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Can you become fluent in Chinese without teachers, classes, or even Chinese speakers around you? For Serbian software engineer Marko Javoanovic, the answer is “yes” by focusing on “fluency now”.In this episode, Marko shares how he started learning Japanese out of a love for anime but quickly pivoted to Chinese when he realized there were far more Chinese people than Japanese in his hometown of Novi Sad, Serbia. What began as a curiosity turned into a disciplined daily habit that transformed not only his language skills but also his friendships and worldview.Marko dives into how he built real working fluency from scratch using English-language resources like Mandarin Companion, YoYo Chinese, and extensive listening and how that foundation led to translating live at a visa interview, making friends over baozi, and becoming part of his local Chinese community.His story includes:Why he stopped obsessing over flashcards and HSK levelsHow “fluency now” helped him understand without translatingWhy tones matter more than you think (like mixing up “food” with “video”)The emotional reward of using Chinese to truly connectThis episode is a roadmap for any Chinese learner, especially those going it alone.Links from the episode:Mandarin Companion Graded ReadersLittle Chinese Everywhere | YouTubeDo you have a story to share? Reach out to us
Generation Z-protester har spridit sig som en löpeld över världen och fått flera regeringar på fall. Men vad händer när dammet har lagt sig? Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. I länder som Nepal och Madagaskar jublar ungdomarna nu. Deras protester mot korruption och nepotism har fått landets ledare på fall. Men hur ska de gå vidare nu för att verkligen förändra något? I Serbien drog protesterna igång på allvar när ett tak kollapsade på en järnvägsstation. Nu har det gått snart ett år sedan dess och studenterna kämpar mot sin egen trötthet och mot repressionen.I Thailand möter vi en ledande ung politiker som lyckats ta sig från gatan in i parlamentet. Men snart ska hon avtjäna ett fängelsestraff för ett tal hon höll i samband med protesterna.Medverkande: Yogesh Dumre, ledare för GenZ protesterna i västra Nepal och nyexaminerad ingenjör, Prince Jha, student i Khatmandu som deltog i protesterna i september, Elliot Waldman, chefredaktör för World Politics Review, Mark Beissinger, professor emeritus i statsvetenskap vid Princeton University i USA och författare till boken Revolutionary City, Luca Lisenec, elev vid gymnasieskola 5 i Belgrad som tillsammans med skolkamrater ockuperat skolan i protest mot ledningen, Diana Hrka, mamma till 27-årige Stefan Hrka som omkom när ett stationstak kollapsade i den serbiska staden Novi Sad hösten 2024, Jelena Stankovic, 24-årig musikstudent i Novi Sad som engagerat sig i studentrörelsen, Lookkate, tidigare gatudemonstrant, nu ledamot i det thailändska parlamentet, Anjandriana Andrianavo, talesperson för GenZ demonstranterna på Madagaskar.Reportrar: Axel Kronholm i Bangkok, Mona Ismail Jama i Antananarivo.Programledare: Viktor Löfgrenviktor.m.lofgren@sr.seProducent: Ulrika Bergqvistulrika.bergqvist@sr.seTekniker: Rasmus Håkans
In Serbiens jüngster Innenpolitik gibt es eine markante Zäsur: Den Einsturz des Bahnhofsvordachs in Novi Sad am 1. November vergangenen Jahres: 16 Menschen kamen diesem Tag ums Leben, begraben unter den Trümmern eines tief liegenden Vordachs. Der Bahnhof in Novi Sad war erst wenige Monate zuvor nach dreijährigen Renovierungsarbeiten wieder in Betrieb genommen worden - wobei das Vordach nicht erneut worden war. Seitdem protestieren immer mehr Menschen gegen das Herrschaftssystem von Staatspräsident Aleksandar Vučić . Der Dacheinsturz wurde zum tragischen Symbol der weit verbreiteten Korruption in Serbien. Die Verantwortlichen müssten zur Rechenschaft gezogen werden. Die Proteste gegen Vučić lange Zeit blieben lange Zeit friedliche. Im Sommer gab es aber zunehmend Gewalt. Gewalt, die vor allem im August zunächst von gewalttätigen Anhängern und Parteifunktionären Vučićs mehrfach provoziert war. Gleichzeitig hat der Regierungschef ein konsequentes Handeln des Staates angekündigt. Die Proteste fordern vorgezogene Parlamentswahlen. Vučić und seine Regierungspartei SNS lehnen das ab. Sie diskreditieren die Menschen auf der Straße wahlweise als Terroristen oder vom Ausland gesteuert. Die Gewalt hat die Proteste aber nicht abflauen lassen, im Gegenteil. Das Thema bewegt viele in Serbien weiterhin. Seitdem ist die Situation im Land festgefahren als vorher. Es wirft die Frage auf: Wo steht Serbien gerade? ARD-Südosteuropa Korrespondent David Freches berichtet.
Ils étaient encore des dizaines de milliers de manifestants à défier le pouvoir, il y a dix jours en Géorgie, à l'occasion des élections locales. Contre-pouvoir autocratique du rêve géorgien qui multiplie les arrestations dans l'opposition. Mais la contestation ne faiblit pas. Comme en témoigne cette initiative portée par une femme citoyenne et des mères de prisonniers. Elles éditent les lettres de leur fils en prison pour alerter sur la répression en cours. Notre correspondant Théo Bourgery Gonse a suivi ces femmes lors d'une journée de distribution dans le grand marché d'Akhaltsikhé, dans le sud-ouest du pays, à trois heures de la capitale Tbilissi. Les violences contre les manifestants en Serbie Et en Serbie, la jeunesse ne baisse pas les bras. Cela fait près d'un an qu'elle manifeste contre la corruption du régime, depuis l'effondrement de la gare de Novi Sad qui a fait seize morts en novembre dernier. Mais le président Vucic refuse toujours d'organiser des élections anticipées et la répression se fait de plus en plus violente. C'est le reportage à Belgrade de Louis Seiller. « Fractures dans l'Occident » La montée du populisme en Europe, favorisée à la fois par l'ingérence russe et américaine et la nécessité pour l'Europe de prendre en main sa propre défense, au vu du désengagement américain. En somme, il s'agit de la remise en cause de tous les fondamentaux sur lesquels nos démocraties européennes se sont construites depuis 1945. C'est tout l'objet du livre de Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors et professeur émérite au Cnam qui publie, aux éditions Odile Jacob, Fractures dans l'Occident. L'impensable pour les Européens, c'est la perte de confiance dans leur allié historique, les États-Unis. Un véritable dilemme. Peut-on avoir pour allié dans la défense un ennemi politique ? L'Allemagne et la « diplomatie de la saucisse » Et dans ce monde fracturé, certains débats peuvent paraitre bien dérisoires. La semaine dernière, le Parlement européen a interdit l'usage de mots comme saucisse ou steak pour parler de produits végétariens. Mais c'est un débat qui agite beaucoup la scène politique allemande, Delphine Nerbollier.
Ils étaient encore des dizaines de milliers de manifestants à défier le pouvoir, il y a dix jours en Géorgie, à l'occasion des élections locales. Contre-pouvoir autocratique du rêve géorgien qui multiplie les arrestations dans l'opposition. Mais la contestation ne faiblit pas. Comme en témoigne cette initiative portée par une femme citoyenne et des mères de prisonniers. Elles éditent les lettres de leur fils en prison pour alerter sur la répression en cours. Notre correspondant Théo Bourgery Gonse a suivi ces femmes lors d'une journée de distribution dans le grand marché d'Akhaltsikhé, dans le sud-ouest du pays, à trois heures de la capitale Tbilissi. Les violences contre les manifestants en Serbie Et en Serbie, la jeunesse ne baisse pas les bras. Cela fait près d'un an qu'elle manifeste contre la corruption du régime, depuis l'effondrement de la gare de Novi Sad qui a fait seize morts en novembre dernier. Mais le président Vucic refuse toujours d'organiser des élections anticipées et la répression se fait de plus en plus violente. C'est le reportage à Belgrade de Louis Seiller. « Fractures dans l'Occident » La montée du populisme en Europe, favorisée à la fois par l'ingérence russe et américaine et la nécessité pour l'Europe de prendre en main sa propre défense, au vu du désengagement américain. En somme, il s'agit de la remise en cause de tous les fondamentaux sur lesquels nos démocraties européennes se sont construites depuis 1945. C'est tout l'objet du livre de Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors et professeur émérite au Cnam qui publie, aux éditions Odile Jacob, Fractures dans l'Occident. L'impensable pour les Européens, c'est la perte de confiance dans leur allié historique, les États-Unis. Un véritable dilemme. Peut-on avoir pour allié dans la défense un ennemi politique ? L'Allemagne et la « diplomatie de la saucisse » Et dans ce monde fracturé, certains débats peuvent paraitre bien dérisoires. La semaine dernière, le Parlement européen a interdit l'usage de mots comme saucisse ou steak pour parler de produits végétariens. Mais c'est un débat qui agite beaucoup la scène politique allemande, Delphine Nerbollier.
Voilà bientôt un an que la Serbie est secouée par un important mouvement de protestation contre la corruption. Depuis la catastrophe de la gare tout juste rénovée de Novi Sad, qui a fait 16 morts le 1er novembre 2024, le régime autoritaire d'Aleksandar Vucic est dénoncé par des manifestations et des blocages de rues. Alors que le président, notoirement proche de la Russie, refuse toujours d'organiser des élections anticipées, les étudiants sont à la pointe de ce mouvement résolument pacifique et démocratique. Mais depuis plusieurs semaines, ils font face à une répression de plus en plus violente. Comme des milliers de jeunes Serbes, Dusan Svetkovic a passé l'été à bloquer les rues de Belgrade pour exiger des élections anticipées. Mais le 14 août dernier, lors d'un rassemblement près de la place Slavija, le destin de cet étudiant en physique bascule. « Je me tenais tranquillement près de la fontaine quand une voiture sans plaque est arrivée. Des hommes en civil en sont sortis, et l'un d'entre eux s'est précipité vers moi et m'a violemment jeté au sol. Quatre ou cinq autres hommes sont arrivés, et ils ont commencé à me frapper et à me donner des coups de poing au visage. Ils m'ont frappé la tête contre le sol, et l'un d'entre eux m'a donné des coups de pied avec ses bottes, alors que j'avais la tête sur le goudron », se souvient-il. Embarqué par les hommes de cette unité spéciale, Dusan affirme avoir été battu et menacé de mort dans un garage situé sous le siège du gouvernement, avant d'être relâché trois heures plus tard. Le lendemain, à quelques centaines de mètres de là, Alexandra Nikolic tombe à terre lors d'une charge policière. Elle reçoit un coup de matraque sur le crâne du policier. « Vu comment la police s'est comportée pendant ces dix derniers mois de contestation, je ne m'attendais à rien de bon de leur part. Mais je n'imaginais même pas qu'ils nous frappent par derrière, alors que nous étions deux femmes tombées au sol », explique l'étudiante en droit, montrant les photos de son visage ensanglanté. Elle dénonce la dérive autoritaire du régime du président Aleksandar Vucic : « La justice, la violence, les médias, les insultes... Les autorités utilisent tous les moyens dont elles disposent pour réprimer leurs citoyens. Personnellement, je considère que cela relève d'un type de fascisme. Avec cette philosophie du "où vous êtes avec nous, où vous êtes contre nous", pour moi, il est clair que l'État emploie des méthodes fascistes. » Usage illégal de la force, séquestration dans des lieux non officiels, absence d'avocats... Les méthodes de répression employées par le pouvoir sont aujourd'hui documentées par plusieurs ONG. Les étudiants et les opposants dénoncent notamment la mainmise du SNS, le parti présidentiel, sur l'appareil judiciaire. Des pratiques bien éloignées des valeurs de l'Union européenne, à laquelle la Serbie est toujours officiellement candidate. Alors que le président Vucic se montre inflexible, des élections pourraient avoir lieu en avril 2026. En attendant, les étudiants se préparent et envisagent de présenter leur propre liste lors de ces législatives. Espérant ainsi ouvrir des premières brèches dans un système jusque-là verrouillé. À lire aussiSerbie: le président Vucic tente de reprendre la main à l'occasion d'un défilé militaire Un reportage à écouter en entier ici, dans le podcast Accents d'Europe.
Voilà bientôt un an que la Serbie est secouée par un important mouvement de protestation contre la corruption. Depuis la catastrophe de la gare tout juste rénovée de Novi Sad, qui a fait 16 morts le 1er novembre 2024, le régime autoritaire d'Aleksandar Vucic est dénoncé par des manifestations et des blocages de rues. Alors que le président, notoirement proche de la Russie, refuse toujours d'organiser des élections anticipées, les étudiants sont à la pointe de ce mouvement résolument pacifique et démocratique. Mais depuis plusieurs semaines, ils font face à une répression de plus en plus violente. Comme des milliers de jeunes Serbes, Dusan Svetkovic a passé l'été à bloquer les rues de Belgrade pour exiger des élections anticipées. Mais le 14 août dernier, lors d'un rassemblement près de la place Slavija, le destin de cet étudiant en physique bascule. « Je me tenais tranquillement près de la fontaine quand une voiture sans plaque est arrivée. Des hommes en civil en sont sortis, et l'un d'entre eux s'est précipité vers moi et m'a violemment jeté au sol. Quatre ou cinq autres hommes sont arrivés, et ils ont commencé à me frapper et à me donner des coups de poing au visage. Ils m'ont frappé la tête contre le sol, et l'un d'entre eux m'a donné des coups de pied avec ses bottes, alors que j'avais la tête sur le goudron », se souvient-il. Embarqué par les hommes de cette unité spéciale, Dusan affirme avoir été battu et menacé de mort dans un garage situé sous le siège du gouvernement, avant d'être relâché trois heures plus tard. Le lendemain, à quelques centaines de mètres de là, Alexandra Nikolic tombe à terre lors d'une charge policière. Elle reçoit un coup de matraque sur le crâne du policier. « Vu comment la police s'est comportée pendant ces dix derniers mois de contestation, je ne m'attendais à rien de bon de leur part. Mais je n'imaginais même pas qu'ils nous frappent par derrière, alors que nous étions deux femmes tombées au sol », explique l'étudiante en droit, montrant les photos de son visage ensanglanté. Elle dénonce la dérive autoritaire du régime du président Aleksandar Vucic : « La justice, la violence, les médias, les insultes... Les autorités utilisent tous les moyens dont elles disposent pour réprimer leurs citoyens. Personnellement, je considère que cela relève d'un type de fascisme. Avec cette philosophie du "où vous êtes avec nous, où vous êtes contre nous", pour moi, il est clair que l'État emploie des méthodes fascistes. » Usage illégal de la force, séquestration dans des lieux non officiels, absence d'avocats... Les méthodes de répression employées par le pouvoir sont aujourd'hui documentées par plusieurs ONG. Les étudiants et les opposants dénoncent notamment la mainmise du SNS, le parti présidentiel, sur l'appareil judiciaire. Des pratiques bien éloignées des valeurs de l'Union européenne, à laquelle la Serbie est toujours officiellement candidate. Alors que le président Vucic se montre inflexible, des élections pourraient avoir lieu en avril 2026. En attendant, les étudiants se préparent et envisagent de présenter leur propre liste lors de ces législatives. Espérant ainsi ouvrir des premières brèches dans un système jusque-là verrouillé. À lire aussiSerbie: le président Vucic tente de reprendre la main à l'occasion d'un défilé militaire Un reportage à écouter en entier ici, dans le podcast Accents d'Europe.
In Serbien halten die Proteste an. Auslöser war der Einsturz des Bahnhofvordachs in Novi Sad im November 2024. Präsident Vučić und seine Parteifreunde schrecken auch vor öffentlicher Bloßstellung und Gewalt nicht zurück, um die Proteste zu beenden. Kersting, Christoph www.deutschlandfunk.de, Gesichter Europas
durée : 00:19:08 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Presque un an après la chute de l'auvent de la gare de Novi Sad en Serbie, le mouvement de contestation qui secoue le pays ne faiblit pas. Malgré une répression croissante, les militants continuent de battre le pavé et de convaincre autour d'eux pour que leurs revendications soient acceptées. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Vladimir Vasak Journaliste pour Arte Reportage
Fluent Fiction - Serbian: Overcoming Stage Fright: How Milan Conquered His Fears Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.com/sr/episode/2025-09-30-22-34-02-sr Story Transcript:Sr: Пролазећи кроз велику стаклену зграду, Милан је осетио мешавину узбуђења и страха.En: Passing through the large glass building, Milan felt a mix of excitement and fear.Sr: Јесен у Новом Саду обасјавао је рано јутарње сунце, а листови су полако мењали боју.En: Autumn in Novi Sad was illuminated by the early morning sun, and the leaves were slowly changing color.Sr: Стартап инкубатор био је оживљен ентузијазмом младих предузетника који су, попут њега, желели променити свет својим идејама.En: The startup incubator was alive with the enthusiasm of young entrepreneurs who, like him, wanted to change the world with their ideas.Sr: Пред њим је било највеће изазовно искуство: завршно представљање пројекта на такмичењу стартап компанија.En: In front of him was the most challenging experience: the final project presentation at the startup company competition.Sr: Његова идеја, револуционарна мобилна апликација за паметно управљање кућним уређајима, била је спремна, али он није био.En: His idea, a revolutionary mobile app for smart home device management, was ready, but he was not.Sr: Његов скривени страх од јавног наступа и сумња у сопствене способности пробијали су пут ка површини.En: His hidden fear of public speaking and doubt in his own abilities began to surface.Sr: Пробала је пуно времена да одради сваки детаљ, али увек би се вратио на исту тачку - усудиће ли се да изнесе своју визију?En: He had spent a lot of time perfecting every detail, but always returned to the same point - would he dare to present his vision?Sr: "Мораш веровати у себе, Милане," рекла је Јасмина, његова пријатељица и менторка, која је много пута била пред публиком.En: "You must believe in yourself, Milane," said Jasmina, his friend and mentor, who had stood before an audience many times.Sr: Њене речи увек су га враћале назад на оно што је стварно важно - страст за технологијом и могућности које она носи.En: Her words always brought him back to what was truly important - a passion for technology and the opportunities it brings.Sr: У истом простору, његова главна конкуренткиња, Весна, припремала се за своје излагање.En: In the same space, his main competitor, Vesna, was preparing for her presentation.Sr: Њена харизма и уметност излагања веома су му се дивили, али данас није било времена за размишљање о њој.En: He greatly admired her charisma and presentation skills, but today there was no time to think about her.Sr: Када је дошао његов ред, Милан је изашао на сцену.En: When his turn came, Milan stepped onto the stage.Sr: Рукама стеже свој лаптоп не, иако су му колена дрхтала.En: He held his laptop tightly, even though his knees were shaking.Sr: У почетку, његове речи су му излазиле збркаво и делао је летаргично.En: At first, his words came out confused and lethargic.Sr: Али онда, као из дубине, чуо је Јасминине речи у својој глави: "Буди самоуверен.En: But then, as if from deep within, he heard Jasminine words in his head: "Be confident."Sr: "Брзо се сабрао, дубоко удахнуо и наставио.En: He quickly collected himself, took a deep breath, and continued.Sr: Његово излагање постало је течније, а његова страст за пројекат сијала.En: His presentation became more fluid, and his passion for the project shone.Sr: Објаснио је како ће његова апликација помоћи људима да уштеде енергију и време, и привукао пажњу пороте.En: He explained how his app would help people save energy and time, capturing the jury's attention.Sr: Када је завршио, тишина је потрајала само тренутак пре него што су почели аплаузи.En: When he finished, silence lasted only a moment before applause began.Sr: Људима се идеја свидела, а неколико инвеститора одмах је изразило интересовање за сарадњу.En: People liked the idea, and several investors immediately expressed interest in collaborating.Sr: То је било више од успеха - то је било признање његовог рада и труда.En: It was more than a success - it was recognition of his work and effort.Sr: Милан је оставио сцену са новим осећајем поверења.En: Milan left the stage with a new sense of confidence.Sr: Схватио је да јавни наступ није змај који га може поразити и да је његова страст права снага која ће му отворити многа врата.En: He realized that public speaking wasn't a dragon that could defeat him, and that his passion was the true strength that would open many doors for him.Sr: Дан се завршио, али његова авантура тек је започела.En: The day ended, but his adventure had just begun.Sr: Милан је корачао снажно напред, с новим веровањем у себе и своје идеје.En: Milan walked forward with newfound belief in himself and his ideas. Vocabulary Words:passing: пролазећиmix: мешавинуexcitement: узбуђењаilluminated: обасјаваоincubator: инкубаторenthusiasm: ентузијазмомentrepreneurs: предузетникаchallenging: изазовноcompetition: такмичењуrevolutionary: револуционарнаmanagement: управљањеpublic speaking: јавног наступаmentor: менторкаcharisma: харизмаlethargic: летаргичноconfidence: самоуверенfluid: течнијеjury: поротаapplause: аплаузиinvestors: инвеститораcollaborating: сарадњуsuccess: успехаrecognition: признањеeffort: трудаconfidence: поверењаdefeat: поразитиpassion: страстdragon: змајadventure: авантураbelief: веровањем
Ove nedelje u Njuz PODkastu analiziramo potpunu nevericu: od vojne parade koja je više ličila na generalnu probu s greškom (pogrešne boje na zastavi!), preko misteriozne pobune na TV Happy koja je razbesnela Vučićevića, do Stivena Sigala kao počasnog gosta. Pričamo i o najnovijem "poklonu" narodu – masovnoj legalizaciji divlje gradnje za samo 100 evra i pitamo se šta to znači za budućnost. Ne zaobilazimo ni sraman tretman studenta Bogdana Jovičića.
Septembar se bliži kraju, a nova epizoda podkasta pod zaštitom Međunarodnog PEN centra "Dobar loš zao" je tu! U prvom delu emisije, Nenad Kulačin i Marko Vidojković salutirali su novoj srpskoj ćaci-zastavi, saosećali su s Đurom Macutom, pružili podršku Pavlu Cicvariću i Bogdanu Jovičiću, uz svečano zaklinjanje da nikada neće preći na TV Hepi. Posle Žvalegine parade, pravi gost - profesor Filozofskog fakulteta u Novom Sadu i državni neprijatelj broj jedan, Dinko Gruhonjić! Dinka je uvek milina slušati, pa tako i sad. Oštar i precizan u kritici mafijaško-fašističkog režima, a ipak optimista, sve kako treba. Govorio je o budućnosti protesta, listama za predstojeće izbore, studentima i profesorima, kraju šešeljizma i mnogim drugim zanimljivim temama. U Magarećem kutku zaključićete da je ipak dobro što se DJV razmnožavao. Da bi DLZ opstao pretplatite se na patreon.com/ucutatinecemo ili pošaljite donaciju na PayPal ucutatinecemo@gmail.com. Na isti mejl možete naručiti DLZ majice, šolje i kecelje za karamelizovanje.
Svijet je ponovno posljednjih godina postao mjesto gdje se sve češće izlazi na ulice kako bi se ostvarila neka prava ili izrazilo mišljenje o ovom ili onom političkom pitanju. Sve izraženija polarizacija u društvima je dovela i do pojačanih napetosti na demonstracijama, što sve češće rezultira nasiljem. Nenad Kreizer razgovara s Aleksandrom Timofejevim o posljednjem valu nasilja na protestima u Srbiji i objašnjava koja su pravila na snazi kada je u pitanju javno okupljanje u Njemačkoj. Von Nenad Kreizer.
Langsam gesprochene Nachrichten | Deutsch lernen | Deutsche Welle
02.09.2025 – Langsam Gesprochene Nachrichten – Trainiere dein Hörverstehen mit den Nachrichten der DW von Dienstag – als Text und als verständlich gesprochene Audio-Datei.
As they say in the Economist: "Serbia is at a crossroads..." Anti-corruption protests after the collapse of the station roof in Novi Sad have not gone away, now many months after the event. The country's leader, President Vučić, is under pressure as never before, after 13 years in power. He has offered 'televised dialogues': his opponents have declined. The standoff continues. Meanwhile, in the tiny breakaway relic of the Bosnian War, Republika Srpska, the crossroads has come to a fork.In February 2025, the President of the RS region of Bosnia, Milorad Dodik, was stripped of his office, for planning to hold an independence referendum to break away from Bosnia. He was handed a one-year prison sentence plus a six-year political ban. Christian Schmidt, Bosnia's High Representative, froze budgetary support for RS ruling parties after attempts to arrest Dodik were thwarted by Republika Srpska police. Two concurrent crises, oddly twinned: as we all know, when Serbia goes off, the world needs to stand well back. Miša Đurković is a Principal Research Fellow and Director at the Institute of European Studies in Belgrade. This week, he joins us to unpack the dense politics of this geopolitical pocket rocket.
La crisis política y social en Serbia parece agudizarse con el paso de las semanas. Las manifestaciones y protestas protagonizadas por los estudiantes tras el incidente de la marquesina de Novi Sad que se vino abajo y mató a 16 personas siguen produciéndose, en un reclamo contra la corrupción, el clientelismo y el creciente autoritarismo que domina la política del país balcánico. El gobierno del presidente Vucic responde con dureza a los críticos y agita el fantasma de una presunta injerencia extranjera que estaría detrás de estos movimientos de protesta. Alejandro Esteso es investigador y analista político especializado en el espacio balcánico y en la política de ampliación europea.Escuchar audio
On April 30th, 1993, the world of tennis changed forever. During a routine changeover at the Citizen Cup in Hamburg, 19-year-old Monica Seles—the brightest star in women's tennis—was stabbed in the back by a deranged Steffi Graf fan. In one horrifying moment, a career of unprecedented promise was violently derailed, and the entire sporting world was forced to confront its vulnerability. In this episode, Beth and Jimmy retrace Seles's meteoric rise from Novi Sad to world No. 1. They explore how her unique two-handed strokes, steely determination, and fearless performances against legends like Steffi Graf made her the youngest French Open champion and a nine-time Grand Slam winner. At the peak of her powers, Seles wasn't just winning matches—she was redefining the sport. But her dominance also sparked jealousy, obsession, and dangerous rivalries off the court. The attacker, Günter Parche, was a lonely, disturbed man whose fixation on Graf culminated in an assault that stunned fans and raised urgent questions about athlete safety. The fallout from the stabbing reverberated through courtrooms, media coverage, and the lives of players across the world. Beth and Jimmy dig into the shocking leniency of Parche's sentence, the controversy it sparked, and how Seles's long, painful recovery journey reshaped her life both on and off the court. From her triumphant comeback at the US Open to her later work as an author, advocate, and mentor, Seles's story is not only one of lost innocence but also of resilience, reinvention, and enduring influence. This is more than a story about sport—it's about survival, justice, and the thin line between adoration and obsession. Join Beth and Jimmy as they revisit one of the darkest and most defining moments in sports history, and celebrate Monica Seles's courage in the face of unimaginable adversity. Talk2TheHand is an independent throwback podcast run by husband and wife, Jimmy and Beth. Obsessed with 90s nostalgia and 90s celebrities, we'll rewind the years and take you back to the greatest era of our lives. New episodes bursting with nostalgia of the 90s released on Tuesdays. Please subscribe to our podcast and we'll keep you gooey in 1990s love. Find us on Twitter @talk2thehandpod or email us at jimmy@talk2thehand.co.uk or beth@talk2thehand.co.uk
Los estudiantes se preparan para pasar a una nueva etapa con responsabilidades políticas ante un movimiento que persiste desde hace diez meses contra el Gobierno de Aleksandar Vučić . Este verano, las imágenes que llegan de las repetidas protestas antigubernamentales en Serbia han cambiado de tono. Gobierno y activistas se acusan mutuamente de utilizar medios violentos en las manifestaciones que suceden en distintos puntos del país, donde es más habitual que opositores y seguidores de Vučić se enfrenten en las calles. El momento más álgido de la violencia se vivió la noche del lunes 18 de agosto, con la demolición de una sede del partido gobernante SNS y una veintena de manifestantes detenidos. Las protestas empezaron tras un accidente el 1 de noviembre de 2024 en la estación de tren de Novi Sad, la segunda ciudad del país. El movimiento nació pidiendo responsabilidades por la supuesta corrupción del gobierno en obras públicas, pero su crecimiento y persistencia ahora hace tambalear el gobierno de Vučić, que lleva once años en el poder. “La gente se ha organizado para organizar protestas locales, bloqueando las calles, y, desde el 12 de agosto, en el Día Internacional de la Juventud, se ha visto mucha violencia por parte de quienes no apoyan a los estudiantes y por parte de la policía, que está arrestando a personas en las calles”, cuenta Anica Stamenkovic, miembro de la Junta del Consejo Nacional de la Juventud de Serbia, un organismo que representa a 108 organizaciones juveniles y es el máximo órgano representativo independiente de la juventud en Serbia. “Las protestas y los bloqueos de las calles comenzaron a ser más violentos, y cuando decimos violentos, nos referimos a que la gente está siendo golpeada, atropellada por coches, les lanzan piedras, artefactos pirotécnicos...", sigue Anica. El presidente serbio ha pasado de criminalizar a los manifestantes a pedir un debate con los estudiantes en televisión, que se plantean formar un partido político. Algo que ellos rechazan mientras piden elecciones generales de inmediato. "Desafortunadamente, la hora del diálogo ha terminado. No puede haber debates televisivos mientras haya violencia en las calles. Creo que los estudiantes no quieren un duelo televisivo. Solo quieren derechos humanos básicos: vivir en un país con democracia y Estado de derecho", responde la líder estudiantil. Una encuesta del Consejo Nacional de la Juventud de Serbia revela que el 95% de los jóvenes de entre 15 y 30 años apoyan a los manifestantes. El mismo sondeo indica que el 60% de los encuestados cree que la democracia es la mejor forma de gobierno, lo que representa un aumento del 20% respecto al año anterior.
Today's HeadlinesVoice of the Martyrs Korea to add fifth daily broadcast to North KoreaClashes between protesters and police grip Serbia, derail academic yearDeaf Christians equipped to reach Deaf communities
Studenti i građani u Srbiji najavljuju nastavak bunta i blokada. Policijsko nasilje i urušene institucije sve više potresaju zemlju, a EU i Njemačka ostaju mlaki u reakcijama. Kritičari upozoravaju da Brisel zbog strateških interesa i litija štiti predsednika Aleksandra Vučića, što dodatno potkopava povjerenje građana u EU. Maja Marić razgovara s dr.sc. Rastislavom Dinićem. Što je novo na ulicama Srbije donosi kolegica Jelena Djukić-Pejić. Von Maja Maric.
In this episode, Serbian water polo legend Branislav Mitrović shares deeply personal stories of his life and career, offering a rare glimpse beyond the pool. From his beginnings in Novi Sad to the grand stage of the Olympics, Branislav reflects on the experiences that shaped him — and reveals the one value he credits as most pivotal in his journey: discipline. He also responds to statements about himself and his legacy — honest, reflective, and sometimes surprising. Listen to hear what discipline has meant throughout his career, and how it remains his guiding force. Throughout the episode, Mitrović emphasizes that discipline, even above talent, has been his most important value — the foundation of his consistency, resilience, and success. His reflections on maintaining focus, work ethic, and mental toughness offer a meaningful take-away for athletes and listeners alike.
El enviado especial de Donald Trump para Oriente Medio ha visitado hoy Gaza para ver "in situ" la situación humanitaria y cómo funcionan los polémicos centros de reparto de ayuda montados por Israel y EEUU.Vamos a estar en Albania donde el gobierno italiano de Giorgia Meloni financia dos centros de migrantes cuyas deportaciones deben ser objeto de control judicial. Hablaremos de ello. Estaremos en Serbia porque hay más de una decena de detenidos en relación con la tragedia de Novi Sad donde murieron 15 personas. También en Santa Lucía, que ha anulado una ley que criminalizaba las relaciones entre personas del mismo sexo y en El Salvador porque el Congreso acaba de otorgar más poder y reelecciones indefinidas al presidente Nayib Bukele. Además tendremos una entrevista sobre el informe "El estado de la seguridad alimentaria y la nutrición en el mundo". Escuchar audio
Slovakia Today, English Language Current Affairs Programme from Slovak Radio
In the first episode of the series Diaspora on the Airwaves, we head to Novi Sad, Serbia, home to the Slovak section of Radio Novi Sad. Then, musician and singer Eva Miškovičová invites you to her upcoming concert with Júlia Kozáková, part of the Viva Musica! festival. And finally, you'll learn about Elena Maróthy-Šoltésová in a new episode of the series Who Was That.
„Dacă vreun popor și vreo țară ar trebui consultați cu privire la problema genocidului, acestea sunt în mod absolut Israelul.” Iată declarația președintei parlamentului sârbesc Ana Brnabić care a vizitat săptămâna trecută Israelul. Oficialul sârb a răspuns unei întrebări privind respingerea de către Israel a rezoluției ONU privind genocidul de la Srebrenica. beta.rs comentează vizita făcută în Israel de Președinta Adunării Naționale, Ana Brnabić, săptămnâna trecută. Ana Brnabić s-a întâlnit cu președintele israelian Isaac Herzog și cu ministrul israelian de externe, Gideon Sa'ar. Aceștia au discutat despre relațiile dintre cele două țări și despre consolidarea cooperării în mai multe domenii. „Toți (oficialii israelieni) și-au exprimat profunda recunoștință față de Serbia pentru tot sprijinul acordat după 7 octombrie”, a spus Brnabić. Potrivit oficialului sârb, cele două țări se concentrează acum pe încheierea unui acord de liber schimb. Întrebată dacă a mulțumit autorităților israeliene pentru respingerea rezoluției ONU privind Genocidul de la Srebrenica, Brnabić a răspuns că, dacă vreun popor și vreo țară ar trebui consultați cu privire la problema genocidului, acestea sunt în mod absolut Israelul. „Oficialii israelieni au susținut că a fost o crimă în masă teribilă, dar că nu poate fi definită drept genocid”, a spus Ana Brnabić. Organizatorii festivalului Exist: următoarea ediție nu va avea loc în acestă Serbie Cea de-a 25-a ediție a Festivalului Exit a avut loc week-endul trecut la Cetatea Petrovaradin din Novi Sad. Organizatorii spun că este ultima dată când acest festival simbol pentru Serbia se desfășoară în „acestă Serbie,” relatează slobodnaevropa.org, Europa Liberă în limba sârbă. Festivalul s-a desfășurat în contextul protestelor antiguvernamentale, iar organizatorii au declarat că s-au aflat sub presiunea autorităților din cauza sprijinului acordat studenților. Șefa departamentului de comunicare spune că a fost semnat un acord pentru organizarea următoarei ediții în 2026, în Egipt. „A fost semnată o colaborare oficială cu compania egipteană Venture Lifestyle. A 26-a ediție a festivalului va avea loc lângă piramidele din Egipt. Dacă nu există nicio schimbare în țară, nu va mai exista niciun festival în Novi Sad,” a declarat responsabila de comunicare a evenimentului. De-a lungul anilor, Exit a devenit un simbol al Serbiei. Cu aproximativ 200.000 de vizitatori anual, este recunoscut ca fiind unul dintre cele mai importante festivaluri de muzică din lume. Ediția de anul acesta a fost deschisă de Bob Geldof, fondatorul Live Aid,. În deschidere a cântat și artista italiană Gala. Hitul ei din anii 90, „Freed from Desire”, a devenit imn neoficial al protestelor și blocadelor din Serbia. „Albania nu poate schimba prea multe pe câmpul de luptă, dar suntem alături de Kiev! shqiptarja.com scrie despre participarea premierului Edi Rama la Conferința privind Reconstrucția Ucrainei de la Roma. „Nu suntem o comunitate beligerantă, iar Ucraina nu este nici agresorul, nici autorul acestui război sângeros care are loc la granița Europei zi și noapte. Nimeni nu are o formulă magică, desigur, și cu siguranță nici eu nu am una. A vorbi despre pace nu pune capăt războiului și nu îl face pe Vladimir Putin un om pașnic. Totuși, aș dori împărtășesc convingerea că, chiar dacă vom face tot ce este necesar pentru a nu lăsa Ucraina să cadă, nu vom fi suficient de puternici pentru a pune capăt acestui război, pentru a salva Ucraina, dacă nu avem propriul nostru plan de pace puternic, curajos și atractiv. Pacea este singurul viitor despre care poate vorbi Europa,” a spus Edi Rama. Au participat la Revista Presei Europa Plus: Andjela RADULOVIC, Serbia Sofija JOVANOVIĆ, Serbia Lavdije XHELILI, Albania
Le plus célèbre festival de Musique de Serbie, Exit, voit son existence menacée, pour avoir apporté son soutien au mouvement étudiant contre la corruption. Le régime du président Vucic attaque le festival au portefeuille, quitte a affaiblir l'économie du pays. Avec notre correspondant à Novi Sad en Serbie, Laurent Rouy Directeur du festival musical EXIT, Dusan Kovacevic ne s'attendait pas à être pris pour cible par le régime. Mais le soutien du festival aux étudiants qui manifestent contre la corruption n'a visiblement pas plu aux membres du parti au pouvoir en Serbie. « D'abord, ils ont menacé de nous supprimer les subventions que nous recevons chaque année. Puis, ils ont mis leur menace à exécution. Cet argent qu'ils investissent leur revient, pourtant, puisque chaque année Exit rapporte entre 25 et 30 millions d'euros à la Serbie », nous explique Dusan Kovacevic, le directeur du festival. La manifestation est soutenue par des groupes qui défendent aussi des valeurs démocratiques, tel que Atheist Rap, un groupe de musique punk, comme son nom ne l'indique pas. Son bassiste Zoran Lekic témoigne du prix à payer pour avoir exprimé publiquement son soutien : « On annule nos concerts, par exemple ceux qui sont financés par les mairies. En Serbie, toutes les mairies sont aux mains du parti au pouvoir actuel. Les boîtes de nuit nous expliquent qu'elles subissent des pressions pour annuler nos concerts, sous peine de voir débarquer des commissions de sécurité ou des agents du fisc. Voilà le genre de méthodes employées par ce régime ». À lire aussiSerbie: l'opposition anti-Vučić manifeste devant un bâtiment bombardé par l'Otan devenu un symbole En face, les étudiants profitent de la visibilité du festival pour informer le public, comme l'explique Aleksa, un étudiant ayant participé à un blocage devant l'entrée d'Exit. « Le blocage du pont aujourd'hui était juste une performance, pour montrer aux visiteurs étrangers que notre lutte continue. Les gens étaient très peu informés. Mais ils ont compris que c'était une bataille pour la démocratie ». Et il y a même une scène musicale dédiée aux étudiants dans le festival cette année. Elle attire beaucoup de spectateurs serbes. C'est un bon moyen d'aborder le sujet de la contestation avec un public plus large, selon Novak, de la faculté des sciences et techniques : « Les étudiants ont tout organisé. Nous avons trouvé les groupes, les DJ qui vont jouer en concert. Nous avons imaginé une exposition sur les manifestations anticorruption. Et de son côté, Exit a fourni toute la partie technique ». Le festival Exit envisage de déménager à l'étranger l'an prochain. La vitrine culturelle de la Serbie pourrait ne pas survivre au tournant autoritaire pris par le président Aleksandar Vucic.
Ob Belgrad, Novi Sad oder Niš: Die Bilder, die uns in diesen Tagen aus Serbien erreichen, zeigen friedlichen Protest. Mit ihren Handys verwandeln Zehntausende die nächtlichen Straßen in ein Lichtermeer. Ihre Forderung: Recht und Gesetz sollen für alle Menschen in Serbien gelten - auch für diejenigen, die ganz oben im Staat stehen. Auslöser für die Massenproteste war der Einsturz eines Bahnhofsvordachs in Novi Sad Anfang November. 15 Menschen verloren dabei ihr Leben. Für die Studierenden, die seitdem demonstrieren, ist der Vorfall nicht einfach ein tragisches Unglück, sondern Folge unsachgemäßer Renovierungsarbeiten durch ein chinesisches Unternehmen. Sie kritisieren, dass die serbische Regierung zunächst versucht habe, das Unglück zu vertuschen und Verantwortung abzuweisen. "Korruption tötet", so der Slogan, der auf vielen Plakaten zu lesen ist.Florian Bieber ist Leiter des Zentrums für Südosteuropastudien an der Universität Graz. Er beobachtet die Situation in Serbien sehr genau: Es gehe den Studierenden nicht um einen Umsturz, wie Präsident Aleksandar Vučić behauptet, sondern um Transparenz und um Rechtsstaatlichkeit. "Das sind wirklich die großen Probleme, mit denen Serbien seit über einem Jahrzehnt zu kämpfen hat", sagt Bieber im Podcast "Wirtschaft Welt & Weit".Längst gehen nicht mehr nur Studierende auf die Straße, sondern auch Anwälte, Ärzte und viele andere Berufsgruppen. Gerade erst haben sie den Rücktritt des serbischen Ministerpräsidenten Miloš Vučević erreicht. Doch der ist für Bieber "kein bedeutendes Schwergewicht in der serbischen Machtkonstellation", sondern eher eine Art Bauernopfer. Dennoch sieht er den Rücktritt als Indiz dafür, "dass sich das Regime im Moment bedroht fühlt".In der neuen Podcast-Folge erklärt der Professor für Geschichte und Politik Südosteuropas, wie das "System Vučić" funktioniert: Zwar liege die Macht formal beim Ministerpräsidenten, doch in der Praxis habe es Vučić geschafft, die wichtigen Institutionen des Landes zu übernehmen. Seine Macht gehe dabei nicht von der Verfassung aus, sondern von der Partei und seiner Person. "Er könnte theoretisch morgen als Präsident zurücktreten und weiterhin die gleiche Macht ausüben", sagt Bieber. Das passe nicht mit dem Status eines EU-Beitrittskandidaten, den Serbien seit zehn Jahren innehat, zusammen, kritisiert Bieber. "Serbien ist im letzten Jahrzehnt sehr viel weniger demokratisch geworden." Stattdessen beobachtet er "größere Missachtung von Menschenrechten und Rechtsstaatlichkeit". Deutschland und die EU müssten sich dagegen stellen - und ihre Prinzipien auch beim Aushandeln wirtschaftlicher Deals verfolgen. Ansonsten sieht Bieber die Gefahr, dass die EU ihre Sympathien bei vielen Menschen in Serbien verspielt.Im Sommer 2024 haben Serbien und die EU einen Lithium-Deal abgeschlossen. Dabei geht es um die Förderung von Lithium im serbischen Jadartal durch den Bergbaukonzern Rio Tinto. Serbien würde gerne die komplette Wertschöpfungskette vom Abbau des Lithiums bis hin zur Produktion von E-Autos im Land konzentrieren. Die EU will das Vorhaben fördern und beim Thema Lithium weniger abhängig von China werden. Für Bieber rutscht die EU jedoch in eine neue Abhängigkeit, der serbische Präsident Aleksandar Vučić ist für ihn "kein zuverlässiger Bündnispartner". Das Lithium-Abkommen "hat der Europäischen Union und Deutschland auf dem Balkan einen Riesen-Schaden zugefügt", konstatiert Bieber. Viele Menschen haben seiner Beobachtung zufolge inzwischen das Gefühl, dass die EU ihre Forderungen nach mehr Demokratie und Rechtsstaatlichkeit nicht wirklich unterstütze, sondern stattdessen ihre eigenen Interessen verfolge. "Viele Menschen sagen, die EU ist nicht anders als China, die wollen nur unsere Rohstoffe."Dass die EU auf höhere Umweltauflagen setzt als China, lässt der Südosteuropa-Experte übrigens nicht gelten. Denn für ihn fehlen angemessene Kontrollmechanismen. Schon jetzt würden in vielen Fällen, etwa beim Bau von Fabriken, selbst die serbischen Auflagen nicht eingehalten. "Warum sollte das bei einem Minenprojekt einer multinationalen Firma anders sein?", gibt Bieber zu bedenken.Bei dieser Folge handelt es sich um einen Re-Upload. Die Folge haben wir erstmals am 30. Januar 2025 veröffentlicht.Schreiben Sie Ihre Fragen, Kritik und Anmerkungen gern an www@n-tv.de. Unsere allgemeinen Datenschutzrichtlinien finden Sie unter https://datenschutz.ad-alliance.de/podcast.html Wir verarbeiten im Zusammenhang mit dem Angebot unserer Podcasts Daten. Wenn Sie der automatischen Übermittlung der Daten widersprechen wollen, klicken Sie hier: https://datenschutz.ad-alliance.de/podcast.htmlUnsere allgemeinen Datenschutzrichtlinien finden Sie unter https://art19.com/privacy. Die Datenschutzrichtlinien für Kalifornien sind unter https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info abrufbar.
La guerre en Ukraine a révélé la puissance de destruction des drones. Le week-end dernier, la Russie a mené une série d'attaques de drones sur les villes de Kiev, Soumy et Odessa. La plus massive perpétrée depuis l'invasion du pays en 2022. L'Ukraine qui demande plus de moyens de défense anti-aériens, investit aussi énormément dans la recherche et la production de drones. Le 1er juin 2025, la destruction d'une dizaine de bombardiers russes, situés à plusieurs milliers de kilomètres, par 117 petits drones ukrainiens à quatre hélices avait créé la surprise. Une expertise que Kiev souhaite mettre en avant. Emmanuelle Chaze. Des drones voiliers dans la Baltique C'est dans ce contexte critique que les pays de l'Otan se réarment. Le Danemark commence à s'équiper de nouveaux drones voiliers qui fonctionnent à l'énergie éolienne et solaire. Leur but surveiller la mer baltique. Ottilia Ferey s'est rendue le mois dernier à Koge, à une quarantaine de kilomètres de Copenhague, où deux de ces drones ont pris la mer... La mobilisation des serbes contre Vucic Direction la Serbie où depuis novembre, depuis l'accident tragique de la gare de Novi Sad, les étudiants manifestent. Ils accusent le gouvernement du président Vucic de corruption et demandent sa démission... Une nouvelle étape vient d'être franchie alors que la mobilisation ne faiblit pas. Louis Seiller. Le Prosecco dans la tourmente des droits de douane Dernière ligne droite dans les négociations avec l'administration Trump, qui menace toujours d'imposer des droits de douane de 50% au 1er août 2025. Parmi les secteurs à risque le secteur viticole en Italie. Le pays est devenu le premier exportateur mondial de vin pour la quantité et le second pour le chiffre d'affaires. Au contraire de la tendance mondiale, l'Italie a vu sa production augmenter et c'est un vin pétillant le Prosecco qui tire remarquablement bien son épingle du jeu. Une success story fragilisée aujourd'hui par les incertitudes sur le commerce mondial. Reportage en Vénétie sur les terres du Prosecco d'Olivier Favier. Les leçons des attentats du 7 juillet 2005 à Londres C'était il y a tout juste 20 ans. À Londres, une série d'attentats islamistes dans le métro et un bus, faisait 52 morts et plus de 750 blessés. Le plus grand attentat commis au Royaume-Uni en dehors du terrorisme de l'Ira. Aujourd'hui, la menace terroriste est elle encore plus forte ? À Londres, Marie Billon.
La guerre en Ukraine a révélé la puissance de destruction des drones. Le week-end dernier, la Russie a mené une série d'attaques de drones sur les villes de Kiev, Soumy et Odessa. La plus massive perpétrée depuis l'invasion du pays en 2022. L'Ukraine qui demande plus de moyens de défense anti-aériens, investit aussi énormément dans la recherche et la production de drones. Le 1er juin 2025, la destruction d'une dizaine de bombardiers russes, situés à plusieurs milliers de kilomètres, par 117 petits drones ukrainiens à quatre hélices avait créé la surprise. Une expertise que Kiev souhaite mettre en avant. Emmanuelle Chaze. Des drones voiliers dans la Baltique C'est dans ce contexte critique que les pays de l'Otan se réarment. Le Danemark commence à s'équiper de nouveaux drones voiliers qui fonctionnent à l'énergie éolienne et solaire. Leur but surveiller la mer baltique. Ottilia Ferey s'est rendue le mois dernier à Koge, à une quarantaine de kilomètres de Copenhague, où deux de ces drones ont pris la mer... La mobilisation des serbes contre Vucic Direction la Serbie où depuis novembre, depuis l'accident tragique de la gare de Novi Sad, les étudiants manifestent. Ils accusent le gouvernement du président Vucic de corruption et demandent sa démission... Une nouvelle étape vient d'être franchie alors que la mobilisation ne faiblit pas. Louis Seiller. Le Prosecco dans la tourmente des droits de douane Dernière ligne droite dans les négociations avec l'administration Trump, qui menace toujours d'imposer des droits de douane de 50% au 1er août 2025. Parmi les secteurs à risque le secteur viticole en Italie. Le pays est devenu le premier exportateur mondial de vin pour la quantité et le second pour le chiffre d'affaires. Au contraire de la tendance mondiale, l'Italie a vu sa production augmenter et c'est un vin pétillant le Prosecco qui tire remarquablement bien son épingle du jeu. Une success story fragilisée aujourd'hui par les incertitudes sur le commerce mondial. Reportage en Vénétie sur les terres du Prosecco d'Olivier Favier. Les leçons des attentats du 7 juillet 2005 à Londres C'était il y a tout juste 20 ans. À Londres, une série d'attentats islamistes dans le métro et un bus, faisait 52 morts et plus de 750 blessés. Le plus grand attentat commis au Royaume-Uni en dehors du terrorisme de l'Ira. Aujourd'hui, la menace terroriste est elle encore plus forte ? À Londres, Marie Billon.
Para el presente episodio, en Mirada Semanal decidimos salirnos de nuestra región y examinar la imagen que se tiene de América, pero desde los Balcanes. Una imagen desde fuera, que nos permita complementar y entender desde otro punto de vista las dinámicas socio-económicas de nuestro continente, en el que quizá sea el momento de mayor heterogeneidad y fragmentación política de nuestra historia reciente. Una visión particularmente interesante, si consideramos que se da desde una región europea que históricamente ha tenido que convivir con los efectos de ideas tan antagonistas como la integración versus desintegración, o como el nacionalismo versus regionalismo como es el caso de los Balcanes.De hecho, cuando se explica el proceso de fragmentación de unidades políticas que antes estuvieron juntas, se emplea el término "balcanización" en referencia a la desintegración reciente de lo que antes fue Yugoslavia. Sin embargo, considerando las profundas divisiones que presenta la política en el continente americano, esta noción podría trasladarse a lo que vive actualmente esta extensa región del mundo. No tan solo por las divisiones geográficas entre la América Anglosajona del norte y la América Hispana del centro y sur del continente, sino también la fragmentación política al interno de cada sociedad como producto del incremento de la polarización, el extremismo identitario y en suma, el sostenido deterioro de la calidad de nuestras democracias.Para este episodio, desde Novi Sad Serbia nos acompaña Bojana Kovačević. Profesora y Directora del Centro Iberoamericano de la Universidad de Novi Sad en Serbia CIBAM y Presidenta del Comité Organizador del Congreso Internacional de Americanistas en la edición 2025. Experta además en literatura hispanoamericana y traductora de decenas de libros del castellano al serbio. Con su apoyo analítico conoceremos más sobre esta imagen de América, también desde la perspectiva académica balcánica.Analistas:Manuel Alcántara SáezMaría Puerta RieraInvitada especial:Bojana KovačevićEdición y Conducción:Xavier Rodríguez Franco
Serbia's government has come under intense pressure since a deadly disaster at Novi Sad's main railway station last November. Student-led protests have spiralled into a nation-wide resistance movement and for months, Serbians have been speaking out against corruption, a lack of accountability, and a culture of impunity in Aleksandar Vučić's regime. But if you're listening to this from Western Europe, or indeed much of the rest of the world, the odd headline is probably all you've seen. What are these protests really about? And what makes them different? This week, an in-depth conversation about what it's like to be living through a potential turning point in Serbian history. Thanks for listening. If you enjoy our podcasts, we'd love it if you'd consider supporting our work. You can chip in to help us cover the weekly research and production of The Europeans at patreon.com/europeanspodcast (many currencies are available), or gift a donation to a super fan here. We'd also love it if you could tell two friends about this podcast! This podcast was brought to you in cooperation with Euranet Plus, the leading radio network for EU news. Co-hosts: Wojciech Oleksiak and Katy Lee Editorial support: Morgan Childs, Dominic Kraemer and Katz Laszlo Production, scoring and mixing: Wojciech Oleksiak Music by Jim Barne, Mobygratis and Epidemic Sounds With thanks to Nikola Radić YouTube | Bluesky | Instagram | Mastodon | hello@europeanspodcast.com
Nova epizoda podkasta pod zaštitom Međunarodnog PEN centra "Dobar loš zao" je tu! U prvom delu emisije Nenad Kulačin i Marko Vidojković bavili su se Vučićevom sardinom, pripremama za lokalne izbore u Zaječaru i Kosjeriću, a podsetili su se i studentkinje Ane kojoj su predsednikovi "junaci" polomili vilicu. Gost je Milan Čanak, diplomirani ekonomista, aktivista i što je u ovom trenutku najbitnije, sin progonjene profesorke Marije Vasić. Milan je dugo i nadahnuto pričao o teškoćama svoje majke, o sudbini ostalih novosadskih aktivista, kao i o potrebi odlučne borbe svih građana Srbije za slobodu, bez obzira na ideološke razlike. Ovo, naravno nije sve. Mladi Čanak je pričao o svojim iskustvima iz Ukrajine gde je boravio kao humanitarni volonter i mnogim drugim zanimljivim temama. U Magarećem kutku moći ćete da vidite DJV-a u još jednoj uskoj majici. Da bi DLZ opstao, pretplatite se na patreon.com/ucutatinecemo ili pošaljite donaciju na PayPal dlz.istern@gmail.com
Début de semaine très électoral en Europe puisqu'on votait dimanche (18 mai 2025) en Roumanie, en Pologne et au Portugal... Partout l'extrême droite a obtenu des résultats historiques, mais pas la victoire. C'est le cas en Roumanie, pays sur lequel tous les projecteurs étaient braqués. C'est finalement le candidat pro européen et pro Ukraine Nicusor Dan, qui l'a emporté devant le candidat de l'extrême droite George Simion. L'analyse de Jacques Rupnik, directeur de recherche émérite au Ceri et grand spécialiste de l'Europe centrale. Le pays sort divisé et secoué par cette campagne électorale... il faut le rappeler, un premier scrutin a été invalidé par la Cour constitutionnelle pour manipulation des réseaux sociaux... et cela a d'ailleurs continué hier puisqu'une fausse information circulait hier sur Tiktok mettant en cause la France qui aurait eu des projets d'incitation à la guerre civile. Lutter contre ces fausses informations, c'est aussi au cœur de la campagne pour les élections présidentielles en Pologne, dont le premier tour se tenait hier... le gouvernement a mis en place ce qu'il appelle un parapluie électoral. Le reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.Les Polonais vont voter au second tour pour les présidentielles le 1er juin 2025, là encore, le choix aura un impact fort sur les réformes dans le pays, mais aussi sur la géopolitique européenne. Les étudiants serbes militent contre la corruption et les atteintes à l'environnementLes étudiants serbes manifestent depuis six mois contre la corruption du gouvernement. Et en particulier contre le scandale de la gare de Novi Sad dont l‘écroulement de l'auvent, tout juste rénové, a causé la mort de 16 personnes en novembre 2024. Blocages de rues, grèves, courses à vélo à travers tout le pays jusqu'au siège des institutions européennes à Bruxelles. Le mouvement ne faiblit pas. Et voilà qu'il s'intéresse aussi au projet de la multinationale Rio Tinto qui prévoit d'exploiter une des plus grosses mines de lithium du monde, avec de graves conséquences pour l'environnement. Reportage à Loznica de Louis Seiller. À lire aussiSerbie: les étudiants exigent la dissolution du Parlement et la convocation d'élections anticipées La déportation des tatars de Crimée en 1944Alors que les négociations diplomatiques se poursuivent, les Ukrainiens commémoraient hier les 81 ans de la déportation en 1944 de 200 000 tatars de Crimée par Staline. À Kiev, notre correspondante Emmanuelle Chaze. À lire aussiIl y a 81 ans, des centaines de milliers de Tatars de Crimée étaient déportés par Staline
Début de semaine très électoral en Europe puisqu'on votait dimanche (18 mai 2025) en Roumanie, en Pologne et au Portugal... Partout l'extrême droite a obtenu des résultats historiques, mais pas la victoire. C'est le cas en Roumanie, pays sur lequel tous les projecteurs étaient braqués. C'est finalement le candidat pro européen et pro Ukraine Nicusor Dan, qui l'a emporté devant le candidat de l'extrême droite George Simion. L'analyse de Jacques Rupnik, directeur de recherche émérite au Ceri et grand spécialiste de l'Europe centrale. Le pays sort divisé et secoué par cette campagne électorale... il faut le rappeler, un premier scrutin a été invalidé par la Cour constitutionnelle pour manipulation des réseaux sociaux... et cela a d'ailleurs continué hier puisqu'une fausse information circulait hier sur Tiktok mettant en cause la France qui aurait eu des projets d'incitation à la guerre civile. Lutter contre ces fausses informations, c'est aussi au cœur de la campagne pour les élections présidentielles en Pologne, dont le premier tour se tenait hier... le gouvernement a mis en place ce qu'il appelle un parapluie électoral. Le reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat.Les Polonais vont voter au second tour pour les présidentielles le 1er juin 2025, là encore, le choix aura un impact fort sur les réformes dans le pays, mais aussi sur la géopolitique européenne. Les étudiants serbes militent contre la corruption et les atteintes à l'environnementLes étudiants serbes manifestent depuis six mois contre la corruption du gouvernement. Et en particulier contre le scandale de la gare de Novi Sad dont l‘écroulement de l'auvent, tout juste rénové, a causé la mort de 16 personnes en novembre 2024. Blocages de rues, grèves, courses à vélo à travers tout le pays jusqu'au siège des institutions européennes à Bruxelles. Le mouvement ne faiblit pas. Et voilà qu'il s'intéresse aussi au projet de la multinationale Rio Tinto qui prévoit d'exploiter une des plus grosses mines de lithium du monde, avec de graves conséquences pour l'environnement. Reportage à Loznica de Louis Seiller. À lire aussiSerbie: les étudiants exigent la dissolution du Parlement et la convocation d'élections anticipées La déportation des tatars de Crimée en 1944Alors que les négociations diplomatiques se poursuivent, les Ukrainiens commémoraient hier les 81 ans de la déportation en 1944 de 200 000 tatars de Crimée par Staline. À Kiev, notre correspondante Emmanuelle Chaze. À lire aussiIl y a 81 ans, des centaines de milliers de Tatars de Crimée étaient déportés par Staline
From San Francisco to Novi Sad, the original Nazi-punks who were supposed to f#ck off. The history of the American Front, "the first US national skinhead organization" from Bob Heick to James Porrazzo. Subscribe to patreon.org/tenepod @tenepod.bsky.social + x.com/tenepod
In der Nähe von Wien nehmen Schweizer Truppen an einer Übung Teil, gemeinsam mit Soldatinnen und Soldaten aus Österreich und Deutschland. Wir haben mit Bundesrat Martin Pfister über die Kriegsszenarien gesprochen. Weitere Themen: · Immer mehr Schweizerinnen und Schweizer lassen sich das Geld aus der Pensionskasse auf einmal auszahlen anstatt in Tranchen. Woran liegt das? · Die Pressefreiheit ist weltweit noch nie so bedroht gewesen wie in diesem Jahr. Das sagt die Organisation «Reporter ohne Grenzen» in ihrem neuen Bericht. Das grösste Problem: der wirtschaftliche Druck. · Vor sechs Monaten kamen im serbischen Novi Sad 16 Menschen ums Leben, als das Vordach des Bahnhofs einstürzte. Seitdem gibt es regelmässig Proteste und Kritik an der serbischen Regierung. Zum Tag der Arbeit taten sich nun die Studierenden mit den Gewerkschaften zusammen.
Good afternoon, I'm _____ with today's episode of EZ News. Tai-Ex opening The Tai-Ex opened down 17-points this morning from yesterday's close, at 20,215on turnover of 4.1-billion N-T. The market moved higher on Tuesday, extending momentum from a session earlier as a technical rebound continued. Buying focused on non-tech stocks, while the electronics sector saw its gains capped after reports that Huawei Technologies is ready to test its newest artificial intelligence chip to rival Nvidia. Narwhal faces sea trial testing delay Navy Chief of Staff Qiu Chun-rong has admitted the first domestically built submarine prototype willl likely miss the date that sea trials were scheduled to begin. The Ministry of National Defense's timeline for the Narwhal to carry out sea trials was supposed to begin in April month and be completed by late September. However, Qiu says the Navy is currently still working on improvements and focusing on reaching the "technology readiness level" required for the vessel (船隻) to carry out sea trials. That statement followed reports of potential testing delays due to voltage surges from a land-based power supply used in testing causing some components in the submarine to fail. CDC warning of rise in COVID cases The Centers for Disease Control is warning in a rise in the number of COVID infections. According to the C-D-C, infections have now risen for three consecutive (連續的) weeks and are likely to peak between May and June. Figures show the number of people visiting hospitals with COVID symptoms increased by 19-per cent last week from the previous (前) week. While 21 cases of severe COVID and seven deaths have been confirmed over the past seven days. C-D-C Deputy Director-General Philip Luo is advising people to get vaccinated and more than 3-million doses of government-funded COVID vaccines are currently available. Canada PM Warning on Trump Canadian Prime Minister Mark Carney, who has just won re-election to officially replace former leader Justin Trudeau has warned that the US president is trying to break Canada. Kate Fisher reports from Washington EU Urges Serbia Reforms The European Union's enlargement commissioner has urged Serbia's new government to push forward democratic reforms (改革,改進) needed for membership in the bloc, saying that the Balkan nation's protesting citizens have been seeking similar changes. Marta Kos says the EU wants to embrace Serbia and other candidate countries in the Western Balkans. But she said Serbia must first reform the judiciary in order to fight corruption, ensure freedom of the press and free and fair elections. Marta Kos spoke after meeting Serbia's new prime minister who has taken over the government earlier this month facing monthslong anti-corruption demonstrations triggered by a train station concrete canopy collapse that killed 16 people in November. Many in Serbia blamed the crash in the northern city of Novi Sad on alleged rampant (猖獗) corruption in the government's infrastructure deals with China, staging almost daily street protests demanding justice for the victims. That was the I.C.R.T. EZ News, I'm _____. ----以下訊息由 SoundOn 動態廣告贊助商提供---- ✨宏匯廣場 歡慶璀璨女王節✨
Six months after the collapse of a railway platform canopy in Novi Sad, protests against corruption in Servia show no sign of abating. It seems so amount of government reshuffles will make them go away. The students want fundamental institutional change in their country. Serbian political scientist Ivan Vejvoda of the Vienna Institute for Human Sciences has likened the protesters to the early revolutionaries of 18th century France. He told Chris Cummins why.Sendungshinweis: FM4, OKFM4, 25.04.2025, 17 Uhr
On November 1 2024, the roof of a newly €55 million renovated railway station in Novi Sad, Serbia's second biggest city, collapsed and killed 16 people. The deaths sparked Serbia's largest wave of student-led anti-government protests since Yugoslavia's disintegration in 2000.Mid-March protests in Serbia saw roughly one in twenty Serbians participate. This week Mladen Mrdalj joins host Aaron Schwartzbaum to explore how the tragedy in Novi Sad sparked a mass movement, and why it spells potential trouble for Serbian President Aleksandar Vučić.Explore previous episodes of The Continent series. Get full access to FPRI Insights at fpriinsights.substack.com/subscribe
Seit Wochen gehen die Menschen in Serbien gegen die Regierung von Aleksandar Vucic auf die Strasse. Was als Studentenprotest begann, hat sich zum Volksaufstand entwickelt. Am Anfang steht ein Unglück: Am 1. November bricht in Serbiens zweitgrösster Stadt Novi Sad das Vordach des Bahnhofs ein. Dabei sterben 16 Menschen. Was wie ein Unfall aussieht, entwickelt sich schnell zum Politikum. Die Menschen Fragen sich, wie ein frisch renoviertes Dach einstürzen kann. Viele vermuten Baupfusch und Korruption als Ware Ursache. Das Unglück von Novi Sad wird zum Symbol für die grassierende Korruption im Land und befeuert die Wut gegen die Regierung. Die Menschen verlangen eine strafrechtliche Untersuchung. Doch schon längst geht es um mehr als nur das Bahnhofsunglück. Vielmehr verlangen die Menschen einen funktionierenden Rechtstaat mit unabhängig arbeitenden Institutionen. Sie zielen damit ins Herz des Herrschaftssystems, das sich Präsident Aleksandar Vucic und seine serbische Fortschrittspartei in den zwölf Jahren aufgebaut haben. Sie haben in dieser Zeit alle Ebenen des Staates unter ihre Kontrolle gebracht. Von den lokalen Parlamenten über die Justiz bis hin zu den Medien. Der Protest ist breit abgestützt: Bauern, Lehrerinnen, Anwältinnen und Rentner haben sich den Studentenprotesten angeschlossen. Doch reicht dies? «SRF-International» mit einem Stimmungsbild aus einem Land im Aufruhr.
Prefiguring Autonomy: Student-led Social Movement in Serbia Shake The Government This week, we speak with Ilian and Koko, two students from Serbia, and another anarchist comrade who participated in student and other movements earlier in this century to speak about the anti-corruption protest that have rocked the Serbian Progressive Party (SNS) government of president Vučić' since the deadly collapse of a recently opened concrete train platform canopy in Novi Sad on November 1st 2024, so far killing 16 people. Starting with student demands for transparency and accountability from the government that were answered with violence and subterfuge, the protests have grown and drawn from wider and wider portions of the public into millions taking the streets, creating autonomous assemblies and plenums rejecting the political parties. The guests speak about the growth, the reactions against it, and the possibilites they see in what has the seeds that could bring it from social movement to social revolution. Some other reading sources (thanks Rey!) https://en.wikipedia.org/wiki/2024%E2%80%93present_Serbian_anti-corruption_protests https://www.masina.rs/eng/ https://www.rosalux.de/en/news/id/53121/serbian-students-are-reimagining-what-society-could-be https://biltenstanar.rs/en/analysis/student-protests-and-changes-without-politics/ Announcement Fundraiser for Journalist in North Gaza As the Zionist Entity and it's racist uncle, the USA, resume the genocide of Gaza, there's a fundraiser going to support Hamza M Salha, a young journalist and English student and his extended family of 40 in the north. You can find a video from Franklin Lopez about Hamza and links to his fundraiser at the following social media posts: https://kolektiva.social/@franklinlopez/114192086634560110 https://www.facebook.com/watch/?v=1161559405126258 https://www.instagram.com/p/DHZsl2AtEt2/ You can read some of Hamza's writings below: "I was buried alive beneath the rubble and awoke in a 'graveyard'" (17 March 2024) https://www.middleeasteye.net/opinion/war-on-gaza-buried-alive-beneath-rubble-awoke-graveyard "Terrified, starving, crushed: The agonising death of my grandfather in Gaza" (2 Nov 2024) https://www.aljazeera.com/features/2024/11/2/terrified-starving-crushed-the-agonising-death-of-my-grandfather-in-gaza "Israel turned Jabalia into a barren desert and made our home a grave" (25 November 2024) https://www.middleeasteye.net/opinion/israel-turned-jabalia-desert-made-home-grave "Israel's May 2023 military bombardments on the Gaza Strip killed 33 Palestinians in 5 days and disrupted countless lives." (3 September 2023) https://wearenotnumbers.org/a-shadow-over-our-childhoods-the-peril-of-occupation/ "Famine is already here" (8 March 2024) https://electronicintifada.net/content/famine-already-here/45026 "Are we going to die this time?" (14 June 2023) co written with Khaled El Hissy https://electronicintifada.net/content/are-we-going-die-time/37966 "The Jabaliya Massacre: Heaven Embraces Five Angels" (29 August 2022) https://www.palestinechronicle.com/the-jabaliya-massacre-heaven-embraces-five-angels/ "Tensions, struggle and an unshakable will to stay" (5 March 2025) https://electronicintifada.net/content/tensions-struggle-and-unshakable-will-stay/50458 "The night Israeli forces left families buried alive under rubble" (10 December, 2024) https://www.newarab.com/features/night-israeli-forces-left-families-buried-alive-under-rubble "Gaza's open-air cinema offers temporary escape from blockade" (21 September, 2023) https://www.newarab.com/features/gazas-open-air-cinema-offers-temporary-escape-blockade
Iniziamo questa puntata collegandoci con Giorgia Scaturro, collaboratrice da Londra, che ci aggiorna sulla situazione dell’aeroporto di Heathrow che è rimasto chiuso per un blackout causato da un incendio nelle vicinanze.Poi con Daniele Bocciolini, Avvocato specializzato in diritto penale minorile e Scienze Forensi, Consigliere Pari Opportunità e Commissione Famiglia e Minori dell’Ordine degli Avvocati di Roma, parliamo della decisione della Corte Costituzionale che permetterà anche ai single di adottare bambini stranieri. Facciamo un quadro su quanto deciso al Consiglio europeo di ieri con Antonio Pollio Salimbeni, corrispondente de Il Sole 24 ORE - Radiocor a Bruxelles.Come ogni venerdì, il Reportage: Serbia, da Novi Sad alla Rivoluzione. Di Cristina Carpinelli.Infine, il meteo del fine settimana con Mattia Gussoni, de IlMeteo.it.
France's answer to Starlink, North Macedonia's deadly nightclub fire and Germany's break with austerity. All that plus the longest tram in the world, protests in Serbia and Hungary and a star-turn from 100 year old actor and activist, Thelma Ruby.
How did Serbia’s students prompt a national movement for change? They’re leading countrywide protests after a railway station collapse killed 15 people last November. The protests have grown beyond demands for resignations, calling for structural change. Will they pull it off? In this episode: Anđela Milivojević (@djandjava), Investigative Journalist Episode credits: This episode was produced by Sarí el-Khalili, Sonia Bhagat, and Amy Walters, with Ashish Malhotra, Chloe K. Li, Hanah Shokeir, Melanie Marich, Remas Alhawari, Phillip Lanos, Spencer Cline, and our guest host, Kevin Hirten. It was edited by Noor Wazwaz. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editors are Hisham Abu Salah and Mohannad Al-Melhem. Alexandra Locke is the Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on Instagram, X, Facebook, Threads and YouTube
Þórunn Elísabet Bogadóttir og Björn Þór Sigbjörnsson ræddu að fimmtudagsvenju við Boga Ágústsson um erlend málefni í Heimsglugga vikunnar. Að þessu sinni var rætt um óeirðir í þinginu í Belgrad og víðtæk mótmæli í Serbíu. Mótmælin hófust þegar þak á lestarstöð í Novi Sad hrundi í nóvember og 15 létust. Þá var rætt um afleiðingar refsitolla Donalds Trumps á efnahagslíf heimsins, Kanadamenn eru reiðir Bandaríkjastjórn og forðast að kaupa bandarískar vörur. Bílaframleiðendur og bændur í Bandaríkjunum eru einnig gramir vegna tollanna. Einnig var rætt um óánægju í Tasiilaq á austurströnd Grænlands vegna lélegra samgangna og í lokin fjallað um framburð á nafni pólsku frelsishetjunnar Lech Wałęsa.
Porođaj u 20. godini u današnje vreme deluje neobično, kad se roditeljstvo često ostavlja „za kasnije“, ali gošća nove Mamazjanije Jelena Damnjanović, poznatija kao „Mama pre svega“, otkriva da je daleko lakše, fzički, biti mlada mama, iako sad već ima tri ćerke, ističe da joj ne bi smetala još jedna beba. Našu gošću mnogi znaju sa Instagrama, gde prate svakodnevicu Jelenine porodice, u kojoj najvažnija mesta zauzimaju Lena, Tara i Una. Iako su deca uvek na prvom mestu, kao apsolutni prioritet, Jelena se trudi da pronađe i kvalitetno vreme za sebe. „Najlepše mi je sa decom, ali kako godine prolaze, sve više mi je potrebno vreme samo za mene. To je neophodno za svaku ženu, majku, bez obzira na to čime se bavi i koliko dece ima, naše slobodno vreme mora da postoji“, kaže Jelena. Sa ćerkicama je drugarica, ali pokušava, ističe, da bude autoritet iako joj ne polazi uvek za rukom. „Radim od kuće i stalno sam sa njima, družimo se, razgovaramo o svemu, ali autoritet je tata. On tihim glasom, kratko opomene i to je dovoljno, a mene valjda ne shvataju dovoljno ozbiljno“, sa osmehom kaže Jelena. Iako se bavi društvenim mrežama, deci su telefoni dozvoljeni kontrolisano. „Lena ima telefon, ali ne i profile na mrežama jer je još rano za to. Ako nešto hoće da pogleda može da uzme moj telefon, a mlađe nemaju ni pametni satić. Same idu u školu, kao što smo i mi nekada išli, nema potrebe da ih pratimo i da u svakom trenutku znamo gde su. Sredina u kojoj živimo je mala, dosta se ljudi međusobom poznaje, pa je lakše pustiti decu da budu slobodna“, priča „Mama pre svega“. Ipak, deca ponekad učestvuju u aktivnostima koje mama zamisli, a koje su plemenite i humane. Jedna od njih desila se u avgustu prošle godine. „Tara se tada ošišala i donirala kosu deci oboleloj od raka. Ideja je bila moja, ali ona je prihvatila. Najteže joj je bilo da se odvoji od prvog pramena. Ipak, kad je shvatila šta radi i koliko je to plemenito i značajno za decu, bila je zadovoljna, a i zna da će njena kosica porasti. Imala je dugu, plavu, gustu kosu. Bilo je leto, vrućina, pa je i njoj značilo da se ošiša, a donirala je 30 centimetara kose“, seća se Jelena. Takođe, krajem januara ove godine, kada su studenti na putu za Novi Sad i „blokadu mostova“, prolazili kroz Novu Pazovu, Jelena ih je sa porodicom dočekala u blizini svoje kuće i ponudila palačinkama. „Spremili smo oko 90 palačinki i sve su pojeli. Provela sam tri sata pored šporeta i ništa mi nije bilo teško. Inače, pečem često palačinke, što se može videti i na mojim objavama i volim da ih jedem. Ovog puta, međutim, nisam jela, nego spremala za druge, za divne studente koji bude ogromnu radost u meni i svima nama svojim zajedništvom i onim što rade. Devojčice su bile sa mnom, Lena mi je pomogla da napravim i transparent ‚Ćinke za ćacija‘, koji smo držali kako bi nas primetili. Deca su bila oduševljena“, priča Jelena. Između prve i najmlađe ćerke je gotovo 10 godina razlike, ali im to ne smeta da se druže. Najstarija ćerka brine o obe mlađe sestre i pomaže mami, koja im neumorno ponavlja da njih tri moraju biti najbolje drugarice i uvek tu jedna za drugu. „Ne bi mi bilo teško da imam još jednu bebu. Najlakše mi je bilo dok su bile male, a sad kad su porasle sve je komplikovanije. Nijedna trudnoća, ni njihov najraniji period, nije mi teško pao, jer taj je i najlepši“, zaključuje Jelena.
Desde el pasado 1 de noviembre, todos los días, la mayoría de ciudades serbias paran a las 11,52 horas y hacen quince minutos de silencio por las 15 víctimas que murieron tras ser aplastadas por la marquesina de una estación de tren en la ciudad de Novi Sad. Ese silencio convive hoy con el de las manifestaciones que se celebran en ciudades como Belgrado que empezaron organizando los estudiantes pidiendo el fin de la la corrupción, del gobierno dirigido por Aleksandar Vucic y de todo un sistema que dicen ya no les representa. Dicen que no van contra ningún partido y ellos mismos no tienen líderes, un mensaje que ha calado también entre las personas de más edad, de zonas rurales y entre gremios como el de los agricultores que han decidido apoyarlos. Juan Navarro pasó un día con algunos de los jóvenes que organizan las protestas en la Facultad de Filosofía de Novi Sad, la ciudad donde empezó todo. Créditos Realización: Juan Navarro y Silvia Cruz Lapeña Edición: Ana Ribera Diseño de sonido: Nicolás Tsbertidis Dirección: Silvia Cruz Lapeña Sintonía: Jorge Magaz
durée : 00:23:05 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - La colère gronde dans les rues et les universités serbes depuis le mois de novembre, date où un accident dans la gare de Novi Sad causait la mort de 15 personnes. Un drame qui, pour les manifestants, résulte de la corruption et du dysfonctionnement des institutions. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Tara Mirković Journaliste au Courrier des Balkans
Seit im November 15 Menschen beim Einsturz eines Bahnhofsdaches im serbischen Novi Sad ums Leben gekommen sind, wird in Serbien täglich gegen das autokratische Regime von Präsident Aleksandar Vučić demonstriert. Am Dienstag folgte scheinbar ein erster Erfolg: Ministerpräsident Milos Vučević musste zurücktreten. Adelheid Wölfl, STANDARD-Korrespondentin in Südosteuropa, spricht im Podcast darüber, wie Vučić und seine Fortschrittspartei den serbischen Staat in den letzten Jahren komplett unterhöhlt haben und warum selbst die Europäische dabei beide Augen zudrückt. Und wir fragen, was die aktuellen Prostete tatsächlich erreichen können. **Hat Ihnen dieser Podcast gefallen?** Mit einem STANDARD-Abonnement können Sie unsere Arbeit unterstützen und mithelfen, Journalismus mit Haltung auch in Zukunft sicherzustellen. Alle Infos und Angebote gibt es hier: [abo.derstandard.at](https://abo.derstandard.at/?ref=Podcast&utm_source=derstandard&utm_medium=podcast&utm_campaign=podcast&utm_content=podcast)
La situación política en Serbia anda algo revuelta. Ayer el primer ministro Milos Vucevic presentó su dimisión ante un ambiente de crecientes protestas antigubernamentales desde que el pasado mes de noviembre 15 personas murieran al venirse abajo un techado en la estación de tren de Novi Sad, en un accidente que parte de la sociedad serbia achaca a la corrupción rampante que existe en el país.Vamos a intentar explicar qué está ocurriendo en Serbia con Jordi Cumplido, periodista e historiador en Belgrado, especializado en Historia de los Balcanes y Europa del Este y autor de "El sueño de Yugoslavia".Escuchar audio
