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Aujourd'hui je vous emmène à la découverte d'une personnalité remarquable : Fabrice Midal.Fabrice est un auteur, un spécialiste de philosophie mais aussi de la méditation. Il est à l'origine de l'école de méditation française, une école laïque de méditation qui nous apprend à tout simplement être mieux aligné avec notre pensée.Dans cet épisode, Fabrice nous livre un cours de philosophie pour apprendre à se foutre la paix, un cours pour être bien, pour ne pas se mettre la pression et ne pas tomber dans l'illusion du contrôle, un sujet dont on a longuement parlé lors de cet épisode.Je pense que c'est un épisode qui plaira à toutes les personnes qui se posent des questions sur le rôle de leurs ambitions professionnelles, comment faire la part des choses avec le lâcher prise.Personnellement, il m'a énormément touché et j'espère que ça sera le cas pour vous également. N'hésitez pas d'ailleurs à laisser un petit mot à Fabrice.Je suis sûr qu'il en sera ravi à vous abonner à ce podcast si ce n'est pas encore fait et pourquoi pas à le diffuser. Ça me ferait bien évidemment très plaisir de pouvoir encore plus mettre en avant le travail de Fabrice.Notes et références de l'épisode :Pour retrouver Fabrice : Sur InstagramSur LinkedInSur YouTubeSur son site web Livres cités dans l'épisode : Les 5 portesFoutez-vous la paix Suis-je hypersensible ?Comment rester serein quand tout s'effondreShambhala : La voie sacrée du guerrierLettres à un jeune poète1. Faites vous coacher par moi !DEMIAN, un concentré de 10 ans d'expérience d'entrepreneur. Les formations DEMIAN vous apportent des outils et méthodes concrètes pour développer votre projet professionnel. Il s'agit d'un concentré maximal de valeur et d'expérience pour qu'en quelques heures vous gagniez l'équivalent d'années de travail. Découvrez DEMIAN !2. La NewsLa News du vendredi est une mini newsletter pour vous nourrir en plus du podcast. C'est une newsletter très courte, à lire en 5mn top chrono de ce qui m'a marqué dans les dernières semaines : livres à lire, réflexions, applis à télécharger, citations, films ou documentaires à voir etc. Pour la recevoir, il n'y a qu'à s'abonner à la newsletter sur mon site !3. Des conseils concrets sur ma chaîne YouTubeEnvie de lancer votre propre podcast ? De bénéficier de conseils sur quel matériel utiliser ? Ma nouvelle chaîne YouTube est faite pour vous !4. Contactez-moi ! Si le podcast vous plaît, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feed-backs (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître) c'est simplement de laisser un avis 5 étoiles ou un commentaire sur l'application iTunes. Ça m'aide vraiment, alors n'hésitez pas :)Pour me poser des questions ou suivre mes tribulations c'est par ici :Sur Instagram @paulinelaigneauSur LinkedIn @pauline laigneauSur YouTube Pauline LaigneauVous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Si seulement je pouvais appuyer sur le bouton off… ! Rassurez-moi, vous aussi, vous vous êtes déjà dit ça, non ? Rester éveillée la nuit à cause d'un cerveau trop actif, c'est épuisant à la longue. Ne pas pouvoir profiter pleinement d'un repas en famille parce qu'on est dans sa tête, c'est frustrant. Se considérer victime de ses pensées, ce n'est pas une façon de vivre sereinement sa vie ! Croyez-moi, je le sais. J'ai aussi fait les frais d'un cerveau trop bavard… Et s'il existait un bouton "pause" ? Personnellement, je l'imagine rond et rouge. Cependant, je vous mentirais si je vous disais l'avoir trouvé. En revanche, j'ai désormais à ma disposition 10 outils qui me permettent de me reposer régulièrement et d'adorer passer du temps en tête à tête avec moi-même. Et je vous les partage aujourd'hui dans l'épisode 225 de Femme Ambitieuse, "Le bouton pause" - le fameux ! Je compte sur vous pour en essayer quelques-uns et me faire un retour sur Instagram : @jennychammas_mastercoach ***** Téléchargez votre ebook offert "Affirmer son leadership en réunion" en cliquant sur ce lien. Vous êtes manager, dirigeante ou entrepreneure et vous voulez avoir plus d'impact, vous sentir à votre place dans vos fonctions et être une meilleure leader ? Ce sont exactement les résultats obtenus par les clientes de notre programme de formation et de coaching Leaders Ambitieuses. Pour en savoir plus : cliquez ici. Afin de ne pas manquer 1/ les outils de leadership 2/ les conseils de coaching exclusifs que je partage dans les mails, et 3/ toutes les informations sur la possibilité de rejoindre le prochain groupe de Leaders Ambitieuses, inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien. réalisé par Arnaud S. | musique-imaginaire.com
La situation des prisons et des prisonniers en Bolivie est déplorable, c'est un fait tristement connu, et souvent pointé du doigt (notamment par l'ONU) : violence, addictions, surpopulation carcérale, corruption du personnel, bâtiments en ruines. Parmi tous ceux qui sont derrière les barreaux, une population est encore plus vulnérable : les femmes. Car elles sont oubliées, par leur famille comme par les institutions. Pourtant, même enfermées, elles sont souvent encore cheffes de famille et elles envoient le peu qu'elles gagnent à l'extérieur. Reportage au cœur de la prison d'Obrajes à La Paz, où 300 femmes cohabitent dans un espace originellement fait pour accueillir 150 personnes. Une ville dans la ville, où l'on vit, où l'on travaille, où des enfants naissent, où on loue un toit à mettre sur sa tête. « Femmes en prison, la double peine », un Grand reportage d'Alice Campaignolle et de Maud Calves. De notre correspondante à La Paz, Alice Campaignolle Rosario Vaca Gutierrez a 56 ans, elle est Bolivienne, et au cours des 30 dernières années elle a été incarcérée 11 fois, la plupart du temps dans la prison pour femmes d'Obrajes à La Paz, en Bolivie. Comme une grande partie de ses codétenues, elle a toujours été écrouée pour petit trafic de drogue, pour avoir vendu du crack notamment. Entretien avec celle que l'on appelle Doña Charito, désormais libre et qui tient un petit commerce de pâtisseries. Alice Campaignolle : Comment était le quotidien au sein de la prison ? Rosario (Doña Charito) : Dans la prison, il faut être attentive en permanence. Car si vous laissez traîner quelque chose 5 minutes, ça va être volé immédiatement. Si vous mettez vos sous-vêtements à sécher sans les surveiller, ils disparaissent ! Pour ma part, j'étais chanceuse, j'avais des culottes bouffantes, et comme ce n'est plus à la mode, personne n'en voulait ! Rires. Mais, il y a vraiment tout type de personnes à l'intérieur, il faut se méfier. Des droguées. Des alcooliques. Des prostituées. Vous pouvez aussi bien acheter de l'alcool comme de la drogue, sans problème. Il y a toujours une « bonne copine » pour te proposer un verre. Mais il faut faire très attention, car tu tombes vite là-dedans, et c'est la dépression assurée. Parce que beaucoup de détenues, moi incluse, n'ont pas de condamnation et rapidement on se dit qu'on ne sortira jamais de cet endroit. (NDLR environ 70% des détenus en Bolivie n'ont pas été jugés) Pour ma part, je n'avais personne sur qui compter, alors pas le choix, il fallait travailler, pour le papier toilette, le shampooing, bref, tout le nécessaire. AC : Vous avez parlé de prostitution ? Rosario : Oui tout à fait. C'est très organisé, parfois avec la complicité des gardiennes, ou bien ce sont les gardiens les clients. Ou sinon, il y a un supposé frère, un supposé cousin qui vient les jours de visite, mais en réalité il est là pour acheter du sexe. Personnellement je ne suis jamais rentrée là-dedans, s'il y a bien un endroit où j'étais irréprochable, c'était en prison. Je me suis consacrée au travail surtout. AC : Mais ce n'est pas toujours facile d'occuper un emploi pénitentiaire… Rosario : Moi j'ai toujours été au four, je m'occupais de la boulangerie de la prison. Mais tu peux aussi travailler à la laverie par exemple. Lors de ma dernière incarcération, en 2017, ce n'était plus pareil, toutes les détenues se battaient pour obtenir un travail pénitentiaire car la prison était surpeuplée. Moi j'avais une bonne place, et donc j'entendais beaucoup de critiques, du type « Et elle, pourquoi elle a toujours cet emploi, elle ne peut pas laisser sa place ? ». Au fur et à mesure des années, j'ai su gagner le respect des gardiennes et de la direction, donc ils m'ont fait confiance et m'ont laissé ma place. AC : Et vous avez des enfants, de quelle manière vous en êtes-vous occupés pendant toutes ces années ? Rosario : J'ai deux garçons et deux filles, et les deux premiers ont été à mes côtés dans la prison pendant leur enfance, jusqu'à leurs 5, 6 ans. Je ne pouvais donc pas me permettre de ne pas travailler, car si leurs repas étaient assurés par l'administration pénitentiaire, parfois c'était juste une soupe, et ce n'était pas suffisant. Et puis au bout de quelques années, le garçon a été placé dans un foyer, et la fille chez une tante. Pas le choix, la prison ce n'est pas un endroit pour des enfants. Ils voient tout et répètent tout, et les éduquer dans cette ambiance, ça en fait des petits rebelles, de futurs délinquants. Aujourd'hui, ils sont grands, ils ont étudié, les deux garçons sont partis vivre au Chili et les deux filles en Argentine. Ils ont réussi, mais l'une de mes filles m'a dit un jour « où étais-tu quand j'avais le plus besoin de toi ? », ça m'a fait réfléchir. AC : Aujourd'hui, vous êtes sortie, à quoi vous consacrez-vous ? Rosario : Pendant longtemps, je me suis dit « étudier ce n'est pas fait pour moi », j'ai arrêté l'école à 9 ans, nous étions 16 enfants et il fallait aller travailler très jeune. Quand on m'a proposé les cours de l'organisation Manq'a, des cours de boulangerie notamment, j'étais terrifiée, car je ne sais pas écrire vite, je craignais de ne pas y arriver. Et puis il y a eu des ateliers pour travailler l'estime de soi, pour réfléchir à ses liens familiaux, et ça m'a fait beaucoup de bien. J'ai appris à m'ouvrir aux gens. Quand tu vends de la drogue, tu parles peu et mal, et au début j'avais honte de mes mots, je ne savais même pas expliquer comment je faisais mon pain. Aujourd'hui, j'ai confiance en moi et en ma petite entreprise de boulangerie-pâtisserie.
Salomé Saqué est journaliste engagée, elle officie particulièrement pour les média Blast, France Télévisions et France Infos. Elle est l'autrice de "sois Jeune et tait toi" sorti aux éditions Payot le 15 mars 2023. Pour réaliser ce premier livre, Salomé s'est livrée à une longue enquête auprès d'une multitude de jeunes d'univers différents mais aussi a fait un travail de recherche remarquable afin de documenté son livre de chiffres. Personnellement, le travail de Salomé me parle car les jeunes sont les grands perdants de ce début de 21 eme siècle et représente une grande partie des personnes en situation de précarité. Il a toujours existé une rivalité entre les générations mais dorénavant et de manière très chiffrée on peut observer des inégalités évidentes que l'on peut reconnaitre soi même si on regarde 20 ans en arrière. Avec Salomé nous traitons les questions suivantes : Est-ce qu'il n'y pas toujours eu un conflit de générations? Pourquoi il existe toujours un conflit de générations ? A quel moment sommes nous jeunes? Est-ce que la binarisation de l'information n'a pas un lien avec les difficultés de la discussion entre les générations? Qu'est-ce que les boomers ne comprennent pas dans les difficultés aujourd'hui des jeunes? Est-ce que l'un des sujets n'est pas l'augmentation de l'habitat Vs la stagnation des salaires des jeunes? Est-ce qu'il existe une égalité des chances en France? Est-ce qu'il existe un ascenseur social? Crois tu dans le concept du "self made man ou woman"? Quelles sont les autres inégalités dont souffrent les jeunes en France? Crois tu dans la génération engagée? Quel est le rapport des jeunes avec l'écologie, la crise écologique? Penses tu que "les solutions" viendront des politiques? Pourquoi les jeunes vont vers l'extreme droite? La solitude n'est- elle pas une des grandes souffrances des jeunes? Quel est l'impact des réseaux sociaux sur les jeunes? Que pensez de l'insécurité et de la violence du quotidien? Que pensez de Tik Tok? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #192 Feminisme washing: On claque la porte? Avec Léa Lejeune (https://audmns.com/JfZYqLI) #248 Qui va sauver la planète? Avec Nathanaël Wallenhorst (https://audmns.com/GpwFZhN) #213 Comprendre (simplement) le changement climatique avec Thomas Wagner (Bon Pote) (https://audmns.com/mPhwsuj)
Après avoir étudié la pizza en long, en large et en travers, je profite de ce mercredi technique pour vous livrer quelques astuces pour sublimer votre pizza à domicile. Après, j'arrête pendant un an, promis. Les bases de la pizza à domicile ont leur épisode dédié, je vous invite à consulter cet épisode avant. Ici, c'est des conseils pour ceux qui ont déjà un peu pratiqué. Le premier truc pour aller plus loin, on pensera évidemment aux garnitures. Ce sera selon votre goût, pensez toujours qu'il faut en mettre un peu moins que ce que vous pensez être la bonne quantité. Même réflexion pour la tomate, d'ailleurs. Je vous conseille ça pour l'humidité. Car moins votre four monte en température, plus les ingrédients vont relâcher de l'eau. Attention donc aux garnitures type bolognese, aubergine, ou ce genre de garniture très humide. Avec parcimonie, donc. Une des épices qui renforce le marqueur pizza est l'origan. Vous pouvez le saupoudrer avant ou après la cuisson. Vous pouvez aussi en mettre dans votre coulis de tomates. Même idée pour le basilic. Personnellement, je conseille de le mettre après pour qu'il reste bien vert et bien frais, surtout dans un four domestique. Mais c'est à votre convenance. Tant qu'on est à la sortie du four, un trait d'huile d'olive sur la pizza ajoute beaucoup. La farine spécifique pour la pâte à déjà été couverte dans le premier épisode mais il y a un type de farine qui, un peu comme l'origan, est un marqueur fort de l'identité pizzaiolique. C'est la semolina. La semolina, c'est de la farine de blé dur, vous pouvez faire vos pâtes fraîches avec, c'est excellent ou vos gâteaux de semoule. C'est une farine un peu plus rustique avec une mouture un peu plus épaisse que votre T55 habituelle. Ici, on va l'utiliser comme farine à tout faire pour fariner votre plan de travail à l'étalage et comme farine anti adhérente sur votre pelle avant d'enfourner. C'est ce qui va donner ce côté un peu sableux à la croûte mais dans le bon sens du terme. Et enfin, pour votre pâte, je vous conseille l'application pizzapp, pizzapp. C'est absolument pas sponsorisé et je vous la conseille car elle est super bien faite et elle est gratuite. C'est tout simplement un calculateur pondérateur pour votre pâte. Vous pouvez inclure tous les paramètres, le nombre de pâtons, leur poids, le taux d'humidité, et l'application vous donnera les quantités d'ingrédients pour votre pâte. Pour vous dire, vous pouvez même encoder les dimensions de votre plaque et l'application vous donnera le grammage de pâton idéal. Donc pizzapp. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Mettre en avant la nourriture est un métier. Le premier niveau étant simplement dans les mains du cuisinier qui va confectionner une belle assiette. Un épisode est en cours d'écriture à ce sujet. Le niveau deux étant les personnes qui vont mettre en image cette assiette. Que ce soit à destination commerciale pour des publicités en affichage physique ou sur les réseaux sociaux. Ça peut être aussi à destination personnelle, typiquement pour votre blog, votre insta ou que sais-je ou simplement pour envoyer à une connaissance. Il y a bien sûr une part de talent mais il existe aussi quelques techniques facilement applicables pour rendre votre nourriture photographiquement plus sexy et ce avec n'importe quel appareil, même et surtout votre téléphone. La première réflexion va se porter sur la prise de vue en elle-même. Il faut dresser l'assiette et son décor pour la caméra et rien d'autre. Le but est de faire une photo, n'oublions pas. Personnellement, je ne vais pas dresser une assiette de la même façon si je vais la servir à un client ou si elle part se faire photographier. Deuxième point à ce sujet pour débuter, pensez à votre angle de prise de vue. On peut remarquer deux grandes catégories, les prises de vue zénithales, donc, vue du dessus et celle en point de vue, ou l'angle de prise de vue est calqué sur ce que verrait un client assis à table devant son assiette. Choisissez votre angle de prise de vue avant de dresser pour être le plus optimal. Deuxième point important, montrez le contenu. Ca peut paraitre idiot de le rappeler, mais pensez à mettre en valeur les ingrédients visible ou cachés de votre assiette. Si votre burger comporte 2 sauces, on prendra soin d'en déposer une goutte de chaque à la seringue juste sur le bord de la viande, par exemple. Pensez au décor. Si vous photographiez un mug de café, vous pouvez lui donner une histoire. Si vous le mettez en scène dans un décor de toile de jute avec des grains de café un peu partout, vous donnez un aspect tradition, un aspect produit pur. Si vous montrez votre mug dans votre main manucurée avec les sacs de votre dernière séance shopping en arrière plan, vous allez bien évidemment donner une autre image à ce même café. D'ailleurs, dans ce cas, n'est ce pas plutôt vous que vous essayez de mettre en valeur ? Et enfin, pensez à la picturalité de votre photo. N'en faites pas trop. Jouez sur des contrastes interessants, qu'ils soient de couleur, de lumière ou de texture. Entraînez-vous, pratiquez et surtout que ces photos ne vous gâchent pas non plus le plaisir de l'instant ou de l'instantané. Je vous prévois une suite ou je vous donnerai quelques astuces concrètes utilisées par les photographes et les maquilleurs alimentaires pour rendre la nourriture encore plus belle au détriment de leur comestibilité. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le moins qu'on puisse dire est qu'il y a un décalage visuel entre ce que vous allez manger et ce que vous pensiez avoir commandé. Parceque lorsque l'on voit la publicité ou l'image de présentation, tout est parfait. La salade croquante et fraîche, maculée de micro gouttelettes d'eau. Une viande grillée à la perfection. La sauce, parfaitement répartie et qui ne relâche pas d'huile à cause de la chaleur, même l'angle du coin de fromage est sixtinien. Alors, on ne va pas tirer sur l'ambulance, ce qu'on reçoit dans la boîte reste correcte, mais le burger de la photo, lui, est juste parfait. Comment expliquer ce passage direct entre le paradis et la réalité quotidienne ? Ceux qui diront burger en plastique n'auront pas tort mais n'auront pas non plus raison. Lorsqu'on veut vendre un produit, on se veut de le rendre le plus attractif possible. Si vous revendez votre voiture, vous allez la nettoyer. Si vous lancez une campagne marketing pour vendre des sauces en bocal, par exemple, vous allez allécher le client en montrant votre sauce dans une mise en scène appétissante. Et ici je parle du visuel, mais un autre profil de client sera peut-être plus séduit par la composition ou les différents label de qualité, comme du bio, empreinte carbone neutre ou autre. C'est donc ça l'idée derrière cette imagerie parfaite, on met un produit en valeur pour vous donner envie de l'acheter. On pourrait débattre des semaines sur la valeur morale. Certains diront que ça nous rend superficiels, d'autres disent que c'est parce que nous sommes superficiels que ça marche aussi bien. Alors le titre pointait les burgers, mais absolument tout ce qui se vend passe par ce filtre. Chocolat, yaourt sont en tête de ce cliché mais pas que, basiquement tout ce qui se mange, en fait, tout ce qui se vend passe par ce filtre. Et ne pensez pas en être immunisé. Car c'est pas parce que vous êtes résistant à la trend façon tictoc, diamants, Dubaï que vous n'allez pas succomber à une publicité plus axée famille, rando, nature. Ce n'est qu'une question de ciblage. Voilà donc le pourquoi. La semaine prochaine, nous allons parler du comment et je vous livrerai quelques trucs et astuces pour rendre votre nourriture plus sexy à l'image. La vraie question est pourquoi la plupart des publicités montrent de la nourriture qui vole ou qui tombe au ralenti sur des aplats de couleurs pastel. Personnellement, la nourriture qui, même au ralenti, est tombée au sol, ben je la jette. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Quel souvenir laisse Benoît XVI en Afrique, à la fois chez les chrétiens et les musulmans ? Pourquoi a-t-il abdiqué il y a 10 ans ? En ce jour des obsèques de Benoît XVI, entretien avec le religieux burkinabè Jean-Paul Sagadou, père assomptionniste et journaliste au groupe de presse catholique Bayard Afrique, à Abidjan et à Ouagadougou. RFI : Quel bilan faites-vous du pontificat de Benoît XVI ? Père Jean-Paul Sagadou : Alors c'est difficile de faire le bilan d'un pape et il a eu une décision audacieuse, surprenante même, de faire ce qu'aucun pape n'avait jamais osé faire depuis des siècles, renoncer à sa charge. S'il y avait trois choses à dire sur ce qui a marqué son pontificat, je dirais la foi, l'espérance et la charité. Alors, vous dites qu'il a stupéfait le monde entier le jour de février 2013, où il a renoncé à sa charge. À l'époque, il disait que c'était pour des raisons de santé, mais il a survécu 10 ans à son abdication. Était-ce seulement pour cela ? Alors, c'est difficile à dire. J'estime personnellement que les choses se sont passées au plus profond de sa conscience. Il a compris qu'il avait peut-être atteint un âge qui ne lui permettait plus de continuer à assumer correctement sa mission. Après, évidemment, les observateurs de ce qui peut se passer au Vatican peuvent épiloguer, comme quoi c'était difficile, qu'il y avait peut-être des mésententes à l'intérieur [du Vatican, NDLR]. Personnellement, je considère qu'il a pris une décision audacieuse, que moi je considère aujourd'hui comme quelque chose d'assez positif. Je pense que ça a été un homme défenseur de la doctrine de la foi qui n'a pas voulu se mêler à des enjeux de pouvoir, parce que, pour lui, qui dit pouvoir dit forcément, nécessairement, service. L'un de ses grands combats, c'était la lutte contre l'esprit de mai 68 et contre le relativisme moral, n'est-ce pas l'une des raisons de son abdication de 2013 et peut-être, au contraire de ce que vous appelez l'espérance, une forme de désespoir ? Je pense que c'est difficile de percevoir les choses de cette manière. C'est vrai, en 2005 – je crois, lors d'une homélie – il a déclaré : « Nous mettons en place une dictature du relativisme qui ne reconnaît rien comme définitif et dont les standards ultimes sont simplement l'ego et les désirs de chacun ». De ce point de vue, on peut dire qu'il s'est retrouvé en face d'un monde qui vit en contradiction avec la perception qu'il a de l'Évangile. Est-ce que cela l'a bousculé, troublé ? Est-ce que son message ne passait pas et cela l'a poussé à partir ? Moi, je ne mettrais pas forcément cette hypothèse en avant, voilà. Alors, comme son compagnon de toujours, Jean-Paul II, Benoît XVI laisse le souvenir d'un théologien conservateur qui était intransigeant sur la question des mœurs : il défendait le célibat des prêtres, il ne voulait pas entendre parler de l'ordination des femmes. Est-ce qu'aujourd'hui, il n'apparaît pas comme un pape qui n'est plus de son temps ? Oui, je crois que Benoît XVI se situait dans la droite ligne de la tradition de l'Église. Justement, sur l'ordination des femmes, c'est assez subtil ce qu'il disait : « Nous ne disons pas que nous ne voulons pas, mais que nous ne pouvons pas. » Et il ajoutait que le Seigneur a donné à l'Église une forme avec les 12 apôtres, puis avec les évêques et les prêtres, donc ce n'est pas nous qui avons donné cette forme à l'Église. Alors, on peut considérer que cette position-là, d'un point de vue théologique, peut rester une forme de débat à l'intérieur de l'Église, mais en tout cas, telle a été sa position. Mais sur le célibat des prêtres, n'y a-t-il pas une grande hypocrisie, notamment en Afrique ? Hypocrisie, je ne sais pas. Et pourquoi l'Afrique ? Par contre, on constate, avec toutes les questions que nous connaissons actuellement des abus dans l'Église, qu'il y a quand même un certain nombre de questions qui se posent, qui méritent qu'au sein de l'Église, on regarde avec beaucoup plus de clairvoyance, de vérité. L'enjeu étant vraiment le service de l'Église. ►À lire aussi : Le pape François rend un dernier hommage à son prédécesseur lors des obsèques de Benoît XVI N'y aurait-il pas moins d'abus sexuels dans l'Église catholique si les prêtres avaient le droit de se marier ? C'est une bonne question, mais je ne sais pas qui serait capable de répondre à cette question, est-ce qu'il y aurait moins de difficultés ? Ou plus, ou moins… Je n'en sais rien (sourire). Benoît XVI est le premier pape à s'être engagé au sein de l'Église catholique dans la lutte contre les abus sexuels et la pédocriminalité. Mais n'a-t-il pas été trop timide dans ce combat ? C'est le reproche qu'on lui fait, en effet, mais je pense qu'il faut insister sur le fait qu'il a été le premier à s'engager auprès des victimes de violences sexuelles commises par les clercs. Il est le premier souverain pontife à consacrer un document à cette crise-là, avec la publication en 2010 d'une lettre aux catholiques d'Irlande après des révélations sur des milliers de cas. D'ailleurs, un texte au ton vif, dans lequel il dit partager leur consternation et leur sentiment de trahison. Donc, moi, je pense que c'est un homme humble qui a d'ailleurs accepté les critiques qui étaient adressées à l'Église et qui finalement contribuaient à mettre en place de nouvelles normes pour qu'on puisse quand même – disons le mot, et je pense que lui-même l'a utilisé – nettoyer l'Église. On sait qu'en son temps, il y a eu quelque 400 prêtres qui ont quand même été renvoyés. Et puis, le pape François a poursuivi le travail. Benoît XVI n'aimait pas voyager, mais en novembre 2011, il est allé au Bénin, notamment à Ouidah, où il a signé l'exhortation Africae Munus, l'engagement pour l'Afrique, une sorte de feuille de route de l'Église catholique pour l'Afrique. Qu'en retenez-vous ? Alors ce n'était pas seulement au Bénin, mais il a fait aussi le Cameroun et puis l'Angola et je pense qu'au Bénin, de fait, c'était une étape importante parce qu'il y avait eu le second synode des évêques pour l'Afrique – c'était peut-être en octobre 2009 – et donc là, en arrivant au Bénin en 2011, c'est à cette occasion que le pape a remis l'exhortation synodale Africae Munus, donc l'engagement des évêques pour l'Afrique. Et puis on peut voir dans ce texte comme une sorte de charte pour la réconciliation, la justice et la paix en Afrique. En 2009, on avait aussi la mémoire de tout ce qui s'était passé, avec le génocide au Rwanda, toutes les problématiques d'ethnies, de tribus… Donc ce qui a été au cœur de ce voyage du pape, c'est quand même cette question de la réconciliation, de la justice et de la paix. Et puis il a interpellé tout le monde, à la fois les responsables d'Église, mais aussi les hommes politiques, puisqu'il a parlé de la bonne gouvernance. Moi, je retiens deux choses : il a parlé de l'Église d'Afrique comme d'un poumon spirituel pour l'humanité, donc il y a quelque chose à en tirer, il y a de la richesse. Il a aussi appelé les gouvernants à ne pas priver les populations d'avenir, d'espérance et donc à travailler à une bonne gouvernance pour qu'enfin, ce continent-là, qui est si riche, puisse quand même apporter sa contribution au reste du monde, mais à condition qu'il y ait la paix, la fraternité, la solidarité. Et puis il y a la grande question des rapports entre chrétiens et musulmans. L'un des moments les plus marquants du pontificat de Benoît XVI reste son discours de Ratisbonne en septembre 2006, où il a cité un empereur byzantin qui disait que la violence était intrinsèque à l'islam. Il a eu raison ou il a eu tort ? Alors en fait, je crois qu'il a été très mal compris, mais on sait aussi qu'assez rapidement, il a été accueilli en Turquie par le président Erdogan, et il a redit son souhait de voir musulmans et chrétiens marcher côte à côte sur les chemins d'une compréhension réciproque. Donc, je pense qu'à Ratisbonne, il y a eu quiproquo, il y a eu incompréhension et peut-être que le contexte global aussi de l'époque pouvait favoriser cela et ça a créé des dégâts. Et je pense que le pape en a beaucoup souffert lui-même, parce qu'il a eu plusieurs occasions de dire que ce n'est pas ce qu'il voulait dire et qu'il a même beaucoup d'estime pour le Coran, pour lequel il éprouve le respect qui convient, pour le Livre Saint d'une grande religion comme l'islam. C'est vrai qu'il y a eu beaucoup de violence au nom de l'islam dans l'histoire, mais n'y a-t-il pas eu aussi beaucoup de violence au nom du christianisme dans l'histoire ? Ah, c'est évident, c'est évident. Parce que ce discours a beaucoup choqué, notamment à la mosquée Al-Azhar du Caire, à la Grande Mosquée de Paris. Est-ce que le pape a ensuite trouvé les voies du dialogue avec ces grands docteurs de la foi musulmane ? Oui, justement, je me rappelle, j'étais au Togo à l'époque. Là, vous évoquez un peu des grands lieux d'islam où les conséquences ont été dramatiques, mais en fait, jusque dans les petits villages, même d'Afrique, il y a eu quand même une sorte de rayonnement de ce discours qui a provoqué une sorte d'effervescence irrationnelle. Y compris dans les communautés musulmanes d'Afrique de l'Ouest, comme au Togo ? Oui, oui, évidemment. Moi – je me rappelle donc – moi je vivais dans une ville où il y avait 70% de musulmans. On s'est retrouvé avec des jeunes qui ne comprenaient pas forcément ce qui avait été dit. Le discours, c'est : « On a insulté l'islam, on a insulté le prophète. » Donc, ça suffisait pour sortir et crier. C'est pour ça que je trouve qu'il y a eu quiproquo. Probablement que l'intellectuel, le grand théologien que Mgr Ratzinger, devenu pape Benoît XVI, a eu un discours qui n'est pas facilement accessible pour la plupart d'entre nous et qui peut provoquer ce type d'incompréhension. Mais la question, c'est : comment s'est-il comporté par la suite ? On sait qu'il y a eu plusieurs approches. Le fait qu'il y ait eu cette rencontre en Turquie, mais je pense qu'il y a eu d'autres occasions où le pape Benoît XVI a essayé de rendre compte de ce qu'il voulait dire, et que ce n'était pas une attaque contre l'islam. Et je pense que Benoît XVI – et bien avant lui, même Jean-Paul II – ils ont toujours, quand même, intégré la question de la raison, de la réflexion. On ne croit pas n'importe comment et sinon, on verse dans l'intolérance. Et puis, dans tout ce qu'on connaît aujourd'hui, comme fondamentalisme et tout ça… La foi doit être forcément éclairée, et je crois que c'est ça qui peut nous faire avancer ensemble. Pour conclure, peut-on dire que Benoît XVI a été un pape incompris ? Peut-être. J'ai eu le sentiment, depuis son décès, avec tout ce que j'ai pu lire et entendre, que de fait, les gens se disent « on pense qu'on l'avait un peu mal compris, mais on pense qu'on le comprend, peut être maintenant », et c'est souvent après la mort de certaines personnes qu'on découvre vraiment leur visage et qu'on reconnait quels ont été le poids, la force de leurs paroles, de leurs discours. ► À écouter aussi : Cardinal Fridolin Ambongo (RDC): le pape Benoît XVI reste «notre plus grand théologien»
Début janvier rime (ou pas) avec bonnes résolutions. Mais si, vous savez ces promesses qu'on se fait en début d'année et qu'on oublie au bout de trois semaines ? Personnellement, au lieu de les formuler comme des contraintes et des restrictions, je vous parle de ces objectifs que je me fixe pour faire de 2023 une année de bonheur, changeante, tout en priorisant ma santé physique et mentale. Bonne écoute ! J'ai l'immense plaisir d'être partenaire LICARES pour leur formation “Devenir écrivain : projet best-seller”, ce qui me permet de vous proposer 80€ de réduction avec le code promo MARGOT. Le programme “Devenir écrivain : projet Best-seller”, c'est 44 heures de cours en vidéo et 14 heures d'ateliers pratiques guidés en direct pour apprendre à écrire un roman de A à Z : des premières idées à la soumission de son manuscrit en maison d'édition. Entre les consignes qui sont toutes différentes, les ME qui ne veulent que les mails, celles qui ne veulent que les courriers, celles qui demandent un synopsis détaillé, celles qui veulent des fiches personnages… On s'y perd un peu. De ce fait, quand j'ai découvert le service proposé par Edith&Nous (à savoir protéger son manuscrit sur leur plateforme tout en le soumettant à plus de 100 maisons d'édition en même temps), je me suis dit « Et pourquoi pas ? ». Si vous n'êtes pas dans le programme Premium, je peux vous offrir 30€ de réduction sur l'atelier relecture avec le code promo RELECTUREMARGOT : votre texte est analysé par une éditrice ou un éditeur. Cliquez ici pour vous découvrir le programme "Auteurs du Web" pour créer son site internet d'auteur en moins de 30 jours Retrouvez-moi sur Instagram Recevez chaque mardi matin de nouveaux conseils écriture et marketing grâce à ma Newsletter
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Sur le timing dans notre vie Le bouddhisme et le timing Le timing dans notre vie Imaginez que vous conduisez une voiture sur une route, qu'une voiture sur la voie opposée quitte sa voie, fait un tonneau et percute votre voiture de plein fouet. Vous voyez la voiture qui se renverse venir vers vous, pouvez-vous imaginer cette situation ? Ou bien vous empruntez la même route deux minutes plus tôt, lorsque l'autre voiture se renverse, vous êtes déjà à des mètres décisifs, personne ne percute votre voiture. Les bouddhistes parlent de "karma", d'autres de "chance ou malchance", ou peut-être de "hasard". Cela vaut certainement la peine d'y réfléchir, au timing, à notre "karma". Ici, il ne sert à rien de se demander : "pourquoi moi, pourquoi a-t-il percuté ma voiture ?" "pourquoi n'ai-je pas tourné au coin de la rue avant, comme d'habitude" ? Vous n'avez pas de malchance (ou de chance), mais vous êtes arrivé à cet endroit conformément à votre "karma", rien n'a pu changer votre "karma", ce qui devait arriver arriva. Le regard porté sur des futilités comme le "timing" devrait nous rendre plus sereins, nous faire prendre conscience de la nature des choses et nous inciter à réfléchir à des choses importantes. Deux minutes ou deux mètres, des détails peuvent décider de la vie ou de la mort, de la joie ou du malheur. Nous ne pouvons rien faire, rien ne reste, tout tombe en poussière, nous, la voiture, même la route, tout se désagrège. Si nous réfléchissons à cela, il est nettement plus facile de déterminer correctement les valeurs dans la vie. Alors, qu'est-ce qui est vraiment important ? Et qu'est-ce qui est important pour vous ? Qu'est-ce que vous voulez réaliser ? Personnellement, je pense que la seule chose importante est "l'illumination" ! Créer les conditions pour le très grand voyage. Cela vous intéresse-t-il ? L'ENNUI, RESSENTI AU BON MOMENT, EST UN SIGNE D'INTELLIGENCE - CLIFTON FADIMAN - ÉCRIVAIN AMÉRICAIN - 1904 À 1999 Copyright : https://shaolin-rainer.de (Veuillez également télécharger mon application „Shaolin-Rainer" depuis les magasins Apple et Android) Veuillez nous noter sur Apple, Google ou Spotify podcast pour nous aider à promouvoir l'émission. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/buddha-blog-francais/message
Le mois de décembre est particulier. Entre les fêtes et les tâches à finir dans son entreprise, les semaines sont souvent bien chargées.Personnellement, ça a été mon cas. J'hésitais à faire un épisode de style bilan, parce que tout le monde fait ça, à ce temps-ci de l'année. Mais, en regardant mon parcours et mon cheminement en 2022, j'ai décidé de vous présenter mon bilan après une année flyée.Quand je fais un bilan, je réalise à quel point on est dure avec nous-mêmes. Je remarque que les femmes, on se tape souvent sur la tête... Quand on prend le temps de s'asseoir et qu'on fait un bilan, on peut voir tous les accomplissements que l'on a fait en un an.Il faut regarder tout ce que l'on a accompli, mais aussi qu'est-ce qu'on est devenu. Parce qu'en un an je peux te dire que je suis devenue quelqu'un de nouveau, j'incarne une toute nouvelle énergie. Je suis convaincu que si toi aussi tu regardes en arrière, tu seras fière de toi.En 2022, c'est la première fois que je vivais vraiment ma vie de rêve à fond ! Quand je regarde tout ce que j'ai accompli, j'ai 5 prises de conscience. Ses prises de conscience vont aussi beaucoup m'aider à faire de mon année 2023, une année magique. Je te présente aussi dans cet épisode ma vision pour l'an prochain. Si tu as envie de m'envoyer un message sur Instagram pour me dire ce que tu as pensé du podcast, ça me ferait vraiment plaisir de te lire : https://www.instagram.com/stephanie_methe/
Personnellement, je hais les maths. Enfin, je ne « hais » pas les maths, c'est surtout que je n'y comprends rien et qu'à l'école lorsque l'on a commencé à parler d'équations à multiples inconnues, j'avais surtout envie de sortir de la classe pour n'importe quelle raison. Je n'avais pas pensé une seconde que je me … Continued
Anatole est un cycliste d'ultra-distance Belge
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Un bouddhiste peut-il aussi manger de la viande ou du poisson ? Bouddhisme et alimentation Un bouddhiste peut-il aussi manger de la viande ou du poisson ? Bouddha a expliqué que pour protéger tous les êtres vivants, il fallait privilégier les aliments sans viande. Mais Bouddha ne connaissait pas les usines à viande modernes. La soi-disant "alimentation moderne" avec des "hamburgers" à chaque coin de rue, des "kebabs" dans chaque passage souterrain, cela n'était certainement pas imaginable à l'époque du Bouddha historique. Comment peut-on se nourrir aujourd'hui en tant qu'adepte de la philosophie bouddhiste dans le monde occidental ? Sans viande ou produits carnés, il n'y a pratiquement rien à manger. Celui qui part en voyage ne peut guère se nourrir de manière végétarienne. En tant que Shaolin, on peut consommer de la viande lorsqu'on s'entraîne, les moines de combat Shaolin sont exemptés de l'obligation de vivre de manière végétarienne. Personnellement, je mange de la viande et du poisson, mais je fais attention à la qualité. Je m'efforce de les utiliser correctement, c'est-à-dire qu'aucun morceau ne doit être gaspillé ou jeté. L'élevage respectueux des animaux est un sujet important pour moi. En outre, je veille à ce que la viande ne soit "que" rarement dans mon assiette et qu'il s'agisse toujours d'une petite portion. Le plus important, c'est que je respecte l'animal que je consomme. Celui qui, en mangeant un animal, réfléchit à l'animal, aura automatiquement un autre rapport à la viande et au poisson, il sera reconnaissant envers l'animal, l'honorera, et sera en général reconnaissant envers sa nourriture. Cette gratitude fait une grande différence, essayez donc ! Dépensez plus d'argent pour les produits animaux que vous consommez, mangez de la viande (et du poisson) de manière plus consciente, en plus petites quantités, avec reconnaissance et réflexion. SI L'HOMME MODERNE DEVAIT TUER LUI-MÊME LES ANIMAUX DONT IL SE SERT POUR SE NOURRIR, LE NOMBRE DE MANGEURS DE PLANTES AUGMENTERAIT DE MANIÈRE DÉMESURÉE - CHRISTIAN MORGENSTERN - POÈTE ALLEMAND - 1871 À 1914 Copyright : https://shaolin-rainer.de (Veuillez également télécharger mon application „Shaolin-Rainer" depuis les magasins Apple et Android) Veuillez nous noter sur Apple, Google ou Spotify podcast pour nous aider à promouvoir l'émission. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/buddha-blog-francais/message
A lire la presse nous sommes un peuple de flemmards, pas ambitieux et ayant perdu le goût de l'effort et d'ailleurs le travail, c'est terminé ! En stigmatisant tout particulièrement les "jeunes générations". Personnellement, cela me met en colère. Quels messages passe-t-on aux français et à l'étranger ? A toutes les générations ? Et si plutôt que de stigmatiser, on essayait de comprendre comment agir ? Vous n'avez pas fini de m'entendre sur le sujet. Et cela tombe bien car je vous propose pendant 2 semaines de faire un focus sur l'évolution du rapport des jeunes générations à l'entreprise. Cette semaine j'échange sur le sujet avec Julie Douarin, dirigeante d'une société d'incarnation, d'influence et de mentoring plus axée sur les métiers de l'immobilier. J'ai souhaité avoir le point de vue de Julie car elle a la double casquette d'accompagner des dirigeants dans leur posture de communication pour notamment être audible des jeunes générations et de mentorer des jeunes à leur entrée dans le monde du travail. Julie partage ici à la fois sa lecture de l'évolution des attentes des jeunes générations mais également des tips pour de part et d'autres mieux se connaitre et se comprendre. C'est donc épisode qui parlera tout autant aux dirigeants qui souhaitent mieux se connecter avec les plus jeunes et des jeunes qui souhaitent comprendre comment intégrer le monde du travail. Bonne écoute ! Pour en savoir plus sur Julie : Article récent sur Julie Douarin dans le JDD Et pour en avoir plus côté podcast ;-) : Le lien vers le questionnaire de fin d'année Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : c'est ici
Retour de TENDANCES BEAUTE sur MM Radio, l'émission culture beauté et bien-être qui lance sa Saison 2. Pour ce thème automne-hiver, Angela Peauty discute avec Mylène Vaissière – ingénieure chimiste, cosmétologue et enseignante au yoga du visage - autour de sa jeune marque JE Cosmétique, qui partage en plus des conseils d'experte pour le segment Culture et Science de la Beauté – "Le Stress Contre Nos Soins (et Donc, Notre Peau)" et "Peau Grasse… En Hiver", ainsi que pour la sélection de tendances produits de la saison. "Personnellement, je suis plus sur des ingrédients végétaux qui vont durer sur le temps et qui ont vraiment un réel effet." Segments de cette émission : ++ FOCUS INVITE ++ CULTURE ET SCIENCE DE LA BEAUTE ++ TENDANCES BEAUTE DE L'AUTOMNE 2022/23 — RESUME EDITORIAL et IMAGES du plateau https://bit.ly/3GIFNKX TENDANCES BEAUTE de MM RADIO est un rendez-vous saisonnier ! ABONNEZ-VOUS + au podcast MM Radio pour recevoir les notifications des prochains émissions via Apple Podcasts https://apple.co/3j5Agin TuneIn http://tun.in/pgUdR Google Podcasts https://bit.ly/2MufdMg Stitcher https://bit.ly/2V8IiAQ Spotify https://open.spotify.com/show/23lgr0GgFMIuUUvdmQZ5xH Amazon Music https://music.amazon.com/podcasts/060799c3-7b41-456a-942a-1473a73d3054 Deezer https://www.deezer.com/show/2945752 + à nos réseaux sociaux pour rester connectés à l'actualité de notre studio MasterMINDER Entertainment : LinkedIn https://www.linkedin.com/organization/masterminderentertainment Twitter https://twitter.com/MasterMINDERent Instagram https://www.instagram.com/masterminderent YouTube https://www.youtube.com/c/MMTVProductions Vous souhaitez collaborer et/ou faire partie des partenaires du bouquet de podcasts MM RADIO produit par MasterMINDER Entertainment, nous vous invitons à nous contacter à l'adresse studio@masterminderentertainment.com.
C'est un homme qui a une parole médiatique rare. En marge du XVIIIe sommet de la Francophonie, à Djerba, le président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a cependant accepté d'accorder une interview conjointe à RFI et France 24. Il revient notamment sur les débats qui ont eu lieu au sein du Conseil paix et sécurité de l'UA sur une éventuelle suspension du Tchad. Il conteste que son point de vue sur le fonctionnement de la transition tchadienne soit dicté par un agenda personnel. « Les contreparties de l'attitude clémente de l'UA, explique-t-il, n'ont pas été respectées. » Marc Perelman: On va commencer par la situation dans l'est de la RDC. Les combats se poursuivent. Les pays de l'Afrique de l'Est sont en train de déployer une force régionale. Les efforts diplomatiques se multiplient. Alors une question simple, mais grave: est-ce que vous pensez qu'une solution diplomatique est encore possible ou est-ce que vous craignez un embrasement régional ? Moussa Faki Mahamat: Cette situation n'est malheureusement pas nouvelle. Depuis pratiquement plus de deux décennies, l'est du Congo est en troubles. C'est éprouvant pour le peuple congolais. C'est éprouvant pour son voisinage, c'est éprouvant pour l'ensemble du continent. Mais dans ce genre de conflit, nécessairement, il faut trouver une solution politique. Donc, le processus qui est engagé à Nairobi avec la communauté est-africaine, les efforts du président d'Angola [João Lourenço], qui a été désigné par l'Union africaine comme facilitateur, je crois que ces efforts combinés doivent nous amener à trouver une solution politique, en tout cas c'est ce qu'on préfère. Laurent Correau: Alors justement, les autorités congolaises refusent de discuter avec le M23 qu'elles considèrent comme un groupe terroriste. Est-ce que cela ne fragilise pas la recherche d'une solution négociée ? M.F.M.: À écouter l'envoyé spécial, l'ancien président du Kenya Uhuru Kenyatta, les discussions de Nairobi doivent continuer. C'est aux Congolais bien entendu de déterminer quels sont ceux qui vont prendre part. Mais, il est souhaitable dans le cadre de la recherche de la paix que le processus soit le plus inclusif possible. C'est notre souhait. De toutes les façons, ce sont les parties elles-mêmes qui savent de quoi il s'agit. M.P.: La situation au Tchad, les autorités ont décidé de prolonger la transition, d'ouvrir la possibilité au chef de la junte, Mahamat Idriss Déby, d'être candidat aux élections à venir. Il y a eu les événements tragiques du 20 octobre où une manifestation a été réprimée dans le sang. Dans un rapport que vous avez remis au Conseil paix et sécurité de l'Union africaine, vous avez demandé la suspension du Tchad en affirmant que c'est nécessaire pour « sauvegarder un minimum de crédibilité et être cohérent avec les situations dans d'autres pays, à savoir le Mali, le Burkina Faso, la Guinée et le Soudan ». Cela pose la question: est-ce que la crédibilité de l'Union africaine a été mise à mal dans cette affaire ? M.F.M.: Je crois qu'il est nécessaire de situer les choses dans leur contexte. En avril 2021, le président de la République du Tchad, le maréchal Idriss Déby, a trouvé la mort de manière violente, paix à son âme. Et à ce moment, contrairement à la pratique de l'Union africaine qui, en cas de changement non-constitutionnel, suspend presque automatiquement l'État, l'Union africaine, notamment le Conseil paix et sécurité, a envoyé une mission sur place pour pouvoir examiner les circonstances particulières qui ont conduit à la mort du président. Et l'Union africaine, à travers son organe compétent qui est le CPS [Conseil de paix et de sécurité], a décidé de ne pas suspendre le Tchad, mais sa décision comporte pratiquement les dispositions ou les décisions qui sont généralement prises en cas de changements non-constitutionnels, notamment en insistant sur un délai de 18 mois non renouvelable et l'inéligibilité des militaires qui sont à la tête du Conseil militaire de transition. Dix-huit mois après, il y a eu le dialogue qui a été organisé. Et donc, ces deux conditions qui sont la contrepartie de l'attitude clémente de l'Union africaine n'ont pas été respectées. Et naturellement, donc en tant que président de la Commission en charge de mettre en œuvre les décisions de ces organes, j'ai présenté un rapport que certains ont trouvé accablant ou qualifié de réquisitoire, mais moi, je le trouve plutôt exigeant. Exigeant et clair, d'autant plus qu'il y a manifestement une violation des décisions et des principes [de l'Union Africaine] et de l'engagement pris par le président du Conseil militaire de transition. J'ai donc soumis ce rapport au Conseil paix et sécurité. En plus, il y a eu ces événements que vous citez, qui marquent pratiquement la fin de ces 18 mois. Ils ont été réprimés violemment. Et naturellement, tout cela, je devais le porter à l'attention de l'organe qui est en charge. Le CPS a discuté de la question, il n'a pas encore vidé le sujet. Il a suspendu ses travaux. Et je crois qu'il va les reprendre avant la fin de ce mois. M.P.: Il ne vous a pas suivi. Est-ce que ce n'est pas quand même un problème de crédibilité ? M.F.M.: De toutes les façons, la décision n'est pas encore prise. Il y a un certain nombre d'États qui ont estimé qu'il faut suspendre le Tchad, à l'exemple des autres pays. D'autres ont estimé qu'il ne faut pas le faire. Et puisque c'est une décision de fond, pour que la décision soit prise dans un sens ou dans un autre, il faut recueillir les deux tiers. C'est la raison pour laquelle je crois qu'ils ne sont pas arrivés à ça. Et la séance a été reportée pour reprendre. Quelle que soit la décision, nous allons la mettre en œuvre bien entendu. L.C.: Justement, comment expliquez-vous que, pour certains pays comme le Mali, la Guinée, le Burkina Faso, l‘Union africaine parvient à rappeler les principes, à les poser alors que pour le Tchad, elle a plus de difficultés. Est-ce qu'il y a une exception tchadienne ? Est-ce qu'il y a eu des pressions à ce sujet sur le Conseil paix et sécurité ? M.F.M. : Je ne sais pas. Le Conseil paix et sécurité est composé de 15 États qui représentent l'ensemble du continent. Cet organe permanent est en charge des questions de paix et de sécurité. Et donc, c'est aux États membres de pouvoir discuter et de prendre une décision. Manifestement, dans ce cas, il y a une violation parce qu'un répit a été donné aux autorités de la transition. Mais finalement, elles n'ont pas appliqué les décisions qui ont été prises par le Conseil paix et sécurité. C'est ça la réalité. L.C. : Mais je vous repose ma question : pourquoi le Conseil paix et sécurité ne parvient-il pas à se prononcer sur le Tchad alors qu'il y est arrivé sur d'autres pays ? M.F.M. : Ce sont des États pris individuellement et qui expriment leur point de vue sur la question. M.P. : Vous avez mentionné évidemment les événements du 20 octobre. Les autorités tchadiennes affirment que ce n'était pas un mouvement de protestation, mais que c'était une insurrection qui était planifiée. Est-ce que cet argument vous convainc ? M.F.M. : De toutes les façons, quel que soit le cas de figure, dénombrer officiellement plus de 50 morts et 300 blessés pour une manifestation de civils me semble une utilisation abusive des armes. Et donc, bien entendu, il y aura, je l'espère, des enquêtes indépendantes, mais le fait lui-même d'une manifestation dans des villes et qu'il y ait autant de victimes me semble quelque chose d'extrêmement grave. L.C. : Le gouvernement tchadien vous accuse de vouloir sanctionner le Tchad coûte que coûte. Il affirme que vous faites tout cela parce que vous souhaitez être candidat à la présidentielle tchadienne à la fin de la transition. Comment réagissez-vous à ces accusations ? M.F.M. : Sur cette question de candidature ou pas… je suis un citoyen tchadien. Et tout citoyen tchadien qui remplit les conditions peut à un moment ou à un autre avoir des ambitions, ou un projet pour son pays. Je crois qu'il y a un amalgame entretenu sciemment. Au départ, on m'a accusé de vouloir faire la part belle à mon pays qui a échappé à la suspension, maintenant c'est le contraire. Donc, je crois que c'est une querelle politicienne sur laquelle on veut m'entraîner. En tout cas, je ne tomberai pas dans ce piège. Ce qui est évident, en tant que président de la Commission de l'Union africaine, c'est que je suis assermenté et que je dois vraiment situer les choses dans leur contexte. J'ai soumis un rapport et personne ne conteste aujourd'hui que les conditions qui ont été mises par le Conseil paix et sécurité ont été allègrement négligées, voire violées. C'est là la réalité. M.P.: Mais vous venez de dire que tout citoyen tchadien qualifié peut être candidat. Donc, cela pose quand même la question : est-ce que vous excluez ou pas toute candidature à la prochaine élection présidentielle ? M.F.M. : Est-ce que c'est le sujet ? M.P.: C'est le sujet d'après le gouvernement tchadien… M.F.M. : Il y a 18 ans et demi,en 2004, votre confrère Christophe Boisbouvier me posait la question quand j'étais encore Premier ministre, si j'étais le dauphin du président Déby. Donc, cette question pour moi, elle revient très souvent. Je ne sais pas si je représente le portrait-robot (rires) de ce fameux candidat, mais je ne pense pas que le problème soit à ce niveau. M.P.: Mais vous n'excluez pas une candidature quand même dans l'avenir ? M.F.M. : Je ne suis candidat à rien. Je suis président de la Commission de l'Union africaine. Il me reste encore deux ans et plus pour remplir mon mandat. Moi, je me concentre sur le travail que je fais actuellement. M.P. : Mais d'un point de vue personnel, est-ce que le fait que vous n'ayez pas été suivi par le Conseil de paix et de sécurité, cela vous a affecté ? Personnellement, est-ce que vous vous dites : à quoi bon continuer finalement, peut-être dois-je démissionner, aller faire autre chose, parce que je ne suis pas écouté ? M.F.M. : Pas du tout. J'aurais réagi de la même façon qu'il s'agisse du Tchad ou de tout autre État membre. Le travail du président de la Commission est de mettre en œuvre les décisions de ses organes. Ça, c'est ma responsabilité, j'ai prêté serment. Ça peut être le Tchad, ça peut être un tout autre pays. Je crois que je suis totalement… et je l'ai dit : si demain le Conseil paix et sécurité décide de ne pas suspendre le Tchad, j'appliquerai totalement les décisions de cet organe. M.P.: Vous n'allez pas démissionner… M.F.M. : Je n'ai pas à démissionner. Pourquoi dois-je démissionner ? J'ai été élu par l'ensemble du continent. J'ai un mandat, je fais mon travail. L.C.: Pour parler du Mali maintenant, la France s'est retirée de ce pays. Les Européens s'en vont. Les Ivoiriens également. Est-ce que vous êtes inquiets de voir une situation dans laquelle les Forces armées maliennes, les Fama, et le groupe Wagner seraient seuls face aux jihadistes ? M.F.M.: Les troupes dont vous parlez, notamment celles qui sont dans la Minusma, sont venues dans le cadre d'une mission des Nations unies. C'est vrai, la plupart des effectifs sont des effectifs africains. J'espère que cette mission pourra continuer, quand bien même nous, à l'Union africaine, dans le continent de façon générale, nous constatons que les missions de maintien de la paix n'ont pas montré une efficacité dans un contexte comme celui du Mali. Il s'agit de trouver la paix avant de la maintenir donc, avec la question des mandats, etc. Donc, j'espère que cette mission va continuer. Du reste, ce sont des accords entre les autorités maliennes et les pays comme la France. Naturellement, c'est aux Maliens de décider. L.C.: Concernant l'Éthiopie, un accord parrainé par l'Union africaine vient donc d'être signé entre le gouvernement éthiopien et les rebelles du Tigré. Il prévoit le retrait de toutes les forces étrangères de la région. Or, l'armée érythréenne est toujours présente. Est-ce que le comportement de l'armée érythréenne ne va pas être essentiel à la réussite de cet accord ? M.F.M.: Ce qui est positif, c'est que les parties se soient assises autour d'une table. C'était à la fin du mois passé en Afrique du Sud. Elles ont signé cet accord important sur la cessation des hostilités. De toutes les façons, il y a des acteurs… les parties elles-mêmes savent de quoi il s'agit. Notre souci, c'est de les accompagner puisqu'ils se sont engagés. Il faut bien que ces forces-là, à un certain moment, partent parce que c'est convenu entre les parties.
Auditeurs de bon ton, connaissez vous la danse country-Western, oui, non ? mais si vous avez déjà vu ça, les danses en ligne, le fameux square dance ou tout le monde fait pareil. Personnellement j'ai commencé à comprendre le phénomène, il y a déjà quelques années quand mon cousin Paul de Lozère dans le Languedoc Roussillon, me dit qu'il allait à des soirées Country…
Et voici celui qui vient en second rang : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas de commandement plus important que ceux-là. Marc 12.31 Il est difficile d'aimer la vie lorsque vous ne vous aimez pas vous-même. Les gens qui n'ont pas appris à s'accepter et à s'aimer ont souvent plus de difficultés à accepter les autres et à bien s'entendre avec eux. Personnellement, j'ai eu des difficultés relationnelles pendant de nombreuses années, jusqu'à ce que je prenne finalement conscience, grâce à la Parole de Dieu, qu'elles prenaient racines dans mes défis personnels. La Bible dit qu'un bon arbre produit de bons fruits, et qu'un arbre avarié produit des fruits avariés. De même, le « fruit » de nos vies provient de la « racine » qui est en nous. Si vous prenez racine dans la honte, la culpabilité, l'infériorité, le rejet, le manque d'amour, d'acceptation etc., le fruit porté dans vos relations avec les autres en souffrira. À l'inverse, une fois que vous recevez la révélation de l'amour inconditionnel de Dieu pour vous et que vous commencez à vous accepter vous-même ainsi que les autres, ces nouvelles racines finissent par porter de bons fruits. Vos relations deviennent alors florissantes. Dans quel sol prenez-vous racine ? Examinez votre cœur aujourd'hui et demandez à Dieu qu'Il vous plante fermement dans le sol de Son amour, afin que vous puissiez sincèrement vous aimer, pour ensuite aimer les autres. Assurez-vous d'être enraciné en Lui dès aujourd'hui. Ma prière pour aujourd'hui : Seigneur, je veux être enraciné dans Ton amour pour moi. Sans Ton amour, je ne peux pas m'aimer moi-même, ni les autres, je décide donc de le recevoir aujourd'hui
Une fois sur trois, mon client me déclare un peu défoutu : " Mon problème c'est que je m'ennuie très vite dans mon travail".
Tu as déjà essayé de méditer toute la journée sans parler à personne pendant 10 jours ?Personnellement je l'ai fait et ça a été une révélation ! Quelques minutes de méditation par jour permettent de cultiver ce qu'il y a de plus important au monde et qui devrait être enseigné à l'école.Je t'explique concrètement ce que cette habitude m'apporte dans mon quotidien et dans ma vie.J'espère que cela t'incitera à débuter la méditation ou à bien ancrer cette pratique très bénéfique dans ta routine.--------Pour apprendre à te connaître, trouver ta mission de vie professionnelle et enfin t'épanouir au quotidien.
Le Parti communiste chinois s'apprête à renouveler sa direction en Chine. Coup d'envoi dimanche prochain du XXe congrès du PCC. L'évènement a lieu tous les 5 ans dans une capitale chinoise placée sous haute sécurité. De notre correspondant à Pékin, et avec Louise May du bureau RFI à Pékin, Talkie Walkie, contrôle des pièces d'identité, caméras à reconnaissance faciale. Déjà ultra-surveillée tout au long de l'année, la place Tiananmen se transforme en forteresse au moment des congrès du PCC. Tous les accès à Tiananmen et au Grand Palais du peuple à Pékin, où se réuni l'élite du Parti dimanche prochain, sont verrouillés ! Impossible de passer sans rendez-vous, nous répond courtoisement l'un des officiers en fonction. Surveillance au sol et dans les airs… Jusqu'au 31 octobre, les aéronefs et autres objets « bas et lents », comme les appellent les autorités, sont interdits de voler. Résultat : cette Pékinoise retraitée a dû attacher ses pigeons. « Les drones, les cerfs-volants n'ont plus le droit de voler. Les lâchers de pigeons aussi, c'est interdit. Mais moi, mes pigeons, ils ont une ficelle à la patte. Ils ne risquent pas d'aller loin ! Je les laisse s'envoler : ils vont se poser sur le feu rouge là-bas, de l'autre côté de la rue, puis ils reviennent. » Stabilité à tout prix Des pigeons sur les feux rouges et, sur une avenue à 5 kilomètre de la Cité interdite, des agents de sécurité sous des parasols. Celui-ci garde une décoration florale du congrès. « Je suis là de 7 heures du matin à 22 heures le soir. Je veille à ce que personne ne coupe les fleurs. Et si des fauteurs de trouble viennent ici, je rapporte tout à mon chef d'équipe ou j'appelle directement la police. J'ai commencé le 1er octobre. L'objectif, c'est d'empêcher les troubles à l'ordre public. » La stabilité à tout prix. Les accès à la capitale sont strictement contrôlés, nous confie un opposant sous couvert d'anonymat. « Depuis le 1er septembre, les entrées dans Pékin sont filtrées avec le XXe congrès. Il y a une pression particulière sur les militants des droits de l'homme. Mais cette année, c'est particulier. Personnellement, je ne me sens pas plus surveillé qu'à l'habitude. Je pense que c'est lié au code sanitaire santé sur les portables. L'autorité se sent en sécurité, car ils savent en permanence où nous sommes. » Omni-surveillance sanitaire Impossible de se déplacer sans le passe sanitaire sur son smartphone en Chine, rappelle ce chauffeur de taxi en pointant la caméra à côté de son rétroviseur. « Il surveille de manière aléatoire 30 % des taxis. C'est le big data, c'est comme ça… En ce moment, les contrôles sont plus serrés avec le XXe congrès. Si vous ne faites pas un test Covid tous les 3 jours, mieux vaut rester chez vous ! Si vous ne scannez pas votre code santé sur votre téléphone, ils nous voient et ils appellent ! » L'omni-surveillance sanitaire et le traçage de l'ère Covid, les mesures de préventions épidémiques pendant le congrès ont entraîné la fermeture de certaines églises et de lieux de divertissements comme les karaokés.
Iodée, umami, salée, noire, liquide, la sauce soja, ou sauce soya est passée en quelques décennies de parfaite inconnue à actrice incontournable de la scène culinaire. Qui n'en a pas dans son frigo, du grand gallon à poignée en passant par la bouteille d'un litre, au contenant raisonnable en verre, jusqu'à la petite fiole en plastique qu'on nous donne à chaque livraisons et qui restera dans le frigo très certainement jusqu'au prochain déménagement. Nous avons déjà parlé d'elle dans un précédent épisode mais ce que je ne vous ai pas dit est que traditionnellement, on ne trempe pas son sushi dans la sauce du côté du riz. Au niveau de son application plus occidentale, on va dire, la sauce soja se marie au bœuf à merveille. Que ce soit dans un tartare, un tataki, une marinade ou certaines sauces comme la sauce bbq. Personnellement, j'en ajoute souvent dans mes fonds de viandes. Le canard et le porc font également bon ménage. Le saumon s'en accommode très bien autant que beaucoup de produits de la mer. Et je ne vous ferai pas l'insulte d'oublier les sushis. C'est le titre de l'épisode et voilà pourquoi nous sommes tous ici. Je parle stricto sensu du sushi, vous savez qu'il en existe des centaines de variétés, ici je vous parle du sushi, le sushi originel qui se résume à une fine tranche de poisson cru posée sur une petite quantité de riz. Sushis qui traditionnellement, ne se trempent pas dans la sauce soja car a priori le riz est assaisonné par le chef qui connaît son sujet et le côté liquide de la sauce va émietter le riz. Riz qui va ensuite souiller la petite écuelle qui sert de saucière. Il faut donc le retourner et assaisonner le poisson qui se trouve au-dessus. Si vous ne pouvez pas retourner votre sushi pour le tremper dans la sauce, s'il y a des œufs de poisson par exemple. L'astuce ultra traditionnelle est d'utiliser une feuille de gari. La feuille de Gari, à ne pas confondre avec la feuille de nori qui elle entre dans la composition de certains sushis comme les temaki. La feuille de Gari, c'est le gingembre mariné rapé en feuille. Donc, vous saisissez une feuille de gari avec vos baguettes, vous la trempez dans la sauce, et vous l'utilisez ensuite comme un pinceau pour assaisonner votre sushi. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Notre cerveau retient 3 fois plus le négatif que le positif… c'est ce que l'on appelle le cerveau reptilien. OK… une fois que l'on a dit ça, soit nous considérons que c'est une fatalité, soit nous agissons. Personnellement, je suis convaincu qu'il est plus agréable de vivre au quotidien en se motivant en regardant le côté à moitié plein de notre verre, plutôt qu'en se déprimant du fait qu'il ne soit pas totalement plein. Focalisez-vous sur ce que vous avez plutôt que sur ce que vous n'avez pas Dès le matin, demandez-vous ce pour quoi vous êtes reconnaissant (santé, famille, travail…) N'hésitez pas à vous faire des compliments de temps à autre Fuyez les personnes négatives Croyez en vous : après la pluie : le beau tempsEt découvrez tous mes contenus (vidéos, articles, tests de personnalité en vous rendant sur mon blog : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je te donne quelques conseils pour te développer sereinement et personnellement ✨ . Je t'invite à me rejoindre ici : https://linktr.ee/lauriezed
En Français, on parle d'hypersensibilité alors qu'en anglais, on dit Personne hautement sensitive ! Les personnes ayant une sensibilité plus forte que la moyenne le ressentent souvent comme un poids, une faiblesse. Elles se sentent incomprises ou, inadaptées par moment ! L'hypersensibilité estune caractéristique neutre qu'on peut considérer comme un poids ou comme un superpouvoir. Personnellement, j'ai mis longtemps à comprendre que ma façon d'appréhender le monde n'était pas forcément identique à celle des autres. Le comprendre m'a apporté un soulagement et depuis, je comprends mieux mon fonctionnement et apprivoise ma sensibilité pour en faire un superpouvoir en non une souffrance. Dans cette épisode je reviens sur la notion d'hypersensibilité que je préfère appeler powersensibiilté et je t'explique pourquoi et comment j'ai créé mon antitest powersensible pour t'aider à mieux comprendre cette part de toi même et à trouver tes supers pouvoirs ! Si tu n'as pas encore passé le test, tu peux le faire juste ici : https://powersensible.fr
Mon invité du jour se nomme Jonathan Noble. Il est le co-fondateur et CEO de Swello, un outil Saas français pour gérer vos réseaux sociaux.L'outil vous permet de programmer vos posts sur les médias sociaux, analyser les retombées, effectuer une veille concurentielle et gérer votre communauté.Quant à Jonathan, c'est quelqu'un qui s'exprime beaucoup sur les plateformes sociales au sens large : comment évolue les plateformes, son avis sur leurs nouvelles fonctionnalités et différents usages, …C'était donc le candidat idéal pour moi parce que je voulais évoquer sur le podcast ce thème de l'avenir des réseaux sociaux.Vous l'avez peut-être remarqué, mais depuis quelques années, on observe que les réseaux sociaux se copient l'un et l'autre et ont tendance à se ressembler.L'exemple le plus parlant, c'est celui de TikTok et de la vidéo courte.Instagram, YouTube et même Facebook ont tous copié ce format de vidéo parce que c'est ce que les utilisateurs recherchent de plus en plus comme contenu à consommer.N'oubliez pas que le vrai enjeu pour les plateformes sociales, c'est de vous garder le plus longtemps possible sur la plateforme.Avec Jonathan, on est revenu sur toutes ses évolutions depuis le COVID-19 :Qu'est-ce qui a changé sur les réseaux sociaux depuis le COVID il y a 2 ans ?Au vu de cette évolution, comment penser sa production de contenu ? Quels types de contenus faut-il produire ?Quelles sont les plateformes où on peut encore avoir une bonne visibilité organique ?J'aimerais revenir rapidement sur les vidéos courtes (similaires à TikTok) … Toutes les plateformes sociales qu'on connait bien (YouTube, FB, Instagram …) ont créé leur propre format pour copier TikTok et le poussent de plus en plus. Est-ce qu'il a le sentiment (comme moi) qu'elles font plus de mal que de bien à des RS comme Insta ou YouTube ? Personnellement, je ne vais pas sur YouTube pour regarder des Shorts …Quel est son avis sur Facebook ? Aujourd'hui, Facebook n'attire plus les jeunes, mais c'est toujours la plateforme où il y a plus d'utilisateurs quotidiens.On est revenu sur Instagram. Le fil Instagram ne fait plus vraiment l'unanimité (merci la publicité et les suggestions). L'application s'est TikTokisé … Quel est ton avis sur l'évolution d'Instagram ces derniers mois ?Ça c'est ce dont on a discuté dans la 1re partie de l'épisode. Et dans la seconde partie, on abordera avec Jonathan : Le live shopping, Twitch, Metaverse, La santé mentale des community managers, l'économie des créateurs et des influenceurs.Retrouvez Jonathan Noble sur : LinkedInRessources citées dans l'épisode :Le site web de SwelloCe n'est pas fini, j'ai aussi besoin de vous pour faire connaître le podcast.Si le podcast vous plaît et vous aide dans vos réflexions marketing, le meilleur moyen de me le dire, ou de me partager un feedback constructif, c'est simplement de laisser un avis (5 étoiles de préférence) sur Apple Podcasts.Vous pouvez également partager ce podcast autour de vous. Je suis sûr que vous connaissez quelqu'un qui aimerait beaucoup écouter des conversations inspirantes sur l'entrepreneuriat et le marketing ;-)C'est grâce à vos feedbacks et vos partages que nous allons pouvoir faire connaître ce podcast et toucher de nouvelles personnes, alors n'hésitez pas !Si vous avez des questions sur le podcast ou des personnes que vous aimeriez que j'interview, vous pouvez me contacter directement sur :FacebookInstagramLinkedIn
Il existe beaucoup de théories plus ou moins complexes à propos du management. Personnellement, je ne suis pas vraiment fan de toutes ces théories qui, bien souvent, finissent par faire culpabiliser les managers tant, in fine, elles montrent que pour être un bon manager, il faut pratiquement être Wonderwoman ou Superman.Dans cet épisode, j'essaye de vous donner une définition simple de ce qu'est un bon manager en le comparant à un mauvais pilote d'avion. oui, c'est une comparaison que j'utilise souvent lors de mes conférences et je dois bien dire que l'analogie fonctionne plutôt très bien.Par exemple, monteriez-vous dans un avion si vous savez que le pilote est ivre mort et qu'il ne maîtrise absolument plus rien ? Non, bien entendu. La notion de maîtrise est centrale en management. Si un manager ne maîtrise pas son sujet, personne dans son équipe n'embarquera dans son projet. Cet épisode vous donne d'autres exemples très concret pour savoir si vous êtes un bon manager ou si votre manager l'est.Et n'hésitez pas à vous rendre sur mon site pour retrouver tous mes contenus, articles, tests de personnalité, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Le must de la raison d'être - méthodes et réflexions pour repenser et déployer la mission de l'entreprise Vous avez peut-être vu ou lu hors-série de Harvard Business Review France ? Qu'en avez-vous retenu ? Personnellement j'ai été ravie d'y découvrir l'article de Béatrice Rousset et Philippe Silberzahn « Mobilisez le « tore » de votre organisation ». J'ai bien sûr voulu en savoir plus et Béatrice a immédiatement accepté de répondre à mes questions au micro du podcast. Ce jeudi Béatrice nous explique plus en détail ce qu'est le « tore » et la semaine prochaine elle nous aidera à l'identifier et l'actionner. Spoiler : c'est l'épisode parfait pour célébrer les 4 ans du podcast, créer pour comprendre comment les dirigeants d'entreprises peuvent conjuguer impact et performance – une sustainability à la fois économique, sociale et sociétale. Bonne écoute ! Vous aviez beaucoup aimé les interviews précédentes de décryptage des modèles mentaux par Béatrice à (re)écouter ici et là Et voici une interview de Philippe Silberzahn qui vous explique comment utiliser les modèles mentaux
Albert Moukeihber est neuroscientifique et psychologue libanais, je l'ai déjà reçu sur ce podcast pour parler de la culpabilisation écologique. Et aujourd'hui nous parlons de nos peurs mais surtout notre incapacité très souvent à bien évaluer le risque. Est-ce que vous vous êtes déjà demandé comment votre cerveau fonctionnait et processait l'information pour nous indiquer ce qui est risqué ou ce qui ne l'est pas? Pourquoi les jeunes prennent plus de risques que les personnes plus âgées? En d'autres mots nous avons peur des “mauvaises choses”. Notre cerveau ne mesure pas les choses de manière objective mais plutôt comparative mais de nombreux filtres viennent s'intégrer dans notre calcul du risque. Albert nous explique comment la neuroscience a réussi à prouver l'évolution de notre cerveau et notre aversion au risque mais aussi notre incapacité à traiter de la statistique, la mise à distance de l'information . Cela peut s'appliquer pour nos peurs du quotidien mais également sur le Covid et le vaccin ou encore sur la pollution, bref sur un peu près tous les sujets il est important de réaliser que notre cerveau nous joue des tours et que nous avons de nombreux biais qui viennent perturber notre jugement. Cela me fait naturellement pensé à l'épisode 87 avec le thérapeute Angelo Foley qui tient le compte “balance ta peur”. Personnellement j'adore les épisodes qui permettent de mieux comprendre comment notre cerveau et notre psychologie fonctionne, d'ailleurs, j'ai eu l'idée de cet épisode en écoutant cet épisode du podcast Hidden Brain que je recommande souvent si vous parlez anglais.
Aaaaaaaaaah ! Cet épisode, j'en ai rêvé pendant des semaines. Je te parle du verbe ”foutre” qui est un verbe très très utilisé dans la langue parlée. Si ton français est purement académique, c'est-à-dire issu de cours de français, tu ne l'as peut-être pas souvent rencontré. Par contre, si tu habites en France et que tu as des amis français, tu l'as entendu des milliers de fois. Ce verbe, un peu grossier, est un verbe magique qu'on utilise dans beaucoup de situations. Personnellement, je l'adore et je l'utilise TOUT LE TEMPS. Je ne pouvais pas te parler de langue française sans te parler du verbe ”foutre”. Dans cet épisode, je partage avec toi ses différentes significations et dans quelles situations l'utiliser. Pour accéder aux transcriptions : Les transcriptions du podcast sont disponibles grâce à un abonnement. Chaque semaine, en plus de ton épisode, reçois la transcription, ma newsletter secrète et plein d'autres choses pour booster ton français. Pour me rejoindre : https://school.ilearnfrench.eu/Podcast Pour participer à mes cours : Pour continuer cette conversation et améliorer ton français avec moi, rendez-vous sur www.ilearnfrench.eu Rendez-vous sur les réseaux sociaux : Si tu veux m'envoyer un message et me suivre sur les réseaux, suis-moi et ajoute-moi. Je te répondrai personnellement. Instagram : https://www.instagram.com/ilearnfrench/ Linkedin : https://www.linkedin.com/in/yasmine-lesire-ilearnfrench/ Crédit musique : La musique de cet épisode est créée par le groupe Beam. Merci à Maayan Smith et son groupe pour la musique. Pour suivre le groupe Beam : https://www.facebook.com/beamband/ https://store.cdbaby.com/cd/beam3 https://open.spotify.com/album/0wh9CvbPVNMi9wdqqBFFBW
Face à l'augmentation du prix de la farine de blé et les conséquences sur le prix du pain, et des produits à base de blé, l'artisan chocolatier André Bayala lance la fabrication de pain à base de farine de céréales locales. Mil, sorgho, Niebé, Mung Bean, maïs, riz, plusieurs qualités de pain et de produits ont été présentées à des consommateurs déjà conquis. De notre correspondant à Ouagadougou, « Là, c'est 400 grammes, vous l'avez ici en 180 grammes et ici à 60 grammes. » Selon l'artisan chocolatier André Bayala, ces différentes variétés de pain fait à base de céréales locales ont une valeur nutritive plus importante que le pain habituellement consommé par les populations. « C'est un pain qui est complet, qui aide beaucoup dans la croissance, surtout des tous petits, également des personnes âgées. Ils peuvent le digérer facilement. » Selon les responsables de boulangerie, de janvier 2021 à avril 2022, le prix de la farine de blé est passé de 350 000 à 500 000 francs CFA la tonne pour les farines importées, et de 338 250 à 450 000 francs CFA la tonne pour la farine produite localement. Conséquence : le poids du pain est passé de 200 à 160 grammes pour le même prix. Selon André Bayala, l'utilisation de la farine locale serait une réponse à cette inflation. « Ces farines que nous réalisons, ce sont des produits de chez nous, donc ils n'ont pas subi les effets du transport. C'est déjà un pas en avant avec le prix des carburants qui coûtent cher. Relativement au prix du carburant justement, par rapport au blé, cette farine est nettement moins chère. » Les amateurs de pain conquis Ces nouveaux types de pain sont disponibles pour le moment à partir 100 francs CFA et 75 francs CFA la portion de 100 g en fonction des différents ingrédients utilisés. Les premiers consommateurs en sont déjà satisfaits. « Personnellement ça m'a émerveillé quand je suis rentré avec les différents noms sur les pains », s'enthousiasme un consommateur. « Ce qui m'a beaucoup plu, c'est le pain du petit mil. Quand on le mange, on sent que c'est meilleur », assure une autre. « Je l'ai dégusté. Mais où peut-on trouver tout cela le matin si on veut commander du pain ? », interroge un troisième. La réponse à la question sur la disponibilité de ces différents types de pain viendra des futurs stagiaires du centre de formation professionnelle des métiers de la bouche André Bayala. Le centre se prépare à accueillir une centaine de jeunes, selon Seydou Traoré, chargé de programme suivi-évaluation et capitalisation au Programme d'appui à la formation professionnelle duale. « Ces jeunes qui vont se former vont avoir aussi l'opportunité de découvrir comment on fabrique ces nouveaux pains. On espère qu'ils vont s'installer à leur propre compte dans les différentes communes du Burkina. » Le chef André Bayala assure que le processus d'amélioration des recettes va se poursuivre afin de diversifier et rendre encore plus accessible le pain, malgré la crise.
En Côte d'Ivoire, le président Alassane Ouattara a reçu ce jeudi 14 juillet ses deux prédécesseurs Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié. Les trois figures politiques indétrônables de la scène politique ivoirienne se sont donc rencontrées pour la première fois depuis 2010 et la crise post-électorale de 2011. Que doit-on attendre de cette rencontre ? Décryptage avec Sylvain N'Guessan, analyste politique et directeur de l'Institut de stratégie. La rencontre entre Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo a duré une heure et demie, il a été conclu par un communiqué plutôt laconique qui n'a pas fait mention des points à l'ordre du jour. Est-ce qu'on en sait un peu plus aujourd'hui sur ce qu'ils se sont dits ? D'abord, cette rencontre fait suite au dialogue politique dirigé par le président de la république. Il y a eu 33 points qui ont été mentionnés dans ce dialogue politique, et l'un de ces points, c'était la rencontre de ces trois leaders, chose qui a été faite depuis ce 14 juillet. Il serait bien de signaler que certains points qui avaient été mentionnés lors de ce dialogue politique ont commencé à avoir un début de réponses, dont le passeport de M. Charles Blé Goudé et le poste de vice-président à la CEI [Commission électorale indépendante] pour le parti de M. Laurent Gbagbo, le PPACI. Mais pour l'heure, en 90 minutes, on imagine que beaucoup de choses n'ont pas pu être dites, même si le communiqué semble dire qu'ils se sont pratiquement tout dits. Vous l'avez évoqué, le climat politique semble apaisé aujourd'hui, vous avez même donné des exemples. Est-ce que ça veut dire que c'est Alassane Ouattara qui donne le tempo ? Oui, on peut le dire, puisque l'initiative vient quand même de la présidence de la république. Nous sommes dans un régime présidentialiste, la Constitution donne beaucoup de pouvoir au président de la république, n'empêche qu'il bénéficie également de la bonne disposition de ses adversaires, à savoir Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo. Les victimes des crises électorales de 2011 et 2020 sont rarement évoquées par les trois grands, même si les organisations des droits humains estiment que la justice a été piétinée au nom de la réconciliation nationale, qu'en pensez-vous ? Dire qu'il y a eu de l'impunité, non. Plusieurs hauts cadres du camp du président Laurent Gbagbo ont été en prison. Certains y sont encore, notamment les militants de base. La hiérarchie militaire du président Laurent Gbagbo se retrouve pratiquement encore en prison. Je ne pense pas que le système judiciaire puisse mener des enquêtes présentement pour incriminer ceux du camp du président Alassane Ouattara, dont certains ont bénéficié de promotions, etc. Pour les partisans du président Laurent Gbagbo qui ont été jugés et sont en prison depuis 2011 au moins, il serait quand même intéressant que le président de la république donne des mesures, une amnistie, afin que ceux-ci puissent retrouver la liberté. Cela pourrait renforcer la cohésion sociale, la réconciliation nationale. Le plus jeune des trois éléphants qui domine la politique ivoirienne depuis plusieurs décennies est âgé aujourd'hui de 77 ans. Une partie de la population et des jeunes loups politiques veulent qu'il passe la main aux jeunes générations, est-ce que c'est un sujet qu'ils ont pu évoquer lors de leur rencontre ? Non, je ne pense pas. Je ne pense pas d'abord parce que le président Alassane Ouattara qui est à son troisième mandat serait quand même assez mal placé pour demander aux autres de se retirer du cercle politique, ça serait mal perçu. Vous pensez que ces trois-là seront encore une fois tentés de se présenter à la présidentielle prévue en 2025 ? Je pense que les signaux sont quand même évidents que les trois vont y aller. Pratiquement par du fait que personne ne puisse s'élever pour remplacer Laurent Gbagbo, d'ailleurs son secrétaire général a fait le tour de plusieurs contrées, signalant que le candidat en 2025, c'est le président Laurent Gbagbo. Au PDCI également, il y a plusieurs groupes qui ont appelé le président Henri Konan Bédié à se présenter en 2025. Au niveau du RHDP, il y a longtemps que M. Alassane Ouattara nous a laissé entendre que si M. Gbagbo et Henri Konan Bédié étaient candidats, lui aussi serait candidat. Donc, je pense que les signaux sont évidents que les trois veulent candidater encore en 2025 pour la présidentielle en Côte d'Ivoire. Personnellement, je pense qu'ils ont eu le temps, ces 30 dernières années quand même, de former certains de leurs collaborateurs pour pouvoir assumer ce rôle, ces responsabilités. S'ils ne l'ont pas fait, c'est leur faute. Il serait quand même intéressant qu'après 30 ans, on laisse d'autres personnes diriger la Côte d'Ivoire pour qu'on puisse passer à une nouvelle phase.
Aujourd'hui, nous retrouvons Josepha pour la deuxième partie de notre entretien. Comme je vous le disais vendredi, je pense que l'on peut créer des ponts entre la pratique d'un sport et celle d'une langue, notamment en ce qui concerne la concentration ! Personnellement, cet entretien m'a beaucoup plu. Mais, vous allez l'entendre tous ces efforts, n'empêchent pas la gourmandise ! La suite du texte est dans le TRANSCRIPT, abonnez-vous! http://bit.ly/OneThingTranscripts
Ils sont partout depuis quelque temps...et oui la BlaBla mafia a encore frappé ! Je suis ravi d'échanger avec Rémi Guyot, CPO chez BlaBlaCar et son binôme Tristan Charvillat au Design (récemment passé chez Malt) pour parler de leur nouveau bouquin intitulé Discovery Discipline. Avec Rémi et Tristan on parle du cheminement qui a mené à l'écriture de ce livre, des principes fondamentaux qu'on peut y retrouver et de l'impact qu'ils souhaitent avoir auprès des entreprises avec la méthode F.O.C.U.S.ED. Personnellement, je suis ravi que plus de monde s'intéresse au sujet et produise du contenu pour accompagner des entreprises et des équipes dans la compréhension et la maîtrise d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Bonne écoute !
Du Vivaldi joué par des enfants au marimba et la toile s'enflamme. La vidéo des écoliers de Goede Hoop en Afrique du Sud a fait le tour du monde. On y voit des jeunes filles interpréter le Printemps des Quatre Saisons de Vivaldi lors d'un festival en 2016. Derrière cette prestation virale, il y a un projet social porté par l'ONG Education Africa qui encadre 1500 élèves. Permettre aux jeunes issus de milieux très défavorisés de s'émanciper grâce au marimba. De notre correspondant à Johannesbourg, À l'heure où les enfants quittent l'école pour rentrer chez eux, certains élèves font le chemin inverse. Rangez les cartables, sortez les marimba. Et c'est parti pour une heure de répétition. Nous sommes à l'école Goede Hoop qui héberge l'un des 19 centres de marimba, gérés par l'ONG Education Africa. La professeure, Thandeka Dlamini prend sur son temps personnel pour enseigner le marimba à ces adolescents. Par passion et par nécessité. « Je suis tombée amoureuse du marimba, c'est ce qui m'a donné envie de l'enseigner. En donnant des cours, je me suis rendue compte qu'un grand nombre d'élèves qui vivent dans les logements informels ont besoin d'être pris en charge après l'école pour rester occupés. » Apprendre la détermination grâce au marimba Reigerpark est un township difficile, connu pour ses gangs et sa violence. Les élèves viennent de milieux très défavorisés. Le marimba les aide à sortir de leur environnement social, confient Bonga et Thamina, deux adolescents. « J'aurais pu tomber dans la drogue, explique Bonga. Mais à travers le marimba, on vous apprend la détermination, à aller au bout de ce que vous faites. Quand je repense à ces deux dernières années, je me rends compte de l'importance que le marimba a eu sur ma vie. » Quant à Thamina, « la musique nous rassemble et nous permet de nous apaiser et de passer du bon temps. » Vivaldi joué dans un township Education Africa permet aux élèves de participer à des festivals en Afrique du Sud comme à l'étranger. C'est d'ailleurs lors d'un concert, enregistré en 2016, que l'école Goede Hoop a marqué les esprits. Cette reprise du Printemps de Vivaldi, est devenue virale sur les réseaux sociaux. Un succès inespéré pour Joan Lithgow, la spécialiste des marimba pour l'ONG. C'est elle qui a mis au point la technique d'enseignement : « C'était incroyable ! On disait aux élèves, "vous devenez des stars !" C'est super. Personnellement, je trouve ça remarquable d'entendre du Vivaldi joué dans le township et entendre que sa musique est comprise. » Ces élèves passeront bientôt leurs examens de fin d'année. Comme beaucoup de jeunes en Afrique du Sud, ils risquent d'être sans emploi après le lycée. Education Africa veut les former pour qu'ils deviennent, à leur tour, professeurs de marimba et qu'ils fassent de cette passion un métier d'avenir. ► À lire aussi : Blue Note Africa, un nouveau label pour promouvoir le jazz africain
Si tu as un peu suivi les épisodes précédents de ce podcast, tu as probablement compris que le Web 3 avec ses Metaverses, ses NFT, ses nouvelles opportunités, ses nouvelles règles et ses nouveaux codes est une nouvelle frontière qui devrait tous nous concerner d'ici quelques mois et pour probablement de nombreuses années. De toutes parts, on nous promet un nouvel eldorado. Personnellement ça me fait bigrement penser à la conquête de l'Ouest, avec ses pionniers, ses chercheurs d'or et ses bandits de grands chemins aussi. Nouveaux terrains de jeux, nouveaux besoins, nouveaux usages, les champs des possibles sont multiples, on en devine quelques contours aujourd'hui mais de l'avis de tous, nous n'en sommes qu'au début et nous n'avons encore rien vu de ce sera le web 3 pour de vrai. Nul doute que ce Web 3 verra aussi se développer de nouveaux écosystèmes et de nouveaux métiers aussi. Et même si nous n'en sommes qu'au début, on peut très probablement parier que les grands gagnants de ce nouveau Far West seront les marchands de pelles et de pioches, comme avec le web 1, le Web 2.0. Quelle place pour les free-lances dans ce nouveau monde ? Sauront-ils tirer partie des opportunités pour prendre part au grand festin de cette nouvelle économie, pas si virtuelle que ça ? Doivent-ils s'y mettre dès maintenant et comment doivent-ils s'organiser pour réussir dans le Web 3.0 ? Pour mieux comprendre ce que le Web 3 change et va changer pour les freelances, l'invitée de cet épisode du podcast est Marie Robin, fondatrice de Fleet Collective, un collectif de freelances international, travaillant tous dans le web 3. Si ça te dit d'écouter toutes les rencontres du matin sur les plateformes de podcasts traditionnelles, c'est ici https://smartlink.ausha.co/ledigitalpourtous Et pour garder le lien, il y a aussi la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://www.getrevue.co/profile/bonjourppc #BonjourPPC #Podcast #Web3 #Freelance
Le must de la raison d'être - méthodes et réflexions pour repenser et déployer la mission de l'entreprise Vous avez peut-être vu ou lu le dernier hors-série de Harvard Business Review France ? Qu'en avez-vous retenu ? Personnellement j'ai été ravie d'y découvrir l'article de Béatrice Rousset et Philippe Silberzahn « Mobilisez le « tore » de votre organisation ». J'ai bien sûr voulu en savoir plus et Béatrice a immédiatement accepté de répondre à mes questions au micro du podcast. Ce jeudi Béatrice nous explique plus en détail ce qu'est le « tore » et la semaine prochaine elle nous aidera à l'identifier et l'actionner. Spoiler : c'est l'épisode parfait pour célébrer les 4 ans du podcast, créer pour comprendre comment les dirigeants d'entreprises peuvent conjuguer impact et performance – une sustainability à la fois économique, sociale et sociétale. Bonne écoute ! Vous aviez beaucoup aimé les interviews précédentes de décryptage des modèles mentaux par Béatrice à (re)écouter ici et là Et voici une interview de Philippe Silberzahn qui vous explique comment utiliser les modèles mentaux
Au lendemain du score catastrophique de son parti au premier tour de la présidentielle, la candidate LR a lancé un appel au don et révélé qu'elle était personnellement endettée à hauteur de 5 millions d'euros.
Message prêché lors du service de Rencontre Prophétique FLOW, First Love Center Accra
Bienvenue dans Fait Main, le podcast qui part à la rencontre des entrepreneurs créatifs !Je m'appelle Mélanie Seynat, j'adore les arts créatifs et je suis heureuse de partager avec vous mes conversations avec des créatrices et des créateurs que vous suivez peut-être comme moi sur Instagram. Qu'ils créent avec du papier, du tissu ou de la laine, avec des crayons, des aiguilles, des pinceaux ou d'autres outils, découvrir leur parcours et les coulisses de leur entreprise créative est un régal d'inspiration
Céline Guillaume est une chrétienne ardente, et une femme complète : épouse, mère de 5 enfants, mère au foyer, aujourd'hui engagée professionnellement dans des activités dans les médias et la culture, elle est la présidente des librairies La Procure. Céline Guillaume témoigne de son parcours, d'une enfance et d'une éducation privilégiées, d'une jeunesse qu'elle a vécu un temps dans l'éloignement et la souffrance, avant une véritable reconversion, vécue grâce à la rencontre étonnante d'un vieil aumônier militaire. Au micro de Zeteo, Céline Guillaume raconte la grande rencontre de sa vie, celle avec Christophe, quand leurs chemins se sont croisés un mois à peine après cet évènement spirituel personnel. Elle s'appuie sur le pilier essentiel de sa vie, son couple, en considérant son époux comme « le gardien de son âme ». Ainsi, Céline Guillaume offre du mariage, de la famille, comme du rôle de la femme dans la société et dans l'Église, une vision profondément chrétienne, tout en étant pleinement ancrée dans la réalité. Personnellement très liée avec la communauté des Dominicains, dont elle a rejoint le Tiers Ordre, Céline Guillaume témoigne de l'importance de la pratique quotidienne de la prière, malgré les aléas d'une vie très active. Elle évoque la vie de fraternité, avec des exemples forts, notamment à l'occasion du pèlerinage annuel de la communauté à Lourdes. Au cours de cet épisode, Céline Guillaume révèle un secret qu'elle a longtemps gardé caché, une blessure personnelle si forte qu'elle l'avait même enfouie au fond d'elle-même. À tel point qu'elle l'avait oubliée, même si cette blessure a eu des conséquences sur toute sa vie. Aujourd'hui, après avoir longtemps hésité s'il fallait rendre publique l'histoire de cette blessure, elle est heureuse d'en témoigner : Parce que cela la libère à chaque fois davantage, et lui permet en même temps de susciter les témoignages de celles qui ont vécu les mêmes souffrances. Tout cela, Céline Guillaume l'a également écrit dans un livre : Dieu est passé par là, qui vient d'être publié. Pour écouter ce 140ème épisode, vous pouvez aussi vous rendre sur le site de Zeteo en cliquant ici. Pour lire Dieu est passé par là, le livre de Céline Guillaume, cliquer ici. -------------- Prions pour l'Ukraine !Pour toutes les victimes, pour les morts, les blessés, les familles éprouvées, les populations terrorisées, les réfugiés, ceux qui les aident. Pour que ce conflit épouvantable s'achève au plus vite. Pour que la grâce de Dieu agisse sur ceux qui ont le pouvoir de la guerre et de la paix. -------------- TELIO : Le podcast pour raconter la vie des saints aux enfantsC'est avec une grande joie que nous vous annonçons le lancement cette semaine de notre nouveau podcast : Telio*, le podcast qui raconte la vie des saints aux enfants. Pourquoi Telio ? Parce que les enfants sont de plus en plus nombreux à écouter des podcasts, la plupart du temps à l'initiative de leurs parents. Particulièrement depuis le premier confinement, la production et l'écoute de podcasts pour enfants connaît un essor considérable. Telio, c'est la possibilité donnée aux enfants de découvrir des modèles inspirants et édifiants : Les héros de Dieu, ceux qui nous montrent le chemin et qui éclairent nos choix. Combien sommes-nous à avoir découvert ces guides dès notre enfance, qui accompagnent nos vies au quotidien ? Telio est disponible sur le même modèle que Zeteo et Bethesda : diffusés gratuitement, les épisodes de Telio sont diffusés via les applications de podcasts, via Youtube et via le site de Telio. Adapté aux enfants, Telio sera également disponible sur les boites à histoires, cette nouvelle génération de diffuseurs de contenus audio numériques qui, pour les plus jeunes, sont d'un usage beaucoup plus simple que la radio ou l'ordinateur. Nous mettons dès maintenant à votre disposition un service d'abonnement gratuit à la newsletter de Telio qui informera la diffusion de chaque nouvel épisode. Il suffit de cliquer ici pour s'abonner. Le premier épisode de Telio est consacré à Anne de Guigné. Pour l'écouter, il suffit de cliquer ici. Longue vie à Telio ! * : Issu de l'indo-européen Tle, qui signifie porter, Telio traduit du grec ancien signifie accomplissement et élévation. -------------- Bethesda, "Veux-tu être guéri ?"Bethesda, le podcast de la guérison et de la conversion. Chaque semaine, le témoignage d'une personne qui a vécu l'extraordinaire de la guérison et de la conversion dans la rencontre avec le Christ. Pour découvrir Bethesda, cliquer ici. Depuis quelques jours, le témoignage de Myriam, qui témoigne de son parcours chaotique, celui qui va la mener plusieurs fois, dès sa jeunesse, à plusieurs hospitalisations psychiatriques. Elle raconte son enfance un peu décalée, les difficultés rencontrées dans sa vie de jeune femme, dans ses choix de vie, ses études et ses détresses sentimentales. Myriam décrit sa vie d'écorchée vive, qui flirte longtemps avec le désespoir, la hantise de la maladie psychique, l'absence de sens, les conflits et la solitude. Et, au creux de ses épreuves, la rédemption dans la foi, la rencontre avec Michel, puis la naissance de son bébé et, aujourd'hui, des projets et des rêves pleins le cœur. La maladie psychique a été écartée, la maladie de Lyme contractée plus tard est aujourd'hui en voie de guérison. Dans sa vie, peu de personnes ont cru en Myriam, à commencer par elle-même, qui a longtemps vécu dans un doute immense. Jusqu'à sa rencontre avec le Seigneur, grâce à qui elle a pu s'accueillir et s'aimer, avant de pouvoir ainsi aller vers les autres. C'est dans la profondeur et la lumière de sa foi qu'elle apporte ici un témoignage exemplaire de force et d'espérance. Pour écouter le témoignage de Myriam, il suffit de cliquer ici. -------------- Faire un don à ZETEOSi vous appréciez nos podcasts, diffusés gratuitement, et que vous pouvez nous aider, nous vous invitons à faire un don à ZETEO en cliquant ici. Ceux qui préfèrent payer par chèque le peuvent en l'adressant à l'Association Zeteo, 116 boulevard Suchet – 75016 Paris. Virement : nous contacter. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Apprivoiser la méditation en silence Bonjour à vous et bon lundi ! Aujourd'hui, nous allons explorer la méditation en silence. Je vous guiderai dans le processus, bien sûr :) Méditer en silence peut susciter en nous des émotions diverses, c'est pourquoi nous naviguerons en douceur, afin de voir ce qu'il se passe pour vous. Personnellement, c'est la façon de méditer que je préfère maintenant, mais ça n'a pas toujours été le cas ;) Bonne écoute ! [Mon courriel si vous souhaitez me partager votre expérience :valentine.ressaire@gmail.com / Réseaux sociaux : @yogaavecvalentine La meilleure façon de soutenir les méditations Yoga avec Valentine est de laisser un 5 étoiles sur Apple Podcast, Spotify, ou de partager vos méditations favorites sur vos réseaux sociaux et à vos proches ! Vous faites une immense différence. Merci de tout coeur.] Les méditations sont aussi téléchargeables gratuitement pour être écoutées hors-ligne ici :https://yogaavecvalentine.lepodcast.fr/ www.yogaavecvalentine.com Musique de l'introduction : GeriArt depuis Pixabay
Bonjour et bienvenue sur Whilwind Le Podcast, le podcast qui vous parle du tourbillon d'émotions qu'est l'expatriation. Dans ce podcast nous avons choisi d'interviewer à la fois l'expatrié mais aussi en parallèle un ami, une maman, un papa, un frère, une sœur… pour connaître à la fois le ressenti de la personne qui a décidé de partir ainsi que celui de celle qui est restée. Tout cela en ITW croisées. Aujourd'hui vous allez partir à la rencontre de Justine et Nastasia. Justine et Nastasia viennent de la banlieue est de Paris. Elle vivait dans le même immeuble et malgré seulement 4 ans d'écart et alors qu'elles se croisaient souvent elle ne sont ni devenues copines, ni même vraiment eu l'occasion de se parler. Les années sont passées et une amitié de plus en plus forte est née. Après avoir été diplômée et avoir fait 3 années en France en tant que professeur des écoles, Justine reçoit la réponse tant attendue : Sa demande de disponibilité pour partir enseigner a l'étranger a été acceptée ! Justine va donc s'envoler pour une nouvelle aventure avec son conjoint : Au Koweït! Savez-vous où se situe le Koweït ? Personnellement j'ai été obligée de regarder sur une carte pour savoir. Que vous le sachiez ou que vous ayez eu besoin de faire comme moi, je pense que vous avez réalisé que cela se situe dans une zone que l'on pourrait nommer “de tension”. Comment se passe la vie là- bas, qu'est ce que Nastasia a pensé et pense aujourd'hui de l'expatriation de sa super amie dans ce pays, entre préjugés et réalité je vous laisse en compagnie de Justine et Nastasia pour en savoir plus ! Belle découverte et bonne écoute !
Personnellement, la sophrologie, je savais vaguement ce que c'était... mais sans plus. Grace à cet entretien, nons seulement j'en sais plus, mais j'ai découvert une discipline inventée par Justine Colson, mon invitée, le Sophro-Tasting : la sophroligie appliquée àn la dégustation de vin.L'entretien est passionant et j'espère que vous passerez un aussi bon moment à l'écouter que j'ai eu à le faire !!!Bonne écoute !Vous pouvez retrouver Justine ici : https://www.justine-colson.com/Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le sujet : 300 millions. C'est le nombre de personnes dans le monde qui, en 2022, détiennent des crypto-monnaies. Ce chiffre ne cesse d'augmenter année après année. Elles sont attirées par le potentiel, la philosophie, la décentralisation, l'envie de se passer des grandes institutions, l'ambition d'en faire une monnaie “comme les autres”… oui, mais en attendant, en plus d'investir dans des cryptomonnaies, il est question aujourd'hui de recevoir son salaire en crypto et de déclarer ses impôts en conséquence. Mais comment envisager de réconcilier la fiscalité avec la décentralisation impliquée par la blockchain ? L'invité du jour : Personnellement passionné par l'univers des crypto, en 2019, Pierre Morizot cofonde Waltio, un assistant pour la fiscalité de vos cryptomonnaies. L'objectif ? Aider tous les détenteurs et les détentrices à calculer leurs plus-values et à les déclarer aux impôts. Concrètement, vous connectez vos différents comptes sur la plateforme qui effectue pour vous les différents calculs que vous n'avez plus qu'à recopier sur votre déclaration d'impôts. Au micro de Matthieu Stefani, cofondateur de CosaVostra, Pierre Morizot explique tout ce qu'il faut savoir pour bien déclarer ses cryptomonnaies : # A savoir qu'en France, vous avez l'obligation de déclarer tous vos comptes étrangers et toutes vos plus-values. # Pour les particuliers, les transactions on-chain entre différentes crypto-monnaies ne sont pas génératrices d'impôts. Cela ne vaut pas pour les entreprises. # Par contre, dès que vous transformez vos cryptos en euros, dollars ou achat d'un bien, vous devez payer des impôts. # Calculez vos plus-values régulièrement pour ne pas avoir de mauvaises surprises. # Les profils qui aujourd'hui gagnent le plus d'argent grâce aux cryptomonnaies sont ceux qui : ne vendent pas leurs cryptos dans la précipitation. les investissent. les prêtent en échange d'un revenu. # En tant qu'entreprise, il peut être intéressant de placer une partie (minime) de sa trésorerie en crypto-monnaies. Et pour profiter d'une remise de 10% sur Waltio, essayez le code DOIT ! Bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ici si vous préférez Google Podcast ou encore ici si vous préférez Spotify. Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici. La Martingale est un podcast du label Orso Media. Merci à Bricks d'avoir rendu possible cette neuvième saison de La Martingale. N'hésitez pas à prendre quelques minutes pour vous rendre sur le site bricks.co et entrez le code MARTINGALE lors de votre inscription. Pour tout investissement réalisé dans les 3 mois, Bricks vous reversera 1%. Cette inscription ne vous engage à rien et vous permet d'accéder à toutes les offres en cours et à venir.
Albert Moukeihber est neuroscientifique et psychologue libanais, je l'ai déjà reçu sur ce podcast pour parler de la culpabilisation écologique. Et aujourd'hui nous parlons de nos peurs mais surtout notre incapacité très souvent à bien évaluer le risque. Est-ce que vous vous êtes déjà demandé comment votre cerveau fonctionnait et processait l'information pour nous indiquer ce qui est risqué ou ce qui ne l'est pas? Pourquoi les jeunes prennent plus de risques que les personnes plus âgées? En d'autres mots nous avons peur des "mauvaises choses". Notre cerveau ne mesure pas les choses de manière objective mais plutôt comparative mais de nombreux filtres viennent s'intégrer dans notre calcul du risque. Albert nous explique comment la neuroscience a réussi à prouver l'évolution de notre cerveau et notre aversion au risque mais aussi notre incapacité à traiter de la statistique, la mise à distance de l'information . Cela peut s'appliquer pour nos peurs du quotidien mais également sur le Covid et le vaccin ou encore sur la pollution, bref sur un peu près tous les sujets il est important de réaliser que notre cerveau nous joue des tours et que nous avons de nombreux biais qui viennent perturber notre jugement. Cela me fait naturellement pensé à l'épisode 87 avec le thérapeute Angelo Foley qui tient le compte "balance ta peur". Personnellement j'adore les épisodes qui permettent de mieux comprendre comment notre cerveau et notre psychologie fonctionne, d'ailleurs, j'ai eu l'idée de cet épisode en écoutant cet épisode du podcast Hidden Brain que je recommande souvent si vous parlez anglais Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #87 Balancer ses peurs pour s'en libérer avec Angelo Foley (https://audmns.com/aVhrMPV) Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/UfFwjKX) Vlan #51 (VF) Hacker votre cerveau pour être heureux avec Mo Gawdat (https://cutt.ly/AfFwzRl) #176 Votre confiance en soi ne vous appartient pas avec Emma Monsaingeon (https://audmns.com/UyGowwQ) #151 Comment trouver du bonheur au coeur d'une pandémie? avec Alexandre Jost (https://audmns.com/nDMeLRs) Vlan #124 Faire son bilan pour éviter la contagion émotionnelle avec Christophe Haag (https://audmns.com/eABZiMm)