French yacht racer
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Il fait partie d'un club très sélect de la voile : celui des marins qui naviguent casqués avec un micro en flirtant régulièrement avec des vitesses de 50 nœuds. A 32 ans, Quentin Delapierre est un pilote, qui tient le volant du F50 français sur le circuit SailGP et a participé à la dernière Coupe de l'America en tant que skipper de l'AC75 d'Orient Express Racing Team.Un "top gun", donc. Et pourtant, quand le Vannetais raconte son parcours, il évoque d'abord le plaisir de naviguer avec les copains, une bande de potes pour beaucoup rencontrés à la Cataschool de Larmor-Baden - du fun, mais des résultats.Fils de planchiste de haut niveau, c'est par le Laser qu'il va entrer pour de bon dans le jeu de la régate, jusqu'à intégrer le pôle France de Brest, mais une blessure aux deux chevilles va mettre un terme à ses ambitions à la sangle de rappel. Il bifurque alors vers le J80 avec bonheur - champion d'Europe en 2014 - avant de se lancer en Diam 24 et de gagner le Tour Voile à deux reprises en 2016 et 2018.Entre-temps, il a été repéré par Thomas Coville qui va en faire son performeur ; le large l'attire, mais les ambitions olympiques de ses années Laser le titillent encore fortement. Alors quand son sponsor Lorina lui propose un projet en Multi50, il hésite. Il appelle sa mère, qui lui rappelle ses rêves de médailles - ce sera non.Quelques semaines plus tard le voilà lancé dans une campagne pour Tokyo 2020 avec Manon Audient en Nacra 17, une opération commando, où le duo, formé 18 mois plus tôt, chipe la sélection aux stars Riou-Besson, quadruples champions du monde. Les résultats (8e) ne sont pas à la hauteur des espérances du duo.Mais à peine le temps de souffler qu'à l'automne 2021 Bruno Dubois l'appelle pour remplacer Billy Besson à la barre du F50 français sur le circuit SailGP : jeté dans le grand bain, Delapierre ne coule pas et un an plus tard offre sa première victoire aux tricolores, désormais reconnus comme capables d'aller chercher le titre.C'est tout naturellement qu'il enchaîne avec sa première Coupe de l'America - un rêve de gosse. Une opération commando, là encore, dont il fait le debrief sans se défiler. Mais dont on sent bien que ce n'est pour lui que le début de l'histoire...Diffusé le 13 décembre 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si on partait en balade avec le journaliste de sport le plus sportif
durée : 00:07:27 - franceinfo junior - Une semaine après son tour du monde en solitaire pour la course Arkéa Ultim Challenge, le navigateur Thomas Coville répond aux questions des enfants de franceinfo junior.
Ce 154e épisode de Pos. Report reçoit un invité unique, Philippe Legros, membre de la cellule de routage de Thomas Coville sur l'Arkea Ultim Challenge-Brest, pour en décrypter le tour du monde du skipper de Sodebo Ultim 3, arrivé à la deuxième place le jeudi 29 février, après un peu plus de 53 jours de mer.Il commence par expliquer comment a été constituée la cellule de routage et son fonctionnement, avec lui et Dominic Vittet dans une maison spécialement louée pour l'occasion, à Ploemeur, et Will Oxley à distance chez lui, en Australie. Il raconte avoir vécu “H24” au rythme de la course, sans même avoir pris le temps de lire un livre ou de regarder un film, avec des échanges continus avec Thomas Coville et un rythme bien plus intense que sur un record.Nous refaisons ensuite le match de cet Arkea Ultim Challenge-Brest, avec, dès le départ, des interrogations sur le rythme à tenir dans les premiers jours, mais également une projection vers le premier front après Madère, qui s'est avéré un premier gros tournant, puisque Charles Caudrelier et Tom Laperche se sont échappés, devant Thomas Coville, sorti épuisé de cet épisode, et Armel Le Cléac'h.Philippe Legros détaille ensuite l'entrée dans les mers du Sud, qui voit le skipper de Sodebo Ultim 3 tout tenter pour rester dans le même système météo que ses devanciers, la première sérieuse avarie sur le système de descente de foil tribord peu avant Bonne-Espérance, puis un Indien particulièrement éprouvant pour Thomas Coville qui va s'arrêter à Hobart, au sud de la Tasmanie.Reparti dans des conditions difficiles pour ne pas laisser s'échapper Armel Le Cléac'h, alors deuxième, le skipper va passer le cap Horn quelques heures derrière Banque Populaire XI qui va finalement faire une seconde escale technique au Brésil, permettant à Thomas Coville de s'emparer définitivement de la deuxième place. Pour finalement couper la ligne le jeudi 29 février, au grand soulagement de Philippe Legros, qui a alors senti “quelques kilos en moins sur ses épaules”.Diffusé le 5 mars 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l'Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac'h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.-- Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur.L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer !Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout.Première diffusion le 21 janvier 2022Rediffusé le 1er mars 2024Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot.En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur).C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore.Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016.Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012.Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.Première diffusion le 21 janvier 2022Rediffusé le 1er mars 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand
Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l'Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac'h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.--C'est l'un des marins-stars de l'époque : double vainqueur de Solitaire du Figaro, double vainqueur de la Transat AG2R et, bien sûr, vainqueur en titre du Vendée Globe, remporté en 2017 à bord de Banque Populaire après une incroyable bagarre avec Alex Thomson.A 42 ans, Armel Le Cléac'h est tout simplement l'un des meilleurs coureurs au large français, issu comme Jérémie Beyou et Nicolas Troussel, de l'incroyable creuset de la baie de Morlaix.Des croisières aux Scillys de son enfance à sa Transat Jacques Vabre 2019 avec Clarisse Crémer, en passant par 2018, année noire soldée par un chavirage puis la perte de son trimaran géant, l'enfant de Saint-Pol-de-Léon passe en revue - sans langue de bois et en détail - un parcours au plus haut niveau.Un moment très rate : plus de 2 heures de conversation avec un immense champion...Première diffusion le 1er avril 2020Rediffusé le 1er mars 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand-----------------Pour vous abonner à Tip & Shaft, le média des professionnels et des passionnés de voile de compétition, c'est par ici : www.tipandshaft.com/abonnement
Exceptionnellement cette semaine, Tip & Shaft vous propose de réécouter à l'occasion de l'arrivée des trois premiers concurrents de l'Arkea Ultim Challenge- Brest, les trois épisodes d'Into The Wind qui leur ont été consacrés. De Charles Caudrelier, grand vainqueur, à Armel Le Cléac'h, troisième, en passant par Thomas Coville, deuxième ; revivez leurs carrières à travers ces épisodes enregistrés le 18 septembre 2018 pour Charles Caudrelier, le 1er avril 2020 pour Armel Le Cléac'h et le 1er janvier 2022 pour Thomas Coville.-- Les marins français qui peuvent aligner deux victoires dans la Volvo Ocean Race sur leur CV ne sont pas légion ; ceux qui peuvent prétendre être montés sur le podium lors des trois dernières éditions encore moins ; et un seul d'entre eux peut se targuer d'ajouter une Solitaire du Figaro et plusieurs Transat Jacques Vabre à son palmarès : il s'appelle Charles Caudrelier.A 44 ans, le skipper de Dongfeng Race Team vient de consacrer une décennie à courir l'exigeante Volvo Ocean Race, couronnée par une incroyable victoire sur le fil en juin dernier à la barre du bateau chinois.Pour ce premier numéro d'Into The Wind, il revient longuement sur son parcours, depuis ses premiers bords en baie de la Forêt, jusqu'à l'option victorieuse au large des côtes du Danemark, cet été. Un entretien plein d'anecdotes et de révélations, où Charles Caudrelier, désormais star en Chine, ne fait pas mystère de son envie de retourner au solitaire.Première diffusion le 18 septembre 2018Rediffusé le 1er mars 2024Générique : In Closing – Days PastPost-production : Clovis Tisserand -----------------Pour vous abonner à Tip & Shaft, le média des professionnels et des passionnés de voile de compétition, c'est par ici : www.tipandshaft.com/abonnement
Du vendredi au dimanche, Jacques Vendroux anime des débats sportifs en compagnie de personnalités telles que Guy Roux, Alain Giresse, Dominique Grimault... Le samedi, il recueille les confidences d'un invité de marque.
Ce 153e épisode de Pos. Report est consacré à la victoire de Charles Caudrelier sur l'Arkea Ultim Challenge-Brest, quelques heures après que le skipper du Maxi Edmond de Rothschild a coupé la ligne d'arrivée à Brest à 8h37'42, après 50 jours 19 heures 7 minutes, 42 secondes de mer.Nos deux invités sont Jacques Caraës, marin qui compte plusieurs tours du monde à son actif et a par ailleurs été directeur de course de plusieurs épreuves, comme le Vendée Globe et la Route du Rhum, et Guillaume Rottée, le directeur de course de cet Arkea Ultim Challenge-Brest.Ce dernier commence par détailler comment se met en place le dispositif arrivée entre contraintes de sécurité et médiatiques, Jacques Caraës confiant de son côté ne jamais parvenir à dormir les veilles d'arrivée, la pression étant forte sur la direction de course.Nos deux invités racontent ensuite comment ils ont vécu celle de Charles Caudrelier, depuis un bateau passagers pour Jacques Caraës, à bord d'un semi-rigide de la “DC” pour Guillaume Rottée. L'un comme l'autre ont apprécié les conditions parfaites, entre lever du soleil et petite brise au moment où le Maxi Edmond de Rothschild a pénétré, en mode volant, dans le goulet de Brest, avant de peu à peu se poser sur ses foils, “tel un albatros” selon Jacques Caraës.Pour nos invités, cette victoire consacre un grand marin, révélé sur le tard mais qui, depuis, ne cesse de gagner, mais également un bateau, plan Verdier mis à l'eau en 2017 qui aura marqué l'histoire de la classe Ultim. Un bateau qui a cependant terminé le tour du monde fatigué, Guillaume Rottée évoquant les quelques bobos du trimaran, sur lesquels le Gitana Team est resté discret pendant ces presque 51 jours de course.Nous finissons par parler des prochains marins arrivés à Brest, dans l'ordre Thomas Coville, attendu jeudi, puis Armel Le Cléac'h, le week-end, tandis qu'Anthony Marchand et Eric Péron en ont encore pour une grosse dizaine de jours.Diffusé le 27 février 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Ce 152e épisode de Pos. Report, une nouvelle fois consacré à l'Arkea Ultim Challenge-Brest, reçoit Guillaume Evrard, membre de l'équipe de direction de course du tour du monde, et Gildas Morvan, directeur de course, notamment, des 24H Ultim.Une fois n'est pas coutume, nous commençons cet épisode en parlant de la queue de flotte, avec un passage du cap Horn attendu d'ici mercredi pour Anthony Marchand et Eric Péron, séparés de moins de 400 milles ce mardi. Un passage assez musclé pour le premier, selon Guillaume Evrard, Gildas Morvan évoquant de son côté le Pacifique compliqué du skipper d'Actual Ultim 3, toujours privé de son foil bâbord. Ce qui devrait le handicaper considérablement dans la remontée de l'Atlantique, d'où un beau duel en perspective avec Eric Péron.Duel également pour la deuxième place entre Thomas Coville et Armel Le Cléac'h qui a dû s'arrêter le week-end dernier à Rio pour une double avarie de safran que décrit Guillaume Evrard, ce dernier racontant également l'opération commando menée sur place par le team Banque Populaire.Nous évoquons ensuite les différents scénarios de l'arrivée de Charles Caudrelier qui, en raison, d'une grosse dépression balayant l'Atlantique Nord en fin de semaine, devrait s'arrêter aux Açores, nos invités évaluant les différents scénarios, entre escale technique, donc immobilisation d'au moins 24 heures, et mise à l'abri dans l'archipel avec possibilité de repartir dès que le skipper le souhaite.En fonction, l'un comme l'autre parlent d'une éventuelle arrivée à Brest dimanche soir ou lundi, celles de Thomas Coville puis d'Armel Le Cléac'h étant attendues entre le 28 février et le 1er mars. Nous finissons par analyser l'impact médiatique d'une course qui, selon Gildas Morvan, aura manqué un peu d'images de bord et d'infos de la part des marins engagés.Diffusé le 20 février 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Ce 151e épisode de Pos. Report reçoit Yann Eliès, triple vainqueur de la Solitaire du Figaro et de la Transat Jacques Vabre, qui sera en juillet directeur de course du Tour Voile, et Emmanuel Bachellerie, ancien délégué général de la classe Ultim, aujourd'hui organisateur de courses, avec sa société Ultim Sailing, dont le Tour Voile, la nouvelle Niji 40' et le Trophée Banque Populaire Grand Ouest.Nous démarrons par un chapitre consacré à l'Arkea Ultim Challenge-Brest que nos deux invités suivent avec passion, rappelant que si le côté régate est un peu mis de côté en raison des écarts séparant les cinq marins encore en course (à l'exception d'Armel Le Cléac'h et Thomas Coville, assez proches), il ne faut surtout pas minimiser la performance des marins sur cette première édition “réussie”, selon Yann Eliès.Ce dernier évoque notamment la performance du leader, Charles Caudrelier, et imagine bien, derrière lui, un Armel Le Cléac'h le couteau entre les dents dans la remontée de l'Atlantique Sud, qui pourrait lui être plus favorable. Emmanuel Bachellerie commente quant à lui le parcours d'Eric Péron à bord d'Adagio, bateau qui est la propriété d'Ultim Sailing.Yann Eliès raconte ensuite comment, à l'issue de la Transat Jacques Vabre 2021, il a décidé de se tourner vers la direction de course, au point d'avoir été nommé cette année directeur de course du Tour Voile. Une édition 2024 du Tour Voile, disputé depuis l'an dernier en Figaro Beneteau 3, qu'Emmanuel Bachellerie nous présente. Ce dernier évoque ensuite deux autres courses organisées cette année par Ultim Sailing, le Trophée Banque Populaire Grand Ouest en mai (en double, en Figaro 3) et la Niji 40', nouvelle transat en triple en Class40 entre Belle-Ile et Marie-Galante (départ le 7 avril).Yann Eliès termine en parlant de son programme de l'année, entre direction de course, donc, mais aussi coaching avec le pôle Finistère course au large de Port-la-Forêt en Figaro et Imoca, et navigations en Figaro (Trophée BPGO), Class40 et peut-être Ocean Fifty sur la Route des Terre-Neuvas.Diffusé le 13 février 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Ce 150e épisode de Pos. Report est de nouveau consacré à l'Arkea Ultim Challenge-Brest, nos invités du jour font partie de deux teams engagés sur la course autour du monde : le premier, Thomas Rouxel oeuvre au sein du team Sodebo aux côtés de Thomas Coville, Thierry Chabagny auprès d'Anthony Marchand, skipper d'Actual Ultim 3.Tous les deux, après avoir donné des nouvelles de “leurs” skippers respectifs, racontent comment se sont passées les escales techniques qu'Anthony Marchand et Thomas Coville ont été contraints de faire, le premier au Cap pour retirer le foil bâbord endommagé d'Actual Ultim 3, le second à Hobart pour plusieurs réparations, que décrit Thomas Rouxel.Ce dernier explique que cet arrêt de deux jours a permis à Thomas Coville de se reposer et de repartir avec un bateau à 100% de son potentiel, il a en outre rejoint Armel Le Cléac'h qui, après avoir fait le tour de la Nouvelle-Zélande par le nord, le devance de moins de 300 milles, un duel bienvenu à ce stade du tour du monde.Les deux marins, qui évoluent actuellement à l'avant d'une dépression, sont attendus au cap Horn le week-end prochain, tandis qu'Actual Ultim 3 a franchi le cap Leeuwin lundi soir, avec quelques jours favorables devant lui, explique Thierry Chabagny, qui a été son co-skipper sur la dernière Transat Jacques Vabre.Nos deux invités commentent par ailleurs la performance en tête de Charles Caudrelier et son choix, légitime à leurs yeux, de freiner le week-end dernier pour éviter de passer le cap Horn dans des conditions trop dangereuses, même si, souligne Thomas Rouxel, elles ne sont pas pour autant faciles, avec un fort vent de nord qui l'attend ce mardi au moment de retrouver l'Atlantique Sud.Nous terminons par évoquer les projets personnels de Thierry Chabagny et Thomas Rouxel : le premier, qui va disputer en février la Caribbean 600 sur le MOD70 Zoulou, attend l'arrivée de l'Arkea Ultim Challenge-Brest pour décider de la suite, le second a toujours pour ambition de s'engager sur le circuit Ocean Fifty, à condition de trouver des partenaires.Diffusé le 6 février 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Ce 149e épisode de Pos. Report est de nouveau consacré à l'Arkea Ultim Challenge Brest, nos invités sont Tom Laperche, skipper de SVR Lazartigue, qui a officialisé son abandon le 29 janvier, une semaine après s'être arrêté au Cap, et Frédéric Le Peutrec, membre de la direction de course, en charge notamment de la sécurité.Ce dernier commence par expliquer comment fonctionne la direction de course et comment elle gère les cas d'avaries en mer, comme celle dont a été victime Tom Laperche le 18 janvier, SVR Lazartigue ayant été sérieusement endommagé au niveau du puits de dérive et du fond de coque suite à une collision avec un objet flottant non identifié ou un mammifère marin.Le marin revient en détail sur cette collision, la façon dont il a fallu réagir en urgence pour sécuriser le bateau et les quatre jours de mer pour rallier Le Cap, forcément durs à vivre pour un skipper qui était alors à la lutte pour la première place avec Charles Caudrelier. Un skipper dont Frédéric Le Peutrec salue l'enthousiasme et le parcours jusqu'à la collision qui a mis un terme à sa course.Tom Laperche, rentré lundi à Concarneau, raconte ensuite l'arrêt au Cap et comment a été prise la décision d'abandonner, les dégâts étant trop importants pour lui permettre de repartir sereinement en mer. Il confie que depuis qu'il a mis sa course entre parenthèses, il a du mal à la suivre.Frédéric Le Peutrec décrit la situation sur l'eau, avec des conditions météo pour l'instant plutôt favorables dans le Pacifique pour le leader Charles Caudrelier, attendu au cap Horn le week-end prochain, plus compliquées derrière pour Thomas Coville et Armel Le Cléac'h.Le skipper de SVR Lazartigue conclut en expliquant les options qui se présentent désormais à l'équipe, entre retour du bateau par cargo ou par la mer, sans dérive.Diffusé le 30 janvier 2024Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire Levillain
Le sportif du week-end, le skieur Cyprien Sarrazin revient sur ses 3 podiums dont une victoire en Super G à Wengen. Thomas Coville, 3ème de l'Arkea Ultim Challenge nous a accordé un entretien alors qu'il vient de passer le pot au noir Lisa Barbelin, sera la cheffe de file de l'équipe de France de Tir à l'Arc en 2024 avec en ligne de mire les JO de Paris Le tennis avec la première journée de l'Open d'Australie. Ecoutez On Refait le sport du 14 janvier 2024 avec Isabelle Langé.
Le skipper de "Sodebo 3" est l'un des six navigateurs qui prendra à 13h au large de Brest le départ du premier tour du monde en solitaire à bord d'un Ultim, l'Arkéa Ultim Challenge.
durée : 00:15:27 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Vendredi 5 janvier 2024 : le navigateur Thomas Coville. Le 7 janvier, il se lancera dans un tour du monde en solitaire inédit qui partira de Brest.
Le 7 janvier prochain, ils seront six au départ de l'Arkéa Ultim Challenge - Brest, la grande première d'une course autour du monde en solitaire à bord de maxi-trimarans, en passant par le Cap de Bonne-Espérance, le Cap Leeuwin et le Cap Horn. Dans ce dernier épisode, c'est Thomas Coville, qui face à Loïck Peyron, se raconte, à la fois auteur de multiples tours du monde, correspondant de l'acteur Jacques Gamblin et admirateur du jazzman Memphis Slim.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julia Huvé a débuté sa carrière il y a plus de 25 ans sur un coup d'audace : à l'époque étudiante en maîtrise des techniques et langages des médias à la Sorbonne, elle tape à la porte des bureaux de 6e Sens, le défi français pour la Coupe de l'America. "La Coupe, la Nouvelle-Zélande, je voulais faire partie de l'aventure, j'ai même proposé de faire les cafés." Elle fait beaucoup plus puisqu'elle est embauchée dans l'équipe de la communication, point de départ de douze années dans cet univers de la Coupe, entre défis tricolores successifs et organisation de l'épreuve elle-même. "C'était tellement riche de travailler avec des Italiens, des Anglais, des Espagnols…" L'opportunité se présente ensuite de travailler auprès de Thomas Coville et Sodebo, auprès duquel elle va construire une histoire au long cours, ce qui lui fait dire : "Arriver à un degré de confiance avec le skipper pour qui tu travailles, c'est le plus important." Multipliant parallèlement les expériences – auprès notamment de Kito de Pavant, du Gitana Team, de Spindrift racing et de l'équipe Dongfeng Race Team pendant la Volvo Ocean Race 2017-2018 -, la « communicante » voit son métier évoluer de façon drastique : "La vidéo a changé tellement de choses ! Avoir des mediaman à bord par exemple, c'est génial." Aujourd'hui, à 45 ans, elle est directrice de la communication de l'Imoca, qui n'a cessé de se développer ces dernières années. "Je suis fière de ce qu'on a réussi à faire avec cette classe", confie celle qui, lors de cet entretien, rend un vibrant hommage à Pierre, son compagnon, et à sa mère, très présente pour l'aider à jongler entre sa vie à 200 à l'heure autour du monde et celle de maman de deux filles. "Sans elle, je n'aurais pas pu faire tout ça." Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft. Diffusé le 13 décembre 2023 Post production : Grégoire Levillain Générique : All the summer girls
Ce 137e épisode est de nouveau consacré à la Transat Jacques Vabre Normandie-Le Havre avec un unique invité, qui, aux côtés de Thomas Rouxel, s'alignera au départ du Havre pour la huitième fois, Thomas Coville, skipper de l'Ultim Sodebo Ultim 3. Tout juste arrivé au Havre - enregistrement le vendredi 20 octobre -, il commence par raconter son convoyage, notamment avec l'acteur Jacques Gamblin - et ses routines de pré-départ, entre besoin de prendre du recul et de s'entretenir physiquement, pour peu à peu entrer dans sa bulle. Thomas Coville explique ensuite son attachement pour la transat en double, qu'il a remportée deux fois, la première en 1999 pour sa première sous les couleurs de Sodebo en Imoca avec Hervé Jan, la seconde en 2017 avec Jean-Luc Nélias en Ultim, il évoque au passage son partenariat record (25 ans) avec son sponsor. Nous rentrons ensuite dans le vif du sujet de la 16e édition, le skipper détaille les optimisations faites cette année sur son trimaran, entre allongement du mât et allègement de la plateforme (450 kilos), qui permettent à Sodebo Ultim 3 de décoller plus tôt, d'où des performances à la hausse et des ambitions de victoire sur la Transat Jacques Vabre. Nous finissons par évoquer le rendez-vous suivant, l'Arkea Ultim Challenge-Brest, toute première course autour du monde en solitaire en Ultim, dont le départ sera donné le 7 janvier, “le graal des graals”, selon Thomas Coville, heureux de faire partie de cette histoire. Diffusé le 24 octobre 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Ce soir dans le Studio des légendes, Jacques Vendroux reçoit Thomas Coville, navigateur.
Comme Roland Jourdain, Jean-Luc Nélias est un enfant de l'école de voile du Cap-Coz, cette bande de sable qui ferme la lagune de Port-la-Forêt ; et comme Bilou, deux ans plus jeune et ami de toujours, Jean-Luc Nélias va grandir dans l'écosystème de ce Finistère sud béni des dieux de la régate, où se côtoient, dans les années 1970 et 1980, Jean Le Cam, les frères Desjoyeaux, Marc Guillemot, Bretrand de Broc, Patrick Morvan et d'autres. Les études vite larguées, passionné de planche, il débute par quelques convoyages, embarque sur Pen Duick VI pour accompagner la transat Lorient-Les Bermudes en, 1983, régate avec Bilou sur son cata de 40 pieds Caisse d'Epargne, et fait vite son trou ; c'est une époque "d'aventuriers" et de "traîne-savates", où "tout est possible". Tout s'enchaîne : il progresse, court le SORC, embarque sur Jet Services - il est du tragique chavirage de 1985 - puis rencontre Jean Maurel qui l'emmène sur Elf Aquitaine, gagnant ensemble Québec-Saint-Malo, le Tour de l'Europe... En 1991, il mène son premier projet solo à bord de Cimarron, où il finit 3e de La Baule-Dakar, mais il poursuit surtout une carrière d'équipier recherché, se spécialisant dans la navigation. Il navigue avec Roland Jourdain (AG2R 1992), Laurent Bourgnon (Course de l'Europe 1993), Franck Cammas (AG2R 1996), Paul Vatine (Transat Jacques Vabre 1997), Thierry Peponnet (AG2R 1998), Marc Guillemot (Transat Jacques Vabre 1999)... et multiplie les participations au Tour de France à la voile pour faire bouillir la marmite. Il vit ensuite la belle époque des trimarans Orma à la tête de son propre projet, entre 2000 et 2003, avec Belgacom, embarquant Mich Desj et Loïck Peyron, avant de découvrir la Solitaire pour la première fois en 2004, gagnant le classement bizuth à 40 ans passés ! Il passe ensuite à l'Imoca avec Bilou, encore, et entre ensuite chez Groupama pour remporter avec Franck Cammas la Volvo Ocean Race en 2011 ; il rempile avec les Espagnols de Mapfre lors de l'édition suivante. Puis, c'est l'aventure Sodebo avec Thomas Coville, pendant 7 ans. Avant qu'une annonce dans Tip & Shaft, en 2021, n'attire son attention : Apivia recherche son team manager pour emmener Charlie Dalin décrocher le Vendée Globe . A 58 ans, le voilà patron d'équipe, découvrant la vie en CDI chez MerConcept, l'entreprise de François Gabart. Fidèle à lui-même, toujours aussi direct, Jean-Luc Nélias l'avoue : ça n'est pas facile tous les jours. Mais cela reste de la voile de haut niveau, une discipline qu'il pratique depuis quatre décennies. Diffusé le 5 mai 2023 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Grégoire Levillain
Ce 104e épisode de Pos. Report reçoit deux invités, qui, après avoir débuté par la voile olympique, tous les deux en 470, se sont ensuite lancés sur le circuit Figaro avant d'être embarqués l'un comme l'autre à bord d'un maxi-trimaran chasseur de records : le premier, Guillaume Pirouelle, sur Sodebo Ultim 3, le second, Pierre Leboucher, sur Sails of Change (ex Spindrift 2). Ils commencent d'ailleurs par raconter comment ils vivent leurs actuelles périodes de stand-by respectives, qui dure depuis trois mois pour Pierre Leboucher, puisque Sails of Change attend toujours une fenêtre météo pour s'élancer à l'assaut du Trophée Jules Verne. Le stand-by a d'ailleurs été prolongé d'un mois, jusqu'à début mars. De son côté, Sodebo Ultim 3 a fait un aller-retour la semaine dernière entre Lorient et Cadix, d'où l'équipage mené par Thomas Coville espérait se lancer sur la Route de la Découverte - record détenu depuis octobre 2013 par Spindrift 2 en 6 jours 14 heures 29 minutes et 21 secondes -, la fenêtre météo s'étant finalement refermée. Nos deux invités racontent ensuite comment ils ont intégré les équipages des deux trimarans, deux expériences qu'ils apprécient particulièrement. Nous ouvrons ensuite une page Figaro, au moment où Guillaume Pirouelle a repris le jour même le chemin de l'entraînement lundi à Port-la-Forêt sur Région Normandie, Pierre Leboucher confiant de son côté qu'il part à La Rochelle rejoindre Camille Bertel, issue de la classe Mini, avec laquelle il prendra fin avril le départ de la Transat Paprec, courue pour la première fois en double mixte. Nous revenons ensuite avec Guillaume Pirouelle sur son choix de se lancer en Figaro il y a deux ans, encouragé par son “compatriote” normand Alexis Loison qui l'a incité à postuler à la sélection lancée par la région, avant de lui transmettre son savoir du Figaro Beneteau 3. Une méthode payante, puisque pour sa première saison seul à la barre du monotype en 2022, le natif de Rouen a pris la deuxième place de la Solitaire du Figaro et du championnat de France Elite de course au large. Nous finissons par évoquer la saison à venir : Guillaume Pirouelle, qui hésite encore à disputer la Transat Paprec, se fixe la Solitaire du Figaro comme objectif principal, il devrait encore naviguer sur Sodebo Ultim 3 et annonce qu'il courra la Transat Jacques Vabre en Class40 avec “un projet havrais”. Pierre Leboucher, en plus de la Transat Paprec et de Sails of Change, va disputer le Tour Voile en Figaro 3 avec Philippe Hartz et des jeunes et espère une opportunité sur la Transat Jacques Vabre. Diffusé le 31 janvier 2023 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Grégoire Levillain
Tip & Shaft vous propose d'écouter ou de ré-écouter l'épisode d'Into The Wind le plus suivi de l'année 2022. Votre podcast revient dans son format habituel le vendredi 13 janvier. D'ici là, toute l'équipe de Tip & Shaft vous souhaite une très bonne année 2023 ! Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur. L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer ! Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout. Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot. En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur). C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore. Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016. Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012. Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.
Qu'est-ce qui nourrit le désir de se lancer dans 8 tours du monde, alors même qu'on a déjà battu tous les records ? Comment est-ce qu'on se relance dans une nouvelle course après le traumatisme d'avoir percuté un cargo et mis sa vie en péril ? Dans cet épisode, nous recevons le navigateur français Thomas Coville, homme qui a battu le record du tour du monde en solitaire à la voile en 2016, recordman de la traversée de l'Atlantique Nord en solitaire et présent trois fois sur le podium de la Route du Rhum. Loin de la représentation du navigateur dans l'imaginaire collectif, solitaire et un peu déconnecté, le parcours de Thomas Coville a été façonné par ses rencontres : avec d'autres navigateurs, avec d'autres athlètes, avec des entrepreneurs, des auteurs, des préparateurs mentaux… De ses premiers pas en préparation mentale à ses méthodes pour s'endormir ou gérer son énergie, Thomas Coville nous fait entrer, l'espace d'un épisode, dans l'intimité d'un navigateur et aventurier insatiable. Découvrez le portrait et l'expérience d'un skipper hors-norme. Ses 3 bonnes pratiques en matière de santé mentale - Faire un travail sur soi ne signifie pas qu'il faille faire ce travail seul. Au contraire. Trouver la bonne personne est clé pour rebondir après un échec, forger sa confiance. Face à un défi ou un obstacle, l'état d'esprit de départ est essentiel. Il faut accepter d'être changé par ce qui va nous arriver, il faut même en avoir envie. C'est de là que vient l'énergie de surmonter une difficulté ou une épreuve. Il est important de faire la distinction entre être solitaire et ressentir de la solitude. Lorsqu'il est choisi et non subi, le fait d'être seul et de reconnecter à soi, à ses sensations, à ses émotions peut mener à un certain sentiment de plénitude. Dans cet épisode, vous apprendrez - 02:50 - Comment le navigateur français a réussi à surmonter le sentiment d'échec et de culpabilité après avoir percuté un cargo durant la course du Rhum 10:35 - En quoi la préparation mentale en amont décuple ses sensations lors de ses importantes navigations et compétitions 20:31 - Ce qui lui permet de maintenir son énergie sur toute la durée d'une course en mer 26:04 - Quelles méthodes Thomas Coville a développé pour s'endormir plus sereinement pendant ses navigations, malgré un sommeil mis à rude épreuve 30:10 - Pourquoi il est important de distinguer “solitaire” et “solitude”, et comment on peut goûter le fait d'être seul 35:00 - Pourquoi le rôle de la santé mentale et de la préparation mentale ont beaucoup évolué dans l'univers de la navigation “Les secrets du mental” est un podcast de moka.care, produit par CosaVostra.
durée : 00:07:03 - franceinfo junior - Avant le grand départ dimanche 6 novembre de la 12e édition, Thomas Coville est l'invité d'un franceinfo junior spécial "Route du Rhum".
durée : 00:07:03 - franceinfo junior - Avant le grand départ dimanche 6 novembre de la 12e édition, Thomas Coville est l'invité d'un franceinfo junior spécial "Route du Rhum".
15 ans pour le « Super Moscato Show » et toujours pas une ride ! On ne change pas une équipe qui gagne : Vincent Moscato sera de nouveau épaulé par sa Dream Team composée de Pierre Dorian, Adrien Aigoin, Éric Di Meco, Maryse Ewanjé-Epée, Denis Charvet et Stephen Brun. Deux nouvelles arrivées feront leur entrée dans l'équipe. Marion Bartoli, la championne de Wimbledon 2013 et dernière française à avoir remporté un Grand Chelem, rejoindra la Dream team pour commenter, analyser et débattre sur l'actualité et les événements sportifs qui rythmeront cette année. Le pilote français Esteban Ocon interviendra également cette saison autour de chaque Grand Prix de Formule 1 ! RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h30-8h30), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Il s'est mis au bateau... pour pouvoir faire de la planche à voile ! Trois décennies plus tard, Thomas Rouxel, 40 ans fin novembre, peut se targuer d'une carrière discrète mais brillante d'équipier recherché, lui qui est désormais le co-skipper de Thomas Coville à bord de Sodebo Ultim 3. Des parents restaurateurs à Erquy qui casent les deux frères à l'école de voile pour l'été et c'est parti : Optimist puis Equipe avec son aîné, il enchaîne avec le 420 et c'est le déclic "du jour au lendemain", avec les résultats qui arrivent et emmènent les frères Rouxel au championnat du monde. Pour autant, la vraie passion du jeune Thomas reste... le funboard : "Si on m'avait laissé choisir, je n'aurais fait que de la planche". Ils enchaînent avec le 470, s'installent à Brest pour leurs études en fac de sport, deviennent sportifs de haut niveau. Leur avenir olympique est un peu bouché, à cause d'un gabarit "pas idéal du tout", alors le jeune Rouxel glisse presque naturellement vers l'habitable, découvert en parallèle : First Class 8, match racing, Tours de France à la voile, Melges 24... Presque par hasard, il découvre en 2003 le Figaro via le Challenge Crédit Agricole, embarque ensuite avec Benoît Petit et se retrouve en 2006 au départ de sa première Solitaire du Figaro. Cinq saisons de Figaro 2 vont faire de lui un figariste qui joue dans le haut du tableau, avec trois places dans les 10 sur la Solitaire, une deuxième place sur le Trophée BPE Belle-ïle Marie-Galante et une victoire, après le déclassement de Nicolas Lunven, sur la Transat Bénodet-Martinique, sans parler d'une cinquième place avec Nicolas Troussel lors de l'AG2R 2010 - "une rencontre qui a beaucoup compté pour moi". Pas mal pour un marin qui, lors de sa première transat, en 2006, avait conclu à son arrivée : "Plus jamais ça !" Il est ensuite recruté par Sébastien Josse pour naviguer sur le MOD70 Gitana, et c'est un nouveau déclic : la navigation en multicoque comble le planchiste - et le touche-à-tout - qu'il est toujours. En 2014, c'est au tour de Charles Caudrelier de l'appeler pour embarquer dans l'aventure incroyable du projet Dongfeng, où un petit groupe de marins français se rend en Chine sélectionner des navigants avant de partir autour du monde sur la Volvo Ocean Race - la seule course qui le faisait rêver, ado - pour décrocher une incroyable troisième place. Une tentative de trophée Jules Verne en 2015 sur Spindrift et c'est à nouveau Sébastien Josse qui le rappelle pour embarquer sur le tout nouveau Gitana 17 : l'occasion pour "Tom Roux", comme beaucoup le surnomme, d'entrer dans le club très fermé des barreurs d'Ultime. Il signe chez Sodebo quand Gitana se sépare de Sébastien Josse en 2019 et développe sa capacité à voler au large, tout en continuant les piges en Figaro ou en IRC, convaincu, comme nombre de marins, que varier les supports, "c'est bon pour la performance". Sans cacher, désormais, ses envies d'un projet à lui en Ocean Fifty... et sans en faire, non plus "une fin en soi" en équipier "épanoui" qu'il est. ---- Diffusé le 13 mai 2022 Générique : In Closing – Days Past Post-production : Julien Badoil/Studio Juno
Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur. L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer ! Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout. Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot. En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur). C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore. Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016. Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012. Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.
Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur. L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer ! Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout. Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot. En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur). C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore. Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016. Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012. Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.
Quand on s'assoit face à lui après avoir installé les micros, on sait qu'on va en avoir pour son argent... et qu'il faut se caler confortablement. Car Thomas Coville, 53 ans, est un marin éclectique, doublé d'un formidable conteur. L'invité idéal, donc, pour fêter ce 50e épisode d'Into The Wind : un épisode exceptionnel en trois parties pour six heures d'interview - avec une pause déjeuner au milieu, rassurez-vous - mais nous n'avons pas vu le temps passer ! Thomas Coville, boulimique de la mer et des bateaux, a couru sur presque tous les supports et sur toutes les mers, en plus de trois décennies d'une carrière d'une rare intensité. A part la voile olympique, c'est bien simple, il a touché à tout. Le Tour de France à la voile ? Il les enchaîne en guise de formation dans les années 1980. Le multicoque ? Il apprend tout avec Laurent Bourgnon. La Coupe de l'America ? Il participe à l'édition 1995 au sein du team de Marc Pajot. En rentrant de San Diego, il réalise un enchaînement impeccable : Trophée Jules Verne avec Olivier de Kersauson (record), Mini Transat quelques mois plus tard (2e), puis Route de l'Or avec Yves Parlier (vainqueur) qui lui confie Aquitaine Innovations pour le Rhum 1998 après sa chute de parapente (vainqueur). C'est là qu'il est recruté par Sodebo pour remplacer Raphaël Dinelli sur l'Imoca vendéen : victoire dans la Transat Jacques Vabre 1999 et Vendée Globe dans la foulée (6e). S'en suivent plus de deux décennies de partenariat qui courent encore. Aux cinq saisons - difficiles - en Orma, succèdent dix années ou presque d'une quête personnelle, celle du Trophée Saint-Exupéry, le record du tour du monde en solitaire "overall", qu'il décroche à sa cinquième tentative, le jour de Noël 2016. Sans parler des "extras", qu'il pratique avec bonheur, des piges sur le Trophée Jules Verne - remporté une seconde fois avec Franck Cammas en 2010 - et sur la Volvo Ocean Race - plusieurs participations, dont une victoire, toujours avec Cammas en 2012. Bilan : 8 tours du monde, 10 passages du cap Horn, une vingtaine de transats... et la liste n'est pas close. Désormais pilote d'Ultime, Thomas Coville vise le Rhum 2022 puis le Tour du monde en solitaire en 2023. Insatiable.
Ce 42e épisode de Pos. Report est consacré à classe Ultim, avec deux invités qui prendront le départ le 7 novembre de la Transat Jacques Vabre : Kevin Escoffier, co-skipper d'Armel Le Cléac'h sur le Maxi Banque Populaire XI, et Thomas Rouxel, qui accompagnera Thomas Coville sur Sodebo Ultim 3. Nos deux invités commencent par raconter comment ils ont préparé cette année la transat en double, avec notamment un fonctionnement à quatre sur Sodebo Ultim 3, avec en plus Matthieu Vandame et Corentin Horeau, un dispositif qui permet, selon Thomas Rouxel « d'avoir des regards extérieurs et d'alterner les duos. » Kevin Escoffier confie de son côté que la priorité, sur Banque Populaire XI, mis à l'eau fin avril dernier, est tournée vers la fiabilité, en particulier des nombreux systèmes à bord (safrans rétractables, montée et descente des foils, réglage du rake…). L'ancien patron du bureau d'études du Team Banque Populaire détaille les principales différences entre le précédent trimaran, Banque Populaire IX, perdu sur la Route du Rhum 2018, et le dernier sorti, dont le centre de gravité est plus avancé, ce qui lui permet de « naviguer bow down, avec le nez qui pique, afin d'être beaucoup plus stable à la gîte et plus facile. » Thomas Rouxel explique de son côté les dernières évolutions sur Sodebo Ultim 3, avec notamment des nouveaux safrans de flotteurs rétractables et plus profonds, « pour gagner en fiabilité et en contrôle. » Les deux marins évoquent également la concurrence, du nouveau SVR Lazartigue, sur lequel, selon Kevin Escoffier, les architectes et l'équipe de MerConcept « ont poussé le curseur aérodynamique très loin », au Maxi Edmond de Rothschild, qu'ils considèrent tous les deux comme le favori de la Transat Jacques Vabre, en passant par Actual Ultim 3, qu'ils estiment capable de tirer son épingle du jeu sur la transat en double. Pour finir, Kevin Escoffier évoque son projet Imoca toujours soutenu par PRB, avec un bateau en cours de construction en Angleterre au chantier Carrington qu'il attend à Lorient « pour Noël ». Avec une mise à l'eau au printemps prochain, l'intéressé n'excluant pas de participer à The Ocean Race en plus de la Route du Rhum fin 2022. Thomas Rouxel continuera sans doute de son côté à accompagner Thomas Coville en Ultim, tout en restant attentif à d'autres projets. Diffusé le 28 septembre 2021 Générique : Fast and wild/EdRecords Post-production : Clovis Tisserand
Martin Keruzoré est mediaman, ou reporter embarqué, sur les plus grandes courses à la voile du monde. De la mythique Volvo Ocean Race à sa récente tentative de record de tour du monde à la voile en moins de 40 jours à bord de Sodebo, ce diplômé d'école de cinéma écume toutes les mers caméra au poing. Martin a grandit au contact de la mer et c'est donc naturellement qu'il a réussi à marier ses deux passions, alors que le métier qu'il occupe aujourd'hui commençait à peine à émerger dans l'univers de la voile. Dans cet échange, Martin nous décrit ses expériences en mer et nous livre ce qui pour lui prime lorsqu'il embarque au sein d'un équipage : l'humain ! Un superbe échange avec un passionné qui nous ouvre les portes de certaines des plus grandes épreuves internationales avec authenticité, générosité et beaucoup d'humilité. Merci Martin !
Pour le premier épisode de Paroles Sauvages, je suis très heureuse d'ouvrir le bal avec l'auteur et comédien Jacques Gamblin. Jacques Gamblin est comédien, auteur, metteur en scène mais aussi danseur, navigateur, slameur, musicien… Il est une figure du cinéma français, mais aussi du théâtre et a reçu de nombreuses récompenses (Césars du meilleur acteur, Molières du comédien et seul en scène…). On le connaît dans de nombreux films cultes (« Les enfants du marais », « Pédale Douce », « Le nom de gens », « Le premier jour du reste de ta vie »…), mais aussi de théâtre avec notamment des créations personnelles comme le spectacle musical « Ce que le jazz fait à ma djambe » ou encore « Tout est normal mon cœur scintille ». Amoureux des mots, mais aussi du corps, du mouvement, du rythme, de la musique, du sport, de la mer, de la navigation, de la nature. Jacques Gamblin est indéfinissable, insaisissable, multi casquettes et en même temps aucune à la fois. On ne peut le ranger dans aucune case, c'est cela qui le rend si fascinant, et surtout si libre. Au delà de son engagement artistique, on a découvert son engagement écologique, notamment avec son texte et sa lecture « Mon climat » en 2015, un film qui a été visionnée des millions de fois sur internet. Il est aussi navigateur, a notamment embarqué sur la goélette d'expédition scientifique Tara, et prêté sa voix sur le documentaire « Tara l'Odyssée du corail ». Son dernier spectacle « Je parle à un homme qui ne tient pas en place » adapté de son livre correspondance, entre le navigateur Thomas Coville en course au large et lui à terre, a été suspendu du jour au lendemain avec le confinement. Né à Granville, son port d'attache est depuis plusieurs années dans le Golfe du Morbihan, où il habite. C'est aussi pour cela que je l'ai naturellement invité, car ce cycle d'entretiens en public a été lancé à côté de chez moi et de chez lui, en Bretagne Sud. À la réouverture des lieux de culture après le premier confinement, il a été le premier ...
Aujourd'hui, CapVG20 revient sur cette journée de départ du Vendée Globe, encore plus particulière que d'habitude, en raison du contexte, mais parfaitement réussie. Au micro : Antoine Mermod, président de la classe Imoca ; Aurélia Mouraud, femme d'Alan Roura ; Erik Nigon, skipper partenaire de Clément Giraud ; et Thomas Coville, skipper Sodebo bientôt engagé dans le Trophée Jules Verne. Et à la fin de ce tout dernier épisode : une annonce importante !Podcast produit par Alexis Raison
Dans le 57e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente la bande dessinée La dernière rose de l’été de Lucas Harari, un one shot édité chez Sarbacane. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La disparition à l’âge de 95 ans du scénariste André-Paul Duchâteau - La sortie de l’album Carbone & silicium de Mathieu Bablet au dessin comme au scénario chez Ankama - La sortie de Tanz ! de Maurane Mazars au scénario comme au dessin chez Le Lombard - La sortie de l’album Mangez-le si vous voulez de Gelli sur une adaptation du roman de Jean Teulé et c’est édité chez Delcourt dans la collection Mirages - La sortie du troisième tome de RIP intitulé Au bon endroit mais au mauvais moment que l’on doit à Gaet's pour le scénario et Julien Monier pour le dessin - La sortie de Thomas Coville, la quête de l'ultime, un album que l’on doit à Alexandre Chenet pour le scénario et Renaud Garretta pour le dessin et c’est édité chez Dargaud
Thomas Coville est skipper professionnel. Il est l'ancien détenteur du record du monde à la voile en solitaire en 2016 (battu depuis par Francois Gabart). Record qu'il aura mis 9 ans à battre. Après 5 tentatives, et plusieurs bateaux coulés. Il a toujours le record de l'Atlantique Nord. Il a aussi gagné la Transat Jacques Vabre. À son compteur 8 tours du monde dont 4 en solitaire, 6 en multicoque et 2 en monocoque 10 passages du Cap Horn et plus de 17 transatlantiques 17 records en solitaire et 4 en équipage 4 Route du Rhum dont 1 victoire en monocoque en 1998 et 2 podiums en trimaran (2006 et 2010) Pour suivre l'actualité d'Etienne : - la Page Facebook : https://www.facebook.com/SodeboVoile/ - La page web de la Team : https://www.sodebo.com/article/thomas-coville/
Tous les dimanches, Louis Bodin vous propose de redécouvrir notre planète, depuis les entrailles de la terre jusqu'à la stratosphère. Ses invités vous feront partager leurs points de vue sur la planète depuis les abysses marins jusqu'à l'espace en passant par la terre ferme ou les sommets. Et pour cet épisode, direction la mer et les océans. Nos invités partagent avec vous leur passion pour l'eau depuis les sommets jusqu'aux ports en passant par les plaines et le littoral... Le navigateur Thomas Coville et Thierry Briend, son partenaire d’entraînement et membre de la cellule de routage de Thomas Coville, vous racontent leur tandem et leur passion pour la mer. Quel lien entretient le marin avec la mer et l’Océan ? Seul pendant sa course, qui est son lien avec la Terre ferme ? Comment s’établit une relation de confiance entre le marin et l'équipe restée à terre ? Ils répondent ensemble à toutes ces questions...
Dans cet épisode, Denis Brogniart reçoit Thomas Coville, marin mais pas seulement. A bord de Sodebo son maxi-catamaran, il a battu en 2016 le record du tour du monde à la voile en solitaire. Thomas Coville, un navigateur humaniste, un esthète de la mer. Un podcast du Groupe TF1.
durée : 00:04:30 - Ca vaut le détour en Gironde - par : christine alban - Dans « Je parle à un homme qui ne tient pas en place », vendredi 7 et samedi 8 février 2020 à 20h30
La navigateur Thomas Coville est marin d'exception. Détenteur du record du tour du monde en multicoque en solitaire, c'est aussi une tête bien faîte avec un regard très fin sur les choses de la vie. Il se confie en toute simplicité. Crédits sons : Waste Time - Vincent Augustus / freearchivemusic.org (cc by 4.0)
La navigateur Thomas Coville est marin d'exception. Détenteur du record du tour du monde en multicoque en solitaire, c'est aussi une tête bien faîte avec un regard très fin sur les choses de la vie. Il se confie en toute simplicité. Crédits sons : Waste Time - Vincent Augustus / freearchivemusic.org (cc by 4.0)
La Route du Rhum 2018 s’est clôturée le 7 décembre. Ce dernier épisode de la série fait un parallèle entre cette aventure d’une Route du Rhum podcastée et le spectacle co-écrit par le comédien Jacques Gamblin et Thomas Coville, « Je parle à un homme qui ne tient pas en place ». C’est la fin d’un rêve. L’auteur, Karine Fougeray espère qu’il y a en aura beaucoup d’autres.
Les titres du flash:- Environ 10 milliards d’euros, c’est le montant d’accords signés entre des entreprises françaises et vietnamiennes aujourd’hui, calcule Challenges. - Aujourd'hui c’est la «Journée internationale contre l'impunité pour les crimes contre les journalistes». Un chiffre diffusé par l’Unesco : plus de mille journalistes assassinés depuis 2006 pour avoir voulu couvrir des évènements et informer le public. - Mario Segale est mort samedi à l’âge de 84 ans, rapporte Kotaku. Ce promoteur immobilier a donné son prénom au personnage Super Mario de Nintendo.- Le «NaNoWriMo», pour «National Novel Writing Month», projet d’écriture créative sur un mois, a été lancé hier.- 123 skippeurs dimanche au départ de la Route du Rhum. 20 Minutes a parlé avec Thomas Coville. Le marin breton évoque de sa préparation avant la course: «Quand je fais de la musculation, par exemple, mon préparateur me fait faire du calcul mental afin d’élever mon niveau de concentration, et être dans une exigence qui n’est pas que physique ». Une interview à retrouver sur notre site.Pour accéder aux précédents flashs de « Minute Papillon ! » sur votre smartphone, c’est par ici :- Vous êtes sur iOS- Vous êtes sur Android- Dans l’onglet « 20 Minutes Podcast » sur la page d’entrée de notre site.Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits – Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Cuisine - Nctrnm freearchivemusic.org Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Welcome back to Maid of Steel! I'm flyin' solo this week while Karen (the Scarlet Cougar) takes care of some life stuff. Most of my thoughts about the episode are in this podcast, as I keep the podcast pretty tight and stick to listener feedback. This post and podcast cover Supergirl Season 3 Episode 4 "The Faithful" which originally aired on October 30, 2017. Guest actors this week included Chad Lowe as cult leader (Thomas Coville) and Sofia Vassilieva as Olivia. Read more... The post MOS 47 – S3E04 – Supergirl and the Cult of Rao appeared first on Golden Spiral Media- Entertainment Podcasts, Technology Podcasts & More.
In this week’s episode of Supergirl Radio, Morgan Glennon and Rebecca Johnson discuss the Supergirl season three episode titled "The Faithful"! Join in on the fun as the gang at Supergirl Radio covers The CW’s Supergirl! Official Description by The CW for Supergirl 3.04: "Kara investigates a secretive new group whose leader, Thomas Coville (guest star Chad Lowe), has a mysterious connection to Supergirl. Meanwhile, Samantha feels like she's letting Ruby down, and J'onn confesses an old secret. Guest Stars include Emma Tremblay (Ruby Arias), Erica Durance (Alura), Sofia Vassilieva (Olivia), Sage Brocklebank (Guard), David Carzell (Kenneth), Nick Fontaine (Josh), Cameron Forbes (Chief), Hyuma Frankowski (Jeremy), Meghan Gardiner (Soccer Mom), Khaira Ledeyo (Vice Principal), and Alex Zahara (Little Kryptonian Man)." Supergirl stars Melissa Benoist (Kara Danvers/Supergirl), Chyler Leigh (Alex Danvers), Mehcad Brooks (James Olsen), David Harewood (Hank Henshaw/Martian Manhunter), Jeremy Jordan (Winslow “Winn” Schott), Katie McGrath (Lena Luthor), and Odette Annable (Samantha Arias/Reign). WRITTEN BY: Paula Yoo and Katie Rose Rogers. DIRECTED BY: Jesse Warn. You can find Supergirl Radio on: Social Media: Facebook – Twitter – Instagram - Spotify - DC Fans Subscribe: iTunes – Stitcher Radio – DC TV Podcasts - Google Play - iHeartRadio Contact: supergirlradio@gmail.com
For the very first episode of the Yacht Racing Podcast we travel to New York for the finish of The Bridge transatlantic race to speak exclusively to French record breaking solo round the world multihull skipper Thomas Coville.