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Suite des rencontres pendant le festival Rituel Noir, un événement à taille humaine qui s'est déroulé le week-end du premier mai, dans la campagne bretonne. Le label indépendant Les Acteurs de L'ombre a investi une jolie ferme pour trois soirs de concerts, lectures de contes, cérémonies de Beltane, ateliers de joutes viking et autres festivités qui se sont déroulées sous un surprenant soleil.Nous avons rencontré le groupe emblématique Darkenhöld, à l'univers médiéval foisonnant, riche et en permanente évolution depuis sa création en 2008. Avec un black metal atmosphérique épuré et lumineux, on évolue dans un univers de contes et légendes, de malédictions, trahisons et faits d'armes, de chateaux, de pics rocheux et de créatures mystérieuses. Les rythmes entraînent, portés par des chœurs et des claviers aux sonorités mystiques.Le dernier album du groupe, Le Fléau du Rocher est disponible chez les Acteurs de l'Ombre. Notons qu'une version limitée intitulée « Le Conte du Rocher » est également parue, avec un bel inédit : un conte créé et lu par le conteur Quentin Fourreau.Cervantes et Aldébarran, chanteur et guitariste lead sont les plus bavards, tandis qu'Aboth, le batteur et Anthony à la guitare se font plus discret. Aleevok le bassiste, également connu sous le nom de Belore était, quant à lui, resté au bar.***Le bandcamp du groupe : https://darkenhold.bandcamp.com/Le label du groupe : https://lesacteursdelombre.net/Chansons utilisées : Le cortège royal - Mystique de la VouivreRetrouvez la performance du groupe pendant le Rituel Noir :https://www.youtube.com/watch?v=qk2if5PxFUc***Soutenez Bookalicious (et recevez de beaux goodies) par ici : https://fr.tipeee.com/bookalicious-1Ce podcast fait partie du label Podcut ! Retrouvez les autres podcasts du label ici : www.podcut.studioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'ombre des stars : faire des cascades pour Hollywood!Jackie Chan, X-Men, John Wick, Jennifer Lawrence… Marc-André Brisebois a tout fait.Dans cet épisode, on reçoit un cascadeur professionnel qui a doublé les plus grandes vedettes dans les plus gros films d'action au monde. De se mettre en feu pour des scènes, à gagner 12 000 $ pour un stunt pour John Wick, en passant par ses 40 blessures… on découvre le vrai métier derrière les cascades.Mais Marc-André, c'est aussi un champion du monde de jiu-jitsu, un pilote de rallye professionnel, un parachutiste, bref un homme qui sait faire de tout!
SITE INTERNET : https://www.euryale-am.fr/
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Luxe, impact, matières premières, environnement, crypto ... Chaque jour, une nouvelle thématique d'investissement !
Le soleil était au rendez-vous lors des ponts du mois de mai. Ce qui a donné le sourire aux acteurs du tourisme dans la région qui ont vu leur nombre de clients grimper après une année 2024 morose. Un reportage réalisé par Bastien Bougeard.
Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Budget 2025-2026 : entre satisfaction et vigilance, les acteurs attendent des résultats by TOPFM MAURITIUS
ÉPISODE 56 - Épisode spécial suivant l'annonce des acteurs qui joueront Harry, Ron et Hermione dans la série Harry Potter sur HBO. On parle aussi des autres acteurs annoncés jusqu'à présent, pour les rôles de Dumbledore, McGonagall, Rogue, Hagrid, Quirrell et Rusard. Merci à mes invités Keven Williams et Henri Gionet! Venez voir le podcast en tournée! https://linktr.ee/potter.quebecHarry Potter Québec sur Instagram » https://www.instagram.com/potter.quebec/* Le balado est produit à des fins de divertissement et est destiné à un usage privé non-commercial. Il s'adresse à tous les sorciers et sorcières qui attendent encore leur lettre de Poudlard. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes au Maroc cette semaine. Ce pays de 37 millions d'habitants est confronté depuis 7 ans à la pire sécheresse de son histoire. Selon le ministère de l'Eau et de l'Équipement, le déficit pluviométrique est de 70% par rapport à la moyenne des 30 dernières années. Avec le changement climatique, les perspectives sont inquiétantes pour ce pays qui est la 5ème puissance économique du continent africain. Mais, à l'occasion de la Semaine de la synergie verte organisée à Rabat, nous avons rencontré de nombreux acteurs mobilisés pour affronter ce défi immense : bâtir un futur désirable dans un pays aride. Cet événement est organisé par le PAGE, le partenariat des Nations unies pour une action en faveur de l'économie verte. C'est un programme intéressant qui fédère 22 pays. Le Burkina Faso, le Sénégal, le Rwanda, l'Afrique du Sud, le Ghana, l'île Maurice et donc le Maroc en font partie. L'objectif est de comprendre comment projeter son économie en tenant compte des risques environnementaux comme la raréfaction des ressources, les pollutions et le changement climatique. Les initiatives marocaines sont inspirantes...Émission enregistrée dans le cadre du forum de l'économie verte qui s'est tenu à Rabat au Maroc les 19 et 20 mai.avec Moulay Driss Hasnaoui, chargé de mission à la direction générale de l'hydraulique au ministère marocain de l'équipement et de l'eauBrahim Jaafar travaille avec plusieurs organismes étatiques marocains pour tenter de préserver les oasisMoha Haddouch, écologue, il a travaillé sur un projet d'intégration de la biodiversité dans les systèmes agro-alimentaires dans la région Souss-Massa dans le centre du paysAbderrahim Ksiri, président de l'Association des Enseignants des Sciences de la Vie et de la Terre du MarocNadir Sinaceur, président association Zero Waste SkhiratMeriem Houzir présidente de l'Initiative climat Afrique francophone PAGE, le partenariat des Nations unies pour une action en faveur de l'économie verte.
SITE INTERNET : https://axipit.com/
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Nous sommes au Maroc cette semaine. Ce pays de 37 millions d'habitants est confronté depuis 7 ans à la pire sécheresse de son histoire. Selon le ministère de l'Eau et de l'Équipement, le déficit pluviométrique est de 70% par rapport à la moyenne des 30 dernières années. Avec le changement climatique, les perspectives sont inquiétantes pour ce pays qui est la 5ème puissance économique du continent africain. Mais, à l'occasion de la Semaine de la synergie verte organisée à Rabat, nous avons rencontré de nombreux acteurs mobilisés pour affronter ce défi immense : bâtir un futur désirable dans un pays aride. Cet événement est organisé par le PAGE, le partenariat des Nations unies pour une action en faveur de l'économie verte. C'est un programme intéressant qui fédère 22 pays. Le Burkina Faso, le Sénégal, le Rwanda, l'Afrique du Sud, le Ghana, l'île Maurice et donc le Maroc en font partie. L'objectif est de comprendre comment projeter son économie en tenant compte des risques environnementaux comme la raréfaction des ressources, les pollutions et le changement climatique. Les initiatives marocaines sont inspirantes...Émission enregistrée dans le cadre du forum de l'économie verte qui s'est tenu à Rabat au Maroc les 19 et 20 mai.avec Moulay Driss Hasnaoui, chargé de mission à la direction générale de l'hydraulique au ministère marocain de l'équipement et de l'eauBrahim Jaafar travaille avec plusieurs organismes étatiques marocains pour tenter de préserver les oasisMoha Haddouch, écologue, il a travaillé sur un projet d'intégration de la biodiversité dans les systèmes agro-alimentaires dans la région Souss-Massa dans le centre du paysAbderrahim Ksiri, président de l'Association des Enseignants des Sciences de la Vie et de la Terre du MarocNadir Sinaceur, président association Zero Waste SkhiratMeriem Houzir présidente de l'Initiative climat Afrique francophone PAGE, le partenariat des Nations unies pour une action en faveur de l'économie verte.
L'IA dans les musées, ce n'est pas encore pour tout de suite à Blois. La question est néanmoins posée dans les galeries d'arts et autres lieux d'expositions sur le fait d'exposer des oeuvres réalisées grâce à l'intelligence artificielle. Un reportage réalisé par Bastien Bougeard.
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SITE INTERNET : https://theoreim.com/
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durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - Quand la Chine promet de combattre les droits de douane américains "jusqu'au bout", l'administration Trump assure en revanche rester ouverte à la négociation avec l'Union Européenne. En attendant, la plupart des bourses sont reparties à la hausse ce matin.
durée : 00:20:38 - Journal de 12h30 - Quand la Chine promet de combattre les droits de douane américains "jusqu'au bout", l'administration Trump assure en revanche rester ouverte à la négociation avec l'Union Européenne. En attendant, la plupart des bourses sont reparties à la hausse ce matin.
durée : 00:05:37 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Démantèlement de l'Usaid aux Etats-Unis, baisse de l'aide publique au développement de nombreux pays européens, comme la France ou le Royaume-Uni. Vers qui peuvent se tourner les acteurs de la solidarité ?
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets des plantes tinctoriales et la magie de la couleur végétale? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome et passionnée de couleur végétale, nous invite à plonger dans l'univers fascinant de l'agriculture tinctoriale à travers la septième journée de la quinzaine dédiée à cette pratique ancestrale. Au programme, quatre intervenants d'exception qui partagent leurs connaissances et expériences. Dahlia Milon, agricultrice canadienne, nous livre ses astuces low-tech pour démarrer une exploitation agricole de plantes tinctoriales. Elle nous montre comment cultiver ces trésors de la nature tout en respectant l'environnement. Gabriel Beaulieu, également du Canada, nous présente un annuaire des acteurs clés du domaine, facilitant ainsi l'accès à des ressources précieuses pour tous ceux qui souhaitent s'initier à la teinture végétale. Azéret Robles, venue du Mexique, nous transporte dans l'histoire de la couleur végétale, évoquant des plantes emblématiques telles que le bleu maya et la cochenille. Elle met en lumière les liens fascinants entre plantes tinctoriales et plantes médicinales, et nous rappelle l'importance de ces connexions pour notre bien-être et notre culture. Enfin, Julia Tabakhova nous offre un aperçu enrichissant de son livre sur l'indigo, nous permettant d'approfondir notre compréhension de cette plante fascinante et de ses pigments végétaux uniques.Pour ne rien manquer, cet épisode se termine avec l'annonce d'une prochaine rencontre avec Florent Valentin et Dominique Cardon, deux experts passionnants qui nous éclaireront davantage sur le monde des colorants biosourcés et des fibres naturelles. Ne ratez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur l'agriculture tinctoriale, les nuances de la teinture, et les merveilles que nous offrent les plantes. Que vous soyez novice ou expert, cet épisode d'ArtEcoVert est une véritable invitation à explorer les richesses de la nature et à redécouvrir les colorants végétaux qui embellissent notre quotidien. Pour plus d'informations et de ressources, n'hésitez pas à consulter notre site et à rejoindre notre communauté. Belle écoute !
Deuxième édition pour le Tour d'Alsace des territoires ! Placée sous la thématique « L'Alsace s'engage ! », de premières rencontres étaient organisées ce mercredi 02 avril à la Bibliothèque Humaniste de Sélestat. Lors de cette après-midi, Frédéric Bierry, président de la Collectivité européenne d'Alsace, était notamment à l'écoute de bénévoles issus d'associations patrimoniales. L'article complet : https://azur-fm.com/news/selestat-le-tour-dalsace-debute-autour-de-la-thematique-du-patrimoine-2435Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Assises préliminaires de l'Éducation : une synergie productive entre tous les acteurs du secteur
SITE INTERNET : https://www.altarea.com/
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durée : 00:04:39 - Des mobilisations dans toute la France contre les coupes budgétaires dans le secteur de la culture - par : Louis-Valentin Lopez - Ils étaient plusieurs milliers à crier leur colère partout en France ce jeudi. Des manifestations à Toulouse, Montpellier, Rennes, Marseille, Strasbourg... Reportage au sein du cortège parisien.
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Les RH sont là uniquement pour les licenciements.Les RH favorisent toujours la direction.Les RH sont déconnectés du terrain.Les RH ne travaillent que pour l'entreprise et jamais pour les collaborateurs.Les RH ne font que de la paperasse.Ça vous irrite ?Ça vous pique les yeux ?Si vous avez lu jusqu'ici… j'ai réussi mon coup.Maintenant, j'aimerais pouvoir vous amener jusqu'à l'écoute de ce podcast.Pourquoi ?Parce que je ne crois aucunement à ces clichés.Et surtout parce que j'ai eu la chance d'interviewer Marie Pierre DERELI ALLAUZEN sur ces sujets.De Sanofi à Lustucru Premium Groupe, en passant par Florette France,Marie-Pierre accompagne depuis plus de trois ans les organisations en tant que Consultante RH, Coach et Médiateure Professionnelle.Marie-Pierre a répondu à toutes mes questions avec les différents regards d'ex-DRH et de consultante aujourd'hui.Et autant vous dire qu'il y en avait.On a tout balayé en revue.Tous les sujets auxquels, probablement, vous avez été confronté à un moment donné.
Le tribunal administratif de Toulouse a annulé jeudi l'arrêté préfectoral autorisant le chantier de l'autoroute A69 Toulouse-Castres. Une situation "ubuesque", selon le ministre des Transports, Philippe Tabarot, et un véritable coup de massue pour les acteurs économiques de la région.
Pour la 50 ème cérémonie des Césars, Mickael Dorian est entouré des ses invités pour nous la faire vivre en direct.
Le tribunal administratif de Toulouse a annulé jeudi l'arrêté préfectoral autorisant le chantier de l'autoroute A69 Toulouse-Castres. Une situation "ubuesque", selon le ministre des Transports, Philippe Tabarot, et un véritable coup de massue pour les acteurs économiques de la région.
SITE INTERNET : https://alderan.fr/
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Nathalie Perrier était une femme qui avait tout pour briller. Un mari riche et important, deux enfants, une belle maison près de Chambéry. Sauf qu'elle voyait sa jeunesse s'enfuir et s'ennuyait de plus en plus dans sa vie d'épouse de notable. Elle a donc commencé à sortir, de plus en plus, et a pris un amant, un habitué de la nuit aux airs de mauvais garçon, le dénommé Lionel Veronèse. Liaison éphémère. Quelques semaines plus tard, le playboy était retrouvé mort à plus de 300 kilomètres de la Savoie, non loin de Marseille. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 25 février 2025.
Le « Mining Indaba », l'incontournable rendez-vous des acteurs miniers, vient de se tenir au Cap, en Afrique du Sud. Sujet de taille cette année : la nouvelle donne dans les pays de l'AES. Les États de l'Alliance du Sahel se sont lancés dans un bras de fer, parfois brutal, avec les compagnies minières, afin de tirer davantage de revenus de l'exploitation des ressources du pays. Une situation qui questionne la continuité des activités en cours, et l'avenir des investissements. De notre envoyée spéciale au Cap,Au Mali, après la révision du Code minier, en 2023, Assimi Goïta entend « faire briller l'or », selon son expression, en employant la méthode forte. Trois cadres de la société australienne Resolute Mining, dont le PDG, ont été détenus puis relâchés, en novembre, sur fond de désaccord fiscal. Quatre employés du groupe canadien Barrick Gold sont, eux, toujours incarcérés, et l'entreprise a suspendu ses activités au niveau de sa très grande mine de Loulo Gounkoto, après la saisie de trois tonnes d'or.Le canadien s'est lancé dans une procédure d'arbitrage suite à l'échec de négociations. Pour son PDG, lui aussi sous le coup d'un mandat d'arrêt, Bamako prend le risque de faire fuir les investisseurs miniers. « Aucun des pays très bien dotés en minerais n'a reçu de gros investissements dans son économie sur les dix dernières années. Et pourtant ils continuent de vouloir augmenter les redevances », souligne Mark Bristow.Agenda nationaliste et prix de l'or au plus hautLe Mali n'est pas le seul à mener ce combat : le Burkina Faso menace de retirer aux multinationales leurs permis, une étape déjà franchie par le Niger qui a privé, l'année dernière, le groupe français Orano de son autorisation pour exploiter le site d'Imouraren. « On peut observer beaucoup de similarités entre le Mali, le Burkina et le Niger, et la tendance va au-delà du simple rééquilibrage des relations commerciales entre un État et des entreprises, décrypte Mamadou Coulibaly, du cabinet Satis Partners sur la scène du Mining Indaba. Dans ces trois pays, on a de gros défis sécuritaires, ce qui demande beaucoup de fonds pour y répondre, dans un contexte où l'aide de donneurs occidentaux s'est tarie. Et au-delà de tout cela, il y a la place que prend l'idéologie et les ambitions nationalistes que l'on peut observer chez ces dirigeants de transition. »D'autres sociétés parviennent, elles, à trouver un terrain d'entente avec ces régimes, à l'image de B2Gold. Grâce à un accord avec la junte malienne et un paiement de 30 millions de dollars, la compagnie canadienne continue à développer son site de Fekola, qui répond aux règles de l'ancien code minier. « Tout le monde fait face à des situations différentes, avec des projets aux passés divers, qui correspondent à différents codes miniers. Pour notre part, nous avons pu conclure cet accord très important avec le gouvernement en septembre. Donc, je dirais que les relations sont très bonnes. Le gouvernement veut la même chose que nous : soutenir une production réussie à Fekola, et permettre l'expansion de la mine », explique le PDG de B2Gold, Clive Johnson.Il faut dire que le prix de l'or est actuellement au plus haut, ce qui encourage les entreprises minières à continuer leur exploitation. Mais face à ces nouvelles contraintes, se pose la question de l'appétit pour des projets futurs et des dépenses d'exploration.
Ce matin, Bruno vous dévoile les acteurs comiques préférés des Français.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
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En Côte d'Ivoire, la présidentielle doit avoir lieu en octobre 2025. Mais, déjà, le ton monte entre le pouvoir et l'opposition. Celle-ci réclame une réforme du système électoral, notamment une refonte de la Commission électorale indépendante (CEI), qu'elle juge partisane. Alors la CEI est-elle crédible ? Et que pense-t-elle de l'hypothèse d'une élection l'an prochain en l'absence de l'ancien président Laurent Gbagbo ? Le président de la CEI, le magistrat Coulibaly Kuibiert Ibrahime, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Coulibaly Kuibiert Ibrahime, en Côte d'Ivoire, la composition de la Commission électorale indépendante (CEI) que vous présidez, fait polémique entre pouvoir et opposition. Sur le papier, tout cela paraît assez équilibré, mais le vrai point de bascule, ce sont les six représentants de la société civile. Est-ce que les représentants du Conseil national des droits de l'homme par exemple et des cinq autres ONG qui siègent à la CEI ne penchent pas un peu, beaucoup pour le pouvoir ?Coulibaly Kuibiert Ibrahime : Ah ça, je ne saurais le dire ! Pour moi, les partis politiques peuvent faire des alliances, peuvent amener à avoir des membres de la société civile à leurs profits. C'est ce qui peut justifier une certaine position. Mais moi, je ne suis pas dans le secret des dieux, je ne suis pas un initié. La loi a dit qu'il faut six membres de la société civile. Maintenant, si ces six membres de la société civile penchent à gauche ou à droite, c'est une question d'indépendance personnelle.En tout cas, la CEI n'est pas jugée crédible par l'opposition. Est-ce qu'il ne faut pas la reformer ?Pour quel objectif ?Pour qu'il y ait consensus ?Oui, mais tous sont là. Le PDCI est représenté, le PPA-CI est représenté, le FPI est représenté, les partis politiques de l'opposition par groupement sont représentés. Alors j'ai dit, qu'on nous dise ce qu'on reproche à la Commission électorale indépendante.Peut-être qu'on connaîtrait les demandes particulières de l'opposition s'il y avait un dialogue entre le pouvoir et l'opposition sur ce sujet ?Ah ben, oui ! Bon ça, ça ne relève pas de la Commission électorale indépendante !Donc vous êtes d'accord avec l'idée d'un dialogue sur ce sujet ?Oui, peut-être ! Mais, on est au 5e dialogue politique.Autre pomme de discorde, les interdictions pour Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, d'être candidats à la présidentielle de l'an prochain.Oui !Est-ce que l'exclusion est une solution ?Ben, je ne saurais présenter la chose de cette façon. La loi dit qu'il ne faut pas être condamné. Parce que la condamnation peut vous déchoir de vos droits civils et politiques. Il se trouve que les personnalités, dont vous faites état, ont été privées de leurs droits civils et politiques à la suite d'une condamnation pénale. Bon, la Commission électorale, à l'occasion de la révision, écrit au ministère de la Justice : Pouvez-vous nous donner le nom de toutes les personnes qui sont déchues de leurs droits civils et politiques ? Donc, quand on nous donne la liste, nous en tirons les conséquences. Ces personnes sont des milliers !Oui, mais-là, on parle d'un ancien président de la République.Oui !Est-ce que vous avez une opinion personnelle là-dessus ?Non pas du tout ! Parce qu'un ancien président de la République en Afrique du Sud, Monsieur Jacob Zuma, a été déchu de ses droits civils et politiques. Un ancien président en Mauritanie a été déchu de ses droits civils et politiques. Conséquences, ils ont tous été radiés de la liste électorale. Ce n'est pas propre à la Côte d'Ivoire. Moi, je n'apprécie pas s'il méritait d'être déchu de ses droits civiques ou non. Mais je dis que, dès qu'une décision de justice l'atteste, nous en tirons les conséquences.Alors vous faites une comparaison avec l'Afrique du Sud et la Mauritanie, mais là, on est en Côte d'Ivoire. Et politiquement, vous vous en souvenez, quand le candidat Alassane Ouattara a été exclu du scrutin il y a 25 ans, il y a eu beaucoup de troubles dans votre pays. Est-ce que vous ne craignez pas aujourd'hui que l'exclusion de Laurent Gbagbo ne produise les mêmes effets ?Bon, vraiment, je n'ai pas d'opinion sur la question, mais je ne sais pas si c'est la même situation qui a justifié l'exclusion du président Alassane Dramane Ouattara. Pour moi, tout ce qui peut apporter la paix, c'est ce qui serait intéressant.Qu'est-ce qui peut apporter la paix justement ?La bonne foi. Moi, je voudrais bien que les acteurs politiques soient de bonne foi. Parce que, voyez-vous, quand une institution de la République est créée pour mener une mission, il faut que les citoyens accordent tout le crédit à cette institution, jusqu'à ce qu'elle rapporte la preuve qu'elle n'est pas digne, ou bien que ses animateurs ne sont pas dignes de mener cette mission. Mais quand vous jetez le discrédit sur l'institution parce que vous êtes en difficulté, mais ce n'est pas bon, alors que vous savez bien que ce n'est pas vrai.Donc, vous en voulez à l'opposition de dire que votre Commission n'est pas crédible ?Oui, parce qu'ils n'ont pas d'éléments. Moi, je veux bien qu'on me rapporte des éléments. Mais l'élection n'est bonne que lorsqu'ils l'ont gagnée. Mais ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Donc la Commission n'a rien à voir là-dedans. Elle n'est même pas partie au procès. Nous ne faisons qu'organiser des élections. Et je vous dis, il y a des grandes personnalités de l'opposition qui ont été élues face à des grandes personnalités politiques du pouvoir, Monsieur Kafana à Yopougon.Ah, vous parlez des législatives ?Des législatives, par exemple, Monsieur Ahoussou Jeannot à Port-Bouët, le ministre Siandou Fofana. Mais, il y a bon nombre des candidats qui sont de l'opposition qui ont été élus, sur la base de cette liste électorale et par cette Commission électorale qui ne semble pas être crédible. C'est pour ça que je dis qu'ils fassent un peu preuve de bonne foi. Le problème, ce n'est pas la Commission électorale indépendante. Le problème, c'est d'aller convaincre la population de la pertinence de leur offre politique et sociale, c'est ça le plus important.À lire aussiPrésidentielle 2025 en Côte d'Ivoire: Guillaume Soro décide de saisir la main tendue par Laurent Gbagbo
En Haïti, cela fait deux mois que les policiers kényans ont été déployés - soit le premier contingent d'une force multinationale pour libérer le pays de l'emprise des gangs. Ce n'est pas la première fois que la communauté internationale intervient en Haïti, pour aider le pays, mais aussi avoir un poids sur place. L'Américain Jake Johnston est chercheur associé au Centre pour la recherche politique et économique de Washington. Dans son livre Aid State : Elite Panic, Disaster Capitalism and the Battle to Control Haiti, il s'est intéressé à tout le système d'aide mis en place après le tremblement de terre de 2010, par les États-Unis et la communauté internationale. RFI : Au début de votre livre, vous racontez que, juste après le tremblement de terre, le président haïtien n'a même pas encore contacté tous ses ministres que les États-Unis ont déjà mis en place une cellule de crise. Selon vous, cela a beaucoup à voir avec la peur ?Jake Johnston : Je pense que de bien des manières, la réponse internationale au tremblement de terre était motivée par une certaine peur qui existe depuis le début de l'histoire d'Haïti : la peur d'une République noire indépendante. Et même aujourd'hui, bien que le contexte soit différent, après le tremblement de terre, il y avait encore cette peur que dans l'effondrement de l'autorité, les pouvoirs en place — ces acteurs internationaux et cette élite locale qui contrôlent Haïti depuis si longtemps — soient en train de perdre le contrôle. C'est une peur qui a eu aussi des conséquences fatales. Parce que définir comme priorité la sécurité et les ressources militaires dans une situation qui exigeait une réponse humanitaire a ralenti la délivrance de cette aide.Et quand l'aide alimentaire d'urgence est arrivée, ce fut un problème pour les agriculteurs haïtiens ?Ce qui détermine le niveau d'aide alimentaire des États-Unis, ce ne sont pas les besoins sur le terrain, mais plutôt les cultures américaines dont les productions sont excédentaires : c'est un programme de subvention pour les fermiers américains. On prend ces excédents et on les lâche sur les pays en développement. Et après le tremblement de terre, quand il y a eu cette arrivée massive de nourriture importée et distribuée gratuitement, les fermiers haïtiens ne pouvaient tout simplement pas lutter.À écouter dans GéopolitiqueAide internationale, vecteur d'émancipation ou de contrôle ?Énormément d'argent a été récolté après le tremblement de terre, mais les Haïtiens n'ont pratiquement rien vu passer. Comment vous l'expliquez ?Le système d'aide que nous avons créé, et que les pays riches soutiennent, est en grande partie fait pour bénéficier aux pays qui développent cette aide, et pas à ceux qui en ont besoin. Je ne veux pas dire que pas un dollar n'est arrivé en Haïti, mais il y a beaucoup de coûts additionnels : déjà, il y a 20 % de frais généraux pour tous les contrats signés avec les États-Unis, qui reviennent au siège des entreprises. Il faut aussi engager des étrangers, payer pour leur sécurité, leur voyage, et les installer en Haïti — au lieu d'employer des locaux.Il y a aussi des « dysfonctionnements », le plus évident étant la construction promise par les États-Unis de 10 000 maisons destinées aux rescapés du tremblement de terre dans la région de Port-au-Prince.D'abord, l'entreprise qui a eu le financement pour établir les plans et faire les études était dirigée par un ami d'enfance du président haïtien de l'époque. Ensuite, les contrats ne sont pas allés à des locaux, mais à de grandes entreprises internationales — qui ont importé une grande partie des matériaux. Les coûts ont explosé, les retards se sont accumulés. Et le département d'État américain a déplacé le projet à des heures de trajet vers le Nord, pour construire des maisons pour les employés d'un parc industriel que le gouvernement des États-Unis soutenait — au lieu d'en faire bénéficier les déplacés. Pire, il s'est avéré que les entrepreneurs ont utilisé un ciment de qualité inférieure. Le mécanisme bureaucratique qui a occulté tout cela a permis d'assurer une impunité qui dure encore. Cette histoire montre vraiment comment tout cela fonctionne et pourquoi cela continue. Vous écrivez aussi que certaines compagnies ont vu le tremblement de terre comme une opportunité pour relancer les entreprises textiles à bas salaires, qui avaient été très nombreuses dans les années 1970 et 1980 en Haïti.C'est un modèle de développement en place depuis très longtemps en Haïti. On peut remonter à l'esclavage et à la colonisation — la population utilisée comme main-d'œuvre pour exporter des biens pour les riches habitants de capitales étrangères. Pendant la dictature de François Duvalier [1957-1971], Haïti était présenté avec le modèle des entreprises textiles à bas salaires, comme le Taïwan des Caraïbes. C'est vrai que cela créait des emplois, mais pas de développement économique, car c'était tourné vers l'étranger. Et même si, clairement, cela n'avait pas fonctionné, le tremblement de terre a été vu comme l'occasion d'essayer d'aller, une fois de plus, vers ces politiques économiques.Le plus choquant, ce n'est pas que des entreprises veuillent le faire. C'est que les États-Unis et d'autres agences d'aides multilatérales aient utilisé des milliards de dollars de fonds levés après le tremblement de terre pour financer les efforts de ces entreprises.À écouterGarry Conille : « Avec cet accompagnement de la communauté internationale, nous allons réussir »Vous écrivez que la politique haïtienne, y compris le choix du président, est très influencée depuis le tremblement de terre par les États-Unis et la communauté internationale. C'est le cas depuis longtemps. Mais ce qu'on a vu après le tremblement de terre était particulièrement osé. Il y a eu une élection. La communauté internationale avait en quelque sorte décidé de mettre sur le dos du gouvernement l'échec de l'effort de reconstruction — un échec pourtant en grande partie causé par leur propre système d'aide et leurs politiques. Il leur était donc essentiel de trouver un nouveau partenaire.Il y a eu un conflit autour de cette élection, la communauté internationale a envoyé une équipe de l'Organisation des États américains. Ce qu'ils ont fait était vraiment inédit dans l'histoire des observations d'élections : sans recompter aucun vote, ils ont recommandé de remplacer le candidat arrivé second — et soutenu par le gouvernement — par celui qui était arrivé troisième, le populiste et ancien musicien Michel Martelly. Ce qui a facilité son arrivée au pouvoir. Michel Martelly qui, pour en revenir à la violence et l'instabilité que nous voyons aujourd'hui en Haïti, a été accusé par les Nations unies d'avoir financé, armé et dirigé ces groupes armés.Et vous dites que ce que la communauté internationale recherche avant tout, c'est la stabilité.Quand la communauté internationale parle de stabilité en Haïti, habituellement, elle veut dire « stabilité pour les investissements étrangers et pour les élites locales ». La réalité, c'est que cette stabilité, c'est très exactement ce qui génère l'instabilité dans le pays. Car ce n'est pas soutenable pour la majorité de la population. Et une très grande partie des tensions aujourd'hui en Haïti viennent de là : cette question de « la stabilité pour qui, et qui au final bénéficie de ces politiques ».Vous pensez que les États-Unis et la communauté internationale ont une responsabilité dans la situation actuelle ?Sans aucun doute ! Ce qui ne veut pas dire qu'ils soient les seuls responsables. On parle là de la manière dont Haïti interagit avec la communauté internationale – les États-Unis surtout, probablement, mais aussi la France, le Canada et d'autres. Ces politiques n'ont pu être mises en place en Haïti qu'avec l'accord ou l'implication d'acteurs politiques et économiques locaux, qui depuis de très nombreuses années sont l'allié durable de la communauté internationale. Et c'est ce nexus, cette connexion qui a vraiment dominé les politiques en Haïti, et qui finalement porte la responsabilité de la situation actuelle.C'est pour cela que je pense que parler d'Haïti comme d'un État défaillant, c'est absolument faux : ce ne sont pas les Haïtiens qui ont été en charge de leur pays ou capables d'en choisir la trajectoire. Elle l'a été par une petite élite locale, en concertation directe avec des acteurs internationaux. C'est pour cela qu'à l'expression « Failed State », État défaillant, je préfère l'expression « Aid State », l'État de l'aide.
durée : 00:04:56 - Voyage en comédie - par : Thomas CROISIERE - Delon, Serrault, Arditi, Belmondo, Brialy, Samy Frey, Depardieu, Galabru, Piccoli, Lonsdale, Claude Rich, Dussolier, Villeret, Marielle, … toute une génération d'acteurs s'amuse avec Bertrand Blier
durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quand on fait le récit d'Avignon, il est une question dont on ne peut faire l'économie. Comment se fait-il que ce festival, non content de durer, va peu à peu transformer, façonner et programmer l'ensemble du champ théâtral de service public ?
durée : 00:20:03 - Le Feuilleton - Quand on fait le récit d'Avignon, il est une question dont on ne peut faire l'économie. Comment se fait-il que ce festival, non content de durer, va peu à peu transformer, façonner et programmer l'ensemble du champ théâtral de service public ?
Très exigeante envers ses actrices, l'industrie pornographique n'épargne pas non plus les hommes. Les acteurs doivent fournir des performances de longue durée qui peuvent sembler inhabituelles au regard des statistiques. En effet, la durée moyenne d'un rapport sexuel tourne autour de 6 minutes, tous âges confondus, et 20 minutes si l'on compte les préliminaires. Les acteurs pornographiques doivent donc user de multiples stratégies pour satisfaire les demandes des réalisateurs.Le fonctionnement de l'érectionUne érection résulte de l'accroissement du sang vers le pénis. Celui-ci est facilité par la relaxation des muscles lisses qui entourent les corps caverneux. En se relâchant, ces muscles permettent au sang d'affluer dans les alvéoles du tissu du pénis, contribuant à son expansion. Les nerfs jouent aussi un rôle dans le processus. Ils transmettent des signaux du cerveau vers le pénis. Les hormones, quant à elles, interviennent dans la régulation de la libido et de la fonction sexuelle.Les méthodes des acteurs pornosPour répondre aux exigences spécifiques de leur profession, les acteurs pornographiques emploient plusieurs méthodes.La stimulation physique destinée à maintenir l'excitation sexuelle peut prendre la forme de préliminaires intensifiés, de dispositifs mécaniques ou de visualisations censées entretenir le désir. L'usage de médicaments reste courant pour augmenter le flux sanguin vers le pénis et faciliter l'érection. Le sildénafil, commercialisé sous le nom de Viagra, le tadalafil, utilisé dans le Cialis, et le vardénafil vendu sous le nom Levitra font partie des traitements les plus efficaces.Parmi les techniques non médicamenteuses, les acteurs pornographiques choisissent parfois les pompes à pénis qui utilisent le vide pour engorger le pénis de sang. Les anneaux péniens, eux, empêchent le sang de répartir du pénis, ce qui a pour effet de maintenir l'érection.Gestion du stressMaintenir une érection sous le feu des projecteurs ne se fait pas sans stress. Or, le stress empêche justement les muscles lisses de se relâcher pour construire l'érection. Les acteurs pornographiques doivent donc se former à des techniques de gestion de la performance et du stress, comme la méditation, la préparation mentale et la communication ouverte avec les partenaires de scène.Retarder l'éjaculationSi l'obtention de l'érection n'est pas un problème avec les techniques appropriées, une éjaculation précoce peut le devenir pour un acteur du porno. Afin de retarder l'orgasme qui aboutit à la forme flasque du sexe, d'autres techniques viennent enrichir le panel de possibilités du professionnel :L'apprentissage du contrôle physique en s'arrêtant juste avant le point de non-retour puis en reprenant quand l'excitation a baissé ;La compression, qui consiste à appliquer une pression ferme à la base du pénis pour réduire le flux sanguin et retarder l'éjaculation ;L'entrainement avec des exercices de Kegel pour muscler le périnée et assurer un meilleur contrôle de l'éjaculation ;La connaissance approfondie de son corps pour adapter le scénario si nécessaire, afin de délivrer une meilleure performance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La flamme olympique poursuit son parcours partout en France, et doit arriver au Mont-Saint-Michel en fin de semaine. Un événement dont certains secteurs se servent pour se mobiliser, à l'instar des forains. Selon les informations d'Europe 1, le renseignement s'inquiète d'une mobilisation massive et active du monde du cirque vendredi.
durée : 00:45:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Hors-champs" en 2014, Anouk Aimée se confie avec pudeur. Dans le second volet, elle évoque son enfance durant la guerre, sa participation au film "La Petite Prairie aux bouleaux" et les grands moments de sa vie de comédienne dont son prix à Cannes pour "Le Saut dans le vide". - invités : Anouk Aimée Actrice
Au Togo, à quelques jours des élections législatives, une délégation de la Cédéao est sur place une simple mission "d'information" selon la communication de l'organisation ouest-africaine.
Des acteurs socio-politiques sollicitent la mise en place d'un gouvernement d'union nationale en Guinée pour sortir le pays de la crise politique qu'il vit depuis la dissolution de l'exécutif lundi.