POPULARITY
Non, ce n'est pas un scénario de science-fiction. Et pourtant, en 2025, une start-up américaine de génie génétique, Colossal Biosciences, affirme avoir réussi l'impensable : ressusciter une créature disparue depuis des millénaires, le loup terrible ou Canis dirus. Ce prédateur emblématique de l'Amérique du Nord, plus massif que le loup gris et rendu célèbre par la série Game of Thrones, a disparu il y a plus de 10.000 ans. Mais trois petits louveteaux blancs, prénommés Remus, Romulus et Khaleesi, viennent tout juste de voir le jour en laboratoire. Alors… miracle ou manipulation ?Tout commence par une dent vieille de 13.000 ans et un fragment de crâne datant de 72.000 ans. Grâce à ces fossiles, les scientifiques ont pu extraire de l'ADN ancien, un exploit en soi. En comparant ce patrimoine génétique à celui du loup gris actuel, les chercheurs ont identifié les différences clés qui caractérisaient le loup terrible. Résultat : 20 modifications génétiques ont été apportées dans 14 gènes du loup gris. Ensuite, les cellules modifiées ont été clonées, puis implantées dans des ovules de chiens domestiques. Et ça a marché.Mais attention, ces animaux ne sont pas des copies exactes du Canis dirus. Comme le souligne la paléontologue Julie Meachen, ce sont des créatures nouvelles, génétiquement proches, mais pas identiques. L'objectif de Colossal n'est pas de recréer des espèces à 100 %, mais de produire des individus « fonctionnels », c'est-à-dire ressemblants, capables d'évoluer dans un environnement donné.Pourquoi faire cela ? Selon Colossal, il s'agit de repousser les limites de la biologie pour mieux préserver la biodiversité. En ressuscitant des espèces éteintes, ils espèrent aussi sauver celles qui sont en voie de disparition. Par exemple, ils ont déjà cloné quatre loups rouges, une espèce menacée. Et ils ambitionnent désormais de ramener à la vie le mammouth laineux d'ici 2028, ainsi que le dodo ou le tigre de Tasmanie.Mais ce projet fascine autant qu'il inquiète. Quel rôle joueraient ces nouveaux animaux dans nos écosystèmes ? Seront-ils vraiment utiles ? Ou risquent-ils de perturber des équilibres fragiles ? Le professeur Christopher Preston, spécialiste de philosophie environnementale, met en garde : « Il est difficile d'imaginer que des loups géants soient relâchés un jour dans la nature. »Finalement, la science montre ici qu'elle en est capable. Mais la grande question demeure : faut-il vraiment ressusciter le passé ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Imaginez produire du vin dans la zone habitée la plus proche de l'Antarctique. C'est le défi que ce sont lancés les viticulteurs de Tasmanie, avec succès tant leurs vins sont aujourd'hui reconnus parmi les meilleurs d'Australie.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du journal des animaux, le professeur Sapions s'est rendu en Australie où il a rencontré une sorte de mini kangourou : le bettong à queue touffue ! Dans la rubrique donne ta langue au chat nous allons répondre à l'effrayante question d'une petite auditrice sur le diable de Tasmanie ! Et bien sûr le professeur répondra à la super question d'un de nos petits auditeurs ...sur l'amouuuuuuuur à l'occasion de la Saint Valentin !!! Un podcast d'Ambre Gaudet avec Tristan de la Fléchère.Mis en son et mixé par Morgane PeyrotRetrouvez tous nos podcasts sur maisondupodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode du journal des animaux, le professeur Sapions s'est rendu en Australie où il a rencontré une sorte de mini kangourou : le bettong à queue touffue ! Dans la rubrique donne ta langue au chat nous allons répondre à l'effrayante question d'une petite auditrice sur le diable de Tasmanie ! Et bien sûr le professeur répondra à la super question d'un de nos petits auditeurs ...sur l'amouuuuuuuur à l'occasion de la Saint Valentin !!! Un podcast d'Ambre Gaudet avec Tristan de la Fléchère.Mis en son et mixé par Morgane PeyrotRetrouvez tous nos podcasts sur maisondupodcast.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme toujours, nous commencerons notre émission par une discussion sur l'actualité. Sans surprise, nous parlerons beaucoup du président Trump, qui vient de prêter serment pour la deuxième fois. Son second mandat présidentiel aura très probablement des effets profonds, au niveau national et international. Nous aborderons également les différences qu'il y a entre les Américains qui ont voté pour le programme de Trump et ceux qui soutiennent l'homme lui-même. Dans l'article scientifique de la semaine, nous nous intéresserons au projet visant à ressusciter des espèces disparues telles que le mammouth laineux, le dodo et le tigre de Tasmanie. Et dans la partie culturelle de l'émission, nous reviendrons sur notre thème principal de la semaine, le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en nous concentrant sur la nomination des acteurs Sylvester Stallone, Mel Gibson et Jon Voight en tant qu'envoyés spéciaux à Hollywood. Le dialogue grammatical sera rempli d'exemples du point de la semaine : Interrogative Pronouns and Adjectives: Quel, quelle, quels, quelles, lequel, laquelle, lesquels and lesquelles. Et notre dernier dialogue illustrera l'utilisation de l'expression française « aller comme un gant ». - Le président Donald Trump prête serment pour la deuxième fois - De nombreux Américains soutiennent les politiques de Trump même s'ils n'apprécient pas l'homme qu'il est - Des scientifiques reçoivent des fonds pour ressusciter des espèces disparues comme le mammouth laineux et le dodo - Donald Trump nomme Stallone, Gibson et Voight ambassadeurs d'Hollywood - Quelles sont les causes de la baisse de la natalité en France ? - La France croule sous les vêtements usagés à cause de la fast fashion
Lydie Lescarmontier est glaciologue et l'auteure de "la Voix des Pôles" un livre sorti en février 2021. Après 10 ans de terrain et de recherche en Antarctique, elle travaille aujourd'hui dans une fondation de l'UNESCO, l'office pour l'éduction au climat.Le "personnage" de son livre que je préfère est l'Astrolabe, un navire polaire français qui a assuré pendant 30 ans la logistique de la Terre Adélie en Antarctique et celle des missions scientifiques françaises dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF).Il assurait ses rotations pendant l'été austral vers la base Dumont d'Urville depuis le port de Hobart en Tasmanie jusqu'à début 2017. Le navire a repris le nom de deux navires de célèbres explorateurs français, L'Astrolabe de La Pérouse et L'Astrolabe de Dumont d'Urville. Ce bateau de 65m peut transporter 48 passagers dans treize cabines.©Lydie Lescarmontier______Ces épisodes sur les pôles et les glaces sont complémentaires de ceux sur les icebergs, avec Olivier Rémaud :https://bit.ly/iceberg4_BSGhttps://bit.ly/iceberg3_BSGhttps://bit.ly/iceberg2_BSGhttps://bit.ly/iceberg1_BSG_______
L'illustratrice de livres pour enfants et designer graphique Rachel Tribout raconte son parcours en Australie. Sa fascination pour l'océan, la Tasmanie, son imagination débordante... Elle se livre sur son métier et évoque ses futurs projets.
Nous sommes le samedi 21 décembre 2024. Le départ du Vendée Globe a été donné il y a 40 jours exactement. Alan Roura est au large de la Tasmanie. Le marin genevois donne de ses nouvelles et nous explique comment il s'apprête à passer les fêtes seul en mer.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Joëlle Dago Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy.
Dans cet épisode pépite, je vous propose de plonger dans l'incroyable histoire de Sarah Marquis, exploratrice pour National Geographic qui a parcouru l'équivalent du tour de la Terre à pied en solo. De la Sibérie à l'Australie, des sommets des Andes aux forêts de Tasmanie, cette aventurière suisse nous raconte ses expéditions les plus marquantes et nous livre sa vision unique de la connexion avec la nature.Vous verrez comment cet enfant "sauvage" qui construisait des cabanes dans les forêts du Jura est devenue une exploratrice de renommée internationale. Elle nous raconte comment elle a survécu face aux crocodiles et aux grizzlis, mais aussi ses rencontres touchantes avec les femmes d'Asie ne parlant pas sa langue, et nous emmène au cœur de situations extrêmes, comme cette évacuation mémorable en hélicoptère en Tasmanie.Plus qu'un simple récit d'aventures, Sarah nous partage sa philosophie de vie où l'instinct et l'animalité reprennent leurs droits. Sarah nous prouve comment l'aventure peut être un état d'esprit quotidien et nous rappelle notre connexion essentielle avec la nature. Une invitation au voyage qui questionne notre rapport au monde moderne et notre capacité à nous émerveiller.Que vous soyez aventurier dans l'âme ou simple curieux, cet épisode vous transportera bien au-delà des sentiers battus, dans les contrées les plus reculées de notre planète, guidé par une femme extraordinaire qui a fait de sa passion sa mission de vie.**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !Retrouvez-nous sur @beauvoyage ! **************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De nombreuses espèces animales se sont éteintes en raison des activités humaines au fil des siècles, souvent à cause de la chasse excessive, de la destruction des habitats et de l'introduction d'espèces invasives. Voici cinq exemples marquants d'animaux qui ont disparu en grande partie à cause des humains : 1. Le Dodo (Raphus cucullatus)Le dodo était un grand oiseau incapable de voler qui vivait exclusivement sur l'île Maurice, dans l'océan Indien. Cet oiseau, découvert par les marins européens au 17ème siècle, a été rapidement exterminé, principalement à cause de la chasse intensive et de la destruction de son habitat. Les colons ont introduit des animaux comme les cochons, les chiens et les rats, qui ont détruit les œufs et les jeunes dodos, contribuant ainsi à l'extinction de l'espèce en moins d'un siècle après sa découverte. 2. Le Tigre de Tasmanie (Thylacinus cynocephalus)Également connu sous le nom de thylacine, ce marsupial carnivore ressemblant à un loup vivait en Australie, en Tasmanie et en Nouvelle-Guinée. Il a été chassé jusqu'à l'extinction par les colons européens au 19ème et début du 20ème siècle, qui le considéraient comme une menace pour leur bétail. La destruction des forêts pour l'agriculture et la concurrence avec les chiens domestiques ont également contribué à sa disparition. Le dernier tigre de Tasmanie connu est mort en captivité en 1936. 3. Le Grand Pingouin (Pinguinus impennis)Cet oiseau marin incapable de voler, autrefois abondant dans l'Atlantique Nord, a été exterminé par la chasse excessive. Les Européens tuaient le grand pingouin pour sa viande, ses plumes et ses œufs. L'animal était également prisé pour sa graisse, utilisée dans les lampes à huile. La surexploitation de l'espèce a été si rapide que le dernier couple de grands pingouins a été tué en 1844 sur l'île Eldey, près de l'Islande. 4. La Vache de mer de Steller (Hydrodamalis gigas)Découverte en 1741 par l'explorateur Georg Wilhelm Steller, cette gigantesque créature marine habitait les eaux peu profondes autour des îles Commandeur, dans le Pacifique Nord. L'espèce a été chassée pour sa viande et sa graisse. En moins de 30 ans après sa découverte, la vache de mer de Steller a disparu, victime de la chasse intensive menée par les chasseurs de fourrures et les marins. 5. Le Moa (Dinornithiformes)Les moas étaient de grands oiseaux incapables de voler, endémiques de la Nouvelle-Zélande. Certaines espèces mesuraient plus de trois mètres de haut. Ils ont été exterminés par les Maoris, qui sont arrivés en Nouvelle-Zélande autour du 13ème siècle. Les Moas étaient chassés pour leur viande, et la destruction de leurs habitats forestiers a accéléré leur extinction, qui s'est produite quelques centaines d'années après l'arrivée des humains. Ces exemples soulignent l'impact dévastateur que les activités humaines peuvent avoir sur la faune. La chasse, la déforestation, et l'introduction d'espèces invasives ont contribué à la disparition de ces animaux, laissant des écosystèmes appauvris et un héritage de perte irréversible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans cet épisode choc de notre série true crime. Aujourd'hui, nous nous plongeons dans l'une des tragédies les plus sombres de l'histoire australienne : le massacre de Port Arthur en 1996. Ce jour-là, une terreur indicible a frappé la paisible région de Tasmanie, laissant derrière elle 35 morts et des centaines de vies éclatées à jamais. Que s'est-il passé exactement ce jour funeste, et qui est Martin Bryant, l'homme derrière cet acte de violence insensée ?Dans cet épisode, nous explorerons le profil de Martin Bryant, ses motivations et les événements qui l'ont mené à commettre l'une des pires tueries de masse de l'histoire de l'Australie. Nous reviendrons sur ses problèmes de santé mentale, les signes avant-coureurs ignorés et les erreurs qui ont conduit à cette terrible tragédie.Vous entendrez les témoignages glaçants des survivants qui ont échappé de justesse à la folie meurtrière, et nous décrypterons ensemble les éléments clés du procès de Martin Bryant. Comment cet homme a-t-il pu déjouer la sécurité et mener à bien son plan diabolique ?Nous discuterons aussi de l'héritage de cette tragédie : les lois sur les armes en Australie, radicalement transformées après cette journée d'horreur, et les débats qui continuent d'ébranler le pays. Comment un seul homme a-t-il été capable de provoquer un tel bouleversement social et politique ? Pourquoi le massacre de Port Arthur reste-t-il ancré dans l'imaginaire collectif, des décennies plus tard ?Accrochez-vous, car cet épisode est une plongée dans les abysses de la folie humaine, un voyage au cœur de la noirceur de l'âme, où chaque témoignage révèle une facette de l'horreur vécue ce jour-là. Des détails glaçants, des histoires humaines poignantes, et un questionnement profond sur la fragilité de la vie.Écoutez dès maintenant cet épisode qui va bien au-delà du simple fait divers, pour découvrir ce qui se cache derrière l'une des pires tragédies de l'histoire moderne australienne.
Aujourd'hui, Valentine Sabouraud nous parle d'un animal que l'on ne trouve plus que sur le blason de la Tasmanie. Le tigre de Tasmanie a pourtant réellement existé. Voici son histoire, racontée avec les archives de la NFSA et de The Project.
Aujourd'hui, Valentine Sabouraud nous parle d'un animal que l'on ne trouve plus que sur le blason de la Tasmanie. Le tigre de Tasmanie a pourtant réellement existé. Voici son histoire, racontée avec les archives de la NFSA et de The Project.
Dans l'actualité de ce lundi 2 septembre 2024 : des vents violents frappent le Victoria et privent 180 000 personnes d'électricité, la Tasmanie subit elle aussi des intempéries et plusieurs avis d'évacuation pour risque d'inondation ont été émis ; une dresseuse sérieusement blessée par un tigre dans le parc d'attraction Dreamworld de Gold Coast ; l'heure de la rentrée scolaire a sonné en France, toujours sans Premier ministre, alors que les consultations se poursuivent à l'Élysée.
Dans l'actualité de ce lundi 2 septembre 2024 : des vents violents frappent le Victoria et privent 180 000 personnes d'électricité, la Tasmanie subit elle aussi des intempéries et plusieurs avis d'évacuation pour risque d'inondation ont été émis ; une dresseuse sérieusement blessée par un tigre dans le parc d'attraction Dreamworld de Gold Coast ; l'heure de la rentrée scolaire a sonné en France, toujours sans Premier ministre, alors que les consultations se poursuivent à l'Élysée.
L'océan est de plus en plus envahi par des déchets plastiques, mais quel est le risque que ces fragments atteignent l'Antarctique, le dernier continent encore largement préservé ? Des chercheurs australiens et néo-zélandais se sont penchés sur cette question en utilisant des simulations informatiques. Leur étude, publiée dans *Global Change Biology* le 22 août 2024, a exploré les courants marins et les vagues entre 1997 et 2015 pour déterminer d'où proviennent les débris qui pourraient finir par s'échouer sur le continent blanc.Leurs conclusions sont préoccupantes : les débris plastiques, les algues et le bois mort peuvent voyager sans effort depuis les îles subantarctiques comme les Kerguelen, mais aussi depuis des régions beaucoup plus éloignées comme l'Australie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. « Le continent blanc subit un bombardement constant de tout ce qui flotte, qu'il s'agisse d'algues ou de bouteilles en plastique », explique le Dr Adele Morrison de l'Université nationale australienne.Ces débris transportent avec eux des organismes marins, souvent des espèces invasives, qui menacent l'écosystème fragile de l'Antarctique. « L'augmentation des plastiques et autres débris d'origine humaine dans les océans multiplie les opportunités pour ces organismes d'atteindre l'Antarctique », souligne le Dr Hannah Dawson, de l'Université de Tasmanie. Jusqu'à présent, la glace de mer a agi comme une barrière naturelle, empêchant ces organismes de coloniser le continent. Mais cette glace est en recul, notamment en raison du changement climatique, ce qui pourrait faciliter leur installation. Si cette tendance se poursuit, les chercheurs avertissent que les écosystèmes de l'Antarctique pourraient être gravement affectés. Les microplastiques retrouvés dans la neige antarctique en 2019 avaient déjà mis fin au mythe d'un continent vierge, isolé du reste du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'Hippocampe feuille ou Dragon de mer feuillu (Phycodurus eques) est un cousin horizontal des Hippocampes (47 espèces, du genre Hippocampus, verticaux). Tous font partie de la famille des syngnathidés (300 espèces). Ce maître absolu du mimétisme est originaire du sud des côtes australiennes où il est protégé et dont il est l'emblème animal !Ses “feuilles” ressemblent à celles des célèbres Sargasses (algues brunes). Contrairement aux Hippocampes, ils n'ont pas de queue préhensile leur permettant de s'ancrer aux algues.Ce camouflage le ralentit, pour se propulser, le Dragon des mers feuillu utilise des nageoires pectorales situées sur son cou, et sa nageoire dorsale, proche de sa queue. Ces petites nageoires sont transparentes. Elles ondulent jusqu'à 70 fois par seconde. L'animal semble ainsi flotter dans l'eau comme une algue, pour vivre (heureux) il vit déguisé en sargasse !Ils squattent souvent le même endroit, mais il arrive qu'ils se déplacent en mettant le turbo, atteignant une vitesse de… 150 mètres par heure, soit 0.15 km/h.Pour encore mieux se fondre dans le milieu, il peut changer de couleur, une aptitude qui varie selon l'alimentation, l'âge, la localisation et le stress. Il peut ainsi être vert, jaune ou rouge.Il est légèrement plus grand que la plupart des Hippocampes, les plus gros tutoient les 45 cm.Le dragon des mers feuillu a un long bec car il s'alimente de très petites proies (essentiellement des crevettes et des alevins du plancton qu'il aspire en un slurp nanométrique).Une espèce parente est le dragon de mer phylloptère (Phyllopteryx taeniolatus), plus petit que le dragon des mers feuillu, mais plus vivement coloré. On le trouve aussi sur la côte Sud de l'Australie et autour de la Tasmanie. Ce “Common Seadragon” en anglais (versus “Leafy Seadragon” pour son collègue) est la 2e des 3 espèces de Dragons feuillus. Le 3e est Dragon des mers rubis» (Phyllopteryx dewysea).Les dragons de mer feuillus sont soumis à de nombreuses menaces, à la fois naturelles et anthropiques. Ils sont capturés par les collectionneurs et utilisés en médecine alternative. Comme les récifs coralliens d'Australie, les Hippocampes feuillus sont menacés par le réchauffement climatique, la pollution, er par le ramassage par des plongeurs indignes, qui travaillant parfois pour des trafiquants d'espèces rares et protégées, malgré la vigilance des autorités australiennes.Ils sont très fragiles et vulnérables en dehors de leur habitat naturel. Leur maintien en captivité dépasse les moyens et les connaissances des aquariophiles amateurs.Le Dragon de mer feuillu est l'emblème marin officiel de l'État d'Australie-Méridionale (South Australia). Un festival Leafy Sea Dragon, dédié à l'environnement, aux arts et à la culture du sud de la péninsule Fleurieu, a lieu chaque année. Pour écouter la trilogie dédiée à tous les Syngnathes :https://bit.ly/dragon_mer_PPDPhttps://bit.ly/poisson_pipe_PPDPhttps://bit.ly/hippocampe_PPDP_______
durée : 00:04:08 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - De quoi les marsupiaux sont-ils le plus effrayés en Australie et Tasmanie : diables de Tasmanie ? Chiens ? Et bien non, c'est...l'humain ! Une étude montre qu'ils fuient immédiatement en entendant des voix humaines, et c'était déjà le cas pour d'autres animaux sur d'autres continents.
La date de l'arrivée des premiers hommes en Australie, et la manière dont ils y sont parvenus, sont, depuis longtemps, l'objet de nombreux débats entre les spécialistes.De nouvelles découvertes, sur le site préhistorique de Madjedbebe, au nord du pays, permettent de reculer le moment où des hommes ont mis le pied en Australie. Cet endroit était déjà considéré comme l'un des sites les plus anciens du pays.Les trouvailles qu'on vient d'y faire, notamment de nombreux outils, confirment ce point. La méthode de datation utilisée a en effet révélé que ces objets ont été fabriqués au cours d'une période allant de 60 000 à 50 000 ans avant notre époque.Ces découvertes montrent donc que des hommes auraient déjà commencé à peupler l'Australie voilà 50 000 ou 60 000 ans. Certains spécialistes font même remonter l'arrivée de ces premiers aborigènes à 70 000 ans.Et ils ne seraient pas venus en bateau, mais à pied ! D'après les spécialistes, en effet, l'Australie n'a pas toujours été une île. Elle aurait fait partie d'un ancien continent, appelé Sahul, qui aurait réuni, par des ponts terrestres, l'Australie, la Tasmanie et la Nouvelle-Guinée, le tout étant relié à l'Asie du Sud-Est.L'ensemble de ce continent aurait été émergé durant le Pléistocène. De fait, cette ère géologique, commencée voilà 2,5 millions d'années et terminée il y a 11 700 ans, comprend plusieurs périodes glaciaires.Le niveau de la mer étant alors très bas, des hommes ont pu venir d'Asie et gagner à pied les terres connues aujourd'hui sous les noms de Papouasie-Nouvelle-Guinée ou Australie, des pays à nouveau séparés par la mer.Pour mieux découvrir les voies empruntés par ces premiers aborigènes, les scientifiques ont tenu compte de leur rythme de progression, lié à leurs habitudes de chasseurs-cueilleurs, ainsi que des variations climatiques de cette lointaine époque.En suivant les côtes ou en longeant les rivières de l'ancien continent Sahul, ils se seraient avancés lentement vers l'Australie, à raison d'un peu plus d'un kilomètre par an. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:27 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Il n'existe qu'un seul exemplaire de "Once Upon A Time in Shaolin", album enregistré par le célèbre groupe américain de rap dans les années 2010. On ne sait pas qui est le propriétaire, mais le musée dans lequel il est exposé en Tasmanie va organiser des écoutes pour quelques visiteurs chanceux.
La direction de l'avionneur Boeing a été littéralement décapitée ce lundi. Et c'est normal avec tous ces problèmes de sécurité récurrents sur ces avions, Boeing ne garde la tête aujourd'hui au-dessus de l'eau que grâce aux contrats du Pentagone, autrement dit de l'armée américaine. C'est le grand Winston Churchill qui disait "la démocratie est un mauvais système, mais c'est le moins mauvais de tous les systèmes". Et ce lundi, on a redécouvert que le capitalisme est un mauvais système aussi, mais le moins mauvais de tous les systèmes. Le PDG de Boeing a annoncé qu'il partait au plus tard pour la fin de l'année et ce délai de quelques mois n'étant là que pour donner le temps au conseil d'administration de lui trouver un remplaçant. Et quant au président du conseil d'administration actuel, il a fait comprendre qu'il ne se représenterait pas à son poste lors du renouvellement du conseil d'administration. Et comme je vous parlais de capitalisme, cette décapitation de la tête de la direction a permis à l'action de Boeing de reprendre des couleurs, ce qui montre à quel point la bourse est non seulement une grande trouillarde, mais également une grande ingrate. Sur le côté ingrat, on se souvient de la perte en plein vol d'une porte d'un Boeing 737 Max d'Alaska Airlines début janvier. Ce n'est hélas pas le seul incident enregistré par Boeing, la faute à qui ? Mots-Clés : mer, Tasmanie, altitude, passagers, ceinture, plafond, blessés, Japon, aéroport, Los Angeles, catastrophe, pneu, décollage, incidents, décennie, ingratitude, bourse, aspects financiers, avionneur, McDonnell Douglas, réduction, coûts, concentration, performances, résultat, rachat, culture, cas d'école, documentaire, Netflix, preuve, majoritaires, dividendes, rachats, actions, doper, cours, mémoire, Airbus, concurrent, européen, investissements récurrents, déboires, inverse, système, communiste, anticorps, raison, rapport. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21 Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Ce 154e épisode de Pos. Report reçoit un invité unique, Philippe Legros, membre de la cellule de routage de Thomas Coville sur l'Arkea Ultim Challenge-Brest, pour en décrypter le tour du monde du skipper de Sodebo Ultim 3, arrivé à la deuxième place le jeudi 29 février, après un peu plus de 53 jours de mer.Il commence par expliquer comment a été constituée la cellule de routage et son fonctionnement, avec lui et Dominic Vittet dans une maison spécialement louée pour l'occasion, à Ploemeur, et Will Oxley à distance chez lui, en Australie. Il raconte avoir vécu “H24” au rythme de la course, sans même avoir pris le temps de lire un livre ou de regarder un film, avec des échanges continus avec Thomas Coville et un rythme bien plus intense que sur un record.Nous refaisons ensuite le match de cet Arkea Ultim Challenge-Brest, avec, dès le départ, des interrogations sur le rythme à tenir dans les premiers jours, mais également une projection vers le premier front après Madère, qui s'est avéré un premier gros tournant, puisque Charles Caudrelier et Tom Laperche se sont échappés, devant Thomas Coville, sorti épuisé de cet épisode, et Armel Le Cléac'h.Philippe Legros détaille ensuite l'entrée dans les mers du Sud, qui voit le skipper de Sodebo Ultim 3 tout tenter pour rester dans le même système météo que ses devanciers, la première sérieuse avarie sur le système de descente de foil tribord peu avant Bonne-Espérance, puis un Indien particulièrement éprouvant pour Thomas Coville qui va s'arrêter à Hobart, au sud de la Tasmanie.Reparti dans des conditions difficiles pour ne pas laisser s'échapper Armel Le Cléac'h, alors deuxième, le skipper va passer le cap Horn quelques heures derrière Banque Populaire XI qui va finalement faire une seconde escale technique au Brésil, permettant à Thomas Coville de s'emparer définitivement de la deuxième place. Pour finalement couper la ligne le jeudi 29 février, au grand soulagement de Philippe Legros, qui a alors senti “quelques kilos en moins sur ses épaules”.Diffusé le 5 mars 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Charles Caudrelier ("Maxi Edmond de Rotschild") était toujours en tête du Arkéa Ultim Challenge dimanche en fin de journée, au large de la Tasmanie avec 1.757 milles (3.254 km) d'avance sur Thomas Coville ("Sodebo Ultim 3") qui s'approchait du Sud-Ouest de l'Australie et 2.613 milles sur Armel Le Cléach ("Maxi Banque Populaire XI"). Il se confie sur son état d'esprit.
Aujourd'hui, Valentine Sabouraud vient nous parler du destin hors du commun de Mary Donaldson, une australienne chère au coeur des Australiens puisqu'elle a quitté sa Tasmanie natale pour devenir reine consort du Danemark.
NOUVEAU - Abonnez-vous à Minuit+ pour profiter de milliers d'histoires vraies sans publicité, d'épisodes en avant-première et en intégralité. Vous aurez accès sans publicité à des dizaines de programmes passionnants comme Crimes - Histoires Vraies, Espions - Histoires Vraies, Paranormal - Histoires Vraies ou encore Catastrophes - Histoires Vraies.
Redif E66 - Extrait Dans cet extrait, Elodie nous parle de leur étape en Tasmanie. Pour écouter l'épisode en entier : Vanlife en famille en Australie ****************************************************************************************************************************** ✅ Mon blog Famille & Voyages https://familleetvoyages.com ✅ Et si tu me taguais sur un de ces réseaux
durée : 00:04:46 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - L'ARN est une molécule fragile qui donne des informations sur l'expression des gènes. Des scientifiques sont parvenus à extraire et séquencer l'ARN d'un tigre de Tasmanie, une espèce éteinte depuis le siècle dernier.
C'est un beau roman, c'est une belle histoire que nous vous racontons aujourd'hui, et elle nous fait voyager au bout du monde pour trouver l'amour. Clémence a rencontré Cristian, un beau chilien, sur une plage en Tasmanie, au large de l'Australie, il y a 8 ans. Et ils sont aujourd'hui les parents d'Alba, 2 ans et demi. Elle nous raconte leur histoire, les yeux dans les yeux.
E66 - partie 1 Élodie découvre l'Australie pendant ses études. Elle y retourne quelques années plus tard avec Guillaume, son amoureux. Le coup de cœur est immédiat pour lui aussi et ils s'installent à Brisbane en 2011. Depuis, Adam et Simon, aujourd'hui 10 et 7 ans, ont agrandi la famille, ils sont devenus citoyens australiens et également entrepreneurs. La crise sanitaire les stoppe net dans leur élan, mais ce sera en fait le déclic qui va tout changer. Finie la course au toujours plus, ils quittent leur maison pour une caravane et partent en famille sur les routes d'Australie. Dans ce premier épisode, Élodie nous raconte leur slow life empreinte d'écologie et de déconsommation qui s'est vraiment mise en place en Tasmanie où ils ont passé 3 mois. Dans le prochain, nous continuerons le voyage le long des côtes du sud puis dans le centre rouge. Allez, c'est parti pour le road trip d'Élodie en Australie ! Je vous souhaite une belle écoute :-) ------------ Pour retrouver Élodie instagram : @fraussie_vanlife ****************************************************************************************************************************** ✅ Mon blog Famille & Voyages https://familleetvoyages.com ✅ Et si tu me taguais sur un de ces réseaux
Jo est franco-allemand et plutôt citadin, il nous raconte avec passion son exploration de l'Ile de Tasmanie en Australie. Il a amterné entre découvertes des joyaux de cette île et travail sur place dans des fermes. Il nous projette dans un monde sauvage et nous explique comment il s'est fait virer du jour au lendemain ! Johannes Gerresheim : https://www.instagram.com/jo_gerresh Interviewé par la pétillante Justine Placet : https://www.instagram.com/justine_pl -----
Dans l'actualité de ce 15 août, Donald Trump inculpé pour la 4e fois ; le bilan provisoire des victimes des incendies d'Hawaii en hausse ; la Tasmanie condamne les symboles nazis ; anniversaire de la prise de Kaboul par les Talibans ; émergence d'un nouveau variant du Covid-19.
Les turcs devront retourner aux urnes le 28 mai pour élire leur président. Emmanuel Macron a échangé hier avec Volodymyr Zelensky lors d'une visite à Paris. Un navire qui a coulé il y a 50 ans vient d'être retrouvé au large de la Tasmanie.
Le journal du 29/04/2023 - Une équipe AFL en Tasmanie bientôt ? C'est en tous les cas le projet du gouvernement avec un investissement de $240M a Hobart, projet qui ne plait pas a tout le monde...
durée : 00:05:34 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Elle n'a que deux ans mais fait déjà beaucoup parler : Colossal, entreprise américaine de biotech, promet de répondre au problème "colossal" de l'extinction des espèces, en les ressuscitant. Mammouth laineux, loup de Tasmanie, et désormais dodo. Elle a levé pour cela plus de 200 millions de dollars.
Ce 114e épisode refait le match de la troisième étape de The Ocean Race, la plus longue de l'histoire de la course autour du monde en équipage (12 750 milles), en compagnie de Kevin Escoffier, skipper de Holcim-PRB, deuxième de cette étape et leader au classement général, et de Sam Davies, qui faisait partie de l'équipage de Biotherm, quatrième de l'étape et au général. Cette dernière évoque une étape “épique”, mal débutée par Biotherm, contraint de retourner au port après un planté lors du parcours préliminaire au Cap, couru, selon Kevin Escoffier, “dans des conditions qu'on n'accepte pas dans nos courses en France”, Holcim-PRB ayant fait une pointe à 38-39 noeuds ! D'où des consignes de prudence pour l'équipage mené par le Malouin qui va cependant très vite s'échapper à la faveur des avaries de ses concurrents et d'un meilleur positionnement à l'avant d'une dépression. Ce qui lui a permis de compter presque 600 milles de marge après quelques jours de course, “une avance conséquente que nous n'avons pas pu concrétiser par la suite, en partie à cause de la limite des glaces”, explique Kevin Escoffier, tout de même passé en tête à la scoring gate de Tasmanie, où étaient attribués la moitié des points de l'étape. En effet, Biotherm, 11th Hour Racing Team et Malizia Seaexplorer ont peu à peu comblé leur retard, Sam Davies confiant une “légère frustration” de passer la scoring gate en quatrième position, en raison d'un léger déficit de vitesse par rapport à ses concurrents. Kevin Escoffier détaille ensuite les conditions dans lesquelles Holcim-PRB a battu le record des 24 heures (595 milles contre 539 auparavant), évoquant une “meilleure heure à 27,8 noeuds de moyenne” et estimant que le record en monocoque de Comanche (618 milles) aurait pu être battu à l'occasion, mais n'était pas l'objectif de son équipage. Sam Davies raconte une traversée du Pacifique assez calme avec une zone de molle à l'avant de la flotte agissant “comme la safety-car en Formule 1” et avait pour conséquence de sans cesse regrouper la flotte, au point qu'elle a parfois eu l'impression “d'être en stage d'entraînement à Port-la-Forêt”, avec les quatre bateaux à vue. Finalement, Malizia Seaexplorer et Holcim-PRB sont parvenus à creuser un petit écart quand le vent a forci juste avant le Horn, Kevin Escoffier estimant que le plan VPLP de Boris Herrmann a “un petit plus dans les conditions de mer plus solides”. Les deux marins racontent leur passage du cap Horn, le troisième pour le Malouin, le quatrième pour Sam Davies, qui explique que “la fête a été vite gâchée” sur Biotherm, privé d'aériens et obligé de finir l'étape sans indication de direction et de force du vent. Le bateau de Paul Meilhat va ensuite subir une casse de foil après une collision avec un ofni, ce qui ne l'empêchera pas de menacer dans les derniers milles de l'étape 11th Hour Racing Team, lui aussi handicapé. Kevin Escoffier raconte de son côté une fin d'étape au cours de laquelle les deux bateaux de tête ont “enchaîné les dépressions”, dont une dernière dans laquelle, suite à un problème électronique, Holcim-PRB a connu deux départs à l'abattée et cassé des lattes, ce qui a permis à Malizia-Seaexplorer de creuser un petit écart et de l'emporter à Itajai. “C'est la seule phase un peu frustrante” de l'étape, estime le skipper, cependant très satisfait de la terminer avec 9 points, comme Team Malizia, et de rester solidement installé en tête du général. “Tout est encore à faire”, modère le Malouin qui dévoile au passage la composition de son équipage pour la quatrième étape. The Ocean Race est terminé pour Sam Davies qui va retrouver la semaine prochaine son Imoca Initiatives Coeur avec une rentrée programmée début mai sur la Guyader Bermudes 1000 Race. Diffusé le 11 avril 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Un nouveau rapport de l'ONU appelle à une action urgente contre le changement climatique et la sénatrice indépendante de Tasmanie, Jacqui Lambie, a déclaré qu'elle soutiendrait le projet de loi du gouvernement qui limite les émissions de gaz à effet de serre des principaux pollueurs et a déclaré que les Verts devraient l'adopter.
Faire revenir à la vie des espèces éteintes, comme les dinosaures de "Jurassic Park", ne devrait plus relever de la science-fiction. Dans un avenir assez proche, en effet, des scientifiques pourraient "ressusciter" des animaux disparus de la surface de la terre.Plusieurs sociétés se sont lancées dans ces projets de "désextinction". Elles y consacrent des sommes importantes; ainsi, 150 millions de dollars sont dévolus à la "renaissance" du dodo.En plus du dodo, exterminé par les Hollandais débarquant à l'île Maurice, voilà quatre siècles, deux autres espèces sont concernées par ces projets : le mammouth laineux, disparu depuis des milliers d'année, et le tigre de Tasmanie, éteint au siècle dernier.Pour ramener à la vie ces espèces disparues, les scientifiques prélèvent des fragments d'ADN sur des spécimens bien conservés. Ils en découpent une partie, grâce à des "ciseaux génétiques", une technique spécifique, et la fixent, en quelque sorte, sur un ruban de l'espèce vivante la plus proche génétiquement.Pour le dodo, il s'agit du pigeon de Nicobar et de l'éléphant d'Asie pour le mammouth laineux. Cet ADN composite sera ensuite implanté dans un œuf ou dans l'utérus de l'animal.L'animal obtenu ne sera donc pas un dodo ou un mammouth laineux, mais un être hybride qui en sera l'équivalent le plus proche.Les sociétés à l'origine de ces ambitieux projets mettent en avant une plus grande richesse de la biodiversité et de probables avancées scientifiques, bénéfiques pour la santé humaine.Cependant, tous les scientifiques ne voient pas d'un bon œil de telles manipulations génétiques, qui ne sont pas sans poser certains problèmes éthiques.Par ailleurs, ces espèces, si elles étaient ramenées à la vie, reviendraient dans des milieux qui n'ont plus rien à voir avec ceux qu'elles ont connus. Elles auraient donc du mal à s'en accommoder et pourraient même en bouleverser l'équilibre.Enfin, de nombreuses voix s'élèvent pour déplorer que l'argent consacré à la "désextinction" de ces espèces ne soit pas plutôt consacré à la conservation de toutes celles qui sont menacées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Faire revenir à la vie des espèces éteintes, comme les dinosaures de "Jurassic Park", ne devrait plus relever de la science-fiction. Dans un avenir assez proche, en effet, des scientifiques pourraient "ressusciter" des animaux disparus de la surface de la terre. Plusieurs sociétés se sont lancées dans ces projets de "désextinction". Elles y consacrent des sommes importantes; ainsi, 150 millions de dollars sont dévolus à la "renaissance" du dodo. En plus du dodo, exterminé par les Hollandais débarquant à l'île Maurice, voilà quatre siècles, deux autres espèces sont concernées par ces projets : le mammouth laineux, disparu depuis des milliers d'année, et le tigre de Tasmanie, éteint au siècle dernier. Pour ramener à la vie ces espèces disparues, les scientifiques prélèvent des fragments d'ADN sur des spécimens bien conservés. Ils en découpent une partie, grâce à des "ciseaux génétiques", une technique spécifique, et la fixent, en quelque sorte, sur un ruban de l'espèce vivante la plus proche génétiquement. Pour le dodo, il s'agit du pigeon de Nicobar et de l'éléphant d'Asie pour le mammouth laineux. Cet ADN composite sera ensuite implanté dans un œuf ou dans l'utérus de l'animal. L'animal obtenu ne sera donc pas un dodo ou un mammouth laineux, mais un être hybride qui en sera l'équivalent le plus proche. Les sociétés à l'origine de ces ambitieux projets mettent en avant une plus grande richesse de la biodiversité et de probables avancées scientifiques, bénéfiques pour la santé humaine. Cependant, tous les scientifiques ne voient pas d'un bon œil de telles manipulations génétiques, qui ne sont pas sans poser certains problèmes éthiques. Par ailleurs, ces espèces, si elles étaient ramenées à la vie, reviendraient dans des milieux qui n'ont plus rien à voir avec ceux qu'elles ont connus. Elles auraient donc du mal à s'en accommoder et pourraient même en bouleverser l'équilibre. Enfin, de nombreuses voix s'élèvent pour déplorer que l'argent consacré à la "désextinction" de ces espèces ne soit pas plutôt consacré à la conservation de toutes celles qui sont menacées. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:05:34 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - Elle n'a que deux ans mais fait déjà beaucoup parler : Colossal, entreprise américaine de biotech, promet de répondre au problème "colossal" de l'extinction des espèces, en les ressuscitant. Mammouth laineux, loup de Tasmanie, et désormais dodo. Elle a levé pour cela plus de 200 millions de dollars.
Un nouveau record de vol direct sans mettre la patte à terre pour une Barge rousse d'Alaska. 13560 km entre l'Alaska et la Tasmanie, au mois d'octobre dernier ! Soit une moyenne de 50 km/h parcourus d'une traite en 11 jours et 11 nuits, sans se nourrir ni boire ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On apprend que la CIA aurait investi, par le biais d'un fonds d'investissement, dans une société dont le but est rien de moins que de ramener à la vie des espèces disparues.L'une d'entre elles est le mammouth laineux. Disparu voilà environ 4.000 ans, cet animal est l'ancêtre de l'éléphant moderne. Et c'est bien ce qui intéresse cette société. De fait, le patrimoine génétique de l'éléphant est très proche de celui du mammouth laineux.Il serait donc possible, grâce à une technique spécifique, de modifier les gènes de l'éléphant, de manière à le transformer en mammouth. Les concepteurs de cet étonnant projet comptent ensuite réintroduire ces animaux préhistoriques dans leur milieu naturel.Cette tentative de "désextinction" concernerait d'autres espèces éteintes, comme le dodo ou le diable de Tasmanie.On peut se demander en quoi un tel programme peut intéresser la CIA. En fait, ce n'est pas tant l'objet en soi de cette entreprise qui suscite son intérêt que les technologies qu'elle met en œuvre.Relevant notamment de la biologie de synthèse, celles-ci pourraient permettre de fabriquer de nouveaux matériaux, de mieux lutter contre des risques de pandémies ou de soigner certaines maladies.Certaines recherches vont également dans le sens d'une meilleure résistance des végétaux aux conséquences du réchauffement climatique. Autant de fléaux susceptibles de menacer, à un titre ou à un autre, la sécurité intérieure des États-Unis. D'où l'intérêt que porte le service de renseignement américain à ce programme.Encore faut-il qu'il ait une chance de se réaliser. En effet, de nombreux scientifiques restent très sceptiques devant ses chances de succès. Ainsi, la réintroduction du mammouth laineux, ou du moins d'un animal qui lui ressemble, dans les régions du grand nord, aurait peu de chances d'aboutir.Pour ces scientifiques, en effet, ces régions, touchées par le réchauffement climatique, n'ont plus grand-chose à voir avec ce qui fut le milieu naturel du mammouth.Par ailleurs, la survie d'une telle espèce, à partir de quelques spécimens génétiquement modifiés, semble plus que problématique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On apprend que la CIA aurait investi, par le biais d'un fonds d'investissement, dans une société dont le but est rien de moins que de ramener à la vie des espèces disparues. L'une d'entre elles est le mammouth laineux. Disparu voilà environ 4.000 ans, cet animal est l'ancêtre de l'éléphant moderne. Et c'est bien ce qui intéresse cette société. De fait, le patrimoine génétique de l'éléphant est très proche de celui du mammouth laineux. Il serait donc possible, grâce à une technique spécifique, de modifier les gènes de l'éléphant, de manière à le transformer en mammouth. Les concepteurs de cet étonnant projet comptent ensuite réintroduire ces animaux préhistoriques dans leur milieu naturel. Cette tentative de "désextinction" concernerait d'autres espèces éteintes, comme le dodo ou le diable de Tasmanie. On peut se demander en quoi un tel programme peut intéresser la CIA. En fait, ce n'est pas tant l'objet en soi de cette entreprise qui suscite son intérêt que les technologies qu'elle met en œuvre. Relevant notamment de la biologie de synthèse, celles-ci pourraient permettre de fabriquer de nouveaux matériaux, de mieux lutter contre des risques de pandémies ou de soigner certaines maladies. Certaines recherches vont également dans le sens d'une meilleure résistance des végétaux aux conséquences du réchauffement climatique. Autant de fléaux susceptibles de menacer, à un titre ou à un autre, la sécurité intérieure des États-Unis. D'où l'intérêt que porte le service de renseignement américain à ce programme. Encore faut-il qu'il ait une chance de se réaliser. En effet, de nombreux scientifiques restent très sceptiques devant ses chances de succès. Ainsi, la réintroduction du mammouth laineux, ou du moins d'un animal qui lui ressemble, dans les régions du grand nord, aurait peu de chances d'aboutir. Pour ces scientifiques, en effet, ces régions, touchées par le réchauffement climatique, n'ont plus grand-chose à voir avec ce qui fut le milieu naturel du mammouth. Par ailleurs, la survie d'une telle espèce, à partir de quelques spécimens génétiquement modifiés, semble plus que problématique. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les difficultés de la géothermie Les brèves du jour Un crapaud malin face aux activités humaines La science pourrait ressusciter le tigre de Tasmanie
La visite en Australie est l'occasion de voir le fonctionnement de l'industrie de la langouste de Western Australia et de Tasmanie et elle a été financée par l'Union européenne et la Région Bretagne à travers le fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche. Pour en parler nous sommes en ligne avec Serge Gomes da Silva, le chef de la délégation et Erwan Quemeneur, responsable du Comité des pêches du Finistère.
L'aventure, en 2018, de l'exploratrice Suisse, Sarah Marquis, à la recherche du Tigre de Tasmanie. Un animal officiellement disparu dans les années 30, mais que certains locaux prétendent avoir vu récemment…
L'aventure, en 2018, de l'exploratrice Suisse, Sarah Marquis, à la recherche du Tigre de Tasmanie. Un animal officiellement disparu dans les années 30, mais que certains locaux prétendent avoir vu récemment…
L'aventure, en 2018, de l'exploratrice Suisse, Sarah Marquis, à la recherche du Tigre de Tasmanie. Un animal officiellement disparu dans les années 30, mais que certains locaux prétendent avoir vu récemment…
L'aventure, en 2018, de l'exploratrice Suisse, Sarah Marquis, à la recherche du Tigre de Tasmanie. Un animal officiellement disparu dans les années 30, mais que certains locaux prétendent avoir vu récemment…
Quoi de neuf, tout le monde ! Voici notre nouvel épisode de Fluency News version française. Vous aurez ici l'occasion d'entraîner vos capacités d'écoute et de vous tenir au courant de ce qui se passe dans le monde, sachant qu'il y a un nouvel épisode toutes les semaines. Dans cet épisode, on commente la cérémonie du Met Gala. Oui, y compris les vêtements portés par les célébrités. On parle aussi d'une nouvelle insolite en provenance du Canada et on termine en commentant le fait que la Tasmanie est l'un des premiers endroits au monde à avoir des émissions de carbone "zéro". Et n'hésitez pas à jeter un coup d'œil sur notre site web fluencytv.com pour avoir accès à plus de contenu gratuit et consultez notre page Instagram, @fluencytvfrances !