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En Côte d'Ivoire, en 2023, le ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfant a identifié plus de 16 300 enfants vivant dans la rue dans une dizaine de villes ivoiriennes, dont Abidjan. Ils dorment sur les trottoirs, survivent de petits boulots ou de mendicité… Des enfants livrés à eux-mêmes et exposés à la violence et aux abus. Mais depuis peu, les choses changent. Grâce au Programme pour la protection des enfants et adolescents vulnérables, des équipes sillonnent les quartiers pour leur tendre la main. Entre missions de rue, écoute et réinsertion, ces acteurs sociaux tentent de redonner une chance à ces enfants oubliés. De notre correspondant à Abidjan, Ce matin-là, des agents du Programme pour la protection des enfants et adolescents vulnérables arpentent les rues d'Abidjan. À bord de leurs véhicules, ils avancent prudemment, scrutent les trottoirs, les marchés, les dessous de ponts et les feux tricolores. Leur mission : repérer les enfants livrés à la rue. Parmi eux, Seaty Ebert, conseiller d'éducation. « Ce sont les mineurs qui sont recherchés. Celles qui vendent l'eau, qui ont l'âge d'aller à l'école et qui sont dans la rue. Et puis au niveau des jeunes garçons, ceux qui sont entre les véhicules en train d'essuyer les pare-brise. À vue d'œil, on les reconnaît », explique-t-il. Prise en charge des enfants au centre d'écoute et d'orientation du programme Quelques minutes plus tard, deux fillettes en train de mendier, un petit vendeur de chips, et un garçon fiévreux couché à même le sol sont identifiés. Embarqués dans le véhicule, les enfants se montrent d'abord méfiants. Ebert tente alors de les rassurer. « N'ayez pas peur, ne pleurez pas. On ne va pas vous faire du mal. C'est compris ! Votre place ce n'est pas dans les rues. » Direction Yopougon, au centre d'écoute et d'orientation du programme. Ici, les enfants mangent, reçoivent les premiers soins, puis sont suivis par des psychologues et des éducateurs. L'intérêt est de comprendre leur parcours, de recontacter les familles quand c'est possible, ou de préparer leur réinsertion. « Chaque enfant est un cas spécifique pour nous », précise Mamadou Touré, responsable dudit centre. « Si c'est un enfant qui a été déscolarisé, on a des écoles partenaires où on place l'enfant. Pour ceux dont l'âge excède 18 ans, on a des centres partenaires. On essaie de déceler le talent qui est le sien et on l'envoie vers cette formation. » Un réseau d'exploitation d'enfants découvert Le dispositif a permis de sortir plus de 4 000 enfants de la rue ces deux dernières années, assure le ministère ivoirien de la Femme, de la Famille et de l'Enfant. Mais les causes restent profondes : pauvreté familiale, violences domestiques, ruptures sociales. Pour certains enfants, revenir dans un cadre strict n'est pas une chose facile. Le sociologue Bini Koffi explique les résistances. « Un enfant qui s'est autonomisé dans la rue, qui a l'habitude d'agir seul et qui est libre de ses actions, si vous le remettez dans une situation familiale, que ce soit dans sa famille, ou dans un centre où il doit être orienté en terme de comportement, il est évident qu'il y aura un clash et il ne peut pas supporter. » Les maraudes ont aussi permis de mettre au jour un réseau d'exploitation d'enfants à des fins de mendicité, provenant de pays voisins. Fin 2023, 18 adultes ont été interpellés. Une enquête a été ouverte par le procureur de la République. Les enfants, eux, ont été confiés à leurs ambassades à Abidjan. À lire aussiCôte d'Ivoire: sortir de la rue

Franck Inghels, directeur de la distribution d'Inter Gestion, revient sur l'état des marchés immobiliers, toujours en bas de cycle, estime-t-il. Un momentum favorable aux SCPI qui collectent, à condition d'être sélectif. Car tous les véhicules n'embarquent pas le même niveau de risque. Site internet : https://www.inter-gestion.com/

Franck Inghels, directeur de la distribution d'Inter Gestion, revient sur l'état des marchés immobiliers, toujours en bas de cycle, estime-t-il. Un momentum favorable aux SCPI qui collectent, à condition d'être sélectif. Car tous les véhicules n'embarquent pas le même niveau de risque. Site internet : https://www.inter-gestion.com/

Franck Inghels, directeur de la distribution d'Inter Gestion, revient sur l'état des marchés immobiliers, toujours en bas de cycle, estime-t-il. Un momentum favorable aux SCPI qui collectent, à condition d'être sélectif. Car tous les véhicules n'embarquent pas le même niveau de risque. Site internet : https://www.inter-gestion.com/

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Rediffusion. C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un drame qui plane comme une malédiction Jean n'a jamais pu faire son deuil. Depuis ses 6 ans, il porte sa croix à bout de bras. Il est toujours “le petit Jean” : celui qui a vu partir sa sœur et qui n'a rien fait, celui qui n'a pas su reconnaître Ranucci, celui qui n'est que le frère de Marie-Dolorès. Il n'est que ça. L'affaire Ranucci c'est son fardeau, son combat, sa malédiction. Dans ce dernier épisode, Caroline Nogueras revient sur l'affaire avec la journaliste Agnès Grossmann. Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Rediffusion. C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un homme brisé capable du pire Jean Rambla a bien grandi. Ce n'est plus l'enfant de 6 ans, en bermuda bleu devant le commissariat, tout petit face aux enquêteurs. Nous sommes à l'aube des années 90, c'est désormais un bel homme d'1 mètre 80. Un brin timide, son charme indéniable lui permet d'enchaîner les conquêtes. D'apparence, il a l'air heureux, mais en réalité c'est un homme brisé. Les années n'ont pas apaisé sa douleur, pire, elle a grandi. Marie-Dolorès a disparu depuis plus de 10 ans et son absence est toujours aussi étouffante... Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Rediffusion. C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Qui est le meurtrier ? S'il est reconnu coupable, il risque la guillotine. Pour la famille de la petite, les Rambla, c'est œil pour œil, dent pour dent : si Ranucci a tué, alors il doit mourir. La disparition de Marie-Dolorès devient un sujet politique occupant tout l'espace médiatique. La question derrière ce sordide fait-divers est celle de la peine de mort. Les Rambla ne peuvent faire leur deuil en paix, pris, bien malgré eux, dans ce tourbillon qui les dépasse. Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Rediffusion. C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. La mort tragique de la petite Marie-Dolorès Il est 11 heures ce 3 juin 1974. Un fumet agréable se dégage de la cuisine de Dolores et emplit toute la cage d'escalier. La mère de famille surveille son plat qui mijote sur le feu et jette de temps en temps un œil à ses deux enfants depuis sa fenêtre. Marie-Dolorès et Jean-Baptiste (que tout le monde appelle Jean), âgés de 8 et 6 ans, jouent dans la cour près du garage. C'est le dernier jour où Marie-Dolorès a été vue... Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Bientôt, redécouvrez l'affaire Jean-Baptiste Rambla dans Home(icides). Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous le nom de “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… Rendez-vous sur toutes les plateformes d'écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Voilà bientôt un an que la Serbie est secouée par un important mouvement de protestation contre la corruption. Depuis la catastrophe de la gare tout juste rénovée de Novi Sad, qui a fait 16 morts le 1er novembre 2024, le régime autoritaire d'Aleksandar Vucic est dénoncé par des manifestations et des blocages de rues. Alors que le président, notoirement proche de la Russie, refuse toujours d'organiser des élections anticipées, les étudiants sont à la pointe de ce mouvement résolument pacifique et démocratique. Mais depuis plusieurs semaines, ils font face à une répression de plus en plus violente. Comme des milliers de jeunes Serbes, Dusan Svetkovic a passé l'été à bloquer les rues de Belgrade pour exiger des élections anticipées. Mais le 14 août dernier, lors d'un rassemblement près de la place Slavija, le destin de cet étudiant en physique bascule. « Je me tenais tranquillement près de la fontaine quand une voiture sans plaque est arrivée. Des hommes en civil en sont sortis, et l'un d'entre eux s'est précipité vers moi et m'a violemment jeté au sol. Quatre ou cinq autres hommes sont arrivés, et ils ont commencé à me frapper et à me donner des coups de poing au visage. Ils m'ont frappé la tête contre le sol, et l'un d'entre eux m'a donné des coups de pied avec ses bottes, alors que j'avais la tête sur le goudron », se souvient-il. Embarqué par les hommes de cette unité spéciale, Dusan affirme avoir été battu et menacé de mort dans un garage situé sous le siège du gouvernement, avant d'être relâché trois heures plus tard. Le lendemain, à quelques centaines de mètres de là, Alexandra Nikolic tombe à terre lors d'une charge policière. Elle reçoit un coup de matraque sur le crâne du policier. « Vu comment la police s'est comportée pendant ces dix derniers mois de contestation, je ne m'attendais à rien de bon de leur part. Mais je n'imaginais même pas qu'ils nous frappent par derrière, alors que nous étions deux femmes tombées au sol », explique l'étudiante en droit, montrant les photos de son visage ensanglanté. Elle dénonce la dérive autoritaire du régime du président Aleksandar Vucic : « La justice, la violence, les médias, les insultes... Les autorités utilisent tous les moyens dont elles disposent pour réprimer leurs citoyens. Personnellement, je considère que cela relève d'un type de fascisme. Avec cette philosophie du "où vous êtes avec nous, où vous êtes contre nous", pour moi, il est clair que l'État emploie des méthodes fascistes. » Usage illégal de la force, séquestration dans des lieux non officiels, absence d'avocats... Les méthodes de répression employées par le pouvoir sont aujourd'hui documentées par plusieurs ONG. Les étudiants et les opposants dénoncent notamment la mainmise du SNS, le parti présidentiel, sur l'appareil judiciaire. Des pratiques bien éloignées des valeurs de l'Union européenne, à laquelle la Serbie est toujours officiellement candidate. Alors que le président Vucic se montre inflexible, des élections pourraient avoir lieu en avril 2026. En attendant, les étudiants se préparent et envisagent de présenter leur propre liste lors de ces législatives. Espérant ainsi ouvrir des premières brèches dans un système jusque-là verrouillé. À lire aussiSerbie: le président Vucic tente de reprendre la main à l'occasion d'un défilé militaire   Un reportage à écouter en entier ici, dans le podcast Accents d'Europe.

Voilà bientôt un an que la Serbie est secouée par un important mouvement de protestation contre la corruption. Depuis la catastrophe de la gare tout juste rénovée de Novi Sad, qui a fait 16 morts le 1er novembre 2024, le régime autoritaire d'Aleksandar Vucic est dénoncé par des manifestations et des blocages de rues. Alors que le président, notoirement proche de la Russie, refuse toujours d'organiser des élections anticipées, les étudiants sont à la pointe de ce mouvement résolument pacifique et démocratique. Mais depuis plusieurs semaines, ils font face à une répression de plus en plus violente. Comme des milliers de jeunes Serbes, Dusan Svetkovic a passé l'été à bloquer les rues de Belgrade pour exiger des élections anticipées. Mais le 14 août dernier, lors d'un rassemblement près de la place Slavija, le destin de cet étudiant en physique bascule. « Je me tenais tranquillement près de la fontaine quand une voiture sans plaque est arrivée. Des hommes en civil en sont sortis, et l'un d'entre eux s'est précipité vers moi et m'a violemment jeté au sol. Quatre ou cinq autres hommes sont arrivés, et ils ont commencé à me frapper et à me donner des coups de poing au visage. Ils m'ont frappé la tête contre le sol, et l'un d'entre eux m'a donné des coups de pied avec ses bottes, alors que j'avais la tête sur le goudron », se souvient-il. Embarqué par les hommes de cette unité spéciale, Dusan affirme avoir été battu et menacé de mort dans un garage situé sous le siège du gouvernement, avant d'être relâché trois heures plus tard. Le lendemain, à quelques centaines de mètres de là, Alexandra Nikolic tombe à terre lors d'une charge policière. Elle reçoit un coup de matraque sur le crâne du policier. « Vu comment la police s'est comportée pendant ces dix derniers mois de contestation, je ne m'attendais à rien de bon de leur part. Mais je n'imaginais même pas qu'ils nous frappent par derrière, alors que nous étions deux femmes tombées au sol », explique l'étudiante en droit, montrant les photos de son visage ensanglanté. Elle dénonce la dérive autoritaire du régime du président Aleksandar Vucic : « La justice, la violence, les médias, les insultes... Les autorités utilisent tous les moyens dont elles disposent pour réprimer leurs citoyens. Personnellement, je considère que cela relève d'un type de fascisme. Avec cette philosophie du "où vous êtes avec nous, où vous êtes contre nous", pour moi, il est clair que l'État emploie des méthodes fascistes. » Usage illégal de la force, séquestration dans des lieux non officiels, absence d'avocats... Les méthodes de répression employées par le pouvoir sont aujourd'hui documentées par plusieurs ONG. Les étudiants et les opposants dénoncent notamment la mainmise du SNS, le parti présidentiel, sur l'appareil judiciaire. Des pratiques bien éloignées des valeurs de l'Union européenne, à laquelle la Serbie est toujours officiellement candidate. Alors que le président Vucic se montre inflexible, des élections pourraient avoir lieu en avril 2026. En attendant, les étudiants se préparent et envisagent de présenter leur propre liste lors de ces législatives. Espérant ainsi ouvrir des premières brèches dans un système jusque-là verrouillé. À lire aussiSerbie: le président Vucic tente de reprendre la main à l'occasion d'un défilé militaire   Un reportage à écouter en entier ici, dans le podcast Accents d'Europe.

Malgré le fait que le CH tire de l’arrière, on est complètement excité par le match de ce soir. Danick en échappé: Une blessure au coude qui sort de nulle part et vos blessures les plus innocentes. Étienne a littéralement “subi” une entrevue avec Paul Arcand. Martin a assisté au dernier match de basket de son fils en secondaire 5 et c’était bien émouvant. La Minute à Martin: La protection du français a quand même une limite avec le Go Habs Go! Debout les Caves - Vos meilleures jokes du jour. Open Mic des Comiques: on reçoit Rachelle Elie La Guerre des Crampes Dans ta face Cloutier L’Instant Incroyable: L’histoire complètement folle d’un pape dont la vie et la mort ont pas été simples. Débat: Embrasser ton frère ou ta sœur sur la bouche pour de l’argent: Oui ou Non ?Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

L’Embedded World est un salon international majeur consacré aux systèmes embarqués qui se tient chaque année à Nuremberg, Allemagne. Cet événement rassemble des professionnels de l'industrie pour présenter et discuter des dernières avancées en matière de matériel, de logiciels, de systèmes distribués et de services pour les technologies embarquées. La semaine prochaine, l’édition 2025 qui se tiendra précisément du 11 au 13 mars, sera articulée autour des systèmes embarqués, de l’Internet des objets (IoT), de l’intelligence artificielle (IA), de la sécurité des systèmes ainsi que des solutions matérielles et logicielles. Taïwan y est attendu comme le plus grand exposant étranger avec plus de 140 entreprises participantes. Le pavillon Taiwan Excellence mettra d’ailleurs en avant pas moins de 17 marques taïwanaises leaders, présentant des innovations de pointe en matière d’IA et de systèmes embarqués. Tour d’horizon de la présence taïwanaise dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce jeudi.

Tous les jours à 5h50, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Charles Matin, sur RMC.

Bertrand était parti chercher le soleil et les poissons multicolores sur l'île de Lombok, en Indonésie. Embarqué sur un bateau de tourisme, le programme est simple : snorkeling, bronzette et poisson grillé. Mais une nuit, il est réveillé en sursaut par d'énormes chocs. Autour de lui, les gens crient, le bateau prend l'eau de toute part. Les passagers ont juste le temps d'enfiler un gilet de sauvetage que tel le Titanic, le bateau bascule et coule à la verticale, comme une pierre. Bertrand se retrouve parmi les naufragés et la nuit noire, à tout tenter pour survivre. Cet épisode de Passages a été tourné et monté par Anaïs Meynier, la réalisation et le mix sont de Théo Boulenger, Louise Hemmerlé est à la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Passages, écrivez-nous en remplissant ce formulaire. Cet épisode a été rendu possible grâce au soutien de Max. Découvrez The White Lotus, une comédie dramatique et une satire sociale qui décortique les privilèges, la décadence et les travers de ses personnages extravagants. La série revient pour une troisième saison disponible en streaming uniquement sur Max.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Entre silence et solitude, trois femmes et homme de la mer repoussent leurs limites. Embarqués entre ciel et abysses sur un océan en perpétuel mouvement, l'imprévu les rattrape et les projette dans l'inconnu. Au détour d'une panne, une tempête ou un naufrage, ils n'imaginaient pas s'aventurer si loin en eux-mêmes. Avec Isabelle Autissier, Louis Cozan, Anne Quéméré Le silence de la mer n'existe pas, un documentaire de Raphaëlle Régnier, mixage Gérald Wang - Le Labo - avec le soutien de Gulliver Photo : RaRFilm Suivi d'un extrait d'un entretien de Christine Van Acker avec Catherine Poulain pour son livre Le grand Marin, paru aux Ed de l'Olivier Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Pour le premier podcast de cette nouvelle année , la rédaction d'ESE s'attarde sur la future copie du PLFSS 2025 tout en se projetant le défi de redressement des comptes sociaux. La France fait-elle vraiment face à une « mission impossible »? Ca y est ! Dans quelques jours, le gouvernement Bayrou va présenter sa version du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025. Un texte décisif pour la survie de cette nouvelle équipe. ESE se projette sur les principales orientations que devraient prendre ce texte budgétaire notamment sur ces aspects financiers. Un sujet d'autant plus brûlant que les objectifs de redressement à terme des comptes sociaux semblent de moins en moins tenables sans de drastiques mesures de corrections des dépenses et de leur financement. Bonne écoute à tous !

Xiling, un jeune homme de la province de Fujian, prêt à tout pour réaliser son rêve d'une vie meilleure en Occident. Embarqué dans un périple clandestin à travers la mythique route de la soie, il affronte des conditions inhumaines et des dangers insoupçonnés. De la traversée glaciale de la Sibérie à l'étouffante promiscuité d'un camion chargé de tomates, chaque étape de son voyage est un défi. Mais alors que l'Angleterre semble enfin à portée de main, un événement tragique menace de tout faire basculer. Des meurtres qui défient la raison, des enquêtes impossibles, ou encore des assassins imprenables : abonnez-vous pour ne rater aucun nouveau récit passionnant de Pierre Bellemare, pour qui l'art de conter n'avait aucun secret.

"Rien ne sert de courir, il faut partir à point." Cette morale de Jean de la Fontaine, Andréa l'a adoptée pour sa propre reconversion. Embarquée dans des études de droit pour devenir clerc de notaire, elle alimentait sa passion pour l'écriture dans la rédaction de différents actes. Mais l'arrivée de son fils va tout bouleverser. Lassitude, horaires à rallonge et déménagement, vont la pousser à changer de cap. Mais pour aller où ?Pour y voir plus clair, Andréa s'est tournée vers l'organisme Garance&Moi afin de réaliser un bilan de compétences. De cette étape décisive, elle garde un mot en tête : concret. Elle teste alors plusieurs métiers manuels avant de renouer avec une passion de longue date : les sacs à main. Son choix est fait, elle deviendra maroquinière. Mais loin de se précipiter, Andréa opte pour une reconversion en douceur, par étapes.Étape 1 : Refaire des économies. *Ce podcast a été réalisé en partenariat avec l'organisme de bilan de compétences et de formation Garance&MoiSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Gregory Demazeau, responsable R&D en électronique et systèmes embarqués chez Expleo, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce mardi 10 septembre. Il s'est penché sur l'ingénierie et la tech au service de la médecine du futur, notamment l'exosquelette qui est relié au cerveau, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Tout l'été 2016, une tenue de plage déchaînait la polémique : le burkini. Les Deschiens se mettaient alors dans la peau des adeptes de ce maillot très couvrant. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un drame qui plane comme une malédiction Jean n'a jamais pu faire son deuil. Depuis ses 6 ans, il porte sa croix à bout de bras. Il est toujours “le petit Jean” : celui qui a vu partir sa sœur et qui n'a rien fait, celui qui n'a pas su reconnaître Ranucci, celui qui n'est que le frère de Marie-Dolorès. Il n'est que ça. L'affaire Ranucci c'est son fardeau, son combat, sa malédiction. Dans ce dernier épisode, Caroline Nogueras revient sur l'affaire avec la journaliste Agnès Grossmann. Découvrez la saison précédente en intégralité : David Nègre, une histoire d'emprise néonazie Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Première diffusion : 16 novembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

La France célèbre cette semaine le 80ème anniversaire du Débarquement et de la Libération. Plus de 150 000 Américains, Canadiens et Britanniques accostent sur les plages normandes le 6 juin 1944. Omaha Beach, Utah Beach sont gravés dans notre histoire. Embarqués avec les soldats, des reporters de guerre comme Robert Capa ont rapporté des clichés iconiques. Mais il y a eu aussi des soldats caméramen et photographes, anonymes, chargés de rendre compte du débarquement. Un documentariste français, Dominique Forget, spécialiste de cette période, a décidé de leur rendre hommage en mettant des noms sur ces films et ces clichés; il a retrouvé les bobines tournées par plusieurs d'entre eux et en a fait un documentaire.Pour en parler, Sur Le Fil a invité Dominique Forget et Carmen Cuesta-Roca, journaliste de l'AFP à Washington qui a rencontré les descendants de ces "cameramen". Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un homme brisé capable du pire Jean Rambla a bien grandi. Ce n'est plus l'enfant de 6 ans, en bermuda bleu devant le commissariat, tout petit face aux enquêteurs. Nous sommes à l'aube des années 90, c'est désormais un bel homme d'1 mètre 80. Un brin timide, son charme indéniable lui permet d'enchaîner les conquêtes. D'apparence, il a l'air heureux, mais en réalité c'est un homme brisé. Les années n'ont pas apaisé sa douleur, pire, elle a grandi. Marie-Dolorès a disparu depuis plus de 10 ans et son absence est toujours aussi étouffante... Découvrez la saison précédente en intégralité : David Nègre, une histoire d'emprise néonazie Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Première diffusion : 15 novembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Qui est le meurtrier ? S'il est reconnu coupable, il risque la guillotine. Pour la famille de la petite, les Rambla, c'est œil pour œil, dent pour dent : si Ranucci a tué, alors il doit mourir. La disparition de Marie-Dolorès devient un sujet politique occupant tout l'espace médiatique. La question derrière ce sordide fait-divers est celle de la peine de mort. Les Rambla ne peuvent faire leur deuil en paix, pris, bien malgré eux, dans ce tourbillon qui les dépasse. Découvrez la saison précédente en intégralité : David Nègre, une histoire d'emprise néonazie Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Première diffusion : 14 novembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. La mort tragique de la petite Marie-Dolorès Il est 11 heures ce 3 juin 1974. Un fumet agréable se dégage de la cuisine de Dolores et emplit toute la cage d'escalier. La mère de famille surveille son plat qui mijote sur le feu et jette de temps en temps un œil à ses deux enfants depuis sa fenêtre. Marie-Dolorès et Jean-Baptiste (que tout le monde appelle Jean), âgés de 8 et 6 ans, jouent dans la cour près du garage. C'est le dernier jour où Marie-Dolorès a été vue... Découvrez la saison précédente en intégralité : David Nègre, une histoire d'emprise néonazie Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Première diffusion : 13 novembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Depuis que les premiers bateaux marchands naviguent sur les eaux méditerranéennes, des brigands avides de richesses les y suivent, cherchant la première occasion de mettre la main sur un trésor. Embarqués à bord de navires rapides et discrets, ils attaquent aussi bien un bâtiment naval qu'une cité côtière, afin de s'emparer de nourriture, de tissus, de métaux ou même de citoyens destinés à être vendus sur les marchés d'esclaves. Si une telle pratique est connue aujourd'hui sous le terme de « piraterie », il n'a en fait pas toujours été question d'offensives orchestrées par des hors-la-lois. En vérité, dès la période antique, les états sévissent déjà autant, voire plus, que les brigands indépendants. Si tout commence par des razzias justifiées par des contextes de guerres ouvertes entre deux nations, ces activités continuent de se développer au cours des siècles pour devenir ce que l'on connait maintenant sous le nom de « course ». Alors : pirates ou corsaires, brigands ou soldats, la piraterie est plus complexe que ne le laissent paraître les ouvrages et films de fiction sur le sujet. Loin de l'univers de Pirates des Caraïbes ou de L'île au trésor, plongeons nous dans le véritable quotidien des pirates à travers l'histoire et découvrons tous les tenants et aboutissants de cette activité tant fantasmée. Ecriture : Lucie Devocelle

Il suffit parfois d'une rencontre pour tomber amoureux. Une rencontre avec un poulpe pour tomber amoureux de la mer enfant. Une rencontre avec une raie manta adulte pour changer son regard sur les animaux à sang-froid.Docteur en océanographie et plongeur professionnel, il a dédié sa vie à l'océan. Ancien conseiller scientifique du Commandant Cousteau sur la Calypso, il a parcouru les fonds-marins pour étudier, comprendre et ramener des images de ce dernier grand monde sauvage, où l'on peut approcher les animaux sans qu'ils fuient. En 2006, sur le tournage du documentaire Océans, une nouvelle rencontre va changer sa vie. Embarqué loin du bateau, il va croiser le chemin d'un grand requin blanc.Abonnez-vous à notre newsletter pour ne louper aucun épisode ➡️ Retrouvez Les Baladeurs sur :Les Others SpotifyApple PodcastsDeezerYouTube AushaEn RSS

Le 7 mars, date de l'enregistrement de cette émission marque le début du sixième mois de l'opération militaire menée par Israël dans la bande de Gaza. Des dizaines de milliers de morts plus tard, comment l'État hébreu communique-t-il ? Si dans les premières semaines, les images venues des Gazaouis étaient nombreuses, elle se raréfient : les journalistes ont été tués dans des bombardements, ou ont dû fuir. Ces vidéos et photos venues des habitants de Gaza, ont été peu à peu rem ...

Au Consumer Electronics Show, Pascale Desroches de EssilorLuxottica présente les lunettes Nuance, qui intègre une prothèse auditive invisible et directionnelle. Cette innovation vise à réduire le stigma lié aux aides auditives et améliorer la communication dans des environnements bruyants à un prix significativement inférieur aux prothèses traditionnelles.

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un drame qui plane comme une malédiction Jean n'a jamais pu faire son deuil. Depuis ses 6 ans, il porte sa croix à bout de bras. Il est toujours “le petit Jean” : celui qui a vu partir sa sœur et qui n'a rien fait, celui qui n'a pas su reconnaître Ranucci, celui qui n'est que le frère de Marie-Dolorès. Il n'est que ça. L'affaire Ranucci c'est son fardeau, son combat, sa malédiction. Dans ce dernier épisode, Caroline Nogueras revient sur l'affaire avec la journaliste Agnès Grossmann. Découvrez la saison précédente en intégralité : Véronique Courjault, la mère qui a congelé ses bébés Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Un homme brisé capable du pire Jean Rambla a bien grandi. Ce n'est plus l'enfant de 6 ans, en bermuda bleu devant le commissariat, tout petit face aux enquêteurs. Nous sommes à l'aube des années 90, c'est désormais un bel homme d'1 mètre 80. Un brin timide, son charme indéniable lui permet d'enchaîner les conquêtes. D'apparence, il a l'air heureux, mais en réalité c'est un homme brisé. Les années n'ont pas apaisé sa douleur, pire, elle a grandi. Marie-Dolorès a disparu depuis plus de 10 ans et son absence est toujours aussi étouffante... Découvrez la saison précédente en intégralité : Véronique Courjault, la mère qui a congelé ses bébés Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... Dans le dernier épisode, Caroline Nogueras sera accompagnée de la journaliste Agnès Grossmann, autrice d'une enquête L'affaire Rambla ou le Fantôme de Ranucci, éditée aux Presses de la cité. Qui est le meurtrier ? S'il est reconnu coupable, il risque la guillotine. Pour la famille de la petite, les Rambla, c'est œil pour œil, dent pour dent : si Ranucci a tué, alors il doit mourir. La disparition de Marie-Dolorès devient un sujet politique occupant tout l'espace médiatique. La question derrière ce sordide fait-divers est celle de la peine de mort. Les Rambla ne peuvent faire leur deuil en paix, pris, bien malgré eux, dans ce tourbillon qui les dépasse. Découvrez la saison précédente en intégralité : Véronique Courjault, la mère qui a congelé ses bébés Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Capucine Lebot Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

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Dès lundi, découvrez la nouvelle saison de Home(icides) ! C'est l'histoire d'une famille ordinaire dont la vie bascule du jour au lendemain. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère Jean-Baptiste, 6 ans. Connue sous “l'affaire du pull over rouge”, cette histoire a défrayé les chroniques judiciaires des années 70 et 80. Christian Ranucci a été reconnu coupable du meurtre et a été l'un des derniers guillotinés de France. L'histoire aurait dû s'arrêter là. Mais le doute s'est installé : et si Ranucci n'était finalement pas le meurtrier de la petite Marie-Dolores ? Embarqué dans un long combat judiciaire, Jean-Baptiste Rambla en est devenu presque fou… fou au point de tuer à son tour... A découvrir en 4 épisodes sur toutes les plateformes. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Merci à Tarek Boudali, à l'occasion de la sortie de son nouveau film il est venu nous raconter ses anecdotes de tournages, ses débuts au cinéma avec ses moments de galères. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Découvrir les paysages de Corse par la mer, c'est une expérience dont se souviendront longtemps les passagers de “La belle des océans”. Embarqués pour une croisière d'une semaine vers les trésors de l'île de beauté, ils vont explorer les plus belles plages de Corse, sa gastronomie, ses marchés authentiques, et ses panoramas à couper le souffle, comme la cité médiévale de Bonifacio, fièrement perchée à 40 mètres au-dessus de la Méditerranée.

En este revelador vídeo, nos embarcamos en un emocionante viaje para explorar los fascinantes secretos de La Caja de Pandora. Prepárate para una aventura inolvidable llena de enigmáticas maravillas y desconcertantes misterios que han cautivado a la humanidad durante siglos. La Caja de Pandora, conocida por sus orígenes míticos, ha intrigado a filósofos, eruditos y mentes curiosas a lo largo de la historia. Acompáñenos mientras nos adentramos en las profundidades de la Caja de Pandora, descubriendo sus tesoros ocultos y desvelando su verdadera naturaleza. A través de una meticulosa investigación y un análisis experto, arrojaremos luz sobre las diversas teorías y leyendas que rodean a este artefacto intemporal. Descubra las historias que se han entrelazado con La Caja de Pandora, desde la antigua mitología griega hasta interpretaciones más contemporáneas. En esta intrigante búsqueda del conocimiento, examinaremos las posibles implicaciones y consecuencias de abrir la Caja de Pandora, preguntándonos qué hay más allá de los misterios que contiene. Prepárese para adentrarse en una exploración que invita a la reflexión y que puede desafiar sus percepciones y despertar su curiosidad intelectual. Nuestro entregado equipo de investigadores, historiadores y entusiastas le guiará a través de este cautivador viaje, compartiendo ideas y teorías por el camino. Juntos desentrañaremos los enigmas y desvelaremos los secretos que esconden sus legendarios muros. Si es usted aficionado a la mitología, aficionado a la historia o simplemente alguien con una insaciable sed de conocimiento, este vídeo le dejará hechizado. Únase a nosotros en esta búsqueda para desentrañar lo oscuro y abrazar el encanto de La Caja de Pandora. Suscríbase a nuestro canal para estar al día de más contenidos apasionantes y sea el primero en presenciar otras expediciones a los mayores misterios del mundo. Embarquémonos juntos en esta extraordinaria aventura. Prepárate para que tu mente se expanda y tu imaginación se encienda mientras descubrimos la verdad que se esconde tras La Caja de Pandora. Síguenos en nuestras redes y suscríbete a nuestros canales, para que estés al corriente de nuestras últimas novedades: YouTube: https://www.youtube.com/@MusicalmenteParanormal Spotify:https://open.spotify.com/show/49SnB0IjGtroTj2xM8pSLfsi=bc8b17d76cb845a9 Instagram: https://www.instagram.com/musicalmente.paranormal/ Facebook: https://www.facebook.com/Musicalmente.Paranormal/ TikTok: https://www.tiktok.com/@musicalmente.paranormal/ Playlist Spotify: https://open.spotify.com/playlist/0osANwSam817D2cX51Bx9j?si=67432ec8d6e14ee6 Grupo de Telegram: https://t.me/+v4Ie1JOi7eg5NzNh  #musica #misterio #brujeria #magianegra #ocultismo #extraterrestre #colombia #mexico #estadosunidos #música #músicamisteriosa #músicaparanormal #músicaextraña #músicaescalofriante #músicainquietante #músicaaterradora #músicadeterror #músicademíedo #músicadesuspenso #músicademisterio #misterio #paranormal #extraño #escalofriante #inquietante #aterrador #terror #miedo #suspenso #ExploringPandorasBox #MysteriesUnveiled #PandoraUnveiled #AncientMysteries #ForbiddenKnowledge #UnravelingMysteries #PandorasBox #MysteriousArtifacts #CrypticEnigmas #PandorasSecrets #PandorasLegacy #HiddenTruths #LostIntrigue #MysticWorld #SecretsRevealed #CuriousDiscoveries #UnexplainedPhenomena #CrypticPuzzles #EnigmaticJourney #MythologicalEnigmas #PuzzlingMysteries

Amaia Fortes Montilla, ingénieure en électronique embarquée chez Continental, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, ce lundi 10 juillet. Elle est revenue sur la société Continental qui lance une technologie pour détecter un enfant oublié à bord d'une voiture, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Estamos locos. Las Inteligencias Artificiales generativas han tomado el control en soluciones ofimáticas, videojuegos, asistentes para desarrolladores y herramientas de diseño, transformando el mundo de manera espectacular. ChatGPT se ha fusionado con nuestra sociedad, alcanzando más de 100 millones de usuarios y su crecimiento es imparable. Además, conocemos una multitud de herramientas generativas capaces de dar vida a imágenes y mucho más. En estas últimas semanas, han surgido productos revolucionarios como GPT4 de OpenAI, Bard de Google, también Epic Games para mundos virtuales, Unity, un innovador Github Copilot llamado X y la omnipresente integración de GPT en herramientas como Warp para Mac. Embarquémonos en un viaje para repasar los sorprendentes avances presentados, las profundas implicaciones y la constante evolución de nuestro mundo. Sobre todo, analicemos ese lanzamiento estelar con innumerables repercusiones: GPT-4. La Era de la IA ha comenzado. Oliver Nabani - Twitter: @olivernabani - Twitch: Oliver Nabani - Youtube: Oliver Nabani Julio César Fernández - Twitter: @jcfmunoz - Twitch: Apple Coding - Podcast: Apple Coding - Formación: Apple Coding Academy - Consultoría: Gabhel Studios

Le 20 août 2021, à l'issue d'une séance de dédicaces, l'écrivain Philippe Jaenada rencontre Alain Laprie, 65 ans, condamné à une peine de 15 ans de prison pour le meurtre de sa tante. Les faits remontent à 2004, l'instruction a duré 14 ans, l'homme a toujours clamé son innocence. Embarqué dans l'histoire, l'écrivain détricote le dossier et y déniche les éléments, selon lui, d'une véritable erreur judiciaire. Il en a tiré un livre, court et très beau, un cri du coeur en faveur d'un homme injustement emprisonné, avec l'espoir d'aider à sa réhabilitation.Thomas Rozec rencontre Philippe Jaenada, auteur de Sans preuve et sans aveu (éd. Mialet-Barrault, 2022)Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'historienne Virginie Girod raconte la suite de l'histoire de Furcy Madeleine, le premier esclave à avoir réclamé sa liberté devant la justice, en 1817 à l'île de la Réunion. Après avoir retrouvé un acte affranchissant sa mère Madeleine, Furcy exige du Procureur de Saint-Denis qu'il reconnaisse son statut d'homme libre. Mais avec la complicité des autres colons de l'île, Joseph Lory, son maître, parvient à le faire condamner pour marronage. Embarqué à bord d'un bateau à destination inconnue, Furcy s'apprête à découvrir un nouvel enfer… Dans ce nouvel épisode du podcast "Au cœur de l'Histoire" produit par Europe 1 Studio, écoutez la suite du combat de Furcy pour la liberté. "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio.Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Adèle Humbert - Direction artistique : Adèle Humbert et Julien Tharaud - Réalisation : Clément Ibrahim - Musique originale : Julien Tharaud - Musiques additionnelles : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Communication : Kelly Decroix - Diffusion et rédaction : Eloise Bertil - Visuel : Sidonie Mangin