POPULARITY
durée : 00:58:32 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Des Rabinovitch aux Picabia, de la Russie à Paris, de la déportation de ses ancêtres au destin de ceux qui ont résisté et vécu intensément, l'écrivaine Anne Berest exhume ses histoires familiales alourdies par le silence. - réalisation : Thomas Beau - invités : Anne Berest Écrivain
durée : 01:23:13 - Toute une vie - par : Jean Daive - Impressionniste de deuxième génération, il peint aussi avec des macaronis. Soit. Avec ce geste, Francis Picabia rallie Dada. Ami des nuits parisiennes, de l'avant-garde new-yorkaise, des dadaïstes de Zurich, il est l'étincelle qui déclenche le feu d'artifice de la peinture du 20e siècle.
“Dans l'appartement de Léonce Rosenberg”De Chirico, Ernst, Léger, Picabia…au Musée national Picasso, Parisdu 30 janvier au 19 mai 2024Interview de Juliette Pozzo, responsable de la collection personnelle de l'artiste au musée national Picasso de Paris et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 29 janvier 2024, durée 16'00,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/02/05/3509_leonce-rosenberg_musee-national-picasso/Communiqué de presse Commissariat :Juliette Pozzo est chargée d'études documentaires principale. responsable de la collection personnelle de l'artiste au musée national Picasso de ParisGiovanni Casini est historien de l'art et commissaire indépendant basé à MilanLe Musée national Picasso-Paris présente sa nouvelle exposition temporaire, « Dans l'appartement de Léonce Rosenberg. De Chirico, Ernst, Léger, Picabia… ». Sous forme d'évocation d'un décor disparu, l'exposition permettra de mettre en lumière un ensemble pictural inédit et méconnu, conçu par des artistes majeurs de l'entre-deux-guerres.L'exposition présente l'histoire du décor mythique de l'appartement parisien du marchand et galeriste Léonce Rosenberg. Celui-ci entend associer son nom au cubisme tardif mâtiné de figuration, voie ouverte par Picasso, artiste qu'il admire et accompagne pendant la guerre et les années 1920. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:27:50 - Poésie et ainsi de suite - par : Manou Farine - Francis Picabia, considérait que "c'est en dehors de soi que l'on trouve les moyens de se renouveler". Ivre de vitesse, tourné vers l'instant d'après, il ne comprenait pas que l'on puisse garder trace de ce qu'il avait peint ou écrit. Sa poésie fulgurante mérite pourtant que l'on s'y arrête.
Carlos Vaz Marques aconselha um livro do pintor e escritor francês Francis Picabia que passou por tudo, pelo dadaísmo, pelo cubismo, até pelo surrealismo e sempre com um espírito provocatório e capaz de dinamitar mesmo aquilo em que se metia. Este livro – “Nada, nada, nada” – reúne textos em prosa do período dadaísta de Picabia e é uma boa introdução ao espírito de um autor ainda hoje desconcertante. Pedro Mexia aconselha “Ensaio Histórico sobre a Revolução de 25 de Abril” de José Medeiros Ferreira, José Miguel Tavares trás o livro de Marco Alves, “Salazar Confidencial” e Ricardo Araújo Pereira aconselha A “Vida Airada de Dom Perdigote” de Paulo Moreiras.See omnystudio.com/listener for privacy information.
WVFP Ep37 (clip) NYC painter Marika Thunder talks about her upcoming show in Paris, inspirations from Picabia, and the contained energies of modernity. Full Episode available at Patreon WVFP
AWARE (Archives of Women Artists, Research and Exhibitions) Podcasts
For this third episode, we continue our new chapter that plunges us into the Paris of the inter-war period, the decade that notoriously became known as the Roaring Twenties. What did the wildness of this decade consist of? It is largely due to women who flourished in this welcoming capital, lived their lives as they wanted, and became artists on equal footing with men. They played a primordial role in the construction of modernity, and we are rediscovering them today. Among the women artists present in Paris in the 1920s, many more than one would think are well-known and able to live from their work. Marie Laurencin, born in 1883, who modestly repeated in her interviews that she had no natural predisposition for painting, is one of these personalities to rediscover. After training at the Manufacture de Sèvres, where she learned to paint on porcelain, the French artist took painting classes at the Humbert Academy. At the turn of the century she met the Parisian avant-garde, amongst which are Picabia and Braque, who in turn introduced her to Picasso as well as Apollinaire, poet and influential art critic of her time, with whom she had a romantic relationship from 1907 to 1912. He put her on a par with male artists in his art columns. In fact, Marie Laurencin was famous during her lifetime. She exhibited very regularly both before and after the war, and received many portrait commissions of celebrities of the time, including, to name but one, Coco Chanel. The podcast Great Women of Art gives a voice to women artists of the 20th century. They speak about their work, their lives, the world around them and their achievements. Let us go in search of their presence, their secrets. Let us rediscover the hidden history of women artists through their voices.Great Women of Art is a podcast produced by AWARE: Archives of Women Artists, Research and Exhibitions, in collaboration with the Institut national de l'audiovisuel, with the support of Maison Veuve Clicquot and the Ministry of Culture's Délégation à la transmission, aux territoires et à la démocratie culturelle. AWARE is a non-profit organization co-founded in 2014 by Camille Morineau. Coordinated by: Mathilde de Croix and the AWARE team Directed by: Élodie Royer Music by: Juliano Gil Credits and Sound Editing: Basile Beaucaire Research Advisors: Catherine Gonnard and Véronique Jolivet Translation: Beth Gordon French Voice: Camille Morineau English Voice: Eléonore Besse Illustration : Fanny Michaëlis, Marie Laurencin, 2022 © Fanny Michaëlis
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la “garçonne” du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la “garçonne” du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
AWARE (Archives of Women Artists, Research and Exhibitions) Podcasts
Pour ce troisième épisode, nous continuons le nouveau chapitre qui nous plonge dans le Paris de l'entre-deux-guerres, ces années 20 devenues célèbres grâce à l'expression des années folles. En quoi réside la folie de cette décennie ? Elle est due pour beaucoup à des femmes qui s'épanouissent dans cette capitale accueillante, vivent leur vie comme elles l'entendent, deviennent des artistes célèbres au même titre que les hommes. Elles jouent un rôle primordial dans la construction de la modernité, et nous les redécouvrons aujourd'hui. Parmi les femmes artistes présentes à Paris dans les années 20, beaucoup plus qu'on ne croit sont célèbres et vivent de leur travail. La modeste Marie Laurencin, qui répète dans ses interviews n'avoir aucune facilité pour la peinture, née en 1883, fait partie de ces personnalités à redécouvrir. L'artiste française s'est d'abord formée à la Manufacture de Sèvres, où elle apprend la peinture sur porcelaine, puis suit des cours de peinture de l'académie Humbert. Début 1900, elle rencontre l'avant-garde parisienne : Picabia, Braque qui l'introduit à Picasso par exemple, ainsi qu'Apollinaire le critique d'art de son temps et poète, avec lequel entretient elle une relation amoureuse de 1907 à 1912. Celui-ci la met à l'égal des hommes artistes dans ses chroniques d'art. De fait, Marie Laurencin est célèbre. Avant et après guerre, elle expose très régulièrement, multiplie les commandes de portraits des personnalités de l'époque dont, pour n'en citer qu'une, Coco Chanel. Le podcast Les grandes dames de l'art donne la parole aux artistes femmes du XXe siècle. Elles parlent de leur œuvre, de leur vie, du monde qui les entoure et de leurs conquêtes. Partons à la recherche de leur présence, de leurs secrets. Retrouvons l'histoire cachée des artistes femmes, à partir de leurs voix. Les grandes dames de l'art est une série de podcasts produite par AWARE : Archives of Women Artists, Research and Exhibitions, en partenariat avec l'Institut national de l'audiovisuel, avec le soutien de la Maison Veuve Clicquot et la Délégation à la transmission, aux territoires et à la démocratie culturelle du ministère de la Culture. AWARE est une association loi 1901 à but non lucratif co-fondée en 2014 par Camille Morineau. À la préparation : Mathilde de Croix avec l'équipe d'AWARE À la réalisation : Élodie Royer Musique originale : Juliano Gil Générique et mixage sonore : Basile Beaucaire Conseil scientifique : Catherine Gonnard et Véronique Jolivet Voix : Camille Morineau Illustration : Fanny Michaëlis, Marie Laurencin, 2022 © Fanny Michaëlis
Dans ce premier épisode de la série Art & Collectif, L'Œil cacodylate, un tableau de Francis Picabia de 1921, une toile recouverte d'écritures et de signatures, nous emmène dans le tourbillon artistique du début des années folles. Dada enflamme le climat artistique parisien et Picabia, par cette œuvre étonnante, s'en fait le témoin. Mais l'écho est désormais séculaire et l'histoire semble avoir perdu la trace de certains et certaines artistes. Grâce à l'intervention de deux professeures de la Sorbonne, Agathe Mareuge et Anne Tomiche, nous (re)découvrons trois signataires, actrices oubliées de la scène artistique moderne : la poétesse Céline Arnault, la peintre Suzanne Duchamp et la théoricienne Gabrielle Buffet.Crédits :Réalisation : Delphine CoffinMontage : Théo AdauMixage : Ivan GarielVoix : Malika Berrichi et Florian HutterAvec la participation de Catherine Lascault, Agathe Mareuge et Anne TomicheHabillage sonore : Nawel ben Kraiem et Nassim Koussi Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Auteure des textes : Yasmina JaafarDirection Editoriale: Pénélope BoeufVoix : Pénélope BoeufProduction : La Toile Sur Écoute Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la "garçonne" du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la "garçonne" du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
SEASON 11 begins!!!! Russell & Robert meet legendary musician Nick Rhodes, the founding member of the iconic pop rock band Duran Duran.We discuss Pop Art and Roy Lichtenstein, his early trips to New York where he first met Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Debbie Harry and Francesco Clemente, his admiration for Picabia, Warhol, the 17th Century Baroque period, and classical art such as De Ribera and Caravaggio. We explore working with numerous artists for Duran Duran including David Lynch on a live concert film and notably Patrick Nagel for the Rio (1982) album sleeve, collecting art that began when he was aged 17 with his first Dali print, his thoughts on NFTs and his friendships with leading contemporary artists like KAWS and Katherine Bernhardt, buying a Picasso on an Amex card and his experiences visiting art fairs like Frieze!We hear his memories of Mr Chow's legendary restaurant with Grace Jones, Warhol and many iconic creatives, staying at La Colombe d'Or art hotel in France and the brand new Duran Duran album sleeve which he worked on with Japanese photographer Daisuke Yokota. We discover his passion for photography and Polaroids, the differences between analogue vs digital, his fascination with mythology, astronomy, numerology and science which has influenced his new 'Astronomia' project with Wendy Bevan. Finally we chat about his friendship with the late Duggie Fields and his numerous visits to his favourite Ikon gallery in Birmingham.Duran Duran have sold over 100 million records, had 18 American hit singles, 21 UK Top 20 tunes and continue to perform to huge concert audiences around the world since the band first formed in 1980. Consistently fusing art, technology, fashion and a signature sense of style with their unique and infectious brand of music, singer Simon Le Bon, keyboardist Nick Rhodes, bassist John Taylor and drummer Roger Taylor have proven themselves timeless, always innovating and reinventing, to remain ahead of the curve.'Astronomia' is a collaboration between the artists Nick Rhodes and Wendy Bevan. It is a creative collision of analogue synthesizers, violins, voices and orchestral arrangements fueled by their shared attraction to the Universe. 'The Fall of Saturn'; is the first of four albums in the Astronomia project, first released back in March 20, 2021, followed by three further releases, on the equinoxes and solstices for the remainder of the year. Each individual piece is a sonic painting, a tapestry of rich textures and haunting melodies forming soundscapes with an otherworldly atmosphere. Looking to the transcendent beauty of the skies, this genre defying debut album explores the fluidity of human emotions.Follow @AstronomiaVolumes and @DuranDuran on Instagram! Duran Duran's new hit album 'Future Past', and 'Astronomia: The Fall Of Saturn', Nick Rhodes' incredible new collaboration with Wendy Bevan, are both OUT NOW from all good record stores and available to stream online! Visit https://duranduran.com/ and learn more about 'Astronomia' records here: https://duranduran.com/2021/astronomia-by-nick-rhodes-wendy-bevan/For images of all artworks discussed in this episode visit @TalkArt. Talk Art theme music by Jack Northover @JackNorthoverMusic courtesy of HowlTown.com We've just joined Twitter too @TalkArt. If you've enjoyed this episode PLEASE leave us your feedback and maybe 5 stars if we're worthy in the Apple Podcast store. For all requests, please email
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la “garçonne” du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
Historiquement Vôtre réunit 3 dames que l'on peut voir en peinture : la “garçonne” du Paris des années folles Suzy Solidor (1900-1983) qui fut, avec plus de 200 portraits, l'artiste la plus portraiturée au monde, par Picabia, Marie Laurencin, ou encore Francis Bacon ! Puis Gertrude Stein (1874-1946) une collectionneuse américaine avisée dont un seul portrait d'elle aura permis à celui qui l'a peint de se faire un nom. Et quel nom : Picasso ! Et une star célèbre dans le monde entier qu'on peut voir en peinture, mais qui ne peut plus voir en peinture un peintre de Saint-Tropez qui continue à vendre ses portraits : Brigitte Bardot !
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Antoine Dhulster - Nadine Satiat, auteure d'une biographie de Gertrude Stein, retraçait son parcours au micro d'Alain Veinstein, en soulignant sa démarche créatrice propre et l'importance de son oeuvre littéraire. Pour la couverture de la grande biographie qu'elle lui avait consacrée en 2010 chez Flammarion, Nadine Satiat avait choisi l'agrandissement d'un portrait de Getrude Stein réalisée par le photographe anglais Cecil Beaton, en 1935. Cheveux courts anthracites, chemise blanche nouée par une broche autour du cou, gilet à fleurs, elle s'y tient debout, droite face à l'objectif, les mains sagement croisées au niveau du ventre. L'expression du visage est neutre, le regard franc, intelligent. Si Gertrude Stein fut un modèle tant prisé par les peintres, les sculpteurs et les photographes, de Picasso à Picabia en passant par Man Ray, Jo Davidson ou Félix Vallotton, c'est sans doute parce qu'il y avait en elle quelque chose d'irréductible, quelque chose qui toujours excédait le portrait, ou lui résistait. Quelque chose comme une liberté radicale, absolue, que la biographie de Nadine Satiat s'employait à mettre en lumière. * En février 2011, elle était l'invitée d'Alain Veinstein et retraçait le temps de deux émissions le parcours de cette femme juive, américaine et homosexuelle, née en 1874 en Pennsylvanie, morte en 1946 à Neuilly. Par Alain Veinstein Avec Nadine Satiat Réalisation Anne Franchini Du jour au lendemain - Nadine Satiat pour sa biographie de Gertrude Stein 2/2 (1ère diffusion : 08/02/2011) - réalisation : Virginie Mourthé
Francis-Marie Martinez de Picabia le 22 janvier 1879 à Paris (2e arrondissement) et mort le 30 novembre 1953 dans la même ville, est un peintre, dessinateur et écrivain français, proche du mouvement dada, puis surréaliste.Francis Picabia est le petit-fils de Juan Martinez Picabia, né à Cuba, puis émigré à New York et Madrid et, côté maternel, d'Alphonse Davanne (1824-1912), chimiste et photographe, et président de la Société française de photographie. Son oncle, Maurice Davanne, est conservateur à la bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris.Sa mère, Marie Davanne, meurt en 1886. Il fait ses études chez les maristes au collège Stanislas, puis au lycée Monge, à Paris. En 1894, voulant éprouver la vocation tôt manifestée de son fils, « Pancho » Picabia envoie, au Salon des artistes français, la toile de Francis intitulée Vue des Martigues. Le tableau ayant été non seulement accepté, mais primé, Picabia entre, après une scolarité compliquée, à l'École des arts décoratifs l'année suivante, où il sera l'élève de Wallet, Humbert et Cormon; mais il fréquente plus volontiers l'École du Louvre et l'Académie Humbert, où il travaille aux côtés de Georges Braque et de Marie Laurencin. L'année 1897 marque un tournant dans sa carrière : la découverte d'Alfred Sisley lui révèle l'impressionnisme, pour lequel son enthousiasme se renforce avec la rencontre de la famille Pissarro, en 1898. Il commence à exposer régulièrement au Salon des artistes français. C'est pour lui le début d'une période extrêmement féconde, qui durera dix ans ; les centaines de toiles qu'il peint alors, où l'influence impressionniste reste toujours plus ou moins sensible, sont propres à séduire le public : sa première exposition personnelle de 1905, à la galerie Haussmann à Paris, est un triomphe. Les tableaux exposés, étrangers aux nouvelles recherches plastiques, relèvent de l'imitation du « pur luminisme impressionniste »[réf. nécessaire] (Bords du Loing, 1905, Philadelphie, Museum of Art). Cependant, Picabia remet peu à peu en cause les valeurs plastiques qui lui valent son succès grandissant et, en 1908, sa rencontre avec Gabrièle Buffet — qui l'encourage à poursuivre de récentes recherches —, détermine la rupture avec l'impressionnisme comme avec ses marchands, rupture permise aussi par sa fortune personnelle. De 1903 à 1908, influencé par les peintres de Barbizon, il côtoie Alfred Sisley, Camille Pissarro et Marius Borgeaud. Son aquarelle Caoutchouc de 1909 (Musée national d'Art moderne, Paris), qui serait antidatée de 1907 et pourrait représenter des balles de caoutchouc, comme dans La Petite fille au ballon de 1908 de František Kupka, fut considérée plusieurs années plus tard, comme une des œuvres pionnières et fondatrices de l'art abstrait. À sa majorité, il prend possession de l'héritage maternel qui lui assure de confortables revenus. Sa première exposition personnelle (61 tableaux) est organisée en 1905 à Paris à la galerie Haussmann, chez Danthon, la suivante à Berlin à la Kaspar Kunstsalon. Il montrera ensuite ses œuvres à nouveau chez Danthon en 1907, puis à Londres, Munich, Barcelone. De 1905 à 1908, Picabia séjourne deux fois à Martigues et réalise de nombreux paysages de style impressionniste de la ville et de ses canaux. En 1909, il épouse Gabrièle Buffet, peut-être petite-nièce d'Alphonse de Lamartine[réf. nécessaire], petite-fille de l'amiral de Challié et descendante d'un frère de Jussieu, « l'homme qui rapporta le cèdre du Liban dans son chapeau », dixit Picabia[réf. nécessaire]. Une fille, Laure Marie Catalina, naît en 1910 ; un garçon, Pancho Gabriel François, en 1911. Ils auront encore une fille, Gabrielle Cécile, dite « Jeannine », en 1913, et un garçon, Vincente, né en 1919. À cette époque, il peint de manière très colorée à la manière des Fauves et fait ses premières incursions dans le domaine de l'abstraction. En 1911, il rejoint le groupe de Puteaux qui se réunissait dans le studio du peintre Jacques Villon, frère de Marcel Duchamp, qu'il a rencontré en 1910. Il devient aussi orphiste et crée en 1912, à Puteaux, le Salon de la Section d'Or, avant de connaître un premier succès international à l'exposition de l'Armory Show de New York, en 1913. Marqué par la Broyeuse de chocolat et le concept de ready-made de Marcel Duchamp, il confectionne, dès 1913, une série d'œuvres où il reprend l'esthétique du dessin industriel, recopiant ou simplifiant des images qu'il trouvait dans le magazine scientifique La Science et la Vie.
- On connaît depuis hier les nominations aux Oscars pour la 93ème cérémonie qui aura lieu le 25 avril à Los Angeles. Les favoris et les nommés sont... ? Tour d'horizon, avec Stéphane Boudsocq. - Le violoniste Renaud Capuçon rejoint l'équipe de Laissez-vous Tenter pour nous faire partager ses coups de cœur au rayon musique classique. Pour ce premier rendez-vous, Renaud nous présente le nouvel album "Beethoven Brahms, Violin Concertos", sorti vendredi, du violoniste américain Gil Shaham. - Des œuvres impressionnistes signées Picabia, Pissaro, ou encore Degas seront mises en vente aux enchères le 25 mars chez Sotheby's à Paris. Parmi ces lots fabuleux, "Scène de rue à Montmartre", un tableau de Vincent Van Gogh peint durant la période parisienne de l'artiste, et montré au public pour la première fois depuis 100 ans. Récit de Monique Younès. - Les programmes télé de ce mardi soir, avec Isabelle Morini Bosc.
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Paule Chavasse - Avec Gabrielle Buffet Picabia - réalisation : Virginie Mourthé
Nel 1897, a 36 anni, Berthe Weill apre la sua galleria a Montmartre, ed espone per prima artisti come Picasso, con Matisse, Picabia e Braque L'articolo Berthe Weill | ArteDONNA | ArteCONCAS proviene da Andrea Concas - Il mondo dell’arte che nessuno ti ha mai raccontato.
Nel 1897, a 36 anni, Berthe Weill apre la sua galleria a Montmartre, ed espone per prima artisti come Picasso, con Matisse, Picabia e Braque L'articolo Berthe Weill | ArteDONNA | ArteCONCAS proviene da Andrea Concas - Il mondo dell’arte che nessuno ti ha mai raccontato.
Cette semaine, et pour la première fois dans le podcast, je parle d’art avec une romancière. Et pas n’importe laquelle, puisqu’il s’agit de Claire Berest, l’une de mes auteures préférées. Elle a écrit pas moins de 7 romans dont le premier, “Mikado”, a été publié alors qu’elle n’avait que 27 ans. Si vous en doutez, Claire Berest est bien une femme d’art. Son dernier roman, “Rien n’est noir” (2019) est entièrement consacré à Frida Kahlo, à qui elle voue une admiration sans bornes… Claire est aussi l’auteure, avec sa soeur Anne, de “Gabriële” (2017), un roman qui retrace la vie passionnante de son arrière grand-mère Gabriële Buffet-Picabia, figure importante de l’histoire de l’art du 20e siècle, mais dont le nom a pourtant été effacé des ouvrages d’histoire de l’art. J’ai passé plus d‘une heure à discuter avec Claire Berest. C’était passionnant, et c’était tellement passionnant, que j’ai décidé de consacrer les deux derniers épisodes de la saison à notre échange. Dans cette première partie, Claire Berest me raconte comment, avec sa sœur, elles ont repris le fil de cette histoire familiale qu’on ne leur a jamais conté. A travers ce travail d’enquête se dessine l’histoire de Gabriële, une femme hors-norme, avant-gardiste, féministe avant l'heure, musicienne de grand talent qui a choisi de s’effacer de l’histoire pour donner toute la lumière aux autres. La semaine prochaine, pour la deuxième partie, nous parlerons comme vous vous en doutez de Frida Kahlo. En attendant, je ne vous en dis pas plus, le reste est dans l’épisode. Bonne écoute ! • Pour retrouver les romans de Claire Berest : www.editions-stock.fr/auteurs/claire-berest Rendez-vous aussi sur sa page Instagram : www.instagram.com/claireberest • Crédits : Femmes d’art est un podcast produit et réalisé par Marie-Stéphanie Servos Musique libre de droits www.femmes-dart.com www.instagram.com/femmesdart_ Contact : femmesdart@gmail.com
Escrito y narrado por Susana Benko
Marco Senaldi"Duchamp"La scienza dell'arteMeltemi Editorewww.meltemieditore.itIn un mondo in cui l'occhio e tutti gli altri sensi umani sono sottoposti ogni giorno a una serie di prove psicologiche in forme e modalità accresciute, continue e per lo più inconsapevoli, l'arte di Duchamp rappresenta, ancora oggi, un esercizio per collaudare non solo la nostra capacità di vedere e percepire, ma anche di esistere. Se vivere significa emanciparsi dall'incatenamento a uno scopo determinato, allora l'arte, quando funge da “test”, può servire a misurare, di tanto in tanto, quanto siamo davvero consapevoli della nostra libertà. A partire da questo presupposto, Marco Senaldi ci conduce in un inedito e avvincente viaggio “a ritroso” nellʻopera di Marcel Duchamp.“In questa affascinante ricerca Marco Senaldi ci consegna un ritratto inedito di Marcel Duchamp, mostrando lo stretto legame tra la sua arte, l'estetica sperimentale e la ricerca psicofisiologica. Il principio ideo-motore diviene così un fil rouge per interpretare la produzione artistica di Duchamp, rivelandone aspetti fin qui trascurati. Un libro imperdibile.”Vittorio Gallese"Duchamp non usa le scoperte della psicologia della percezione per produrre “dipinti” con tecniche tratte dalla psicofisiologia, ma ancorati al valore della “rappresentazione” tradizionale; egli usa i dispositivi o le pratiche di “laboratorio” direttamente come un'opera d'arte e, di conseguenza, trasforma la nozione di “opera d'arte” da “oggetto contemplativo” immobile a test dinamico e “ideo-motorio”. Questo gesto radicale sovverte anche il senso generale dell'Arte, trasformandola da attività individualista dedita alla ricerca della bella forma, a un “esperimento psicologico” intersoggettivo il cui scopo è la liberazione da ogni stereotipo visuale, e anche esistenziale."Marco Senaldi è critico, teorico dʻarte contemporanea e ricercatore indipendente. Ha pubblicato, fra l'altro, Doppio sguardo. Cinema e arte contemporanea (2008), Rapporto confidenziale. Percorsi tra cinema e arti visive (2009; 20122). Con Meltemi: Enjoy! Il godimento estetico (2003; 20062), Van Gogh a Hollywood. La leggenda cinematografica dell'artista (2004). Collabora con ˮFlash Artˮ e ˮArtribuneˮ.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.it
Françoise Cloarec, J'ai un tel désir, Éditions Glénat, 8 décembre 2018.Marie Laurencin et Nicole Groult, une histoire d'amour peu banale. L'une est une peintre connue, ancienne maîtresse d'Apollinaire, l'autre une couturière talentueuse et créative, soeur de Paul Poiret et mariée à André Groult. Nous suivons leurs deux destins incandescents dans le Paris de la Belle Époque, de 1907 au début des années vingt, lorsque naît la première fille de Nicole. « C'est toi le père », dira Nicole à Marie. L'enfant s'appelle Benoîte Groult. Marie Laurencin a épousé un baron allemand juste avant la Grande Guerre ce qui lui vaut un exil de plus de cinq ans en Espagne. Elles s'écriront des centaines de lettres. Que leur désir réciproque puisse être coupable ne leur vient pas à l'idée, elles existent en marge de l'hypocrisie, naturellement. Elles devancent leur temps, sans autre revendication que leur liberté et leur plaisir. Entourées d'Apollinaire, Picasso, Braque, Rousseau, Picabia, Roché, elles ne laisseront personne briser leur entente qui durera toute la vie.Françoise Cloarec est psychanalyse et peintre, diplômée des Beaux-Arts de Paris. En 2008 elle publie chez Phébus Séraphine, ouvrage consacré à Séraphine de Senlis, peintre inclassable, et qui eut un grand succès de même que le film de Martin Provost qui en en est inspiré. Paraît en 2010, toujours chez Phébus, Storr, architecte de l'ailleurs, artiste tout aussi inclassable que Séraphine Louis.
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Paule Chavasse - Avec Gabrielle Buffet Picabia - réalisation : Virginie Mourthé
1941 gjorde den franske konstnären Francis Picabia (1879-1953) en målning som förbryllat eftervärlden. På ytan hör den till avantgardisten Picabias enklare: en mörk man i en röd mantel, flankerad av en leende kvinna. Men 1941 var året då nazisternas planer på att förinta Europas judar tog form, och titeln i Picabias målning - Le Juif errant - anknyter till en medeltida legend med antisemitiska undertoner.Var Picabia antisemit? Varför hyllade han Pétain? Varför målade han i en stil som stämde med nazisternas smak, under ockupationen? Och vem är hans slitne vandrare i den röda manteln?Kulturredaktionens Mårten Arndtzén försöker räta ut frågetecknen kring en 75 år gammal bild.
In 1919, two competing art movements went head-to-head in Paris. One was the Return to Order, a movement about purity and harmony. The other was Dada, a movement about chaos and destruction. Their collision would change the trajectory of Western art. Hugo Ball established the Cabaret Voltaire in Zurich, where Dada came to life in February 1916. In this photo, he's dressed in his "magic bishop" costume. The costume was so stiff and ungainly that Ball had to be carried on and off stage. You can hear the entire text of Ball's "Karawane" on Youtube (https://www.youtube.com/watch?v=z_8Wg40F3yo). You can also read the text (https://poets.org/poem/karawane). Marcel Duchamp arrived in New York to a hero's welcome, a far cry from the disdainful treatment he was receiving in France. He was hailed for his success at the 1913 Armory Show, where his painting "Nude Descending a Staircase" was the hit of the show. "Nude Descending a Staircase" was considered radical art, but it was still oil paint on canvas. Duchamp would soon leave even that much tradition behind. Francis Picabia was handsome, rich, dashing, and about as faithful as an alley cat. That he wasn't court martialed for neglecting his diplomat mission to Cuba for artistic shenanigans in New York was entirely due to his family's wealth and influence. He was also well known in New York for his visit there during the Armory Show. Picabia abandoned traditional painting for meticulous line drawings of mass-produced items, including this work, titled "Young American Girl in a State of Nudity." Duchamp horrified New Yorkers when he presented "Fountain" to an art exhibit as a work of sculpture. A urinal may not seem particularly shocking now, but it violated any number of taboos in 1917. While "Fountain" is generally atttributed to Duchamp, it is possible, although by no mean certain, that it was actually created by the Baroness Else von Freytag-Loringhoven. A German ex-pat, she was creating art out of ready-made objects more than a year before Duchamp and lived her life as a kind of non-stop performance art. Whatever her role in "Fountain," she deserves to be better remembered as a pioneering modernist. After he returned to Europe, Picabia's art became less disciplined and more outlandish. He titled this ink-blot "The Virgin Saint." Picabia also published a Dadaist journal, in which he published this work by Duchamp. It's a cheap postcard of the "Mona Lisa" to which he added a mustache. The title "L.H.O.O.Q. is a pun in French; it sounds like "she has a hot ass." Tzara and other Dadaists in Paris devoted themselves to events and performances. This is a handbill for a "Festival Dada" that took place on May 26, 1920. Tzara and Picabia are listed as performing, along with several other prominent Dadaists including Andre Breton, Louis Aragon, and Paul Eluard. These evenings became increasingly frantic and nihilistic as Dada wore on. By 1919, Pablo Picasso part of the artistic establishment and no longer a radical on the edges of society. In 1911/1912, Picasso paintings looked like this--this is "Ma Jolie," a dense, complicated, frankly intimidating Cubist painting. Ten years later, he painted this work, Woman in White. With its clarity, beauty, and nods to tradition, it is a prime example of Picasso's embrace of neo-classicism after the Great War. The impulse to create clear, simple, ordered art existed in many European countries. In the Netherlands, Piet Mondrian worked in the Neoplasticist movement creating his iconic grid paintings. This is "Composition No. 2" from 1920. At the same time, in Germany the Bauhaus was established. As a school of arts and crafts, it taught a stripped-down, clean aesthetic that applied to everything from architecture to furniture design, industrial design to graphic design. This poster advertising a 1923 exhibition is a good example of Bauhaus design and typography. The Surrealist movement arose out of Dada's ashes in the mid- to late-1920s. It combined the traditional painting technique of neo-Classicism with the bizarre imagery of Dada. Salvador Dali's "Persistence of Memory," for example, is a technical masterpiece, with masterful execution. It's also impossible and, frankly, disturbing. T.S. Eliot's "The Waste Land" gives the impression of randomness, of lines picked out of a coat pocket. In fact, it is painstakingly constructed and shows as much technical skill as Dali's clocks. You can read the poem (https://www.poetryfoundation.org/poems/47311/the-waste-land), or listen to Alec Guinness read it (https://www.youtube.com/watch?v=Hcj4G45F9pw)--or maybe do both at the same time. This meme was created in 2013 by cartoonist KC Green. It captures the Dadaist attitude that shows up in popular culture a great deal here in 2019--a sense that the world is really weird right now. Please note that the links below to Amazon are affiliate links. That means that, at no extra cost to you, I can earn a commission if you click through and make a purchase. (Here's what, legally, I'm supposed to tell you: I am a participant in the Amazon Services LLC Associates Program, an affiliate advertising program designed to provide a means for me to earn fees by linking to Amazon.com and affiliated sites.) However, I only recommend books that I have used and genuinely highly recommend.
1941 gjorde den franske konstnären Francis Picabia (1879-1953) en målning som förbryllat eftervärlden. På ytan hör den till avantgardisten Picabias enklare: en mörk man i en röd mantel, flankerad av en leende kvinna. Men 1941 var året då nazisternas planer på att förinta Europas judar tog form, och titeln i Picabias målning - Le Juif errant - anknyter till en medeltida legend med antisemitiska undertoner.Var Picabia antisemit? Varför hyllade han Pétain? Varför målade han i en stil som stämde med nazisternas smak, under ockupationen? Och vem är hans slitne vandrare i den röda manteln?Kulturredaktionens Mårten Arndtzén försöker räta ut frågetecknen kring en 75 år gammal bild.
1941 gjorde den franske konstnären Francis Picabia (1879-1953) en målning som förbryllat eftervärlden. På ytan hör den till avantgardisten Picabias enklare: en mörk man i en röd mantel, flankerad av en leende kvinna. Men 1941 var året då nazisternas planer på att förinta Europas judar tog form, och titeln i Picabias målning - Le Juif errant - anknyter till en medeltida legend med antisemitiska undertoner.Var Picabia antisemit? Varför hyllade han Pétain? Varför målade han i en stil som stämde med nazisternas smak, under ockupationen? Och vem är hans slitne vandrare i den röda manteln?Kulturredaktionens Mårten Arndtzén försöker räta ut frågetecknen kring en 75 år gammal bild.
In relation to the exhibition with German painter Anton Henning at Magasin 3 in 2012, Olle Granath, former Director of the Moderna Museet, and the National Museum, gives us a a close portrait of the charismatic artist Francis Picabia (1879-1953). Picabia, close friend to Duchamp, was a restless pioneer in Dada, constantly striving for total artistic freedom, while challenging the good taste with his nude portraits. With approval from the Dance Museum we also showed Entr’acte by René Clair, the classic film from 1924 in the transitional period between Dada and Surrealism. Olle Granath is a critic, writer and a recognized figure in the Swedish art scene. He was previously head of the Museum of Modern Art (1980-1989), Director of the National Museum and art director of the National Museum (1989-2001), Granath is an honorary member of the Academy of Arts since 1987 and author of books on Swedish and Nordic artists including The dog’s Vision: explorations of contemporary life (2008). Recorded November 8, 2012 at Magasin 3, Stockholm Language: Swedish
In relation to the exhibition with German painter Anton Henning at Magasin 3 in 2012, Olle Granath, former Director of the Moderna Museet, and the National Museum, gives us a a close portrait of the charismatic artist Francis Picabia (1879-1953). Picabia, close friend to Duchamp, was a restless pioneer in Dada, constantly striving for total artistic freedom, while challenging the good taste with his nude portraits. With approval from the Dance Museum we also showed Entr’acte by René Clair, the classic film from 1924 in the transitional period between Dada and Surrealism. Olle Granath is a critic, writer and a recognized figure in the Swedish art scene. He was previously head of the Museum of Modern Art (1980-1989), Director of the National Museum and art director of the National Museum (1989-2001), Granath is an honorary member of the Academy of Arts since 1987 and author of books on Swedish and Nordic artists including The dog’s Vision: explorations of contemporary life (2008). Recorded November 8, 2012 at Magasin 3, Stockholm Language: Swedish