Les pos. report, ce sont les fichiers de positions des concurrents que reçoivent les marins en course et qu'ils attendent fébrilement pour connaître leur classement. Pos. Report c'est le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft qui explique, décortique, décrypte, analyse la voile de compétition sous toutes ses coutures en compagnie des meilleurs experts du secteur. A découvrir chaque mardi en fin d’après-midi ! Pos. Report est animé par Pierre-Yves Lautrou et produit par Tip & Shaft (http://www.tipandshaft.com/), le média expert de la voile de compétition. Pour vous abonner, c'est ici : https://www.tipandshaft.com/abonnement Photo : Eloi Stichelbaut/PolaRYSE Générique : Fast and wild - EdRecords © Tip & Shaft 2020, tous droits réservés.
Ce 215e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Mini 6.50 avant le départ, le jeudi 5 juin de Douarnenez, du Trophée Marie-Agnès Péron, auquel participent, en catégorie proto, les deux invités, Benoît Marie (Nicomatic-Petit Bateau) et Basile Gautier (Nass&Wind/les EDG).L'un comme l'autre commencent par raconter comment ils sont venus à la classe Mini, un projet né après son entrée en alternance chez North Sails à l'âge de 16 ans pour Basile Gautier (23 ans aujourd'hui), également très jeune chez Benoît Marie, passionné de voile et de technique depuis longtemps, et qui est arrivé sur le circuit en 2012, avant de remporter un an plus tard la Mini Transat en proto.Quand Caroline Boule lui a parlé de relancer un projet sur un proto à foils signé Sam Manuard, ce dernier, passé depuis ses débuts au large par de nombreux supports (Ultim, Ocean Fifty, Moth…), a “repiqué” avec enthousiasme il y a trois ans. Il raconte l'apprentissage parfois compliqué du foil sur un bateau de 6,50 mètres, tandis que Basile Gautier explique de son côté pourquoi, après deux premières années sur le 802 (il n'a pas réussi à se qualifier pour la Mini Transat 2023), il a jeté son dévolu sur le 945, le fameux Tartine, lancé en 2018 par Axel Tréhin, puis équipé de foils en 2022 par Fabio Muzzolini, copropriétaire du plan Lombard.Après avoir détaillé les spécificités de leurs protos respectifs et comment ils financent leur projet, les deux skippers évoquent leurs ambitions pour la suite de la saison, avec en ligne de mire la Mini Transat. Et après ? Basile Gautier se verrait bien poursuivre en course au large, sans doute pas en Mini, Benoît Marie veut “voir le cap Horn”, que ce soit sur The Ocean Race, le Vendée Globe ou son rêve ultime, le Trophée Jules Verne.Diffusé le 03 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 214e épisode de Pos. Report est consacré à la voile olympique et aux bateaux volants, avec une invitée unique, Camille Lecointre, avant le coup d'envoi du Grand Prix de l'École Navale à laquelle elle participe en ETF26.Cette dernière commence par revenir sur ses quatrièmes Jeux olympiques en 470, disputés l'été dernier à Marseille avec Jérémie Mion, une belle aventure humaine, mais une déception sportive qui l'a laissée sur sa faim, elle qui visait une nouvelle médaille olympique, après celles de bronze décrochées à Rio avec Hélène Defrance et à Tokyo avec Aloïse Retornaz.Même s'il “ne faut jamais dire jamais”, la page de l'olympisme est désormais tournée pour la navigatrice de 40 ans qui ne gardera que de bons souvenirs de ses presque vingt ans de 470, avec en point d'orgue la medal race des Jeux de Rio. Elle se verrait en revanche bien transmettre son expérience, elle qui se félicite de voir que la relève est assurée en 470 avec Matisse Pacaud et Lucie de Gennes, troisièmes du récent championnat d'Europe de Split.Camille Lecointre explique que comme elle n'avait rien prévu à l'avance, elle a eu une longue phase de réflexion sur son avenir après les Jeux, au point de songer à changer radicalement d'univers, avant de recevoir un coup de fil de Bruno Dubois qui lui a proposé de rejoindre l'équipe de France de SailGP pour la saison 5. Elle raconte la découverte de ce nouvel univers du foil et du F50 et son rôle de tacticienne remplaçante (pour l'instant) de Manon Audinet.Elle explique également comment elle s'est mise à l'ETF26 avec K-Challenge, l'objectif étant de former des femmes aux supports à foil dans la perspective de la prochaine édition de la Women's America's Cup, clairement un objectif pour la Normande. Qui sera donc à partir de mercredi en presqu'île de Crozon pour participer sur ce support au Grand Prix de l'École Navale, avec un équipage composé de Lou Mourniac, Enzo Ballanger et Manon Peyre.Diffusé le 27 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 213e épisode de Pos. Report est consacré à la CIC Normandy Channel Race, dont la 16e édition s'élance le dimanche 25 mai de Caen-Ouistreham, avec trois invités qui seront sur la ligne de départ et ont tous la particularité d'être normands : Guillaume Pirouelle, qui fera équipe avec Cédric Chateau sur Sogestran-Seafrigo, Sophie Faguet, associée à Nicolas Jossier sur Défi Solidaire avec Ellye et l'Arche, et le tenant du titre, Fabien Delahaye, qui sera accompagné sur Legallais par Pierre Leboucher.Chacun revient d'abord sur des derniers mois bien occupés, entre la direction de course du Vendée Globe pour Fabien Delahaye, qui explique que cette expérience lui a permis de voir l'envers du décor d'une telle “machine” ; la Transat Paprec avec Jules Ducelier pour Sophie Faguet, qui revient sur leur abandon à mi-course à bord de Région Normandie ; le Trophée Jules Verne à bord de Sodebo Ultim 3 pour Guillaume Pirouelle, qui raconte une tentative interrompue au bout de 16 jours.Nos trois invités détaillent ensuite comment ils ont repris leur préparation en Class40 en vue de cette saison, une préparation minimale pour Sophie Faguet, puisque sa dernière navigation, avant le convoyage du bateau à Caen, remonte à… la CIC Normandy Channel Race 2024 en septembre dernier. Ils expliquent également à quel point, en tant que Normands, cette course a une importance particulière pour eux et leurs partenaires, et en exposent les particularités, Guillaume Pirouelle la comparant à une “grande étape de Solitaire du Figaro en double en Class40”.Ils finissent par expliquer quels sont leurs objectifs respectifs sur cette CIC Normandy Channel Race, avec des ambitions de victoire pour Fabien Delahaye (qui y participe pour la septième fois, quatre podiums, dont une victoire) et Guillaume Pirouelle (4e l'an dernier), l'envie de retrouver ses repères avec Nicolas Jossier pour Sophie Faguet, en vue du grand rendez-vous de la saison pour tous, la Transat Café L'Or (départ le 26 octobre du Havre).Diffusé le 20 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 212e épisode de Pos. Report revient sur la Transat Paprec 2025 avec deux navigatrices qui ont terminé sur le podium, Charlotte Yven (Skipper Macif), victorieuse pour la deuxième fois consécutive, cette fois avec Hugo Dhallenne, et la “locale de l'étape”, Cindy Brin, qui vit à Saint-Barthélémy et a créé une grosse surprise en prenant la troisième place sur Cap St Barth avec Thomas André.Cette dernière commence par raconter les émotions de l'arrivée, confiant n'avoir pris conscience de l'effervescence autour d'elle qu'une fois la ligne franchie, tant elle était concentrée. Elle explique également comment elle a monté ce projet, challengée il y a deux ans à Concarneau par un élu de la collectivité de Saint-Barth, et aidée par Eric Péron.Charlotte Yven confie quant à elle qu'elle a encore du mal à réaliser qu'elle a remporté la Transat Paprec pour la deuxième fois, rejoignant ainsi le seul double vainqueur à ce jour, Armel Le Cléac'h, elle revient sur la manière dont elle a préparé la course avec Hugo Dhallenne, sélectionné en fin d'année dernière pour succéder à Loïs Berrehar au sein du dispositif Skipper Macif.Nous refaisons ensuite le match de la course, Cindy Brin racontant notamment l'émotion d'un parcours côtier bouclé en tête puis “la peur de sa vie” au passage de La Palma (Canaries), lorsque le Figaro 3, surtoilé, s'est couché plusieurs fois sur l'eau. Les deux navigatrices détaillent les derniers jours de course, avec un regroupement général à l'approche des Antilles dans une bulle sans vent qui a nécessité une certaine stabilité émotionnelle, ce qui, selon Cindy Brin, n'a pas été évident à gérer.Charlotte Yven raconte comment elle et Hugo Dhallenne sont finalement parvenus à creuser un petit écart à une demi-journée de l'arrivée pour finalement s'imposer dans quasiment le même temps que deux ans plus tôt (un quart d'heure d'écart !). Nous finissons par évoquer la suite du programme, avec la Solitaire du Figaro Paprec comme objectif prioritaire pour la skippeuse de Macif, l'envie de continuer en Figaro pour Cindy Brin, qui va toutefois reprendre dès mercredi son poste de monitrice de voile au Yacht-Club de Saint-Barth.Diffusé le 13 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 211e épisode de Pos. Report reçoit Paul Meilhat, skipper de l'Imoca Biotherm, à bord duquel il a pris fin janvier la cinquième place de la dixième édition du Vendée Globe.Il commence d'ailleurs par raconter comment il a vécu son après-Vendée Globe, entre vacances scolaires en famille et retour assez rapide au chantier pour préparer la saison 2025. Il revient ensuite sur la course, qu'il aura démarrée un peu en retrait, le temps d'apprivoiser ses nouveaux foils, installés peu avant le départ, et terminée en mode régate au sein d'un groupe de six-sept concurrents.Avec à l'arrivée une cinquième place qu'il considère comme une “réussite” au regard de l'ensemble d'un projet qui n'aura pas été de tout repos, entre enchaînement des courses, dont The Ocean Race 2023, contraintes budgétaires et pépins techniques.Nous évoquons ensuite avec lui la suite du programme, qui, cette année, va se concentrer pour Biotherm sur The Ocean Race Europe, avec des objectifs affichés de performance et un équipage dont le skipper nous dévoile la composition. Paul Meilhat travaille parallèlement sur le montage de son projet prioritaire pour la suite, la participation à la prochaine édition de The Ocean Race (en 2027), confiant avoir fait le choix de ne pas lancer de nouvelle construction, pour des raisons de coût, d'impact écologique et de temps de mise au point.Quid du Vendée Globe 2028 ? Le cinquième de la dernière édition n'a pour l'instant pas la réponse, mais confie que s'il doit y retourner, ce sera pour vivre une histoire différente.Diffusé le 6 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 210e épisode de Pos. Report est consacré à la 56e édition de la Semaine olympique française qui vient de s'achever à Hyères, avec deux invités, Lauriane Nolot, qui a décroché la médaille de bronze en Formula Kite, et Tim Mourniac, sixième en Nacra 17 avec sa nouvelle équipière, Aloïse Retornaz.Avec eux, nous revenons d'abord sur les Jeux olympiques de Paris 2024, Lauriane Nolot explique que si elle a été dans un premier temps déçue de sa médaille d'argent en Formula Kite, elle a ensuite pris du recul pour mieux la savourer, tandis que Tim Mourniac garde beaucoup de positif de sa cinquième place en Nacra 17 avec Lou Berthomieu.Nos deux invités racontent ensuite leur après-Jeux, particulier pour Lauriane Nolot qui s'est cassé le pied droit quelques jours après la cérémonie de clôture en faisant du trampoline, ce qui l'a conduite à une longue rééducation. Tim Mourniac, fan de glisse, n'a de son côté jamais cessé d'être sur l'eau, tout en préparant son nouveau projet olympique. Il explique pourquoi il a choisi de repartir sur une nouvelle “PO” et le choix d'Aloïse Retornaz pour l'accompagner, il évoque également les priorités du duo au moment d'attaquer la préparation de leur saison 2025.La médaillée d'argent des JO revient également sur sa préparation, qui a réellement débuté en janvier et confie une légère appréhension au moment de reprendre la compétition sur la SOF, appréhension vite levée pour une troisième place finale qui répond largement à ses attentes. Même satisfaction pour Tim Mourniac qui estime que la sixième place de Hyères est un bon début avant les grandes échéances de la saison que seront pour lui, comme pour Lauriane Nolot en kite, les championnats d'Europe et les championnats du monde.Présenté par la Classe Imer
Ce 209e épisode de Pos. Report est consacré à deux marins de la classe Ultim, celle des multicoques volants : Tom Laperche et Anthony Marchand.Tandis que le skipper de SVR Lazartigue embarque Franck Cammas cette saison, le skipper d'Actual apprend à connaître l'ancien Gitana 17, acquis cet hiver par son partenaire. Alors que leur bateau est encore en chantier, les deux marins ont profité du week-end de Pâques pour régater dans le cadre du Spi Ouest-France à La Trinité-sur-Mer. Outre la convivialité, pas question de se laisser distancer par les « vieilles » connaissances : l'équipage de Tom Laperche, « made in SVR » devance le Team Banque Populaire de Loïs Berrehar en Open 7,50. Anthony Marchand se contente de la quatrième place en Mach 6,50.S'il leur faut attendre l'été pour la mise à l'eau de leur Ultim, le programme est intense : Anthony Marchand et son équipe démontent - puis remontent - les pièces du futur Actual Ultim 4. Le marin de Plérin raconte aussi l'acquisition du simulateur, jumeau numérique du bateau pour accélérer la prise en main. Le mât est attendu sous peu alors que les travaux « cosmétiques » sont engagés.Côté SVR-Lazartigue, Tom Laperche revient sur la frustration des 5 tentatives hivernales de Trophée Jules Verne et les enseignements tirés en matière de fiabilisation. De nouveaux appendices sont attendus. Il se confie aussi sur sa découverte du mode record… un challenge auquel Anthony Marchand se frotterait bien avec sa nouvelle machine.Après trois années passées aux côtés de François Gabart, ou Pascal Bidégorry, Tom Laperche raconte son tandem avec l'expérimenté Franck Cammas : le vainqueur de la Solitaire du Figaro 2022 espère bien tirer profit de son expérience récente sur la Coupe de l'America en termes de développement et d'innovation.Les deux hommes se projettent enfin sur la Transat Café l'Or (départ le 26 octobre du Havre). Si Anthony Marchand reste mystérieux sur l'identité de son co-skipper, il concède qu'un profil navigateur / routeur a retenu toute son attention, au regard des règles désormais en vigueur (pas de routage depuis la terre). Après ses deuxièmes places en 2021 et 2023, Tom Laperche rêve quant à lui de victoire en 2025 avec des arrivées d'Ultim « dans le même quart d'heure en Martinique ! ».Présenté par la Classe Imer
Ce 208e épisode de Pos. Report est consacré à la Transat Paprec avec comme invités Mathilde Géron, co-skippeuse de Martin Le Pape à bord de Demain, et Davy Beaudart, skipper de Hellowork et accompagné sur cette transat par Julie Simon.Mathilde Géron commence par décrire son état d'esprit à cinq jours de prendre le départ de sa première transat en course, elle qui, la saison dernière, a navigué en Ocean Fifty, team manager du projet Inter Invest de Matthieu Perraut.Davy Beaudart revient de son côté sur son parcours, entre activité professionnelle à la tête du chantier Nauty'Mor d'Hennebont, qu'il a lancé il y a près de vingt ans, et course au large, notamment en Mini 6.50 et Imoca aux côtés de Louis Burton, avant de se mettre au Figaro en 2022 et d'y revenir cette année avec un sponsor, Hellowork.Il explique ensuite pourquoi il a choisi Julien Simon pour l'accompagner sur la Transat Paprec, Mathilde Géron racontant de son côté ses hésitations quand Martin Le Pape lui a proposé de disputer la course avec lui, puis ses débuts, “humides”, en Figaro, support sur lequel elle n'avait jamais navigué.Les deux marins détaillent leur préparation et analysent le plateau, avec, pour l'un comme pour l'autre, des objectifs de podium sur cette Transat Paprec. Ils finissent par se projeter sur la suite, Mathilde Géron confiant son besoin de faire une pause pour se consacrer à sa famille, tandis que Davy Beaudart embarquerait bien son partenaire sur la Solitaire du Figaro Paprec, voire sur la Route du Rhum en 2026.Présenté par la Classe Imer
Ce 207e épisode de Pos. Report reçoit Elodie Bonafous pour parler de son projet Imoca Horizon 29, un mois et demi après la mise à l'eau de son nouveau bateau, plan Verdier sistership de Macif Santé Prévoyance, vainqueur du Vendée Globe 2024 avec Charlie Dalin.Nous commençons par un retour en arrière, la navigatrice rappelant comment s'est lancé ce projet il y a un peu plus de deux ans avec Bertrand Quéguiner et les premières décisions prises, entre design du nouveau bateau, choix du chantier (MerConcept avec CDK), constitution d'une équipe et installation à Port-la-Forêt.Après avoir évoqué sa dernière saison en Figaro en 2024, elle revient ensuite sur la manière dont elle a suivi le Vendée Globe 2024 et les enseignements qu'elle en a tirés pour son propre projet, en observant les performances de Macif Santé Prévoyance et en s'appuyant sur les retours d'expérience techniques de MerConcept.La skippeuse de la baie de Morlaix raconte enfin ses premières navigations sur son Imoca, avec notamment une sortie offshore de 24 heures dans 20-25 noeuds de vent, avec celui qui sera son co-skipper cette saison, Yann Eliès, et se projette sur le programme de l'année, entre Course des Caps et Transat Café L'Or.Diffusé le 8 avril 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 206e épisode de Pos. Report est consacré à la voile olympique au moment où se déroule le premier grand rendez-vous de l'année et de la nouvelle olympiade, le Trofeo Princesa Sofia (Semaine de Palma), avec deux invités tout juste intronisés par la Fédération française de voile, Loïc Billon, nouveau manager de l'équipe de France, et Franck Citeau, manager de la performance.Après s'être présentés et un rapide bilan de la précédente olympiade, terminée sur un bilan aux Jeux de Paris 2024 de deux médailles tricolores (argent pour Lauriane Nolot en kite, bronze pour Charline Picon et Sarah Steyaert en 49er FX), les deux techniciens expliquent pourquoi la FFVoile a choisi un duo pour succéder au directeur de l'équipe de France, Philippe Mourniac, et leurs prérogatives respectives.Nous évoquons ensuite la nouvelle olympiade, avec une équipe de France pour 2025 qui va être dévoilée très prochainement et sera réunie lors de la Semaine Olympique Française de Hyères (19-26 avril), avec, révèle Franck Citeau, des objectifs de performance élevés, puisqu'il faudra faire un top 6 cette année dans les championnats du monde de chaque olympique pour prétendre rester en équipe de France en 2026.Nous évoquons également le processus de qualification pour les Jeux de Los Angeles, qui se jouera en 2027 lors des championnats du monde “one-person” de Fortaleza et “two-person” de Gdynia, les nouveaux équipages français constitués après les JO de Paris, la préparation de cette saison 2025 et les grand objectifs de l'année.Diffusé le 1er avril 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pos. Report vous propose ce mardi la rediffusion de l'épisode #200, au cours duquel Benjamin Ferré et Tanguy Le Turquais ont refait le match de leur Vendée Globe, les deux marins ayant noué sur leur premier tour du monde une relation particulière.--Ce 200e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui auront été inséparables lors de la dixième édition du Vendée Globe, Benjamin Ferré (Monnoyeur-Duo for a Job), arrivé 16e (et premier bateau à dérives) le 3 février après un peu moins de 84 jours, et Tanguy Le Turquais (Lazare), qui a coupé la ligne 15 minutes et 50 secondes après son concurrent et ami.Les deux marins commencent par détailler leur première semaine de terrien, faite de célébrations, de retrouvailles avec la famille et les proches, de tournée parisienne médiatique (pour Benjamin Ferré) et… de nuits agitées, l'un comme l'autre confiant avoir toujours du mal à retrouver un sommeil normal. Ils commentent ensuite l'arrivée triomphale, dimanche 8 février, de Violette Dorange, se réjouissant de voir cette “jeune femme de son temps” recevoir un tel accueil, Benjamin Ferré raconte également ses retrouvailles très fortes avec Jean Le Cam, sans lequel son projet de Vendée Globe n'aurait sans doute pas vu le jour.Nous refaisons ensuite le match du tour du monde avec les deux skippers, entre descente de l'Atlantique en forme de mise en jambes, entrée dans le Grand Sud particulièrement violente pour Tanguy Le Turquais qui l'a joué chien fou dans le premier front, avec à la clé trois lattes cassées, bord d'anthologie de quasiment 24 heures côte à côte en fin d'Indien, et dégâts : le skipper de Lazare raconte comment il a mis quatre jours à réparer une casse structurelle dans le fond de coque, Benjamin Ferré son avarie de vérin de quille, solutionnée à distance par… Jean Le Cam.Ils terminent en évoquant le passage du cap Horn, le meilleur souvenir pour le skipper de Monnoyeur-Duo for a Job qui en reste émerveillé, et leur mano a mano lors de la remontée de l'Atlantique pour remporter le match des bateaux à dérives. Remettront-ils ça ? Pour Tanguy Le Turquais, c'est non, pour Benjamin Ferré, peut-être, mais pas en 2028.Rediffusé le 25 mars 2025Diffusé le 11 février 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 205e épisode de Pos. Report est consacré au circuit Figaro Beneteau à moins d'une semaine du coup d'envoi de la saison avec la Solo Guy Cotten, avec deux invités qui en prendront le départ, Martin Le Pape (Demain) et Quentin Vlamynck (Les Etoiles Filantes).L'un comme l'autre commencent par revenir sur leur saison 2024, la première sur le circuit pour Quentin Vlamynck, passé auparavant par les classes Mini 6.50 et Ocean Fifty, qui raconte sa découverte d'un support monotype sur lequel chaque petit détail compte et chaque erreur se paie cher au classement.Martin Le Pape explique de son côté pourquoi, après avoir couru en Class40 et tenté en vain de monter un projet Vendée Globe, il est revenu la saison dernière en Figaro, “une valeur refuge” pour celui qui a obtenu son meilleur résultat sur la Solitaire du Figaro Paprec en huit participations (6e) et espère bien monter sur le podium cette année.Les deux skippers détaillent ensuite la préparation d'une saison de Figaro, démarrée dès octobre dernier par Quentin Vlamynck du côté de La Rochelle, en janvier pour Martin Le Pape à Port-la-Forêt, ils évoquent ensuite leurs objectifs de l'année et leurs ambitions à plus long terme, communes, puisque l'un comme l'autre visent le Vendée Globe.Diffusé le 18 mars 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 204e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Ocean Fifty avec deux skippers qui, en ce début d'année, cherchent à boucler leur budget pour pouvoir s'aligner cette saison au départ des Ocean Fifty Series en juin et en 2026 à celui de la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, Christopher Pratt (Wind of Trust-Fondation pour l'enfance) et Laurent Bourguès (Mon Bonnet Rose).Nos deux invités, qui ont par ailleurs une grosse expérience de l'Imoca - le premier a notamment navigué avec Jérémie Beyou et Maxime Sorel, il était skipper remplaçant de Nicolas Lunven et Sébastien Simon sur le Vendée Globe, le second a été directeur technique de l'équipe TR Racing lors des campagnes 2016 et 2020 de la course autour du monde - commencent par revenir sur la dixième édition qui vient de s'achever. Christopher Pratt se montre impressionné par l'intensité de la régate pendant toute la durée de la course, tandis que Laurent Bourguès estime que les foilers ont cette fois passé avec succès le test du tour du monde, architectes et équipes ayant su tirer les leçons de l'édition précédente.Nous ouvrons ensuite la page Ocean Fifty, les deux skippers revenant sur l'année 2024, marquée notamment par la Route des Terre-Neuvas, un très bon souvenir pour Christopher Pratt, même s'il a terminé en baie de Saint-Brieuc avec un morceau d'étrave arraché, ce qui l'a empêché de finir la saison en Méditerranée. Ils évoquent ensuite leurs recherches respectives de partenaires pour repartir cette saison, Laurent Bourguès ayant notamment lancé il y a peu une tombola, avec un ticket d'entrée à 5 000 euros qu'il espère fructueuse d'ici le mois de juin et le coup d'envoi des Ocean Fifty Series.Diffusé le 11 mars 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 203e épisode de Pos. Report reçoit Yves Le Blevec, directeur du Team Actual, qui, pendant une heure, prend le temps de parler de ses nombreuses casquettes. Après une analyse de la dixième édition du Vendée Globe, qu'il a suivie avec d'autant plus d'intérêt que pour la première fois, il a même fait la course en virtuel, le marin de La Trinité-sur-Mer explique pourquoi, 18 ans après avoir remporté la Mini Transat en proto, il a décidé, titillé par un skipper de la classe, de faire son retour cette année sur le circuit Mini 6.50.Il a en effet annoncé récemment sa participation début mai à la Pornichet Select sur un plan Magnen/Cabaret de série, course qu'il prépare d'ores et déjà avec le centre d'entraînement Orlabay. Il n'a pas l'intention pour autant, "même s'il ne faut jamais dire jamais", de tenter une quatrième Mini Transat, tant la course demande de l'investissement pour bien y figurer.Il évoque ensuite sa casquette de directeur de course, à la fois de la Plastimo Lorient Mini, passée il y a deux ans en format double mixte - un succès, puisque toutes les éditions affichent complet -, et, depuis l'année dernière, du Tour de Belle-Ile, une course qui lui est chère pour son côté pro-am.La dernière partie de l'épisode est consacrée au Team Actual, Yves Le Blevec racontant comment s'est conclue l'acquisition de l'ex Maxi Edmond de Rothschild de Charles Caudrelier, désormais baptisé Actual Ultim 4, permettant à son skipper Anthony Marchand d'avoir désormais les armes pour jouer la victoire sur les principales courses de la classe Ultim, Transat Café L'Or en 2025 et Route du Rhum-Destination Guadeloupe 2026 en premier lieu.Diffusé le 4 mars 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 202ème épisode de Pos. Report est consacré à la dixième édition du Vendée Globe et reçoit deux marins qui, en 91 jours de mer, ont franchi la ligne en 26e et 27e position : Louis Duc et Sébastien Marsset.Alors que le skipper de Fives Group / Lantana Environnement achève un repos en montagne, le skipper de Foussier partage son temps entre vie de famille et rendez-vous médiatiques… avant le convoyage retour de leur monocoque prévu cette semaine. Encore chamboulés par la liesse de leur arrivée le 9 février dernier aux Sables d'Olonne, ils reviennent sur leurs dernières heures de course. Louis Duc comprend alors la raison de ses 27 minutes d'avances sur Sébastien Marsset : si le Normand est ralenti par un problème de dérive et la perte de ses spis, le Nantais est gêné par des problèmes d'énergie qui lui feront économiser tout ce qui consomme à bord (il se privera même de l'usage de son téléphone). Parce que les deux skippers se sont rarement quittés au cours du Tour du Monde, ils racontent leur bord à bord à la limite de la zone des glaces et ce « Grand Sud » dans lequel ils sont sentis à leur aise. Ironie du sort, alors que Louis Duc a modifié sa trajectoire pour apercevoir un iceberg en plein jour, c'est Sébastien Marsset qui croise la route du géant de glace. Il raconte sa frayeur et ses manœuvres à l'approche de celui-ci. Plus que l'aventure, les deux skippers retiennent la compétition et le match livré à la barre de leur bateau sans foil de génération 2008 : ils revivent, encore un peu amers, ce moment de l'Atlantique Sud où ils ont vu leurs compagnons de route, Benjamin Ferré et Tanguy Le Turquais, prendre une semaine d'avance. Mais leur esprit est déjà tourné vers le Vendée Globe 2028, à bord d'un IMOCA à foils. Si Sébastien Marsset rêve de TOP 10, « alors moi ce sera TOP 9 ! » lui répond le Viking de Carteret. Diffusé le 25 février 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 201e épisode de Pos. Report, encore consacré à la dixième édition du Vendée Globe, reçoit celle qui, le 25 janvier dernier, a terminé huitième, après 76 jours de mer, à la barre de Teamwork-Team Snef, Justine Mettraux.Cette dernière, tout juste rentrée en Suisse, explique comment se sont passés les semaines après son arrivée aux Sables d'Olonne, entre quelques jours sur place, passage par Paris, puis retour du bateau à Lorient et débrief avec l'équipe technique.Nous revenons ensuite avec elle sur les grandes phases de son premier Vendée Globe, en particulier sa déchirure de code zéro au large du Brésil qui l'a empêchée de prendre le bon wagon. La Suissesse, forte de son expérience sur The Ocean Race en 2023, est cependant restée focalisée sur la bonne marche de son bateau pour, dans un océan Indien plutôt clément, peu à peu, recoller au groupe de chasse derrière les trois leaders.Elle raconte ensuite comment, avec Boris Herrmann, elle a réussi à creuser un écart définitif sur Sam Davies et Clarisse Crémer qui lui a permis de passer le cap Horn en neuvième position. Le “Vendée Globe plaisir” s'est alors arrêté là pour la skippeuse, qui a vécu une remontée de l'Atlantique particulièrement difficile, d'autant qu'elle était privée d'un aérien, ce qui l'a fortement handicapée, et de la “mule”, sa voile de tempête.Elle est tout de même parvenue à grappiller une place pour terminer huitième, franchissant la ligne “avec soulagement”, tant les derniers jours, avec deux tempêtes successives, auront fait planer la menace d'avaries sur son Imoca. A l'arrivée, elle confie sa satisfaction de terminer premier bateau de génération précédente et son espoir de remettre ça dans en 2028 pour viser plus haut.Diffusé le 18 février 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 200e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui auront été inséparables lors de la dixième édition du Vendée Globe, Benjamin Ferré (Monnoyeur-Duo for a Job), arrivé 16e (et premier bateau à dérives) le 3 février après un peu moins de 84 jours, et Tanguy Le Turquais (Lazare), qui a coupé la ligne 15 minutes et 50 secondes après son concurrent et ami.Les deux marins commencent par détailler leur première semaine de terrien, faite de célébrations, de retrouvailles avec la famille et les proches, de tournée parisienne médiatique (pour Benjamin Ferré) et… de nuits agitées, l'un comme l'autre confiant avoir toujours du mal à retrouver un sommeil normal. Ils commentent ensuite l'arrivée triomphale, dimanche 8 février, de Violette Dorange, se réjouissant de voir cette “jeune femme de son temps” recevoir un tel accueil, Benjamin Ferré raconte également ses retrouvailles très fortes avec Jean Le Cam, sans lequel son projet de Vendée Globe n'aurait sans doute pas vu le jour.Nous refaisons ensuite le match du tour du monde avec les deux skippers, entre descente de l'Atlantique en forme de mise en jambes, entrée dans le Grand Sud particulièrement violente pour Tanguy Le Turquais qui l'a joué chien fou dans le premier front, avec à la clé trois lattes cassées, bord d'anthologie de quasiment 24 heures côte à côte en fin d'Indien, et dégâts : le skipper de Lazare raconte comment il a mis quatre jours à réparer une casse structurelle dans le fond de coque, Benjamin Ferré son avarie de vérin de quille, solutionnée à distance par… Jean Le Cam.Ils terminent en évoquant le passage du cap Horn, le meilleur souvenir pour le skipper de Monnoyeur-Duo for a Job qui en reste émerveillé, et leur mano a mano lors de la remontée de l'Atlantique pour remporter le match des bateaux à dérives. Remettront-ils ça ? Pour Tanguy Le Turquais, c'est non, pour Benjamin Ferré, peut-être, mais pas en 2028.Diffusé le 11 février 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une soirée exceptionnelle pour ce douzième et dernier épisode de Pos. Report Live, enregistré en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, puisqu'un seul invité est venu au micro devant une salle comble : Yoann Richomme, 2e du Vendée Globe.Pendant 1h30, le skipper de Paprec Arkéa s'est livré à cœur ouvert, répondant avec précision et en longueur aux questions, celles posées par les audiences de Tip & Shaft comme celle du public et en particulier des nombreux enfants présents mercredi soir.Du retour à terre, pas évident physiquement comme mentalement, au bilan technique complet, en passant par le décryptage des phases clés de la course, Yoann Richomme a pris le temps de revenir avec plaisir sur son très beau Vendée Globe... et d'anticiper un peu la suite de la saison.Enregistré en public le 5 février 2025 de 18h30 à 19h30Diffusé le 6 février 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode de Pos. Report Live reçoit à la Cité de la Voile Eric Tabarly Maxime Sorel, skipper de V and B-Monbana-Mayenne, premier à abandonner sur le Vendée Globe à cause d'une blessure à la cheville, Erwan Tymen, ingénieur naval qui a travaillé sur la conception de Macif Santé Prévoyance, l'Imoca du vainqueur du Vendée Globe, Charlie Dalin, et le skipper et météorologue Pierre Le Roy. Avec également le coup de fil du large, en provenance de L'Occitane en Provence, à bord duquel Clarisse Crémer, 11e au classement, raconte une fin de Vendée Globe éprouvante.Avec eux, nous revenons sur les arrivées la semaine dernière des trois premiers aux Sables d'Olonne, Charlie Dalin, Yoann Richomme et Sébastien Simon, et nous évoquons la suite de la course, avec une belle bagarre pour la quatrième place dans des conditions particulièrement difficiles à l'approche du golfe de Gascogne et pas mal de dégâts au sein de la flotte.Enregistré en public le 20 janvier 2025 de 18h30 à 19h30Diffusé le 21 janvier 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce dixième épisode de Pos. Report Live, enregistré en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Armel Le Cléac'h, vainqueur du Vendée Globe 2016-2017, et qui vient de voir son record de 74 jours pulvérisé par Charlie Dalin. et Corentin Douguet, habitué des podiums en Figaro et en Class40 - Jeanne Grégoire, directrice du pôle France de Port-la-Forêt qui devait être des nôtres a été retenue par... le passage de Charlie Dalin au large des Glénan !Dans ce nouvel épisode, nos invités analysent la victoire annoncée de Charlie, sa grande maîtrise et les moments-clé de la course où il est parvenu à faire la différence. Armel Le Cléac'h partage aussi ses souvenirs de l'arrivée et le tourbillon qui va s'emparer de lui dans les prochaines heures.En vacation, Sébastien Simon, superbe 3e de la course, n'a pas caché son plaisir et son bonheur de performer sur ce Vendée Globe, lui que peu attendaient à pareille fête, promettant une belle fête à son arrivée !Enregistré en public le 13 janvier 2025 de 18h30 à 19h30Diffusé le 14 janvier 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce neuvième épisode de Pos. Report Live, enregistré en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly et consacré au Vendée Globe 2024, nous recevons Charlotte Yven, Skipper Macif 2023 et 5e de la Solitaire du Figaro Paprec 2024, Romain Ménard, qui dirige Team Spirit Racing, la structure créée par Paprec et Arkéa pour héberger le projet Imoca de Yoann Richomme, et Sébastien Col, team manager de l'équipe Holcim PRB de Nicolas Lunven.Nous nous intéressons d'abord au duel acharné en tête de la course entre Charlie Dalin et Yoann Richomme, l'écart entre les deux skippers alternant au gré des conditions qu'ils rencontrent l'un après l'autre, comme l'explique Charlotte Yven. Sébastien Col se montre particulièrement impressionné par le rythme mené par les deux leaders, nos trois invités évoquant la météo de la dernière semaine de course et les éventuelles possibilités qui s'offrent à Yoann Richomme pour tenter de revenir sur Charlie Dalin.En vacation, Benjamin Dutreux, skipper de Guyot Environnement-Water Family, raconte les conditions qu'il rencontre en Atlantique Sud et revient sur la manière dont il a réussi à revenir dans le Pacifique sur ses deux devancières, Sam Davies et Clarisse Crémer, puis sur son passage du cap Horn. Visiblement en forme, celui qui occupe alors la 11e place échange avec nos trois invités, évoquant notamment les différences entre son premier Vendée Globe, en 2020, et celui-ci.Romain Ménard explique ensuite comment le team Paprec Arkéa prépare l'arrivée de Yoann Richomme, prévue le 14 ou 15 janvier, Sébastien Col analyse la situation du groupe des poursuivants en Atlantique Sud, dans lequel se trouve son “poulain”, Nicolas Lunven, avec des options très différentes et, espère-t-il, un résultat favorable au skipper de Holcim-PRB. Nous terminons par les questions du public, à Charlotte Yven et Sébastien Col, et un coup de projecteur, par ce dernier et Romain Ménard, sur l'après-Vendée Globe.Enregistré en public le 6 janvier 2025 de 18h30 à 19h30Diffusé le 7 janvier 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce huitième épisode de Pos. Report Live - enregistré exceptionnellement à distance - nous recevons Anne Combier, team manager de l'équipe Maître Coq et de Yannick Bestaven, Jean-Yves Bernot, routeur et météorologue, et Hubert Lemonnier, directeur de course du Vendée Globe,Dans ce nouvel épisode, nous plongeons dans les coulisses de la gestion de l'abandon de Yannick Bestaven, tant du côté team que du côté direction de course, Hubert Lemonnier en profitant pour raconter le travail au quotidien de la "DC" et rappeler que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas eu de sauvetage spectaculaire que la course n'est pas intense et passionnante à suivre. Enfin, Jean-Yves Bernot décrypte les principaux enjeux météo d'ici la ligne d'arrivée, avec une ETA à partir du 14 janvier... soit 6 jours de mieux que le record. Mais la route est encore longue...Enregistré le 30 décembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 31 décembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce septième épisode de Pos. Report Live, enregistré en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Corentin Horeau, vainqueur de la Solitaire du Figaro Paprec 2023, notamment, et cette année, de la Finistère Atlantique, sur l'Ultim Banque Populaire. Julien Villion, vainqueur de la Transat en double Concarneau Saint-Barth en 2021, mais surtout co-skipper de Justine Mettraux depuis 3 saisons et spécialiste météo, qui aurait dû être sur le Trophée Jules Verne avec le team Gitana et Antoine Lauriot Prévost, architecte naval associé, en charge des Imoca chez VPLP,Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons naturellement au prodigieux mano à mano en tête de la course, menée par Yoann Richomme et Charlie Dalin, mais aussi à cette course impitoyable pour leurs poursuivants, où "ça part par-devant" depuis le premier jour, avec des écarts qui commencent à peser lourd - nos consultants sont divisés, Julien Villion jugeant que tout peut encore arriver, tandis que Corentin Horeau pense que le podium est joué. Evoquant le record de 2016-2017, Antoine Lauriot Prévost rappelle que le timing peut encore s'améliorer, car c'est aux allures proches du vent que les foilers ont le plus progressé...En vacation, Paul Meilhat, heureux d'avoir dépassé le point où il avait dû abandonner voilà 8 ans, raconte bien la nécessité de trouver le bon rythme le long de la zone d'exclusion antarctique et son plaisir d'être dans le groupe des poursuivants qui devrait revenir sur le groupe Ruyant.Enregistré en public le 23 décembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 24 décembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce sixième épisode de Pos. Report Live, enregistré en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Marie Tabarly, skipper de Pen Duick VI et vainqueure de l'Ocean Globe Race en temps réel ce printemps ; Franck Cammas, marin de la décennie - entre autres - et candidat au Vendée Globe 2028 ; Vincent Riou, vainqueur du Vendée Globe 2004-2005, entre autres.Dans ce nouvel épisode, nous analysons le retour de Yoann Richomme, revenu comme une fusée sur Charlie Dalin, mais aussi l'ensemble des conditions météo qui touchent les différents pelotons et la gestion du rythme par les marins. Franck Cammas faisant tourner de nombreux routages !En vacation, Thomas Ruyant fait entendre une voix claire, le skipper de Vulnerable partage son plaisir d'être en mer, la déception de voir une dorsale l'éloigner de la tête de course étant digérée, avec la perspective d'un bord rapide à venir vers le Horn.Enregistré en public le 16 décembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 17 décembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette cinquième édition de Pos. Report Live, enregistrée en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Marine Legendre, team manager du Biotherm Sailing de Paul Meilhat ; Antoine Koch, ingénieur et navigateur, qui a conçu avec le cabinet Finot-Conq les Imoca de Yoann Richomme et Thomas Ruyant ; Charles Caudrelier, vainqueur, en début d'année, de l'Arkea Ultim Challenge à bord du Maxi Edmond de Rothschild, entre autres.Au cours de cette nouvelle édition, nous revenons sur le rythme imprimé par Charlie Dalin en tête de la course et son option payante de rester au sud devant la première grosse dépression de l'Indien, on évalue son impact sur la tête de la flotte et la capacité des poursuivants à revenir ou pas.La vacation avec Charlie Dalin le skipper de Macif Santé Prévoyance a pris un tour particulier puisque si nous l'entendions, lui ne nous recevait pas, nous avons donc mené l'échange en posant nos questions par messages, avec un Charlie qui a bien su jouer le jeu !Enregistré en public le 9 décembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 10 décembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette quatrième édition de Pos. Report Live, enregistrée en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Alain Gautier, vainqueur du Vendée Globe 1992-1993 et team manager du projet MACSF, skippé par Isabelle Joschke ; Anthony Marchand, quatrième de l'Arkea Ultim Challenge et skipper d'Actual Ultim 3, qui a également participé à The Ocean Race à bord de Biotherm ; Anne-Claire Le Berre, membre du projet d'Ocean Fifty UpWind by MerConcept, habituée de nombreux supports (voile olympique, Mini, Figaro, Class40) et ex-directrice technique du team Imoca Initiatives Cœur.Au programme, on se penche sur ce Vendée Globe où "ça part par l'avant" depuis le début, avec des écarts qui commencent à être significatifs, en s'interrogeant sur le fait de savoir si une partie de la course n'est pas déjà jouée, on évoque les stratégies de la tête de course qui va devoir gérer une grosse dépression dans les tout prochains jours, on parle aussi rythme, record, trajectoire, bref on refait la course, sans oublier d'échanger avec Justine Mettraux, le skipper de Teamwork Team Snef, bien dans sa course, qui raconte la vie dans son petit groupe avec Boris Herrmann, Sam Davies et Clarisse Crémer, les conditions de mer difficiles dans le courant des Aiguilles et les journées bien remplies à bord d'un Imoca en course...Enregistré en public le 2 décembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 3 décembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette troisième édition de Pos. Report Live, enregistrée en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons Yann Eliès, triple vainqueur de la Solitaire du Figaro et de la Transat Jacques Vabre, 5e du Vendée Globe 206-2017 et, last but not least, co-skipper et remplaçant de Yoann Richomme sur le projet Paprec Arkéa ; Christian Dumard, routeur et consultant météo officiel du Vendée Globe, à la tête de Weather Marine Intellignece ; Allyson Mousselon, team manageuse du Hublot Sailing Team d'Alan Roura.Au programme, comme toujours, l'analyse de la séquence météo en cours, avec la tête de flotte lancée pleine balle vers le cap Bonne Espérance, mais aussi l'explication du nouveau cadre réglementaire des échanges entre les skippers et les équipes et une vacation avec Nicolas Lunven... qui montre que les communications ne sont pas toujours aussi faciles qu'un simple coup de fil WhatsApp ! Et le simple bruit de fond des foils qui sifflent en dit long sur l'ambiance à bord d'Holcim PRB !Enregistré en public le 25 novembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 26 novembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette deuxième édition de Pos. Report Live, enregistrée en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, Eric Peron, finisher, en début d'année, de l'Arkea Ultim Challenge sur Adagio, Sophie Faguet, habituée du Figaro et du Class40, en préparation pour la Route du Rhum 2026, et Thomas Gavériaux, le CEO de TR Racing, l'écurie de Thomas Ruyant et Sam Goodchild, sont venus partager leurs regards sur la course.Au programme, une analyse pointue sur le positionnement des groupes de concurrents sur le plan d'eau, l'explication de cette zone de vents faibles qui a redistribué les cartes, et les choix à venir alors que se profile le Pot-au-noir...Et en prime un échange de 15 minutes avec un Romain Attanasio en pleine forme, profitant des conditions "idylliques" de navigation, qui n'a pas manqué de rappeler qu'il savait, fort de ses deux premiers Vendée Globe, que ça n'allait pas durer !Enregistré en public le 18 novembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 19 novembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cette première édition de Pos. Report Live, enregistrée en public à la Cité de la Voile Eric Tabarly, nous recevons une brochette de figaristes : Elodie Bonafous, Gaston Morvan et Loïs Berrehar. Avec, en prime, une vacation avec un double vainqueur de la Solitaire, en la personne du skipper Paprec Arkéa, Yoann Richomme.Au programme un retour sur la séquence de départ des Sables d'Olonne et ses émotions, à terre comme en mer ; l'analyse des deux premières séquences stratégiques - traversée du golfe de Gascogne et passage du cap Finisterre -, et, bien sûr une projection vers les enjeux tactiques et stratégiques des prochains jours.Une heure passionnante en compagnie de la jeune garde de la course au large - qui se prépare pour le Vendée Globe 2028 - écoutant avec beaucoup d'attention le "taulier" Yoann Richomme, passé en tête de la course pendant la nuit !Enregistré en public le 12 novembre 2024 de 18h30 à 19h30Diffusé le 13 novembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 187e épisode est une nouvelle fois consacré au Vendée Globe, cette fois sous le prisme des designers, puisque les trois invités sont des architectes ayant participé à la conception de certains Imoca au départ, à savoir Antoine Koch, qui, avec le cabinet Finot-Conq, a dessiné Vulnerable de Thomas Ruyant et Paprec Arkéa de Yoann Richomme, Antoine Lauriot Prévost, qui a travaillé au sein du cabinet VPLP Design à la conception de Malizia-Seaexplorer (Boris Herrmann), et Sam Manuard, qui a notamment dessiné Charal 2 pour Jérémie Beyou.Nos trois invités commencent par évoquer leur état d'esprit, à quelques jours du départ de la 10e édition, tous ayant hâte de voir comment “leurs” bateaux respectifs vont se comporter. Antoine Koch raconte ensuite comment, après avoir été surtout navigant, il s'est lancé pour cette campagne dans la conception de Vulnerable et Paprec Arkéa, avec le cabinet Finot-Conq où il avait fait son stage de fin d'études d'architecture navale au début des années 2000.Sam Manuard explique quant à lui comment il a été sollicité par l'équipe de Jérémie Beyou avant même le coup d'envoi du Vendée Globe 2020, le premier Imoca qu'il a dessiné, l'ex L'Occitane d'Armel Tripon, ayant à l'époque marqué les esprits. Antoine Lauriot Prévost explique de son côté que VPLP Design a été contacté par Boris Herrmann à son retour du tour du monde avec un cahier des charges très précis.Tous les trois détaillent ensuite, comment, à partir d'un constat partagé à l'issue du précédent Vendée Globe - difficulté des foilers à garder des vitesses moyennes constantes dans les mers du Sud -, ils ont sorti des carènes finalement assez différentes, avec plus ou moins de “rocker” (arrondi) destiné à faciliter le passage dans la mer, certaines étant plus typées que d'autres, comme Malizia-Seaexplorer, clairement dessinée pour les mers australes.Après avoir évoqué les enseignements tirés sur les deux dernières années et les évolutions apportées aux bateaux sur lesquels ils ont travaillé, les trois architectes finissent par expliquer ce que pourrait être à leurs yeux un Imoca de génération 2028, dossier sur lequel ils planchent tous actuellement.Diffusé le 5 novembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 186e épisode de Pos. Report est de nouveau consacré à la dixième édition du Vendée Globe, cette fois sous le prisme des partenaires, puisque les deux invités sont Sébastien Petithuguenin, directeur général du groupe Paprec, co-partenaire titre avec Arkéa de Yoann Richomme, et Franck Vallée, président fondateur d'Initiatives, un des trois sponsors mécènes de Sam Davies.L'un comme l'autre commencent par revenir sur leur historique dans la voile et dans le Vendée Globe. Il a commencé pour Paprec en 2004 aux côtés de Jean-Pierre Dick, avec, avec d'entrée un modèle de co-partenariat titre - avec Virbac, puis Saint-Michel et maintenant Arkéa - “pour partager les coûts”, explique Sébastien Petithuguenin, en 2012 pour Initiatives avec Tanguy de Lamotte.Franck Vallée raconte comment s'est mis en place dès le début le dispositif autour de l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque qui permet de reverser un euro à celle-ci pour chaque nouveau follower sur les réseaux sociaux. Nos deux invités expliquent ensuite comment leurs partenariats respectifs ont évolué, avec des attentes de retombées particulières pour l'un comme l'autre - qui ne les mesurent d'ailleurs pas -, plus d'image dans une optique BtoB pour Paprec, liées à l'action de mécénat pour Initiatives.Ils détaillent également le fonctionnement des projets, celui de Paprec et Arkéa ayant évolué depuis le dernier Vendée Globe, puisque les deux partenaires ont décidé de créer une structure, Team Spirit Racing, dont ils sont copropriétaires pour accompagner Yoann Richomme, avec des objectifs ambitieux de résultats. Franck Vallée explique de son côté que si les partenaires de Sam Davies ont souhaité lui donner les moyens de ses ambitions, le résultat n'est pas la priorité absolue du projet.Nos deux invités finissent par évoquer l'avenir, partageant la conviction que le sponsoring voile doit s'inscrire dans le temps, d'où leur intention de poursuivre au-delà de ce Vendée Globe 2024.Diffusé le 29 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 185e épisode de Pos. Report reçoit deux marins qui prendront le départ, le 10 novembre, de leur troisième Vendée Globe, à savoir le tenant du titre, Yannick Bestaven, qui s'élancera sur Maître CoQ V, plan Verdier mis à l'eau en août 2022, et Romain Attanasio, 15e en 2016, 14e en 2020, qui sera quant à lui à bord de Fortinet Best-Western, plan VPLP Verdier mis à l'eau en août 2015.Les deux marins commencent par raconter leur arrivée aux Sables d'Olonne la semaine dernière, un moment toujours fort car il concrétise plusieurs années de travail, et particulièrement pour Romain Attanasio dans la mesure où il a été victime d'un démâtage en septembre lors du Défi Azimut. Ce dernier raconte la course contre la montre à laquelle il a été confronté avec son équipe, non seulement pour trouver un mât de remplacement, proposé par Maxime Sorel, mais surtout pour trouver le financement, de 480 000 euros.Nous effectuons ensuite un retour en arrière, nos deux invités expliquent comment, peu après le précédent Vendée Globe, ils ont décidé de repartir sur une troisième campagne, Romain Attanasio ayant racheté l'ancien Imoca de Boris Herrmann, Yannick Bestaven ayant fait le choix d'en construire un, mais dans des moules existants, en l'occurrence ceux de l'ex 11th Hour Racing Team. Ce dernier a choisi d'appliquer la même méthode, gagnante, que lors de son précédent Vendée Globe, à savoir peu faire évoluer le bateau, mais beaucoup naviguer pour le fiabiliser et bien le connaître.Ils reviennent ensuite sur leurs résultats au cours des trois années précédentes, évoquent leurs attentes sur cette édition 2024, et ils terminent par parler d'après-Vendée Globe : Yannick Bestaven souhaite se tourner vers le double et l'équipage, avec The Ocean Race en tête, avant de transmettre la barre à un marin qu'il aura formé pour l'édition 2028, Romain Attanasio se verrait bien repartir sur une quatrième campagne de suite, avec lui aussi pour ambition de proposer The Ocean Race à ses partenaires.Diffusé le 22 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 184e épisode de Pos. Report est consacré au Match de la 37e Coupe de l'America entre Ineos Britannia et Emirates Team New Zealand, décrypté par nos deux invités, Christian Karcher, six participations à la Coupe, dont trois victoires (deux avec Alinghi, une avec BMW Oracle) et Thierry Douillard, coach d'Orient Express Racing Team sur cette campagne 2024.Nous commençons d'ailleurs par évoquer l'actualité du défi français avec ce dernier, qui raconte comment l'AC75 tricolore a continué à naviguer après son élimination à l'issue des deux round robin de la Coupe Louis Vuitton, donc à progresser. Nous revenons avec les deux invités sur la campagne française, qui s'est achevée à la fin du deuxième round robin, avant d'évoquer la victoire d'Ineos Britannia sur les Italiens de Luna Rossa Prada Pirelli en finale de la Coupe Louis Vuitton, Thierry Douillard estimant notamment que le remplacement de Giles Scott par Dylan Fletcher comme deuxième barreur a été décisif.Nous décryptons ensuite les quatre manches disputées de samedi à lundi, avec pour l'instant un net avantage 4-0 au defender néo-zélandais qui, selon nos deux invités, se montre supérieur dans les phases de transition, bien plus efficace dans les relances en sortie de manœuvres. Christian Karcher explique comment Ineos Britannia s'est vu infliger une pénalité lors du pré-départ de la manche 3, injuste à ses yeux, Thierry Douillard détaille la manche 4, la plus serrée jusqu'ici avec un bon départ anglais, même si encore conclue par une victoire néo-zélandaise.Nous finissons par nous projeter sur la suite et fin de ce Match qui, selon Thierry Douillard, devrait se disputer dans des conditions météo encore assez faibles, donc plutôt favorables aux Kiwis, la solution par les Britanniques passant, selon les deux spécialistes de la Coupe, par de l'agressivité au départ et des progrès dans les transitions.Diffusé le 15 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 183e épisode de Pos. Report est consacré au Vendée Globe, à un mois du départ de la dixième édition, le 10 novembre 2024, en compagnie de deux skippers qui font partie des 15 bizuths, Guirec Soudée (Freelance.com) et Sébastien Marsset (Foussier).Les deux marins commencent par raconter dans quel état d'esprit ils sont, à un mois du départ, avant de revenir en détail sur leur campagne de préparation : ils détaillent ainsi comment leur est venue l'envie de faire le Vendée Globe, comment leur projet s'est concrètement mis en place, la course aux milles et les difficultés qu'ils ont rencontrées et surmontées, notamment financières pour Sébastien Marsset, plusieurs fois été proche de renoncer, faute de ressources.Ils expliquent ensuite comment ils ont fait évoluer leurs bateaux respectifs, deux plans Farr mis à l'eau en 2006 (Foussier) et 2007 (Freelance.com). Guirec Soudée a d'ailleurs peu modifié son Imoca (avec lequel Benjamin Dutreux avait fini 9e lors de l'édition précédente), préférant, au regard de son expérience limitée en matière de course au large, se consacrer à bien en apprendre les ficelles aux côtés de “professeurs”, comme Sébastien Audigane, Roland Jourdain ou Corentin Douguet.Les deux skippers finissent par évoquer leurs objectifs respectifs - finir bien évidemment, et si possible dans le paquet de tête du classement officieux des bateaux à dérives - et leur avenir : Sébastien Marsset a d'ores et déjà envie de remettre ça en 2028 avec un projet plus ambitieux, Guirec Soudée ne se voit quant à lui pas attendre quatre ans avant de repartir sur une navigation au long cours.Diffusé le 8 octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 182e épisode de Pos. Report revient sur la Unicredit Youth America's Cup, qui s'est terminée la semaine dernière à Barcelone avec le skipper de l'équipe française Orient Express L'Oréal Racing Team, Enzo Balanger, et Fabrice Levet, entraîneur des équipes jeunes et femmes du défi tricolore.Les deux invités commencent par raconter leurs parcours respectifs, entre passion précoce pour le foil pour le premier, grande expérience de la Coupe pour le second, qui a disputé quatre éditions en tant que navigant (la première en 1992), une comme coach, à chaque fois pour des défis français.Enzo Balanger revient sur la sélection par laquelle il a dû passer pour disputer la 3e édition de la Youth America's Cup, Fabrice Levet raconte comment, alors qu'il occupait un poste à responsabilité à l'ENVSN de Quiberon, il a accepté la proposition de Bruno Dubois de rejoindre Barcelone au printemps dernier. Il explique aussi comment il lui a fallu intégrer les spécificités de l'AC40 avant de réellement commencer à accompagner les équipes jeunes et femmes.Nous entrons ensuite dans le vif du sujet de cette édition qui ne s'est pas du tout passée comme prévu pour les Français qui, à cause de problèmes techniques sur leur AC40, n'ont pu courir que 3 manches sur 8 ! Ce qui les a privés finalement d'une qualification pour les demi-finales. D'où une grande frustration et un sentiment d'injustice pour Enzo Balanger, qui veut cependant positiver et retenir le meilleur de cette aventure de près d'un an.Nos deux invités finissent par parler d'avenir, à Quiberon dans l'immédiat pour Fabrice Levet qui va retrouver son poste à l'ENVSN, en Moth à foil pour Enzo Balanger qui disputera le Mondial en fin d'année en Nouvelle-Zélande.Diffusé le 1er octobre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 181e épisode de Pos. Report reçoit le skipper du Maxi Edmond de Rothschild, Charles Caudrelier, à quelques jours du départ de la deuxième édition de la Finistère Atlantique, course en équipage en Ultim, qui sera donné le 28 septembre de Concarneau à destination d'Antibes.Le vainqueur de l'Arkea Ultim Challenge-Brest commence par raconter comment il s'est remis de cette première autour du monde en solitaire en Ultim, confiant avoir vite retrouvé la motivation grâce à la perspective du futur Gitana 18, qui l'a bien occupé ces derniers mois (et continue à l'occuper).Il rentre ensuite dans les détails de ce trimaran actuellement en construction chez CDK, dont la mise à l'eau est prévue dans un an, annonçant quelques surprises, entre plateforme et appendices testés sur un simulateur interne, qui devraient, selon lui, permettre de franchir un pas important en termes de performances par rapport à l'actuel Maxi Edmond de Rothschild.Charles Caudrelier explique ensuite que depuis la remise à l'eau de ce dernier, en juillet, l'équipage a navigué une vingtaine de jours, équipage qu'il passe en revue, se réjouissant notamment d'accueillir à bord des regards neufs, avec Julien Villion et Benjamin Schwartz.Nous parlons ensuite de la deuxième édition de la Finistère Atlantique, le skipper du Maxi Edmond de Rothschild se réjouissant de retourner en Méditerranée, comme à l'époque des Orma. Il vise bien évidemment une nouvelle victoire (il avait remporté la première en juillet 2022), même s'il sait que la concurrence se rapproche, avec notamment un parcours qui pourrait, selon lui, favoriser SVR Lazartigue, plus léger.Nous finissons par parler d'avenir, le grand objectif à terme de Charles Caudrelier et du Gitana Team étant la défense de leur titre sur la Route du Rhum 2026. Et après ? Le skipper ne semble plus écarter une participation à la deuxième édition de l'Arkea Ultim Challenge-Brest, “à condition que l'envie soit là”.Diffusé le 24 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 180e épisode de Pos. Report refait le match de la Solitaire du Figaro Paprec 2024 en compagnie des trois marins qui ont terminé sur le podium de cette 55e édition, le vainqueur, Tom Dolan (Smurfit Kappa-Kingspan), son dauphin Loïs Berrehar (Skipper Macif 2022), et Gaston Morvan troisième à bord de Région Bretagne-CMB Performance.Tom Dolan commence par raconter, comment, après un week-end de festivités, il commence à réaliser, maintenant qu'il est chez lui dans son canapé, qu'il a remporté la Solitaire, seulement la troisième fois pour un étranger, après le Belge Joan de Kat en 1970 et le Suisse Laurent Bourgnon en 1988.Nous revenons ensuite dans le détail sur chacune des trois étapes : Loïs Berrehar, qui s'était fixé sur cette édition de remporter une étape, évoque sa satisfaction après sa victoire sur la première entre Rouen et Gijon, Tom Dolan et Gaston Morvan, ce dernier aux prises avec des problèmes d'aérien, confiant quant à eux leur soulagement d'avoir concédé très peu de temps aux premiers en Espagne.Les trois marins racontent ensuite le scénario du début de la deuxième étape, avec une option ouest puis nord-ouest le long des côtes espagnoles pour Tom Dolan, qui va lui permettre de créer un décalage décisif, puisque synonyme de victoire à Royan, de première place au général et de grands écarts avant la dernière étape.Mais également de “boule au ventre” pour l'Irlandais au matin du départ de ces 705 milles vers La Turballe, focalisé sur la nécessité de ne pas concéder plus de 10 milles de retard sur Gaston Morvan. Cette étape va donner lieu à une traversée de la Manche d'anthologie et un violent passage de front au sud de l'Angleterre, que racontent Loïs Berrehar et Gaston Morvan, alors en tête avec Basile Bourgnon.Le Skipper Macif 2022 va finalement s'imposer, signant une seconde victoire d'étape, pour terminer deuxième au général derrière Tom Dolan, qui ne comprend qu'au passage de la ligne qu'il remporte cette 55e édition.Après avoir dressé un bilan positif de leur course - leur meilleur résultat -, les trois marins finissent par se projeter sur leur avenir : si Tom Dolan compte défendre son titre en 2025, Gaston Morvan vise le Vendée Globe 2028, tandis que Loïs Berrehar, skipper remplaçant de Charlie Dalin sur l'édition 2024 de la course autour du monde, a très envie de Route du Rhum 2026 en multicoque.Diffusé le 17 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 179e épisode de Pos. Report est consacré à la 14e édition du Défi Azimut Lorient Agglomération, qui commence le mardi 10 septembre et s'achève le dimanche 15, avec Antoine Mermod, président de la classe Imoca, et Nicolas Lunven, l'un des 20 marins en lice, à bord de Holcim PRB.Nos deux invités commencent par expliquer comment ils perçoivent cet événement, inclus au programme des Imoca Globe Series et très prisé des skippers et de leurs partenaires, sorte de rentrée des classes à deux mois de la grande course de l'automne, le Vendée Globe cette année.Nous faisons ensuite un retour en arrière avec Nicolas Lunven sur ses derniers mois, le skipper de Holcim PRB revenant dans le détail sur sa double avarie de bout-dehors rencontrée sur The Transat CIC puis la New York Vendée, ce qui ne l'a pas empêché de tirer de précieux enseignements de ces deux courses. Antoine Mermod, s'il reconnaît que l'enchaînement des deux transats en solitaires est engagé et peut prêter à discussion, estime qu'il permet aux skippers et à leurs équipes de bien préparer l'échéance qu'est le Vendée Globe six mois plus tard.Nicolas Lunven poursuit en détaillant le chantier d'été sur son plan Verdier, qui a accueilli une nouvelle paire de foils, comme bon nombre de “top teams”, d'où une inflation de la construction de ces appendices, que commente Antoine Mermod. Ce dernier évoque au passage la jauge Imoca 2028, dont "la version zéro" a été adoptée, avec notamment un nouveau mât, plus solide, et un objectif de réduction de l'impact carbone des nouvelles constructions de 15%.Nicolas Lunven, que le président de la classe Imoca place "dans le top 5" des favoris pour le prochain Vendée Globe, finit par évoquer ses attentes sur le Défi Azimut Lorient Agglomération et ses ambitions sur le tour du monde, refusant pour l'instant de voir au-delà, sachant que la Néerlandaise Rosalin Kuiper prendra en 2025 la barre de Holcim PRB.Diffusé le 10 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 178e épisode de Pos. Report reçoit Damien Seguin, skipper de l'Imoca Groupe Apicil, pour évoquer avec lui les Jeux paralympiques de Paris 2024 et sa participation, à partir du 10 novembre, à son deuxième Vendée Globe consécutif.Notre invité commence par raconter comment il a été invité, 48 heures avant l'événement, par Tony Estanguet, président du Comité d'organisation, à porter le drapeau olympique lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques, un grand honneur pour celui qui fête ce 3 septembre ses 45 ans.Il explique ensuite le rôle “de grand frère” qu'il a tenu pendant une semaine au village olympique auprès des athlètes de l'équipe de France et l'histoire particulière qui le lie au jeune nageur Hector Denayer, médaillé d'argent en natation, rencontré il y a 14 ans à Saint-Malo au départ de sa première Route du Rhum !Damien Seguin revient sur la manière dont il a dû forcer les portes pour se faire accepter comme un sportif à part entière à ses débuts en course au large, confiant sa fierté d'être considéré aujourd'hui par ses pairs comme un adversaire comme les autres. Il explique enfin son rôle, aux côtés de World Sailing, pour tenter de réintroduire la voile au programme des Jeux paralympiques.Nous ouvrons ensuite la page Imoca. Celui qui a grandi en Guadeloupe revient sur ses récents résultats, expliquant que les trois transats qu'il a courues depuis un an ont été “des courses de travail” destinées à valider et fiabiliser le gros chantier d'optimisation effectué lors de l'hiver 2022/2023 sur Groupe Apicil, l'ex Maître CoQ IV vainqueur du dernier Vendée Globe.Il détaille les derniers préparatifs de son deuxième Vendée Globe qu'il aborde, confie-t-il, avec une appréhension différente que le premier, terminé à la 7e place, mais pas forcément moins importante dans la mesure où il connaît la difficulté de la tâche. Son objectif ? Se mêler à la bagarre en tête, Damien Seguin finissant cet épisode en évoquant un avenir qu'il voit, quoi qu'il arrive, toujours en course au large.Diffusé le 3 septembre 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pos Report fait une courte pause aoûtienne et propose les 20 et 27 août de réécouter deux épisodes de la saison 2023/2024. Retour ce mardi sur le #169, enregistré le 18 juin dernier, avec comme invités les deux barreurs de l'AC75 du défi français Orient Express Racing Team, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet.--Ce 169e épisode reçoit Quentin Delapierre et Kevin Peponnet pour parler du circuit SailGP, puisqu'ils s'apprêtent à participer avec l'équipe française au 12e et avant-dernier Grand Prix de la saison 4, du 22 au 24 juin à New York, mais aussi de Coupe de l'America, nos invités étant les deux barreurs de l'AC75 du défi tricolore Orient Express Racing Team, baptisé à Barcelone le 29 mai.Nous commençons par SailGP et un retour sur les deux derniers Grands Prix, aux Bermudes puis à Halifax, avec à l'arrivée deux performances opposées pour les Français, 9e et 2e. 4e au général avant d'arriver à New York, une première pour nos deux invités, l'équipe tricolore compte, selon Quentin Delapierre, savourer le moment, car cela n'arrive pas tous les jours de courir en F50 entre Manhattan et la statue de la Liberté, mais également performer pour rester dans la course à la Super Finale à trois, programmée le 15 juillet à San Francisco.Nous ouvrons ensuite une page Coupe de l'America, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet décrivant les sensations de légèreté et de puissance ressenties lors des premières navigations à Barcelone à bord de l'AC75 d'Orient Express Racing Team. Ils détaillent ensuite comment sont répartis les rôles, entre les quatre régleurs (dont les deux barreurs) et les cyclistes, dont la mission est de produire l'énergie hydraulique pour faire fonctionner tous les systèmes.Nos deux invités nous racontent comment fonctionne le “Recon”, système mis en place par l'organisation qui permet d'avoir accès aux photos et vidéos des équipes concurrentes et nous proposent une revue des six AC75 qui disputeront la 37e Coupe, Quentin Delapierre estimant que la France “n'a jamais eu un aussi bon bateau”. Reste à trouver les bonnes clés pour le faire fonctionner rapidement, le timing étant serré jusqu'au coup d'envoi de la Coupe Louis Vuitton (éliminatoires entre les cinq challengers), le 29 août prochain.Diffusé le 18 juin 2024Rediffusé le 27 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pos Report fait une courte pause aoûtienne et propose les 20 et 27 août de réécouter deux épisodes de la saison 2023/2024. A commencer par le #157 qui, le 26 mars dernier, recevait Bruno Dubois, cofondateur de K-Challenge, l'occasion d'évoquer avec lui l'équipe de France de SailGP et le défi Orient Express Racing Team pour la Coupe de l'America.--Ce 157e épisode de Pos. Report reçoit Bruno Dubois, manager de l'équipe française de SailGP, mais également cofondateur et codirecteur d'Orient Express Racing Team, le défi français pour la 37e Coupe de l'America.Nous commençons par évoquer la récente deuxième place de France SailGP Team lors du neuvième Grand Prix de la saison 4 de SailGP à Christchurch (Nouvelle-Zélande), Bruno Dubois se réjouissant de voir l'équipe de Quentin Delapierre, après un début de saison difficile, décrocher son meilleur résultat sur cet exercice 2023/2024.L'objectif est de continuer sur cette lancée pour décrocher une place en Super Finale à l'issue du dernier Grand Prix de la saison à San Francisco, mi-juillet, donc de terminer parmi les trois premiers au classement général, la France étant pour l'instant quatrième.Bruno Dubois estime primordiale la participation au circuit SailGP dans la perspective de la 37e Coupe de l'America dans la mesure où elle permet à Quentin Delapierre, également skipper d'Orient Express Racing Team, de regarder les yeux dans les yeux des adversaires, comme Ben Ainslie ou Peter Burling, qu'il a appris à démystifier.Nous ouvrons justement une page Coupe de l'America : le cofondateur du défi fait un point d'étape, entre navigations à Barcelone sur l'AC40, désormais configuré en LEQ 12 (bateau de développement), construction sur le point de se terminer de l'AC75 (à partir du design package acheté à Emirates Team New Zealand) chez Multiplast à Vannes, essais en simulateur pour les équipes jeunes et féminines.Diffusé le 26 mars 2024Rediffusé le 20 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 177e épisode de Pos. Report, notre dernier consacré aux Jeux olympiques de Paris 2024, reçoit Philippe Mourniac, directeur de l'équipe de France de voile olympique et Charline Picon, médaillée de bronze en 49 FX avec Sarah Steyaert. Avec eux, nous tirons les enseignements de ces Jeux Olympiques disputés à Marseille. Avec deux médailles – en deçà des trois glanées à Tokyo en 2021- Philippe Mourniac admet une « déception, une frustration pour les athlètes ». Le patron de l'équipe de France veut prendre le temps de l'analyse : pas d'excuses à chercher du côté de la météo marseillaise. Pour lui, le site « était un très bon choix ». Il rend hommage à Charline Picon / Sarah Steyaert et à Lauriane Nolot, ces filles qui sont allées arracher « deux médailles sur dix distribuées ». Après l'or à Rio (2016) et l'argent à Tokyo en (2021) en planche, la Rochelaise est devenue la Française la plus titrée de l'histoire de la voile dans les Jeux : elle raconte comment elle peine à réaliser, et la façon dont elle a vécu les Jeux à Marseille en partageant sa chambre avec Lauriane Nolot, l'obligeant à se coucher tôt… comme elle l'aurait fait pour sa propre fille : Mama Team jusqu'au bout ! Consciente de son nouveau statut, elle va laisser la compétition derrière elle et se consacrer à des projets familiaux : un tour du monde à la voile avec son futur mari et Lou, leur fille de 7 ans. Si le Cap Vert et les Antilles sont d'abord au programme, peut-être bouclera-t-elle la boucle à Marseille où l'engouement pour la voile était inédit avec plus de 10 000 spectateurs chaque jour. « Sur le plan héritage, toutes les nations s'accordent pour dire que la Marina Olympique est une pure merveille, cet écrin restera l'un des centres d'entraînement de l'équipe de France », estime Philippe Mourniac. Diffusé le 13 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant les Jeux Olympiques, Pos. Report est exceptionnellement enregistré le mardi soir et mis en ligne le mercredi pour ne pas être en décalage avec l'actualité des Jeux Olympiques, auxquels le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft est consacré.Pour ce 176e épisode, nous revenons sur les derniers jours de compétition à Marseille en compagnie de la spécialiste d'ILCA 6 (ex-Laser Radial), Marie Barrué, et de l'ancien planchiste Louis Giard, qui commente les épreuves pour la plateforme Eurosport Max.Avec eux, nous passons les différentes séries en revue avec un focus sur les résultats de l'équipe de France, de la médaille de bronze en 49er FX de Charline Picon et Sarah Steyaert, aux déceptions tricolores en 49er (Erwan Fischer et Clément Péquin 12e), ILCA 7 (12e place pour Jean-Baptiste Bernaz pour ses cinquièmes Jeux), iQFoil (15e place pour Nicolas Goyard) ou 470 (pas de médaille pour Camille Lecointre et Jérémie Mion avant la medal race).Marie Barrué commente en particulier la semaine de Louise Cervera (8e avant la medal race, la médaille n'étant pas non plus accessible), avec laquelle elle était en concurrence pour la sélection et qu'elle a accompagnée jusqu'au 22 juillet en tant que partenaire d'entraînement en vertu d'un “pacte” que les deux jeunes femmes avaient fait au début de l'olympiade.Le bilan français repose du coup sur les épaules des “kiters” Lauriane Nolot et Axel Mazella, encore en course pour la médaille, nos deux invités se montrant confiants sur leurs chances de monter sur le podium.Diffusé le 7 août 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant les Jeux olympiques, Pos. Report est exceptionnellement enregistré le mardi soir et mis en ligne le mercredi pour ne pas être en décalage avec l'actualité des Jeux Olympiques, auxquels le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft est consacré. Au programme, un débrief détaillé de la compétition en compagnie d'experts présents à Marseille, où se déroulent les épreuves de voile.Pour ce 175e épisode, Pierre Le Coq, médaillé de bronze en planche RS:X aux Jeux de Rio en 2016, et Emile Amoros, 14e avec Lucas Rual des JO de Tokyo il y a trois ans en 49er, analysent les trois premiers jours de compétition. Ils commencent par évoquer l'ambiance sur le site, à laquelle Pierre Le Coq contribue largement, puisqu'il est justement “leader d'ambiance”, chargé par le Comité national olympique et sportif français, d'accompagner les supporters de l'équipe de France.Nous détaillons ensuite avec eux les quatre épreuves qui ont commencé depuis dimanche, et notamment les excellentes performances de Charline Picon et Sarah Steyaert, deuxièmes au classement en 49er FX alors qu'il ne reste que trois manches puis la Medal Race. Nous évoquons également les 49er, Emile Amoros estimant que Clément Péquin et Erwan Fischer, malgré leur 8e place, ont encore toutes leurs chances de médaille, puis la planche iQFoil, support que Pierre Le Coq présente avant d'en détailler le format, différent des autres disciplines.Diffusé le 31 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 174e épisode inaugure une série de quatre consacrés aux Jeux olympiques de Paris 2024 qui, pour la voile, se déroulent du 28 juillet au 8 août à Marseille. Nos trois invités sont Jonathan Lobert, médaillé de bronze en Finn en 2012 à Londres, Aude Compan, 6e des JO de Rio en 2016 en 49er FX aux côtés de Sarah Steyaert, et Julien d'Ortoli, 5e de ces mêmes Jeux de Rio en 49er avec Noé Delpech.Tous les trois commencent par raconter comment ils vont vivre ces Jeux, Jonathan Lobert et Julien d'Ortoli étant notamment consultants, pour France Télévisions pour le premier, Eurosport pour le second. Comme Aude Compan (avec Mathilde Lovadina), ce dernier a tenté sur cette olympiade de décrocher dans sa série le seul ticket accordé à la France, tous les deux reviennent sur ces trois ans et sur leur non-sélection, qu'ils ont bien acceptée.Au point d'accepter de devenir partenaires d'entraînement des deux duos retenus - Erwan Fischer/Clément Péquin en 49er, Charline Picon/Sarah Steyaert en FX. Jonathan Lobert explique en quoi consiste ce rôle, Julien d'Ortoli et Aude Compan détaillent ce qu'ils ont travaillé en particulier ces dernières semaines.Nos trois invités reviennent ensuite sur leurs participations respectives aux Jeux et racontent comment ils ont vécu la semaine précédant l'événement, entre hâte d'y aller, participation à la cérémonie d'ouverture et nécessité, pour Aude Compan, se “mettre dans une bulle” pour se couper de l'environnement ambiant, particulier sur les Jeux.Nous évaluons ensuite avec ces spécialistes de la voile olympique les chances de médailles françaises, Aude Compan n'hésitant pas à voir très haut ! Nos invités finissent par évoquer leur avenir, jamais très loin de la voile, mais, pour cette dernière, un changement de cap puisqu'elle envisage de devenir professeure des écoles.Diffusé le 23 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 173e épisode refait le match en Class40 de la Transat Québec Saint-Malo, en compagnie du vainqueur, Achille Nebout (Amarris), du deuxième, Fabien Delahaye (Legallais) et d'Amélie Grassi, qui a pris la quatrième place sur La Boulangère Bio.Nos trois invités commencent par raconter la descente du Saint-Laurent, expliquant comment ils ont profité du spectacle, que deux d'entre eux découvraient (Fabien Delahaye avait déjà couru la transat en 2016), tout en étant concentrés sur la navigation qui, sur le fleuve, nécessite beaucoup de vigilance et de réglages.Ils évoquent ensuite le changement de mode en sortie de Saint-Laurent, Fabien Delahaye décrivant comment on passe de conditions estivales à un décor très différent, avec du froid et la brume typique de Terre-Neuve. Amélie Grassi détaille quant à elle la délicate opération de débarquement de Claudia Conti, blessée au thorax, une opération qui a pompé pas mal d'énergie à l'équipage de La Boulangère Bio et l'a obligé à se réorganiser.Achille Nebout et Fabien Delahaye enchaînent en expliquant l'option sud qui a été la leur au moment d'attaquer la traversée de l'Atlantique proprement dite, un choix à leurs yeux moins risqué que celui suivi par les nordistes, comme Crédit Mutuel et Alla Grande Pirelli. Achille Nebout raconte ensuite la perte d'un de ses deux safrans, la décision prise, après avoir songé à l'abandon, de continuer la course et de transborder le safran restant de bâbord à tribord.Les trois marins continuent de dérouler le fil de la course avec un regroupement général à l'approche des côtes bretonnes, forcément moins bien vécu à bord de Legallais, qui occupait la tête de course depuis quatre jours et l'a finalement perdue à Ouessant au profit d'Amarris, parvenu à la conserver jusqu'au bout. A l'arrivée, Achille Nebout confie sa joie de remporter l'épreuve, nos trois invités finissant par évoquer la suite de leur saison, en Ultim pour Amélie Grassi, sur la Normandy Channel Race pour Fabien Delahaye, la Med Max pour Achille Nebout.Diffusé le 16 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 172e épisode reçoit deux invités qui, le lundi 15 juillet, prendront le départ de la cinquième édition de la Drheam-Cup, Eric de Turckheim, propriétaire et skipper du monocoque de 54 pieds Teasing Machine, inscrit en IRC équipage, et Marc Guillemot, qui s'alignera à bord de son catamaran Wellness Training/MG5 en classe Multi 2000.L'un comme l'autre commencent par présenter leurs bateaux respectifs, Eric de Turckheim expliquant comment, l'an dernier, Teasing Machine a subi une cure d'amaigrissement, ce qui qui permet d'être beaucoup plus performant, tandis que Marc Guillemot raconte la genèse de son catamaran, mis à l'eau en 2021 et à bord duquel il a terminé troisième de la dernière Route du Rhum en classe Multi Rhum et qui accueille aussi des séminaires d'entreprises.Nos deux invités détaillent le fonctionnement de leurs projets respectifs et leur programme de navigation, qui passe par les courses antillaises l'hiver et, notamment pour Eric de Turckheim, par une grande partie des courses du Royal Ocean Racing Club (Rorc), dont il a été vice-commodore jusqu'en fin d'année dernière.Nous ouvrons ensuite le chapitre Drheam-Cup, une course que les deux marins apprécient pour son organisation et un parcours varié, et qui accueille cette année une grosse flotte en double, notamment britannique, mais également une dizaine de Sun Fast 30 One Design. Eric de Turckheim en profite pour évoquer la genèse de ce projet, il enchaîne en racontant la renaissance de l'Admiral's Cup qui fera son retour dans un an, à Cowes.Nous finissons par parler d'avenir, Marc Guillemot espère disputer sa septième Route du Rhum en 2026 si l'organisateur accepte son bateau, ce qui ne semble pas le cas aujourd'hui, tandis qu'Eric de Turckheim confie qu'il a “fait une folie” en acquérant un TP52, l'ancien Gladiator, avec l'objectif de s'aligner sur plusieurs épreuves des 52 Super Series.Diffusé le 9 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 171e épisode reçoit Aloïse Retornaz et Audrey Ogereau, qui, du 5 au 13 octobre prochains, disputeront sous les couleurs françaises d'Orient Express L'Oréal Racing Team la toute première Coupe de l'America féminine de l'histoire.L'une comme l'autre expliquent comment, après avoir fait de la voile olympique (470 pour Aloïse Retornaz, médaillée de bronze aux JO de Tokyo avec Camille Lecointre, Nacra 17 pour Audrey Ogereau), elles ont décidé de postuler pour intégrer le défi français, retenues fin 2023 après une phase de sélection.Elles racontent ensuite la découverte de l'AC40, d'abord sur simulateur, ensuite sur l'eau à Barcelone, et le fonctionnement à bord, forcément très différent de ce qu'elles ont connu sur leurs supports précédents, Audrey Ogereau occupant le poste de barreuse, Aloïse Retornaz, qui est l'une des deux membres de l'équipe à 100% sur le projet (avec la skippeuse Manon Audinet), de régleuse.Audrey Ogereau détaille une journée type sur la base de Barcelone, Aloïse Retornaz évoque le programme qui attend l'équipe française d'ici le coup d'envoi de la Puig Women's America's Cup le 5 octobre et explique comment elles sont entourées pour la préparation de l'épreuve.Audrey Ogereau termine en racontant comment, avant de se lancer sur la Coupe, elle a découvert l'univers de l'Ocean Fifty auprès d'Erwan Le Roux, avec une première expérience en novembre dernier sur la Transat Jacques Vabre (abandon) et une future participation à la Route du Rhum 2026.Diffusé le 2 juillet 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 170e, consacré aux Ocean Fifty Series, dont l'Act 2 a eu lieu du 19 au 23 juin en baie de Pornichet-La Baule, reçoit Sébastien Rogues (Primonial) et Thibaut Vauchel-Camus (Solidaires en Peloton), respectivement vainqueur et troisième de cette épreuve.Thibaut Vauchel-Camus, président de la classe Ocean Fifty depuis la fin d'année dernière, commence par expliquer comment il a fallu trouver en urgence des solutions, en janvier, pour bâtir un calendrier après l'arrêt de la collaboration avec Upswing Prod, qui organisait les années précédentes le Pro Sailing Team.Nos deux invités détaillent ensuite ce programme 2024, avec trois Acts en forme de Grand Prix (Saint-Malo, La Baule, Sainte-Maxime) et deux nouvelles courses, la Route des Terre-Neuvas, entre Saint-Pierre-et-Miquelon et la baie de Saint-Brieuc (départ le 17 août), et la Med Max (Port-Camargue-Saïda, au Maroc), qui s'élancera le 29 septembre.Ils évoquent également le succès d'une classe qui accueille aujourd'hui dix équipes et qui, face à la demande, a accepté de relever le numerus clausus de dix à douze bateaux, limite qu'ils ne souhaitent pas dépasser.Les deux marins racontent ensuite comment s'est déroulé l'Act 2 de La Baule, avec des conditions de rêve sur le parcours offshore d'une douzaine d'heures, remporté sur le fil par Primonial qui, selon Sébastien Rogues, “aura passé vingt secondes en tête, mais les bonnes”. L'ouverture du circuit aux femmes - un équipage 100% féminin est engagé cette année, celui d'Upwind by MerConcept - est un autre thème abordé, nos invités finissant par parler de la riche actualité vélique à venir, entre Jeux olympiques, Coupe de l'America et Vendée Globe.Diffusé le 25 juin 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 169e épisode reçoit Quentin Delapierre et Kevin Peponnet pour parler du circuit SailGP, puisqu'ils s'apprêtent à participer avec l'équipe française au 12e et avant-dernier Grand Prix de la saison 4, du 22 au 24 juin à New York, mais aussi de Coupe de l'America, nos invités étant les deux barreurs de l'AC75 du défi tricolore Orient Express Racing Team, baptisé à Barcelone le 29 mai.Nous commençons par SailGP et un retour sur les deux derniers Grands Prix, aux Bermudes puis à Halifax, avec à l'arrivée deux performances opposées pour les Français, 9e et 2e. 4e au général avant d'arriver à New York, une première pour nos deux invités, l'équipe tricolore compte, selon Quentin Delapierre, savourer le moment, car cela n'arrive pas tous les jours de courir en F50 entre Manhattan et la statue de la Liberté, mais également performer pour rester dans la course à la Super Finale à trois, programmée le 15 juillet à San Francisco.Nous ouvrons ensuite une page Coupe de l'America, Quentin Delapierre et Kevin Peponnet décrivant les sensations de légèreté et de puissance ressenties lors des premières navigations à Barcelone à bord de l'AC75 d'Orient Express Racing Team. Ils détaillent ensuite comment sont répartis les rôles, entre les quatre régleurs (dont les deux barreurs) et les cyclistes, dont la mission est de produire l'énergie hydraulique pour faire fonctionner tous les systèmes.Nos deux invités nous racontent comment fonctionne le “Recon”, système mis en place par l'organisation qui permet d'avoir accès aux photos et vidéos des équipes concurrentes et nous proposent une revue des six AC75 qui disputeront la 37e Coupe, Quentin Delapierre estimant que la France “n'a jamais eu un aussi bon bateau”. Reste à trouver les bonnes clés pour le faire fonctionner rapidement, le timing étant serré jusqu'au coup d'envoi de la Coupe Louis Vuitton (éliminatoires entre les cinq challengers), le 29 août prochain.Diffusé le 18 juin 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 168e épisode reçoit Charlie Dalin, vainqueur le samedi 8 juin à 23h44 de la New York Vendée-Les Sables d'Olonne, dernière course qualificative pour le Vendée Globe.Nous commençons par un retour en arrière, en évoquant The Transat CIC, partie fin avril de Lorient et dont le skipper de Macif Santé Prévoyance avait pris la quatrième place. Un résultat “frustrant” pour celui qui se faisait fort jusque-là d'avoir toujours terminé sur le podium des courses Imoca auxquelles il avait participé, et qu'il met sur le compte d'avoir été un peu “rouillé”, faute d'avoir couru fin 2023 la Jacques Vabre et Retour à La Base (pour problème médical). D'où un gros vrac en milieu de course qui l'a conduit, enjeu de qualification pour le Vendée Globe oblige, à être plus prudent sur la fin.Sa qualification en poche après cette transat aller, le Havrais explique avoir abordé la New York Vendée dans un tout autre esprit, décidé à tirer très fort sur son plan Verdier, quitte à casser. Ce qui n'a pas été le cas, même s'il confie avoir été particulièrement secoué sur un long bord dans une mer très cassante provoquée par le courant du Gulf Stream.Il raconte ensuite en détail le moment clé de la course, le passage d'un talweg dépressionnaire dont il a été le seul, avec Boris Herrmann, à échapper, au prix d'efforts intenses et de pas mal de frayeurs de se faire happer, ce qui a été le cas de ses poursuivants. Charlie Dalin commente l'option nord de l'Allemand, qu'il estimait de son côté trop risquée, et confie sa satisfaction de remporter cette New York Vendée, qui lui permet de se rassurer et de marquer le coup vis-à-vis de la concurrence à cinq mois du départ du Vendée Globe. Il finit par détailler son programme d'ici le 10 novembre, avec notamment de nouvelles optimisations sur son bateau prévues lors du chantier d'été.Diffusé le 11 juin 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.