POPULARITY
Voici l'Évangile du mardi 25 mars 2025 : « Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils » (Lc 1, 26-38) En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Un matin, je méditais au calme, seule avec Dieu, et j'ai dit au Seigneur: "Dieu, comment peux-tu supporter de voir toute cette souffrance dans le monde - les enfants affamés, le trafic humain, les génocides, l'injustice, la pollution, la pauvreté - sans rien faire ?" Je n'ai pas posé cette question pour me lamenter ou remettre en question son intégrité. Je ne sais même pas si je m'attendais vraiment à une réponse, mais je lui ai simplement posé la question. Il m'a immédiatement répondu: "J'agis au travers des hommes. J'attends que mon peuple se lève et agisse." Vous et moi faisons partie d'une armée, le corps de Christ, dans laquelle tout le monde doit faire sa part pour changer ce monde. Dieu veut agir au travers de nous et il nous appelle à nous revêtir d'amour et à nous mettre au travail. Dans 2 Corinthiens 8, Paul parle de la manière dont les chrétiens de Macédoine ont donné leur argent en disant: "Quoique très éprouvés par des tribulations, leur joie débordante et leur pauvreté profonde ont produit avec abondance de riches libéralités : selon leurs possibilités, je l'atteste, et même au-delà de leurs possibilités, de leur plein gré, ils nous ont demandé avec beaucoup d'insistance la grâce de participer à ce service en faveur des saints. C'est plus que nous n'avions espéré : ils se sont d'abord donnés eux-mêmes au Seigneur et à nous, par la volonté de Dieu. Ce qui m'impressionne, c'est qu'ils n'ont pas seulement donné leur argent - ils se sont donnés eux-mêmes. Dieu nous appelle à faire comme eux. Une personne qui travaille pour le Seigneur a la capacité de faire une différence ! Comment allez-vous donc vous donner au Seigneur et être à son service aujourd'hui ?
Voici l'Évangile du vendredi 20 décembre 2024 : « Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils » (Lc 1, 26-38) Au sixième mois d'Élisabeth, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici la lecture du mardi 10 décembre 2024 : « Dieu console son peuple » (Is 40, 1-11) Consolez, consolez mon peuple, – dit votre Dieu – parlez au cœur de Jérusalem. Proclamez que son service est accompli, que son crime est expié, qu'elle a reçu de la main du Seigneur le double pour toutes ses fautes. Une voix proclame : « Dans le désert, préparez le chemin du Seigneur ; tracez droit, dans les terres arides, une route pour notre Dieu. Que tout ravin soit comblé, toute montagne et toute colline abaissées ! que les escarpements se changent en plaine, et les sommets, en large vallée ! Alors se révélera la gloire du Seigneur, et tout être de chair verra que la bouche du Seigneur a parlé. » Une voix dit : « Proclame ! » Et je dis : « Que vais-je proclamer ? » Toute chair est comme l'herbe, toute sa grâce, comme la fleur des champs : l'herbe se dessèche et la fleur se fane quand passe sur elle le souffle du Seigneur. Oui, le peuple est comme l'herbe : l'herbe se dessèche et la fleur se fane, mais la parole de notre Dieu demeure pour toujours. Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! » Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage. Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent. – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici la première lecture du lundi 9 décembre 2024 : « Je mettrai une hostilité entre ta descendance et la descendance de la femme » (Gn 3, 9-15.20) Quand Adam eut mangé du fruit de l'arbre, le Seigneur Dieu l'appela et lui dit : « Où es-tu donc ? » L'homme répondit : « J'ai entendu ta voix dans le jardin, j'ai pris peur parce que je suis nu, et je me suis caché. » Le Seigneur reprit : « Qui donc t'a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l'arbre dont je t'avais interdit de manger ? » L'homme répondit : « La femme que tu m'as donnée, c'est elle qui m'a donné du fruit de l'arbre, et j'en ai mangé. » Le Seigneur Dieu dit à la femme : « Qu'as-tu fait là ? » La femme répondit : « Le serpent m'a trompée, et j'ai mangé. » Alors le Seigneur Dieu dit au serpent : « Parce que tu as fait cela, tu seras maudit parmi tous les animaux et toutes les bêtes des champs. Tu ramperas sur le ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci te meurtrira la tête, et toi, tu lui meurtriras le talon. » L'homme appela sa femme Ève (c'est-à-dire : la vivante), parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici l'Évangile du lundi 9 décembre 2024 : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi » (Lc 1, 26-38) En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici la lecture du mercredi 27 novembre 2024 : « Ils chantent le cantique de Moïse et le cantique de l'Agneau » (Ap 15, 1-4) Moi, Jean, j'ai vu dans le ciel un autre signe, grand et merveilleux : sept anges qui détiennent sept fléaux ; ce sont les derniers, puisque s'achève avec eux la fureur de Dieu. J'ai vu comme une mer de cristal, mêlée de feu, et ceux qui sont victorieux de la Bête, de son image, et du chiffre qui correspond à son nom : ils se tiennent debout sur cette mer de cristal, ils ont en main les cithares de Dieu. Ils chantent le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l'Agneau. Ils disent : « Grandes, merveilleuses, tes œuvres, Seigneur Dieu, Souverain de l'univers ! Ils sont justes, ils sont vrais, tes chemins, Roi des nations. Qui ne te craindrait, Seigneur ? À ton nom, qui ne rendrait gloire ? Oui, toi seul es saint ! Oui, toutes les nations viendront et se prosterneront devant toi ; oui, ils sont manifestés, tes jugements. » – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici la deuxième lecture du dimanche 24 novembre 2024 : « Le prince des rois de la terre a fait de nous un royaume et des prêtres pour son Dieu » (Ap 1, 5-8) À vous, la grâce et la paix, de la part de Jésus Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, le prince des rois de la terre. À lui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, qui a fait de nous un royaume et des prêtres pour son Dieu et Père, à lui, la gloire et la souveraineté pour les siècles des siècles. Amen. Voici qu'il vient avec les nuées, tout œil le verra, ils le verront, ceux qui l'ont transpercé ; et sur lui se lamenteront toutes les tribus de la terre. Oui ! Amen ! Moi, je suis l'Alpha et l'Oméga, dit le Seigneur Dieu, Celui qui est, qui était et qui vient, le Souverain de l'univers. – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Voici la lecture du mercredi 20 novembre 2024 : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur Dieu, le Souverain de l'univers, Celui qui était, qui est et qui vient » (Ap 4, 1-11) Moi, Jean, après cela, j'ai vu : et voici qu'il y avait une porte ouverte dans le ciel. Et la voix que j'avais entendue, pareille au son d'une trompette, me parlait en disant : « Monte jusqu'ici, et je te ferai voir ce qui doit ensuite advenir. » Aussitôt je fus saisi en esprit. Voici qu'un trône était là dans le ciel, et sur le Trône siégeait quelqu'un. Celui qui siège a l'aspect d'une pierre de jaspe ou de cornaline ; il y a, tout autour du Trône, un halo de lumière, avec des reflets d'émeraude. Tout autour de ce Trône, vingt-quatre trônes, où siègent vingt-quatre Anciens portant des vêtements blancs et, sur leurs têtes, des couronnes d'or. Et du Trône sortent des éclairs, des fracas, des coups de tonnerre, et sept torches enflammées brûlent devant le Trône : ce sont les sept esprits de Dieu. Devant le Trône, il y a comme une mer, aussi transparente que du cristal. Au milieu, autour du Trône, quatre Vivants, ayant des yeux innombrables en avant et en arrière. Le premier Vivant ressemble à un lion, le deuxième Vivant ressemble à un jeune taureau, le troisième Vivant a comme un visage d'homme, le quatrième Vivant ressemble à un aigle en plein vol. Les quatre Vivants ont chacun six ailes, avec des yeux innombrables tout autour et au-dedans. Jour et nuit, ils ne cessent de dire : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur Dieu, le Souverain de l'univers, Celui qui était, qui est et qui vient. » Lorsque les Vivants rendent gloire, honneur et action de grâce à celui qui siège sur le Trône, lui qui vit pour les siècles des siècles, les vingt-quatre Anciens se jettent devant celui qui siège sur le Trône, ils se prosternent face à celui qui vit pour les siècles des siècles ; ils lancent leur couronne devant le Trône en disant : « Tu es digne, Seigneur notre Dieu, de recevoir la gloire, l'honneur et la puissance. C'est toi qui créas l'univers ; tu as voulu qu'il soit : il fut créé. » – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
« Celui qui n'est pas contre nous est pour nous » (Mc 9, 38-40)Méditation par le Père Jean-Marie PetitclercChant Final :"Donne nous Seigneur Dieu" par le groupe prière abba
Première lecture : Du livre de la Genèse : Quand Adam eut mangé du fruit de l'arbre, le Seigneur Dieu l'appela et lui dit : « Où es-tu donc ? » L'homme répondit : « J'ai entendu ta voix dans le jardin, j'ai pris peur parce que je suis nu, et je me suis caché. » Le Seigneur reprit : « Qui donc t'a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l'arbre dont je t'avais interdit de manger ? » L'homme répondit : « La femme que tu m'as donnée, c'est elle qui m'a donné du fruit de l'arbre, et j'en ai mangé. » Le Seigneur Dieu dit à la femme : « Qu'as-tu fait là ? » La femme répondit : « Le serpent m'a trompée, et j'ai mangé. » Alors le Seigneur Dieu dit au serpent : « Parce que tu as fait cela, tu seras maudit parmi tous les animaux et toutes les bêtes des champs. Tu ramperas sur le ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci te meurtrira la tête, et toi, tu lui meurtriras le talon. » L'homme appela sa femme Ève (c'est-à-dire : la vivante), parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. Évangile de Jésus Christ selon saint Jean En ce temps-là, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé, pour que l'Écriture s'accomplisse jusqu'au bout, Jésus dit : « J'ai soif. » Il y avait là un récipient plein d'une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d'hysope, et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l'esprit. Comme c'était le jour de la Préparation (c'est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d'autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu'on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l'autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu'il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l'eau. Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) L'Amour Vaincra ! Et l'aventure continue ! Abonnez-vous : sur
Commentaire du jour Fête de l'Annonciation : « Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils » Évangile de Jésus Christ selon saint Luc • 1, 26-38 En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) L'Amour Vaincra ! Et l'aventure continue ! Abonnez-vous : sur
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du lundi 8 avril 2024. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu.
Salam Aleykoum, Aujourd'hui nouvel épisode où je te partage trois duas pour le Paradis. A l'approche du ramadan je me devais de te les partager (le temps de les apprendre par cœur et de les réciter dans tes prières) ;) Dua 1 : * اللَّهُمَّ إِنِّي أَعُوْذُ بِكَ مِنْ عَذَابِ الْقَبْرِ، وَمِنْ عَذَابِ جَهَنَّمَ، وَمِنْ فِتْنَةِ الْمَحْيَا وَالْمَمَاتِ، وَمِنْ شَرِّ فِتْنَةِ الْمَسِيحِ الدَّجَّالِ * Ô Allah, je cherche protection auprès de Toi contre les tourments de la tombe, contre le supplice de l'Enfer, contre la tentation de la vie et de la mort et contre le mal de la tentation de l'Antéchrist. * Allâhoumma innî a'oûdhou bika min 'adhâbi-l-qabri, wa min 'adhâbi jahannama, wa min fitnati-l-mahyâ wa-l-mamâti, wa min sharri fitnati-l-masîhi d-dajjâl. Dua 2 : * اللّهُـمَّ إِنِّـي أَسْأَلُـكَ الجَـنَّةَ وأََعوذُ بِـكَ مِـنَ الـنّار * Ô Seigneur ! Je te demande le Paradis et je me mets sous Ta protection contre l'Enfer. * Allâhumma innî as'aluka-l-jannata wa a'ûdhu bika mina n-nar Dua 3 : اللَّهُمَّ إِنِّي أَسْأَلُكَ الْجَنَّةَ وَمَا قَرَّبَ إِلَيْهَا مِنْ قَوْلٍ أَوْ عَمَلٍ وَأَعُوذُ بِكَ مِنَ النَّارِ وَمَا قَرَّبَ إِلَيْهَا مِنْ قَوْلٍ أَوْ عَمَل وَأَسْأَلُكَ أَنْ تَجْعَلَ كُلَّ قَضَاءٍ قَضَيْتَهُ لِي خَيْرًا * Seigneur Dieu ! Je Te demande le Paradis et tout ce qui peut m'en rapprocher comme paroles ou actes. Et je me réfugie auprès de Toi contre l'Enfer et tout ce qui peut m'en rapprocher comme paroles et actes. Et je Te demande de faire que la fin de chaque décret que Tu m'as destiné soit bonne. * Allahumma inni as'alukal-jannatah wa ma qarraba ilayha min qawlin aw ‘amali, Wa a'udhu bika minan-nari wa ma qarraba ilayha min qawlin aw ‘amalin, Wa as'aluka an taj'al kulla qada'in qadaytahu li khayran A très vite, Safia.
Un matin, je méditais au calme, seule avec Dieu, et j'ai dit au Seigneur: "Dieu, comment peux-tu supporter de voir toute cette souffrance dans le monde - les enfants affamés, le trafic humain, les génocides, l'injustice, la pollution, la pauvreté - sans rien faire ?" Je n'ai pas posé cette question pour me lamenter ou remettre en question son intégrité. Je ne sais même pas si je m'attendais vraiment à une réponse, mais je lui ai simplement posé la question. Il m'a immédiatement répondu: "J'agis au travers des hommes. J'attends que mon peuple se lève et agisse." Vous et moi faisons partie d'une armée, le corps de Christ, dans laquelle tout le monde doit faire sa part pour changer ce monde. Dieu veut agir au travers de nous et il nous appelle à nous revêtir d'amour et à nous mettre au travail. Dans 2 Corinthiens 8, Paul parle de la manière dont les chrétiens de Macédoine ont donné leur argent en disant: "Quoique très éprouvés par des tribulations, leur joie débordante et leur pauvreté profonde ont produit avec abondance de riches libéralités : selon leurs possibilités, je l'atteste, et même au-delà de leurs possibilités, de leur plein gré, ils nous ont demandé avec beaucoup d'insistance la grâce de participer à ce service en faveur des saints. C'est plus que nous n'avions espéré : ils se sont d'abord donnés eux-mêmes au Seigneur et à nous, par la volonté de Dieu. Ce qui m'impressionne, c'est qu'ils n'ont pas seulement donné leur argent - ils se sont donnés eux-mêmes. Dieu nous appelle à faire comme eux. Une personne qui travaille pour le Seigneur a la capacité de faire une différence ! Comment allez-vous donc vous donner au Seigneur et être à son service aujourd'hui ?
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du dimanche 24 décembre 2023. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Abonnez-vous à ce podcast !
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du mercredi 20 décembre 2023. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Au sixième mois d'Élisabeth, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » – Acclamons la Parole de Dieu. Abonnez-vous à ce podcast !
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du vendredi 8 décembre 2023. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu.
Seigneur Dieu sauve ton peuple du pouvoir du diable, au nom de Jesus Christ Amen --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/God-is-able-ministries/support
Chants (n° de page dans l'application EmmaSongs) 508 Esprit de sainteté (canon) 71 Criez de joie, Christ est ressuscité 99 Par toute la terre 101 Nous annonçons le roi 513 Viens descend des cieux Isaïe 61 01 L'esprit du Seigneur Dieu est sur moi parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction. Il m'a envoyé annoncer la bonne nouvelle aux humbles, guérir ceux qui ont le cœur brisé, proclamer aux captifs leur délivrance, aux prisonniers leur libération, 1 Chronique 5 02 car Juda prévalut sur ses frères, et de lui fut engendré un prince ; mais le droit d'aînesse appartient à Joseph. Daniel 10 07 Moi seul, Daniel, je vis cette apparition. Les hommes qui étaient avec moi ne voyaient pas l'apparition, mais une grande terreur s'abattit sur eux, et ils s'enfuirent pour se cacher. 08 Je demeurai donc seul et regardai cette apparition impressionnante. J'étais sans force aucune, mes traits bouleversés se décomposèrent, ma force m'abandonna. 09 J'entendis le bruit de ses paroles, et lorsque je l'entendis, je fus pris de torpeur et tombai face contre terre. 10 Alors une main me toucha et me redressa sur les genoux et les paumes de mes mains. 11 Il me dit : « Daniel, homme aimé de Dieu, comprends les paroles que je vais te dire, mets-toi debout. Oui, maintenant j'ai été envoyé vers toi. » Tandis qu'il me parlait, je me mis debout en tremblant. 12 Il me dit : « N'aie pas peur, Daniel. Dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues : c'est à cause de tes paroles que je suis venu. EmmaSongs : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.editionsemmanuel.emmasongs&gl=US&pli=1 https://apps.apple.com/fr/app/emmasongs/id1591948377 Chants.ilestvivant.com Trouvez-nous maintenant sur l'application Découvrir Dieu et/ou par courriel : prieraujourdhui.com Groupe de musique Bande de Prêtres : https://open.spotify.com/artist/31pQQlE8PzlKS30t3UgJYk De Prêtres https://www.youtube.com/channel/UCH2rp6rU74l7K46nnpQKKgQ
Chants (n° de page dans l'application EmmaSongs) 94 Nous chantons ta gloire 54 À toi, puissance et gloire 87 Il est temps de quitter vos tombeaux 514 Ensemble au cénacle (Auprès de Marie) Psaume 46, 02 Tous les peuples, battez des mains, acclamez Dieu par vos cris de joie ! 03 Car le Seigneur est le Très-Haut, le redoutable, le grand roi sur toute la terre, … 06 Dieu s'élève parmi les ovations, le Seigneur, aux éclats du cor. 07 Sonnez pour notre Dieu, sonnez, sonnez pour notre roi, sonnez ! Ézéchiel 37, 02 Il me fit circuler parmi eux ; le sol de la vallée en était couvert, et ils étaient tout à fait desséchés. 03 Alors le Seigneur me dit : « Fils d'homme, ces ossements peuvent-ils revivre ? » Je lui répondis : « Seigneur Dieu, c'est toi qui le sais ! » 04 Il me dit alors : « Prophétise sur ces ossements. Tu leur diras : Ossements desséchés, écoutez la parole du Seigneur : 05 Ainsi parle le Seigneur Dieu à ces ossements : Je vais faire entrer en vous l'esprit, et vous vivrez. 06 Je vais mettre sur vous des nerfs, vous couvrir de chair, et vous revêtir de peau ; je vous donnerai l'esprit, et vous vivrez. Alors vous saurez que Je suis le Seigneur. » …12 C'est pourquoi, prophétise. Tu leur diras : Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d'Israël. 13 Vous saurez que Je suis le Seigneur, quand j'ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai remonter, ô mon peuple ! Romains 1, 16 En effet, je n'ai pas honte de l'Évangile, car il est puissance de Dieu pour le salut de quiconque est devenu croyant, le Juif d'abord, et le païen.
Extrait: " 1Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean,2lequel a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus-Christ, tout ce qu'il a vu.3Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites! Car le temps est proche. 4Jean aux sept Eglises qui sont en Asie: que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône,5et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang,6et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen!7Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen! 8Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. 9Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j'étais dans l'île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.10Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j'entendis derrière moi une voix forte, comme le son d'une trompette,11qui disait: Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Eglises, à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée. 12Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m'être retourné, je vis sept chandeliers d'or,13et, au milieu des sept chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine.14Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; ses yeux étaient comme une flamme de feu;15ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux.16Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. 17Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! Je suis le premier et le dernier,18et le vivant. J'étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts.19Ecris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles,20le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d'or. Les sept étoiles sont les anges des sept Eglises, et les sept chandeliers sont les sept Eglises. Version Louis Segond 1910 "
Évangile selon Luc (extrait): ...Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, 2suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole, 3il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile, 4afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus. 5Du temps d'Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé Zacharie, de la classe d'Abia; sa femme était d'entre les filles d'Aaron, et s'appelait Elisabeth. 6Tous deux étaient justes devant Dieu, observant d'une manière irréprochable tous les commandements et toutes les ordonnances du Seigneur. 7Ils n'avaient point d'enfants, parce qu'Elisabeth était stérile; et ils étaient l'un et l'autre avancés en âge. 8Or, pendant qu'il s'acquittait de ses fonctions devant Dieu, selon le tour de sa classe, 9il fut appelé par le sort, d'après la règle du sacerdoce, à entrer dans le temple du Seigneur pour offrir le parfum. 10Toute la multitude du peuple était dehors en prière, à l'heure du parfum. 11Alors un ange du Seigneur apparut à Zacharie, et se tint debout à droite de l'autel des parfums. 12Zacharie fut troublé en le voyant, et la frayeur s'empara de lui. 13Mais l'ange lui dit: Ne crains point, Zacharie; car ta prière a été exaucée. Ta femme Elisabeth t'enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jean. 14Il sera pour toi un sujet de joie et d'allégresse, et plusieurs se réjouiront de sa naissance. 15Car il sera grand devant le Seigneur. Il ne boira ni vin, ni liqueur enivrante, et il sera rempli de l'Esprit-Saint dès le sein de sa mère; 16il ramènera plusieurs des fils d'Israël au Seigneur, leur Dieu; 17il marchera devant Dieu avec l'esprit et la puissance d'Elie, pour ramener les coeurs des pères vers les enfants, et les rebelles à la sagesse des justes, afin de préparer au Seigneur un peuple bien disposé. 18Zacharie dit à l'ange: A quoi reconnaîtrai-je cela? Car je suis vieux, et ma femme est avancée en âge. 19L'ange lui répondit: Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu; j'ai été envoyé pour te parler, et pour t'annoncer cette bonne nouvelle. 20Et voici, tu seras muet, et tu ne pourras parler jusqu'au jour où ces choses arriveront, parce que tu n'as pas cru à mes paroles, qui s'accompliront en leur temps. 21Cependant, le peuple attendait Zacharie, s'étonnant de ce qu'il restait si longtemps dans le temple. 22Quand il sortit, il ne put leur parler, et ils comprirent qu'il avait eu une vision dans le temple; il leur faisait des signes, et il resta muet. 23Lorsque ses jours de service furent écoulés, il s'en alla chez lui. 24Quelque temps après, Elisabeth, sa femme, devint enceinte. Elle se cacha pendant cinq mois, disant: 25C'est la grâce que le Seigneur m'a faite, quand il a jeté les yeux sur moi pour ôter mon opprobre parmi les hommes. 26Au sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, 27auprès d'une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. Le nom de la vierge était Marie. 28L'ange entra chez elle, et dit: Je te salue, toi à qui une grâce a été faite; le Seigneur est avec toi. 29Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. 30L'ange lui dit: Ne crains point, Marie; car tu as trouvé grâce devant Dieu. 31Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. 32Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père...
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du samedi 25 mars 2023. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Abonnez-vous à ce podcast !
Bienvenue sur le podcast Lumière de la joie : pour écouter la louange du jour retrouvez l'audio juste en-dessous des références et des chants : Page et Nom du chant : 101 Nous annonçons le roi 102 Alléluia, magnificat 907 Loué sois-tu 516 Esprit Saint O viens Textes reçus : Isaïe 40 09 Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! » 10 Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage. 11 Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent. 12 Qui a jaugé les eaux des mers dans le creux de sa main, et, de ses doigts, mesuré les cieux, évalué en boisseaux la poussière de la terre, pesé les montagnes au crochet et les collines sur la balance ? Ezékiel 26 Je ferai d'elles une bénédiction aux alentours de ma colline. Je ferai tomber la pluie en sa saison, et ce seront des pluies de bénédiction. 27 L'arbre des champs donnera son fruit, et la terre donnera ses produits. Tous seront en sécurité sur leur sol ; et ils sauront que Je suis le Seigneur, quand je briserai les barres de leurs jougs et que je les délivrerai de la main de ceux qui les asservissaient. 31 Vous, mes brebis, les brebis de mon pâturage, vous êtes des humains ; moi, je suis votre Dieu – oracle du Seigneur Dieu. » Chants.ilestvivant.com Trouvez-nous maintenant sur l'application Découvrir Dieu et/ou par courriel : prieraujourdhui.com Groupe de musique Bande de Prêtres : https://open.spotify.com/artist/31pQQlE8PzlKS30t3UgJYk De Prêtres
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du mardi 20 décembre 2022. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Au sixième mois d'Élisabeth, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » – Acclamons la Parole de Dieu. Abonnez-vous à ce podcast !
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du jeudi 8 décembre 2022. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Abonnez-vous à ce podcast !
Daniel 9.Alors je me tournai vers le Seigneur Dieu pour le prier et lui adresser des supplications, en jeûnant et en portant un habit de toile de sac et en me couvrant de cendre.J'adressai ma requête à l'Eternel mon Dieu et je lui fis une confession en ces termes : - Ah ! Seigneur, Dieu grand et redoutable, toi qui demeures fidèle à ton alliance et qui conserves ton amour envers ceux qui t'aiment et qui obéissent à tes commandements, nous avons mal agi, nous nous sommes rendus coupables et nous nous sommes révoltés contre toi en nous détournant de tes commandements et de tes lois.Nous n'avons pas écouté tes serviteurs les prophètes, qui ont parlé en ton nom à nos rois, à nos chefs, à nos ancêtres et à tout le peuple du pays.Toi, Seigneur, tu es juste, et nous, nous rougissons de honte. C'est bien le cas aujourd'hui des Judéens, des habitants de Jérusalem et de tout Israël, de ceux qui sont près et de ceux qui sont loin, dispersés dans tous les pays où tu les as chassés à cause de leurs infidélités à ton égard.Seigneur, la honte couvre notre visage, celui de nos rois, de nos chefs et de nos ancêtres, parce que nous avons péché contre toi.Mais toi, Seigneur notre Dieu, tu as de la pitié et tu pardonnes, alors que nous nous sommes révoltés contre toi.Nous ne t'avons pas obéi, Eternel notre Dieu, nous n'avons pas vécu selon les lois que tu nous as données par tes serviteurs les prophètes.Tout le peuple d'Israël a transgressé ta Loi et s'est détourné pour ne pas entendre ta voix. Alors la malédiction et toutes les imprécations inscrites dans la Loi de Moïse, ton serviteur, se sont déversées sur nous, parce que nous avons péché contre Dieu.Tu as accompli les menaces que tu avais prononcées contre nous et contre les chefs qui nous gouvernaient : tu as fait fondre sur nous un malheur si grand que, dans ce monde, il n'y en a jamais eu de pareil à celui qui a frappé Jérusalem.Tout ce malheur nous a frappés conformément à ce qui était écrit dans la Loi de Moïse, et nous ne t'avons pas imploré, Eternel notre Dieu, nous ne nous sommes pas détournés de nos fautes et nous n'avons pas été attentifs à ta vérité.C'est pourquoi, Eternel notre Dieu, tu as veillé à ce que ce malheur fonde sur nous car tu es juste dans tout ce que tu fais, tandis que nous, nous ne t'avons pas obéi.Et maintenant, Seigneur notre Dieu, tu as fait sortir ton peuple d'Egypte par ton intervention puissante, et tu t'es fait un nom qui subsiste jusqu'à ce jour. Mais nous, nous avons péché, nous avons fait le mal.Seigneur, toi qui fais justice aux opprimés, veuille détourner ta colère et ton indignation de Jérusalem, ta ville, ta sainte montagne, car à cause de nos péchés et des fautes de nos ancêtres, Jérusalem et ton peuple sont en butte au mépris de tous ceux qui nous entourent.Maintenant, ô notre Dieu, écoute la prière et les supplications de ton serviteur et, par égard pour toi-même, considère avec faveur ton sanctuaire dévasté !O mon Dieu, prête l'oreille et écoute, ouvre tes yeux et considère nos ruines, regarde la ville qui t'appartient. Certes, ce n'est pas à cause de nos actions justes que nous te prions et t'adressons nos supplications, mais à cause de ton immense compassion !Seigneur, écoute-nous ! Seigneur, pardonne ! Seigneur, prête-nous attention et interviens sans tarder, par égard pour toi-même, ô mon Dieu ! Car il s'agit de la ville et du peuple qui t'appartiennent.Je continuais à parler dans ma prière, en confessant mes péchés et les péchés de mon peuple Israël, et en suppliant l'Eternel mon Dieu en faveur de sa sainte montagne.J'étais encore en train de prononcer ma prière, quand Gabriel, ce personnage mystérieux que j'avais vu dans une vision précédente, s'approcha de moi d'un vol rapide au moment de l'offrande du soir.Il s'entretint avec moi et me donna des explications en me disant : - Daniel, je suis venu maintenant pour t'éclairer.Dès que tu as commencé à prier, un message a été émis, et je suis venu pour te le communiquer, car tu es bien-aimé de Dieu.
Bienvenue sur le podcast Lumière de la joie : pour écouter la louange du jour retrouvez l'audio juste en-dessous des références et des chants : Page et Nom du chant : 40 Venez, chantons notre Dieu 53 Voici le Seigneur 96 Alléluia, jubilate 506 Viens dans nos cœurs, Esprit Saint Texte reçu : Isaïe 40, 09 Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda : « Voici votre Dieu ! » 10 Voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; son bras lui soumet tout. Voici le fruit de son travail avec lui, et devant lui, son ouvrage. 11 Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent. Chants.ilestvivant.com Trouvez-nous maintenant sur l'application Découvrir Dieu et/ou par courriel : prieraujourdhui.com Groupe de musique Bande de Prêtres : https://open.spotify.com/artist/31pQQlE8PzlKS30t3UgJYk De Prêtres
Écoutez et méditez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du vendredi 25 mars 2022. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Fête de l'Annonciation. Évangile (Lc 1, 26-38) : En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu. Méditation de Saint Maxime le Confesseur (Capita theologica, I, PG 90 Trad. Orval. 1182) : « Le Verbe, la parole de Dieu, est né une fois pour toutes selon la chair. Mais, à cause de son amour des hommes, il désire naître sans cesse selon l'esprit pour ceux qui le désirent : il se fait petit enfant et se forme en eux en même temps que les vertus ; il se manifeste dans la mesure où il sait que celui qui le reçoit en est capable. (…) Ainsi le Verbe de Dieu se révèle toujours à nous de la manière qui nous convient et cependant demeure invisible pour tous, à cause de l'immensité de son mystère. »
Écoutez et méditez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du lundi 21 mars 2022. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Évangile (Lc 4, 24-30) : Dans la synagogue de Nazareth, Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays. En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu'une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ; pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d'entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère. Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d'eux n'a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. » À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu'à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas. Mais lui, passant au milieu d'eux, allait son chemin. – Acclamons la Parole de Dieu. Méditation de Saint Hilaire de Poitiers (De Trinitate, PL 10, 25-35) : « Seigneur Dieu, donne-moi le vrai sens des mots, la lumière de l'intelligence et la Foi en la Vérité, afin que, ce que je crois je sache le dire aux hommes. Amen. »
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du lundi 20 décembre 2021. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Méditation de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (Traité de la vraie dévotion à la Très Sainte Vierge). Si vous le pouvez, soutenez-nous : ➡ tobie.fr/soutien ➡ tipeee.com/tobie ➡ patreon.com/tobiepodcasts Évangile (Lc 1, 26-38) Au sixième mois d'Élisabeth, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu.
Écoutez la Parole de Dieu ! Voici l'Évangile du mercredi 8 décembre 2021. Texte de l'Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones. Méditation du Pape Benoît XVI ("Caritas in Veritate", Ed. Blanche de Peuterey, 2009). Une production du studio Tobie. Si vous le pouvez, soutenez-nous : ➡ tobie.fr/soutien ➡ tipeee.com/tobie ➡ patreon.com/tobiepodcasts Évangile (Lc 1, 26-38) En ce temps-là, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. – Acclamons la Parole de Dieu.
Apocalypse 15, 03 Ils chantent le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l'Agneau. Ils disent : ( 3) « Grandes, merveilleuses, tes œuvres, Seigneur Dieu, Souverain de l'univers ! Ils sont justes, ils sont vrais, tes chemins, Roi des nations. 04 Qui ne te craindrait, Seigneur ? À ton nom, qui ne rendrait gloire ? Oui, toi seul es saint ! Oui, toutes les nations viendront et se prosterneront devant toi ; oui, ils sont manifestés, tes jugements. » chants.ilestvivant.com
Avec le Pasteur : Pierre Pechoux | L'Esprit du Seigneur Dieu est sur moi Esaie 61.1 - 2 #adventiste #adventist #prière #bible #foi #chrétien #ffs #chrétien Les pasteurs de la Fédération Adventiste France Sud vous proposent une méditation chaque jour de 2 minutes durant le temps de confinement. Notre vision Je vis des relations authentiques Je partage l'Évangile simplement Je m'investis pour une Église accueillante et engagée J'apprends et je transmets dans un service enthousiaste Confiant dans le retour du Christ, et animé par l'Esprit, pour, ensemble, former une ÉGLISE RAYONNANTE. Qui sommes nous ? Tout élan de témoignage de qualité ne peut naître que d'un travail collectif, d'un état d'esprit, d'une volonté d'établir et de maintenir entre les membres des rapports sain et fraternel. L'adjectif « heureux » qui qualifie et valorise l'être disciple fait écho aux béatitudes (l'humilité, la douceur, la miséricorde, l'amour de la justice… Matthieu 5.3-12 ) , aux promesses du prophète Daniel (heureux celui qui attend et qui marche Daniel 12.12) et de Jean dans son Apocalypse (heureux celui qui veille, ceux qui gardent la Parole, qui lavent leur robes, celui qui lit la prophétie… Apocalypse 1.3), aux encouragements des Psaumes (heureux celui qui se confie en toi, celui qui cherche en Dieu un refuge… Psaumes 43.9 ; 40 ). Le disciple est heureux quand son cœur se nourrit de la bienheureuse espérance décrite par Paul à Tite (2.13) qui nous recentre, malgré les obstacles, sur la plus belle promesse de la parole de Dieu : celle de son prochain retour. Tout projet d'église doit avoir comme objectif élevé la qualité des liens qui nous rassemblent. Dans le Psaume 34.5, le terme « rayonnant » décrit le croyant qui consacre son existence à fixer le regard sur son Seigneur. Le rayonnement est un phénomène naturel, et le témoignage devrait l'être également. Nos contemporains ont tendance à rejeter tout ce qui est artificiel, ils sont en recherche d'authenticité, de cohérence. Le témoignage d'une communauté ne peut se résumer à quelques événements ou à l'invitation de « spécialistes » de l'évangélisation. Ces projets n'ont de sens que s'ils prennent le relais d'une attitude persévérante de témoignage dans le quotidien : ce que je suis (ou ce que Christ fait dans mon cœur et ma vie), là où je suis (là où Il me place). Daniel Monachini, Président de la FFS Retrouvez nous sur YouTube | Facebook | Instagram | Twitter | Site Internet ________________________________________________________________ Inscrivez-vous sur notre liste de diffusion hebdomadaire WhatsApp : Envoyez votre prénom au 07 67 88 93 38 ________________________________________________________________
Évangile du Mardi 07 Octobre 2021 (tiré du Prions en Église et pour les personnes qui voudraient s'abonner au Prions numérique.) Images par: pixabayÉvangile (Luc 1, 26-38) Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. » Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d'homme ? » L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait la femme stérile. Car rien n'est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m'advienne selon ta parole. » Alors l'ange la quitta. Si cette vidéo vous a fait grandir spirituellement partagez-la merci. N'oubliez pas de vous abonnez à la chaîne de Podcast. https://www.instagram.com/abbepap/channel/ https://soundcloud.com/leverbefaitchair https://www.youtube.com/channel/UCuWxbzPPkNamIicapSWDGrA Soutenez-nous !
Nous sommes au 2eme jour de notre moment de prière pour entrer dans notre mois de Septembre avec beaucoup d'assurance. Jeudi 2 septembre 2021 Col 3 :1-4 « Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. 2Affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre. 3Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. 4Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire. » 1. Eternel, j'entre dans Tes parvis avec des louanges pour Te louer et glorifier Ton nom. Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient! Gloire, honneur et actions de grâces à Celui qui est assis sur le trône, à Celui qui vit aux siècles des siècles, au nom de Jésus-Christ ! 2. Père, par Ta grâce, répands Ton huile de sainteté dans mon cœur rends le plus soumis, plus humble et plus attaché à Ta loi par Ton Esprit 3. Par Ton Esprit de vérité, que mes paroles et mes actes reflètent toujours l'état de mon cœur sans hypocrisie 4. Je décide de vider mon cœur de tous les sentiments négatifs accumulés au fil des années à cause des coups de la vie et de la trahison des hommes (cite les noms des personnes dont tu te souviens et décide de leur pardonner comme Dieu t'a aussi pardonné) 5. Je renonce et je chasse hors de mon cœur les mauvaises pensées et les animosités, les rancœurs, et les sentiments d'antipathie qui souillent mon cœur au nom de Jésus-Christ. Que Dieu bénisse notre mois de septembre. Amen --- Send in a voice message: https://anchor.fm/armande-ansah/message
Un assaisonnement déterminant pour une nouvelle saison de foi: "les actes de foi qui crient » • Hébreux 12: 2 : la Bible nous présente la foi comme une nourriture dont se nourrit le Seigneur • Dieu a rendu Anne stérile intentionnellement parce qu'il avait faim de quelque chose : 1 Samuel 1 • Samuel est venu répondre au plan de Dieu : sacrificateur, prophète Prière : Saint-Esprit de Dieu donne nous une conviction de l'acte que nous devons poser avec foi et qui va crier vers toi et déclencher l'exaucement d'une saison nouvelle dans notre vie.
Nous lisons dans 1 Corinthiens verset 13 que l'amour ne manque jamais ! Dans cette vidéo, le pasteur Ted Wilson est rejoint par Nancy Wilson alors qu'ils parlent du mariage et de la recherche de l'amour de Dieu dans nos vies. Dans le livre de la Genèse, chapitre 1, on nous donne un aperçu du magnifique récit de la Création - comment Dieu a créé la Terre, et tout ce qu'elle contient, en six jours littéraux - et tout "était bon". Mais ensuite, à mi-chemin du chapitre 2, qui nous donne plus de détails sur l'histoire de la Création, nous lisons que quelque chose n'était "pas bon" ! Le verset 18 nous le dit : "Et le Seigneur Dieu dit : 'Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide comparable à lui. Quand Dieu a amené Eve à Adam, ce fut le coup de foudre ! Dieu a alors procédé à la toute première cérémonie de mariage, bénissant l'homme et la femme, les unissant pour que les deux ne fassent qu'un. Dieu a voulu que le mariage soit une source inépuisable de joie et d'amour, de camaraderie et de croissance. Mais malheureusement, le péché est entré dans ce monde, et plutôt que d'être une source de bonheur, le mariage est trop souvent devenu une source de tristesse pour tant de gens. Néanmoins, il y a de l'espoir ! Ce merveilleux cadeau que Dieu nous a fait en Eden peut encore être apprécié aujourd'hui grâce à sa bénédiction. "Seule la présence du Christ peut rendre les hommes et les femmes heureux", lit-on dans le merveilleux livre, La maison adventiste. "Toutes les eaux communes de la vie que le Christ peut transformer en vin du ciel". Le foyer devient alors comme un Éden de béatitude ; la famille, un beau symbole de la famille dans le ciel" (p. 28). Ce sabbat à venir, le 13 février, marque le début de la "Semaine du foyer chrétien et du mariage". Organisée par le département des ministères de la famille de la Conférence générale, cette semaine spéciale comprend deux sabbats : le jour du mariage chrétien, le 13 février, et le jour du foyer chrétien, le 20 février. Visitez le site family.adventist.org pour les ressources. La Bible nous dit dans 1 Jean 4:7,8 : "Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, car l'amour est de Dieu ; et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour". Et en 1 Corinthiens 13,4, nous lisons : "L'amour souffre beaucoup et est bon ; l'amour n'envie pas ; l'amour ne se parade pas, n'est pas gonflé ; il ne se comporte pas avec impolitesse, ne cherche pas son propre intérêt, n'est pas provoqué, ne pense pas au mal ; ne se réjouit pas de l'iniquité, mais se réjouit de la vérité ; supporte tout, croit tout, espère tout, supporte tout. L'amour ne fait jamais défaut". Que le Seigneur vous bénisse et vous renforce alors que chacun de nous, par sa puissance, cherche à vivre son amour dans sa vie. 00:00 Salutations 00:15 Genèse 1 00:55 La création d'Eva 01:52 Mariage chrétien 05:36 Prière du pasteur - --------
Le sujet de ce soir est « Dieu m'a appelé ». Pourquoi Dieu prend le temps de m'appeler ? Lisons dans le livre de la Genèse pour le 1er appel de Dieu, Genèse chapitre 3 et au verset 8 : « Alors ils entendirent la voix du Seigneur Dieu qui parcourait le jardin vers le soir. » La voix du Seigneur Dieu : un autre exemple dans la Bible 2 Samuel 5:24 « Quand tu entendras un bruit de pas... » Revenons à Genèse : « ...qui parcourait le jardin » signifie que Dieu prend son temps, il se promène avec moi, il rentre dans l'univers de l'homme pour vivre un moment intime avec lui, il lui manifeste son amour. Dieu nous appelle aujourd'hui : « où es-tu ? » Merci à notre frère Rauma DOOM pour ce sujet important pour chacun d'entre nous.
Brise nos coeur, Seigneur Dieu. Allume en ns une faim...
Apocalypse 4.8 : « Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes, et ils sont remplis d’yeux tout autour et au-dedans. Ils ne cessent de dire jour et nuit: Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient! » Ce chapitre, le chapitre quatre de l'Apocalypse, contient l'une des images les plus glorieuses de Dieu sur son trône. Il y a manifestement tant d'images partout dans l'Apocalypse que notre imagination est constamment stimulée.
Apocalypse 1.7–8 : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, même ceux qui l’ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen! Je suis l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. » L’introduction au livre de l'Apocalypse est frappante dans ses images. Dès le début de ce livre, on nous rappelle que le jour s’approche où Jésus reviendra, et que tous les yeux le verront, même ceux qui l'ont transpercé, c'est-à-dire ceux qui ont joué un rôle dans la crucifixion de Jésus, mais pas seulement ces personnes physiquement au premier siècle, mais tous les gens qui se sont détournés de Jésus, qui n'ont pas cru en lui, un jour ils le verront tous comme le Seigneur et le roi qui est au-dessus tout.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean En ce temps-là, les yeux levés au ciel, Jésus priait ainsi : « Père saint, garde mes disciples unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes. Quand j’étais avec eux, je les gardais unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné. J’ai veillé sur eux, et aucun ne s’est perdu, sauf celui qui s’en va à sa perte de sorte que l’Écriture soit accomplie. Et maintenant que je viens à toi, je parle ainsi, dans le monde, pour qu’ils aient en eux ma joie, et qu’ils en soient comblés. Moi, je leur ai donné ta parole, et le monde les a pris en haine parce qu’ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi je n’appartiens pas au monde. Je ne prie pas pour que tu les retires du monde, mais pour que tu les gardes du Mauvais. Ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi, je n’appartiens pas au monde. Sanctifie-les dans la vérité : ta parole est vérité. De même que tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux je me sanctifie moi-même, afin qu’ils soient, eux aussi, sanctifiés dans la vérité. » Source : AELF Méditations Père François Lestang Lorsque le Seigneur apparaît à Moïse au buisson ardent, il lui confie la mission de libérer son peuple de l’esclavage de l’Egypte. Moïse dit alors : « J’irai donc trouver les fils d’Israël, et je leur dirai : “Le Dieu de vos pères m’a envoyé vers vous.” Ils vont me demander quel est son nom ; que leur répondrai-je ? » (Ex 3,13). Alors le Seigneur révèle un nom propre, en quatre consonnes, Yod Hé Waw Hé. Ce nom-là, toute la tradition juive choisit de ne pas le prononcer ; seul le grand prêtre le prononçait en bénissant le peuple le jour du Grand Pardon, et en choisissant le bouc émissaire. Dans sa prière au Père, Jésus demande l’unité de ceux et celles qui croient en lui ; il dit « garde-les unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes ». Ce nom donné, quel est-il ? Est-ce un attribut de Dieu, comme la miséricorde ou la fidélité, comme la toute-puissance ou le jugement ? Non, ce nom donné à Jésus, c’est tout simplement celui qui commence sa prière : c’est le nom de « Père ». Jésus ose appeler Dieu son père, Jésus enseigne à ses disciples d’appeler Dieu leur père commun. Comme l’écrit l’apôtre Paul, Jésus est le premier-né d’une multitude de frères et de sœurs, enfants du même père. Le nom qui fait l’unité des disciples, c’est « Père ». Mais comment devient-on enfant du Père de Jésus, comment peut-on le prier, l’écouter, comment peut-on garder l’unité des disciples ? C’est l’œuvre de l’Esprit, qui vient du Père par le Fils, et nous rend enfants du Père, nous fait crier « papa, Père », dans notre prière. Seigneur Dieu, comment te remercier assez pour ce cadeau infini ? Oui, je peux t’appeler « Père », je peux être dans une relation d’intimité avec toi, je peux te prier en confiance, en lien avec tous ceux qui ont accueilli l’esprit de Jésus. Donne-moi de rester tout ce jour dans ce bonheur de t’avoir pour Père.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean En ce temps-là, les disciples de Jésus lui dirent : « Voici que tu parles ouvertement et non plus en images. Maintenant nous savons que tu sais toutes choses, et tu n’as pas besoin qu’on t’interroge : voilà pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu. » Jésus leur répondit : « Maintenant vous croyez ! Voici que l’heure vient – déjà elle est venue – où vous serez dispersés chacun de son côté, et vous me laisserez seul ; mais je ne suis pas seul, puisque le Père est avec moi. Je vous ai parlé ainsi, afin qu’en moi vous ayez la paix. Dans le monde, vous avez à souffrir, mais courage ! Moi, je suis vainqueur du monde. » Source : AELF Méditations Père François Lestang Lorsque le prophète Isaïe annonce la venue d’un roi selon le cœur de Dieu, il déclare que la présence de Dieu reposera sur lui, que son Esprit sera sur lui. Ce sera un « esprit de sagesse et de discernement, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte du Seigneur ». Lorsque Dieu se rend présent à quelqu’un qu’il a choisi pour son service, pour un service de gouvernement, il promet tous ces dons. Dans cette nouvelle semaine qui nous mène vers la Pentecôte, je peux réfléchir et désirer l’un ou l’autre de ces dons, selon ce dont j’ai besoin pour le service que Dieu m’a confié dans ce monde, que ce soit dans ma famille ou dans ma communauté, dans mon engagement social ou politique, dans mon service d’Eglise. Ai-je besoin de davantage de sagesse ? De discernement ? De conseil ? De force ? Ai-je besoin de mieux connaître le Seigneur ? De mieux mesurer sa grandeur et sa majesté ? Les disciples de Jésus semblent avoir reçu le don de connaissance, puisqu’ils disent croire qu’il est sorti de Dieu. Mais Jésus les met en garde : « dans ce monde, vous avez à souffrir ». Connaître Jésus, le confesser Seigneur et Fils de Dieu, cela n’élimine ni la souffrance ni l’épreuve. Aussi, peut-être me faut-il demander aujourd’hui à Dieu qu’il fasse reposer sur moi son esprit de force, pour que je puisse courageusement suivre Jésus et le servir, là où il m’a envoyé. Seigneur Dieu, je te bénis de m’avoir révélé ton Fils ; je te confie toutes ces personnes vers lesquelles tu m’envoies aujourd’hui, agréables ou désagréables, réceptives ou fermées. Renouvelle en moi ton Esprit, pour que j’aie la force pour les servir et les aimer, comme tu le veux.
https://fpma.church/fpma/images/FPMA-VP-2020-05-18.pdf Date : 18 Mai 2020 Intervenant : Pst Donald Gizy https://fpma.church/news
De la même façon, le Seigneur Dieu n'agit pas sans faire connaître ses intentions à ses serviteurs les prophètes . Quand le lion rugit, qui n'a pas peur ? Quand le Seigneur Dieu parle, qui ose ne pas annoncer son message ? Amos 3:7-8 --- Send in a voice message: https://anchor.fm/jeunesse-chretienne/message
Bonjour à tous ! Je suis particulièrement fier de lancer ce nouveau podcast qui serait sans doute resté dans les cartons à l’heure qu’il est si il n’y avait pas eu plein de concours de circonstances avec Pierre-Alain de Garrigues qui a eu l’extrême gentillesse de venir à la maison pour me coacher vocalement avant de lancer cette émission. Si la qualité de ce que vous entendez vous plaît, c’est grâce à lui. Vous pouvez le remercier en allant soutenir son projet sur ulule. Voici donc le texte du conte d’aujourd’hui L'esprit dans la bouteille Un conte des frères Grimm Il était une fois un pauvre bûcheron qui travaillait du matin au soir. S'étant finalement mis quelque argent de côté, il dit à son fils: "Tu es mon unique enfant. Je veux consacrer à ton instruction ce que j'ai durement gagné à la sueur de mon front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu'il me faudra rester à la maison." Le jeune homme fréquenta une haute école et apprit avec zèle. Ses maîtres le louaient fort et il y resta tout un temps. Après qu'il fut passé par plusieurs classes - mais il ne savait pas encore tout - le peu d'argent que son père avait économisé avait fondu et il lui fallut retourner chez lui. "Ah!" dit le père, "je ne puis plus rien te donner et, par ce temps de vie chère, je n'arrive pas à gagner un denier de plus qu'il n'en faut pour le pain quotidien." - "Cher père," répondit le fils, "ne vous en faites pas! Si telle est la volonté de Dieu, ce sera pour mon bien. Je m'en tirerai." Quand le père partit pour la forêt avec l'intention d'y abattre du bois, pour en tirer un peu d'argent, le jeune homme lui dit: "J'y vais avec vous. Je vous aiderai." - "Ce sera bien trop dur pour toi," répondit le père. "Tu n'es pas habitué à ce genre de travail. Tu ne le supporterais pas. D'ailleurs, je n'ai qu'une seule hache et pas d'argent pour en acheter une seconde." - "Vous n'avez qu'à aller chez le voisin," rétorqua le garçon. "Il vous en prêtera une jusqu'à ce que j'ai gagné assez d'argent moi-même pour en acheter une neuve." Le père emprunta une hache au voisin et, le lendemain matin, au lever du jour, ils s'en furent ensemble dans la forêt. Le jeune homme aida son père. Il se sentait frais et dispos. Quand le soleil fut au zénith, le vieux dit: "Nous allons nous reposer et manger un morceau. Ça ira encore mieux après." Le fils prit son pain et répondit: "Reposez-vous, père. Moi, je ne suis pas fatigué; je vais aller me promener dans la forêt pour y chercher des nids." - "Petit vaniteux!" rétorqua le père, "pourquoi veux-tu te promener? Tu vas te fatiguer et, après, tu ne pourras plus remuer les bras. Reste ici et assieds-toi près de moi." Le fils, cependant, partit par la forêt, mangea son pain et, tout joyeux, il regardait à travers les branches pour voir s'il ne découvrirait pas un nid. Il alla ainsi, de-ci, de-là, jusqu'à ce qu'il arrivât à un grand chêne, vieux de plusieurs centaines d'années, et que cinq hommes se tenant par les bras n'auraient certainement pas pu enlacer. Il s'arrêta, regarda le géant et songea: "Il y a certainement plus d'un oiseau qui y a fait son nid." Tout à coup, il lui sembla entendre une voix. Il écouta et comprit: "Fais-moi sortir de là! Fais-moi sortir de là!" Il regarda autour de lui, mais ne vit rien. Il lui parut que la voix sortait de terre. Il s'écria: "Où es-tu?" La voix répondit: "Je suis là, en bas, près des racines du chêne. Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" L'écolier commença par nettoyer le sol, au pied du chêne, et à chercher du côté des racines. Brusquement, il aperçut une bouteille de verre enfoncée dans une petite excavation. Il la saisit et la tint à la lumière. Il y vit alors une chose qui ressemblait à une grenouille; elle sautait dans la bouteille. "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" ne cessait-elle de crier. Sans songer à mal, l'écolier enleva le bouchon. Aussitôt, un esprit sortit de la bouteille, et commença à grandir, à grandir tant et si vite qu'en un instant un personnage horrible, grand comme la moitié de l'arbre se dressa devant le garçon. "Sais-tu quel sera ton salaire pour m'avoir libéré?" lui demanda-t-il d'une épouvantable voix. "Non," répondit l'écolier qui ne ressentait aucune crainte. "Comment le saurais-je?" - "Je vais te tuer!" hurla l'esprit. "Je vais te casser la tête!" - "Tu aurais dû me le dire plus tôt," dit le garçon. "Je t'aurais laissé où tu étais. Mais tu ne me casseras pas la tête. Tu n'es pas seul à décider!" - "Pas seul à décider! Pas seul à décider!" cria l'esprit. "Tu crois ça! T'imaginerais-tu que c'est pour ma bonté qu'on m'a tenu enfermé si longtemps? Non! c'est pour me punir! je suis le puissant Mercure. Je dois rompre le col à qui me laisse échapper." - "Parbleu!" répondit l'écolier. "Pas si vite! Il faudrait d'abord que je sache si c'était bien toi qui étais dans la petite bouteille et si tu es le véritable esprit. Si tu peux y entrer à nouveau, je te croirai. Après, tu feras ce que tu veux." Plein de vanité, l'esprit déclara: "C'est la moindre des chose." Il se retira en lui-même et se fit aussi mince et petit qu'il l'était au début. De sorte qu'il put passer par l'étroit orifice de la bouteille et s'y faufiler à nouveau. À peine y fut-il entré que l'écolier remettait le bouchon et lançait la bouteille sous les racines du chêne, là où il l'avait trouvée. L'esprit avait été pris. Le garçon s'apprêta à rejoindre son père. Mais l'esprit lui cria d'une voix plaintive: "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" - "Non!" répondit l'écolier. "Pas une deuxième fois! Quand on a menacé ma vie une fois, je ne libère pas mon ennemi après avoir réussi à le mettre hors d'état de nuire." - "Si tu me rends la liberté," dit l'esprit, "je te donnerai tant de richesses que tu en auras assez pour toute ta vie." - "Non!" reprit le garçon. "Tu me tromperais comme la première fois." - "Par légèreté, tu vas manquer ta chance," dit l'esprit. "Je ne te ferai aucun mal et je te récompenserai richement." L'écolier pensa: "Je vais essayer. Peut-être tiendra-t-il parole." Il enleva le bouchon et, comme la fois précédente, l'esprit sortit de la bouteille, grandit et devint gigantesque. "Je vais te donner ton salaire," dit-il. Il tendit au jeune homme un petit chiffon qui ressemblait à un pansement et dit: "Si tu en frottes une blessure par un bout, elle guérira. Si, par l'autre bout, tu en frottes de l'acier ou du fer, ils se transformeront en argent." - "Il faut d'abord que j'essaie," dit l'écolier. Il s'approcha d'un arbre, en fendit l'écorce avec sa hache et toucha la blessure avec un bout du chiffon. Elle se referma aussitôt. "C'était donc bien vrai," dit-il à l'esprit. "Nous pouvons nous séparer." L'esprit le remercia de l'avoir libéré; l'écolier le remercia pour son cadeau et partit rejoindre son père. "Où étais-tu donc?" lui demanda celui-ci. "Pourquoi as-tu oublié ton travail? Je te l'avais bien dit que tu ne t' y ferais pas!" - "Soyez tranquille, père, je vais me rattraper." - "Oui, te rattraper!" dit le père avec colère. "Ce n'est pas une méthode!" - "Regardez, père, je vais frapper cet arbre si fort qu'il en tombera." Il prit son chiffon, en frotta sa hache et assena un coup formidable. Mais, comme le fer était devenu de l'argent, le fil de la hache s'écrasa. "Eh! père, regardez la mauvaise hache que vous m'avez donnée! La voilà toute tordue." Le père en fut bouleversé et dit: "Qu'as-tu fait! Il va me falloir payer cette hache. Et avec quoi? Voilà ce que me rapporte ton travail!" - "Ne vous fâchez pas," dit le fils, "je paierai la hache moi-même." - "Imbécile," cria le vieux, "avec quoi la paieras-tu? Tu ne possèdes rien d'autre que ce que je t'ai donné. Tu n'as en tête que des bêtises d'étudiant et tu ne comprends rien au travail du bois." Un moment après, l'écolier dit: "Père, puisque je ne puis plus travailler, arrêtons-nous." - "Quoi!" dit le vieux. "T'imagines-tu que je vais me croiser les bras comme toi? Il faut que je travaille. Toi, tu peux rentrer." - "Père, je suis ici pour la première fois. Je ne retrouverai jamais le chemin tout seul. Venez avec moi." Le père, dont la colère s'était calmée, se laissa convaincre et partit avec son fils. il lui dit: "Va et vends la hache endommagée. On verra bien ce que tu en tireras. Il faudra que je gagne la différence pour payer le voisin." Le fils prit la hache et la porta à un bijoutier de la ville. Celui-ci la mit sur la balance et dit: "Elle vaut quatre cents deniers. Mais je n'ai pas autant d'argent liquide ici." - "Donnez- moi ce que vous avez; vous me devrez le reste," répondit le garçon. Le bijoutier lui donna trois cents deniers et reconnut lui en devoir encore cent autres. L'écolier rentra à la maison et dit: "Père, j'ai l'argent. Allez demander au voisin ce qu'il veut pour sa hache." - "Je le sais déjà," répondit le vieux: "un denier et six sols." - "Eh bien! donnez lui deux deniers et douze sols. Ça fait le double et c'est bien suffisant. Regardez, j'ai de l'argent de reste." Il donna cent deniers à son père et reprit: "Il ne vous en manquera jamais. Vivez à votre guise." - "Seigneur Dieu!" s'écria le vieux , "comment as-tu acquis une telle richesse?" L'écolier lui raconta ce qui s'était passé et comment, en comptant sur sa chance, il avait fait si bonne fortune. Avec l'argent qu'il avait en surplus, il repartit vers les hautes écoles et reprit ses études. Et comme, avec son chiffon, il pouvait guérir toutes les blessures, il devint le médecin le plus célèbre du monde entier. Le conte est lu par Jean NOEL
Bonjour à tous ! Je suis particulièrement fier de lancer ce nouveau podcast qui serait sans doute resté dans les cartons à l’heure qu’il est si il n’y avait pas eu plein de concours de circonstances avec Pierre-Alain de Garrigues qui a eu l’extrême gentillesse de venir à la maison pour me coacher vocalement avant de lancer cette émission. Si la qualité de ce que vous entendez vous plaît, c’est grâce à lui. Vous pouvez le remercier en allant soutenir son projet sur ulule. Voici donc le texte du conte d’aujourd’hui L'esprit dans la bouteille Un conte des frères Grimm Il était une fois un pauvre bûcheron qui travaillait du matin au soir. S'étant finalement mis quelque argent de côté, il dit à son fils: "Tu es mon unique enfant. Je veux consacrer à ton instruction ce que j'ai durement gagné à la sueur de mon front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu'il me faudra rester à la maison." Le jeune homme fréquenta une haute école et apprit avec zèle. Ses maîtres le louaient fort et il y resta tout un temps. Après qu'il fut passé par plusieurs classes - mais il ne savait pas encore tout - le peu d'argent que son père avait économisé avait fondu et il lui fallut retourner chez lui. "Ah!" dit le père, "je ne puis plus rien te donner et, par ce temps de vie chère, je n'arrive pas à gagner un denier de plus qu'il n'en faut pour le pain quotidien." - "Cher père," répondit le fils, "ne vous en faites pas! Si telle est la volonté de Dieu, ce sera pour mon bien. Je m'en tirerai." Quand le père partit pour la forêt avec l'intention d'y abattre du bois, pour en tirer un peu d'argent, le jeune homme lui dit: "J'y vais avec vous. Je vous aiderai." - "Ce sera bien trop dur pour toi," répondit le père. "Tu n'es pas habitué à ce genre de travail. Tu ne le supporterais pas. D'ailleurs, je n'ai qu'une seule hache et pas d'argent pour en acheter une seconde." - "Vous n'avez qu'à aller chez le voisin," rétorqua le garçon. "Il vous en prêtera une jusqu'à ce que j'ai gagné assez d'argent moi-même pour en acheter une neuve." Le père emprunta une hache au voisin et, le lendemain matin, au lever du jour, ils s'en furent ensemble dans la forêt. Le jeune homme aida son père. Il se sentait frais et dispos. Quand le soleil fut au zénith, le vieux dit: "Nous allons nous reposer et manger un morceau. Ça ira encore mieux après." Le fils prit son pain et répondit: "Reposez-vous, père. Moi, je ne suis pas fatigué; je vais aller me promener dans la forêt pour y chercher des nids." - "Petit vaniteux!" rétorqua le père, "pourquoi veux-tu te promener? Tu vas te fatiguer et, après, tu ne pourras plus remuer les bras. Reste ici et assieds-toi près de moi." Le fils, cependant, partit par la forêt, mangea son pain et, tout joyeux, il regardait à travers les branches pour voir s'il ne découvrirait pas un nid. Il alla ainsi, de-ci, de-là, jusqu'à ce qu'il arrivât à un grand chêne, vieux de plusieurs centaines d'années, et que cinq hommes se tenant par les bras n'auraient certainement pas pu enlacer. Il s'arrêta, regarda le géant et songea: "Il y a certainement plus d'un oiseau qui y a fait son nid." Tout à coup, il lui sembla entendre une voix. Il écouta et comprit: "Fais-moi sortir de là! Fais-moi sortir de là!" Il regarda autour de lui, mais ne vit rien. Il lui parut que la voix sortait de terre. Il s'écria: "Où es-tu?" La voix répondit: "Je suis là, en bas, près des racines du chêne. Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" L'écolier commença par nettoyer le sol, au pied du chêne, et à chercher du côté des racines. Brusquement, il aperçut une bouteille de verre enfoncée dans une petite excavation. Il la saisit et la tint à la lumière. Il y vit alors une chose qui ressemblait à une grenouille; elle sautait dans la bouteille. "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" ne cessait-elle de crier. Sans songer à mal, l'écolier enleva le bouchon. Aussitôt, un esprit sortit de la bouteille, et commença à grandir, à grandir tant et si vite qu'en un instant un personnage horrible, grand comme la moitié de l'arbre se dressa devant le garçon. "Sais-tu quel sera ton salaire pour m'avoir libéré?" lui demanda-t-il d'une épouvantable voix. "Non," répondit l'écolier qui ne ressentait aucune crainte. "Comment le saurais-je?" - "Je vais te tuer!" hurla l'esprit. "Je vais te casser la tête!" - "Tu aurais dû me le dire plus tôt," dit le garçon. "Je t'aurais laissé où tu étais. Mais tu ne me casseras pas la tête. Tu n'es pas seul à décider!" - "Pas seul à décider! Pas seul à décider!" cria l'esprit. "Tu crois ça! T'imaginerais-tu que c'est pour ma bonté qu'on m'a tenu enfermé si longtemps? Non! c'est pour me punir! je suis le puissant Mercure. Je dois rompre le col à qui me laisse échapper." - "Parbleu!" répondit l'écolier. "Pas si vite! Il faudrait d'abord que je sache si c'était bien toi qui étais dans la petite bouteille et si tu es le véritable esprit. Si tu peux y entrer à nouveau, je te croirai. Après, tu feras ce que tu veux." Plein de vanité, l'esprit déclara: "C'est la moindre des chose." Il se retira en lui-même et se fit aussi mince et petit qu'il l'était au début. De sorte qu'il put passer par l'étroit orifice de la bouteille et s'y faufiler à nouveau. À peine y fut-il entré que l'écolier remettait le bouchon et lançait la bouteille sous les racines du chêne, là où il l'avait trouvée. L'esprit avait été pris. Le garçon s'apprêta à rejoindre son père. Mais l'esprit lui cria d'une voix plaintive: "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" - "Non!" répondit l'écolier. "Pas une deuxième fois! Quand on a menacé ma vie une fois, je ne libère pas mon ennemi après avoir réussi à le mettre hors d'état de nuire." - "Si tu me rends la liberté," dit l'esprit, "je te donnerai tant de richesses que tu en auras assez pour toute ta vie." - "Non!" reprit le garçon. "Tu me tromperais comme la première fois." - "Par légèreté, tu vas manquer ta chance," dit l'esprit. "Je ne te ferai aucun mal et je te récompenserai richement." L'écolier pensa: "Je vais essayer. Peut-être tiendra-t-il parole." Il enleva le bouchon et, comme la fois précédente, l'esprit sortit de la bouteille, grandit et devint gigantesque. "Je vais te donner ton salaire," dit-il. Il tendit au jeune homme un petit chiffon qui ressemblait à un pansement et dit: "Si tu en frottes une blessure par un bout, elle guérira. Si, par l'autre bout, tu en frottes de l'acier ou du fer, ils se transformeront en argent." - "Il faut d'abord que j'essaie," dit l'écolier. Il s'approcha d'un arbre, en fendit l'écorce avec sa hache et toucha la blessure avec un bout du chiffon. Elle se referma aussitôt. "C'était donc bien vrai," dit-il à l'esprit. "Nous pouvons nous séparer." L'esprit le remercia de l'avoir libéré; l'écolier le remercia pour son cadeau et partit rejoindre son père. "Où étais-tu donc?" lui demanda celui-ci. "Pourquoi as-tu oublié ton travail? Je te l'avais bien dit que tu ne t' y ferais pas!" - "Soyez tranquille, père, je vais me rattraper." - "Oui, te rattraper!" dit le père avec colère. "Ce n'est pas une méthode!" - "Regardez, père, je vais frapper cet arbre si fort qu'il en tombera." Il prit son chiffon, en frotta sa hache et assena un coup formidable. Mais, comme le fer était devenu de l'argent, le fil de la hache s'écrasa. "Eh! père, regardez la mauvaise hache que vous m'avez donnée! La voilà toute tordue." Le père en fut bouleversé et dit: "Qu'as-tu fait! Il va me falloir payer cette hache. Et avec quoi? Voilà ce que me rapporte ton travail!" - "Ne vous fâchez pas," dit le fils, "je paierai la hache moi-même." - "Imbécile," cria le vieux, "avec quoi la paieras-tu? Tu ne possèdes rien d'autre que ce que je t'ai donné. Tu n'as en tête que des bêtises d'étudiant et tu ne comprends rien au travail du bois." Un moment après, l'écolier dit: "Père, puisque je ne puis plus travailler, arrêtons-nous." - "Quoi!" dit le vieux. "T'imagines-tu que je vais me croiser les bras comme toi? Il faut que je travaille. Toi, tu peux rentrer." - "Père, je suis ici pour la première fois. Je ne retrouverai jamais le chemin tout seul. Venez avec moi." Le père, dont la colère s'était calmée, se laissa convaincre et partit avec son fils. il lui dit: "Va et vends la hache endommagée. On verra bien ce que tu en tireras. Il faudra que je gagne la différence pour payer le voisin." Le fils prit la hache et la porta à un bijoutier de la ville. Celui-ci la mit sur la balance et dit: "Elle vaut quatre cents deniers. Mais je n'ai pas autant d'argent liquide ici." - "Donnez- moi ce que vous avez; vous me devrez le reste," répondit le garçon. Le bijoutier lui donna trois cents deniers et reconnut lui en devoir encore cent autres. L'écolier rentra à la maison et dit: "Père, j'ai l'argent. Allez demander au voisin ce qu'il veut pour sa hache." - "Je le sais déjà," répondit le vieux: "un denier et six sols." - "Eh bien! donnez lui deux deniers et douze sols. Ça fait le double et c'est bien suffisant. Regardez, j'ai de l'argent de reste." Il donna cent deniers à son père et reprit: "Il ne vous en manquera jamais. Vivez à votre guise." - "Seigneur Dieu!" s'écria le vieux , "comment as-tu acquis une telle richesse?" L'écolier lui raconta ce qui s'était passé et comment, en comptant sur sa chance, il avait fait si bonne fortune. Avec l'argent qu'il avait en surplus, il repartit vers les hautes écoles et reprit ses études. Et comme, avec son chiffon, il pouvait guérir toutes les blessures, il devint le médecin le plus célèbre du monde entier. Le conte est lu par Jean NOEL
Bonjour à tous ! Je suis particulièrement fier de lancer ce nouveau podcast qui serait sans doute resté dans les cartons à l’heure qu’il est si il n’y avait pas eu plein de concours de circonstances avec Pierre-Alain de Garrigues qui a eu l’extrême gentillesse de venir à la maison pour me coacher vocalement avant de lancer cette émission. Si la qualité de ce que vous entendez vous plaît, c’est grâce à lui. Vous pouvez le remercier en allant soutenir son projet sur ulule. Voici donc le texte du conte d’aujourd’hui L'esprit dans la bouteille Un conte des frères Grimm Il était une fois un pauvre bûcheron qui travaillait du matin au soir. S'étant finalement mis quelque argent de côté, il dit à son fils: "Tu es mon unique enfant. Je veux consacrer à ton instruction ce que j'ai durement gagné à la sueur de mon front. Apprends un métier honnête et tu pourras subvenir à mes besoins quand je serai vieux, que mes membres seront devenus raides et qu'il me faudra rester à la maison." Le jeune homme fréquenta une haute école et apprit avec zèle. Ses maîtres le louaient fort et il y resta tout un temps. Après qu'il fut passé par plusieurs classes - mais il ne savait pas encore tout - le peu d'argent que son père avait économisé avait fondu et il lui fallut retourner chez lui. "Ah!" dit le père, "je ne puis plus rien te donner et, par ce temps de vie chère, je n'arrive pas à gagner un denier de plus qu'il n'en faut pour le pain quotidien." - "Cher père," répondit le fils, "ne vous en faites pas! Si telle est la volonté de Dieu, ce sera pour mon bien. Je m'en tirerai." Quand le père partit pour la forêt avec l'intention d'y abattre du bois, pour en tirer un peu d'argent, le jeune homme lui dit: "J'y vais avec vous. Je vous aiderai." - "Ce sera bien trop dur pour toi," répondit le père. "Tu n'es pas habitué à ce genre de travail. Tu ne le supporterais pas. D'ailleurs, je n'ai qu'une seule hache et pas d'argent pour en acheter une seconde." - "Vous n'avez qu'à aller chez le voisin," rétorqua le garçon. "Il vous en prêtera une jusqu'à ce que j'ai gagné assez d'argent moi-même pour en acheter une neuve." Le père emprunta une hache au voisin et, le lendemain matin, au lever du jour, ils s'en furent ensemble dans la forêt. Le jeune homme aida son père. Il se sentait frais et dispos. Quand le soleil fut au zénith, le vieux dit: "Nous allons nous reposer et manger un morceau. Ça ira encore mieux après." Le fils prit son pain et répondit: "Reposez-vous, père. Moi, je ne suis pas fatigué; je vais aller me promener dans la forêt pour y chercher des nids." - "Petit vaniteux!" rétorqua le père, "pourquoi veux-tu te promener? Tu vas te fatiguer et, après, tu ne pourras plus remuer les bras. Reste ici et assieds-toi près de moi." Le fils, cependant, partit par la forêt, mangea son pain et, tout joyeux, il regardait à travers les branches pour voir s'il ne découvrirait pas un nid. Il alla ainsi, de-ci, de-là, jusqu'à ce qu'il arrivât à un grand chêne, vieux de plusieurs centaines d'années, et que cinq hommes se tenant par les bras n'auraient certainement pas pu enlacer. Il s'arrêta, regarda le géant et songea: "Il y a certainement plus d'un oiseau qui y a fait son nid." Tout à coup, il lui sembla entendre une voix. Il écouta et comprit: "Fais-moi sortir de là! Fais-moi sortir de là!" Il regarda autour de lui, mais ne vit rien. Il lui parut que la voix sortait de terre. Il s'écria: "Où es-tu?" La voix répondit: "Je suis là, en bas, près des racines du chêne. Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" L'écolier commença par nettoyer le sol, au pied du chêne, et à chercher du côté des racines. Brusquement, il aperçut une bouteille de verre enfoncée dans une petite excavation. Il la saisit et la tint à la lumière. Il y vit alors une chose qui ressemblait à une grenouille; elle sautait dans la bouteille. "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" ne cessait-elle de crier. Sans songer à mal, l'écolier enleva le bouchon. Aussitôt, un esprit sortit de la bouteille, et commença à grandir, à grandir tant et si vite qu'en un instant un personnage horrible, grand comme la moitié de l'arbre se dressa devant le garçon. "Sais-tu quel sera ton salaire pour m'avoir libéré?" lui demanda-t-il d'une épouvantable voix. "Non," répondit l'écolier qui ne ressentait aucune crainte. "Comment le saurais-je?" - "Je vais te tuer!" hurla l'esprit. "Je vais te casser la tête!" - "Tu aurais dû me le dire plus tôt," dit le garçon. "Je t'aurais laissé où tu étais. Mais tu ne me casseras pas la tête. Tu n'es pas seul à décider!" - "Pas seul à décider! Pas seul à décider!" cria l'esprit. "Tu crois ça! T'imaginerais-tu que c'est pour ma bonté qu'on m'a tenu enfermé si longtemps? Non! c'est pour me punir! je suis le puissant Mercure. Je dois rompre le col à qui me laisse échapper." - "Parbleu!" répondit l'écolier. "Pas si vite! Il faudrait d'abord que je sache si c'était bien toi qui étais dans la petite bouteille et si tu es le véritable esprit. Si tu peux y entrer à nouveau, je te croirai. Après, tu feras ce que tu veux." Plein de vanité, l'esprit déclara: "C'est la moindre des chose." Il se retira en lui-même et se fit aussi mince et petit qu'il l'était au début. De sorte qu'il put passer par l'étroit orifice de la bouteille et s'y faufiler à nouveau. À peine y fut-il entré que l'écolier remettait le bouchon et lançait la bouteille sous les racines du chêne, là où il l'avait trouvée. L'esprit avait été pris. Le garçon s'apprêta à rejoindre son père. Mais l'esprit lui cria d'une voix plaintive: "Fais-moi sortir! Fais-moi sortir!" - "Non!" répondit l'écolier. "Pas une deuxième fois! Quand on a menacé ma vie une fois, je ne libère pas mon ennemi après avoir réussi à le mettre hors d'état de nuire." - "Si tu me rends la liberté," dit l'esprit, "je te donnerai tant de richesses que tu en auras assez pour toute ta vie." - "Non!" reprit le garçon. "Tu me tromperais comme la première fois." - "Par légèreté, tu vas manquer ta chance," dit l'esprit. "Je ne te ferai aucun mal et je te récompenserai richement." L'écolier pensa: "Je vais essayer. Peut-être tiendra-t-il parole." Il enleva le bouchon et, comme la fois précédente, l'esprit sortit de la bouteille, grandit et devint gigantesque. "Je vais te donner ton salaire," dit-il. Il tendit au jeune homme un petit chiffon qui ressemblait à un pansement et dit: "Si tu en frottes une blessure par un bout, elle guérira. Si, par l'autre bout, tu en frottes de l'acier ou du fer, ils se transformeront en argent." - "Il faut d'abord que j'essaie," dit l'écolier. Il s'approcha d'un arbre, en fendit l'écorce avec sa hache et toucha la blessure avec un bout du chiffon. Elle se referma aussitôt. "C'était donc bien vrai," dit-il à l'esprit. "Nous pouvons nous séparer." L'esprit le remercia de l'avoir libéré; l'écolier le remercia pour son cadeau et partit rejoindre son père. "Où étais-tu donc?" lui demanda celui-ci. "Pourquoi as-tu oublié ton travail? Je te l'avais bien dit que tu ne t' y ferais pas!" - "Soyez tranquille, père, je vais me rattraper." - "Oui, te rattraper!" dit le père avec colère. "Ce n'est pas une méthode!" - "Regardez, père, je vais frapper cet arbre si fort qu'il en tombera." Il prit son chiffon, en frotta sa hache et assena un coup formidable. Mais, comme le fer était devenu de l'argent, le fil de la hache s'écrasa. "Eh! père, regardez la mauvaise hache que vous m'avez donnée! La voilà toute tordue." Le père en fut bouleversé et dit: "Qu'as-tu fait! Il va me falloir payer cette hache. Et avec quoi? Voilà ce que me rapporte ton travail!" - "Ne vous fâchez pas," dit le fils, "je paierai la hache moi-même." - "Imbécile," cria le vieux, "avec quoi la paieras-tu? Tu ne possèdes rien d'autre que ce que je t'ai donné. Tu n'as en tête que des bêtises d'étudiant et tu ne comprends rien au travail du bois." Un moment après, l'écolier dit: "Père, puisque je ne puis plus travailler, arrêtons-nous." - "Quoi!" dit le vieux. "T'imagines-tu que je vais me croiser les bras comme toi? Il faut que je travaille. Toi, tu peux rentrer." - "Père, je suis ici pour la première fois. Je ne retrouverai jamais le chemin tout seul. Venez avec moi." Le père, dont la colère s'était calmée, se laissa convaincre et partit avec son fils. il lui dit: "Va et vends la hache endommagée. On verra bien ce que tu en tireras. Il faudra que je gagne la différence pour payer le voisin." Le fils prit la hache et la porta à un bijoutier de la ville. Celui-ci la mit sur la balance et dit: "Elle vaut quatre cents deniers. Mais je n'ai pas autant d'argent liquide ici." - "Donnez- moi ce que vous avez; vous me devrez le reste," répondit le garçon. Le bijoutier lui donna trois cents deniers et reconnut lui en devoir encore cent autres. L'écolier rentra à la maison et dit: "Père, j'ai l'argent. Allez demander au voisin ce qu'il veut pour sa hache." - "Je le sais déjà," répondit le vieux: "un denier et six sols." - "Eh bien! donnez lui deux deniers et douze sols. Ça fait le double et c'est bien suffisant. Regardez, j'ai de l'argent de reste." Il donna cent deniers à son père et reprit: "Il ne vous en manquera jamais. Vivez à votre guise." - "Seigneur Dieu!" s'écria le vieux , "comment as-tu acquis une telle richesse?" L'écolier lui raconta ce qui s'était passé et comment, en comptant sur sa chance, il avait fait si bonne fortune. Avec l'argent qu'il avait en surplus, il repartit vers les hautes écoles et reprit ses études. Et comme, avec son chiffon, il pouvait guérir toutes les blessures, il devint le médecin le plus célèbre du monde entier. Le conte est lu par Jean NOEL
Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. Nous te louons, nous te bénissons, nous t'adorons, nous te glorifions, nous te rendons grâce, pour ton immense gloire, Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant, Seigneur Fils unique, Jésus-Christ, Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père, toi qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous; toi qui enlèves le péché du monde, reçois notre prière; toi qui es assis à la droite du Père, prends pitié de nous. Car toi seul es Saint, toi seul es Seigneur, toi seul es le Très -Haut: Jésus-Christ, avec le Saint-Esprit dans la gloire de Dieu le Père. Amen.