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durée : 00:02:49 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Dans le 6/9, nous recevons à 6h20 Fabrice Rizzoli, docteur en sciences politiques et spécialiste de la grande criminalité, à 7h45, on se demande si TVA sociale peut-elle sauver la sécu avec Dominique Seux et Thomas Porcher. Et à 8h20, Manuel Valls, ministre d'État, ministre des Outre-Mer. - réalisé par : Marie MéRIER
François Bayrou veut demander leur avis aux français sur la dépense publique.▶ Soutenez Le Média :
durée : 03:20:28 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons à 6h20 le correspondant de La Croix au Vatican, Mikaël Corre. Puis à 7h45, on se demande si le train devient trop cher avec Dominique Seux et Thomas Porcher. Et à 8h20, un plateau spécial pour l'élection du nouveau Pape Léon XIV. - réalisé par : Marie MéRIER
La semaine dernière c'était le 1er mai : fête des travailleurs et des travailleuses. Une journée chômée et payée qui permet de remettre les questions du travail, et plutôt des droits des travailleurs, sur la table. Entre 150 000 et 300 000 personnes ont battu le pavé pour cette journée historique partout en France jeudi dernier. Les français ne travaillent pas assez, le coût du travail plombe les entreprises et l'activité, on prend trop de vacances, trop d'arrêts maladie… Les attaques aux droits sont nombreuses dans le pays.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
ArcelorMittal supprime 636 postes dans le Nord de la France, malgré 300 millions d'euros d'aides publiques reçues en 2023. Thomas Porcher dénonce la politique économique de Macron, qui subventionne des entreprises qui licencient...▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:10:07 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'économiste Thomas Porcher, professeur à la PSB Paris School of Business était l'invité de France Inter ce lundi. Il publie “Le vacataire. Expérience vécue de la précarité à l'université” (Stock).
durée : 00:10:07 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'économiste Thomas Porcher, professeur à la PSB Paris School of Business était l'invité de France Inter ce lundi. Il publie “Le vacataire. Expérience vécue de la précarité à l'université” (Stock).
Encore un revirement pour Donald Trump qui joue avec l'économie mondiale.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
durée : 02:58:51 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, on parle du festival du Livre de Paris avec son président Vincent Montagne à 6h20, on se demande si c'est la fin de la mondialisation ? - réalisé par : Marie MéRIER
Aujourd'hui, c'est au tour de Thomas Porcher, économiste et auteur de "Le vacataire", de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Trump est-il en train de renverser l'économie mondiale ?Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
durée : 03:01:03 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, on parle vacances scolaires avec le directeur général du cabinet Protourisme, Didier Arino à 6h20, et à 7h45, "L'Europe peut-elle gagner la guerre commerciale ?”, ce sera le sujet du débat éco. A 8h20, nous recevons l'écrivain voyageur Sylvain Tesson pour son dernier livre. - réalisé par : Marie MéRIER
En France, la fortune héritée représente désormais 60 % du patrimoine total, contre 35 % au début des années 1970, selon le Conseil d'analyse économique.▶ Soutenez Le Média :
durée : 03:00:26 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, nous parlons du 18ème Congrès Médecine Générale avec Paul Frappé, président du Collège de Médecine Générale, puis c'est le débat éco avec Thomas Porcher et Dominique Seux, et on parle géopolitique à 8h20, avec les journalistes Isabelle Lasserre et Jean-Dominique Merchet. - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 02:58:29 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, on parle jeux olympiques avec le professeur émérite à l'université de Lausanne Jean-loup Chappelet à 6h20, le conclave sur les retraites au cœur du débat éco de 7h45, et à 8h20, le président de la cour des comptes Pierre Moscovici. - réalisé par : Marie MéRIER
“Nous sommes en guerre”. On se rappelle toutes et tous de ces mots prononcés par Emmanuel Macron pendant la crise Covid. Cela fait 5 ans que le premier confinement a débuté.▶ Soutenez Le Média :
durée : 03:01:12 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9; nous recevons à 6h20 le docteur Marc Rey pour la 25ème journée du sommeil. A 7h45, le débat éco : "5 ans après le confinement, qu'en teste-t-il ?" et à 8h20, nous recevons le - réalisé par : Marie MéRIER
“M” is for Miles, William Porcher [1822-1899]. Educator, congressman.
La France entre-t-elle en “économie de guerre” ? Depuis l'allocution d'Emmanuel Macron mercredi dernier, les questions et spéculations fusent.▶ Soutenez Le Média :
durée : 02:59:25 - Le 6/9 - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons à 6h20 le porte-parole des Restos du cœur Yves Merillon. Puis à 7h45, c'est le débat éco et à 8h20, notre invité est Raphaël Glucksmann, député européen, membre de la Commission des affaires étrangères et de la Commission du commerce international.
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Trump démarre-t-il une guerre commerciale avec l'Union Européenne ? Le président des Etats-Unis a annoncé mercredi, à l'occasion de la première réunion de son cabinet à la Maison-Blanche, que les produits européens feront l'objet “prochainement” de 25% de droits de douane, “soit le niveau auquel les produits canadiens et mexicains devraient également être taxés à partir de début avril” a ajouté Trump. Malgré toute l'affection portée à l'encontre du leader d'extrême droite, Emmanuel Macron n'a pas su le convaincre. L'UE, par la voix de la Commission européenne, assure qu'elle réagira “fermement et immédiatement”.Trump racontait déjà en février que “l'UE a été très injuste avec nous, nous avons un déficit commercial de 350 milliards de dollars, ils n'achètent pas nos voitures, nos produits agricoles, ils n'achètent quasiment rien, nous devons rectifier cela”.▶ Soutenez Le Média :
durée : 02:59:34 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons à 6h20, la réalisatrice Laurie Delhostal, puis à 7h50, "Comment sauver nos retraites ?", c'est le débat éco avec Dominique Seux et Thomas Porcher. A 8h20, grand entretien en direct de Berlin pour les élections fédérales en Allemagne avec Simon Le Baron. - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 03:00:15 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9, nous recevons à 6h20 Nathalie Tehio, présidente de la Ligue des Droits de l'Homme. A 7h50, débat éco avec Dominique Seux et Thomas Porcher, et dans le grand entretien, l'activiste Camille Etienne et l'économiste Gabriel Zucman. - réalisé par : Marie MéRIER
“D” is for DuBose, William Porcher (1836-1918). Professor, theologian.
Le budget a officiellement été adopté au Parlement la semaine dernière, après un 49.3 actionné par François Bayrou, puis par une motion de censure qui n'a pas obtenu assez de votes. En effet, la majorité des socialistes et le Rassemblement National ont décidé de ne pas censurer le gouvernement. Alors, le budget est passé. Le reste du NFP dénonce vivement le choix du PS de ne pas voter la censure. Ils fustigent un budget “pire que celui de Barnier”. On va aller voir ça.Eric Lombard, Ministre de l'Économie, a annoncé un grand “tournant dans la gestion des finances publiques” jeudi soir sur France 2. Le gouvernement vise 5,4% de déficit pour 2025, et 3% pour 2029, en lien avec leurs engagements à l'UE. Côté recettes, est annoncée la contribution sur les plus hauts revenus, qui visera les personnes les plus riches (revenu fiscal annuel qui dépasse 250 000 € pour un célibataire et 500 000 € pour un couple), et dont le taux d'impôt sur le revenu est inférieur à 20%. Le dispositif a été limité à un an (alors que c'était 3 à l'origine). Pour les grandes entreprises c'est pareil, on passe d'une contribution de 2 ans à 1 an : cela cible les 400 entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires d'au moins 1 Md€ et sont redevables de l'impôt sur les sociétés. Tout cela devrait peut être rapporter 10 milliards à l'Etat.Le taux de la taxe sur les transactions financières est porté de 0,3% à 0,4% (c'était une faveur au PS). Une taxe sur les rachats d'actions suivis d'une annulation est créée pour les entreprises ayant un recours croissant à cette pratique et qui leur permet de distribuer une partie de leur excès de trésorerie à leurs actionnaires. Elle concernera les plus grandes entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse 1 Md€, pour leurs opérations réalisées entre mars 2024 et février 2025.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
durée : 03:06:45 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - A 6h20 aujourd'hui, on parle du remboursement intégral des fauteuils roulants avec Sébastien Peytavie, député de Dordogne. A 7h45, c'est le débat éco et à 8h20, L'acteur Kad Merad, le médecin Claude Grange et le réalisateur Costa Gavras viennent parler du "dernier souffle", en salles le 12 février. - réalisé par : Marie MéRIER
Thomas Porcher, économiste, membre des Économistes atterrés et auteur de la BD « L'économie pour les 99 % », aux éditions Stock était l'invité de l'émission Ecorama du 6 février 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Il nous a donné son point de vue sur l'objectif de réduction du déficit, la vulgarisation de l'économie et les écarts de revenus en France. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
ARTCENA présente « Première écoute » un rendez-vous audio pour découvrir les textes lauréats de l'Aide nationale à la création de textes dramatiques. Découvrez le texte « Sans retour » de Nicolas Porcher Jouve, lecture dirigée par Nicolas Porcher Jouve, lu par Ellen Huynh Thien Duc et Quentin Raymond. CRÉDITS : Production : ARTCENA
6,3 milliards d'économies supplémentaires, c'est ce qu'ont voté les sénateurs pour le projet de loi de finances 2025. “L'examen a été marqué par les coups de rabot de dernière minute du gouvernement” raconte Public Sénat. La chaîne raconte : “un amendement de dernière minute, déposé parfois dans la nuit voire une heure avant, souvent défendu laconiquement par des ministres, dont plusieurs se voient eux-mêmes imposer ces coupes par Bercy. Les sénateurs se sont retrouvés à découvrir ces économies supplémentaires, ne pouvant travailler dans de bonnes conditions.” Une méthode décriée de la gauche jusqu'aux républicains, décrivant des conditions de travail “athlétiques”. Public Sénat poursuit : “Cette méthode, qui ne fait pas dans la dentelle, a un objectif : trouver des économies. Et le gouvernement n'y est pas allé de main morte. Ce qu'il assume. Il vante une réduction des dépenses de l'Etat et de ses opérateurs de 2 %. Du jamais vu depuis 25 ans, souligne l'exécutif.” La majorité sénatoriale (droite et gouvernement), a tout de même soutenu ces coupes. Quelques exemples : -995 millions sur l'écologie, -630 millions sur l'enseignement supérieur et la recherche. Sur les collectivités, on rabote l'augmentation, de 5 à 2,2 milliards. Public Sénat note une “Rare exception : le budget de la défense est sanctuarisé, avec une hausse de 3,3 milliards d'euros, conformément à la trajectoire de la loi de programmation militaire 2024-2030”. Alors ça c'est ce qui a été décidé au Sénat. On le sait, à l'Assemblée Nationale le budget s'est fait censurer. Donc rendez-vous à la commission mixte paritaire le 30 janvier, où députés et sénateurs vont devoir trouver un texte commun. Le gouvernement table sur 5,4 % de déficit. Il serait autour de 6% en 2024. Des orientations inquiétantes et qui répondent à l'inverse du problème, explique Thomas Porcher. On parle très peu de l'énorme dérapage des comptes publics en 2023 et 2024 estimé à presque 70 milliards d'euros par la direction générale du Trésor. Et ce sont les salariés, les pauvres, les retraités ou les chômeurs qui vont payer, annonce l'économiste. Il y a eu aussi toute la polémique autour de taxer les retraités les plus riches… Éric Lombard, le ministre de l'Économie a exclu mercredi 22 janvier dans les Échos cette idée, contredisant donc la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet qui avait soumis l'idée. Autre idée de piste, les 7 heures de travail non rémunérées (donc ça ferait 14 en tout). Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement, a indiqué que cette idée, comme la taxation des retraités aisés n'était pas "la position officielle du gouvernement à ce stade". On peut voir que les Ministres avancent leurs idées, se font contredire… ça cherche des pistes un peu partout pour pas toucher au fond du problème : la mauvaise répartition des richesses. ▶ Soutenez Le Média :
François Bayrou tend-il la main au NFP, ou assistons-nous à une arnaque ? Jeudi dernier a eu lieu le vote sur la motion de censure déposée par une partie du NFP. Et le PS ne l'a pas votée. Les socialistes ont fait le choix de la négociation avec les macronistes. Ce qui a fait basculer c'est cette lettre, envoyée par le Premier Ministre, quelques heures avant le vote. Dedans, François Bayrou aborde la réforme des retraites. Pas de suspension ou d'abrogation, mais ce fameux “conclave” entre les partenaires sociaux. S'ils ne trouvent pas d'accord, alors la réforme sera remise dans les mains du parlement, alors qu'elle devait revenir à celle de Borne initialement. Le Premier Ministre annonce 1 milliard de crédits supplémentaires pour l'ONDAM, donc la caisse d'assurance maladie. Après le reste, c'est surtout des annulations de mesures que portaient Michel Barnier, mais pas encore mises en place comme : la suppression des 4000 postes dans l'éducation, les 2 jours de carence supplémentaires pour les fonctionnaires, les 500 postes supprimés à France Travail… Enfin, Bayrou a annoncé une surtaxe provisoire de l'impôt sur les sociétés de 8 milliards. Ca ne rattrape pas toutes les baisses d'impôts mis en place par Emmanuel Macron cependant. Côté écologie, le Premier Ministre avance un plan eau majoré de 475 millions. Thomas Porcher estime que ce sont des miettes, et que ça ne change pas le projet libéral d'Emmanuel Macron. Pour l'économiste, le PS trahit les promesses du programme du NFP, bannière sous laquelle ils se sont fait élire. Les partenaires sociaux se sont mis autour de la table pour rediscuter des retraites, à l'initiative de Mr. Bayrou. Le Premier Ministre fixe comme objectif de parvenir à un accord d'ici à la fin de mai. La première réunion sur la réforme des retraites a été « l'occasion de constater l'ampleur des désaccords », surtout sur l'âge de départ, a estimé Sophie Binet vendredi. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher ! ▶ Soutenez Le Média :
Les GAFAM, ces géants du web, font l'objet de vives préoccupations concernant leur influence croissante sur nos démocraties. Le rachat de Twitter par Elon Musk, devenu X, a déclenché une alerte générale. Des enquêtes, comme celle de l'Œil du 20h de France 2, révèlent que Musk manipule l'algorithme de la plateforme pour promouvoir ses entreprises et l'extrême droite américaine, alimentant haine, racisme et désinformation. Les utilisateurs de X ont constaté une radicalisation inquiétante, ce qui a conduit à une vague de départs militants. L'UE, qui interdit de telles manipulations, semble hésiter à réagir face à un acteur aussi puissant. Le ministre français Jean-Noël Barrot appelle à plus de fermeté, soulignant que Musk promeut même l'extrême droite allemande, offrant à des partis comme l'AFD une visibilité inédite. Pendant ce temps, des plateformes comme Facebook suppriment leurs programmes de vérification des informations. Cette situation soulève des questions cruciales. Musk utilise-t-il Twitter à des fins idéologiques, affirme Thomas Porcher. « Ce ne sont pas juste des chefs d'entreprise hors de la sphère politique », explique l'économiste. Au-delà de la fausse image de l'autodidacte devenu milliardaire, son influence politique pose un défi majeur. Les GAFAM, devenus indispensables économiquement, montrent aussi les liens entre libéralisme et extrême droite. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher ! ▶ Soutenez Le Média :
Ran into Lions great Robert Porcher at the Detroit Auto Show and we started talking Detroit Lions (of course) – great observations from the big man. The post Lions Great Robert Porcher appeared first on 94.7 WCSX.
Le 1er janvier 2025, la loi "plein-emploi" impose aux bénéficiaires du RSA (Revenu de Solidarité Active) de réaliser 15 heures d'"activité" par semaine pour continuer à percevoir l'allocation de 635,71 euros. Cette obligation d'activité, inscrite dans un "contrat d'engagement", peut inclure des démarches variées telles que la formation, la recherche d'emploi ou des tâches administratives. Cependant, certaines associations dénoncent une dérive vers du travail non rémunéré, comme l'a observé l'exemple du maire de Villers-en-Vexin, qui a fait travailler des allocataires du RSA pour entretenir le cimetière communal. Bien que l'État s'en défende, cette situation a suscité des préoccupations parmi les organisations sociales. Les référents d'accompagnement sont chargés d'ajuster les tâches en fonction des situations personnelles, mais la loi prévoit aussi des sanctions en cas de non-respect des obligations, y compris la suspension du RSA. Le dispositif inquiète aussi en raison des contrôles renforcés, avec un objectif de 600 000 vérifications en 2025, porté à 1,5 million d'ici 2027. Cette intensification des contrôles, couplée à des réductions de postes dans les services publics de l'emploi, semble accentuer la pression sur les bénéficiaires. Certaines voix, comme celles de la CGT, évoquent une "traque" des chômeurs. Thomas Porcher est catégorique : « il faut lutter contre cette traques aux pauvres pendant que les infimes plus riches engendrent des milliards ». Le nouveau gouvernement, mené par François Bayrou et composé d'anciens ministres comme Gérald Darmanin et Manuel Valls, poursuit l'objectif d'éviter une nouvelle censure. Le budget, déjà en retard, prévoit 50 milliards d'économies, contre 60 initialement, sans augmentation d'impôts. Le ministre de l'Économie espère convaincre une partie de la gauche, mais sans LFI, dans un contexte de déficit visé entre 5% et 5,5%. Thomas Porcher prévient : il ne faut pas que la gauche cède à la peur. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Que retenir de cette année 2024, toujours plus mouvementée et surtout que nous attend-il pour 2025 ? Si vous nous suivez depuis plusieurs années, vous savez que le dernier épisode de l'année de l'Instant Porcher permet de faire le bilan de l'année 2024 et surtout d'analyser ce qui nous attend pour 2025. Entre la dissolution, les différents Premiers Ministres, la chute du gouvernement historique ou un budget flou très divisé dont le projet macroniste était très inquiétant, il est temps de faire le point avec Thomas Porcher. L'économiste retient de cette année un énième trait d'union entre les libéraux et l'extrême droite, entre le gouvernement Macron-Barnier ou encore l'élection de Donard Trump. Il n'y a pas de risque de shut down à l'américaine, mais, 2025 sera le temps des clarifications avec un François Bayrou qui a peiné à former son gouvernement, une assemblée nationale très divisée, et toujours pas de budget. Les macronistes devront prendre position entre l'extrême droite ou la gauche (avec le NFP). Thomas Porcher retient aussi l'état des comptes publics, avec un déficit du fait de la politique de l'offre d'Emmanuel Macron. Le projet libéral du gouvernement notamment austéritaire est dangereux, prévient l'économiste. Un bilan négatif pour le Président de la République donc. A cela, s'ajoute les révélations du Monde : Emmanuel Macron et son équipe parlent de “cage aux folles” en parlant de son Premier Ministre Gabriel Attal ou encore cette phrase, « le problème des urgences dans ce pays, c'est que c'est rempli de Mamadou » devant son ministre de la santé à l'époque Aurélien Rousseau. Le chef de l'Etat aurait aussi qualifié Marine Tondelier ou Lucie Castets de "cocottes". Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
François Bayrou, le Président du MoDem et allié historique d'Emmanuel Macron a été nommé Premier Ministre par le Chef de l'Etat. Le Président de la République voulait d'abord un gouvernement mené par Roland Lescure avec Bayrou en numéro 2, mais devant ses menaces de quitter la coalition, Emmanuel Macron a finalement désigné le patron démocrate. Après que les français et l'Assemblée Nationale aient rejeté la politique d'Emmanuel Macron, c'est un allié macroniste de la première heure qui tient le nouveau gouvernement. “Changement de méthode” nous disait le Président. Le MoDem est le parti qui fait le plus d'appels de phare aux socialistes depuis la dissolution de juin. Sur les 577 députés, le groupe démocrate à l'Assemblée nationale représente 51 députés, auxquels on peut ajouter leurs compères Ensemble pour la République au nombre de 93 et les 34 Horizons. Le RN ne censurera pas “a priori” en attendant de voir, comme pour Barnier. LFI a déjà annoncé la censure. Les autres partis du NFP demandent la non utilisation du 49.3, ce qui ferait fonctionner le parlementarisme texte par texte. Le PS a annoncé s'inscrire dans l'opposition. Marine Tondelier dénonce un cinéma mené par Emmanuel Macron. Un mois après les élections législatives, qui ont morcelé l'Assemblée nationale en onze groupes, François Bayrou avait estimé, à la mi-août, dans Le Figaro : « La seule voie possible – et qui s'imposera –, ce n'est pas un gouvernement d'un côté, s'opposant à l'autre côté, mais une équipe de rassemblement pour affronter les problèmes si graves de notre pays, du monde et de la planète. » lit-on dans Le Monde. On le rappelle, le MoDem a été condamné à 400 000 euros d'amende dans l'affaire des assistants des députés européens et détournements de fonds. François Bayrou a été relaxé, (le parquet a fait appel), mais les cinq eurodéputés poursuivis ont tous été condamnés pour l'emploi d'assistants à Bruxelles payés sur fonds européens, et en réalité employés pour travailler pour le parti. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Le gouvernement Barnier est tombé. Emmanuel Macron avait choisi un Premier Ministre bien à droite pour rassurer son socle mais aussi le RN. Officiellement, le Président de la République avait éjecté la piste NFP pour trouver des « compromis », assurer la « stabilité » et éviter que le gouvernement ne tombe à la première motion de censure. Ben c'est raté. Motion de censure votée la semaine dernière par toutes les oppositions du socle commun à l'Assemblée Nationale. Et qui dit nouveau gouvernement, dit nouvelles tractations. Le NFP repart au charbon pour tenter d'imposer un gouvernement issu de ses rangs, invoquant leur victoire aux élections législatives (de peu). Certaines forces de l'union veulent “changer de méthode” par rapport à cet été. Pendant ce temps, les macronistes font des appels de phare au PS pour qu'ils lâchent la coalition de gauche et rejoignent le socle commun. Sur la base de quel projet ? C'est encore flou. Du côté du PS, la stratégie c'est de négocier un accord de non censure mais d'obtenir un Premier Ministre “de gauche”. Les écolos sont d'avis aussi pour négocier la non censure avec les macronistes. Chez LFI, c'est NFP rien que le NFP. Les socialistes ont rencontré Emmanuel Macron ce vendredi 6 décembre. Les écologistes se déplacent à l'Elysée ce lundi 9. Pas de rencontre pour les insoumis. Jean-Luc Mélenchon a assuré que si les socialistes faisaient alliance avec le bloc central alors le "Nouveau Front populaire continuera sans eux". Boris Vallaud a clarifié la position du PS, “les socialistes ne trahissent pas ce pourquoi ils ont été élus", mais préfèrent "des avancées, même modestes, dans le sens de la gauche, que de grands reculs dans le sens de l'extrême droite". "Ce n'est pas la fin du Nouveau Front populaire, je ne change pas d'alliance", affirme le député. Les socialistes assurent que si le Premier Ministre n'est pas de gauche, ils ne participeront pas au gouvernement. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
C'est l'hécatombe pour les usines françaises et leurs salariés. Michelin annonce la fermeture de ses usines de Cholet et Vannes, qui emploient 1200 personnes. Une fermeture “inéluctable” selon le groupe, en raison je cite “de la concurrence asiatique sur les pneus de camionnettes et poids lourds, mais aussi de la dégradation de la compétitivité de l'Europe”. Inquiétude, colère et lutte gagnent les rangs des salariés de Michelin qui multiplient les manifestations. Michelin a déjà supprimé des postes et des sites en France, Europe ou Chine, toujours au nom de la baisse de la production et de la compétitivité. “Malgré ces fermetures, Michelin reste florissant : le groupe vise 3,4 milliards d'euros de bénéfices en 2024, un chiffre similaire à celui de 2022” s'indigne dans Libération Serge Allègre, secrétaire fédéral de la Fnic-CGT, la branche chimie du syndicat. Un cas loin d'être isolé. Dans la même semaine, Auchan a annoncé supprimé 2300 emplois. Les salariés de la plateforme chimique Vencorex sont menacés par la suppression de 425 postes sur les 450 actuels. Chez le géant de l'automobile Stellantis, on arrête les commandes et conduit à la fermeture de sous traitant comme MA France dans le 93 ; ou encore à Rennes, ou 250 emplois intérimaires sont supprimés. Des "milliers d'emplois" vont être détruits "dans des filières qui sont dans des situations préoccupantes", a prévenu Marc Ferracci, sur France Inter, samedi 9 novembre. Toute la communication autour de la politique de réindustrisation d'Emmanuel Macron tombe à l'eau, analysent Thomas Porcher et Lisa Lap. La conséquence directe de la politique de l'offre du gouvernement mais aussi des anciens présidents, depuis plus de 10 ans, selon l'économiste. La colère agricole repart de plus belle. Malgré les écrans de fumée du gouvernement l'hiver dernier, rien ne s'est arrangé pour les agriculteurs français. La confédération paysanne enchaîne les mobilisations contre le Mercosur, accord de libre-échange qui menace directement l'agriculture familiale française, indique les paysans. La FNSEA elle annonce des mobilisations à partir de ce lundi. L'homme d'affaires à sa tête, Arnaud Rousseau, fustige aussi le Mercosur après avoir soutenu le libre échange il y a quelques mois. Sur le terrain, les paysans parlent surtout revenu. Entre ça et le sujet précédent, les échecs d'Emmanuel Macron se multiplient, 6 ans presque jour pour jour après les gilets jaunes. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
C'est fait, Donald Trump reprend la présidence des États-Unis. Le leader d'extrême droite gagne aussi la Chambre haute du Congrès et le Sénat. Le monde est en alerte tant la première puissance économique mondiale peut influencer le monde. Trump avance le protectionnisme. Un tarif douanier de 10% voire 20% sur toutes les importations, et de 60% sur les produits chinois. Le victorieux du scrutin pense aussi à prolonger les allègements des impôts initiés par lui-même en 2017 (dont les calculs ont montré que cela avait profité aux plus riches notamment) ; Comme le Tax Cuts and Jobs Act, et permet de réduire de 35 à 21% l'impôt sur les sociétés. Côté entreprises, le Président aux relents fascisants veut diminuer le taux d'impôt sur les bénéfices de 21 à 15%. Le think tank transpartisan Responsible Federal Budget estime qu'avec Donald Trump, la dette publique étasunienne augmenterait de 7500 milliards de dollars (pour comparer, la dette française globale est de 3400 milliards). L'Europe se retrouve confrontée à une politique protectionniste quand elle pratique une mondialisation au sein de l'Union Européenne et l'austérité, explique Thomas Porcher. “Nous on est obnubilés par la dette, le déficit. Les américains s'en fichent et ils ont raison”, explique l'économiste. Thomas Porcher regrette que la France n'adopte pas la politique industrielle des États-Unis qui consiste à protéger ses entreprises des effets de la mondialisation. Par contre, Lisa Lap et l'économiste démontent “l'american dream” et déplorent que les libéraux français voient comme un fardeau l'héritage qui faisait la grandeur de la France : sécurité sociale, SNCF, droits sociaux… L'hégémonie des États-Unis et la victoire de Trump posent beaucoup d'interrogations sur la façon dont la première puissance économique mondiale va influencer le monde, sur l'économie mais aussi les droits sociaux. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher.
Thomas Porcher a publié “L'économie pour les 99%” aux éditions Stock il y a quelques jours, avec Ludivine Stock et Raphaël Ruffier-Fossoul. L'économie des 99%, c'est l'économie qui s'adresse à tout le monde et au service de presque tout le monde, raconte l'économiste. A travers un voyage en BD, Thomas Porcher revient sur des concepts sérieux avec de la narration et de l'humour pour livrer un vrai manuel d'autodéfense économique. Nous le savons maintenant, le gouvernement cherche à faire des économies. C'est au tour des fonctionnaires d'être dans le collimateur. Dimanche 27 octobre, le Ministre de la fonction publique Guillaume Kasbarian a annoncé qu'il pensait à durcir le régime d'arrêt maladie des fonctionnaires : augmenter les jours de carence de 1 à 3, et diminuer l'indemnisation en arrêt de travail à 90 % contre 100% actuellement. Pour justifier une telle mesure, les macronistes avancent que les salariés du public seraient avantagés par rapport à ceux du privé. Mathieu Lefèvre, député Ensemble Pour la République parle lui “d'absentéisme” et que la fonction publique doit être davantage productive. Le gouvernement espère économiser 1,2 milliards d'euros par an. Nivellement par le pas, ou privé qui fait la règle ? Thomas Porcher et Lisa Lap expliquent que les salariés du privé n'ont souvent aucun jour de carence. De plus, les chiffres sont clairs : augmenter les jours de carence ne réduit pas drastiquement les arrêts maladie, et peut même les allonger. Enfin, Thomas Porcher rappelle que les fonctionnaires travaillent souvent avec des personnes malades, âgées ou dans la petite enfance, et sont davantage soumises à attraper un virus. Finalement, la réforme ne ferait que rendre moins avantageux d'être salarié du public que du privé. L'économiste le rappelle : si une mission n'est pas remplie par un service public, le privé prendra le relais et la collectivité perdra la compétence, en plus de payer plus cher. L'Espagne connaît des inondations meurtrières qui tournent en catastrophe humanitaire avec au moins 217 morts, des blessés, disparus et d'immenses dégâts. La région de Valence a connu des pluies diluviennes, causant des inondations, les plus graves connues de notre époque. La population très en colère a jeté de la boue sur le roi en visite et a été évacué. En 2023, le président de Région avait supprimé l'unité d'urgence dédiée à la gestion des catastrophes. On nous parle de catastrophe “naturelle” mais c'est une catastrophe humaine et politique à laquelle nous assistons, analysent Thomas Porcher et Lisa Lap. La question écologique est éminemment politique. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Aujourd'hui, c'est au tour de Thomas Porcher, économiste et essayiste, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Les parlementaires vivent au rythme des Projets de Loi de Finances depuis 3 semaines. Alors que le “PLF” qui déterminera le budget pour 2025 est examiné à l'Assemblée Nationale, le Projet de Loi de Finances de la Sécurité Sociale, lui, était examiné en commission des affaires sociales jusqu'à jeudi dernier. Sans majorité absolue, tout le monde essaie de s'imposer amendements par amendements pour que le budget colle le plus à ses idéaux.Lors de ces PLF, la question de l'abrogation de la réforme des retraites a été tiraillée entre la gauche et l'extrême droite. La niche parlementaire du RN arrive avant celle du NFP. Le parti de Marine Le Pen en a profité pour proposer l'abrogation de la réforme. Débat à gauche : faut-il voter une proposition du RN ? Jérôme Guedj, député PS et membre de la commission des affaires sociales, affirme que la voter est inutile car ça n'ira pas au bout, car elle doit passer par le Sénat. Il met en avant le PLFSS et sa commission, plus utile selon lui, pour faire passer l'abrogation. Lundi dernier en commission, les députés du RN ont refusé de voter les amendements de la gauche, arguant que le meilleur moyen d'abroger effectivement la réforme était... de voter leur proposition de loi. Jeudi dernier, l'amendement des socialistes sur l'abrogation est finalement passé et s'est inscrit au PLFSS. À voir si les parlementaires voteront la mesure. Pour la journée du RN, le 31 octobre, leur proposition de loi a été vidée de sa substance. Le 28 novembre, ce sera au NFP (par la niche parlementaire de LFI) qui tentera de faire voter cette proposition de loi. Thomas Porcher dénonce des coups de communication.Lors des débats sur le budget, le retour de l'ISF a été rejeté vendredi dernier, par les voix macronistes et d'extrême droite. Le RN préfère un impôt sur la fortune financière, qui exclut le patrimoine. Thomas Porcher et Lisa Lap rappellent que le patrimoine est également un gros vecteur d'inégalités. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Le doliprane vendu aux américains ? C'est le scandale industriel qui a occupé les politiques la semaine dernière. Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé la cession potentielle de 50% de sa filiale Opella, qui produit des médicaments grand public sans ordonnance dont le doliprane, à un fonds d'investissement américain : Clayton, Dubilier & Rice. L'entreprise s'explique : “Le projet potentiel d'indépendance d'Opella s'inscrit dans la stratégie de Sanofi de se concentrer sur les médicaments et les vaccins innovants.” Il y a quelques mois, Sanofi avait déjà supprimé 330 emplois en recherche et développement en France. Ils assuraient à ce moment là que "la France sera au cœur" de ses futurs projets de recrutements avec au moins 500 recrutements CDI d'ici 2026 et 300 créations de postes sur des métiers en tension. Le fonds français PAI a remis 200 millions sur la table, hors délais, après le scandale, et espère revenir dans la course. Avec cette vente, plusieurs centaines d'emplois français sont de nouveau menacés. Les syndicats ont lancé une grève illimitée depuis jeudi dernier. Les réactions politiques n'ont pas manqué. Le PS demande l'activation du décret Montebourg, qui permet à l'État de bloquer une vente une fois finalisée. Marc Ferracci, Ministre de l'Industrie, dit vouloir “ne pas bloquer par principe” mais demander des garanties comme le maintien de l'emploi ou de la recherche en France. Thomas Porcher critique la stratégie industrielle d'Emmanuel Macron. “Nous sommes dépendants et avons connu des pénuries de médicaments”, regrette l'économiste. Acheter les agriculteurs pour faire passer le traité de libre-échange avec le Mercosur ? Politico révèle que la commission européenne travaille sur un fonds de compensation pour les agriculteurs pour pallier les conséquences négatives de l'accord UE-Mercosur et faire plier la France qui se positionne contre. “De la viande contre des voitures, c'est non ! Message au gouvernement et à la Commission européenne : nous ne sommes ni à vendre ni à acheter !” affirme la Confédération Paysanne. Emmanuel Macron lui a réitéré son refus à Bruxelles. « Le libre échange ne fonctionne plus au 21e siècle » dépeint Thomas Porcher. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
La bataille du budget a commencé. On en parlait déjà la semaine dernière, le projet de loi de finances pour 2025 est tombé. Michel Barnier avait prévenu “ça va être dur'”. Le Gouvernement a pour objectif de ramener le déficit à 5% du PIB en 2025, alors qu'il pourrait atteindre 6,1% en 2024. Il table sur des économies de l'ordre de 60 milliards. Et pas de surprise, pour deux tiers de “l'effort”, ce sera une réduction des dépenses publiques. Concrètement, cela veut dire moins de budget pour les services et missions de l'Etat. Le gouvernement lui parle de “maîtrise” ou de meilleure “efficacité”, “réorientation”. Le Premier Ministre disait être attaché aux services publics, à l'école, au sport… Résultat du PLF 2025 : la mission “sport, jeunesse et vie associative” perd 3 millions. La plupart des missions restent quasi stables : donc pas d'investissement. Et une annonce a pas mal choqué : alors que Michel Barnier disait miser sur l'éducation et l'école, le budget prévoit la suppression de 4000 postes d'enseignants. Il prévoit aussi 2000 embauches d'accompagnants d'élèves en situation de handicap. En tout, l'Etat prévoit -2200 postes, les missions budget et comptes publics ou encore travail et emploi sont concernés. L'Etat compte faire des économies sur la sécurité sociale et les dépenses de santé. Thomas Porcher alerte : ce budget austéritaire va coûter in fine très cher aux français les moins fortunés. L'économiste alerte aussi sur la récession à venir et la baisse de l'activité ce qui va créer une boucle et finalement, ne pas réduire le déficit. Sur les 60 milliards, 20 sont concentrés dans l'augmentation des recettes, par de la taxation. Tout d'abord : les grandes entreprises. 9,8 milliards de recettes concernent “des mesures de mise à contribution des profits des entreprises” : ça passe par une contribution exceptionnelle et temporaire, une taxe exceptionnelle pour les entreprises de fret maritime, suspension de la baisse de la CVAE, et la fiscalisation des rachats d'action. Sur les particuliers : 2,2 milliards concernent un impôt pour les hauts revenus avec un taux moyen minimum de 20%. Par contre, il y a aussi 3 milliards de recettes récupérées sur la hausse des accises sur l'énergie (mais le gouvernement assure une baisse de facture de 9%). Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
Ça y est, la politique et le gouvernement de Michel Barnier sont lancés. La semaine dernière, le Premier Ministre a prononcé son discours de politique générale devant les députés. Sa trajectoire économique est claire : “Le premier remède est la réduction des dépenses”, affirme le chef du gouvernement face à la dette et au déficit. Tout en rappelant que nous sommes le pays “avec les impôts les plus élevés du monde”, le Premier Ministre a dénoté de ses camarades macronistes en annonçant demander “une participation au redressement des comptes aux grandes et très grandes entreprises sur les profits importants” et “une contribution exceptionnelle aux français les plus fortunés”. Panique à droite et extrême droite : on a osé parler taxation des plus gros (qui paient en proportion moins que les moyens rappelons le). Invité sur France 2, Michel Barnier a donné plus de détails. “Il y aura un tiers d'imposition exceptionnelle sur les plus grosses sociétés françaises : celles qui font plus d'1 milliard de chiffre d'affaires” Pour les plus fortunés, c'est un couple avec revenu fiscal de plus de 500 000 euros par an. Pas d'impôt minimum pour les plus riches en tête. Cela reste exceptionnel et temporaire, assure Michel Barnier. Thomas Porcher prévient : entre le théorique et le concret, il peut y avoir une différence. En effet, les plus riches (entreprises ou ménages) peuvent contourner les taux d'imposition avec des mécanismes fiscaux, parfois légaux. Sur les 60 milliards de redressement des comptes, Michel Barnier a annoncé que les deux tiers seront sur la dépense publique. “L'austérité va être très dure” regrette Thomas Porcher, qui déplore un sous-investissement des services publics. Lisa Lap et Andreï Manivit sont allés à l'Assemblée Nationale questionner des députés macronistes et MODEM. Ils réfutent l'idée qu'Emmanuel Macron aurait abandonné les services publics. Michel Barnier a annoncé que la revalorisation du smic de 2% automatique en janvier sera avancée de deux mois. Mais de l'autre côté, la revalorisation des retraites est repoussée de janvier à juillet. Michel Barnier a parlé dès le début de la “dette écologique” qui pesait sur nous. Il a parlé rénovation thermique des bâtiments, décarbonation des usines, sobriété et énergies renouvelables, en disant que les travaux de planification vont reprendre. Mais avec une politique d'austérité, “ce ne sont que des effets d'annonce” prévient Thomas Porcher. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
“M” is for Miles, William Porcher (1822-1899). Educator, congressman. In 1880 Miles was named president of the South Carolina College of Agriculture and Mechanics (the former South Carolina College).
Aujourd'hui au programme, Bruno Le Maire a quitté son navire et on parle d'électorat rural et de stratégie à gauche. L'histoire de L'instant Porcher prend un vrai tournant. Car ça y est, Bruno Le Maire a quitté Bercy. L'ancien ministre de l'Économie est resté sept ans aux manettes aux côtés de Macron. Il déclare "Contre la valse des impôts, nous avons fait le choix de la stabilité fiscale contre le déclassement des classes moyennes. Nous avons revalorisé le travail contre les délocalisations de masse, nous avons engagé la réindustrialisation des territoires contre le french bashing. Nous avons fait de la France la nation la plus attractive en Europe." Thomas Porcher revient sur ces propos qu'il conteste. Thomas Porcher voulait aussi débriefer la petite polémique autour de Ruffin et Mélenchon. Parce qu'il y a un vrai débat de fond sur ce qui a été dit. C'est la stratégie de la gauche autour du fameux électorat rural. Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout ça. C'est l'Instant Porcher !
What's it like to take an edible and watch some horror movies? We discuss such a challenge with our guests this week, Porcher and Elijah from Return of the Giving Dead. And when it comes to horror, we all started somewhere. Everyone shares what got them into the genre with their own horror origin stories. Movies reviewed this week include 10 to Midnight, and The Ghost and Mr. Chicken. Scaredycast is presented by Evil Izzy's Haunted Emporium in Phoenix, AZ! Head to Evil Izzy's for your spooky costume and make-up needs or grab some sweet horror merch! https://evilizzys.com/ This episode is sponsored by: ValuSesh! Want to feel the vibes, but don't want to spend an arm and leg? Sesh For Less and use code SCAREDY at Checkout! https://valusesh.com/ Culture Shock Apparel! From cryptids to the supernatural, and retro pulp art styles, our unique designs dive into the eerie and mysterious. Each shirt is silkscreened in-house, ensuring top quality, and made from the softest, most comfortable materials. https://cultureshockapparel.net/ For super creepy and super cool horror photography check out https://www.instagram.com/staywildwithkyle/ Check out our YouTube where you can now WATCH episodes of Scaredycast! And follow us on social! https://linktr.ee/scaredycast Become a PATRON to support the show and get spooky exclusive content! https://www.patreon.com/scaredycast Original music by Mangy Bones Recorded at XYZ Podcast Studio in Tempe, AZ. Get your horror movie news, reviews, and thoughts at HorrorPress.com! True crime, haunted happenings, UFO sightings, horror movies, and cryptid creatures. All the spooky you can endure inside one little horror podcast. Get the thirst of your morbid curiosity quenched when you check out Scaredycast!
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