POPULARITY
Ce mardi 22 avril, la question des 40 milliards d'économies à réaliser pour compenser le budget 2026 ainsi que les tensions qui montent entre Donald Trump et Jerome Powell, ont été abordées par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, et François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 22 avril, Nicolas Doze a reçu Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, et François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 22 avril, la situation économique française, notamment les dépenses et les retraites, a été abordée par Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, et François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Nicolas Bouzou, économiste et directeur du cabinet de conseil Asterès, était l'invité de l'émission Ecorama du 8 avril 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Il a notamment donné son point de vue sur les droits de douane de Donald Trump, les effets de la guerre commerciale sur les consommateurs, la riposte chinoise et européenne et les conséquences sur les marchés boursiers. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 7 avril 2025 - Taxe Trump: la panique socialeLa panique se propage sur les marchés financiers. Alors que les droits de douane annoncés par Donald Trump doivent entrer en vigueur ce mercredi, les principales Bourses mondiales continuent de plonger. Les places d'Asie ont encore dévissé ce lundi et le Cac 40 est passé sous le seuil des 7.000 points à la suite de l'inflexibilité affichée par le président américain. Donald Trump a en effet défendu à plusieurs reprises dimanche le déluge de droits de douane dévoilé la semaine dernière sur tous les produits importés aux Etats-Unis, tout est restant ouvert à la discussion avec les partenaires commerciaux. "Oubliez les marchés pendant une seconde", a-t-il dit aux journalistes alors que la Maison-Blanche a indiqué que 50 pays étaient prêts à négocier. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire au vu de la débâcle des Bourses mondiales depuis jeudi dernier qui alimente les craintes d'une récession et d'un krach historique. Aux Etats-Unis, la situation donne des sueurs froides à nombre d'Américains qui sont trois foyers sur cinq à détenir des actions, en particulier les retraités dont les pensions sont en partie indexées sur les marchés. Et pour la première fois depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, des manifestations massives se sont tenues samedi dans tout le pays. Une marée humaine rarement vue notamment à Washington où 100 000 personnes ont défilé pour exprimer leur inquiétude pour la démocratie et les conséquences des nouveaux droits de douane. De son côté, Elon Musk, le patron de Tesla qui dévisse en Bourse, a affirmé samedi espérer l'apparition d'une "zone de libre-échange" entre l'Europe et l'Amérique du Nord, avec des "droits de douane nuls", lors du Congrès de la Ligue italienne anti-migrants à Florence. Il a également révélé avoir déjà "conseillé le président américain en ce sens".Mais pour l'heure, Donald Trump continue de défendre sa révolution économique et n'entend pas faire machine arrière. Il l'a réaffirmé ce lundi, reprochant une nouvelle fois aux partenaires économiques des Etats-Unis de les "piller" et qualifiant la Chine de "plus grand profiteur de tous". En conséquence, il a décidé d'imposer, dès mercredi, un taux universel de 10 % de taxe douanière sur tous les produits importés aux Etats-Unis et des taxes supplémentaires, pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l'Union européenne (20 %) et la Chine (34 %).Ce à quoi Pékin a choisi de répliquer très vite en annonçant, vendredi, des taxes de 34 % sur tous les produits américains arrivant en Chine. Parallèlement, 16 entreprises américaines ont été placées sur une liste noire qui les empêchera de s'approvisionner en Chine. Le ministère chinois du Commerce a aussi annoncé des contrôles à l'exportation sur sept éléments de terres rares, y compris le gadolinium, utilisé notamment pour les IRM, et l'yttrium, dans l'électronique grand public.Tiraillés sur la stratégie à adopter, les dirigeants européens ont multiplié les contacts au cours du week-end avant une réunion ce lundi à Luxembourg des ministres du Commerce extérieur de l'UE pour préparer "la réponse européenne aux Etats-Unis". "Le monde tel qu'on le connaissait a disparu", a résumé le Premier ministre britannique Keir Starmer au sujet de cette remise en cause de l'ordre mondial du commerce. La réponse européenne peut être "extrêmement agressive", a prévenu de son côté le ministre du Commerce extérieur Laurent Saint-Martin.Alors face à la guerre commerciale de Donald Trump comment l'Union européenne doit-elle réagir ? Comment défendre nos producteurs et nos industries ? Emmanuel Macron a invité jeudi les patrons français à "suspendre" leurs investissements aux Etats-Unis. Quelles sont les entreprises françaises qui ont massivement investi dernièrement au "pays de l'Oncle Sam" ?Les experts :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C dans l'air du 7 avril 2025 - Taxe Trump: la panique sociale Les experts :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Avec : Nicolas Bouzou, économiste et président du cabinet Astérès. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
Il est directeur du cabinet d'études Asterès et président des Rencontres de l'Avenir de Saint-Raphaël, enseignant au sein du MBA Law & Management de l'Université de Paris II Assas. Il est également l'auteur de “La civilisation de la Peur, Pourquoi et comment garder confiance dans l'avenir” aux éditions XO Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet a évoqué la piste d'une contribution de certains retraités pour financer le budget de la Sécurité sociale. Matignon tempère et parle d'une "proposition personnelle" de la ministre. Faut-il faire contribuer les retraités les plus aisés ? Nicolas Bouzou, économiste et essayiste, est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 21 janvier 2025.
La ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet a évoqué la piste d'une contribution de certains retraités pour financer le budget de la Sécurité sociale. Matignon tempère et parle d'une "proposition personnelle" de la ministre. Faut-il faire contribuer les retraités les plus aisés ? Nicolas Bouzou, économiste et essayiste, est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 21 janvier 2025.
Ce vendredi 17 janvier, Nicolas Doze a reçu Gilles Raveaud, maitre de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Échos, et Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 17 janvier, les problèmes du système de retraite du pays ont été abordés par Gilles Raveaud, maître de conférences à l'Institut d'Études Européennes de Paris 8 Saint-Denis, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Échos, et Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 17 janvier, Gilles Raveaud, maitre de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Échos, et Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, se sont penchés sur le débat qui s'engage autour du chiffrage des retraites, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze. Les Experts est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.
C dans l'air du 31 décembre - Finances publiques : la diète en 2025 ? Présentation: Lorrain SénéchalEn ce dernier jour de l'année 2024, les décrets ont été publiés au Journal officiel. Le budget 2024 est reconduit à l'identique pour l'instant pour l'année prochaine, conséquence de l'adoption de la loi spéciale du 20 décembre qui permet aux ministères de continuer à fonctionner, en attendant le vote au Parlement d'un nouveau budget pour 2025. Avec toujours les mêmes paramètres : une Assemblée sans majorité et un pays qui connaît un record d'endettement, à hauteur de 3 300 milliards d'euros.Le nouveau Premier ministre, François Bayrou, avait déclaré, le 19 décembre dernier, espérer l'adoption d'un budget "à la mi-février" sans toutefois être "sûr d'y arriver". Il avait également indiqué qu'il repartirait de "la copie qui a été votée" au Parlement avant la censure de son prédécesseur, Michel Barnier. Alors à Bercy on cherche la voie de passage, multipliant ces derniers jours les appels aux partis politiques en attendant les réunions de la semaine prochaine. Mais comment compte-t-il faire ? "Nous devons réduire le déficit, sans tuer la croissance", soulignait Éric Lombard, le nouveau ministre de l'Économie et des Finances, au lendemain de sa prise de fonction. Une formule qui demeure encore à plusieurs inconnues et s'annonce complexe à l'heure où derrière une économie allemande atone, les voyants indiquant un ralentissement de l'économie française se multiplient.À commencer par les défaillances d'entreprise qui tournent autour de 66 000 en 2024. Le nombre d'entreprises ayant déposé le bilan (ou en passe de le faire) est désormais comparable à celui enregistré lors de la crise financière de 2008. Dans certains secteurs en particulier la grande distribution, l'automobile, ou encore l'immobilier, les plans sociaux se succèdent. Un mur de faillites qui pourrait avoir un lourd impact sur l'emploi. D'ailleurs après des années de baisse qui ont fait suite à la parenthèse Covid, le taux de chômage remonte. Il devrait atteindre 7,5 % début 2025. Toutefois certains secteurs d'activité se portent bien et empêchent le chômage de trop grimper. Ainsi des entreprises, notamment dans l'industrie, ont leurs carnets de commandes pleins, mais certaines ont bien du mal à trouver des salariés qualifiés. Nous nous sommes rendus en novembre dernier à Saint-Nazaire où une vingtaine d'entre elles ont participé à un job dating sur l'industrie pour faire leur recrutement.Alors quelle est la situation économique de la France ? Pourquoi connaît-elle un déficit public record ? 2024 a-t-elle été une année noire pour l'emploi ? Assiste-t-on au retour du chômage dans le pays ? Dette, emploi, croissance… à quoi s'attendre en 2025 pour la France ? Retour sur cette année 2024 qui a vu la dette publique atteindre un niveau inédit et perspectives économiques pour 2025.Les experts : - Nicolas BOUZOU, économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Lucie ROBEQUAIN, directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche - Anne DE GUIGNÉ, grand reporter au service économie – Le Figaro- Frédéric DABI, directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP
C dans l'air du 31 décembre - Finances publiques : la diète en 2025 ? Présentation: Lorrain SénéchalLes experts : - Nicolas BOUZOU, économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express - Lucie ROBEQUAIN, directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche - Anne DE GUIGNÉ, grand reporter au service économie – Le Figaro- Frédéric DABI, directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP
L'émission 28 minutes du 20/12/2024 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Nicolas Bouzou, essayiste et économiste, Géraldine Woessner, rédactrice en chef au “Point”, Catherine Tricot, directrice de la revue “Regards” et la dessinatrice de presse Coco. Retour sur deux actualités de la semaine : Verdict dans le procès Mazan : quelles leçons en tirer pour l'avenir ? Les cinq magistrats de la cour criminelle du Vaucluse ont rendu, jeudi 19 décembre, leur verdict dans le procès dit “des viols de Mazan”. La peine maximale, 20 ans de prison, a été prononcée contre Dominique Pelicot, suivant les réquisitions du parquet qui le décrit comme le “chef d'orchestre” de la décennie de viols sur son épouse Gisèle Pelicot, après l'avoir droguée. Les peines prononcées contre les 50 co-accusés sont toutefois inférieures aux réquisitions qui étaient de 10 à 18 ans de prison. Les journalistes qui ont assisté à l'intégralité des audiences depuis quatre mois, comme Pascale Robert-Diard, journaliste au “Monde”, s'interrogent : ce procès historique, qui a eu un écho à travers le monde, était-il celui d'un système et de “la culture du viol” ou le procès de "l'un des plus grands criminels du siècle”, Dominique Pelicot ? Faut-il revenir sur le non-cumul des mandats, comme le souhaite François Bayrou ? Le nouveau Premier ministre François Bayrou a affirmé, lundi 16 décembre, qu'il fallait revenir sur la loi interdisant le cumul des mandats estimant qu'elle était “une erreur”. Il plaide pour un plus grand enracinement local des députés et des sénateurs qui siègent à Paris : “J'ai été choqué, tout au long des dernières années, par la rupture entre la base de la société française et les milieux de pouvoir.” Il entend rouvrir le débat et abordera le sujet dans sa déclaration de politique générale le 14 janvier devant l'Assemblée nationale. Nous recevons Isabelle Marquette, commissaire de l'exposition “La Saga des grands magasins — de 1850 à nos jours” à la cité de l'Architecture et du patrimoine, à Paris, jusqu'au 6 avril 2025. Elle rassemble près de 500 œuvres originales provenant des collections inédites des grands magasins. Ces institutions, qui ont connu leur âge d'or entre 1850 et 1930, doivent aujourd'hui se réinventer face à l'émergence du commerce en ligne. Frédéric Says revient sur le duel qui a traversé l'année 2024 entre défenseurs des accords de libre-échange et partisans du protectionnisme. Cette opposition est source de désaccord en Europe, particulièrement sur la question du Mercosur. Outre-Atlantique, Donald Trump, élu en novembre aux États-Unis, a promis une guerre douanière sans merci avec la Chine. La dissolution de l'Assemblée nationale, les Jeux olympiques, l'élection présidentielle américaine ou encore la réouverture de Notre-Dame de Paris : de nombreuses photos et vidéos créées par l'intelligence artificielle, toujours plus réalistes, ont accompagné l'année 2024, tissant une ligne encore plus fine entre la fiction et la réalité. C'est le point com de Paola Puerari. Le rugbyman Antoine Dupont et le footballeur Kylian Mbappé sont deux stars du ballon, deux grands talents de leur discipline et deux icônes du sport français. Pourtant, leurs trajectoires ont été drastiquement opposées lors de cette année 2024. Le premier a été couronné aux Jeux olympiques tandis que le deuxième est devenu la cible des critiques. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch. Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur le cyclone Chido à Mayotte et les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 20 décembre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
Le sujet :Dans cet épisode passionnant, Thomas Friedberger, CEO de Tikehau Capital, partage dix grandes tendances qui redéfinissent le monde des investissements. De la démographie aux défis climatiques, en passant par les révolutions technologiques comme l'IA et la démondialisation, chaque point soulève des questions cruciales pour l'avenir de notre économie et de notre planète. Cet échange vous invite à réfléchir aux impacts profonds de ces transformations sur vos choix d'investissement.L'invité du jour :Thomas Friedberger est le CEO de Tikehau Capital, un acteur majeur de l'investissement et de la gestion d'actifs. Entrepreneur et stratège, il apporte son analyse unique sur les grands bouleversements géopolitiques, technologiques et environnementaux qui façonnent notre époque.Les points développés dans cet épisodes :
Ce mardi 12 novembre, les différentes manifestations syndicales, notamment celle de la NSPL du jeudi prochain contre le triplement de la taxe sur le transport aérien, la grève ultimatum de la SNCF, et celle des agriculteurs, ont été abordées par Alexandra Roulet, professeur à l'Insead, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 12 novembre, les défaillances et les crises des entreprises ont été abordées par Alexandra Roulet, professeur à l'Insead, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Astéres, et Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 12 novembre, Nicolas Doze a reçu Alexandra Roulet, professeur à l'Insead, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Depuis 1950, l'Europe est gouvernée par une alliance entre les conservateurs démocrates-chrétiens et les socio-démocrates. Elle est gouvernée en fait au centre. Il était exclu qu'on puisse gouverner avec l'extrême droite parce que l'Europe a été fondée justement sur les ruines laissées par le fascisme après la Seconde Guerre mondiale. Mais les temps ont changé. La droite européenne est maintenant regroupée au sein du PPE, le Parti populaire européen. Gouverner avec l'extrême droite et les populistes n'est plus un tabou. Jean Quatremer se demande si devenir d'extrême droite pour lutter contre l'extrême droite est une bonne chose. Le 8 décembre, c'est la renaissance de Notre-Dame. La ministre de la Culture Rachida Dati propose de faire payer un billet d'entrée pour la cathédrale. Selon Arlette Chabot, Rachida Dati a parfaitement raison. "Il faut sauver le patrimoine religieux", poursuit-elle. Bruno Le Maire avait déclaré que les primes liées aux médaillés olympiques seraient défiscalisées. Il n'y aurait pas d'impôt dessus, et c'est une idée soutenue par le gouvernement actuel, en particulier par le nouveau ministre des Comptes publics, Laurent Saint-Martin. Fiscaliser cela va rapporter quatre à cinq millions d'euros, ce qui est insignifiant, d'après Nicolas Bouzou, étant donné que le gouvernement cherche 60 milliards. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Doukhan apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
C dans l'air du 4 octobre - M.Barnier : l'alerte à la "crise financière"Les experts :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès- CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique - France Télévisions- ANNE DE GUIGNÉ- Grand reporter Le Figaro Economie
C dans l'air du 4 octobre - M.Barnier : l'alerte à la "crise financière""Cela va être très dur" a prévenu hier soir le Premier ministre dans l'émission L'Evènement sur France 2. "Dans l'effort que nous allons faire pour réduire la dette, 60 milliards (d'euros), il y aura deux tiers de réduction des dépenses publiques" et un tiers de recettes fiscales a expliqué Michel Barnier. Mais "il n'y aura pas de choc fiscal" a-t-il affirmé. Seules "les 300 entreprises" qui font plus "d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires" et "les 65 000 foyers" fiscaux les plus riches paieront plus temporairement.C'est, en revanche, sur les économies, 40 milliards d'euros, que "ça va être très dur". Avec des services publics en première ligne : "On va fusionner des services publics. On va sans doute ne pas remplacer tous les fonctionnaires quand ils ne sont pas en contact direct avec les citoyens, tous les fonctionnaires qui partent en retraite", a-t-il affirmé.Une pilule amère pour les syndicats qui l'avaient rencontré dans l'après-midi. "C'est de la pure démagogie de penser que seuls les fonctionnaires qui seraient en contact direct avec les usagers seraient utiles" a dénoncé le secrétaire général de la FSU ajoutant : "L'argument qui consiste à dire que la France serait suradministrée est démagogique, il est faux". "Je pense que les prochaines semaines vont être tendues", a assuré, de son côté, Mylène Jacquot de la CFDT fonction publique.Parmi les autres pistes évoquées ces derniers jours par Matignon et Bercy figurent le report de six mois de l'indexation des pensions des retraites sur l'inflation, qui n'interviendrait pas le 1er janvier mais le 1er juillet l'an prochain. Le gouvernement compte également limiter à 2,8 % la progression de l'Ondam (objectif national des dépenses d'assurance maladie), après une hausse de 3,2 % en 2024. L'exécutif prévoit aussi 6 milliards d'euros de coupes budgétaires sur les collectivités locales qui sont épinglées dans leur dernier rapport par la Cour des comptes. Dans ce document, les magistrats proposent notamment de supprimer progressivement 100 000 emplois dans les collectivités locales, sur les deux millions d'agents publics qui y travaillent, pour économiser 4,1 milliards d'euros par an.Pour l'heure, le Premier ministre n'a pas précisé comment celles-ci allaient participer à la réduction du déficit public mais il avait affirmé dans son discours de politique générale vouloir un "nouveau contrat de responsabilité" avec elles. Il avait également indiqué vouloir encourager "les expérimentations telles que les Territoires zéro chômeur de longue durée qui donnent des résultats".Enfin sur l'immigration, "c'est moi qui fixe la ligne" a déclaré hier soir Michel Barnier après les propos de son ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. "Il y aura des mesures rigoureuses pour (la) maîtriser" a-t-il ajouté se défendant de négocier avec Marine Le Pen. La leader du parti d'extrême droite avait salué ces derniers jours l'"envolées lyriques sur le rétablissement de l'ordre" du nouveau locataire de la place Beauvau et des propositions qui "ne sont pas sans me rappeler un certain programme présidentiel". A la suite du discours de politique générale, la cheffe des députés RN - qui est jugée depuis le 30 septembre et pour deux mois dans l'affaire dite des assistants parlementaires européens du FN - avait confirmé qu'elle n'entendait pas censurer a priori le Premier ministre, tout en conditionnant ce soutien à trois exigences.Alors 40 milliards d'économies, 20 milliards de recettes fiscales, que prévoit le gouvernement Barnier ? Quelles conséquences sur les services publics ? Qu'est-ce que les territoires zéro chômeur de longue durée ? Enfin quels sont les enjeux du procès des assistants parlementaires européens du Front national (devenu le RN) ? Que reproche la justice au parti et à Marine Le Pen ?Les experts :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès- CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique - France Télévisions- ANNE DE GUIGNÉ- Grand reporter Le Figaro Economie PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mercredi 25 septembre, l'écart de taux entre la dette allemande et la dette française qui atteint 80 points de base, ainsi que la prime de risque de la France qui a dépassé, pendant quelques heures ce mardi, celle de l'Espagne, ont été abordés par Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyses et Prévisions de l'OFCE, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et André Loesekrug-Piétri, président de l'agence JEDI, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 25 septembre, les dizaines de milliards d'euros apportées tous les ans par l'État pour combler le financement du régime de retraite des fonctionnaires, et les crédits accumulés pour équilibrer ce système qui n'est pas autofinancé, ont été abordés par Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyses et Prévisions de l'OFCE, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et André Loesekrug-Piétri, président de l'agence JEDI, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 25 septembre, Nicolas Doze a reçu Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyses et Prévisions de l'OFCE, Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d'analyse économique et de conseil Asterès, et André Loesekrug-Piétri, président de l'agence JEDI, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Depuis ce matin, tous les anciens amis de François Ruffin l'accablent. "Ce n'est pas un camarade [...] Il commence à un peu trop marquer contre son camp", a déclaré par exemple Éric Coquerel. En cause, le député NFP de la Somme accuse Jean-Luc Mélenchon d'abandonner les classes populaires françaises, rurales et périurbaines. Pour Ruth Elkrief, "François Ruffin a dit la vérité". Après le débat entre Donald Trump et la candidate démocrate, Taylor Swift a exprimé son soutien à Kamala Harris via un post sur Instagram, tout en invitant ses fans à effectuer des recherches pour un choix éclairé. "D'accord Taylor... Tu gagnes... Je te ferai un enfant et protègerai tes chats au péril de ma vie", a répondu Elon Musk. "Entre les deux, je suis fou de Taylor Swift", réagit Nicolas Bouzou. En Jordanie, les islamistes, les Frères musulmans, remportent les élections, "l'onde de choc du Hamas". C'est le Front d'action islamique, le FAI, qui devient le premier parti jordanien, avec 31 sièges sur les 41 réservés aux partis politiques. Selon Abnousse Shalmani, "c'est une surprise parce que le pouvoir jordanien a tout fait pour museler l'opposition." Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babeau souligne que la France a davantage besoin d'un gestionnaire de crise que d'un médiateur familial à la tête du gouvernement. Alors que la nomination d'un nouveau Premier ministre est attendue, l'analyste économique estime qu'il faut plutôt nommer quelqu'un capable de prendre des décisions courageuses pour redresser la situation économique et budgétaire du pays.En effet, les derniers chiffres du déficit public prévu pour 2024 sont alarmants, avec un risque d'atteindre 6,2% du PIB. Cette dérive budgétaire s'explique notamment par des recettes fiscales moindres que prévu et par la hausse des dépenses des collectivités locales, elle-même liée à l'inflation et à la revalorisation du point d'indice des fonctionnaires. Au-delà du déficit, le système dans son ensemble montre des signes de fragilité, avec des déficits sociaux importants qui nécessiteraient également une attention particulière. Plutôt que de se focaliser sur la nomination d'un rassembleur, Nicolas Bouzou estime que la priorité doit être de nommer un véritable gestionnaire de crise capable de prendre les décisions difficiles pour redresser la situation économique et financière du pays.Cet épisode offre donc un éclairage pertinent sur les enjeux économiques et budgétaires auxquels la France est confrontée, invitant à une réflexion approfondie sur le profil du prochain Premier ministre.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à la nouvelle note de conjoncture de l'INSEE.
Ce mercredi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à la perception des marchés sur la situation politique actuelle et donc les conséquences de ces élections législatives.
Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à ce que pourrait être le programme économique d'une majorité qui unirait le camp présidentiel et la gauche.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse au vote du budget au lendemain des élections législatives.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse aux différents programmes économiques de ces élections législatives.
Ce mercredi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse aux votent des Français en fonction de leurs revenus.
Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à aux marchés étrangers vis-à-vis des élections législatives.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse aux défis économiques du futur Premier Ministre : les finances publiques très dégradées et les investisseurs étrangers.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la nécessité d'analyser les différents programmes économiques présentés lors de la campagne aux législatives.
Ce mercredi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur le bilan économique d'Emmanuel Macron après sept années à l'Élysée.
Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur le programme économie annoncé par Jordan Bardella pour le Rassemblement national.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse au programme économique du Nouveau Front Populaire dont les chiffres ont été dévoilés.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'annonce de Jordan Bardella qui souhaite un audit des Finances publiques.
Ce mercredi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'absence du libéralisme dans les programmes des différents partis pour les élections législatives.
Ce mardi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur l'origine du nom choisi pour représenter l'union des gauches lors des élections législatives, le nouveau Front populaire.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur le programme économique et fiscal du nouveau Front populaire, composé par La France insoumise, le parti socialiste, EELV ou encore le NPA.
Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la dette française qui se creuse et qui aura bientôt des impacts concrets.
Ce mercredi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou fait le point sur le système des retraites à l'occasion de la sortie du rapport du Conseil d'orientation des Retraites, quelques mois après le passage de la réforme controversée.
En 2006, Renaud Visage crée Eventbrite, la première plateforme mondiale d'événementiel en ligne. 1990, San Francisco. La vague du digital déferle sur la côte Ouest et Renaud Visage est alors jeune diplômé d'ingénierie environnementale. Il se prend de passion pour le développement web : API, architecture des données, les premiers langages de programmation… Très vite, il rédige ses premières lignes de code, seul, pour lancer Eventbrite. En 3 ans, la plateforme est présente dans 155 pays. Pour son entrée en bourse en 2018, elle atteint une valorisation de 2 milliards avant de redescendre à 500 millions après le Covid. Aujourd'hui, Eventbrite excède les 300 millions de CA pour 5 millions d'événements par an. Au fil de cette aventure, Renaud raconte la créativité des ingénieurs, le phénomène des “10x developers”, comment en devenir un, le management d'équipes tech… En 2023, il fonde Slate Venture Capital, un fonds d'investissement dans la Climate Tech après avoir investi en tant que Business Angel auprès de plus de 60 startups. TIMELINE: 00:00:00 : Pourquoi Soundcloud est has been 00:13:31 : Comprendre le fonctionnement d'une entreprise tech 00:22:34 : Les débuts d'Eventbrite 00:30:15 : La créativité dans l'ingénierie, comprendre les serveurs et l'IA 00:41:19 : Comment choisir les bons outils au lancement d'un projet 00:46:40 : Mettre fin à l'enfer des tableau Excel 01:10:41 : Les ingénieurs 10x 01:23:45 : Dinosaures, loi de Moore et IA 01:32:17 : La tech au service du climat 01:45:27 : L'investissement dans la climate tech : l'exemple Slate 01:59:37 : Découverte de Manille et les actus de Slate.vc Quelques anciens épisodes de GDIY qui vous plairont : #388 - Benoit Lemaignan #369 - Nicolas Schweitzer #148 - Jean-David Chamboredon #378 - Nicolas Bouzou #57 - Marc Fiorentino Avec Renaud , nous avons parlé de : Eventbrite AWS summit Paris, événement dédié au Cloud, à la Data et à l'IA Salesforce Alvo OVNI Pipedrive Kevin et Julia Hartz, cofondateurs de Evenbrite Sequoia Live Nation Google DeepMind Loi de Moore (sur l'évolution de la puissance de calcul des ordinateurs et de la complexité du matériel informatique) L'imagerie des dinosaures et de la préhistoire de Emilie Beaumont Point Nine State of European Tech 2023 Romain Trebuil de Circle Slate.vc Sena Magma Renaud vous recommande de lire : Here We Are de Oliver Jeffers Vous pouvez contacter Renaud Visage sur Linkedin et Instagram. La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.