à l'été 2023. Qu'est-ce qu'un superprofit ? Les salariés peuvent-ils bénéficier des superprofits ? Quelles sont les permettant déjà de redistribuer les bénéfices d'une entreprise ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que l'effet Matthieu qui explique les inégalités de richesse ? Qu'est-ce qu'une nationalisation d'entreprise ? Qu'est-ce que le quiet firing, qui pourrait faire des ravages en entreprise ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, appelle à la "responsabilité des industriels" de l'agroalimentaire qu'ils recevra mercredi 17 mai. Il insiste pour qu'ils participent à l'effort collectif pour limiter la hausse des prix.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, appelle à la "responsabilité des industriels" de l'agroalimentaire qu'ils recevra mercredi 17 mai. Il insiste pour qu'ils participent à l'effort collectif pour limiter la hausse des prix.
Ce vendredi 24 mars,les rachats d'actions qui permettent d'investir dans la transition énergétique et le débat autour des superprofits, ont été abordés par Patrick Artus, directeur de la recherche économique de Natixis, et Christian Saint-Étienne, professeur au CNAM, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le 8 février dernier, le groupe pétrogazier français TotalEnergies dévoile ses résultats 2022 : 19,5 milliards d'euros de bénéfices, en hausse de 28 % par rapport à 2021, soit le plus haut bénéfice jamais réalisé par la major française. Des résultats dopés par la reprise d'activité post-Covid mais aussi par la flambée des prix de l'énergie, dans le sillage de la guerre en Ukraine. Mais ces profits records divisent et provoquent chez certains politiques l'indignation. Le jour même, des militants écologistes aspergent la façade du siège de la Défense de peinture rouge pour dénoncer l'activité polluante de l'entreprise et les bénéfices qu'elle en retire. Dans la foulée, le patron de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, envisage de nouvelles mesures en faveur du pouvoir d'achat des automobilistes pour modérer les prix à la pompe.Pour Code source, Erwan Benezet, journaliste au service économie du Parisien, raconte comment TotalEnergies en est arrivé à réaliser ces bénéfices records. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : Franceinfo, France 2, France 3, Euronews. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce vendredi 24 février, le superprofit de la SNCF avec une hausse de 5% des prix des billets depuis le début de l'année 2023 ainsi que la polémique sur le plafonnement du prix du carburant chez TotalEnergie ont été abordés par Sylvie Matherat, senior advisor du cabinet Mazars, Dany Lang, enseignant chercheur en économie à Sorbonne Paris Nord, et Denis Payre, président de Nature & People, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:58:48 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - La notion du partage de la valeur est remise en ce moment au premier plan. Pourquoi le conflit inhérent à l'entreprise capitaliste est-il englobé sous cette notion ? Comment les instruments développés pour rééquilibrer le partage rendent-ils compte du rapport de force entre capital et travail ? - invités : Thomas Breda chargé de recherche au CNRS, chercheur affilié à l'École d'économie de Paris; Sophie Piton Membre du Centre pour la Macroéconomie de la London School of Economics (LSE)
Ce mardi 21 février, la transcription de l'accord interprofessionnel conclu sur le partage de la valeur dans la loi, ainsi que le désir de Renaissance de créer un mécanisme de "super-participation" dans les entreprises en cas de superprofits ont été abordés par Laurence Daziano, maître de conférences à Sciences Po et membre du conseil scientifique de la Fondapol, Thibault Lanxade, président de Luminess (ex-Jouve), et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu travail de l'OCDE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 02:28:47 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Stephanie BOUTONNAT - Les économistes Dominique Seux et Thomas Piketty débattent de l'utilité des superprofits à 7h50. Sylvie Kauffmann, éditorialiste de politique internationale au Monde et Thomas Gomart, directeur de l'IFRI, sont les invités du 8h20. Bruno Fron, médecin généraliste, est l'invité du 9h10.
durée : 00:03:07 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Après la publication des bénéfices faramineux de BNP et LVMH, le groupe TotalEnergies annonce un bénéfice de 19 milliards d'euros, bref, un nouveau record de super-profits…
durée : 00:03:07 - Le Billet de Charline Vanhœnacker - par : Charline Vanhoenacker - Après la publication des bénéfices faramineux de BNP et LVMH, le groupe TotalEnergies annonce un bénéfice de 19 milliards d'euros, bref, un nouveau record de super-profits…
durée : 00:55:42 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Jean-François Achilli, les informés débattent de l'actualité du mercredi 8 février 2023.
EXPERTS DOMINIQUE SEUX Directeur délégué de la rédaction – « Les Echos » CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction – « Franc-Tireur » THOMAS PORCHER Économiste Auteur de « Mon dictionnaire d'économie » NATHALIE MAURET Journaliste politique – Groupe de presse régionale « Ebra » En plein débat sur la réforme des retraites, la question des superprofits et du partage de la richesse est relancée alors que TotalEnergies vient de publier le meilleur bénéfice de son histoire. Le groupe pétrolier a en effet réalisé un bénéfice net de près de 20 milliards d'euros pour l'année 2022, soit une hausse de 28 % par rapport à 2021, une année lors de laquelle il avait déjà atteint des niveaux de rentabilité jamais atteints et l'un des meilleurs de l'histoire du CAC40 qui se porte lui-même très bien. Les quarante entreprises du principal indice boursier français ont ainsi distribué 80,1 milliards d'euros à leurs actionnaires en 2022, en dividendes ou rachats d'actions, selon la lettre financière Vernimmen.net. Dans le détail, les dividendes versés atteignent 56,5 milliards d'euros. En tête des groupes redistribuant des capitaux à leurs actionnaires on trouve TotalEnergies (13,3 milliards d'euros de rachats d'actions ou de dividendes), LVMH (7,1 milliards) et Sanofi (4,7 milliards). Viennent ensuite Stellantis, AXA, Crédit agricole et la BNP Paribas. Après déjà un bénéfice net record en 2021, la BNP Paribas a fait mieux encore en 2022, avec 10,2 milliards d'euros engrangés. Mais cette annonce réalisée mardi est venue se télescoper avec une autre, parvenue quelques heures plus tard : des sources syndicales affirment que BNP Paribas prévoit de supprimer 921 postes en France sur les 5 142 de sa filiale dédiée au crédit à la consommation, BNP Paribas Personal Finance. Pour tenter de désamorcer la polémique autour des superprofits, la banque a déjà tenu à souligner dans un communiqué qu'elle était « par ailleurs un contribuable important avec un montant total d'impôts et taxes de 7,2 milliards d'euros payés en 2022 », dont 3,85 milliards au titre de l'impôt sur les bénéfices. De son côté, le PDG de TotalEnergies a expliqué dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France, que les résultats du groupe « se font essentiellement dans les pays producteurs d'énergie » où le taux moyen de fiscalité « appliqué est de plus de 50 % ». Il a également indiqué que le groupe s'était acquitté de plus de 2 milliards d'euros de contribution sur les superprofits en Europe et au Royaume-Uni en 2022. Mais il s'est aussi dit prêt à refaire un geste commercial, comme l'an dernier, pour ses clients dans les stations-service françaises si le litre de gazole repasse au-dessus des 2 euros. « Plutôt que de partir dans un débat autour d'une taxe exceptionnelle sur les profits, nous préférons prendre des mesures de pouvoir d'achat que les Français ressentent directement », a précisé Patrick Pouyanné. L'ensemble des ristournes à la pompe réalisé ces derniers mois par TotalEnergies lui avait coûté autour de 600 millions d'euros, tout en dopant la fréquentation de ses stations-essence. Mais, l'annonce des bénéfices record de TotalEnergies ce mercredi n'a pas manqué de faire réagir. Des militants des associations Les Amis de la Terre et Alternatiba ont aspergé de peinture rouge le siège de l'entreprise à Paris La Défense. Ils ont ensuite déployé des banderoles : « Superprofits : vous encaissez, nous subissons ». Plusieurs personnalités politiques se sont également exprimées. A gauche, où l'on défend l'instauration d'une taxe sur les superprofits, le député insoumis François Ruffin a déclaré : « On assiste au gavage des uns, au rationnement des autres, c'est une situation scandaleuse ». A droite, on est également choqué. Le président du Sénat Gérard Larcher ( LR), s'il se réjouit de la réussite d'une entreprise française, s'est interrogé ce matin sur « le partage de la valeur ». « Total bénéficie comme d'autres sociétés profitent d'une situation de crise qui est difficile et douloureuse à porter pour nos entreprises, pour les citoyens, qui fragilise l'économie mondiale », a-t-il confié au micro de France Inter. « Ces bénéfices nous amènent à nouveau à nous interroger sur la répartition des dividendes entre les actionnaires, les salariés, et du rôle et de la place de l'impôt », a-t-il déclaré. Une question qui agite les débats en France mais aussi à l'étranger, notamment aux Etats-Unis. Jugeant « scandaleux » les gigantesques bénéfices des compagnies pétrolières l'an dernier, « 200 milliards de dollars au milieu d'une crise énergétique mondiale », le président américain Joe Biden entend « quadrupler » la taxe de 1 % sur les rachats d'actions qui est entrée en vigueur en janvier, ce qui, selon la Maison Blanche, encouragerait les entreprises américaines à investir pour le long terme au lieu de favoriser systématiquement les actionnaires. Le président américain a également appelé cette nuit à mettre en place une « taxe minimale » sur les milliardaires. « Le système fiscal n'est pas juste », a déclaré le président américain devant le Congrès. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:07:21 - Superprofits : TotalEnergies annonce 19.5 milliards d'euros de bénéfice en 2022.
Superprofits, présence en Russie, projets qualifiés de « bombes climatiques » : TotalEnergies est au cœur de nombreuses polémiques. Dans ce podcast, Jean-Michel Bezat et Nabil Wakim, journalistes au « Monde », nous expliquent pourquoi le géant du pétrole et du gaz est attaqué de toutes parts.Un épisode de Claire Leys. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.
Ce lundi 2 janvier, le guichet unique qui allait remplacer tous les centres de formalité des entreprises, la série de nouvelles régulations par rapport notamment à la taxe carbone, le monopole des géants de la tech aux États-Unis, et la taxation des superprofits, et les lourdes pertes des milliardaires de la tech en 2022, ont été abordés par Dany Lang, enseignant chercheur en économie à Sorbonne-Paris Nord, Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation&Arguments, Emmanuel Combe, professeur à la Skema Business School, vice-président de l'Autorité de la concurrence, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:57:48 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Au lieu de sortir son carnet de chèques comme ce fut le cas en avril 2022 pour répondre à la crise sociale, le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez choisit de s'attaquer aux bénéfices extraordinaires. Les fonds perçus financeraient les nombreuses mesures du plan anti-crise annoncé en juin 2022. - invités : Christine Rifflart économiste à l'OFCE; Carole Viñals Maître de conférences-HDR à l'Université de Lille, spécialiste en civilisation de l'Espagne contemporaine; Maria-Eugenia Sanin Économiste spécialiste des questions énergétiques, maîtresse de conférences à l'Université Paris-Saclay
durée : 00:38:00 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Cécile Bidault - Alors qu'Emmanuel Macron a de nouveau refusé à imposer les superprofits en proposant, ce 26 octobre, “une grande conférence sur la valeur ajoutée”, Total annonçait une hausse de ses bénéfices de 43% au troisième trimestre. À partir de quel seuil un profit devient-il excessif ? - invités : Anne-Sophie Alsif Cheffe économiste au Bureau d'Informations et de Prévisions Économiques, docteure en sciences économiques EHESS, cheffe de projet à la Fabrique de l'industrie; Isabelle Garo philosophe, enseignante en classes préparatoires
durée : 02:00:50 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Certaines raffineries sont en grève, une pénurie de carburant commence à se ressentir dans plusieurs territoires français interrogeant les stocks stratégiques de pétrole, les pays producteurs réduisent leur offre. Examen de la démesure pétrolière. - invités : Patrice Geoffron professeur d'économie à l'Université Paris-Dauphine, directeur de l'équipe Energie Climat.; Francis Perrin Chercheur, spécialiste des problématiques énergétiques
Ce mercredi 5 octobre, les propositions à l'étude pour faire contribuer les grosses entreprises font partie des thèmes abordés par Guillaume Dard, président de Montpensier Finance, Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, et Agnès Michel, membre du comité éditorial de Terra Nova, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 5 octobre, les propositions à l'étude pour faire contribuer les grosses entreprises font partie des thèmes abordés par Guillaume Dard, président de Montpensier Finance, Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, et Agnès Michel, membre du comité éditorial de Terra Nova, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), était l'invité de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce lundi 3 octobre. Ils se sont penché sur l'évolution des prix de l'électricité en Europe, ainsi que sur les mesures d'urgence prises par l'UE27 pour faire face à la crise énergétique, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:05:33 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - La pression augmente sur les entreprises engrangeant des bénéfices records depuis le début de l'année : le secrétaire général de l'ONU demande clairement aux gouvernements de taxer ces superprofits, mais les patrons se défendent, avec tous les arguments possibles et imaginables.
Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme et membre de la commission sur les superprofits à l'Assemblée nationale, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 27 septembre. Il est revenu sur la meilleure manière de taxer les superprofits qui se font à l'étranger, en marge des auditions de la commission sur les superprofits qui se poursuivent à l'Assemblée nationale, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Chaque vendredi, l'équipe de La Loupe range dans son armoire la définition d'un concept dont vous entendez souvent parler dans l'actualité... Sans forcément en saisir tous les enjeux. Cette semaine, Béatrice Mathieu, cheffe du service Économie vous explique ce que sont les superprofits. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation : Xavier YvonEcriture : Charlotte BarisMontage : Charlotte BarisRéalisation : Jules KrotCrédits : Europe 1, France Inter, Les Echos, TF1Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentLogo : Anne-Laure Chapelain / Benjamin ChazalPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce vendredi 9 septembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyna ont présenté le Journal de l'économie dont voici les premiers sujets : La cumulation des crises au Royaume-Uni, la fermeté des banques centrales sur l'inflation, et la possible disparition de la CVAE étalée sur deux ans. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Face à la hausse des prix de l'énergie, la Nupes réclame la taxation des superprofits. De son côté, le gouvernement semble davantage opter pour un dispositif européen. Nicolas Bouzou fait le point sur une question d'actualité économique.
Ce mardi 6 septembre, le statut fiscal de CMA CGM, la prochaine entreprise dans le collimateur du gouvernement, a été abordé par Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, Stéphanie Hospital, fondactrice de OneRagtime, et Thibault Lanxade, PDG du groupe Luminess reçus par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 5 septembre, la nécessité de la hausse des taux de la Banque centrale ainsi que l'annonce d'un plan de soutien par l'Allemagne ont été abordées par Jean-Philippe Cartier, président du groupe H8 Invest, Wilfrid Galand, directeur stratégiste chez Montpensier Finance, et Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste à BFM Business, reçus par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:56:11 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI, Olivier Delagarde - Autour de Céline Asselot, les informés débattent de l'actualité dujeudi 1er septembre.
Nicolas Théry, président du Crédit Mutuel et président de la Fédération Bancaire Française, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 30 août. Ils se sont penché sur le souhait de Bruno Le Maire qui est de réunir le secteur financier afin de réduire les frais bancaires pour redonner du pouvoir d'achat à la population française, ainsi que sur la pétition de la Nupes qui vise à taxer les superprofits, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
SUPERPROFITS, ENTREPRISES... L'AVERTISSEMENT DE BORNE – 29/08/22 Invités - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance - BRUNO JEUDY - Éditorialiste politique et essayiste - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » - BERNARD SANANÈS - Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Taxer les « super profits » des entreprises ? Elisabeth Borne a affirmé ne pas « fermer la porte », dans une interview donnée samedi au quotidien Le Parisien. La Première ministre a toutefois indiqué préférer que l'entreprise qui le peut « baisse les prix pour le consommateur et donne du pouvoir d'achat à ses salariés ». À gauche, cette imposition exceptionnelle est réclamée depuis de nombreuses semaines. Elle a d'ailleurs été plusieurs fois évoquée lors des universités d'été des différents partis de la NUPES, France insoumise en tête. Le Rassemblement National a également prononcé en faveur de cette taxation. L'idée est de redistribuer l'argent des bénéfices record de certaines entreprises à qui l'inflation a profité. Les grands groupes énergétiques, comme Total ou Engie, seraient notamment visés par cette taxe. Face à une demande d'équité qui se fait entendre, la majorité envisage donc désormais des mesures en ce sens. « Personne ne comprendrait que des entreprises dégagent des profits exceptionnels alors même que les Français peuvent être inquiets pour leur pouvoir d'achat », affirmait samedi Elisabeth Borne. Mais cette porte ouverte, le président du Médef Geoffroy Roux de Bézieux, a vite tenté de la refermer. Invité ce matin sur France Inter, il s'est dit opposé à ce que ces bénéfices soient taxés comme le réclame la gauche. Le chef du principal mouvement patronal a pointé un autre « profiteur ». C'est l'État qui a, selon lui, engrangé le plus de superprofits cette année : « Qui est le plus grand super profiteur, si j'ose, qui fait les plus grands superprofits : c'est l'État », a-t-il déclaré. « On a une situation économique qui est moins mauvaise qu'ailleurs, n'augmentons pas les impôts », a-t-il encore plaidé. À l'étranger justement, plusieurs gouvernements envisagent également une taxation exceptionnelle des super profits, quand ils ne l'ont pas déjà mis en œuvre. Le Royaume-Uni a ainsi instauré une taxe exceptionnelle de 25 % sur les bénéfices des producteurs de gaz et de pétrole. L'Italie et la Hongrie ont pris des mesures comparables. Mais Elisabeth Borne franchira-t-elle le pas ? Face aux risques de coupure ou de rationnement de l'énergie cet hiver, la Première ministre, a en tout cas appellé chaque entreprise « à établir, en septembre, son propre plan de sobriété ». « Chaque entreprise doit se mobiliser et agir », a-t-elle affirmé dans son discours en ouverture de la Rencontre des entrepreneurs de France du Medef. La Première ministre leur a donné « rendez-vous début octobre » pour tirer un « premier bilan » de ces plans d'économies d'énergie. Elle expliquait samedi qu'il y aurait « des contraintes de bon sens » pour les entreprises. Le Conseil d'État examine d'ailleurs deux décrets sur l'extinction des publicités lumineuses la nuit et la fermeture des portes pour les commerces climatisés. Le Medef veut se montrer réceptif. « Les entreprises, madame la Première ministre, feront leur part pour atteindre la sobriété énergétique », a promis Geoffroy Roux de Bézieux en ouverture de cette Rencontre des entrepreneurs de France. Mais pour certains secteurs d'activité, une moindre consommation d'hydrocarbures correspond directement à une perte de productivité. L'énergie étant nécessaire pour produire, l'industrie se trouve face à un dilemme. « Évitons les mesures symboliques, médiatiques, dont l'impact carbone est nul ou en tout cas très faible, et qui pointe les uns et les autres », a par ailleurs demandé le président du Medef, évoquant les golfs ou les jets privés. Ces actes symboliques en faveur de la sobriété ont été au cœur des discussions de l'été. Les membres d'EELV, leur président Julien Bayou en tête, ont en effet mis ces sujets sur la table, alors que le pays était confronté à une exceptionnelle sécheresse. Lors des universités d'été du parti, certains, comme Sandrine Rousseau, ont réaffirmé avec force ces postions. D'autres, comme Yannick Jadot, ont appelé à se garder de trop de radicalité. Une confirmation des deux lignes qui composent le parti. Le gouvernement va-t-il s'écarter de sa ligne libérale pour taxer les super profits des grandes entreprises ? Comment adapter l'économie, et notamment l'industrie, à la sobriété énergétique ? Centrisme ou radicalité, quelle stratégie pour les écologistes ? Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:04:39 - La chronique de Thomas VDB - par : Thomas VDB - “Faut le lâcher un peu Macron, il a aussi droit à des vacances” mais siffler la fin de l'abondance après une semaine de jet ski … y a un truc audacieux dans ce qu'on appelle le TIMING !!