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L'IA embarque à bord de la SNCF... Comment améliorer l'expérience voyageur ?Optimiser le trafic, anticiper les aléas, fluidifier la maintenance, personnaliser la relation client… L'intelligence artificielle s'invite dans les coulisses de la SNCF.Dans cet épisode des Carnets de l'IA, Manuel Davy reçoit Guillaume Lecoeur, responsable Dev Factory Intelligence Artificielle pour e.SNCF Solutions, pour comprendre comment le groupe met l'IA au service de deux grands leviers de transformation :
durée : 00:14:06 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en l'Isère : une crèche itinérante, le Bébébus, et une association qui inventorie les points d'eau dans le parc naturel régional de Chartreuse pour les rendre accessibles aux amphibiens et aux reptiles, notamment. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous adorez les carnets, mais vous ne savez pas comment les utiliser sans vous disperser ?Dans cet épisode, je vous ouvre les coulisses de mon propre système de carnets – celui qui m'aide à clarifier mes pensées, me connecter à moi-même et garder le cap au quotidien.Je réponds à toutes vos questions :Combien de carnets j'utilise et à quoi ils serventComment je fais pour ne pas me perdre entre tousPourquoi j'écris presque tous les jours, mais sans contrainteEst-ce que je relis mes anciens carnets et pourquoiEt surtout : comment créer un système qui VOUS correspondVous verrez : il ne s'agit pas d'un système parfait, mais d'un système vivant, qui soutient vos besoins réels, pas vos idéaux de perfection.Ce que vous allez en retirer : une approche simple et libératrice pour (re)trouver le plaisir d'écrire, vous recentrer, et transformer vos carnets en alliés de votre clarté intérieure.Carnets mentionnés dans cet épisode :Le carnet Rhodia “Goalbook”Le carnet Leuchtturm (le mien est une édition limitée Change ma vie couleur cuivre)L'agenda Moleskine Smart PRO PlannerLe 6-Minute DiaryLe stylo Staedtler Triplus Fineliner 0.3mm (en boîte de 10 !)À chaque fois que j'évoque mes carnets sur les réseaux sociaux ou sur la liste de diffusion de Change ma vie, je reçois plein de questions. Combien j'ai de carnets ? Comment est-ce que je vais m'en servir ? Est-ce que je les relis ? Est-ce que j'ai peur que quelqu'un les lise ? Dans cet épisode, je me propose de répondre à toutes vos questions, de vous expliquer comment fonctionnent mes carnets et comment vous pouvez vous en inspirer pour créer le vôtre.Si vous découvrez cet épisode, je suis Clotilde Dusoulier, je suis coach de vie, autrice et entrepreneuse. J'ai écrit le livre Ma méthode Change ma vie qui vient juste de sortir au format poche, et je suis la fondatrice de Change ma vie.Change ma vie, c'est la référence du coaching de vie en France avec plus de 4 000 personnes accompagnées. Sur ce podcast Change ma vie, je vous propose chaque semaine des outils précis et concrets de développement personnel et de coaching pour que vous puissiez changer votre vie de l'intérieur. Abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode.Tout au long de cet épisode, je vais répondre à des questions qui m'ont été posées sur mon système de carnets. Si vous écoutez la version audio seule de cet épisode, je vous précise qu'en allant voir sur YouTube la version vidéo, vous pourrez voir les carnets que je vais pouvoir vous montrer et pas seulement vous en parler.Plusieurs carnets en parallèle : organisation par fonctionLa première question à laquelle je vais répondre, c'est : « As-tu plusieurs carnets en même temps, par thème ou par fonction, et lesquels ? » Je vous propose un petit tour d'horizon des carnets que j'utilise de façon quotidienne.Le carnet des flots de penséeLe premier que je vais vous présenter, c'est le carnet de mes flots de pensée. Qu'est-ce que j'appelle des flots de pensée ? C'est le fait, pour ma part, tous les matins, d'écrire la date et d'écrire mes pensées, mes préoccupations, et d'aller creuser un petit peu pour comprendre ce qui m'occupe, pourquoi, ce qui se cache là-dessous.Je fais des flots de pensée que j'appelle des flots de pensée dirigés, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement retranscrire sur papier tout ce qui me passe par la tête, comme on peut le faire avec d'autres méthodes. Moi, ce que je fais pour aller plus droit au but et vraiment utiliser au mieux le temps que j'ai devant moi, c'est de partir de questions qui vont me permettre d'aller creuser ce qui est le point de préoccupation principal pour moi à ce moment-là, et qui va me faire avancer le plus possible pendant cette session de flots de pensée.Comment est-ce que je fais ça ? J'applique la méthode du coaching de Change ma vie, qui permet justement de savoir quels sont les sujets sur lesquels on a besoin d'avancer, ce qui nous limite, ce qui nous bloque, pour aller creuser exactement ça. Ce que je fais aussi, c'est qu'au fil de mes journées, en fonction de mes conversations, de mes lectures, de choses que j'entends ou que j'écoute, je note sur une note de mon téléphone des questions ou des points d'exploration sur lesquels je me dis qu'il y a quelque chose à creuser là-dessus.Quand je démarre mes flots de pensée, soit j'utilise la méthode du coaching de Change ma vie, soit j'emprunte une des questions que j'ai pu noter sur cette note-là.Le journal de 5 minutesLe deuxième format que je vais vous présenter, c'est celui qui s'appelle le Five Minute Journal, ce qui veut dire en français le journal de 5 minutes. C'est un format que j'achète qui est tout fait et qui permet, de façon quotidienne, d'avoir une partie qu'on peut remplir le matin et une partie qu'on peut remplir le soir. Il permet de se poser une typologie de questions identique tous les jours.Le matin, ce sont mes gratitudes, mes intentions pour la journée, et le soir, c'est : qu'ai-je fait de bien, qu'ai-je appris et quels sont les beaux moments que j'ai vécus. J'aime bien ce format, ça fait quelque temps que j'achète celui-là. Il existe en rose et en bleu, j'alterne le rose et le bleu.Le carnet professionnelC'est mon carnet professionnel sur lequel je note mes notes prises en réunion avec mon équipe, en rendez-vous avec des personnes extérieures à mon équipe. Quand je me pose pour réfléchir à un sujet, à la stratégie, à mon offre, à ma visibilité, c'est là-dessus aussi que je prends mes notes.Il se trouve que c'est un carnet qui est littéralement Change ma vie, puisque ce sont des carnets que j'ai fait fabriquer avec écrit « Change ma vie » dessus, avec une couverture cuir rose que je trouve très jolie. J'ai mis un sticker dessus, mais il y a écrit « Change ma vie » en creux sur la couverture. Je vous précise que c'est au format A5 avec des petits points pour remplacer des lignes. C'est important d'avoir un carnet qui vous plaît, je pense que c'est la base, pour qu'il y ait un côté régal émotionnel et esthétique qui soit fort.C'est un agenda qui me plaît beaucoup par le format, parce qu'il y a des doubles pages qui reprennent les rendez-vous, mais d'une semaine à l'autre, il y a une double page qui permet la prise de notes. Moi, j'interviens sur une variété de projets, avec une variété de casquettes et de responsabilités, et plutôt que d'avoir une to-do list en vrac où tout est au même niveau, j'ai une to-do list qui est priorisée.Si je vous montre une semaine passée, on voit que j'ai des nuages de tâches, et au fur et à mesure, je coche, je barre. À la fin de la semaine, ce que je n'ai pas fait — parce qu'évidemment j'ai toujours plus de choses sur ma to-do list que j'ai eu le temps pour les faire — je le reporte à la semaine d'après, et j'ai une petite flèche pour montrer que je l'ai bien récupéré.J'ai une catégorie qui s'appelle « plus tard », qui me permet de reporter des sujets qui ne sont pas urgents. Moi, je suis mon propre patron, il est possible que je m'occupe de choses personnelles sur ma journée professionnelle, voire de choses professionnelles sur mon temps personnel d'ailleurs. C'est une vue d'ensemble de ce que j'ai à faire sur cette semaine. Ce dont je ne m'occupe pas, je note, pour ne pas l'oublier, et j'aimerais bien y revenir après, notamment sur des objectifs, sur des films que j'ai envie de voir, ce genre de choses. C'est un peu un carnet à tout faire, mais c'est essentiellement un agenda et une to-do list.Voilà un petit peu ce fameux système de carnets. On va revenir un petit peu plus dans le détail avec les autres questions que vous m'avez posées.Faut-il un carnet pour chaque besoin ?Une première question que je voudrais aborder, c'est : est-ce que vous avez besoin d'un carnet ? Si oui, quelle forme est-ce que ça pourrait prendre ? L'idée, c'est d'éviter qu'un carnet devienne ce qu'on a dans un tiroir, dans un fond de placard, et qu'il soit réponse à un besoin clairement identifié, soit à un besoin qui existe tout court.Il est possible qu'on ait créé un carnet — par exemple, je parlais d'un carnet pour les films qu'on a envie de voir ou les livres qu'on a envie de lire — et l'auteur·rice conseillait de faire ce projet, d'avoir cette routine-là. Aujourd'hui ça ne colle pas, et on peut toujours... c'est pas très grave d'avoir un carnet qui dort.L'archivage chronologique des carnetsMon système est vraiment uniquement chronologique. Ce que je fais quand j'ai terminé un carnet, c'est que sur les carnets d'agenda, à l'arrière du carnet, il y a des autocollants qui sont sur la tranche pour indiquer quelle était la période que ça a couvert. Là, en l'occurrence, celui que je vous ai sorti, c'est mai 2023 à avril 2024, c'est noté dessus. Comme ça, quand je les archive — moi je les archive dans un placard — je vois sur la tranche quelle est la date.Ensuite, si je me souviens par exemple que c'est quelque chose que j'ai noté il y a 6 mois, on était en avril dernier, si c'était le carnet d'avant, je reprends le carnet d'avant et je retrouve la page qui correspond à ce que j'avais noté. Mes prises de notes, en particulier mes flots de pensée, je les date toujours, je note la date, je note la carte de coaching que j'ai tirée ce jour-là, et ensuite je fais mon flot de pensée. Si je veux revenir à quelque chose que j'ai écrit, je me réfère à la date.C'est pareil pour ma prise de notes professionnelle : à chaque fois, je note quelle est la réunion ou quel est le rendez-vous, et je note la date. De cette façon-là, si je veux revenir aux notes que j'ai prises pendant telle réunion, à tel sujet, je repars en arrière. Certes, il faut se souvenir de quelque chose qu'on a noté, et je pense qu'il compte de moins en moins sur le pouvoir de notre cerveau et le pouvoir de notre mémoire, et c'est pas mal aussi de faire travailler un petit peu son cerveau de ce côté-là.Papier ou numérique ?Je note mes rendez-vous sur mon agenda papier, mais j'ai le mérite d'être partageable avec mon équipe, partageable avec mon mari quand on gère un agenda familial partagé. J'ai pas toujours cet agenda-là dans mon sac à main.Une pratique quotidienne essentielleDe façon quotidienne, y compris en vacances — sauf des vacances pendant lesquelles je vais pouvoir déconnecter complètement —, j'emporte mon carnet. J'emporte pas mon agenda, j'emporte pas mon carnet de notes professionnel, mais j'emporte mon carnet de flots de pensée. Si je ne le fais pas, j'en ressens aussi des inconvénients en termes de brouillard mental, de difficulté à me connecter avec l'émotion, d'impression de confusion. Pour moi, c'est vraiment une hygiène mentale et une hygiène émotionnelle à laquelle je tiens beaucoup.Je sais qu'on veut parfois partir vite, et je m'aperçois aussi que dans ces temps où je saute, où je saute, j'essaye de me reprendre à ce moment-là, parce que je sais que c'est justement dans les moments où j'ai une plus grande charge de travail, un niveau de charge mentale, de stress plus important, que j'ai particulièrement besoin d'avoir ce moment en début de journée pour faire la clarté à l'intérieur de mon esprit, pour me recentrer, me réancrer. Je sais que la journée se passera beaucoup mieux si j'ai eu ce moment de connexion avec moi maintenant.Ma méthode d'écriture quotidienneJe reviens aux questions qui me tournent un peu dans la tête, ce sur quoi je rumine, ou ce qui m'intéresse. Ensuite, je décortique plus ou moins profondément selon le temps et l'envie.La façon dont je procède, c'est que le matin quand je me lève, après mon café et mon petit-déjeuner, je tire une carte de coaching en buvant mon café pour mon flot de pensée, et j'aime avoir au moins 5 à 10 minutes d'écriture autour de mes pensées et d'exploration autour de ce qui m'occupe.Si j'ai un petit peu plus de temps et que j'ai un sujet sur lequel je suis inspirée, je peux écrire plus longtemps. Parfois le flot de pensée, je le fais après avoir déposé mon fils à l'école, et quand je reviens chez moi pour faire ma journée de travail, ça dépend du premier rendez-vous que j'ai dans la journée. Parfois, ce flot d'écriture se transforme en une séance de réflexion stratégique, parce que ça débouche sur un sujet, un projet qu'on veut lancer, sur lequel j'ai envie de rassembler mes pensées et d'avoir une pensée plus stratégique.Il peut y avoir quelque chose qui est du perso qui devient du pro, des interrogations sur un sujet qui en évoquent une autre. C'est quelque chose qui est très vivant et très organique. Je ne fais jamais juste un vidage de cerveau, il y a toujours un côté pilotage et exploration : pourquoi est-ce que je me dis ça, quels sont les effets de ces pensées-là sur mes émotions, sur ma journée, sur ce que je vais faire.Ce décorticage, il est plus ou moins profond selon le temps dont je dispose, et aussi selon mon énergie, parce que ça demande quand même de l'énergie. Il y a des fois où je n'ai juste pas la ressource, et où je suis plus dans l'action que dans la réflexion.Mes débuts avec les carnetsOn m'a posé la question : quand as-tu commencé à utiliser des carnets, est-ce que c'est venu seul ou sur conseil ? Je pense que depuis que je sais écrire, j'ai des carnets et j'écris dans mes carnets. Je me souviens d'un journal intime que j'ai eu, je pense, vers 8 ou 9 ans, je le revois très clairement dans mon esprit, vous savez, ces journaux intimes qu'on vend avec un petit cadenas et une clé minuscule.Ma sœur avait aussi, cadeau identique, exactement le même journal intime, avec exactement la même serrure, exactement la même clé. Ce qui ne sert absolument à rien, parce qu'évidemment, quand on a 8 ans et qu'on ne veut pas que ça soit lu, ce cadenas, c'est pour que ça ne soit pas lu. Pas un carnet, il suffit plutôt de cacher le carnet que de le faire cadenasser.J'ai retrouvé ce carnet il y a quelque temps, et c'est très intéressant de se replonger dans mes préoccupations de quand j'avais 8 ou 9 ans. J'ai toujours eu des journaux intimes que je n'ai pas tenus en continu, mais j'ai toujours utilisé l'écriture comme outil d'introspection, pour décharger mes pensées, parler de comment je me sentais. Je pense que comme j'ai toujours eu un gros degré de sensibilité, j'ai toujours eu ce besoin de m'interroger moi-même sur comment ça allait, et d'exprimer ce que je ne pouvais pas exprimer dans ma famille ou auprès de mes ami·e·s, d'avoir ce relais papier dans mon dialogue avec moi-même.J'ai toujours été dingue de papeterie aussi, j'ai toujours passé des heures dans les papeteries. Je pense que si vous m'écoutez aujourd'hui, c'est sans doute que vous partagez cette passion.Mes outils d'écriture préférésJustement, on parle de papeterie. La question qui m'a été posée, c'est : « Quels stylos utilises-tu pour écrire dedans ? » Moi, je suis monogame d'une façon générale, et en termes de stylos. J'utilise exclusivement ce stylo-là. Je vous le montre — je fais comme les youtubeur·euse·s beauté qui font ça quand elles montrent leur crayon de maquillage, ça marche aussi pour un stylo-feutre.C'est un stylo-feutre avec une pointe très fine, je pense que c'est 0,5 mm, c'est de la marque Staedtler, c'est le Triplus Fineliner. J'utilise ça depuis je sais pas 15 ans, je les achète par boîte de 10, et j'en ai partout : j'en ai dans mon sac, j'en ai dans ma sacoche de travail, j'en ai à côté de mon bureau.Ce sont des marqueurs dont la mine glisse très bien sur un papier de bonne qualité, qui permettent d'écrire assez petit, parce que même les petites lignes sont assez petites. Vous voyez, j'écris quand même sur un flot de pensée, vous voyez, c'est une écriture qui est assez petite. Je les trouve très agréables. Le seul reproche que je leur fais, c'est que c'est une mine qui se frite au fur et à mesure qu'on écrit avec, c'est-à-dire qu'il n'y a plus d'encre au bout d'un moment, et qu'il n'y a plus de mine. Ça me pose un petit peu un problème, parce qu'à chaque fois, quand le stylo est usé, il faut jeter le stylo, qui est un stylo en plastique, donc c'est pas génial pour l'environnement.Idéalement, on pourrait remplacer la mine et garder le stylo, mais à ma connaissance, le fabricant ne le propose pas. Voilà, le seul stylo que j'utilise. Par ailleurs, mon père écrivait avec ce type de stylo, un feutre fin, ou ce type de stylo, j'aime avoir un peu l'impression d'utiliser le même genre de stylo que lui.Pas de pression, pas d'échec possibleUne question qui m'a été posée, que j'ai trouvée très intéressante, c'est : « Comment éviter de rater ses carnets ? » Je n'ai jamais pensé à ça, parce que je ne réfléchis pas à mes carnets en termes de réussite ou d'échec. C'est vraiment un outil qui sert à répondre à un besoin, et à partir du moment où j'écris dedans, c'est réussi. Il n'y a pas moyen de rater.Je pense que cette question doit venir de la tendance, qui était très à la mode il y a quelques années, d'avoir un bullet journal, où l'idée c'était d'avoir des carnets magnifiques, avec des décorations, avec du masking tape, avec des grilles, avec des petits symboles, avec des petits machins. Moi, je n'ai pas le temps du tout de faire ça, je trouve ça très joli, mais je n'ai pas le temps de faire ça. Il n'y a aucune recherche esthétique dans ce que j'écris. Le seul objectif, c'est que je puisse à peu près me relire.Pas de peur de rater, je vous invite tou·te·s à abandonner cette peur-là, tant symboliquement que de façon fonctionnelle.Pourquoi je conserve mes anciens carnetsDans l'idée, je me dis que je pourrais avoir besoin d'une information que j'ai notée il y a 6 mois, 1 an, 2 ans. Franchement, quand je regarde, j'ai des carnets qui datent de... j'ai tous mes carnets depuis, je pense, 10 ans. Zéro chance que je recherche les notes d'une réunion que j'ai eue il y a 10 ans, tout à fait, en réalité, je pourrais m'en débarrasser. Simplement, voilà, j'aime pas trop l'idée qu'ils finissent à la déchetterie quelque part.En revanche, pour les carnets qui me servent pour mes flots de pensée, j'aime beaucoup l'idée de préserver une trace de mon évolution personnelle d'une année à l'autre, et en tout cas d'une décennie à une autre. J'aime beaucoup ça. Par exemple, en 2019 et 2020, c'est intéressant de revoir le moment d'avant, les projections sur l'année, et puis, au début du mois de mars 2020, on sent que tout bascule avec la situation qu'on a eue. Pour une chose personnelle, je trouve ça intéressant de garder ces traces-là. Je me dis aussi, pour plaisanter, que si un jour quelqu'un écrit ma biographie, il aura de quoi faire avec des piles de carnets. Je dis ça pour rire, pas très sérieusement.Quand la tête déborde : 5 minutes valent mieux que rienLa question suivante qui m'a été posée, c'est : « Comment faire quand la tête déborde ? » J'aime beaucoup cette question, parce que ça illustre bien la pensée perfectionniste et la pensée noir-blanc, tout ou rien.Si j'ai la tête qui déborde, j'aurais besoin d'avoir beaucoup de temps pour décharger mon esprit, mais si je n'ai que 5 minutes et que j'ai la tête qui déborde, et que je n'ai que 5 minutes, je joue sans doute, et je vous assure que c'est utile.On ressent l'envie de bouger, de se promener, et on a vraiment envie d'aller faire une balade dans la forêt, dans la nature, mais on n'a que 5 minutes. Avec 5 minutes, on va plutôt faire le tour du pâté de maisons et avoir bougé quand même un petit peu, plutôt que de se dire : « Non, j'ai que 5 minutes, donc ça ne sert à rien, je vais rester assis·e sur ma chaise. »Si cette analogie vous parle, je vous invite vraiment à vous dire : même 5 minutes, même 2 minutes, c'est déjà beaucoup. Même 2 minutes sur un coin de feuille, c'est déjà beaucoup.La peur que quelqu'un lise mes carnetsLa dernière question qu'on m'a posée, c'est : « As-tu peur que quelqu'un lise tes carnets ? » Il y a plusieurs niveaux de réponse. Le premier niveau de réponse, c'est que je n'écris pas très lisiblement. Ça, c'est un premier niveau.Le deuxième niveau, c'est que j'ai avec les personnes de mon entourage un niveau de confiance suffisant pour être à peu près sûre que ça ne leur viendrait pas à l'idée de regarder mes carnets, regarder ce que j'ai écrit. Je pense qu'ils·elles ont bien intégré cette notion qu'en fait, les carnets de quelqu'un, c'est son intimité, c'est son jardin secret, et qu'on ne va pas fouiller dans les carnets de quelqu'un d'autre.Le troisième niveau, c'est que j'écris en anglais. Même s'ils·elles commencent à se débrouiller en anglais, je pense qu'entre la qualité de mon écriture et le vocabulaire que j'utilise pour écrire en anglais et leur niveau d'anglais, je pense qu'on est encore assez tranquille là-dessus.Mais le dernier rempart qui fait que je suis vraiment complètement tranquille à l'idée des carnets, parfois je les laisse traîner et je me sens tout à fait tranquille, c'est que j'assume complètement ce que j'écris. Ce qui me déplaît — parce que bien sûr, ça arrive dans toutes les relations — c'est que je vais jeter sur le papier quand je suis en colère ou frustrée ou irritée sur une situation à ce moment-là concernant telle ou telle personne. Mais ça ne les concerne pas et mon objectif, c'est justement de jeter ces pensées-là sur le papier à ce moment-là pour pouvoir trouver le point de vue sur la situation qui me paraît le plus juste, parler de tel ou tel sujet, sans leur déverser le flot de ces pensées, parce que ça, je m'en suis occupée de mon côté.Dans l'hypothèse très peu probable où mon mari tomberait sur un truc que j'ai écrit parce qu'à un moment j'étais irritée sur quelque chose... Alors déjà, il est au courant, parce qu'en fait, quand je fais ça, c'est pour pouvoir en parler après en étant ancrée et en apportant un point de vue constructif. La seule chose que je dirais, c'est que je ne trouvais pas que c'était ça que je voulais exprimer.Je suis vraiment pour normaliser le fait que, bien sûr, qu'on a tou·te·s des pensées extrêmes, négatives, qui partent de stress ou de défense, voilà, on se sent sur la défensive. C'est ça la nature humaine et l'intérêt d'avoir un carnet, c'est de pouvoir coucher ces pensées sur le papier et d'utiliser ça comme un outil pour aller au-delà de ces pensées.Si quelqu'un lit mes carnets et tombe sur des choses qui ne lui plaisent pas, ça m'est jamais arrivé. Je précise voir, ça m'est jamais arrivé de perdre un carnet. Quelque part, il y a à chaque fois, au début de mon carnet, écrit : « Si vous trouvez ce carnet », il y a mes coordonnées pour qu'on puisse me le rendre. Après, je ne suis pas du tout à l'abri que quelqu'un le lise, effectivement, mais bon, ça fait partie du risque d'avoir des carnets.Il faut avoir le bon profil, le bon état d'esprit dans la bonne utilisation des carnets.(NB : Liens affiliés)Vous pouvez aussi :
durée : 00:13:41 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Cette association basée en Isère cherche des bénévoles pour accompagner les détenus à leurs rendez-vous à l'extérieur de la prison quand ils obtiennent une autorisation de sortie, notamment pour des entretiens d'embauche. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:46 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en Isère : une atelier de fabrication de cuiseurs solaires qui propose aussi des formations, puis l'Etable de l'art, et une grange devenue salle de spectacle dans un village près de Bourgoin-Jallieu. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:15 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Cette association grenobloise veut surfer sur l'ouverture de la baignade dans la Seine, à Paris, et réclame l'autorisation de se baigner dans l'Isère et le Drac. Elle organise des "baignades militantes", même en hiver ! Egalement au programme : un café des enfants à Grenoble. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:24 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Dans le musée de Grenoble, les jours de fermeture, des parcours artistiques sont organisés par l'association "Art en Santé", pour des malades et leurs proches. Quand on souffre de la maladie de Parkinson notamment, s'émerveiller est précieux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis 2022, Maurine Mercier est correspondante en Ukraine. Pour la RTS, radio publique suisse francophone, elle produit un podcast nommé Carnets d'Ukraine. Le 11 octobre 2025, un de ses reportages a été récompensé au prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre. Maurine Mercier est l'invitée de L'atelier des médias. Lauréate du 1er prix radio au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre 2025 pour son reportage « Pokrovsk de fleurs dans les ruines », Maurine Mercier a exprimé sa surprise. « Je ne pensais pas que le jury de Bayeux serait assez punk pour récompenser ce reportage » dans lequel deux Ukrainiennens racontent qu'elles « redécouvrent leur plaisir sexuel dans une ville qui se fait envahir », a-t-elle expliqué sur scène. Correspondante en Ukraine depuis 2022, Maurine Mercier explique que les récompenses comme celle-ci – c'est la 3e fois en quatre ans qu'elle reçoit le 1er prix à Bayeux – l'aident à défendre devant sa hiérarchie l'importance de couvrir les conflits qui durent, malgré la « news fatigue ». Elle met en garde contre le risque que l'Ukraine devienne un « trou noir » médiatique. De Salgado au rejet de l'envoyé spécial Née à Lausanne en 1981, Maurine Mercier se souvient avoit été marquée à l'âge de six ans par une exposition du photographe brésilien Sebastião Salgado : un « déclic » pour « aller voir le monde ». Elle se souvient de la leçon que Salgado lui a donnée lors d'une interview : « Tu ne regardes pas assez bien. » Après avoir appris son métier à la télévision locale TVRL, elle entre à la RTS en 2012. Mais le rôle d'envoyée spéciale ne luit convient pas. Elle préfère « rester des années dans un pays pour être sûre de dire le moins de bêtises possible ». Aussi, en 2016, elle part s'installer à Tunis pour couvrir l'Afrique du Nord, principalement la Libye. Elle y restera six ans. Carnets d'Ukraine : le format « note vocale » Lorsque l'invasion à grande échelle de l'Ukraine éclate en 2022, Maurine Mercier est en Tunisie. Sa première expérience de zone de guerre remonte à 2014, lorsqu'elle s'était « autoprojetée » à Donetsk. Elle livre un « bras de fer » pour convaincre la RTS de l'envoyer en Ukraine, où elle s'installe durablement en août 2022. En février 2024, elle lance Carnets d'Ukraine, diffusé d'abord en radio sur la RTS. Avec une « écriture podcast » basée sur des pastilles au format « note vocale », afin de créer de la proximité avec les auditeurs. Pour la première fois, elle s'autorise l'emploi du « je » pour décrire ses émotions, car « mon je, en fait, c'est vous ». Être une femme journaliste en zone de conflit Être une femme est « toujours un avantage » sur le terrain, affirme Maurine Mercier. Elle prend l'exemple de la Libye, où les reporters masculins, ne pouvant entrer dans les maisons, sont privés d'échange avec la moitié de la population. En Ukraine, cela permet des « dialogues » plus profonds avec les soldats, car elle leur rappelle leurs proches. Maurine Mercier mentionne aussi Artem, son ami et fixeur, et avec qui l'humour est leur « médicament antidouleur ». Honnêteté et nécessité d'être à la hauteur Sa frustration professionnelle est de ne couvrir la guerre russe en Ukraine que depuis un seul côté car elle n'obtient pas de réponse à ses demandes pour aller dans les territoires ukrainiens occupés. Elle soutient qu'une guerre « ça se couvre de toutes parts », car c'est une manière de rétablir le dialogue et de dénoncer l'absurdité de la propagande. L'honnêteté est fondamentale pour le pacte de confiance avec le public, rappelle Maurine Mercier pour qui il est essentiel de montrer que l'Ukraine est complexe, ne pas omettre la corruption et les divisions. Elle conclut son intervention en espérant que ses reportages « puissent permettre à des jeunes [...] de faire quelque chose pour bâtir la paix, la démocratie », soulignant que les Européens doivent être « à la hauteur de ce qu'[ils] prétend[ent] défendre ».
durée : 00:14:39 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Cette association basée à Chambéry organise notamment des ramassages bénévoles de déchets sauvages, et vise une montagne sans déchet en 2030. Egalement au programme des Carnets : "les hébergeuses solidaires", des gîtes réservés au femmes en parcours de soin pour un cancer du sein, partout en France. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:57 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - A La Motte-Servolex, près de Chambéry, un collectif citoyen se bat contre l'extension d'un parc d'activités commerciales, la ZAC Savoie Technolac. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:11 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en Savoie : "les Enfermés dehors", qui accompagne en montagne des enfants qui n'y vont pas pour des raisons financières ou culturelles, et la matériauthèque de Chambéry, "Enfin Réemploi". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:17 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Culture de pleurotes dans la douche, toilettes "vivantes", lave-linge alimenté par un rameur... Caroline Pultz et Corentin de Chatelperron ont vécu plusieurs mois dans un appartement "low-tech". Ils racontent cette expérience dans une réjouissante websérie documentaire, à voir sur Arte.tv Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Quel avenir pour l'IA en entreprise ?La question peut donner le vertige, mais ce nouvel épisode des Carnets de l'IA aide à y voir plus clair.Cette semaine, Manuel Davy reçoit Mick Lévy, auteur, conférencier et expert de la data et de l'intelligence artificielle.Il décrypte les erreurs stratégiques commises par les entreprises qui déploient l'IA générative sans vision d'ensemble, et partage des exemples concrets de transformations bloquées… et de la manière de les débloquer.Un échange qui montre pourquoi l'IA doit être portée au plus haut niveau de l'entreprise, tout en impliquant l'ensemble des équipes - entre création de valeur durable, transformation des processus et vigilance environnementale.Les Carnets de l'IA est un podcast proposé par la Cité de L'IA avec le soutien de la Fondation MMADirection éditoriale : Manuel Davy et Hélène Van WaesProduction exécutive : natif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(00:00:34) "Il faut s'engager sur le long terme au Moyen-Orient", interview d'Alain Dieckhoff, sociologue (00:08:52) Carnets d'Ukraine: Maurine Mercier raconte la vie à Kherson sous les bombes russes
durée : 00:12:41 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en Savoie : des combinaisons de ski recyclées en accessoires et un festival de littérature et de film documentaire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:23 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Se sentir utile, ça fait du bien. Une association lyonnaise est partie de constat pour proposer aux bénéficiaires d'associations de se lancer à leur tour dans le bénévolat. "Adopte une asso" propose à des personnes fragiles de les aider à trouver l'association dans laquelle s'engager. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:54 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour à Lyon : une association qui nettoie et recycle les savons d'hôtels pour les donner aux plus démunis, puis une autre qui propose des récits de parcours professionnels dans les collèges, lycées et universités, pour aiguiller l'orientation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:20 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Victime de harcèlement de la part du père de son enfant après la séparation, Eva Ngallé a imaginé un bouclier numérique : l'application Ti3rs permet de filtrer les insultes, de conserver un historique des messages qui pourra être utile devant la justice, et de choisir les horaires de notification. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:25 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans le Rhône : un grossiste lyonnais spécialiste des fruits et légumes déclassés, qui lutte contre le gaspillage tout en permettant aux cantines de servir des produits sains, et le bicentenaire du braille célébré à Villeurbanne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:37 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans le Rhône : une initiative pour lutter contre les arnaques aux panneaux solaires et une association qui œuvre à la réduction des déchets, "mouvement de palier". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:02 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Et si vous passiez la nuit dans une œuvre d'art? A Queyrières (Haute-Loire), comme en d'autres endroits du chemin de Saint-Jacques de Compostelle, l'association "Derrière le hublot" a installé des œuvres-refuges, pour donner une fonction d'usage à des créations artistiques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:18 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en Haute-Loire : une artiste qui fait dialoguer musique et tissage et une ferme-auberge qui cuisine avec sa propre production. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:31 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour en Haute-Loire : une AMAP au collège qui propose des paniers solidaires et la dernière entreprise française de lavage de laine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:08 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - A Yssingeaux (Haute-Loire), l'association Citoyens Solidaires se démène pour rompre la solitude et tendre la main aux plus démunis. Elle organise un réveillon solidaire, gère un restaurant participatif et un jardin partagé. L'association a besoin de sang neuf dans les rangs des bénévoles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment l'intelligence artificielle peut-elle transformer une entreprise industrielle mondiale comme Eramet ? Dans cet épisode des Carnets de l'IA, Manuel Davis reçoit Jean-Loup Loyer, chief data et AI officer du groupe. Il revient sur son parcours et partage des exemples concrets d'usages de l'IA : maintenance prédictive, vision par ordinateur, ou encore survols des mines par des drones pour s'assurer que l'impact environnemental est maîtrisé. Un échange qui éclaire les défis et opportunités de l'IA dans l'industrie lourde, entre performance opérationnelle, impact environnemental et transformation culturelle des organisations.Les Carnets de l'IA est un podcast proposé par la Cité de L'IA avec la soutien de la Fondation MMADirection éditoriale : Manuel Davy et Hélène VanwaesProduction exécutive : natif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jamais deux sans trois ! Après être revenu sur la série Grandville il y a deux ans, puis être revenu aborder la conclusion de l'oeuvre avec son cinquième tome l'an dernier, Bryan Talbot nous a fait une nouvelle fois le plaisir de nous accorder de son temps pour une troisième interview ! Mais cette fois-ci, si on reste dans l'univers de Grandville, on abordera sa (superbe) préquelle qui vient de sortir aux éditions Délirium, Les Carnets de Stamford Hawksmoor.Bryan Talbot, le second retour dans le podcast !Le dessinateur britannique le plus francophile qui soit était de nouveau de passage en France en ce mois de septembre pour la sortie des Carnets de Stamforw Hawksmoor, accompagné d'une exposition dans la ville du Mans. Lors de son passage sur la capitale, nous avons pu le retrouver dans un petit hôtel pour avoir une nouvelle conversation autour de son nouvel album, et la façon dont il prolonge à la fois son amour des histoires de polar/détective tout en parlant du monde réel au travers de ses protagonistes. Nous nous permettons aussi de revenir sur un autre album très important sorti plus tôt dans l'année et dont nous vous avons vanté les qualités en back issues, L'Histoire d'un Vilain Rat. Tout ça est à retrouver à l'audio mais aussi à l'écrit et en français via Comicsblog.fr !Commandez Les Carnets de Stamford Hawksmoor à ce lien !Commandez L'Histoire d'un Vilain Rat à ce lien !Et si cette émission vous plaît, alors il faut le faire savoir. Ces interviews long format sont précieux et représentent beaucoup de travail, qu'il faut mettre en avant pour que nos contenus de fond soit plus visibles - et alimentent les discussions sur la bande dessinée dans notre paysage médiatique. Faites tourner le podcast, commentez partout et mettez des bonnes notes sur les plateformes, et discutez avec nous sur le Discord. Vous pouvez aussi nous soutenir sur Tipeee. Merci de votre écoute et à bientôt pour le(s) prochain(s) podcast(s) !Soutenez First Print - Votre podcast comics (& BD) préféré sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #175Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.S'inscrire à la Newsletter et recevoir le guide gratuit 30 jours pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/newsletter/Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Sophie Gauthier. Ancienne journaliste télé pour BFM TV puis France Télévisions, Sophie est aujourd'hui la fondatrice de Carnets Goguette, des carnets pour âmes curieuses.Sophie est passionnée par l'humain et de nature très curieuse. Le métier de journaliste est une évidence. Elle prépare les reportages pour la télé. Mais petit à petit la nécessité de préparer ses reportages de plus en plus vite, les horaires décalés, la précarité avec les CDD à répétition entament sa passion.C'est l'approche des 30 ans qui la font tout remettre en question. Sophie se lance un défi hors du commun, ou plutôt 100 défis : un défi par jour pendant 3 mois avant d'avoir 30 ans pour se sentir à nouveau vivante. Construire un igloo, faire une thérapie, apprendre une nouvelle langue ... Et parmi eux, "faire quelque chose de sa passion pour les jolis carnets". C'est la naissance de Carnets Goguette.Aujourd'hui, Sophie est la fondatrice de Carnets Goguette depuis 2023, des carnets pour âmes curieuses vendus en ligne et au Bon Marché. Carnet de Voyage, carnet d'évolution, carnet de bien-être ... Ce ne sont pas seulement des carnets, ce sont des guides pour se découvrir, découvrir le Monde et expérimenter.Avec Sophie, on a évoqué la pression de toujours vouloir faire plus et les To Do listes à rallonges, les comparaisons qu'on peut se faire avec des vies qu'on s'imagine sur les réseaux, l'envers du décor du métier de journaliste, les ateliers d'écriture qu'elle anime et ce qu'elle a appris sur elle grâce à ses 100 défis avant d'avoir 30 ans.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Linkedin de Sophie : https://www.linkedin.com/in/sophie-gauthier-carnets-goguette/- Instagram de Sophie : https://www.instagram.com/sauph/- Instagram de Carnets Goguette : https://www.instagram.com/carnetsgoguette/- Site internet de Carnets Goguette : https://carnets-goguette.com/- Instagram 3 months before I am 30 : https://www.instagram.com/3monthsbeforeim30/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com
durée : 00:13:28 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Piétinons les clichés, dans ces Carnets en Haute-Loire : non, la colocation n'est pas réservée aux étudiants, pas plus que le bridge n'est un jeu pour les vieux ! Au programme : des colocations pour personnes âgées, les Maisons Marguerite, et du bridge pour les enfants, accès ludique aux maths. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
S'inscrire à la Newsletter et recevoir le guide gratuit 30 jours pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/newsletter/ Pour écouter l'épisode en entier, tapez #175 Sophie disponible le 29 septembre.
durée : 00:13:42 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Pourquoi ne pas tester la gym sur chaise ? L'association Siel Bleu, qui existe depuis presque 30 ans partout en France, propose des activités physiques adaptées aux personnes fragilisées par l'âge, le handicap ou la maladie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:36 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans le Puy-de-Dôme : une entreprise qui propose des kits en bois pour apprendre le codage informatique sans écran, et une association qui organise notamment du covoiturage solidaire dans le Livradois-Forez. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:46 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Laissez parler les petits papiers ! Dans son atelier auvergnat, l'artisan papetier Etienne Gouttefarde est un mordu de transmission : il aime montrer son métier, ses gestes, l'intelligence de ses mains. Et il rencontre un beau succès sur les réseaux sociaux, sous le pseudo "le dur de la feuille". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette interview express Evane, la co-fondatrice du magazine Voyage Voyage, a accepté de nous ouvrir ses carnets de voyage les plus précieux pour nous livrer ses coups de cœur absolus aux quatre coins de la planète.Elle nous partage ses adresses secrètes :Son pays préféré : le Pérou et pourquoi "la beauté des gens" l'a marquée à vieSa plus grande surprise : l'Antarctique et ce réveil "irréel" au milieu de nulle partSa ville coup de cœur : Copenhague, où "on peut tout faire"Ses hôtels secrets : du couvent à Nice à 50€ la nuit, au palazzo italien face à la merSon restaurant inoubliable : une grand-mère de 80 ans au Japon qui cuisine les meilleurs sobas du mondeMais aussi ses conseils d'initiée :Comment découvrir un pays ? "Se perdre, trouver une adresse, et se perdre encore"Ses spots européens préservés : des Dolomites sauvages aux îles LofotenSes destinations hivernales magiques et ses échappatoires estivales loin des foulesSa recette pour sortir des sentiers battus : lire Nicolas Bouvier et se créer son propre imaginaireUn épisode à garder précieusement, bourré d'adresses pépites et de conseils pratiques pour voyager autrement.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On se retrouve les Barons pour un nouvel épisode de Carnets de Guerre sur un phénomène que j'ai pu observé dans les grandes villes comme Paris : la multiplication des Normies.
Dans ce nouvel épisode de Carnets de Guerre je vais analyser le livre pour enfant "Arc en ciel le plus beau poisson des océans". Ce dernier a connu un immense succès à travers le monde alors que pourtant il cache une morale bien sombre.
On se retrouve pour un nouvel épisode de Carnets de Guerre qui est une redif Youtube sur la terrible affaire Jean Pormanove
Bonjour les Barons, on se retrouve aujourd'hui pour un nouvel épisode du podcast Carnets de Guerre. Je vais vous parler du scandale autour de Sydney Sweeney et de sa pub pour la marque American Eagle.(Redif Youtube) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:59:52 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 02:04:32 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Carole Pither - Avec Philippe Léna (de l'ORSTOM), Benedito Nunes (philosophe), Ralph Lensom (chercheur) et Claudio Castro (écologiste) - Réalisation Georges Kiossef - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
✂️ Épisode 6 - Le temps de faire court : une éternité
durée : 03:06:24 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Carole Pither - Avec Milton Hatoum (écrivain ), Charles Belchieur (secrétaire d'Etat à l'Economie, au Tourisme et à l'Agriculture en Amazonie, président de l'office du tourisme Amazonien), Iromi Iwata (une amie de Carole Pither), Francisca Costa (guide caboclo), Henri Sapazian (ex-collègue de Carole Pither) et Hilse Walker (zoologue suisse) - Réalisation Georges Kiossef - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Si quelqu'un incarne la fusion parfaite entre voyage et gastronomie en France, c'est bien Julie Andrieu. Photographe devenue critique gastronomique, auteure et figure incontournable de la télévision, elle a fait de la cuisine son ticket d'entrée pour explorer le monde.Derrière ses airs d'héroïne hitchcockienne se cache une exploratrice insatiable qui a fait de la cuisine son plus beau prétexte à voyager. Du Liban au Kirghizistan, des marchés secrets du Brésil aux trattorias romaines, elle collectionne depuis vingt ans les rencontres improbables et les découvertes culinaires les plus audacieuses.Elle nous livre les secrets des cinq saisons de "Fourchette et Sac à Dos" - ces années où elle parcourait le monde à la rechercher de nouvelles saveurs et de renocntres dingues.Une conversation à cœur ouvert qui nous emmène aussi dans les coulisses des "Carnets de Julie", jusqu'à son dernier coup de cœur : quatre mois d'expatriation à Rome avec ses enfants.Une conversation sans filtre avec une passionnée qui a transformé sa curiosité en métier.**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !Retrouvez-nous sur @beauvoyage pour encore plus de contenu !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
☕ Épisode 4 – Merci les carnistes, et le café !
✍️ Épisode 2 – C'était pas ce que j'avais prévu (spoiler : rien ne l'est jamais)
