“Femmes d’Art”, c’est le podcast dédié aux femmes qui font le monde de l’art. Chaque semaine, je vous embarque dans la vie d’une femme, artiste, collectionneuse, galeriste ou encore curatrice. Ces femmes me parlent de leurs parcours, de leur rapport à l’art, d’inspiration, de création, et de leur vision du monde de l’art aujourd’hui. Je vous donne aussi rendez-vous sur Instagram (@femmesdart_), où je partage le travail de mes invitées. Par Marie-Stéphanie Servos
⭐⭐⭐ JE VOUS PARLE DU LIVRE « FEMMES D'ART » ⭐⭐⭐ Bonjour à toutes et à tous ! Aujourd'hui, je vous parle un peu plus en détails de « Femmes d'art », mon livre qui sortira en librairie dans un mois pile, le 26 octobre, et qui est d'ores et déjà disponible à la précommande via le lien suivant : https://livre.fnac.com/a16129961/Marie-Stephanie-Servos-Femmes-d-art?awc=12665_1630616685_37b51081363effd1ca5d533d1b800793&ectrans=1&Origin=Awin936387 A quoi va ressembler le livre ? Que pourra-t-on trouver dedans ? Je réponds à toutes ces questions dans cet épisode. Voici un petit sommaire pour vous repérer : 00'00 INTRODUCTION 00'20 Comment est né le projet ? 01'05 A quoi ressemble le livre ? 01'45 Que pourra-t-on trouver dedans / de quoi parle-t-il ? 04'17 Quel est l'objectif du livre ? 04'35 Ou sera-t-il vendu ? 04'49 Est-ce qu'il y aura des signatures ? Pour être au courant des dates de signatures, rendez-vous sur le compte Instagram de @femmesdart_ ou dans la newsletter mensuelle (pour s'inscrire, il suffit d'envoyer un mail à femmesdart@gmail.com). A très vite ! Marie-Stéphanie • Crédits : Femmes d'art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine dans le podcast je reçois l'incontournable ORLAN, l'une des artistes françaises les plus connues ! Incontournable, elle l'est non seulement par son travail, prolifique, engagé, multiple... mais aussi parce qu'ORLAN est reconnaissable, et c'est peu dire : si vous la croisez dans la rue, vous ne pourrez pas la manquer ! Un look assez rock, une chevelure bicolore, des lunettes incroyables et des yeux surmontés de deux implants en forme de bosses, car vous l'entendrez, si elle travaille une multiplicité de médiums, son corps est aussi sa principale œuvre. C'est d'ailleurs à travers lui que dès les années 1960, elle interroge le statut du corps dans la société, et plus particulièrement celui des femmes, et qu'elle dénonce la violence qui lui est faite, et les visions stéréotypées qui lui sont associées. ORLAN est engagée, radicalement. Et c'est entre autres de cet engagement dont nous parlons dans cet épisode et de comment il s'inscrit dans son travail. Ensemble, nous sommes aussi revenues sur ses œuvres les plus emblématiques, comme Le baiser de l'artiste, une performance réalisée en 1977 et interdite par la FIAC, qui a fait scandale à l'époque. Nous avons également parlé de la série d'interventions chirurgicales dans laquelle elle s'est mise en scène dans les années 90, dans une retransmission en direct. ORLAN devient alors sa propre œuvre. Bien sûr, dans cet épisode nous parlons aussi de son enfance, de son parcours et de nombreuses autres choses. Le reste est dans l'épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur ORLAN : www.orlan.eu Vous pouvez aussi la suivre sur Instagram : www.instagram.com/orlan.officiel • Crédits : Femmes d'art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Je sais à quel point vous devez être heureux et heureuses ! Oui, ça y est, les lieux culturels ont enfin rouverts. J’espère que vous avez réservé vos billets, car le programme est vaste. Pour célébrer cette réouverture, j’avais envie de mettre en lumière une exposition qui m’a marquée, et de questionner pour cela la femme qui en est à l’origine. Je reçois cette semaine dans le podcast Odile Burluraux. Odile est conservatrice au Musée d’art Moderne de Paris et commissaire d’exposition. Elle a notamment signé plusieurs expositions d’envergure pour le Musée, comme celle, en 2013, sur Keith Haring ou plus récemment, en 2019, celle sur Hans Hartung. Mais Odile Burluraux est aussi à l’origine de l’exposition “The Power of My Hands. Afrique(s) : artistes femmes”, qui après avoir été maintes fois repoussée en raison de la crise sanitaire, va enfin pouvoir ouvrir au public. Cette exposition présente le travail de 16 femmes artistes africaines, qui pour la plupart n’ont jamais été montrées en France. Parmi elles, Billie Zangewa, Gabrielle Goliath ou encore Njideka Akunyili Crosby… Et vous vous souvenez peut-être, il y a quelques semaines, lors de la semaine spéciale art contemporain africain sur le compte Instagram de Femmes d’art, je vous avais emmené découvrir mes trois œuvres coups de cœur de l’exposition. La vidéo est d'ailleurs à revoir ici : www.femmes-dart.com/2021/03/17/video-femmes-dart-visite-the-power-of-my-hands-la-prochaine-expo-du-musee-dart-moderne-de-paris/ Dans cet épisode, nous parlons avec Odile de son parcours, de son métier de conservatrice et de commissaire, elle me donne aussi son regard sur la place des femmes dans les collections des musées, et me parle de son intérêt pour les artistes issu.e.s du continent africain. Et bien évidemment, nous parlons de l’exposition The Power of My Hands. J’espère que cet épisode vous plaira, et qu’il vous donnera envie autant que moi de retourner dans les musées… Bref, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur l'exposition : www.mam.paris.fr/fr/expositions/exposition-power-my-hands • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, j’avais envie de vous parler de l’une de mes artistes préférées, l’immense Georgia O’Keeffe, la seule femme peintre de la première vague de l’abstractionnisme américain. Si vous ne connaissez pas son nom, vous connaissez sans doute son travail, et notamment ses très nombreuses peintures de fleurs géantes, réalisées dans les années 1920. Ces œuvres sont tout simplement sublimes, et elles semblent tellement contemporaines, alors mêmes qu’elles ont été réalisées il y a un siècle. Ce qu’il faut savoir, c’est qu'à l’époque, la critique s’est immédiatement emparée des gros plans de fleurs de Georgia O’Keeffe, mais pas forcément pour les bonnes raisons... Beaucoup de choses ont été dites à leur sujet : ses fleurs ont été perçues comme hautement érotiques, sexuelles… et on a longtemps dit qu’elles auraient en fait été des interprétations du sexe féminin et du sexe masculin. Une analogie qui ne correspond pourtant pas du tout à la volonté de l’artiste, qui, si elle s'est certes emparée d'un sujet traditionnellement féminin, avait en fait tout simplement révolutionné l’approche de la peinture florale, en y apportant un zoom quasi photographique. Georgia O'Keeffe est une pionnière, et une femme d’un immense talent qui a poussé son travail toujours plus loin, jusqu’à la fin de sa vie, à la veille de ses cent ans. Alors pour comprendre qui elle était, il faut revenir sur son parcours. Dans lequel je vous emmène dans cet épisode... Bonne écoute ! • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Accrochez-vous, cette semaine dans le podcast on va parler art et recherche… Et plus précisément, sculpture et réalité virtuelle. Ce n’est pas un sujet facile et dont j’ai l’habitude de parler ici, mais vous l’entendrez c’est passionnant. Cette semaine, je reçois Marion Roche. Marion est artiste pluridisciplinaire autodidacte et chercheuse, et elle a récemment reçu le Prix MAIF pour la sculpture 2021 pour son projet “Je viens de te voir en rêve”. Pour ce projet, Marion s’est lancée un défi un peu fou, rendre l’impalpable réel. Je m’explique : elle veut représenter les rêves, ses rêves, dans une sculpture réelle, faite de métal et de résine transparente et qui serait animée au contact de l’humidité, mais qui aurait été pensée entièrement à l'aide de la réalité virtuelle. Dit comme ça, ça semble fou. Et il y a de quoi, puisque son projet recouvre deux enjeux : celui de développer cette technologie particulière, et celui d’être capable de rendre visible ses rêves. Concrètement, la sculpture devrait ressembler à une grosse fleur blanche, avec de gros bourgeons qui ressemblent à du verre, mais surtout, elle devrait donc être changeante, et réagir à l’humidité, une œuvre physique donc, mais aussi éphémère. Bref, vous voyez, c’est fou. Dans cet épisode, on parle avec Marion de son parcours, des rêves, de philosophie, de sculpture et de nouvelles technologies entre autres. Elle me raconte notamment être arrivée à la sculpture par la musique, et s’être d’abord intéressée au métal, à mille lieux donc, de la réalité virtuelle qu’elle explore aujourd’hui. Elle nous explique aussi la réalisation de “Je viens de te voir en rêve” de A à Z. Bref, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Marion Roche : www.marionroche.com • Cet épisode a été réalisé avec le soutien de MAIF dans le cadre du Prix MAIF pour la sculpture 2021. • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je vous emmène à la rencontre d’une artiste qui me touche profondément : Agnès Thurnauer. Agnès est peintre et plasticienne, elle évolue entre la peinture, le collage, la sculpture, et ses œuvres alternent abstraction et figuration ; elle s’inspire beaucoup des mots, dont chacun a une importance particulière pour elle, elle explore aussi l’histoire de l’art, et y questionne la place des femmes. Ses œuvres les plus emblématiques sont très reconnaissables : de grands tondi, qui ressemblent à des badges géants, sur lesquels sont écrits des noms d’artistes dont le genre est inversé : cela donne par exemple "Louis Bourgeois" ou encore "Francine Picabia". C’est d’ailleurs très jeune qu’Agnès Thurnauer se pose la question, à une époque où les modèles d’artistes femmes manquent cruellement : mais pourquoi donc les femmes artistes sont-elles absentes des musées ? Alors qu’elle est en CE1, elle pose même la question à son institutrice, qui la regarde les yeux écarquillés. Sa conscience se développe, et elle se met en quête de ces femmes, qu’elle trouvera, et qu’elle place aujourd’hui au cœur de son travail. Dans cet épisode, nous parlons de tout cela. Agnès Thurnauer me raconte aussi comment, pendant de longues années, de son diplôme des arts décos à l’aube de ses quarante ans, elle s’est isolée dans la chaleur de son atelier pour créer, sans quête d’une quelconque célébrité. Pourtant, du jour au lendemain, elle se retrouve propulsée dans de très belles expositions, au Palais de Tokyo notamment, où elle est l’une des premières peintres à être présentée. Mais elle me raconte aussi comment, arrivée à la quarantaine justement, elle a connu ce creux que de nombreuses autres artistes connaissent : plus assez jeune pour plaire aux défricheurs, mais pas encore assez chenue pour bénéficier d’un revival, comme l’a écrit une journaliste à son propos. Cet épisode est doux et poétique, à l’instar d’Agnès, et j’espère qu’il vous plaira. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Agnès Thurnauer : www.agnesthurnauer.net Pour retrouver Agnès Thurnauer sur Instagram : www.instagram.com/agnesthurnauer • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois Nathalie Guiot. Cette ancienne journaliste, auteure d’un livre pamphlet sur les VIP du monde de l’art contemporain est aujourd’hui la fondatrice de la fondation Thalie à Bruxelles, et une collectionneuse engagée, qui soutient un grand nombre de femmes artistes parmi lesquelles Tatiana Trouvé, Caroline Achaintre ou encore Camille Henrot pour ne citer qu’elles. Dans cet échange, Nathalie revient sur sa passion pour l’art, qui a mis un certain temps à évoluer vers le contemporain, elle me parle de son passé de journaliste, de ce qui a motivé l’idée de la création de la Fondation Thalie, de sa vision de la collection, de son engagement pour les femmes artistes et de ses nombreux autres projets. Le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur la Fondation Thalie et ses activités : www.fondationthalie.org/fr • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois la galeriste Cécile Fakhoury. Cécile est française, mais abidjanaise d’adoption, puisqu’après s’être installée en Côte d’Ivoire en 2012, elle a ouvert une première galerie d’art contemporain à Abidjan, puis une seconde en 2018 à Dakar. Une galerie qu’elle veut ancrée sur le territoire, mais aussi à l’international, un délicat équilibre dont on parle notamment dans cet épisode. Dans cet échange, Cécile Fakhoury me parle de son parcours, de son éducation dans une famille de galeristes et de sa découverte de l’art contemporain. Elle me parle aussi de sa vision de la galerie, de son aventure entrepreneuriale, de l’audace dont elle a dû faire preuve et de sa quête constante de liberté dans ses convictions, dans ses choix des artistes qu’elle défend et représente. Mais avec Cécile, on a aussi parlé du marché de l’art contemporain africain ou plutôt des marchés qui existent sur le continent, de comment ils se structurent et continuent de se structurer, et puis on a évoqué la question délicate de la restitution des oeuvres, et de comment les galeristes implantés en Afrique doivent assurer un équilibre pour faire en sorte de ne pas reproduire les erreurs du passé. Et évidemment, dans tout ça on a parlé de la question de la place des femmes artistes dans l’art contemporain africain, et de l’importance de braquer les projecteurs sur leur travail. Le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur les trois espaces de la galerie Cécile Fakhoury (Abidjan, Dakar et Paris) : www.cecilefakhoury.com Pour retrouver Cécile Fakhoury sur Instagram : www.instagram.com/galeriececilefakhoury • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je vous emmène à la découverte de l’art olfactif, un art qui “promet d’être respiré”, selon la définition de mon invitée. Dans cet épisode, je reçois Sandra Barré, elle est critique d’art, commissaire d’exposition et spécialiste de l’histoire de l’art olfactif. Et devinez quoi ? L’histoire de l’art olfactif a beaucoup à voir avec les femmes artistes, car elles se sont très vite emparées de cette forme d’art pour se réapproprier la façon dont on les représente. C’est en gros une façon de déjouer le fameux “male gaze” dont on parle si souvent, à savoir, le regard porté par les hommes sur les femmes, leurs corps, leur représentation. Mais l’art olfactif, c’est surtout un art qui touche un autre sens, et pas forcément le plus évident, vous l’aurez compris, il s’agit de notre nez. Finalement, aborder l’art par l’odorat permet d’élargir le champ des possibles. Mais vous verrez, Sandra parle de tout cela bien mieux que moi. Dans cet épisode, nous parlons bien évidemment de son parcours, nous parlons de l'œuvre d’art olfactive, et de la façon dont les femmes artistes se sont, dès les années 1960, emparées de cette forme d’art pour parler d’elles et de leurs corps. On parle aussi de féminisme, et Sandra me fait part de son regard sur la place des femmes dans le monde de l’art. Le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • L'exposition “Odore, l’art, l’odeur et le sacré” est à voir jusqu’au 20 février à la galerie Pauline Pavec dans le 3e à Paris. Pour suivre Sandra Barré : www.instagram.com/sandra_barre • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, c’est l’artiste plasticienne et sculptrice Prune Nourry qui m’accompagne dans le podcast. Prune Nourry, vous en avez sans doute déjà entendu parler, si vous suivez Femmes d’art sur Instagram, mais aussi et surtout si vous vous êtes rendu.e.s au Bon Marché très récemment. Si c’est le cas, impossible que vous ayez loupé cette immense installation habillant l'escalier central du Bon Marché : “L’Amazone Érogène”. On dirait une cible géante, visée par plusieurs centaines de flèches en bois. C’est assez impressionnant. Mais vous verrez, Prune en parle beaucoup mieux que moi. Dans cet épisode, nous retraçons le parcours intime et professionnel de Prune Nourry, à travers des épreuves, des combats personnels qui sont ensuite devenus des œuvres à part entière parmi lesquelles un film, Serendipity, dans lequel l’artiste raconte le quotidien de son combat contre un cancer du sein. Prune Nourry m’explique comment, face à une telle épreuve, l’art peut devenir un exutoire, mais aussi toute la difficulté pour l’artiste de tourner la caméra vers soi, ou quand l'œuvre devient miroir. Avec Prune, nous parlons aussi de ses thèmes de prédilection : le rapport au corps, la femme, la fertilité, la procréation médicalement assistée ou encore le mythe de l’enfant parfait… Et bien sûr, elle me donne aussi sa définition de l’art, sa vision du féminisme et on se demande, si oui ou non, l’artiste doit forcément être engagé.e. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Prune Nourry : Son site internet : www.prunenourry.com Sa page Instagram : www.instagram.com/prune • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, c’est un peu de soleil libanais qui s’invite dans le podcast… C’est pourtant sous un ciel parisien bien gris que j’ai rencontré la peintre Christine Safa, un dimanche matin, dans son atelier du 8e arrondissement parisien. Christine Safa n’a pas 30 ans, mais elle est déjà citée parmi les valeurs montantes du monde de l’art. J’ai découvert son travail il y a quelque temps, et j’ai littéralement été subjuguée. Je vous invite d’ailleurs dès maintenant à vous rendre sur son compte instagram @christinesafa, ou à taper son nom dans Google pour avoir un aperçu de son travail. Christine peint de très grandes et de très petites toiles sur lesquelles elle représente les paysages libanais de son enfance, un pays dans lequel elle n’est pourtant pas née, mais où elle a passé toutes ses vacances et auquel elle a un attachement très spécial. De ses paysages, à la frontière entre l’abstraction et la figuration, on découvre des horizons, parfois formés par des visages ou des corps que l’on confond avec une dune, une montagne. Sa palette de couleurs est restreinte mais vive, puissante, elle navigue du orange au bleu, en passant par le rouge, le jaune, l’ocre… Certains la comparent à Etel Adnan, une artiste qu’elle admire tout particulièrement, et aux côtés de laquelle elle expose à Paris dès le samedi 30 janvier. On vous en dit plus sur cette expo à la fin de l’épisode. Dans cet entretien, Christine me parle de son parcours, de sa décision de devenir artiste, un choix au départ jugé audacieux par ses proches ; nous parlons aussi bien sûr de son rapport au Liban, de comment ses origines nourrissent son travail, à travers des souvenirs, des paysages, et bien sûr à travers une actualité dense et souvent marquante… Christine me parle aussi de son rapport à l’art, de ce qu’est, pour elle, être une femme artiste en 2021, et de nombreuses autres choses. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Christine Safa : www.instagram.com/christinesafa "Horizons", exposition curatée par Etel Adnan chez Levy Gorgy à Paris dès le 30/01/21. • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
⭐⭐⭐ Episode spécial coulisses de Femmes d'art, FAQ et projets 2021 ⭐⭐⭐ Cette semaine, c'est un épisode un peu spécial que je vous propose puisque je réponds à toutes les questions que vous m'avez posé sur Instagram. Je vous parle notamment : -de mon parcours et de mon métier de journaliste -de la genèse de Femmes d'art, et de ma prise de conscience en ce qui concerne la place des femmes dans le monde de l'art -je vous explique comment je sélectionne mes invitées -je vous raconte toutes les évolutions de 2020 (le magazine, le Club, la team des rédactrices...) -mais aussi comment je me finance, et pourquoi je suis à la recherche de sponsors -et je vous parle bien sûr de tous les beaux projets à venir en 2021 ! Pour soutenir le podcast, n'oubliez pas de mettre un commentaire ou cinq ⭐ sur votre plateforme d'écoute préférée ! Bonne écoute, et à tout de suite sur Instagram ! • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Je vous souhaite une merveilleuse nouvelle année ! Collectivement, nous avons tous l’envie profonde que 2021 soit meilleure que 2020, que nous puissions enfin revivre et rêver à nouveau. Pour ce tout premier épisode de l’année, je vous propose justement de rêver un peu. Rêver à travers le parcours et le quotidien de Camille de Foresta, commissaire-priseur et expert de l’art d’Asie chez Christie’s. Qui n’a jamais été intrigué par l’univers des ventes aux enchères ? Qui n’a jamais eu envie de se glisser, telle une petite souris, dans les réserves de ces prestigieuses maisons, qui voient passer des chefs d'œuvres parfois oubliés, que l’on retrouve ensuite dans les musées, ou que l’on ne revoit plus ? Moi, ça m’a toujours fait rêver ! J’étais donc ravie de pouvoir interviewer Camille, après quelques rendez-vous manqués en 2020. C’était justement l’occasion parfaite, puisque Camille ouvre l’année avec une vente iconique, celle d’une partie de la garde-robe de Zizi Jeanmaire, vedette des années 50. Mais il ne s’agit pas de n’importe quelle garde-robe : du tout Yves Saint Laurent ! Dans cet épisode, Camille me raconte comment, toute petite, elle a découvert l’art et su qu’elle en ferait sa profession. Elle revient ensuite sur son parcours, débuté chez Sotheby’s, où elle a eu la chance de “taper le marteau” pour la toute première fois à à peine 25 ans. Elle me donne son sentiment sur la place des femmes dans ce milieu encore très masculin. Et puis nous parlons aussi des ventes qui l’ont marquée, de son quotidien de commissaire-priseur, que l’on peut désormais appeler "commissaire-priseuse", et de nombreuses autres choses. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour suivre Camille de Foresta : www.instagram.com/camilledeforesta Pour avoir plus d'informations sur la vente Zizi Jeanmaire et voir l'exposition : www.onlineonly.christies.com/s/zizi-jeanmaire-yves-saint-laurent-de-plumes-et-de-danse/overview/1855#viewing • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Je suis très contente de vous partager ce dernier épisode de l’année 2020 ! J’ai eu l’immense chance de découvrir l’exposition Cindy Sherman à la Fondation Louis Vuitton en compagnie de Marie-Laure Bernadac, co-commissaire de l’exposition. Nous étions seules, toutes les deux, au milieu des toutes ces œuvres, quelques jours avant la réouverture supposée des musées le 15 décembre. Malheureusement, la réouverture de la grande rétrospective Cindy Sherman à la Fondation n’aura pas lieu. J’ai longuement hésité à vous partager cet épisode. D’un côté, je me disais que cela allait être frustrant, d’entendre sans voir, en vrai, cette superbe exposition. Mais de l’autre, j’étais surexcitée à l’idée de partager cet échange passionnant qui retrace le parcours de Cindy Sherman à travers les œuvres présentées à la Fondation, et avec les mots et l'enthousiasme de Marie-Laure Bernadac. Par chance, la Fondation Louis Vuitton a décidé de mettre en accès libre la visite immersive de l’exposition, et de proposer des micro-visites virtuelles. Cet épisode est une balade. Une balade à travers les œuvres de Cindy Sherman, et par la même occasion, à travers son histoire et son parcours. Cindy Sherman fait partie d’un mouvement d’artistes féministes qui, dans les années 1970, se déguisent et travaillent sur leur propre identité, en s’appropriant un médium, la photographie, considérée à l’époque par les hommes comme un art mineur. Au fil de son travail, Cindy Sherman déjoue l’archétype de la beauté, pour se rapprocher d’une certaine forme de laideur. Elle choque, volontairement, estimant que ses travaux ne peuvent pas plaire. Mais comme un aimant, l'artiste attire le succès. Par sa maîtrise de la technique photographique mais aussi de la mise en scène et du travestissement. Et puis, parce qu’elle raconte des personnages, des morceaux de vies avec une finesse d’analyse incroyable. Elle raconte nos vies, nos peurs, nos envies, nos fantasmes. Avec Marie-Laure Bernadac, nous cheminons dans l’exposition pour remonter le temps. De ses premières séries de photographies à ses plus récents travaux, jamais montrés en France, le travail de Cindy Sherman dévoile peu à peu l’artiste derrière, ou plutôt devant, l’objectif. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Quelques ressources : La visite vidéo de l'exposition est disponible sur le site internet de la Fondation Louis Vuitton : www.fondationlouisvuitton.fr/fr/evenements/cindy-sherman-a-la-fondation-louis-vuitton La FLV organise aussi des micro-visites LIVE Cindy Sherman Jusqu'au 31 janvier 2021 Tarif : 4€/2€ par connexion • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je vous emmène rue d’Uzès, au numéro 14, où se tient jusqu’au 23 décembre le pop-up de Wilo & Grove, une galerie un peu particulière. J’ai pu y rencontrer Olivia de Fayet et Fanny Saulay, les deux fondatrices de Wilo & Grove. Fanny et Olivia se sont rencontrées en 2011 alors qu’elles travaillaient en tant qu’expertes en art impressionniste et moderne pour la prestigieuse maison de ventes aux enchères Christie' s. Un jour, au détour d’une conversation sur le marché de l’art et sur ce qui lui manque pour toucher un public plus large, Fanny et Olivia se rendent compte qu’elles ont une même vision et une même envie : tout plaquer pour fonder leur propre galerie, et dépoussiérer l’accès à l’art. C’est ainsi qu’en 2017 naît Wilo & Grove, une galerie d’art nouvelle génération qui veut renouveler le modèle classique de la galerie et rendre les œuvres accessibles au plus grand nombre. Dans cet épisode, Fanny et Olivia me parlent de leurs parcours, de leur rapport à l’art, de leurs années au sein du département impressionniste et moderne de Christie’s, de leur déclic concernant le marché de l’art, d’entrepreneuriat dans l'art bien sûr et du concept derrière Wilo & Grove. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Quelques ressources : Pour en savoir plus sur Wilo & Grove : www.wilo-grove.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Moderne, indépendante, féministe, avant-gardiste… C’est une plongée dans la vie et dans l'œuvre de l’incontournable artiste Sonia Delaunay que je vous propose cette semaine. J’ai la chance d’avoir avec moi dans cet épisode Cécile Godefroy. historienne de l’art et docteure de l’université Paris IV, elle est surtout, en 2014, la co-commissaire de l’exposition “Sonia Delaunay, les couleurs de l’abstraction” au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. Cette exposition majeure, c’est la première grande rétrospective française d’envergure consacrée exclusivement à Sonia Delaunay. Près de 400 œuvres de l’artiste étaient présentées, de ses premiers portraits, peintures et dessins, à son travail autour du textile, du design et de l’architecture. Mais cette exposition a surtout permis de replacer Sonia Delaunay dans l’histoire de l’art en tant que pionnière de l'abstraction, de l'utilisation des couleurs, également comme "passeur" entre la génération des pionniers de l'abstraction et celle des abstraits de l'après-guerre, et non comme "femme de" Robert Delaunay, comme l'ont souvent catégorisée de nombreux critiques de l'époque. Dans cet épisode passionnant, Cécile Godefroy nous raconte l’enfance de Sonia Delaunay, passée dans l’Ukraine de la fin du XIXe. Nous revenons aussi sur son arrivée à Paris, véritable acte d’émancipation et d’indépendance, on parle également de sa peinture, de son travail, qu’elle veut un “art total”, et bien sûr de sa rencontre avec Robert Delaunay, dont elle défendra le travail longtemps après sa disparition, au risque de s’effacer elle-même des ouvrages d’histoire de l’art. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Quelques ressources : Pour en savoir plus sur l'exposition du MAM de 2014 : www.mam.paris.fr/sites/default/files/documents/dossier-pedagogique-delaunay-mam.pdf Pour aller plus loin : "Sonia Delaunay, des couleurs dans les yeux" sur France Culture www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/sonia-delaunay-1885-1979-des-couleurs-dans-les-yeux Archives INA : www.ina.fr/video/I10279341 • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
(Ce podcast a été enregistré dans un café parisien quelques jours avant le reconfinement...) Cette semaine, et pour la première fois dans le podcast, nous parlons photographie ! Je reçois, non pas une, mais deux photographes : Elsa Parra et Johanna Benaïnous. Elsa & Johanna, c’est un duo d’artistes, photographes et réalisatrices. A tout juste 30 ans, elles sont la valeur montante du monde de la photographie. J’ai découvert leur travail lors de la dernière édition de Art Paris, et j’ai été subjuguée par la façon avec laquelle elles captent des émotions, des situations, des personnalités. Parce qu’Elsa et Johanna ne font pas que photographier : elles mettent en scène des personnages dans lesquels elles se fondent avec une facilité désarmante. Elles se représentent tantôt en couple d’adolescents, tantôt en quarantenaires américaines aux abords d’un supermarché… Des clichés, au sens propre comme au figuré, qui nous parlent, nous évoquent des tranches de vies vécues ou observées. On dit d’elles qu’elles sont les héritières de Cindy Sherman, icône de la photographie américaine, qui n’a cessé depuis le début de sa carrière de se travestir dans des autoportraits saisissants. Mais Elsa et Johanna préfèrent elles, parler d’autoreprésentation… Et vous l’entendrez, la nuance est d’importance. Dans cet épisode, on parle de leur rencontre, en 2014, de leur travail, de leurs influences, de comment on travaille quand on est un duo d’artistes et de leur façon de se fondre dans la peau de leurs personnages. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Elsa & Johanna : www.elsa-and-johanna.com Retrouvez aussi leur travail sur Instagram : www.instagram.com/elsa.and.johanna • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois la galeriste Magda Danysz. Ce qui est impressionnant dans son parcours, c’est sa précocité : sa première galerie, Magda l’a ouverte alors qu’elle n’avait que 17 ans. Aujourd’hui, elle est à la tête de trois galeries, à Paris, Londres et Shanghai. Et elle représente des artistes de renoms, comme Shepard Fairey plus connu sous le nom de Obey, JR ou encore Prune Nourry. En plus d’être une défricheuse de talents, Magda Danysz a su, en France, donner toutes ses lettres de noblesse à l’art urbain et à l’art numérique, des pratiques encore méconnues et mal perçues lorsqu’elle lance sa galerie dans les années 1990. Avec Magda, nous avons parlé de la difficulté à faire entrer l’art urbain et l’art numérique dans la galerie, mais de la nécessité que cela représente pour les artistes. Magda est revenue sur son enfance, passée dans l’atelier d’une mère artiste. Nous avons également parlé de sexisme, et de la place des femmes dans le monde de l’art. Et bien sûr, de son rapport à l’art et des femmes artistes qu’elle admire. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Magda Danysz : www.magdagallery.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois l’artiste plasticienne Pauline Guerrier. Pauline a 29 ans, elle vit et travaille à Paris. J’ai découvert son travail il y a peu de temps, et ça a été un vrai coup de foudre. Cet entretien avec Pauline, c’est un voyage, un voyage au Portugal, au Bénin, au Chili, en Italie… Dans tous ces pays qu’elle a arpenté, et qui ont nourri son travail. Un voyage aussi, auprès des artisans locaux qu’elle a côtoyé pour réaliser ses œuvres. Car pour Pauline, le médium n’est pas une limite, mais au contraire, une richesse. De la peinture, au dessin, en passant par le tissus et le soufflage du verre, elle nous transporte à travers des cultures et des thèmes qui lui sont chers. Pauline parle de quête d'identité, de naissance ou encore de foi. Dans son travail, j’ai été personnellement subjuguée par sa série Corde Vocali, qui présente des toiles quasi abstraites, recouvertes de grands aplats de tissus colorés. Dans cet épisode, nous parlons de son enfance dans une famille d’artistes, de sa définition de l’art, de son travail bien évidemment, de ses voyages et des femmes qu’elle admire. Le reste est dans l'épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Pauline Guerrier : www.paulineguerrier.fr Rendez-vous aussi sur son compte Instagram : www.instagram.com/guerrierpauline • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois la collectionneuse et philanthrope Colette Tornier. Après une carrière dans la santé, et au hasard d’un dîner entre amis, Colette s’est découvert une véritable passion pour l’art. Depuis, elle s’est constituée une collection de plusieurs centaines d’oeuvres d’artistes français et internationaux. Par envie d’aller plus loin, et de soutenir les artistes, elle a fait construire la résidence Saint-Ange, imaginée par l’architecte française Odile Decq. Située à quelques pas de sa propre maison, dans les environs de Grenoble, la résidence Saint-Ange est un chef d’oeuvre architectural. Il faut s’imaginer, un monolithe noir, fait de bois, qui surplombe la vallée face au Vercors. Depuis 2015, chaque année deux artistes posent leurs valises à Saint-Ange pour une résidence de trois mois. C’est à l’occasion de l’exposition anniversaire de la résidence, qui présente 9 artistes au 24Beaubourg jusqu’au 25 octobre, que j’ai rencontré Colette Tornier. Ensemble, nous avons parlé de sa passion pour l’art, de sa façon d’envisager la collection, de la résidence et du rapport qu’elle entretient avec les artistes. Le reste est à découvrir dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Colette Tornier et la résidence Saint-Ange : www.residencesaintange.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine je reçois Caroline Denervaud. Vous la connaissez peut-être sous le pseudonyme instagram @Ideih, en tout cas, c’est sur Instagram que j’ai découvert son travail. Caroline est artiste peintre, et sur son compte, elle poste de nombreuses vidéos de son processus de création très particulier : avant de peindre, Caroline fait ce qu’elle appelle une “trace”, et qui est en fait une forme dessinée au gré de mouvements dansés qu’elle effectue sur une toile étalée au sol. Je dois vous dire que je suis vraiment fan du travail de Caroline. Il est abstrait, ses couleurs sont flamboyantes, bref, tout ce que j’adore. J’étais donc plus que ravie que Caroline accepte de répondre à mes questions, et me reçoive dans son atelier blanc imaculé du 20e arrondissement de Paris, un matin pluvieux du mois d’octobre. Ensemble, nous avons parlé de son parcours, de la danse, qui l’habite depuis son enfance, et qu’elle a malheureusement été contrainte d’arrêter après un accident. On a parlé de son rapprochement très progressif avec la peinture, de son processus créatif, de comment Instagram l’a aidée à s’affirmer en tant que peintre et de ses inspirations. Le reste est à découvrir dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Caroline Denervaud : www.carolinedenervaud.format.com Et pour suivre son travail sur Instagram : www.instagram.com/ideih • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois l’artiste Prix Marcel Duchamp 2004, Carole Benzaken. Carole est artiste-peintre, elle vit et travaille à Paris. Son travail est à la frontière entre abstraction et figuration. La première fois que je l’ai vu, j’ai eu une impression d'une superposition d’images, mêlant diverses références, personnelles ou issues de l'actualité, dont on retrouve certaines dans le titre de ses œuvres.. On devine parfois des paysages, parfois des mouvements dans des échelles variées, mais toujours avec des couleurs flamboyantes. Dans cet épisode, nous parlons de sa découverte de la peinture et des musées, lorsqu’elle était petite, de son processus de création, de l’évolution de son travail au fil des années, depuis ses débuts, dans les années 90. On parle aussi de sa vision de la place des femmes artistes dans le monde de l’art, et de son rapport aux réseaux sociaux. Le reste est à écouter dans l'épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Carole Benzaken : www.carolebenzaken.net • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois l’artiste pluridisciplinaire Kalie Granier. Kalie est française, mais elle vit depuis plusieurs années à Santa Cruz, une ville proche de San Francisco. Elle se définit comme “bio artiste” c’est-à-dire qu’elle concentre son travail autour de la biodiversité et de l’environnement, un thème présent dans ses œuvres au sens propre, comme au figuré, puisque Kalie utilise des matériaux d’origine organique dans ses créations. Kalie est aussi la cofondatrice de Loud Spring Art, un art tank écoféministe qui oeuvre pour la défense de l’environnement et des droits des femmes. J’ai eu la chance de la rencontrer alors qu’elle faisait un crochet par Paris juste avant les vacances. Ensemble, nous avons parlé de son parcours, de sa rencontre avec l’art puis avec le vivant, de l’importance pour les artistes et les acteurs de l’art de se saisir des enjeux environnementaux, d’écoféminisme et de la relation artiste-scientifique, qu’elle expérimente notamment dans le cadre de la résidence Maritima01 à laquelle elle prend part. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Kalie Granier : www.kaliegranier.com Pour en savoir plus sur Loud Spring Art : www.loudspring.site Et sur Maritima01 : https://fr.maritima01.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, c’est un épisode passionnant que je vous propose. Je reçois Géraldine Gourbe, philosophe, critique d’art et commissaire d’exposition. Elle est spécialiste de la scène artistique de la Californie du sud, de l’histoire des pédagogies radicales et du féminisme inclusif. Mais si je l’ai invité dans ce podcast, c’est surtout pour qu’elle nous parle d’une artiste qu’elle aime tout particulièrement, et à laquelle elle a consacré et consacre toujours une grande partie de son travail : il s’agit de Judy Chicago, l’une des plus grandes activistes féministes du monde de l’art contemporain. Elle est à l’origine de certaines œuvres majeures, que l’on peut presque qualifier de manifeste féministe et politique. Dans cet entretien de près d’une heure, Géraldine Gourbe nous raconte le parcours de Judy Chicago, elle nous parle de sa vie, de son oeuvre et de ses convictions. Nous parlons bien évidemment aussi de féminisme et de la place des femmes artistes dans le monde de l’art et dans la société. Je ne vous en dis pas plus, mais je vous conseille vivement d’aller au bout de cet épisode, vous ne serez pas déçu.e.s. Bonne écoute ! • Pour vous procurer l'ouvrage de Géraldine Gourbe sur Judy Chicago, "To sustain the vision" : www.bookshop.villa-arson.org/shop/judy-chicago-to-sustain-the-vision-version-francaise Pour en savoir plus sur Judy Chicago : www.judychicago.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
L’épisode que vous écoutez a été enregistré en direct mercredi 2 septembre pour la première édition d’une série d’afterworks du Club Femmes d’art à Lyon. Il y a quelques semaines, Céline Melon, la fondatrice de Manifesta, un lieu événementiel dédié à l’art contemporain et aux entreprises, m’a proposé d'accueillir le Club Femmes d’art. Je suis lyonnaise, alors vous imaginez que je n’ai pas hésité une seule seconde. Il faut savoir que Manifesta a pour habitude d’accueillir des expositions. Et pour la rentrée, c’est une série de dessins issus de la collection du Musée d’art contemporain de Lyon qui est présentée. Pour l’occasion, j’ai donc eu la chance d’interviewer Isabelle Bertolotti, la directrice du Musée d’art contemporain et co-directrice de la Biennale de Lyon. Il faut savoir qu’à Lyon, les femmes ont pris le pouvoir sur les domaines artistiques et culturels, puisqu’elles sont très nombreuses à être la tête d’institutions. Isabelle Bertolotti en fait partie. Elle travaille au MAC depuis 30 ans. Alors quand elle en a pris la tête en 2018, ses nouvelles responsabilités étaient presque une évidence. Dans cet épisode, nous parlons de son parcours, de la place des femmes dans le paysage culturel lyonnais, de pourquoi et comment il est important pour un musée de créer davantage de lien avec d’autres structures, mais aussi avec le public. Nous parlons également de la Biennale et de sa place dans le monde de l’art à l’international. Isabelle Bertolotti nous parle aussi des femmes artistes qui l’inspirent au quotidien. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Manifesta : www.manifesta-lyon.fr Sur le musée et sa programmation : www.mac-lyon.com/fr Et sur la Biennale de Lyon : www.biennaledelyon.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Je suis très heureuse de vous retrouver pour cette nouvelle saison de Femmes d’art. J’espère que vous avez passé un bel été et que vous êtes bien reposé.e.s. Si vous écoutez Femmes d’art pour la première fois, sachez qu’il vous reste 20 épisodes à rattraper. Si vous êtes un.e habitué.e du podcast, et que vous aimez ces entretiens, n’hésitez pas à me le dire, en ajoutant cinq étoiles sur votre plateforme d’écoute préférée, ou en me laissant un commentaire. Vous pouvez aussi me suivre sur Instagram : @femmesdart_ (ou via le lien en bas de cette note). Cette semaine pour le premier épisode de la saison 2, je vous emmène à la rencontre d’une femme au parcours et à la carrière impressionnants. On dit d’elle qu’elle est une business woman, qu’elle est passionnée et qu’elle a un véritable flair… Nathalie Obadia sait où elle va, elle sait aussi ce qu’elle veut. Très jeune, ses parents, collectionneurs, l’embarquent dans les foires, dans les galeries, une enfance qui lui inspire sa future carrière professionnelle : Nathalie sera galeriste. Une voie qu’elle suit aujourd’hui depuis 27 ans. Et avant de se lancer dans les études de droit et Sciences-Po, Nathalie Obadia a une conviction chevillée au corps : elle ouvrira sa propre galerie, avant ses trente ans. Moins de cinq ans après ses débuts aux côtés du galeriste Daniel Templon, elle ouvre effectivement son propre espace, et représente des artistes en lesquels elle croit, fait ses choix, quand bien même ceux-ci iraient à l’encontre des canons du marché de l’art de l’époque. Aujourd’hui, Nathalie Obadia représente des artistes de renom, qu’elle suit pour la plupart depuis des années… parmi lesquels de nombreuses femmes : Laure Prouvost, Fiona Rey, Rina Banerjee, Carole Benzaken ou encore Shirley Jaffe. Sa voix est énergique, son débit, rapide… Et ses convictions artistiques contagieuses. Vous verrez, c’est passionnant ! Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur la galerie et sur Nathalie Obadia : https://www.nathalieobadia.com/ Et pour être informé.e.s des prochaines expositions : https://www.nathalieobadia.com/exhibitions.php • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Vous écoutez le dernier épisode de la première saison de Femmes d’art. Je tenais à vous remercier pour vos messages quotidiens et votre soutien depuis neuf mois, c’est ce qui me motive à continuer chaque semaine à aller à la rencontre de femmes passionnantes ! Je ne vous cache pas que j’ai déjà hâte d’être à la rentrée, pour partager avec vous de nouveaux entretiens et surtout, de nouveaux projets… Ce dernier épisode est la deuxième partie de l’entretien consacré à l’une de mes auteures préférées : Claire Berest. Si vous ne l’avez pas encore écouté, je vous invite à découvrir l’épisode 19 de Femmes d’art dans lequel Claire Berest me raconte son processus d’écriture de “Gabriële”, un roman consacré à son arrière grand-mère, Gabriële Buffet-Picabia, première femme du peintre Francis Picabia mais surtout, une figure importante de l’histoire de l’art du début du XXème. Dans cette deuxième partie, Claire Berest revient sur l’écriture de “Rien n’est noir” (Stock, 2019), son dernier roman publié l’année dernière, et consacré entièrement à Frida Kahlo, à travers son histoire d’amour avec le peintre Diego Rivera. Vous verrez, c’est passionnant ! Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour retrouver les romans de Claire Berest : www.editions-stock.fr/auteurs/claire-berest Rendez-vous aussi sur sa page Instagram : www.instagram.com/claireberest • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, et pour la première fois dans le podcast, je parle d’art avec une romancière. Et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit de Claire Berest, l’une de mes auteures préférées. Elle a écrit pas moins de 7 romans dont le premier, “Mikado”, a été publié alors qu’elle n’avait que 27 ans. Si vous en doutez, Claire Berest est bien une femme d’art. Son dernier roman, “Rien n’est noir” (2019) est entièrement consacré à Frida Kahlo, à qui elle voue une admiration sans bornes… Claire est aussi l’auteure, avec sa soeur Anne, de “Gabriële” (2017), un roman qui retrace la vie passionnante de son arrière grand-mère Gabriële Buffet-Picabia, figure importante de l’histoire de l’art du 20e siècle, mais dont le nom a pourtant été effacé des ouvrages d’histoire de l’art. J’ai passé plus d‘une heure à discuter avec Claire Berest. C’était passionnant, et c’était tellement passionnant, que j’ai décidé de consacrer les deux derniers épisodes de la saison à notre échange. Dans cette première partie, Claire Berest me raconte comment, avec sa sœur, elles ont repris le fil de cette histoire familiale qu’on ne leur a jamais conté. A travers ce travail d’enquête se dessine l’histoire de Gabriële, une femme hors-norme, avant-gardiste, féministe avant l'heure, musicienne de grand talent qui a choisi de s’effacer de l’histoire pour donner toute la lumière aux autres. La semaine prochaine, pour la deuxième partie, nous parlerons comme vous vous en doutez de Frida Kahlo. En attendant, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour retrouver les romans de Claire Berest : www.editions-stock.fr/auteurs/claire-berest Rendez-vous aussi sur sa page Instagram : www.instagram.com/claireberest • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois Florence Bamberger. Florence habite à Paris, elle est directrice artistique, illustratrice et céramiste. Avant de lancer cet épisode, je vous invite d'ores et déjà à vous rendre sur son compte Instagram (dont le lien est en bas de cette note) ou sur son site internet pour découvrir son travail. Florence a un univers assez unique : elle imagine, dessine, et donne vie à des créations étonnantes, colorées, aux formes arrondies, qui semblent être tout droit sorties d’une rêverie, et qui rappellent des visages antiques. J’ai été séduite par l’apparente simplicité de son travail. Mais il ne faut pas s’y tromper, absolument tout dans ses créations est pensé et réfléchi. Dans cet épisode, Florence revient sur son parcours, elle me raconte comment elle est passée de l’illustration pour de grandes entreprises à la céramique et comment elle lie aujourd’hui cette activité à son travail de directrice artistique. Elle me parle aussi de ses inspirations, de son processus de création et des femmes qu’elle admire, parmi lesquelles les artistes Sonia Delaunay et Claire Tabouret. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Florence Bamberger : www.florence-bamberger.com Rendez-vous aussi sur sa page Instagram : www.instagram.com/florencebamberger • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Vous le savez déjà si vous êtes un auditeur ou une auditrice fidèle du podcast, toutes les trois semaines, je vous propose un format un peu plus court, dans lequel je dresse le portrait d’une femme de l’histoire de l’art. Cette semaine, j’ai décidé de vous parler non pas d’une femme, mais d’un collectif de femmes. Que vous connaissez très certainement d’ailleurs, il s’agit des Guerrilla Girls. L’une de leurs affiches est très connue, il s’agit d’un détournement de La Grande Odalisque d’Ingres. On peut voir une femme allongée, de dos, nue, dont la tête a été remplacée par celle d’un gorille. A côté, en très grosses lettres, une phrase questionne : “Faut-il que les femmes soient nues pour entrer au Metropolitan Museum ?”. Pour bien comprendre le travail de ce groupe d’artistes féministes il faut remonter un peu en arrière, en 1985 exactement. A l’époque, le MoMa, à New York, organise une exposition qui a pour vocation de dresser un panorama de l’art contemporain. Seulement voilà : sur les 169 artistes présentés, il n’y a que 13 femmes… de quoi susciter la colère de certaines femmes artistes, parmi lesquelles les futures membres des Guerrilla Girls. Le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois Alexia Guggémos. Alexia est journaliste, critique d’art, sociologue du digital et auteure de plusieurs ouvrages dont “L’histoire de l’art pour les nullissimes”, “Le guide de survie digitale - Les réseaux sociaux à l’usage des créateurs” et “Boris Vian - 100 ans, le livre anniversaire” publié récemment. Elle est aussi la fondatrice du Musée du sourire, le premier musée digital créé en 1996, entièrement consacré au sourire dans l’histoire de l’art. Dans cet épisode, nous parlons de son parcours, de son amour pour l’art. Alexia me raconte aussi comment elle a découvert que les femmes étaient très peu représentées dans l’histoire de l’art et comment elle a tenté de rééquilibrer la balance en écrivant “L’histoire de l’art pour les nullissimes”. Elle m’explique aussi comment les réseaux sociaux ont bousculé le monde de l’art, comment le rôle de galeriste, par exemple, doit s’adapter pour passer du rôle de représentant à celui, presque, d’agent. Nous verrons aussi que ce n’est pas le nombre d’abonnés qui fait le bon artiste, c’est en revanche lui qui peut lui permettre de se faire connaître, et ainsi, de toucher un plus grand public… Bref, vous verrez, c’est passionnant ! Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode ! Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Alexia Guggémos, rendez-vous sur son compte Instagram : www.instagram.com/alexia_guggemos_ Ou sur le site internet du Musée du sourire : www.smilemuseum.fr Et pour en savoir plus sur ses livres : www.babelio.com/auteur/Alexia-Guggemos/498088 • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_
Cette semaine, je reçois Camille Cottier. Camille a 30 ans, elle est artiste peintre. Elle habite à Paris, et travaille à Saint-Ouen, dans un atelier qu’elle partage avec Zahra Holm, mon invitée de l’épisode #8 du podcast. En fait, c’est comme ça que j’ai découvert le travail de Camille. En jetant un œil par dessus la vitre qui sépare leur deux ateliers. J’ai été très intriguée lorsque j’ai vu de grandes toiles et de plus petites sur lesquelles étaient peints de drôles de personnages dans des formes assez simples. C’était à peine si l’on pouvait distinguer s’il s’agissait d’une figure masculine ou féminine. En fait, on était presque à la frontière entre l’abstraction et la figuration. Ces personnages, que Camille appelle ses “Bonshommes”, sont différents mais se ressemblent, ils sont parfois sombres, parfois colorés, parfois abstraits. Ils ont en tout cas tous en commun d'apparaître la plupart du temps en groupe, et semblent observer fixement celles et ceux qui les regardent. Je vous invite d’ailleurs d’ores et déjà à vous rendre sur le compte Instagram de Camille Cottier (www.instagram.com/camillecottier) pour découvrir son travail afin de pouvoir mieux vous figurer ce dont nous parlons dans cette conversation. Bref, j’ai été très intriguée, et à la fois séduite par ces formes et ces couleurs. Du coup, j’ai eu envie d’en savoir plus sur Camille et sur son travail. Dans cet épisode, Camille revient sur son parcours, sur la naissance, assez instinctive, de ses bonshommes, il y a six ans, peu après sa sortie des Beaux arts d’Angers. Elle me parle aussi de ses inspirations, de son processus de création très spontané, de son rapport à Instagram ou encore des femmes du monde de l’art qu’elle admire, de Camille Claudel à Louise Bourgeois. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Camille Cottier : www.camillecottier.com Rendez-vous aussi sur son compte Instagram : www.instagram.com/camillecottier • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_
Cette semaine, je reçois Véra Kempf, la co-fondatrice de la galerie en ligne Singulart. Il y a quelques semaines, Véra m’a contacté pour me proposer de réaliser une curation d’oeuvres d’art autour des femmes et de l’abstraction. J’ai évidemment accepté, j’étais très excitée par ce projet qui m’a permis de découvrir des dizaines d’artistes talentueuses et autant d’oeuvres pour lesquelles j’ai eu de véritables coups de cœur. J’en ai retenu 30, qui composent une collection présentée sous forme d’exposition digitale sur le site internet de Singulart. Pour la voir, rendez-vous dans l’onglet “Collections” sur le site internet de Singulart, et évidemment sur les comptes Instagram de Singulart et de Femmes d’art. Bref, de fil en aiguille, Véra et moi, nous nous sommes mises à échanger, et j’ai eu envie de partager avec vous son parcours : c’est quoi de monter une galerie d’art en ligne, qui regroupe plus de 6500 artistes à l’international ? J’ai eu envie de savoir comment lui était venue cette idée, et comment elle l’avait mise en oeuvre. Surtout qu’au départ, vous l’entendrez, Véra n’a pas de cursus artistique ni entrepreneurial. Mais ce qui m’a beaucoup touché chez elle, c’est la façon dont elle est arrivée à l’art, à travers un coup de foudre pour un artiste et son oeuvre. Son amour de l’art et des artistes m’a aussi beaucoup parlé. “Empower artists”, c’est d'ailleurs la vocation de Singulart. Dans cet épisode, nous parlons donc de son parcours, entre Sciences Po et le lancement d’une galerie d’art en ligne, mais nous évoquons aussi les femmes artistes, écrivaines, qui l’inspirent au quotidien. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Singulart : www.singulart.com Pour découvrir les artistes coups de cœur de ma curation pour Singulart, rendez-vous sur leur compte Instagram : www.instagram.com/wesingulart • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je vous raconte l’histoire de Dora Maar, artiste peintre et photographe. Dora Maar a longtemps été présentée comme la muse et l’amante de Picasso. C’est peut-être même comme ça que vous la connaissez. Ce qui est vrai, Dora Maar et Picasso ont entretenu une relation intellectuelle et sentimentale durant huit ans. Mais Dora Maar était bien plus que la muse de Picasso, ou son amante. Elle était aussi une photographe de grand talent, reconnue et exposée à de nombreuses reprises aux côtés des surréalistes, mouvement auquel elle est associée. Elle était aussi une artiste engagée, ce qui se reflétait à travers un vaste travail documentaire qu’elle a réalisé dans les années 1930 en photographiant la société espagnole, britannique ou française, et les répercussions de la crise économique de 1929 sur les populations. Dora Maar était une artiste prolifique, créative, qui n’hésitait pas à expérimenter de nouvelles choses, elle était vraiment libre, ce qui se ressent très tôt dans son travail. J’espère que cet épisode pourra vous instruire et vous inspirer. Bonne écoute ! • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, et pour la première fois dans Femmes d’art, nous parlons photographie. Mon invitée aujourd’hui n’est autre que Cécile Schall, la fondatrice et directrice de la foire de photographie contemporaine Fotofever. Fotofever, c’est une foire née il y a 9 ans, et qui s’est construite pleine de promesses pour la jeune création face à un marché qui ne la mettait pas assez en avant. Personnellement, et vous l’avez sans doute remarqué, je suis moins amatrice de photographie que de peinture. Mais justement, j’avais envie d’en savoir plus sur un domaine que je ne connais pas très bien. D’autant que j’ai été très intriguée par le parcours de vie et entrepreneurial de Cécile Schall. Elle est la petite fille de Roger Schall, un photographe réputé du milieu du XXème siècle, qui est notamment célèbre pour avoir photographié Paris la nuit sous l’occupation nazie. Cécile a aussi un père photographe. Alors, vous vous en doutez, elle est née avec une pellicule dans la main... Et pourtant, elle a choisi de faire des études de marketing et de communication, avant d’être vite rattrapée par ses premières amours, à savoir l’art et la photographie. L’autre chose qui m’a intriguée, c’est l’intérêt de Cécile, et de la foire Fotofever pour la représentation des femmes artistes. Il faut savoir que Fotofever a atteint la parité totale dans les artistes présentés l’année dernière. J’ai donc eu envie de savoir comment cela avait été possible et par quels moyens. Dans cet épisode, Cécile Schall raconte comment, avec son équipe, elle a fait face au confinement. Elle me parle aussi de son enfance, dans la lignée d’une famille de photographes. Cécile revient également sur l’aspect entrepreneurial de son parcours, avec le lancement de la foire en 2011, ses enjeux et ses difficultés. Elle me parle aussi de trois femmes qui l’ont beaucoup inspirée, dont une galeriste, une collectionneuse, et une artiste. Je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Fotofever : www.fotofever.com • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com
Bonjour à toutes et à tous, ici Marie-Stéphanie Servos, la fondatrice de Femmes d’art. Cette semaine, je vous propose un nouveau format un peu spécial et qui me tient beaucoup à cœur. Depuis le lancement de Femmes d’art en novembre dernier, je donne la parole dans ce podcast mais aussi sur Instagram à toutes les femmes qui font le monde de l’art aujourd’hui, qu’elles soient artistes, curatrices ou encore galeristes. Chaque semaine, je reçois l’une d’entre elles, pour parler entre autres, de sa carrière, de son rapport à l’art et des femmes artistes qui l’ont le plus inspirée. Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler aussi de toutes ces femmes qui ont fait l’histoire de l’art. De toutes ces créatives restées dans l’ombre d’un mari, d’un père ou d’un frère, mais aussi de celles qui se sont battues pour changer la donne et permettre aux artistes d’être plus visibles. Elles, ce sont toutes les actrices de l’histoire de l’art, connues ou moins connues, qui continuent d’inspirer des générations de femmes. L’idée n’est pas de vous raconter toute leur vie, mais de vous donner envie d’en savoir plus, et de vous permettre de découvrir ou redécouvrir des parcours de femmes que vous ne connaissiez peut-être pas. Avec ces récits sonores, l’idée est aussi de mettre au jour les mécanismes d’effacement et d’invisibilisation des femmes dans l’histoire de l’art. Comme c’est le cas pour moi, j’espère que ces histoires pourront à la fois vous instruire, et vous inspirer ! Bonne écoute ! • Ressources : •Association Duchamp Villon Crotti www.duchamp-villon-crotti.com •“Femmes artistes et écrivaines dans l’ombre des grands hommes” (Collectif, Classiques Garnier, 2019) •France Culture, “Suzanne Duchamp sort de l’ombre” (25 décembre 2019) https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-oeuvres/artistes-et-ecrivaines-malgre-tout-34-suzanne-duchamp-sort-de-lombre • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Dans cet épisode, j’ai rendu visite, masquée évidemment, à Margaux Pecorari. Margaux est une artiste talentueuse dont j’ai découvert le travail en début d’année, lorsque j’ai interviewé Amélie du Chalard, la fondatrice de Amélie Maison d’art (épisode #7). Margaux habite à Paris. Elle n’a pas toujours été artiste, et d’ailleurs, on dirait presque qu’elle a eu plusieurs vies. De directrice artistique, à photographe freelance, elle a aussi cofondé L’Atelier Singulier, qui rassemble des artisans d’art français sur un eshop et dans un showroom. Et c’est alors qu’elle cofonde l’Atelier Singulier qu’elle a un déclic : elle aussi, elle veut travailler de ses mains, en devenant artiste. Margaux débute alors un travail autour de l’attache parisienne, qui devient vite le centre de ses créations. Petit à petit, elle ajoute des aplats de couleurs vives, alterne papier ou textile, dans un ensemble qui crée un univers bien à elle, coloré et lumineux. Dans cet épisode, Margaux me raconte comment elle a été inspirée durant le confinement. Elle me parle bien sûr de son parcours, de son rapport à l’art, de son processus de création et des difficultés qu’elle a eu avant d’oser accepter qu’elle pouvait faire de son art un travail. Nous parlons aussi des femmes (artistes ou non) qui l’inspirent. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Margaux Pecorari : www.margauxpecorari.com/ Ça se passe aussi sur son compte Instagram : www.instagram.com/margauxpecorari • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com
Cette semaine, je reçois la peintre Rebecca Brodskis. Rebecca a 32 ans, elle vit et travaille à Paris. Sa peinture est figurative, ou quasi. Quasi, car elle peint des personnages, des visages, qui sont issus de son imagination, de sa propre interprétation ou de souvenirs modifiés de personnes qu’elle a croisé dans la rue. Dans ses peintures, les couleurs sont contrastées : les visages sont clairs, quand le fond l’est moins, et inversement, ce qui a tendance a véritablement faire ressortir les personnages que Rebecca nous présente. Mais ce qui m’a le plus marqué, ce sont surtout les regards, parfois doux, pensifs, ou plus affirmés. Ces personnages semblent nous regarder, et l’on se demande : quelles sont ces scènes de vie que l’on devine ? Qui sont ces gens, et que pensent-ils ? Dans cet épisode, nous revenons sur le parcours de Rebecca : après des études d’art, elle effectue un master de sociologie, un choix qui n’est pas anodin, contrairement aux apparences, puisqu’il donne davantage de sens à sa peinture. Nous parlons aussi de son processus de création, très instinctif, du rapport des artistes aux galeristes et de comment être mère quand on est peintre. Bonne écoute ! • Pour en savoir plus sur Rebecca Brodskis : www.rebeccabrodskis.com/ Ça se passe aussi sur son compte Instagram : www.instagram.com/rebecca.brodskis • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits Contact : femmesdart@gmail.com