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durée : 00:11:39 - L'invité franceinfo soir - Le ministre de la Justice Gérald Darmanin souhaite faire payer aux détenus des frais d'incarcération afin que les sommes récoltées soient destinées à l'amélioration des conditions de travail des agents pénitentiaires.
Trop petit ou trop grand, trop gros ou trop maigre, un nez trop gros ou des lèvres trop fines… Les complexes peuvent tourner à l'obsession et nous rendre la vie difficile. Pourquoi certaines personnes sont-elles particulièrement vulnérables au jugement des autres, ce qui peut contribuer à faire naitre des complexes assez handicapants ? Cette sensibilité aux critiques est-elle plus importante à l'enfance ou l'adolescence ? Koro Camara, psychologue clinicienne et psychothérapeute en Seine-Saint-Denis.► Retrouvez l'émission en intégralité ici(Rediffusion)
Dieu veut que nos corps soient en bonne santé
Philippe Tabarot, Ministre chargé des Transports répond aux questions de Yoann Usaï au sujet des syndicats qui brandissent la menace d'une semaine noire à la SNCF. La CGT et Sud Rail appellent les contrôleurs à faire grève du 7 au 11 mai.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ESSENTIEL – Le rendez-vous culture – Sandrine Sebbane Elle reçoit Riss, caricaturiste, auteur de bande dessinée et directeur de publication du journal Charlie Hebdo pour « Ainsi soient-ils – A la recherche de la foi » paru aux éditions les Echappés. À propos de la bande dessinée : « Ainsi soient-ils – A la recherche de la foi » paru aux éditions les Echappés Dix ans après l'attentat du 7 janvier 2015 dans les locaux de Charlie Hebdo, une question demeure : comment des individus ont-ils pu commettre un tel crime au nom de la foi ? Pour tenter d'y répondre, Riss est allé à Jérusalem pour rencontrer des représentants des trois religions monothéistes - judaïsme, christianisme et islam. En confrontant ses convictions d'athée avec celles des croyants sur les thèmes de l'intolérance religieuse, de l'humour, de la représentation de Dieu, du blasphème, du doute ou encore de la liberté, Riss a rassemblé une série d'entretiens dans un documentaire, Ainsi soient-ils - À la recherche de la foi. Ce livre, agrémenté d'images d'archives, d'animations et de dessins inédits, en reproduit l'intégralité. Riss, alias Laurent Sourisseau, est un caricaturiste et auteur de bande dessinée français. Dessinateur engagé, Riss se fait connaître pour son sens de la caricature de la vie politique. Il prend très vite l'habitude de plonger son crayon dans l'actualité, notamment pour l'hebdomadaire satirique 'Charlie Hebdo'. Il est aussi l'auteur des hors séries 'Le Procès PAPON' et 'Le Procès TOUVIER'. L'artiste s'intéresse très longtemps aux grands procès criminels qui lui permettent d'être dessinateur pour la presse. En 2006, avec Philippe Cohen et Richard Malka, il sort 'La Face Karchée de Sarkozy', une investigation journalistique présentée sous la forme d'une bande dessinée. Le succès est au rendez-vous. En 2007, le deuxième opus, 'Sarko 1er', fait son apparition.
durée : 00:13:23 - L'invité franceinfo soir - Les députés de la commission des Lois ont adopté, mercredi, la proposition de loi visant à réformer le mode d'élection des maires de Paris, Lyon et Marseille, un an avant ces scrutins.
Une mère endeuillée déplore qu’on ait plus parlé des détenus privés de repas chauds que des victimes durant le procès. L'importance du corridor Toronto-Montréal dans l'approvisionnement en cocaïne. DISCUSSION CRIME ET SOCIÉTÉ avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de QuébecorPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après deux jours de discussions en Arabie saoudite sous l'égide des États-Unis, l'Ukraine et la Russie ont accepté un cessez-le-feu maritime, mais le Kremlin a aussitôt précisé que l'accord portant sur la mer Noire était conditionné à la levée de certaines sanctions occidentales, afin de faciliter ses propres exportations de céréales et d'engrais. Pour mieux comprendre les contours et les enjeux de cet accord, entretien avec Florent Parmentier, docteur en sciences politiques et secrétaire général du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof).
durée : 00:12:12 - L'invité de 7h50 du week-end - Le cinéaste Wes Anderson est l'invité d'Ali Baddou et Marion L'Hour, à l'occasion de la rétrospective que la Cinémathèque Française lui consacre. - invités : Wes Anderson - Wes Anderson : Cinéaste américain
Entrevue avec Mickaël Carlier, consultant en communications et impact social et fondateur de l’organisme Des hommes qui changent.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Candidate à la présidence du Comité international olympique, à l'occasion de la 144ᵉ session à Costa Navarino (Grèce) le 20 mars, la Zimbabwéenne de 41 ans, double championne olympique du 200 m dos en 2004 et 2008, membre de la Commission exécutive du CIO et ministre des Sports depuis 2018, détaille à RFI ses positions sur les grands enjeux auxquels l'institution est confrontée. RFI : Vous êtes la plus jeune candidate à cette élection, la seule femme et la première représentante d'Afrique à briguer la présidence du CIO. Êtes-vous le meilleur symbole de ce que devrait être le CIO au XXIe siècle ? Kirsty Coventry : J'espère que c'est ce que ressentent les membres du Comité, mais je veux aussi être la meilleure personne pour le poste, pas seulement en raison de mon genre ou de mon origine. Je veux que les membres sentent qu'ils peuvent avoir confiance en moi et qu'ils pensent que je serai la meilleure pour diriger notre incroyable organisation, en particulier dans cet avenir qui change si rapidement.En tant qu'ancienne sportive de haut niveau et ex-présidente de la commission des athlètes du CIO, vous êtes consciente des défis auxquels sont confrontés les athlètes, en particulier en Afrique, pour atteindre le plus haut niveau international. Quelle devrait être la priorité pour accroître leurs chances ?En tant qu'ancienne athlète, la partie la plus difficile de mon parcours a été de devenir championne olympique. C'est là que je pense que nous devrions concentrer un peu plus les programmes dédiés du CIO. Je veux également m'assurer que les voix des athlètes soient toujours entendues, car c'est ainsi que nous savons ce qu'ils attendent de nous, par le biais de la commission des athlètes, en veillant à ce que nous écoutions précisément ce dont les athlètes ont besoin, et comment nous pouvons travailler à leur protection et à leur soutien. En revanche, je ne crois pas aux primes [versées aux médaillés en athlétisme lors des JO de Paris 2024, une mesure annoncée par World Athletics, présidée par Sebastian Coe, autre candidat à la présidence du CIO, NDLR]. Encore une fois, en regardant mon parcours et en parlant aux athlètes autour de moi, la partie la plus difficile, c'est toujours avant de devenir champion olympique ou avant d'être célèbre. Une fois que vous l'êtes ou que vous avez gagné des médailles, beaucoup plus d'opportunités s'offrent à vous. La question est donc de savoir comment nous pouvons aider davantage d'athlètes à devenir champions ou finalistes olympiques. C'est comme ça que nous pourrons concerner davantage d'athlètes.À lire aussiLes sportifs de la solidarité olympique qualifiés pour les JO 2024Vous êtes très sensible à la place du sport féminin et à la représentation des athlètes féminines dans les médias. Quelle serait la première mesure que vous mettriez en œuvre dans ce domaine si vous étiez élue ?Au sein du mouvement olympique, nous avons déjà réussi à faire du bon travail pour la promotion de l'égalité des sexes. Il faut maintenant l'étendre. Nous avons besoin d'une meilleure représentation des femmes dans les fédérations internationales et dans les comités nationaux olympiques. On doit voir davantage d'opportunités pour les femmes entraîneurs et l'entourage des athlètes. Au lancement d'un programme ou lorsqu'on essaie de faire avancer quelque chose, les quotas jouent certainement un rôle parce qu'ils aident à changer la culture. Une fois que les gens ont adhéré à cette culture et qu'ils voient la véritable valeur d'avoir plus de diversité autour de la table, et que cela devient vraiment ancré dans la culture d'une organisation, alors les systèmes de quotas peuvent être supprimés. Donc, je pense vraiment qu'ils servent un objectif au début.La question des athlètes transgenres ou des personnes concernées par une différence de développement sexuel, comme la boxeuse algérienne Imane Khelif, médaillée d'or à Paris 2024, mais visée par des messages haineux sur les réseaux sociaux, reste controversée. Quel est votre avis à ce sujet ?Je veux m'assurer que nous protégeons la catégorie féminine et je crois que nous devons trouver une voie à suivre en le faisant collectivement avec les fédérations internationales. Le CIO doit jouer un rôle de premier plan et nous devons nous assurer, là encore, que nous protégeons et servons les athlètes. Ce que j'entends par « protéger les athlètes », c'est que lorsque l'une d'elles vit quelque chose comme ce qu'il s'est passé à Paris, ou si vous regardez le cas des athlètes à différence de développement sexuel, comme le cas bien connu de Caster Semenya, ça n'est pas géré avec sensibilité. Nous devrions faire beaucoup mieux, nous devons trouver une voie collective qui ne mette pas un athlète en danger.À lire aussiLa boxeuse algérienne Imane Khelif dénonce l'offensive judiciaire de la Fédération internationale de boxeLes Jeux olympiques de Paris 2024 ont été un grand succès populaire et financier pour le CIO. Est-ce désormais le modèle à suivre et comment ce succès peut-il être mis à profit pour engager la jeune génération dans un paysage médiatique en constante évolution ?Paris 2024 était exactement ce dont le monde avait besoin, surtout après le COVID. C'étaient des Jeux incroyables et extrêmement réussis, et nous devons utiliser cette plateforme en ce moment où tout le monde en parle encore. Le Comité d'organisation de Paris 2024 et Tony Estanguet ont fait un travail incroyable à travers le pays en engageant les jeunes, les écoliers, et en les impliquant dans le sport, et c'est la mission du CIO de construire un monde meilleur grâce au sport. Donc, la question est de savoir comment on peut utiliser ce qui a été fait à Paris 2024 et le répandre à travers le monde.Les JO devraient-ils être diffusés sur des plateformes telles que Netflix ?À mesure que nous allons vers l'avenir, Netflix, Apple TV, YouTube, ces entreprises de streaming en ligne, ne font que se renforcer. Et quand on regarde l'Afrique par exemple, dans quelques années, vous aurez plus d'un demi-milliard de jeunes de moins de 35 ans et la plupart d'entre eux auront des smartphones. Donc, si nous ne trouvons pas des moyens créatifs de nous connecter avec eux sur ces plateformes en ligne, ça sera vraiment une occasion manquée.Êtes-vous favorable au retour des athlètes russes et biélorusses aux Jeux olympiques, à commencer par Milan Cortina l'année prochaine, et sous quelles conditions ?Malheureusement, dans le monde d'aujourd'hui, nous allons surtout devoir faire face à la question de savoir comment protéger et soutenir les athlètes dans toutes les zones de conflit. Nous constatons de plus en plus de conflits en Afrique, vous en avez en Europe et au Moyen-Orient. Pour moi, nous devons créer un groupe de travail qui élaborera un cadre qui permettra de protéger et de soutenir les athlètes de toutes ces zones de conflit afin de les aider à participer aux Jeux. Au bout du compte, nous devons également nous assurer que tous les athlètes présents aux Jeux seront protégés. Donc, il pourrait être nécessaire de mettre en place différentes réglementations pour garantir que tous les athlètes sont soutenus et qu'il n'y en ait pas qui soient davantage protégés que d'autres.À lire aussiJO 2024: les Russes et Biélorusses ne défileront pas à la cérémonie d'ouverture à ParisVous êtes actuellement la présidente de la commission de coordination des Jeux olympiques de la jeunesse de Dakar 2026. Le succès de ces Jeux sera-t-il crucial pour la crédibilité de l'Afrique à accueillir un jour les Jeux olympiques ?Oui, à 100 %. C'est la première fois que le mouvement olympique vient en Afrique et peut découvrir notre enthousiasme, notre énergie, notre culture, et cette opportunité nous excite. Mais cela s'accompagne de beaucoup de responsabilités. Nous travaillons en étroite collaboration avec Dakar 2026 pour nous assurer de donner cette tribune au Sénégal, mais aussi à l'Afrique, pour montrer au monde ce que nous pouvons faire.En général, pensez-vous que les intérêts du sport africain sont suffisamment représentés au sommet du mouvement olympique et que feriez-vous pour améliorer les choses ?Il y a toujours des points que nous pouvons améliorer pour nous en assurer. L'une des grandes choses dont j'ai parlé aux membres du CIO serait d'essayer de trouver des moyens innovants de combler le fossé entre les comités nationaux olympiques qui sont très bien soutenus et bien gérés et ceux qui ont besoin de beaucoup plus de soutien, car encore en développement. L'utilisation de la technologie et de l'intelligence artificielle en particulier sera très importante pour combler ce fossé, car une fois qu'il sera un peu comblé, les pays en développement pourront consacrer plus de temps et d'argent à soutenir leurs athlètes, et nous pourrons alors voir plus de médailles gagnées dans le monde entier.Apprendrez-vous le français si vous êtes élue au CIO ?Oui (elle le dit en français, et en riant)… C'est une promesse que j'ai faite aux membres du CIO. C'est quelque chose que je prendrai très au sérieux. Nous avons une école française au Zimbabwe et j'ai déjà fait quelques démarches (rires). Ce serait certainement un grand honneur pour moi de pouvoir parler la langue de notre fondateur, Pierre de Coubertin !À lire aussiSur les traces des Jeux olympiques de 1924, à Paris et ailleurs
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Le port : la MPA émet un ordre pour que 11 bateaux soient retirés du port dans un délai de 15 jours
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 19 février 2025.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Frédéric Ploquin, journaliste et spécialiste du grand banditisme et auteur de l'ouvrage « Confessions d'un patriote corse : Des services secrets français au FLNC » aux éditions Fayard.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
durée : 00:17:18 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 10 février 2025 : le journaliste franco-afghan Mortaza Behboudi. Il publie "Femme, vie, liberté : un reporter infiltré au cœur de la révolte iranienne", aux éditions du Rocher.
Retour sur le caucus du Bloc Québécois Entrevue avec Alain Therrien, leader parlementaire du Bloc Québécois et député de La Prairie. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
"Jésus appela ceux qu'il voulait pour qu'ils soient avec lui" (Mc 3, 13-19)Méditation de l'évangile (Mc 3, 13-19) par le père Sebastien AntoniChant Final : "Je veux te suivre" par le groupe Praise
Écoutez une méditation quotidienne tirée du livre "Parle Seigneur, ton serviteur écoute". Les méditations de ce recueil proviennent d'exhortations données par Daniel Issarte dans le cadre de la vie de collaboration de la Mission Timothée : réunions d'équipe, voyages missionnaires, simples échanges fraternels. Il en ressort un ton assez personnel et une lecture du texte biblique qui se veut simple, pratique, à la rencontre des préoccupations du quotidien et de l'œuvre, en vue de la prière. Les sujets abordés sont très divers, mais chaque page et chaque sujet nous replacent devant cette interrogation cruciale : « Quand les fondements sont renversés, le juste, que ferait-il ? » (Psaume 11 : 13). Seule la révélation de l'Écriture est propre à nous guider dans une voie juste en toute circonstance. C'est en méditant le texte biblique dans un esprit d'écoute et de foi que nous la recevrons dans toute sa simplicité et sa force. Alors en ouvrant ce livre, nous pouvons disposer nos cœurs comme le jeune Samuel et dire à sa suite « Parle Seigneur, ton Serviteur écoute » (1 Samuel 3 : 10). https://www.missiontimothee.fr/media/153/Parle-Seigneur-ton-serviteur-écoute
Depuis la mi-novembre les poubelles sont ramassées aux deux semaines dans l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve et ça ne plait pas aux citoyens. Entrevue avec André-Philippe Doré, citoyen engagé dans la Ligue 33 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un agent correctionnel à été agressé par un détenu dimanche à l'établissement de détention de Sorel-Tracy. Entrevue avec Mathieu Lavoie, président du Syndicat des agents correctionnels. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la peine de Pierre Palmade.
C'est une championne apaisée qui est venue au micro de #Belletrace. Après un retour des Jeux paralympiques de Tokyo, frustrée du peu de reconnaissance de ses médailles, de discriminations ressenties, elle a beaucoup œuvré pour faire évoluer les conditions d'entrainement des femmes et lutté contre les discriminations. Lors de Paris 2024 elle a récolté les fruits de son travail et de ses engagements avec son entraineur Grégory Baugé pour vivre cette journée magique, pleine d'émotions où elle a réussi à trouver cet état de « flow » qui va la porter vers le titre paralympique.Marie Patouillet qui est médecin militaire, nous partage son parcours unique et inspirant. Elle n'a jamais douté, est fière de ses valeurs et compte bien continuer à transmettre sa passion.Un épisode riche avec une athlète hors norme qui a commencé par le ski ;)) Avant le départ de la poursuite ma compagne me dit : « oublie la compétition oublie la médaille, fais que tes derniers tours soient magiques »#jeuxparalympiques #cyclisme #championne #inclusion #valeurs #engagement #flow #podcastsport#medecine #armée #équité #femmes Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Agnès Verdier-Molinié examine en détail les implications de la réforme du RSA qui entrera en vigueur au 1er janvier 2025.Avec cette loi, tous les bénéficiaires du RSA devront désormais s'inscrire auprès de France Travail, l'agence qui a remplacé Pôle Emploi. Une mesure qui pourrait faire bondir le nombre de demandeurs d'emploi inscrits, faisant passer le taux de chômage officiel au-delà des 8 %.Cependant, le gouvernement semble vouloir éviter cette hausse statistique en créant deux nouvelles catégories de chômeurs - la catégorie F pour les allocataires orientés vers un parcours social, et la catégorie G pour ceux en attente d'orientation. Ces personnes seraient alors exemptées de l'obligation de recherche d'emploi et ne seraient donc pas comptabilisées dans les statistiques du chômage.L'experte décrypte les enjeux de cette réforme et s'interroge sur la sincérité des chiffres du chômage qui en résulteront. Elle analyse également les différences avec les pratiques des pays du Nord de l'Europe, où le lien entre perception d'aides et recherche active d'emploi est plus étroit.Cet épisode offre un éclairage essentiel sur les coulisses de la mesure phare de la loi Pleine Emploi, et invite à s'interroger sur la volonté réelle de refléter fidèlement la situation de l'emploi en France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Ce mardi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse aux enjeux de la réforme du RSA.
durée : 00:28:04 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Il y a presque 10 ans paraissait "Cigish ou le Maître du Je", étonnante BD de l'autrice et dessinatrice Florence Dupré la Tour qui relatait son expérience de crise existentielle qui l'a menée à vivre sa vie sous les traits de Cigish, son personnage préféré de jeu de rôle, surprise : la BD a reparu. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Florence Dupré la Tour Autrice de bande dessinée
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des informations d'Europe 1, selon lesquelles le médecin de l'Assemblée nationale suivrait plusieurs députés pour toxicomanie.
Aujourd'hui, Elina Dumont, Didier Giraud et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:19:14 - Journal de 18h - A l'ONU, le Premier ministre israélien exclut de faire taire les armes alors que les frappes aériennes de l'armée israélienne contre le Hezbollah continuent sur le sud Liban.
En Côte d'Ivoire, la présidentielle doit avoir lieu en octobre 2025. Mais, déjà, le ton monte entre le pouvoir et l'opposition. Celle-ci réclame une réforme du système électoral, notamment une refonte de la Commission électorale indépendante (CEI), qu'elle juge partisane. Alors la CEI est-elle crédible ? Et que pense-t-elle de l'hypothèse d'une élection l'an prochain en l'absence de l'ancien président Laurent Gbagbo ? Le président de la CEI, le magistrat Coulibaly Kuibiert Ibrahime, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Coulibaly Kuibiert Ibrahime, en Côte d'Ivoire, la composition de la Commission électorale indépendante (CEI) que vous présidez, fait polémique entre pouvoir et opposition. Sur le papier, tout cela paraît assez équilibré, mais le vrai point de bascule, ce sont les six représentants de la société civile. Est-ce que les représentants du Conseil national des droits de l'homme par exemple et des cinq autres ONG qui siègent à la CEI ne penchent pas un peu, beaucoup pour le pouvoir ?Coulibaly Kuibiert Ibrahime : Ah ça, je ne saurais le dire ! Pour moi, les partis politiques peuvent faire des alliances, peuvent amener à avoir des membres de la société civile à leurs profits. C'est ce qui peut justifier une certaine position. Mais moi, je ne suis pas dans le secret des dieux, je ne suis pas un initié. La loi a dit qu'il faut six membres de la société civile. Maintenant, si ces six membres de la société civile penchent à gauche ou à droite, c'est une question d'indépendance personnelle.En tout cas, la CEI n'est pas jugée crédible par l'opposition. Est-ce qu'il ne faut pas la reformer ?Pour quel objectif ?Pour qu'il y ait consensus ?Oui, mais tous sont là. Le PDCI est représenté, le PPA-CI est représenté, le FPI est représenté, les partis politiques de l'opposition par groupement sont représentés. Alors j'ai dit, qu'on nous dise ce qu'on reproche à la Commission électorale indépendante.Peut-être qu'on connaîtrait les demandes particulières de l'opposition s'il y avait un dialogue entre le pouvoir et l'opposition sur ce sujet ?Ah ben, oui ! Bon ça, ça ne relève pas de la Commission électorale indépendante !Donc vous êtes d'accord avec l'idée d'un dialogue sur ce sujet ?Oui, peut-être ! Mais, on est au 5e dialogue politique.Autre pomme de discorde, les interdictions pour Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, d'être candidats à la présidentielle de l'an prochain.Oui !Est-ce que l'exclusion est une solution ?Ben, je ne saurais présenter la chose de cette façon. La loi dit qu'il ne faut pas être condamné. Parce que la condamnation peut vous déchoir de vos droits civils et politiques. Il se trouve que les personnalités, dont vous faites état, ont été privées de leurs droits civils et politiques à la suite d'une condamnation pénale. Bon, la Commission électorale, à l'occasion de la révision, écrit au ministère de la Justice : Pouvez-vous nous donner le nom de toutes les personnes qui sont déchues de leurs droits civils et politiques ? Donc, quand on nous donne la liste, nous en tirons les conséquences. Ces personnes sont des milliers !Oui, mais-là, on parle d'un ancien président de la République.Oui !Est-ce que vous avez une opinion personnelle là-dessus ?Non pas du tout ! Parce qu'un ancien président de la République en Afrique du Sud, Monsieur Jacob Zuma, a été déchu de ses droits civils et politiques. Un ancien président en Mauritanie a été déchu de ses droits civils et politiques. Conséquences, ils ont tous été radiés de la liste électorale. Ce n'est pas propre à la Côte d'Ivoire. Moi, je n'apprécie pas s'il méritait d'être déchu de ses droits civiques ou non. Mais je dis que, dès qu'une décision de justice l'atteste, nous en tirons les conséquences.Alors vous faites une comparaison avec l'Afrique du Sud et la Mauritanie, mais là, on est en Côte d'Ivoire. Et politiquement, vous vous en souvenez, quand le candidat Alassane Ouattara a été exclu du scrutin il y a 25 ans, il y a eu beaucoup de troubles dans votre pays. Est-ce que vous ne craignez pas aujourd'hui que l'exclusion de Laurent Gbagbo ne produise les mêmes effets ?Bon, vraiment, je n'ai pas d'opinion sur la question, mais je ne sais pas si c'est la même situation qui a justifié l'exclusion du président Alassane Dramane Ouattara. Pour moi, tout ce qui peut apporter la paix, c'est ce qui serait intéressant.Qu'est-ce qui peut apporter la paix justement ?La bonne foi. Moi, je voudrais bien que les acteurs politiques soient de bonne foi. Parce que, voyez-vous, quand une institution de la République est créée pour mener une mission, il faut que les citoyens accordent tout le crédit à cette institution, jusqu'à ce qu'elle rapporte la preuve qu'elle n'est pas digne, ou bien que ses animateurs ne sont pas dignes de mener cette mission. Mais quand vous jetez le discrédit sur l'institution parce que vous êtes en difficulté, mais ce n'est pas bon, alors que vous savez bien que ce n'est pas vrai.Donc, vous en voulez à l'opposition de dire que votre Commission n'est pas crédible ?Oui, parce qu'ils n'ont pas d'éléments. Moi, je veux bien qu'on me rapporte des éléments. Mais l'élection n'est bonne que lorsqu'ils l'ont gagnée. Mais ce n'est pas comme ça que ça fonctionne. Donc la Commission n'a rien à voir là-dedans. Elle n'est même pas partie au procès. Nous ne faisons qu'organiser des élections. Et je vous dis, il y a des grandes personnalités de l'opposition qui ont été élues face à des grandes personnalités politiques du pouvoir, Monsieur Kafana à Yopougon.Ah, vous parlez des législatives ?Des législatives, par exemple, Monsieur Ahoussou Jeannot à Port-Bouët, le ministre Siandou Fofana. Mais, il y a bon nombre des candidats qui sont de l'opposition qui ont été élus, sur la base de cette liste électorale et par cette Commission électorale qui ne semble pas être crédible. C'est pour ça que je dis qu'ils fassent un peu preuve de bonne foi. Le problème, ce n'est pas la Commission électorale indépendante. Le problème, c'est d'aller convaincre la population de la pertinence de leur offre politique et sociale, c'est ça le plus important.À lire aussiPrésidentielle 2025 en Côte d'Ivoire: Guillaume Soro décide de saisir la main tendue par Laurent Gbagbo
durée : 00:19:14 - Journal de 18h - A l'ONU, le Premier ministre israélien exclut de faire taire les armes alors que les frappes aériennes de l'armée israélienne contre le Hezbollah continuent sur le sud Liban.
Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l'amour de Dieu, et la communication du Saint-Esprit, soient avec vous tous! --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/haitianhelpinghands/support
Réalisateur, scénariste, producteur, metteur en scène et même ancien joueur professionnel de volley-ball, Elie Chouraqui n'est pas un homme comme les autres. Sa carrière est à l'image de sa vie, courageuse, variée, intense, mouvante. Alors son enfance très heureuse, les hommes qui lui ont servi de modèle, la disparition de sa mère alors qu'il n'était encore qu'un jeune homme, Otis Redding, Claude Lelouch, Anouk Aimée, son plus beau souvenir de tournage, mais aussi le recul qu'il a eu besoin de prendre avec le cinéma, la comédie musicale "Les dix commandements" ou encore son grand-père, gardien au musée du Louvre et le film qu'il a décidé de lui consacrer et son engagment contre les violences faites aux femmes et aux enfants. Tout cela et bien plus encore, c'est à découvrir dans ce nouvel épisode de "Tant qu'il y aura des hommes".Bonne écoute et merci de votre fidèlité.Générique composé par le merveilleux Jean Thévenin.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
durée : 00:07:16 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - C'est un athlète des sautes d'humeur ! Ex patineur artistique et néo humoriste, François Mallet a fait de son trouble bipolaire la matière de son spectacle « Heureux soient les fêlés » ! Il est ce matin l'invité de Mathilde Serrell. - réalisé par : Lucie Lemarchand
durée : 00:39:03 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - India Mahdavi partage son enfance entre les États-Unis, l'Allemagne et la France. Diplômée en architecture, en design industriel et en graphisme, elle a remis de la couleur dans l'architecture intérieure et réenchanté nos vies. Elle lève le voile sur ses sources d'inspiration. - invités : India Mahdavi Architecte et designer
A l'occasion de la Journée Nelson Mandela, qui marque notamment l'adoption par l'Assemblée générale des principes Mandela pour le respect des droits humains des personnes en détention, les Nations Unies ont publié un rapport sur les conditions de détention en République centrafricaine.« C'est une image assez sombre que dessine ce rapport sur la situation des lieux de détention en République centrafricaine », a déclaré au micro d'ONU Info Thameen Al-Kheetan, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), au sujet du rapport conjoint du HCDH et de la Mission de paix de l'ONU en République centrafricaine (MINUSCA).Le rapport signale que des mesures urgentes sont nécessaires pour garantir le respect des droits humains dans les lieux de détention en RCA, où la torture, les mauvais traitements, les arrestations et détentions illégales et arbitraires, la malnutrition, la faiblesse des services de santé, les conditions d'hygiène et la surpopulation sont monnaie courante.« Aujourd'hui c'est la Journée de Mandela et la Centrafrique fait partie de ce continent qui est fier de Nelson Mandela et de ce qu'il a pu réaliser », a expliqué M. Al-Kheetan, ajoutant qu'il est encore « plus nécessaire aujourd'hui pour les autorités en Centrafrique de poursuivre le chemin des réformes et de répondre à ces violations des droits humains dont parle le rapport ».Le porte-parole signale les propos du Haut-commissaire, Volker Türk, qui a appelé à une action « concrète et urgente de la part des autorités en Centrafrique pour répondre à toutes ces violations ».« Il faut aussi tout simplement améliorer les conditions de détention, c'est-à-dire offrir aux personnes en situation de détention leur droit à la santé, à la nourriture, à l'eau, et traiter les lieux insalubres pour qu'ils soient dignes d'accueillir des êtres humains », fait valoir le défenseur des droits humains.(Entretien : Thameen Al-Kheetan, porte-parole du bureau du Haut-Commissaire aux droits de l'homme ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Le Congo-Brazzaville a organisé début juillet un sommet international sur l'afforestation et le reboisement auquel ont participé une demi-douzaine de chefs d'État africains. Est-ce un sommet de plus ? Quel en est le bilan ? Quel est l'état de la forêt congolaise ? Rosalie Matondo, la ministre de l'Économie forestière du Congo-Brazzaville, est notre invitée ce matin. À lire aussiÀ Brazzaville, des chefs d'État demandent plus de financements pour reboiser les forêts africaines
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Etienne Liébig et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Pour ce deuxième entretien consacré à André S. Labarthe, Estelle Fredet rejoint Jean-Paul Fargier. Elle a consacré un film au réalisateur et critique, "Il était une fois André S. Labarthe", avant de réaliser avec lui un portrait de Bernadette Lafont. Entretien 2/3 par Albane Penaranda. - invités : Estelle Fredet Réalisatrice, photographe.; Jean-Paul Fargier Cinéaste, critique de cinéma
durée : 00:09:58 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Annick Cojean nous contacte depuis le festival Étonnants voyageurs (en partenariat avec France Inter) pour nous parler son livre "Nous y étions, 18 vétérans racontent leurs D-Day" (Grasset). La grand reporter au Monde, prix Albert Londres, est notre invitée de 7h50.
« Qu'ils soient un comme nous-mêmes » (Jn 17, 11b-19)Méditation par la Pasteure Magali GirardChant Final : "Père unis nous tous" par Reflets
« Qu'ils soient un, comme nous-mêmes » (Jn 17, 11b-19)Méditation de l'évangile (Jn 17, 11b-19) par la Pasteur Magali GirardChant Final : "Père qu'ils soient un" par Chemin neuf
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.