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Donald Trump entend taxer tout produit importé sur le sol américain. Et si le président américain assume ce choix pour protéger l'économie des États-Unis, l'effet indirect, c'est que le reste du monde se prépare à une inondation de produits chinois bon marché. Décryptage. Pour se rendre compte des conséquences des mesures de Donald Trump, un chiffre : 440 milliards de dollars. C'est la valeur des produits chinois importés par les États-Unis l'année dernière. C'est beaucoup. Une illustration vaut mieux que de longues explications, puisque d'après le Centre du commerce international, une paire de chaussures sur trois portées par les Américains a été produite en Chine. La grande question est donc celle-ci : que va-t-il advenir de ces 440 milliards de dollars de marchandises ? À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?Car il va inévitablement y avoir un « effet domino ». Toute cette production va devoir trouver des débouchés et être détournée de sa destination principale, à savoir les États-Unis. Certes, une partie devrait selon toute vraisemblance continuer d'arriver sur le sol américain, car les produits chinois sont très bien intégrés dans les chaînes de valeurs du pays. Mais une majorité devrait en effet trouver preneur ailleurs, car avec les droits de douane appliqués par Washington, certaines marchandises vont coûter beaucoup plus cher et risquent d'être moins compétitives que la production locale. L'UE en ligne de mire Mais difficile à dire comment les autres économies peuvent absorber un tel volume. Il y a pourtant quelques pistes, puisque ces dernières années, Pékin a diversifié ses partenaires commerciaux pour éviter d'être trop dépendante des États-Unis. Par exemple, en redirigeant une partie de sa production vers l'Amérique latine et l'Afrique où la demande est très élevée et où les tarifs douaniers sont bas. Mais l'une des régions du monde qui pourrait se retrouver en première ligne, c'est l'Union européenne, car les États européens sont les clients « idéaux » pour toute la marchandise asiatique et a fortiori chinoise, qu'il s'agisse de pièces ou de produits assemblés. Bruxelles l'a d'ailleurs parfaitement intégré. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, estime que les Vingt-Sept ne peuvent pas « absorber la surcapacité mondiale ». Comprenez le volume asiatique. À lire aussiDans la tête de Donald Trump, que veut-il gagner avec sa guerre commerciale?Comment répondre ? Le problème de l'UE est donc double : limiter l'impact des mesures tarifaires américaines et contrer l'offre excédentaire en provenance d'Asie. Car la Chine, grâce aux subventions publiques, a la capacité d'exporter de très grandes quantités, à très bas prix. Résultat, les biens trouveront preneurs facilement, ce qui mettra en difficulté bon nombre de producteurs européens qui, eux, ne pourront pas s'aligner sur les prix de cette concurrence. C'est déjà le cas et ça pourrait empirer. Alors, heureusement des règles existent et Bruxelles compte les utiliser. L'une d'elles via l'Organisation mondiale du commerce, appelée « clause de sauvegarde » peut être activée lorsqu'un pays – ou un groupe de pays dans le cas de l'UE – peut démontrer une augmentation significative des importations dans certains secteurs. L'UE, comme beaucoup d'États du monde, a d'ailleurs dès le premier mandat de Donald Trump pris des mesures pour protéger son économie, craignant un choc commercial. C'est précisément à nouveau ce qui menace l'Europe. Dorénavant, l'enjeu pour l'Europe comme pour les autres économies, c'est la capacité de réaction. Vont-elles répondre au risque d'augmentation de l'offre chinoise par des mesures protectionnistes comme les États-Unis ? Ou discuter, négocier, pour trouver un terrain d'entente entre victimes des mesures américaines ? À lire aussiDroits de douane: vent de panique sur les marchés mondiaux face à l'inflexibilité de Trump
Bienvenue dans le B.W.P Club, le podcast de Business Women in Paris, qui va à la rencontre d'entrepreneurs de talent qui partagent avec vous leurs secrets d'alignement et de prise de pouvoir.Chaque épisode est enregistré lors d'un événement organisé chaque mois à Paris, face à un public d'entrepreneuses. L'objectif : passer un moment de partage et d'inspiration, au sein d'un réseau de qualité.Pour participer, rdv sur Instagram @businesswomeninparis et sur www.businesswomeninparis.com_____________________Iris de la Villardière est une femme et entrepreneuse d'une grande sincérité. Dans ce nouvel épisode du B.W.P Club, elle partage avec une spontanéité rafraîchissante l'histoire de Viltier.De sa création en pleine pandémie à ses doutes avant de se lancer, en passant par l'importance des relations humaines et la gestion du stress face aux aléas, Iris aborde chaque étape avec une lucidité et une humilité qui forcent l'admiration.Quand on évoque la joaillerie, on imagine souvent un univers feutré, figé dans des traditions séculaires. Viltier casse ces codes. Derrière cette Maison, un duo complice et complémentaire : Iris de la Villardière et Thomas Montier Leboucher, amis d'enfance unis par une passion commune et l'ambition franche de faire de Viltier une signature incontournable.Viltier, ce n'est pas une simple marque, c'est une vision, un art de vivre. Son essence ? La joie, une valeur forte qui se traduit dans sa couleur signature, le jaune. L'ADN de la maison a été pensé comme une expérience globale, un lifestyle travaillé dans les moindres détails pour dépasser l'objet et offrir une nouvelle manière de vivre la joaillerie, avec joie et spontanéité.L'humain est au cœur de la marque. Iris et Thomas ont créé un écosystème sincère et engagé, où chaque collaboration – qu'il s'agisse des équipes, des agences créatives ou des architectes – alimente l'âme de Viltier et renforce sa dynamique. Bien plus qu'un projet entrepreneurial, c'est une aventure collective, où chacun joue un rôle clé dans la construction d'un univers authentique.Mais le succès ne se construit pas sans défis. Face à la flambée du cours de l'or, aux tensions géopolitiques et aux ajustements liés à une croissance rapide, Iris fait preuve de pragmatisme et de transparence. Aujourd'hui, Viltier se trouve à un tournant décisif : ouvrir ses propres boutiques et envisager une levée de fonds pour accélérer son expansion.Iris de la Villardière incarne un leadership à la fois audacieux et sincère. Avec douceur et détermination, elle prouve que le doute n'est pas un frein, mais une force motrice, lorsqu'il est porté par la passion et la conviction qu'une marque peut être à la fois ambitieuse et profondément humaine.Je suis très heureuse de vous partager ma conversation avec Iris de la Villardière dans ce nouvel épisode du B.W.P Club. Bonne écoute !N'hésitez pas à vous abonner, noter et commenter le B.W.P Club Podcast, cela vous prendra 2 min mais représentera une aide immense pour m'aider à le faire connaître !Si vous souhaitez participer au prochain event B.W.P, le calendrier est disponible sur le site www.businesswomeninparis.com et le compte instagram @businesswomeninparis Bonne écoute !OliviaLe podcast est sponsorisé par Colette Lab , la marque de compléments alimentaires positive-aging ! @colettelab.coMerci au Bon Marché pour son accueil exceptionnel au sein des Salons Particuliers.Titre: Not Kings Auteur: Candy Says Source: https://candysays.bandcamp.com/ Licence: https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr Téléchargement (8MB): https://auboutdufil.com/?id=561
Bienvenue dans le B.W.P Club, le podcast de Business Women in Paris, qui va à la rencontre d'entrepreneurs de talent qui partagent avec vous leurs secrets d'alignement et de prise de pouvoir.Chaque épisode est enregistré lors d'un événement organisé chaque mois à Paris, face à un public d'entrepreneuses. L'objectif : passer un moment de partage et d'inspiration, au sein d'un réseau de qualité.Pour participer, rdv sur instagram @businesswomeninparis et sur www.businesswomeninparis.com_____________________Intelligence artificielle, beauté, levées de fonds et Qui Veut Être Mon Associé… Ce nouvel épisode du B.W.P Club est une véritable plongée dans l'univers de l'innovation, avec une entrepreneuse passionnée et visionnaire : Marie Rocchisani.Marie est la cofondatrice de Maison M.Le Pitch ? Maison M c'est un rouge à lèvres qui réunit 3 teintes dans un même écrin, dont les couleurs sont définies par Intelligence artificielle parmi plus de 60000 nuances, pour que chacune puisse trouver ses 3 accords parfaits. Une véritable innovation technique et technologique avec un produit clean et eco-conçu !L'idée du produit est née il y a plus de 10 ans, dans la salle de bain de la tante de Marie. Convaincue de son idée, elle a structuré tout son parcours académique et professionnel pour transformer cette intuition en une véritable innovation technique et technologique. Trois ans de R&D intense, deux brevets déposés, et de nombreuses remises en question ont été nécessaires. « Je n'avais pas conscience du nombre d'échecs que nous allions rencontrer avant de réussir. Ça a été dur et parfois décourageant, mais l'association nous a permis d'avancer. »Chez Maison M, la réussite repose sur des rencontres stratégiques. Marie a rencontré Clara, son associée ingénieure, via LinkedIn, et Christophe, expert en intelligence artificielle, sur Facebook (oui oui !!) Des connexions qui ont permis de transformer une idée en un projet structuré, de la R&D à l'industrialisation, jusqu'au développement marketing.Lancer une marque innovante demande du financement, mais aussi de la résilience. Marie a su convaincre des investisseurs dès ses premiers pitchs, parfois avec une simple présentation PowerPoint. Mais pour aller plus loin, il lui fallait un levier plus puissant…L'émission Qui Veut Être Mon Associé a été un tremplin stratégique. Plus qu'une visibilité exceptionnelle, ce passage a permis à Maison M de séduire des retailers et d'accélérer sa croissance en quelques heures. Pour y parvenir, Marie s'est préparée avec un coach, s'entraînant même à pitcher son projet dans le métro !Et les résultats sont là : grâce à l'émission, Maison M a réalisé en quelques heures l'équivalent de son chiffre d'affaires 2024 !Je suis ravie de vous partager ma conversation avec Marie Rocchisani, cofondatrice de Maison M, dans l'épisode #28 du B.W.P Club. Un moment authentique, enregistré pieds nus à la maison, où nous avons parlé sans filtre des défis et des leviers de croissance pour les entrepreneures d'aujourd'hui.Un épisode à ne pas manquer !N'hésitez pas à vous abonner, noter et commenter le B.W.P Club Podcast, cela vous prendra 2 min mais représentera une aide immense pour m'aider à le faire connaître !Si vous souhaitez participer au prochain event B.W.P, le calendrier est disponible sur le site www.businesswomeninparis.com et le compte instagram @businesswomeninparis Bonne écoute !OliviaLe podcast est sponsorisé par Colette Lab , la marque de compléments alimentaires positive-aging ! @colettelab.coMerci au Bon Marché pour son accueil exceptionnel au sein des Salons Particuliers.Titre: Not Kings Auteur: Candy Says Source: https://candysays.bandcamp.com/ Licence: https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr Téléchargement (8MB): https://auboutdufil.com/?id=561
Le Bon Marché est le premier grand magasin à Paris et en France. Il ouvre en 1852.Grâce à Aristide Boucicaut ce grand magasin devint un lieu incontournable pour la clientèle féminine.Le Bon Marché fut un modèle en France et à l'étranger car il révolutionna le fonctionnement des magasins: prix fixes affichés et ventes à distance font partie des innovations orchestrées par Aristide Boucicaut. Sa femme, Marguerite qui prit la direction du magasin à la mort de son mari se préoccupa du sort des femmes et en particulier des employées du Bon Marché.Site web du podcast: www.racontemoiparis.comAccompagnements musicaux: Lighter shades © Evert Z, Tender remains ©Myuu, Romantic winter day ©Jan Baars, QuietTree ©Thoribass, Anticipating you©Antony Vega ,Sunrise ©Antony Vega, Special Times©Antony Vega, Academy ©MrKey, Sleep- ©Scott Buckley, Keys of Moon@The Epic Hero, Make your Mine@Mina, Swans In Fight@Asher Fulero, The Swan Saint-Saëns ©Yael Kareth, Stradivarius Solo Arpeggio Melody 200 BPM by Robbnix, Sexy Alien Ambiance ©MrKey Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Virginie Girod raconte la naissance des grands magasins parisiens et du shopping moderne. Au XIXe siècle, le baron Haussman, préfet de la Seine, est chargé par Napoléon III de transformer Paris pour en faire la capitale de l'Europe. De grandes artères sont alors percées dans la ville, où se dressent désormais de nouveaux bâtiments qui serviront bientôt d'écrin aux grands magasins. Dès l'ouverture du Bon Marché, de la Samaritaine, ou des Galeries Lafayette, la foule se presse dans ces nouveaux temples de consommation, lieux de commerce, de détente et de loisirs, devenus des symboles de Paris.
Bienvenue dans le B.W.P Club, le podcast de Business Women in Paris, qui va à la rencontre d'entrepreneurs de talent qui partagent avec vous leurs secrets d'alignement et de prise de pouvoir.Chaque épisode est enregistré lors d'un événement organisé chaque mois à Paris, face à un public d'entrepreneuses. L'objectif : passer un moment de partage et d'inspiration, au sein d'un réseau de qualité.Pour participer, rdv sur instagram @businesswomeninparis et sur www.businesswomeninparis.com_____________________Certaines aventures entrepreneuriales se démarquent par leur vision, leur ambition et leur impact. Mais ce qui distingue les entrepreneurs d'exception, c'est aussi leur capacité d'adaptation face aux imprévus. L'histoire d'Intacte, la plateforme anti-gaspi de la Beauté fondée par Gabrielle Flipo et Olivia Bally, en est un parfait exemple.En seulement 18 mois, elles ont bâti une solution innovante et essentielle pour l'industrie de la Beauté, permettant aux marques de gérer intelligemment leurs fins de stock et produits défectueux – loin des logiques de déstockage classiques. Un modèle rentable, efficace et immédiatement adopté par les grandes enseignes du secteur.J'ai eu le plaisir de recevoir Gabrielle Flipo au micro du B.W.P Club, et elle m'a impressionnée par sa clarté, son recul et sa transparence sur cette aventure. Intacte cochait toutes les cases du succès : croissance fulgurante, notoriété rapide, levée de fonds et processus de rachat en dual track. Mais un élément imprévisible est venu tout bouleverser : la dissolution de l'Assemblée nationale. Un choc brutal qui a stoppé net leur dynamique, mettant en péril ces deux processus et les perspectives d'avenir de l'entreprise.Dans cet épisode captivant, Gabrielle partage sans filtre son expérience et répond avec une honnêteté rare à des questions cruciales :
Anni fa scrivevo di Sanremo – molto prima della contemporanea consacrazione come oggetto conversazionale sacro – come “trasmesso in diretta su History Channel”. Poi arrivò Twitter, e con esso la conversazione tra utenti. E con la conversazione arrivarono le folle, ognuna con motivazione diversa. Oggi siamo ben oltre al punto di non ritorno, e cosa meglio del FantaSanremo può illustrare il libero mercato dell'attenzione?Grazie a Digital Pills – società di consulenza specializzata in data activation – per il supporto a questa edizione. Sei tra le circa 25.000 persone iscritte tra qui, LinkedIn, Telegram e WhatsApp: grazie, spero che le 2,8 ore per scriverla ti siano state utili. A proposito, che ne dici di presentare il tuo brand nella newsletter come ha fatto oggi Digital Pills? Dai un'occhiata per sponsorizzare nel 2025. Il quiz della settimanaQuante tonnellate di carta per uso igienico e casalingo produce il gruppo Sofidel, quello dei Rotoloni Regina, ogni anno? Risposta in fondo.[in collaborazione con Digital Pills]Quante volte salti da una piattaforma all'altra per controllare le performance? Ti capita mai di avere la sensazione di non avere una visione completa del tuo funnel di conversione? E quanto spesso ti chiedi se stai investendo il budget sui canali giusti?Abbiamo creato una dashboard gratuita per visualizzare tutti i tuoi dati marketing, permettendoti di:* Avere una visione d'insieme immediata di tutte le performance digitali, eliminando ore di aggregazione manuale e permettendoti di dedicare più tempo all'analisi strategica* Ottimizzare il tuo budget marketing con una vista chiara su ogni canale, identificando rapidamente dove reinvestire per massimizzare i risultati* Conoscere il tuo pubblico attraverso insight demografici, comportamentali e di engagement, per creare campagne sempre più mirate ed efficaciLa dashboard è uno strumento essenziale che semplifica il monitoraggio quotidiano delle tue iniziative – uno strumento gratuito che rende i dati finalmente chiari e azionabili. Scarica e implementa la dashboard in pochi click.Il FantaSanremo e la fabbrica dell'attenzioneCi sono frasi tagliate con l'accetta che ricordi a distanza di anni. Una persona mi disse, una volta: tutto quello che devi sapere dell'advertising è che è un mercato basato sull'attenzione, e l'attenzione è nient'altro che una merce. Chi ne ha bisogno la compra da chi ce l'ha, chi la detiene la vende per campare.Ma non basta sapere questo, mi disse. Devi sapere che chi la produce è sempre alla caccia di modi per produrla a un costo più basso, e rivenderla basando il prezzo sui parametri che la fanno sembrare più appetibile, o che danno l'impressione di essere “tanta roba”, pensa alle impression. Chi la compra, ovviamente, cerca di tenere il prezzo basso, e di basarsi sui parametri che fanno comodo a questo scopo. Perché chi compra non è interessato all'attenzione in quanto tale. Gli serve per vendere la propria mercanzia: e quindi cerca di spostare il rischio al produttore di attenzione. Ci siamo inventati l'affiliation, salvo poi intuire che spesso i venditori di attenzione ci stavano fregando anche con questo sistema.Google è Google perché vende attenzione che non è stata prodotta da lui. Google ha solo reso fruibili i miliardi di pagine creati da altri. Facebook e TikTok fanno la stessa cosa, con i post creati dagli influencer e dai creator. Creazione di attenzione da vendere a prezzo alto (perché c'è la salsa della targetizzazione avanzata sopra) ma a basso costo di produzione, perché gli operai del contenuto lavorano a gratis o a partita IVA – per ogni Giulia Valentina (peraltro pagate dai brand e da collateral da TV ed editoria) ci sono decine, centinaia di migliaia di creator spiantate, lavoratrici part-time della piattaforma.Spesso chi ha bisogno di attenzione si arrangia con mezzi propri, cercando di non passare dai venditori di attenzione: si fanno concorsi a premi, si fa content marketing, branded content, e tutte quelle pratiche che abbiamo descritto come “ogni brand deve essere un media”. Cioè deve crearsi in proprio la fabbrica dell'attenzione. Cosa affascinante, ma che quasi mai funziona, perché chi è specializzato in produrre prodotti difficilmente è bravo a produrre attenzione, e viceversa.Oggi quindi chi vende attenzione cerca di scambiarla con qualcosa di simile alle note perline e specchietti per cui i nativi americani vendevano chilometri quadrati di terre ai primi coloni americani. Deve trovare lo sweet spot in cui miracolosamente le persone si appassionano, rimangono appiccicate, in cambio di qualcosa che non costa nulla produrre. Bravi tutti a produrre attenzione con il budget di Netflix, o di Hollywood, o anche di un giornale tradizionale, che nonostante tutto qualche euro ad articolo deve pur pagarlo.Per molti anni negli uffici della new economy ho resistito al fantacalcio, sia in quelli primigeni in formati analogici, sia nelle versioni digitali, prima macchinose e grassroot, poi sempre più pettinate, facili e professionali. Resisto da sempre anche al fantabasket, che però mi è sempre parso non interessare così tanto gli appassionati di pallacanestro. E poi è arrivato il FantaSanremo e, nonostante il mio disinteresse per la musica trasmessa in occasione del festival, il fenomeno è tracimato nella sociologia, e tutto quello che tracima nella sociologia prima o poi finisce monetizzato dal marketing.In linea con quella che è la linea vincente del festival degli ultimi anni – riuscire a tenere attaccati alla manifestazione contemporaneamente quelli a cui piace davvero, quelli a cui piacciono la compagnia e la conversazione, e quelli che lo usano per sentirsi superiori – anche il FantaSanremo ha seguito la stessa traccia. Il FantaSanremo è sicuramente la startup di successo più rapido della storia italiana, passata in cinque anni da zero a un milione di fatturato, con zero dipendenti.Il segreto non così segreto è vendere attenzione senza sostenere costi. Senza costi perché la parola “Sanremo” non è sotto copyright, e nemmeno “fanta-qualcosa”, nessuna royalty. Perché il festival è costruito, pubblicizzato, trasmesso e pagato da altri: il FantaSanremo sta sulle spalle dei giganti, sperando che il gigante non si scrolli prima o poi. Ma anche al gigante fa comodo una grattatina sulle spalle, ogni tanto. La simbiosi di business, come lo squalo a cui fa comodo il pesciolino che gli toglie i parassiti.Ma niente costi soprattutto perché siamo un Paese di giocatori da divano. Certo, non l'unico, probabilmente. Ma solo noi abbiamo Sanremo, o quasi. Giochiamo con il telecomando, con i pronostici sulle partite, con il lotto, con la schedina, con i quiz televisivi e con la borsa. Giochiamo per dimostrare di aver capito il mondo meglio degli altri, per il brivido della scommessa senza soldi, per poter dire “io l'avevo detto” il giorno dopo. Il FantaSanremo prende tutto questo e lo mette sull'unica vera riunione plenaria degli italiani.Il festival è l'unico evento che, per una settimana, ferma il Paese in un modo che neanche il calcio riesce a fare: perché Sanremo non divide, non ha tifoserie contrapposte, non ha un destino già scritto come il campionato. È un momento di comunione nazionale, un rito laico che ognuno guarda con il proprio filtro: chi con il cinismo, chi con il cuore in mano, chi come se fosse il Super Bowl, chi come se fosse il carnevale. Inserire un gioco dentro questo schema significa avere già il pubblico pronto. Il FantaSanremo è una macchina perfetta per creare conversazioni, perché ogni scelta, ogni punto guadagnato o perso, ogni bonus assegnato in modo assurdo diventa un pretesto per commentare, per litigare, per ridere.Ma il valore aggiunto definitivo sta nell'aver creato un gioco dove l'attenzione stessa diventa la valuta. Si vince per le stravaganze, per gli outfit, per le mosse studiate per guadagnare punti. La gamification estrema. I cantanti stessi sono costretti a partecipare alla messa in scena, a strizzare l'occhio al pubblico del gioco, a fare piccoli gesti che non costano nulla ma che generano engagement. E questo è un corto circuito che fa il gioco del produttore di attenzione: si arriva alla fase finale, quella in cui il confine tra chi produce contenuto e chi lo consuma si dissolve, siamo tutti produttori di attenzione a gratis, cantanti e spettatori.Oggi il FantaSanremo è una piattaforma di monetizzazione dell'attenzione a costo quasi zero. Funziona perché non cerca di forzare la mano: invece di vendere spazi come interruzioni di popup e banner, ha costruito un sistema in cui il coinvolgimento degli sponsor è sia benzina che motore della monetizzazione. Gli sponsor diventano anch'essi produttori di attenzione a gratis, che poi gli viene rivenduta.Ci sono le leghe sponsorizzate: brand di ogni tipo hanno capito che, invece di provare a interrompere l'attenzione, potevano semplicemente inserirsi in una conversazione già esistente e chiedere alle persone di iscriversi alla lega di Perlana, che paga l'attenzione con la perlina (il gioco di parole non era voluto) con un concorsino da quindicimila euro. O a quella di Rotoloni Regina (payoff “Paper for People”), con un altro montepremi da quindicimila euro (forse lo stesso fornitore di premialità li ha fatti in serie? Ho controllato: no). C'è nell'acquisto dell'attenzione, quello che interessa per vendere poi:Vuoi ricevere altri inviti per partecipare a concorsi, sconti esclusivi e offerte personalizzate? Dando il consenso al trattamento dei tuoi dati entrerai a far parte della nostra community e avrai tanti vantaggi esclusivi: buoni sconto, partecipazione a concorsi, comunicazioni personalizzate, test dei nuovi prodotti in anteprima, nonché inviti ai nostri eventi. Puoi annullare l'iscrizione in qualsiasi momento.Non devono convincere nessuno a partecipare, perché le persone stanno già giocando, devono solo rendere la loro lega il posto più interessante dove stare. Un'altra ottimizzazione del costo dell'attenzione. FOMO crea FOMO è uno dei trucchi per produrre e vendere attenzione: e quindi pagine come Taffo e Sapore di Male non hanno resistito. Visto l'andazzo, perfino Biochetasi si è lanciata nell'agone. Conta 277.000 squadre iscritte, l'hashtag è l'agghiacciante #cipuoicAntare, che rimanda al suo payoff “ci puoi contare”, ovviamente. Non ce l'hanno fatta a non farlo.Branded engagement, attivazioni, concorsi: il modello di business non è diverso da quello di tante startup digitali. Prima si crea una base utenti smisurata, poi si trova un modo per renderla monetizzabile senza alienarla. Il FantaSanremo non ha mai chiesto soldi ai partecipanti, al contrario di altre leghe americane: in Italia siamo allergici a pagare, ma non a cedere i nostri dati in cambio di intrattenimento e premi.L'attenzione è una merce e il FantaSanremo l'ha capito prima di molti altri. Non l'ha prodotta, ma l'ha incanalata e distribuita, l'ha resa un asset commerciabile senza doverne sostenere i costi di creazione. È la stessa logica con cui Google e Facebook hanno costruito i loro imperi: essere la piattaforma su cui l'attenzione si muove, e non il prodotto che la genera. E finché gli italiani continueranno a giocare, a scommettere, a voler essere protagonisti di un evento collettivo, il FantaSanremo avrà un pubblico pronto a cedere attenzione e un mercato disposto a comprarlo.Il marketing insegnato dai negoziantiPizze da esporto.ilmarketinginsegnatodainegozianti.info è un progetto gonzo-collettivo a cui puoi contribuire senza pietà. No screenshot o inoltri dai social, solo foto vostre. Segnalazioni * La scorsa settimana ho parlato del culto da motivatore di Julio Velasco.* È uscito un mio pezzo per Link, che mi è costato non poco sudore neurale, in cui parlo di prezzi dinamici dei voli e di quelli dei concerti degli Oasis, della rivoluzione francese, di economia comportamentale, di Annie Ernaux e del suo libro Guarda le luci, amore mio, del Bon Marché – il primo grande magazzino a introdurre il concetto di prezzi fissi –, di equità nel prezzo, di Douglas Coupland, di capitalismo, di dati, dell'algoritmo e della personalizzazione per massimizzare i profitti. * È uscito il mio op-ed (ho scoperto questo termine e ora lo uso ovunque) per Tendenze: parlo della fine dell'età dell'oro (per l'ecommerce).That's all folks!Se ti è piaciuta, inoltrala o stampala sulla stampante condivisa dell'ufficio, qualcuno la raccoglierà. Ah, se stai pensando di supportare questa newsletter, clicca qui. Grazie ancora a Digital Pills. Se stai pensando a uno speech nella tua azienda o al tuo evento, rispondi alla mail.Ci leggiamo venerdì prossimo, gluca Grazie a Daniela Bollini per la paziente correzione e a Cristina Portolano per i separatori.Quiz: b) Un milione e quattrocentomila tonnellate (capacità produttiva massima) (fonte). This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit lettera.minimarketing.it
Il ciclo delle notizie: a) giornali e tv: guarda che circo a Roccaraso! b) ma l'ambiente? dichiarazione di un consigliere dei Verdi c) illuminato editoriale indignato sul potere degli influencer d) pioggia di meme ridicolizzanti e) articolo del Post che da entomologo spiega benissimo la situazione del formicaio e) pioggia di meme stavolta dalla parte degli invasori f) articolo pensoso di Domani sul diritto del proletariato a fare a palle di neve dove je pare. Sei tra le circa 25.000 persone iscritte tra qui, LinkedIn, Telegram e WhatsApp: grazie, spero che le 3,1 ore per scriverla ti siano state utili. A proposito, che ne dici di presentare il tuo brand nella newsletter? Dai un'occhiata per sponsorizzare nel 2025. Il quiz della settimanaA quale percentuale del PIL ammonta per lo Stato di Anguilla, nei Caraibi, la vendita dei domini .ai nel 2023? a) 37% b) 54% c) 86%[Il tuo nome qui][mini]marketing è una newsletter creata e mantenuta in prima persona da me. Sono Gianluca Diegoli, divulgatore a tempo perso, ex manager e ora consulente direzionale, professore a contratto in IULM, editorialista per Link, Tendenze, Quants, Forbes e Nòva 24, autore di saggi come Svuota il carrello per UTET, e manuali come Retail Omnichannel e Social Commerce per Apogeo e Mobile Marketing per Hoepli, nonché early adopter del digital marketing in Italia e blogger della prima ora.La newsletter si differenzia dalle fonti di settore perché senza troppi filtri, capace di farsi domande scomode, a volte di sorridere dei nostri stessi tic di marketer. Con un tono leggero, personale e (spero) mai scontato, è frequentata da chi vuole riflettere davvero sul marketing nella trasformazione digitale e non solo. Chi sponsorizza qui sa che chi legge lo prenderà in considerazione realmente.Ci sono posti sparsi per marzo-aprile-maggio, se ci stavi pensando, è il momento di agire :)La filosofia di JulioChi mi conosce di persona sa quanto sono refrattario ai decaloghi strategici, per non parlare di quelli motivazionali, e ancora di più se comportano metafore sportive. Non per tutti è così: ci sono persone che adorano tutto questo. Un mio ex capo era innamorato di Velasco, che è un po' un mix di motivazione, metafora e strategia. Quando qualcosa non funzionava, fosse a livello di business o di team, andava prima ad abbeverarsi da Julio (che per quei pochi che non lo sanno, ha una forse più grande carriera parallela come oratore e coach di coach e imprenditori vari), poi ci obbligava ad abbeverarci pure noi nello stesso ruscello juliano, sia a distanza che di persona.Gli ho anche stretto la mano una volta, a Julio (più che altro per mostrare al boss la prova che c'ero andato davvero). Il boss tramite benedizione velaschiana pensava di cambiare quel Gianluca trentenne che alzava la mano in riunione ed evocava gli elefanti nella stanza, o pronunciava i “dipende” e i “sì, ma”. Poi mi chiedo perché ora non sono a capo di una multinazionale, che ingenuo.Insomma Julio è davvero un grandissimo, soprattutto nell'epoca dei coach della porta accanto autoproclamati su TiktTok. La sua oratoria è una raffica di scariche di adrenalina, come si dice – io purtroppo sono intollerante all'adrenalina, ma capisco la dipendenza che hanno molte persone per quelle scariche di elettricità sottopelle, dalla permanenza in circolo di qualche ora, ma che in quel momento ti sembrano il toccasana. Credo che molte droghe – non ho molta esperienza in merito – funzionino più o meno così.Le sue parabole sono meglio di quelle di Gesù. La sapete quella della schiacciata? Io l'ho sentita almeno venti volte. “Lo schiacciatore non commenta l'alzata, la risolve”. Ci vuole dire, Julio, che non serve attivare una catena di scaricabarile. Racconta Velasco in un celebre aneddoto che alla fine la colpa del punto mancato diventa del bidello che, in palestra, non ha chiuso bene la porta. “La cultura degli alibi va scardinata.” Sì, certo. Ma se il sistema è sbagliato, chi lo cambia? Se l'alzatore non sa davvero fare il suo mestiere? Se ci si abitua ad arrangiarsi sempre, si rischia di accettare situazioni strutturalmente sbagliate. A volte è meglio pretendere un cambiamento, piuttosto che continuare ad aggiustare le cose alla meno peggio. Secondo me il problema, caro Velasco, è che nelle aziende italiane si fanno spesso entrambe le cose: si incolpa sia l'alzatore che lo schiacciatore, in modo da non cambiare nulla. Diglielo al prossimo convegno! Digli che te l'ha detto gluca!È così la filosofia velaschiana: forse giusta ma bianca o nera, come tutte le religioni, i proverbi e le massime della nonna.“Nell'errore cerca il motivo, non il colpevole” è parente della precedente. Trovare cause sistemiche e non personali, ma in Italia non è mai colpa di nessuno. Si rischia di creare un ambiente dove nessuno si assume responsabilità. “La squadra si costruisce con ruoli chiari” dice Julio, che è fordista dentro. Ma definire troppo le responsabilità può creare silos, bloccando la creatività e l'adattabilità: è l'“eseguivo gli ordini” effect. “Giocare di squadra è una regola”: e chi lo dice? La collaborazione è importante, ma alcune persone rendono meglio da sole e la cultura del teamwork forzato (mioddio che ricordi angosciosi) può fare danni. Inoltre, troppa collaborazione può rallentare i processi decisionali. Lo diceva Bezos: se dobbiamo comunicare significa che siamo inefficienti.“La mentalità vincente si costruisce vincendo su sé stessi”: a me è sempre sembrata una frase motivazionale buona per un poster. In molti casi imparare a perdere e a gestire la sconfitta è più importante di pensare sempre e solo alla vittoria. Forse Julio intendeva che devi essere ottimista, e allora ok, certo.“Basta lamentarsi di quello che manca”: e se invece fosse utile senza dover sempre mettere polvere sotto il tappeto, con la scusa che il lamento non è utile? Sai Julio poi cosa succede? In riunione tutti propositivi, in bagno a lavarsi le mani tutti a lamentarsi, e poi via a mandare curriculum alla concorrenza – io feci così.Il coach non ammette il caso, la sfortuna, la giornata storta. Tutto è motivazionale. “Chi vince festeggia, chi perde spiega” sostiene spesso Julio nel tripudio generale. E se chi vince avesse solo avuto fortuna? In ogni caso, per 1.700 euro più IVA durante il Julio Velasco Day ve lo spiegherà sicuramente meglio di me: al prezzo vi viene via un posto numerato nelle prime file, l'Executive Report e materiale didattico, Attestato di partecipazione, nonché Video Review On Demand per 7 giorni, Networking lunch & coffee break in area riservata, Desk di registrazione riservato e soprattutto l'ambita Priority per foto con Julio Velasco.Io, invece, attendo di partecipare al Trinchieri Day (che non esiste ancora). In uno short che vi sbobino, Andrea Trinchieri, allenatore di basket, oggi allo Zalgiris di Kaunas, mi ha spiegato la strategia in un modo che non avevo mai sentito.Io parto sempre dividendo tre macro-aree nel mio lavoro. La prima è avere una filosofia, poi avere una strategia relativa a quella filosofia e poi andare a spezzare il capello con una tattica. La filosofia è sempre dettata da chi alleni, dove alleni e per cosa alleni. Credo che sia veramente una necessità essere il più flessibile e avere la necessità di adattarsi alle situazioni. Io penso che il nostro lavoro sia diventato 100% situazionale, dove non puoi dire "Ah, qui si fa così". No. Questa situazione può essere simile a un'altra, ma è diversa. Quindi ogni situazione va valutata nella sua interezza, senza compromettere certi valori. Ci sono cose che io definisco no-go.Ecco, da ora mi sento seguace di Trinchieri. Ho trovato finalmente un mio guru. Dolcemente complicato.Il marketing insegnato dai negoziantiAttenzione ai testimonial che usate nelle affissioni: a Trieste hanno fatto il debunking.Ti ricordo che ilmarketinginsegnatodainegozianti.info è un progetto gonzo-collettivo a cui puoi contribuire senza pietà. No screenshot o inoltri social, solo foto vostre. Segnalazioni * La scorsa settimana ho parlato dei dati che lasciamo andando nel mondo reale, in palestra o a fare la spesa o al padel.* È uscito un mio pezzo lungo scritto per Link, che mi è costato non poco sudore neurale, in cui parlo di dynamic pricing, degli Oasis, della rivoluzione francese, di economia comportamentale, di Annie Ernaux e del suo libro Guarda le luci, amore mio, del Bon Marché – il primo grande magazzino a introdurre il concetto di prezzi esposti e fissi –, di equità nel prezzo, di viaggi e hotel, di Douglas Coupland, di capitalismo digitale, di dati, dell'algoritmo e della personalizzazione per massimizzare i profitti. That's all folks!Se ti è piaciuta, inoltrala o stampala sulla stampante condivisa dell'ufficio, qualcuno la raccoglierà. Ah, se stai pensando di supportare questa newsletter, clicca qui. Se stai pensando a uno speech nella tua azienda o al tuo evento, rispondi alla mail. Ah, abbiamo superato le 20.000 iscrizioni qui: VVB.Ci leggiamo venerdì prossimo, gluca Grazie a Daniela Bollini per la paziente correzione e a Cristina Portolano per i separatori.Quiz: a) 37% (fonte). This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit lettera.minimarketing.it
Bienvenue dans le B.W.P Club, le podcast de Business Women in Paris, qui va à la rencontre d'entrepreneurs de talent qui partagent avec vous leurs secrets d'alignement et de prise de pouvoir.Chaque épisode est enregistré lors d'un événement organisé chaque mois à Paris, face à un public d'entrepreneuses. L'objectif : passer un moment de partage et d'inspiration, au sein d'un réseau de qualité.Pour participer, rdv sur instagram @businesswomeninparis et sur www.businesswomeninparis.com_____________________La Mode.Essentielle, nécessaire, elle traduit une part de notre personnalité et du message que nous choisissons d'incarner.Futile ? Absolument pas. Elle peut même se révéler cérébrale, demandant réflexion et engagement.Mais attention à ne pas la rendre trop solennelle ou la sur-idéaliser au point d'en oublier l'essentiel : le plaisir et la légèreté.La Mode est une clé, et chacun devrait s'approprier ses propres codes en laissant derrière soi les diktats, ces injonctions qui pèsent souvent plus lourdement sur les femmes.Le fashion faux pas ? Nathalie Oliver n'y croit pas. Accordons-nous la liberté de composer notre propre style, de bâtir notre assurance.De là naît l'allure, et l'élégance est là ✨Je suis ravie de partager avec vous ma conversation avec Nathalie Oliver la Styliste du Bon Marché dans ce nouvel épisode du B.W.P Club ⚡️
Le sujet qui nous intéresse aujourd'hui est le dessous d'une collaboration entre grands magasins et artisans d'art. Pour cela, nous avons invité Jean-François Dumont, directeur de Faïencerie Georges, une entreprise familiale renommée pour ses créations artisanales en céramique. La faïencerie a su allier tradition et modernité, collaborant avec des grands magasins prestigieux tels que les Galeries Lafayette. À ses côtés est Louise Dagorne, créatrice de bijoux extravagants qu'elle confectionne à partir de babioles chinées dans les brocantes. Elle partagera avec nous son expérience de collaboration avec le Bon Marché. C'est avec joie que nous leur donnons la parole ! Si vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;) Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l'artisanat d'art. Nous diffusons l'échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l'événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. Si vous voulez acheter le livre "Profession artisan d'art" , il est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet. Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin). Pour nous rejoindre, c'est par ici !
durée : 00:15:00 - Le cirque Leroux : des spectacles qui mêlent acrobaties, théâtre et humour - Reconnu pour son style unique et innovant, le cirque Leroux s'est installé au Bon Marché où il vous présente, jusqu'au 31 décembre, son spectacle “Entre chiens et louves”.
Un podcast trimestriel présentant les nouveaux numéros de la revue Annales. Histoire, Sciences sociales. Second épisode consacré au n°79/2 (2024), diffusion le 11 décembre 2024. Production et animation : André Loez (podcast Paroles d'histoire), Clémence Peyran (éditrice de la revue). Sommaire Introduction et table des matières du numéro 79/2 (00:00) Grand format (4:18) : entretien … Continue reading "359. La fabrique des Annales (n°2) : un empire bon marché"
Le Bon Marché is a Parisian icon, offering a blend of elegance, artistry, and luxury perfect for a solo woman in midlife. From curated fashion and home goods to the gourmet delights of La Grande Épicerie, it's a feast for the senses. Strolling its halls allows you to savor time for yourself, discovering treasures and indulging in Parisian charm. Whether shopping, admiring the displays, or enjoying a quiet coffee, it's an experience of timeless sophistication and self-celebration.//WHEN YOU'RE READY, HERE'S HOW I CAN HELP YOUJOIN THE VIP BOOK WAITLIST https://sharriharmel.com/Instagram: https://www.instagram.com/sharriharmel/Facebook Group: https://www.facebook.com/groups/273197629997812
Toren van Babel is een maandelijkse serie binnen de Architectenweb Podcast. Hierin praat architect Daan Roggeveen (MORE Architecture) met ontwerpers, ontwikkelaars en andere experts die allemaal hun eigen perspectief hebben op hoogbouw. Doel is het antwoord vinden op de vraag: hoe maak je nu een echt goed hoog gebouw? De gast deze maand is architect en stedenbouwkundige Daan Zandbelt, partner bij De Zwarte Hond en bouwmeester bij AM.Daan Zandbelt vertelt in dit interview over zijn onderzoeken naar menging, verdichting en hoogbouw. Hij vertelt over een onderzoek naar de Nederlandse hoogbouwcultuur waarin duidelijk werd dat de keuze voor hoogbouw in Nederland vaak gebaseerd is op emotie – en niet zozeer op puur rationele argumenten, zoals je zou verwachten.Onder de titel ‘Out There' maakt De Zwarte Hond bookazines rond actuele opgaven. In deze serie publiceerde het bureau onlangs ‘De Toekomst is Nabij', dat ingaat op de kansen van verdichting rond stationslocaties. In de podcast gaat Daan in op de Alexanderknoop in Rotterdam, als voorbeeld van een stationsgebied waar verdicht gaat worden, en vertelt over het verschil tussen rust, ruis en reuring in de stad, termen die hij in zijn periode als Rijksbouwmeester muntte.In de podcast pleit Daan voor het verdichten met middelhoge gebouwen. Hij vertelt over het Parijse voorbeeld van ‘Les Habitations à Bon Marché': betaalbare woningen in zes tot acht lagen, als alternatief voor hoogbouw. Tenslotte praten we over zijn rol als supervisor in het Arenagebied in Amsterdam. Want in die hoedanigheid neemt hij beslissingen over de rol en positie van hoge gebouwen in een complex deel van de hoofdstad. Luisteren dus! Toren van Babel wordt mede mogelijk gemaakt door Stichting Hoogbouw. Idee & Presentatie: Daan Roggeveen (MORE Architecture) Productie & Techniek: Lieven Heeremans en Geert VliegerMuziek: Job Roggeveen Reacties: hoogbouw@more-architecture.com
What does it take to create a shopping experience that captivates customers around the globe? To answer that question we're diving deep into the minds of two extraordinary leaders in the retail industry. CEO of Le Bon Marché in Paris, Patrice Wagner, and Chairman and CEO of the Selfridges Group in London, André Maeder. Both of these guys began their careers in retail working on the shop floor; selling face-to-face with customers. They express true appreciation for front-line employees, and inherent joy in the process of improving the customer experience. They each rose through the ranks at some of the most prestigious department stores in the world, accumulating a wealth of knowledge and expertise suitable now to uphold the legacies of the aforementioned Le Bon Marché in Paris and Selfridges in London. Each of these stores, in its own way, continuously garners worldwide attention and respect through unique customer engagement that goes far beyond just shopping for clothes. From incredible food offerings to fine art exhibitions and theater performances, to indoor skateparks and celebrity appearances, Patrice and André take big swings and try new things to surprise and delight customers with distinct one-of-a-kind environments. Together they'll share insights into the key focal points of running their businesses, the challenges they face, and an inspiring vision for the future of department stores. Thanks for tuning in to episode 73. We hope you enjoy it! Did you know that YOU can be on The Nordy Pod? This show isn't just a one-way conversation. We want to hear about what Nordstrom looks like through your eyes. Share your Nordstrom experience, good or bad, by giving us a call and leaving a voicemail at: 206.594.0526, or send an email to nordypodcast@nordstrom.com to be a part of the conversation! And, be sure to follow us on Instagram @thenordypod to stay up to date on new episodes, announcements and more.
“Le marché de la sneaker premium faite en France a peu d'acteurs. Et le peu qu'il y a sont en train de tomber parce qu'ils n'ont pas pris le virage de l'omnicanalité”.Laurent Kretz échange avec Antonin Chabanne et Mikael Leo, les cofondateurs de la marque Belledonne. Belledonne conçoit des sneakers d'exception et après un lancement en 2019 et un virage wholesale, elle réalisera un CA d'1 million d'euros en 2024. Antonin et Mikael nous parlent de la genèse de ce projet passion et des soucis d'association qu'ils ont rencontré. Ils nous aident aussi à décrypter le marché des sneakers et la filière cuir. Enfin, ils nous partagent des conseils pour adapter sa stratégie d'internationalisation aux spécificités de chaque marché. ]Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour :00:00:00 - Intro00:02:55 - S'associer en fonction de la complémentarité de ses compétences et non de ses affinités ;00:07:45 - L'importance de la réciprocité quand on se lance dans l'entrepreunariat ;00:18:15 - Se différencier sur le marché de la basket avec un positionnement premium ; 00:26:50 - Dire non au Bon Marché pour une question de pricing et markup ; 00:40:00 - Réussir sa transition vers le wholesale en trouvant les bonnes personnes (qui connaissent les bonnes personnes) ; 00:51:00 - Exploiter le potentiel de sa marque à l'étranger en adaptant sa stratégie à chaque marché ; 00:57:25 - Accepter les opportunités de popups en fonction de leur emplacement ; 01:04:40 - Choisir et changer de partenaires en fonction de son cahier des charges premium. Et surprise ! Antonin et Mikael vous offre -10% de réduction sur le site avec le code LEPANIERPour en savoir plus sur les références abordées dans l'épisode :Série Spéciale Retail : Passer à la vente prompto pour optimiser sa production B2C et B2B#313 - Blissim : Les 3 vies de la première box de beauté en Europe#198 - Zeta Shoes : Créer des baskets en raisin pour monter les marches à CannesSérie Spéciale Retail : Animer un réseau de distribution de 2K clients B2B#216 - Flotte : Comment faire 100K de commandes en se lançant au Who's Next ?#289 - SteamOne : Importer le steamer en France et truster 35 % du marché en valeurAu delà du cuirRéseau Entreprendre ParisSalon TranoïLe salon Pitti Immagine UomoAcolyt pour la logistiqueThe Bold Way d'Adrien GarciaLe Pop up BelledonneEt quelques dernières infos à vous partager : Suivez Le Panier sur Instagram lepanier.podcast !Inscrivez- vous à la newsletter sur leanier.io pour cartonner en e-comm ! Écoutez les épisodes sur Apple Podcasts, Spotify ou encore Podcast AddictLe Panier est un podcast produit par CosaVostra, du label Orso Media.
durée : 00:54:31 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Pour cette première on vous propose une rentrée gourmande, saine et bon marché avec un cuisinier phénomène, c'est l'homme au plus de 4 millions d'abonnés sur les réseaux sociaux, Hervé Palmieri plus connu sous le nom de Hervé Cuisine. - réalisé par : Lauranne THOMAS
Avec : Yves Carra, porte-parole de l'Automobile Club Association. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
L'hôtel Lutetia, dans le 6e arrondissement de la capitale, fait partie de ces palaces parisiens qui sont autant perçus comme des monuments historiques que comme des lieux d'hébergement. Il a été construit en 1910, à l'initiative de Marguerite Boucicaut, propriétaire du Bon Marché, l'un des premiers grands magasins français.Cette femme d'affaires pensait que ses clients provinciaux fortunés pourraient séjourner dans cet hôtel prestigieux, situé non loin de son établissement.Comme il est proche de l'Assemblée Nationale, des parlementaires le fréquentent aussi, ainsi que des écrivains. Certains, comme André Gide, y vivaient à l'année. Quand il se rendait dans la capitale, le général de Gaulle y descendait également.Le Lutetia va cependant connaître une période sombre. Quand les Allemands occupent Paris, en juin 1940, ils réquisitionnent l'hôtel, comme beaucoup d'autres établissements.Une partie du personnel de l'Abwehr, le service de renseignement et de contre-espionnage de l'armée, s'installe dans l'hôtel. Il abrite aussi le chef de la Geheime Feldpolizei, la police secrète de l'armée allemande.Elle est placée sous le contrôle de la Wehrmacht jusqu'en 1942, puis passe sous l'autorité du RSHA, qui comprend notamment la tristement célèbre Gestapo.Certains collaborateurs notoires, comme Henri Lafont et Pierre Bonny, qui dirigent l'un des centres de la Gestapo française, situé rue Lauriston, fréquentent aussi l'hôtel Lutetia.Les employés de l'hôtel réussissent néanmoins à dissimuler de grands crus, que les Allemands ne verront jamais servis à leur table. La cachette, située dans la cave, ne sera jamais découverte par les nazis. La Résistance avait donc réussi à s'infiltrer, à sa manière, dans ce haut lieu de l'occupation allemande.À la Libération de Paris, en 1944, le propriétaire de l'hôtel accepte, pour se dédouaner, d'ouvrir son établissement aux rescapés des camps de concentration allemands.C'était aussi le vœu du général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire, qui, avant la guerre, avait ses habitudes dans l'hôtel. Le Lutetia devient donc un centre d'accueil, vers lequel affluent les familles de déportés, anxieuses de les retrouver ou de glaner des informations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec tout le gaz dont elle dispose, la Russie est presque imbattable sur le marché des engrais. Les industriels qui les fabriquent en Europe craignent pour leur activité et tirent la sonnette d'alarme. C'est un bras de fer qui pourrait encore durer longtemps. D'un côté, la Russie qui fabrique des engrais azotés à bas prix grâce à ses propres réserves de gaz ; de l'autre, des producteurs européens qui rêvent d'une taxe sur les engrais importés qui leur permettrait de relever leurs prix. Au cœur du problème, il y a le prix du gaz, qui constitue 70 à 80 % des coûts de fonctionnement d'une entreprise d'engrais. Au plus fort de la crise énergétique de 2022, plusieurs usines ont cessé de fonctionner. La production d'ammoniac a par exemple chuté de 70 % avant de remonter.L'Europe accro aux engrais russes ?Pour répondre à la demande dans cette période compliquée, les importations ont logiquement augmenté, en particulier celles provenant de Russie. Selon Yara International, le géant européen des engrais, « les importations d'urée russe en Europe ont atteint un niveau record la saison dernière. Elles représentaient, en ce début d'année, près d'un tiers des importations totales d'urée de l'UE. »À ce rythme-là, l'Europe se dirige tout droit vers une nouvelle dépendance à l'égard de la Russie. C'est ce qu'affirme Fertilizers Europe. Le groupe de pression européen dit s'inquiéter pour la sécurité alimentaire. Rapport de forceLe plus grand producteur d'ammoniac en Allemagne, SKW Piesteritz, décrit une Europe inondée d'engrais russe dans une interview donnée au Financial Times.Le scénario du pire, c'est le déclin de la filière européenne, préviennent les industriels. Ils réclament l'aide des politiques. Ces mêmes politiques qui laissent entrer les engrais russes pour atténuer les charges des agriculteurs européens : imposer des taxes à l'importation, cela ferait remonter les prix alors qu'ils ont maintenant baissé et qu'ils sont revenus à des niveaux d'avant-guerre, c'est le cas de l'urée notamment.« On voit mal comment les industriels pourraient obtenir satisfaction rapidement », résume un négociant en engrais, qui voit difficilement l'Europe céder sur le sujet.À lire aussiFrance: les importations d'engrais russes en forte hausse
Semaine spéciale "Historiquement Vôtre voit tout en grand". Episode 3/5 : Stéphane Bern raconte, à l'occasion du premier jour des soldes, ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle. Ou la véritable histoire des grands magasins parisiens… Quel contexte économique et social a permis le développement des grands magasins ? Quelle révolution commerciale a accompagné leur naissance ? Comment ont-ils démocratisé la mode ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Amélie Gastaut, conservatrice en chef du département Design graphique et publicité du musée des Arts décoratifs de Paris, commissaire générale de l'exposition "La naissance des grands magasins. 1852-1925"
Semaine spéciale "Historiquement Vôtre voit tout en grand". Episode 3/5 : Stéphane Bern raconte, à l'occasion du premier jour des soldes, ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle. Ou la véritable histoire des grands magasins parisiens… Quel contexte économique et social a permis le développement des grands magasins ? Quelle révolution commerciale a accompagné leur naissance ? Comment ont-ils démocratisé la mode ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Amélie Gastaut, conservatrice en chef du département Design graphique et publicité du musée des Arts décoratifs de Paris, commissaire générale de l'exposition "La naissance des grands magasins. 1852-1925"
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de ces palais babyloniens, ces temples qui ont fait le “bonheur des dames” comme l'a écrit Emile Zola, ces enseignes qui se nomment Bon Marché, Printemps, Samaritaine ou Bazar de l'Hôtel de Ville qui ont changé la manière de consommer au milieu du XIXe siècle.
Ecoutez Auto-Radio avec Christophe Bourroux du 26 mai 2024
Aujourd'hui sur tech 45', un thème qui me passionne et qui nous concerne tous, les RH grâce à ZestMeUp et Christophe son fondateur dont tu feras la connaissance dans 90 secondes. Qualité de vie au travail, écoute des salariés, mobilité interne ou santé mentale… Ce ne sont pas les sujets qui manquent dans un marché du travail un peu groggy post-covid, tiraillé entre les aspirations des salariés notamment sur le télétravail et beaucoup de dirigeants qui aimeraient bien revenir - au moins en partie - au monde d'avant… En quelques années ZestMeUp et son logiciel de management tech ont attiré des centaines de clients, cela représente 250k utilisateurs ! Bienvenue, je suis Seb COUASNON, si tu aimes ce podcast et bien prouve-le en t'abonnant, en me laissant un avis ou 5 étoiles, ça me permet de ressortir dans ce monde ultra-concurrentiel des podcast business, je compte sur toi !!! ZestMeUp en résumé = ▶️ Création en 2016 ▶️ solution permettant d'écouter les collaborateurs (baromètres sociaux, pulse survey…) ▶️ diagnostics et plan d'action, amélioration de la performance (entretiens annuels, gestion d'objectifs ou OKR) ▶️ 50 collaborateurs ▶️ 300 entreprises clientes* ▶️ 250k utilisateurs dans 60 pays ▶️ basée à Paris, Tours et Biarritz *Abeille Assurances, Adeo, Bon Marché, Celio, CNAV, Courir, Crédit Agricole, Decathlon, Edenred, Etam, Eram, Chantelle, HelloAsso, Jardins d'Arcadie, Labeyrie, Macif, Groupama, Square Management, Total Direct Energie, U Enseigne
Come with me to visit Bon Marché in Paris. It's a renowned destination for luxury shopping, offering a wide array of high-end fashion, beauty products, and gourmet foods. For many, exploring Bon Marché is not just a shopping trip, but a cultural experience, immersing oneself in the elegance and sophistication of Parisian style. Additionally, the historic significance of Bon Marché, as one of the world's first department stores, adds to its allure, making it a must-visit destination for those seeking to indulge in a quintessentially Parisian experience. Whether you are seeking a special treat, unique finds, or simply soaking in the ambiance, a visit to Bon Marché promises to be a memorable and enriching excursion for women of any age. //WHEN YOU'RE READY, HERE'S HOW I CAN HELP YOUGET THE BOOK "DESIGNING YOUR FABULOUS NEXT CHAPTER."https://www.extraordinarywomenmagazine.com/APPLY TO BE FEATUREDhttps://extraordinarywomenmagazine.com/contribute/Instagram: https://www.instagram.com/extraordinarywomenmagazine/
Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Le centre Moholoholo en Afrique du SudLe kiff de Marie-Stéphanie : le livre "En bon père de famille" de Rose Lamy (JC Lattès, 2023).(49:02)Interview de Rose Lamy sur ce livreArticle "Woody Allen qui défend Luis Rubiales est une masterclass sur la culture du viol"Le kiff de Ariane : le pet sitting (58:41)Article "Leur animal de compagnie les ruine"Le kiff de Kalindi : les vacances en famille en Bretagne (01:08:58)Le kiff de Anthony : le spectacle "Entre chien et louve" au Bon Marché (1:25:57)Laisse-moi kiffer :Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles. Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2023, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur instagram :Laisse-moi kiffer / Marie-Stéphanie / Anthony / Ariane / KalindiAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stéphanie. Avec Anthony Vincent, Ariane Hemery, Kalindi Ramphul. Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau. Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour découvrir l'épisode en entier, écoutez l'épisode 282, disponible dès le 12/04/24 sur votre plateforme d'écoute.
Aujourd'hui, je reçois Bleuenn Battistoni, danseuse étoile de l'Opéra national de Paris. Depuis sa récente nomination du 26 mars, Bleuenn, sous les feux des projecteurs, traverse un tourbillon d'émotions. C'est aussi l'occasion pour elle de remercier celles et ceux qui ont joué un rôle dans son parcours et de rappeler avec humilité ce qui est important dans sa vie de danse. On l'écoute avec joie, Cette conversation publique a été enregistrée au Café Rose de Repetto au Bon Marché le 2 avril. Merci à tous d'avoir imaginé cet événement autour de la danse. Joie.
Le Brésil multiplie les enquêtes anti-dumping contre la Chine. D'autres pays émergents se plaignent aussi des excès du plus grand exportateur mondial. La montée du protectionnisme est-elle en train de diviser le Grand Sud ? Au cours des six derniers mois, le Brésil a ouvert au moins six enquêtes contre des produits importés de Chine, rapporte le Financial Times. Elles concernent principalement des produits intermédiaires industriels. En septembre, le Vietnam a ouvert une enquête sur les éoliennes chinoises à la suite de la plainte des producteurs locaux. En Inde, ce sont les lunettes de soleil chinoises qui ont déclenché l'ouverture d'une investigation. Au Mexique, les droits sur l'acier ont fortement augmenté l'an dernier pour tous les pays non signataires d'un accord commercial avec Mexico. Une décision qui affecte principalement la Chine.Des pays émergents inondés par les produits chinoisLes grands émergents réagissent avec des mesures protectionnistes, parce qu'ils sont désormais inondés par les exportations chinoises. Depuis l'an dernier, le Sud Global est devenu le principal débouché de la Chine. Elle exporte dorénavant davantage dans les pays émergents que dans les pays occidentaux. C'est la demande des grands émergents qui a dopé son commerce extérieur en 2023. Les exportations chinoises vers le Brésil ont cru de 37%, de 28% vers le Vietnam ou encore de 14% vers le Mexique. Et cela s'amplifie encore. Sur les deux premiers mois de l'année, le commerce entre le Brésil et la Chine a bondi de 30%. Tandis que les importations américaines, européennes et nippones de produits chinois sont en net repli. Comme les vieilles industries occidentales se sont senties menacées par la Chine, ce sont maintenant celles des pays émergents qui sentent le vent du boulet et qui redoutent cette concurrence déloyale.À lire aussiChine: les exportations chinoises s'envolent, stimulées par la pandémieLes conséquences de la relocalisationCette nouvelle donne du commerce mondial s'explique en grande partie par la relocalisation à l'œuvre depuis le Covid. Une relocalisation initiée par les Occidentaux pour réduire leur dépendance à l'égard de la Chine. Dans la mesure du possible, ils importent dorénavant les produits équivalents fabriqués par d'autres pays émergents. Les Chinois se sont très vite adaptés à cette nouvelle donne en ouvrant des filiales dans ces pays pour continuer à capter la demande occidentale. Les nouvelles importations qu'implique cette relocalisation fragilisent des filières naissantes. Elles aussi subissent la guerre des prix lancée par le rouleau compresseur chinois. Car avec ses difficultés internes, la Chine a plus que jamais besoin d'exporter les surplus de ses champions mondiaux dans l'acier, le solaire, l'éolien ou la batterie électrique.Faible menace de guerre commercialeLa défense de l'industrie est devenue une priorité dans de nombreux pays du Grand Sud, notamment au Brésil. Mais la plupart exportent aussi vers la Chine, le Brésil par exemple est excédentaire avec la Chine grâce à ses exportations de matières premières, soja, fer ou poulet. C'est pourquoi le scénario d'une guerre commerciale paraît assez improbable. Ces pays ont trop à perdre en cas de représailles. Difficile aussi de se fâcher avec le leader des Brics, au moment où les dirigeants du Grand Sud, Lula en tête, cherchent à rééquilibrer les relations internationales.À lire aussiAvec ou sans Lula, l'agronégoce brésilien à l'assaut de la Chine
Nous avons tous eu des plantes d'intérieur à un moment ou un autre de notre vie. Peut être un achat d'impulsion à la sortie d'une certaine grande surface spécialisée dans l'ameublement d'origine scandinave ?L'histoire que vous vous apprêtez à écouter est celle de 2 entrepreneurs qui ont réussi à craquer le business en 6 ans !En quelques années mes invités, oui, ils sont deux pour cet épisode, ont révolutionné la plante d'intérieur pour en faire un véritable objet de décoration.J'ai le grand plaisir de recevoir deux Charlots (pardonnez ce jeu de mots facile), Charles Senaux et Charles Fossey, les cofondateurs de By Charlot.Vous êtes déjà nombreux à connaître cette marque de plantes, de belles plantes, de plantes robustes dans des pots personnalisés.Avant d'entrer dans les détails de cette formidable aventure, comme vous allez le découvrir, nous parlons d'abord du marché, afin d'apporter des éléments de contexte.Nous entrons ensuite dans le vif du sujet pour comprendre comment faire pour lancer une marque de plantes, comment gérer les aspects logistiques et comment être distribué au Bon Marché. Evidemment mille et une autres questions sur la gestion de la croissance ou encore les plans de développement futur.Nous concluons, comme à notre habitude, par un focus sur la relation client. En tant que DNVB, les sujets data, CRM, acquisition et fidélisation sont forcément clés !Bonne écoute, évidemment toujours sans coupure !
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #116 Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion. This episode was originally recorded in English. To listen to the original version, go to the previous episode.** Prenez dès maintenant contact avec Transitions Pro Nouvelle-Aquitaine pour échanger sur votre projet professionnel et les possibilités de financement sur https://bit.ly/3S3N8J7 ** Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Clare Vivier, designer californienne pour notre premier épisode en anglais, doublé en Français. Vous pouvez également retrouver la version anglaise de l'interview. Après avoir été journaliste pour la télévision française avec son mari français, Clare a fondé Clare V. sa propre ligne de maroquinerie et accessoires, devenant une créatrice incontournable pour les fashionistas américaines. Basée à Los Angeles, Clare V. c'est un mélange entre le classique français et le branché californien depuis son lancement en 2008. C'est surtout 14 boutiques aux Etats-Unis et des collaborations avec des marques comme Anthropologie, & Other Stories, le Bon Marché et plus récemment Monoprix. J'ai rencontré Clare cet hiver à l'occasion du lancement de sa collaboration avec Monoprix et du lancement de son pop-up à Paris et elle a gentiment accepté mon invitation à revenir sur ses débuts et sa reconversion de journaliste à designer. Clare nous raconte comment elle a tout plaqué à 20 ans pour déménager à Paris, la ville de ses rêves, alors qu'elle ne parlait pas un mot de Français et ne connaissait personne, sa rencontre avec son mari journaliste, comment elle a commencé par coudre elle-même des pochettes pour son ordinateur pour ses voyages professionnels et comment c'est devenu la marque Clare V., ses conseils pour rester tendance dans l'industrie de la mode où tout va toujours très vite, sa vie à Los Angeles et ses rêves pour Clare V. Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/ Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/ Notes & Références : - Instagram de Clare : https://www.instagram.com/clarevivier/ - Instagram de la marque Clare V. : https://www.instagram.com/shopclarev/ - Site internet : https://www.clarev.com/ Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici : - Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose - Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/ - Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA - Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
durée : 00:55:02 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Maquereau, congre, tacaud, mulet... On les surnomme les “poissons pauvres”, les “mal aimés”, les “laissés pour compte”. Réapprenons à les cuisinier car ils sont bon marché et issus de petites pêches durables françaises. - réalisé par : Lauranne THOMAS
NOUVEAU - Abonnez-vous à Nouvelles Écoutes + pour profiter du catalogue Nouvelles Écoutes en intégralité et en avant premières, sans publicité. Vous aurez accès à des enquêtes, documentaires, séries et fictions exclusives passionnantes, comme « Au Nom du fils », « Roulette russe à Béziers », ou encore « Oussama Le Magnifique ».
Le Floch-Prigent, ingénieur et industrie, ancien PDG d'ELF, est l'un des plus fins connaisseurs du marché de l'énergie en France. Nouveau membre du comité stratégique de Livre Noir, il nous accorde cet entretien pour décrypter comment nous arrivons en France à produire pas cher, mais à payer très cher notre énergie à la fin. Soutenez-nous sur Tipeee !
Aujourd'hui dans Badass, je suis très heureuse de vous partager ma conversation avec Barbara Dupuis. C'est un épisode un peu spécial, puisque nous avons abordé le sujet ô combien important et pourtant si peu abordé de l'arrêt de son activité entrepreneurial. Là où certains y voient un échec, d'autres choisissent de le vivre comme un apprentissage, une opportunité de se réinventer et de s'épanouir autrement. Peu importe votre état d'esprit, fermer son entreprise reste une décision très difficile à prendre, et c'est un processus dans lequel on se sent souvent seul et isolé, raison pour laquelle cela me tenait à coeur de vous partager le témoignage de Barbara. Pendant 5 ans, elle a été l'heureuse fondatrice et CEO de The Blond Cactus, un fleuriste alternatif éco-responsable qui propose des fleurs séchées, des plantes autosuffisantes ou encore des objets vintage recyclés. Dès le lancement de sa marque, le succès est au rendez-vous : la presse parisienne s'empare de son concept et elle est tout de suite approchée par le Bon Marché qui lui propose une boutique éphémère. L'aventure The Blond Cactus commence bien et elle décide alors d'ouvrir une boutique au cœur de Paris, étant elle-même un pur produit du retail avec plus de 10 ans d'expérience dans ce milieu. En 5 ans, Barbara a su faire preuve de résilience et d'abnégation. Sa forte de travail et sa capacité à se réinventer lui ont valu de très beaux succès, comme les nombreuses éditions de son Grand Marché Floral Urbain, une première à Paris ! Seulement voilà, la fatigue de l'entrepreneure commence à se faire sentir, les difficultées financières sont de plus en plus difficiles à gérer, la trésorerie baisse à vue d'oeil et sa tentative de levée de fonds ne se passe pas comme prévu car l'industrie souffre et le contexte économique post-covid est compliqué. Alors quelle décision prendre lorsque l'on est passionné par son métier et que l'on a consacré 5 ans de sa vie à développer corps et âme son entreprise ? Où se trouve la frontière entre la persévérance et l'obstination ? Comment savoir si c'est le bon moment d'arrêter ? Comment mener cette réflexion le plus sereinement possible, sans avoir peur du jugement ? Et d'ailleurs, comment on fait, concrètement, pour fermer son entreprise ? Et comment rebondir après une telle expérience ? Autant de questions que l'on a abordé avec Barbara qui se livre sans filtre, en toute transparence et avec beaucoup d'authenticité sur son aventure entrepreneuriale. J'espère sincèrement que son témoignage vous guidera au mieux si ce sujet vous concerne, et j'espère également que notre échange contribuera à lever les tabous sur la fin d'une aventure entrepreneuriale qui est - on le répète - loin d'être une fatalité, bien au contraire ! Je vous souhaite une très belle écoute et surtout, passez un bon moment ! --- Pour suivre Barbara : Sur Linkedin : Barbara Dupuis Pour me suivre et me contacter : Sur Instagram @myriamrcd Sur Linkedin @Myriam Bonhomme Pour suivre Badass : Sur Instagram @badass.podcast
Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Le centre Moholoholo en Afrique du SudLe kiff de Marie-Stéphanie : le livre "En bon père de famille" de Rose Lamy (JC Lattès, 2023).(49:02)Article "Woody Allen qui défend Luis Rubiales est une masterclass sur la culture du viol"Le kiff de Ariane : le pet sitting (58:41)Article "Leur animal de compagnie les ruine"Le kiff de Kalindi : les vacances en famille en Bretagne (01:08:58)Le kiff de Anthony : le spectacle "Entre chien et louve" au Bon Marché (1:25:57)Laisse-moi kiffer :Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles. Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2023, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur instagram :Laisse-moi kiffer / Marie-Stéphanie / Anthony / Ariane / KalindiAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Marie-Stéphanie. Avec Anthony Vincent, Ariane Hemery, Kalindi Ramphul. Réalisation et production : Fanny Cohen Moreau. Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pierre-Édouard Deldique reçoit dans Idées, qui a pour thème cette semaine Le coût de la colonisation française: Denis Cogneau, professeur à l'École d'Économie de Paris, directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), directeur d'études à l'EHESS, auteur du livre : «Un empire bon marché, histoire et économie politique de la colonisation française, XIXe-XXIe siècle», au Seuil.
“J'ai voulu créer une marque qui soit à la fois éco-responsable, circulaire, mais qui ait aussi du style et soit technique. L'objectif, c'était de mettre au même niveau éco-responsabilité, désirabilité et performance”. Laurent Kretz reçoit Romain Trebuil, le fondateur de Circle Sportswear, la marque éco-native de vêtements de sport. Il nous raconte les défis qu'il a rencontrés dans la création de produits en économie circulaire. Il revient aussi sur son lancement sur Ulule, son passage dans Qui Veut Etre Mon Associé et ses partenariats avec Saint James ou encore Alexandra Rosenfeld. Dans ce nouvel épisode du Panier, vous trouverez des clés pour : Créer une Éco Native Brand en alliant éco-responsabilité, désirabilité et performance [02”00] ; Tester chaque nouveau produit grâce à une communauté de 30 ambassadeurs [18”50] ; Cartonner sur Ulule et préparer 600 précommandes en plein confinement [22”40] ; Nouer des partenariats stratégiques pour aller chercher de nouveaux bassins d'audience [30”15] ; Lancer la première basket de running éco-responsable et circulaire en créant une toute nouvelle supply chain [35”20] ; S'appuyer sur son réseau de distribution (Bon Marché, Galerie Lafayette) pour gagner en notoriété [45”00] ; Se préparer pour passer à QVEMA avec une valorisation à 9 M [52”15] ; Pour en savoir plus sur les références abordées dans l'épisode : #198 - Zeta Shoes : Créer des baskets en raisin pour monter les marches à Cannes Le trou de la couche d'ozone serait en train de se refermer Yoss - la marketplace pour les freelances et grands groupes Saint James Woolmark Omi.So pour créer ses maquettes en 3D Pour consulter le baromètre 2023 des auditeurs du Panier, rendez-vous sur lepanier.io/baromètre2023 ! Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour ne rater aucun conseil des invités du Panier et cartonner en e-comm ! Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Spotify ou encore ici si vous préférez Podcast Addict. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcasts si l'épisode vous a plu. Le Panier est un podcast du label Orso Media, produit par CosaVostra.
Présentation de l'invitée : L'année 2022 marque les 10 ans de la marque Louise Damas : inspirée par des héroïnes de la littérature, puis du quotidien, Louise propose à travers ses collections, des bijoux intemporels, accessibles et fabriqués à la main à Paris, « des bijoux pour raconter l'histoire des femmes qui les portent et écrire avec elles celles à venir. » L'histoire de Louise Damas, c'est aussi celle d'une rencontre : avec Claire Rischette, fondatrice de Fauvette Paris, elles imaginent ensemble Passage Doré, un atelier-boutique dans lequel elles fabriquent et proposent chacune leurs créations, qu'elles accompagnent de « curiosités » (bougies, papeteries, objets imprimés, chaussures etc.) choisies par leur soin. Dans ce nouvel épisode, Louise Damas revient sur tout son parcours, ses études, la difficulté de trouver sa voie, les débuts de sa marque, sa rencontre avec Claire de Fauvette Paris, la création de Passage Doré, l'ADN de la marque et son processus de création. « Je n'ai pas de style très précis, car j'aime des choses très différentes : mes collections de bijoux sont donc très hétéroclites et plaisent à des personnes très différentes. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Louise Damas se présente Son séjour à New-York La difficulté de trouver sa voie Les débuts de la marque Sa rencontre avec Claire (Fauvette Paris) La création de la boutique Passage Doré L'ADN Louise Damas La cliente Louise Damas Louise Damas chez Le Bon Marché Se réinventer durant le confinement Le sourcing Le processus de création des bijoux Son positionnement prix Ses roles models Ses moyens d'acquisitions Comment elle reste inspirée Qui elle souhaiterait entendre dans ce podcast « Notre valeur ajoutée par rapport à d'autres marques de bijouterie fantaisie, c'est que l'on propose des modèles uniques : on ne fait pas seulement de l'assemblage, on crée nos propres moules. » « J'ai commencé à créer mes propres bijoux quand j'étais étudiante, car je n'avais pas forcément les moyens de m'en acheter. » « La littérature a toujours été une grande source d'inspiration : dans Salammbô de Flaubert, il y avait des descriptions magnifiques de rivières, de perles dans les cheveux, ça m'a de suite inspiré une collection autour de ce personnage. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Louise Damas : https://www.louisedamas.fr/ Parsons School of Design : https://www.newschool.edu/parsons/ L'EPMT : https://www.epmt.fr/ American Apparel : https://retail.americanapparel.com/ Licence Lettre Moderne (Sorbonne Nouvelle) : http://www.univ-paris3.fr/licence-lettres-modernes-242640.kjsp CELSA : http://www.celsa.fr/admission-licence3-concours.php Fauvette Paris : https://fauvette-paris.com/ Passage Doré : https://passagedore.com/ Who's next : https://whosnext.com/fr Le Bon Marché : https://www.lebonmarche.com/ Sophie Arancio : https://www.instagram.com/sophiearancio/?hl=fr La Petite Grosse : https://www.lapetitegrosse.com/ Hello Mondays : https://hellomondays.co/ Maison Objet : https://www.maison-objet.com/paris
Ce mardi 24 janvier, le prix du gasoil qui est au plus haut à la pompe depuis la fin du mois d'août en raison du bannissement du diesel russe dans l'Union européenne a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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Si vous êtes à Saint-Germain-des-Prés, suivez le boulevard Saint-Germain sous les platanes. Ainsi vous arriverez au Bon Marché, l'un des plus anciens grands magasins parisiens qui fête cette année, en 2022, ses 170 ans. www.onethinginafrenchday.com