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Exposition "L'Art est dans la rue".Du 18 mars au 6 juillet 2025Elise Dubreuil, conservatrice Arts décoratifs au musée d'Orsay, Clémence Reynaud, conservatrice en chef Architecture au musée d'Orsay et Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la Photographie, Bibliothèque nationale de France, nous invitent à découvrir l'exposition "l'Art est dans la rue" dont elles sont les commissaires. A l'occasion de leur conférence inaugurale, elles retracent l'âge d'or de l'affiche artistique à Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Dans cet épisode, nous discutons avec Sylvie Aubenas, directrice du département des estampes et de la photographie à la Bibliothèque nationale de France. Nous explorons son parcours et sa passion pour la photographie ancienne, ainsi que les missions de son département. Sylvie nous parle également des évolutions du métier de conservateur au fil des années et donne des conseils pour ceux qui souhaitent mieux comprendre ce secteur. Bonne écoute !Crédit photo : Jacques HénocqLe site de la BnF : https://www.bnf.fr/frMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous discutons avec Sylvie Aubenas, directrice du département des estampes et de la photographie à la Bibliothèque nationale de France. Nous explorons son parcours et sa passion pour la photographie ancienne, ainsi que les missions de son département. Sylvie nous parle également des évolutions du métier de conservateur au fil des années et donne des conseils pour ceux qui souhaitent mieux comprendre ce secteur. Bonne écoute !00:02 – Présentation de Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la Photographie à la Bibliothèque nationale de France.02:02 – Son intérêt pour la photographie historique.04:00 – Le rôle des instituts de préservation.05:36 – Le début de sa carrière à la BnF.08:00 – Les missions du département des Estampes et de la Photographie à la BnF.13:00 – La collaboration avec les artistes et photographes.16:00 – Les évolutions dans le secteur de la conservation de photographies.19:00 – La reconnaissance culturelle et artistique de la photographie.30:00 – Les dons de photographies à la BnF.33:00 – Les collaboration avec d'autres institutions culturelles.37:00 – Ses conseils pour les futurs conservateurs.Crédit photo : Jacques HénocqLe site de la BnF : https://www.bnf.fr/frMon site d'éditrice indépendante : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:20:09 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - A l'occasion des expositions "Carnets" à la BNF et "Le bleu prend tout ce qui passe" au Musée Soulages à Rodez, Nicolas Herbeaux reçoit Pauline Chougnet, commissaire d'exposition et Silvia Baron Supervielle, écrivaine et veuve de Geneviève Asse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Silvia Baron Supervielle; Pauline Chougnet Conservatrice au département des Estampes et de la photographie de la BnF
Greetings! Many new things, then, a digression in Phase 2 focused on the influence of gamelan in Western music. Enjoy! Joel e-mail: pushingtheenvelopewhus@gmail.com Blue Sky: https://bsky.app/profile/envpusher1.bsky.social 3-15-25 PTE Playlist G's Sabbath - Double Bass: Roberto Cassani / Guitar: Graeme Stephen - Pictish Spaghetti - 577 Records (2025) https://577records.bandcamp.com/album/pictish-spaghetti Lands End - composer: Luciano Chessa / piano: Claudio Sanna - Lands End - Col Legno (2025) https://col-legno.com/de/shop/15030-lands-end Pillows - electronics: Simon Grab / drums: David Meier - Porœs - OUS (2025) https://simongrab.bandcamp.com/album/por-s Strawberry Festival In Louisiana - Stereo Minus One - Dead Petals At The Other - Machine Records (2025) https://stereominusone.bandcamp.com/album/dead-petals-at-the-other After The Flood - Jeff Greinke - Late Rain - Projekt Records (2025) https://projektrecords.bandcamp.com/album/late-rain Testing Area - Thomas Poken - digital single (2025) https://thomaspoken.bandcamp.com/album/testing-area Universe Emerging (10 minute) - Gallanitte - Universe Emerging - digital release (2025) https://gallanitte.bandcamp.com/album/universe-emerging Intro / Farfisa for Polly Peachum / Sure As Me - Petridisch - Horse Sense: Live at DUALITYFEST - self-release (2023) https://petridisch.bandcamp.com/album/horse-sense-live-at-dualityfest Parlando I/II/III - percussion: Christopher Clarino / composer: Igor Santos - Parlando - Neuma Records (2025) https://christopherclarino.bandcamp.com/album/parlando Estampes 1: Pagode - piano: Aldo Ciccolini / composer: Claude Debussy - L'Œuvre Pour Piano, Vol. I - EMI (1992) https://symposium.music.org/52/item/22-claude-debussys-gamelan.html "The Joy of the Blood of the Stars" from Turangalila Symphony - Orchestre De L'Opéra Bastille, cond. Myung-Whun Chung / composer: Olivier Messiaen - Mystic (The Musical Visions Of Olivier Messiaen) - Deutsche Grammaphon (1996) https://www.britannica.com/biography/Olivier-Messiaen#ref54011 Sleeping Braid - Gamelan Son of Lion / composer: Barbara Benary - The Complete Gamelan in the New World - Locust Music (2004) https://www.soundohm.com/product/the-complete-gamelan-in-t Lamentation & Fantasia Gamelantronique - Discus - 1st - Mellow (1999) https://mellowlabelproductions.bandcamp.com/album/1st Poem for Bali - Wendy Carlos - Beauty In The Beast - Audion (1986) https://www.wendycarlos.com/+bitb.html
Exposition "L'Art est dans la rue"Du 18 mars au 6 juillet 2024 au musée d'OrsayElise Dubreuil, conservatrice Arts décoratifs au musée d'Orsay, Clémence Raynaud, conservatrice en chef Architecture au musée d'Orsay, ainsi que Sandrine Maillet, chargée de la collection d'affiches au département des Estampes et photographie de la Bibliothèque nationale de France; nous invitent à la découverte de l'exposition, retraçant l'essor spectaculaire de l'affiche illustrée à Paris dans la seconde moitié du XIXe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“L'art est dans la rue“au Musée d'Orsay, Parisdu 18 mars au 6 juillet 2025Entretien avecElise Dubreuil, conservatrice en chef Arts décoratifs, musée d'Orsay,et Sandrine Maillet, chargée de la collection d'affiches, département des Estampes et de la photographie, Bibliothèque nationale de France, co-commissaires scientifiques de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 mars 2025, durée 26'39.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/20/3602_l-art-est-dans-la-rue_musee-d-orsay/Communiqué de presseCommissariat général :Sylvie Aubenas, conservatrice générale, directrice du département des Estampes et de la Photographie, Bibliothèque nationale de FranceChristophe Leribault, président de l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de VersaillesCommissariat scientifique :Musée d'OrsayElise Dubreuil, conservatrice en chef Arts décoratifs, musée d'OrsayClémence Raynaud, conservatrice en chef Architecture, musée d'OrsayAvec la collaboration de Marie-Liesse Boquien et Claire Guitton, chargées d'études documentaires, musée d'OrsayBibliothèque nationale de FranceSandrine Maillet, chargée de la collection d'affiches, département des Estampes et de la photographie, Bibliothèque nationale de FranceAnne-Marie Sauvage, conservateur général de bibliothèque honoraire À travers un ensemble exceptionnel de près de 300 oeuvres, L'art est dans la rue interroge l'essor spectaculaire de l'affiche illustrée à Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle. Co-organisée en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, l'exposition constitue une première à cette échelle. En effet, à Paris, aucune manifestation d'envergure n'a encore été consacrée à ce phénomène de société et n'a réuni autant de réalisations marquantes des « Maîtres de l'affiche ». Bonnard, Chéret, Grasset, Mucha, Steinlen, Toulouse-Lautrec… Conçu comme une plongée saisissante dans l'univers visuel de la ville du XIXe siècle, le parcours retrace l'âge d'or de l'affiche artistique en analysant les mutations sociales et culturelles qui ont favorisé son développement, dialoguant avec un ensemble unique d'affiches, peintures, photographies, costumes, sculptures et objets d'art décoratif qui évoquent l'univers effervescent de la rue au tournant du siècle.L'affiche transforme la villePeintures, dessins, estampes et photographies rendent compte de la prolifération des images, qui investissent le moindre espace vacant : les murs et les palissades, mais aussi les kiosques, les colonnes Morris, les urinoirs, le métropolitain et jusqu'aux êtres humains eux-mêmes, transformés en hommes-sandwichs. Ces supports constituent les cimaises d'un nouvel univers visuel, qui cherche à capter le regard des passants. Transformée par les grands travaux haussmanniens, assainie et équipée, la rue « moderne » est aussi l'un des espaces fondamentaux de l'expression politique et des revendications sociales. Dangereux pour le pouvoir en place, ce lieu où se déploie la publicité est pour le critique d'art Roger Marx « la rue toujours animée, grouillante, où se discute et se prononce le suffrage universel » (Les Maîtres de l'Affiche, 1895).[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Geneviève Asse” Carnetsà la BnF François Mitterrand, Parisdu 18 février au 25 mai 2025Entretien avec Pauline Chougnet et Cécile Pocheau-Lesteven, conservatrices au département des Estampes et de la photographie – BnF, et commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 février 2025, durée 25'15,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/02/26/3595_genvieve-asse_bnf-francois-mitterrand/Communiqué de presseCommissariat :Pauline Chougnet et Cécile Pocheau-Lesteven, Conservatrices au département des Estampes et de la photographie, BnFLa Bibliothèque nationale de France rend hommage à Geneviève Asse avec une exposition réalisée grâce à la donation de vingt-cinq de ses carnets, consentie en 2022 par sa veuve Silvia Baron Supervielle. Présentés en résonance avec une sélection de ses estampes et de ses livres d'artistes déjà présents dans les collections, ces carnets sont aussi des oeuvres à part entière, qui témoignent du travail intime et des recherches picturales de Geneviève Asse.« Ce sont de petits livres de poche peints, sans texte, sur des papiers de toutes sortes. C'est une autre écriture : un langage de couleur et d'espace. J'y peins des verticales et des horizontales. J'écris alors sans inciser. Ce sont des notes, jour après jour, des éventails qui s'ouvrent. J'utilise de l'encre de Chine, sur ces carnets, ou des crayons de couleur, des sanguines. » Geneviève Asse. La Pointe de l'oeil, Éditions de la BnF, 2022Née en 1923 à Vannes et décédée en 2021 à Paris, la peintre et graveuse Geneviève Asse est connue pour ses grandes toiles monochromes et son utilisation presque exclusive de la couleur bleue, ce bleu si singulier qu'il est appelé « bleu Asse ». Des natures mortes de ses débuts dans les années 1940 à l'abstraction de ses toiles bleues, l'oeuvre qu'elle a développé en dehors des courants et des modes questionne le thème de la lumière. Elle crée également, dès les années 1960, des livres en dialogue avec les écrivains, notamment Pierre Lecuire, Yves Bonnefoy et Silvia Baron Supervielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:29:59 - Les Nuits de France Culture - En 2005, Natacha Wolinski nous emmène sur les traces de Mario Giacomelli, le photographe italien légendaire, à travers les témoignages d'Enzo Carli, Anne Biroleau, et d'autres experts. Découvrez l'histoire fascinante d'un imprimeur-typographe devenu un maître de la photographie. - invités : Anne Biroleau Conservateur général au département des Estampes et de la photographie à la BNF, commissaire de l'exposition; Jean-Louis Schefer Philosophe, écrivain, critique d'art
Direction Drouot à Paris pour Les Estivales, la 1ère vente du printemps de flacons de parfum et Nuages de poudres 2024 avec le commissaire-priseur, Le Floc'h. Une vente bien évidemment orchestrée par l'incontournable et unique l'expert Jean-Marie Martin-Hattemberg. Un homme qui vit, respire sa passion pour la parfumerie pré-industrielle (1880-1960) et a écrit de nombreux livres sur les parfums et la beauté. Son dernier livre, retrace le parcours de Charles Frederick Worth, un homme visionnaire, aux éditions Thames & Hudson. Un beau livre écrit avec Chantal Trubert, arrière-arrière-petite-fille de Charles Frederick Worth, Francoise Tétart-Vittu, historienne du costume, ancienne responsable du Cabinet des Estampes du Musée Galliera et Fabrice Olivieri, fondateur de Parfumologie, créateur de parfum. Écoutons-le sans plus tarder pour prendre le pouls du marché des collectionneurs de flacons de parfum, découvrir ses dernières acquisitions et s'attarder bien évidemment sur les flacons étonnants et d'exception de cette vente. Courez vite aujourd'hui à Drouot pour voir l'exposition jusqu'à 18h et aussi lundi matin. Sinon, le catalogue est disponible sur le site internet de Le Floc'h. Soutenir Tatousenti :· Faire un don pour soutenir et encourager Tatousenti à continuer, cliquez ici· Site : www.tatousenti.com· Instagram : https://www.instagram.com/bettinaaykroyd/ Production : Bettina Aykroyd Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Tatousenti à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices. Tatousenti, le podcast qui agite le parfum Tatousenti podcast explore le monde du parfum dans tous ses sens. Le sens de l'innovation, de la créative et de l'audace. Chaque semaine, Bettina donne la parole à celles et ceux qui créent et imaginent le parfum de demain. On y parle parfum, saveurs, ingrédient, odeur, émotion développement durable avec les parfumeurs et des chefs d'entreprise, des chocolatiers, des chefs cuisiniers à titre d'exemple.Bettina Aykroyd, franco-britannique et expert odeur, parfum et saveurs. Mon motto : pour bien sentir, il faut se sentir bien.
Avui hem sentit: "Estampes"; "Trois chansons"; "F
Claude Debussy - Estampes: Gardens in the RainAkihiro Sakiya, pianoMore info about today's track: Naxos 8.573502Courtesy of Naxos of America Inc.SubscribeYou can subscribe to this podcast in Apple Podcasts, or by using the Daily Download podcast RSS feed.Purchase this recordingAmazon
“La France sous leurs yeux”200 regards de photographes sur les années 2020à la BnF François Mitterrand MAD, Parisdu 19 mars au 23 juin 2024Interview de Emmanuelle Hascoët, Chargée de mission au département des Estampes et de la photographie, BnF, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 mars 2024, durée 12'13,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/03/20/3524_la-france-sous-leurs-yeux_bnf-francois-mitterrand/Communiqué de presseCommissariat :Héloïse Conésa, Cheffe du service de la photographie, chargée de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie, BnFEmmanuelle Hascoët, Chargée de mission au département des Estampes et de la photographie, BnFLa Bibliothèque nationale de France consacre une grande exposition aux travaux des 200 photographes, collaborateurs réguliers de la presse nationale et internationale, missionnés par le ministère de la Culture en 2021 pour établir un panorama de la France au sortir de la crise sanitaire liée à la pandémie de COVID-19. Pilotée par la Bibliothèque, la grande commande pour le photojournalisme – intitulée Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire – a permis aux photographes lauréats de bénéficier d'un financement de 22 000 euros chacun pour mener à bien leur reportage. Les 2 000 tirages inédits produits ont ensuite intégré les collections de la BnF. À travers une sélection de près de 500 clichés, cette exposition souligne la variété des approches choisies par les 200 lauréats, et raconte ainsi la France des années 2020. Son ampleur marquera l'histoire du photojournalisme.La grande commande pour le photojournalisme s'inscrit dans un contexte de bouleversement sociétal que la crise sanitaire a cristallisé. Condensée sur un an et demi de prises de vue seulement, cette commande draine pourtant des interrogations en germe depuis le milieu des années 2010 sur des changements ayant trait tour à tour au travail, à la spiritualité, à l'écologie, à la culture, à l'économie… Interrogations que la pandémie a contribué à réactiver non plus seulement sur le mode du constat mais aussi de façon critique afin de proposer de nouvelles manières d'habiter, de travailler, de vivre et d'être.Grâce à cette commande d'une ampleur historique – il s'agit de la plus grande commande publique photographique en Europe avec un budget de 5,46 millions d'euros – se dessinent les contours d'une France en clair-obscur, à la fois ouverte sur le monde et tentée par le repli, connectée et fragmentée, égalitaire et inégale, marquée par une nouvelle hiérarchie des territoires, une plus grande individualisation du travail, une économie et des paysages nouveaux, et des rapports au monde de plus en plus divergents.En miroir de cette mutation de la France contemporaine, se donne aussi à voir l'évolution de la photographie de presse. Certains photographes font le choix d'être dans la captation de l'instant, voire de l'événement, se rapportant par là-même à la grande tradition du photoreportage de presse. D'autres optent quant à eux pour une temporalité moins marquée, revendiquant en ce sens un registre plus métaphorique et de nouvelles stratégies visuelles à même de nous faire prendre conscience des situations en jeu dans notre monde actuel.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'art est un sujet souvent pointu, encore plus lorsqu'il concerne une période ou un auteur bien précis. Partant de ce constat injuste, Sacha et Agathe, étudiants en master 1 Histoire parcours patrimoine, ont créé, avec leurs camarades, Le Cabinet des Estampes : un site didactique et facile d'accès. Il peut aussi servir de guide, au fil de l'exposition Les enfants de Saturne, qui s'est tenue au musée des Beaux-Arts de Caen, du 18 novembre 2023 au 24 mars 2024. Ils sont ce midi à notre micro pour nous raconter la naissance de ce projet aussi utile qu'instructif, le tout autour de la question de l'accessibilité de l'art et de sa compréhension par tous. Pause musicale : Telecommande - Myra Crédits photos : https://lecabinetdesestampes.wixsite.com
Table ronde autour l'exposition Épreuves de la matière. La photographie contemporaine et ses métamorphoseComment conserver au mieux les œuvres mixed-media ? Doit-on assurer coûte que coûte la conservation de photographies qui intègrent dans leur processus créatif même leur disparition ? En lien avec la problématique de l'écologie des images soulevée par l'exposition Épreuves de la matière, une table ronde revient sur le défi que représentent aujourd'hui les nouvelles incarnations de la photographie contemporaine pour les conservateurs et restaurateurs.Avec Héloïse Conésa, commissaire de l'exposition, département des Estampes et de la photographie, BnF, Philippe Bérard, Dorothée Clermontel et Céline Bllard, restaurateurs de documents photographiques au département des Estampes et de la photographie, BnF Table ronde enregistrée le 10 janvier 2024 à la BnF I François-Mitterrand. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:35:04 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Quentin Lafay - Condition sine qua non de la photographie, la lumière sublime et joue avec les pellicules en noir et blanc utilisées depuis la création du medium, de Nadar à Anders Petersen. Une exposition à la BnF y est consacrée jusqu'au 21 janvier 2024. - invités : Héloïse Conésa Conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnF; Hélène Orain Docteure en histoire de l'art, spécialisée en photographie
“La photographie à tout prix”Une année de prix photographiques à la BnF – 3e éditionà la BnF François Mitterranddu 12 décembre 2023 au 24 mars 2024Interview de Héloïse Conésa, cheffe du service de la photographie, chargée de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie, BnF, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 décembre 2023, durée 16'21,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/12/16/3502_photographie-a-tout-prix_bnf-francois-mitterrand/Communiqué de presseCommissariat :Héloïse Conésa, conservatrice département des Estampes et de la photographie, BnF, avec la complicité des photographes et des partenaires.À travers son soutien aux grands prix photographiques qui structurent par leur action une part importante de la création dans ce champ artistique, le prix Niépce, le prix Nadar, la Bourse du Talent, et depuis 2023, le prix Camera Clara, la BnF marque son implication auprès des photographes, des éditeurs, des tireurs…Pour la troisième année consécutive, la Bibliothèque présente, en collaboration avec Gens d'images, Photographie.com, la Fondation Grésigny et Picto Foundation, une sélection des tirages des lauréats de ces prix partenaires, dans une exposition destinée à s'inscrire comme un rendez-vous annuel des amateurs de photographie. L'occasion pour le public de s'immerger dans l'effervescence créative de la photographie d'aujourd'hui.La BnF dédie cette 3e édition à Didier de Faÿs, récemment décédé, directeur de Photographie.com et fondateur de la Bourse du Talent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Épreuves de la matièreLa photographie contemporaine et ses métamorphosesà la BnF François Mitterrand, Parisdu 10 octobre 2023 au 4 février 2024Interview de Héloïse Conésa, cheffe du service de la photographie, chargée de la photographie contemporaineau département des Estampes et de la photographie, BnF, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 9 octobre 2023, durée 16'3725, © FranceFineArt.https://francefineart.com/https://francefineart.com/2023/10/17/3488_epreuves-de-la-matiere_bnf-francois-mitterrand/communiqué de presseCommissariatHéloïse Conésa, cheffe du service de la photographie, chargée de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie, BnFTraversé par de multiples explorations plastiques, le questionnement autour de la matière irrigue tous les champs de la photographie, du processus créatif à la présentation des images. Prenant appui sur la riche collection de photographies contemporaines de la BnF, l'exposition révèle les capacités de métamorphose de la matière photographique mais aussi sa possible disparition. À travers les oeuvres singulières de près de deux cents photographes français et étrangers se dévoile une histoire sensible et incarnée de la photographie.L'exposition explore en quatre grandes parties les états possibles de la matière-image en photographie, analogique comme numérique.La première partie, « L'image tangible, la matière incarnée », montre comment des photographes tels que William Eggleston, Ann Mandelbaum, Denis Brihat entre autres transforment la matière photographiée en recourant par exemple au fou, au gros plan, aux variations d'échelles. D'autres comme Andreas Müller-Pohle, Philippe Gronon ou Isabelle Le Minh s'attachent à analyser toutes les textures des composantes de la photographie : grain d'argent, gélatine, pixels, papier...Avec « L'image labile, la matière expérimentée », l'exposition évoque ensuite la matérialité à l'aune des explorations mises en place dans la « cuisine » du laboratoire jusqu'au menu de l'ordinateur : aussi les expérimentations analogiques sur les émulsions (chimigrammes de Pierre Cordier, gommes bichromatées mélangées à du sang chez Marina Bério) ou sur le support photographique (photogramme plié d'Ellen Carey, daguerréotype de Patrick Bailly Maître Grand ou impressions sur végétaux d'Almudena Romero) sont-elles présentées en regard des oeuvres numériques de Thomas Ruff (série « Substrats » obtenue par la superposition de plusieurs images glanées sur internet ) ou de Lauren Moffatt (détournement de la photogrammétrie dans la série « Compost »).« L'image hybride, la matière métamorphosée » met en exergue des pratiques où la photographie s'hybride avec d'autres expressions artistiques (Anne-Lise Broyer, Paolo Gioli) ou alors parvient par ses ressources propres à suggérer des effets de matière picturale, graphique ou sculpturale (Valérie Belin, Jean-Luc Tartarin, Laurent Millet).Enfin, la quatrième et dernière partie, « L'image précaire, la matière fragilisée », présente des oeuvres interrogeant la photographie soumise au passage du temps et des éléments qui peuvent conduire à son effacement progressif (travaux sur l'archive photographique d'Eric Rondepierre, Joan Fontcuberta, Hideyuki Ishibashi, Lisa Sartorio, Oscar Muñoz…) ainsi que des matérialisations fugaces qui donnent lieu à des images évanescentes (hologramme de Michael Snow) ou à des images latentes, spectrales (Rosella Bellusci, Smith, Vittoria Gerardi, Alain Fleischer).[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de l'exposition Degas en noir et blanc, l'historien de l'art Michel Melot revient sur l'amitié paradoxale entre Degas et Pissarro.Tout aurait dû les opposer : opinions politiques, vie de famille, mode de travail. Pourtant, Degas et Pissarro furent toute leur vie les meilleurs amis du monde et résistèrent aux querelles ; ils réinventèrent le monotype. Ils peignaient des femmes nues et des scènes de bordel pour Degas, des bergères dans les champs pour Pissarro. Leur art les accordait.Par Michel Melot, historien de l'art, ancien directeur du département des Estampes et de la photographie de la BnFConférence enregistrée le 8 juin 2023 à la BnF I Richelieu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Table ronde autour de l'exposition Degas en noir et blancLes quatre commissaires échangeront leurs points de vue sur la conception de l'exposition et ses apports à la connaissance de l'œuvre de l'artiste.Table ronde avec les commissaires de l'exposition, Henri Loyrette, président-directeur honoraire du musée du Louvre, Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie de la BnF, Valérie Sueur-Hermel et Flora Triebel, chargées de collections au département des Estampes et de la photographie de la BnF ; animée par Gennaro Toscano, conseiller scientifique à la BnFSéance enregistrée le 22 juin 2023 à la BnF I Richelieu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Degas en noir et blanc”Dessins, estampes, photographiesà la BnF I Richelieu, Parisdu 31 mai au 3 septembre 2023Interview de Flora Triebel, conservatrice responsable de la photographie du XIXe siècle, département des Estampes et de la photographie, BnF et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 30 mai 2023, durée 23'17,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/06/01/3447_degas-noiretblanc_bnf-richelieu/Communiqué de presseCommissariat :Henri Loyrette, président-directeur honoraire du musée du Louvre, commissaire généralNSylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie, BnFValérie Sueur-Hermel, conservatrice responsable des estampes du XIXe siècle, département des Estampes et de la photographie, BnFFlora Triebel, conservatrice responsable de la photographie du XIXe siècle, département des Estampes et de la photographie, BnFCette exposition propose une approche inédite de l'oeuvre d'Edgar Degas à travers son intérêt constant pour le noir et blanc, qu'il exprime par l'estampe et la photographie mais aussi par le dessin et la peinture. Animé par une insatiable curiosité technique, l'artiste a construit un oeuvre en noir et blanc qui n'a pas d'équivalent en son temps et lui assure une place singulière parmi les artistes impressionnistes. Grâce à la réunion de cent soixante pièces, issues de la riche collection de la BnF et de prêts prestigieux, le visiteur suit l'évolution d'une passion qui fit affirmer à Degas : « Si j'avais à refaire ma vie, je ne ferais que du noir et blanc.»Un parcours à la fois chronologique et thématique dévoile les expérimentations de Degas, de son apprentissage du noir et blanc aux années de passion dévorante pour l'estampe, à travers les motifs récurrents qui nourrissent ses recherches. Ses premiers essais d'aquafortiste remontent aux années 1850 mais c'est vingt ans plus tard que naissent, à la faveur de recherches techniques d'une rare inventivité, les planches qui comptent parmi les chefs-d'oeuvre de l'estampe impressionniste : du instantanés de la vie moderne saisis à l'Opéra ou dans les cafés-concerts, dans l'intimité des intérieurs bourgeois ou des maisons closes. Le goût de l'épreuve unique conduit Degas au monotype, qu'il considère comme un « dessin imprimé » et dont il devient un maître inégalé. Les femmes à leur toilette constituent le conservatrice responsable des sujet récurrent des lithographies tardives tandis que l'expérimentation photographique du XIXesiècle, dernière passion à laquelle il s'adonne en 1895, lui permet de retrouver « l'atmosphère de lampes » et le clair-obscur abordé dans l'estampe.Cent soixante oeuvres (estampes, dessins, photographies ainsi qu'une peinture et une sculpture), issues des collections de la BnF et de prêts français (musée d'Orsay, musée national Picasso, Institut national d'histoire de l'art…) et étrangers (Metropolitan Museum of Art), restituent la richesse de cet oeuvre aux supports et aux techniques variés. Ces pièces exceptionnelles sont mises en relation avec les travaux de ses amis Mary Cassatt et Camille Pissarro. #Catalogue de l'exposition – DEGAS EN NOIR ET BLANC par Henri Loyrette Sylvie Aubenas, Valérie Sueur-Hermel et Flora Triebel – BnF I Éditions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“La photographie à tout prix” Une année de prix photographiques à la BnF– 2e éditionà la BnF François Mitterrand, Parisdu 13 décembre 2022 au 12 mars 2023Interview de Héloïse Conésa, conservatrice département des Estampes et de la photographie, BnF, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 12 décembre 2022, durée 18'52.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/12/15/3363_photographie-prix_bnf-francois-mitterrand/Communiqué de presseCommissariat :Héloïse Conésa, conservatrice département des Estampes et de la photographie, BnF, avec la complicité des photographes et des partenaires. À travers son soutien aux grands prix photographiques qui structurent par leur action une part importante de la création dans ce champ artistique, -le Prix Niépce et le Prix Nadar initiés par l'association Gens d'images en 1955, la Bourse du Talent et enfn, depuis 2020, le nouveau Prix du tirage -Collection Florence & Damien Bachelot -Collège international de photographie -, la BnF marque son implication auprès des photographes, des éditeurs, des tireurs … Cet hiver et pour la deuxième année consécutive, la Bibliothèque présente, en collaboration avec le Collège international de photographie, Gens d'Images, photographie.com et Picto Foundation, une sélection des tirages des lauréats de ces prix partenaires, dans une exposition destinée à s'inscrire comme un rendez-vous annuel des amateurs de photographie. L'occasion pour le public de s'immerger dans l'effervescence créative de la photographie d'aujourd'hui.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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« Rendre accessibles les originaux qui sont des pièces d'une grande valeur esthétique, patrimoniale, qui appartiennent au fonds Chaland, et dont les pièces, quand il y en a, sont très coûteuses sur le marché », tels sont les objectifs de Catawiki et d'Isabelle Beaumenay-Chaland, l'épouse de l'artiste. Très engagée dans la promotion de l'œuvre de cette grande figure de la Ligne claire, Isabelle Beaumenay-Chaland est férue de nouvelles technologies. Pour les Rencontres Chaland qu'elle tient à bout de bras depuis 2009, elle a récemment lancé une application en réalité virtuelle de l'œuvre de Chaland que l'on peut visionner sur son smartphone en se promenant à Nérac, la ville d'origine de la famille d'Yves Chaland. Lorsque Louis Girard, l'expert de Catawiki France, l'a approchée pour mettre en vente, non pas des originaux mais des estampes à tirage unique à impression pigmentaire, des reproductions parfaites de trente originaux iconiques de l'œuvre de Chaland et de les assortir d'un certificat d'authenticité et d'une NFT, c'est-à-dire un jeton inscrit dans un registre partagé de la Blockchain Ethereum, nouveau terrain de jeu de l'art contemporain, elle a accepté tout de suite. Aux cimaises, les images les plus fameuses de l'œuvre de Chaland tirées de Freddy Lombard (Le Testament de Godefroy de Bouillon, La Comète de Carthage,…), de Bob Fish, du Jeune Albert, de Spirou, Adolphus Claar, mais aussi d'illustrations pour la jeunesse, de fameuses campagnes publicitaires… Toute ka beauté du trait de Chaland restituée à la perfection. Les prix de départ de la vente aux enchères vont de 200 à 400€ selon le format. Ecoutez ce podcast où les acteurs de cette vente expliquent les raisons de leur choix.
Au programme ce mercredi ! Aujourd'hui dans Mercredi !, découvrez les estampes japonaises. Au pays des cerisiers en fleur, des volcans enneigés, de l'émerveillement des saisons et de la nature, l'estampe a pris toute sa place pour révéler la beauté et faire lien entre art et cosmos. Les musiques de l'émission : - Sleep Alone de Moby - Annarella de CCCP - Garnement de Odezenne - Extreme Ways de Moby - Mountains o' things de Tracy Chapman Crédit photo : Les tourbillons de Naruto à Awa de Utagawa Hiroshige
Au programme ce mercredi ! Aujourd'hui dans Mercredi !, découvrez les estampes japonaises. Au pays des cerisiers en fleur, des volcans enneigés, de l'émerveillement des saisons et de la nature, l'estampe a pris toute sa place pour révéler la beauté et faire lien entre art et cosmos. Les musiques de l'émission : - Sleep Alone de Moby - Annarella de CCCP - Garnement de Odezenne - Extreme Ways de Moby - Mountains o' things de Tracy Chapman Crédit photo : Les tourbillons de Naruto à Awa de Utagawa Hiroshige
Aujourd'hui dans Mercredi !, découvrez les estampes japonaises. Au pays des cerisiers en fleur, des volcans enneigés, de l'émerveillement des saisons et de la nature, l'estampe a pris toute sa place pour révéler la beauté et faire lien entre art et cosmos. Les musiques de l’émission : - Sleep Alone de Moby - Annarella de CCCP - Garnement de Odezenne - Extreme Ways de Moby - Mountains o' things de Tracy Chapman Crédit photo : Les tourbillons de Naruto à Awa de Utagawa Hiroshige
Pendant le mois de juillet, découvrez l'exposition temporaire à la Fondation Baur, " Estampes japonaises, 1860 -1890". Seconde partie de notre visite guidée, avec Marie Wyss, responsable de la médiation culturelle à la fondation Baur. Toutes ces œuvres ont été réalisées entre 1860 et 1890, trois décennies correspondant aux dernières années de l'époque d'Edo 江戸 (1603-1868) et au début de l'ère Meiji 明治 (1868-1912), une période cruciale de l'histoire du Japon moderne qui voit de profonds changements politiques et sociétaux amenés entre autres par l'ouverture du pays aux idées et aux technologies venues de l'Occident.
La Fondation Baur propose pour cette période estivale son exposition temporaire " Estampes japonaises, 1860 - 1890". Toutes ces œuvres ont été réalisées entre 1860 et 1890, trois décennies correspondant aux dernières années de l'époque d'Edo 江戸 (1603-1868) et au début de l'ère Meiji 明治 (1868-1912), une période cruciale de l'histoire du Japon moderne qui voit de profonds changements politiques et sociétaux amenés entre autres par l'ouverture du pays aux idées et aux technologies venues de l'Occident. Nous serons avec Marie Wyss, responsable de la médiation culturelle à la Fondation Baur.
“Albrecht Dürer“ Gravure et Renaissanceà la Salle du Jeu de Paume du Château de Chantilly, Chantillydu 4 juin au 2 octobre 2022Interview de Mathieu Deldicque, conservateur du patrimoine, Musée Condé, et de Caroline Vrand, conservatrice du patrimoine, département des estampes et de la photographie, responsable des estampes des XVe et XVIe siècles - BnF, et commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 2 juin 2022, durée 19'06.© FranceFineArt.Commissariat :Château de Chantilly :Mathieu Deldicque, Conservateur du patrimoine, Musée Condé.Bibliothèque nationale de France :Caroline Vrand, Conservatrice du patrimoine, Département des Estampes et de la photographie, Responsable des estampes des XVe et XVIe siècles.Communiqué de presseConsidéré de son vivant comme un génie universel, Albrecht Dürer n'en finit pas de fasciner. Par ses gravures, il a contribué à façonner la Renaissance européenne en se plaçant au coeur des échanges artistiques. Trop rarement exposé en France – la dernière exposition française consacrée à Dürer remonte à plus d'un quart de siècle ! –, cet immense artiste est exceptionnellement mis à l'honneur l'été prochain à Chantilly. Pour la première fois, deux collections majeures d'oeuvres d'Albrecht Dürer en France, celle du musée Condé à Chantilly et celle de la Bibliothèque nationale de France, unissent leurs forces. Plus de 200 feuilles seront ainsi réunies, un rassemblement inédit qui permettra de mettre en valeur l'éblouissante création graphique de Dürer, placée au coeur de sa propre pratique artistique et des bouleversements de son époque.La Renaissance européenne d'Albrecht DürerIssu du foisonnant foyer artistique de Nuremberg, Albrecht Dürer (1471-1528) est le fils d'une Europe en pleine effervescence. Ses débuts auprès de Michael Wolgemut, ses voyages de formation sur les traces de Martin Schongauer, ses rencontres avec princes, clercs et humanistes, ses séjours répétés en Italie et aux Pays-Bas : chaque étape de sa carrière est l'occasion de découvrir et d'assimiler la production de ses contemporains, d'intégrer et de dépasser les nouveautés techniques et formelles, mais surtout de rayonner et de marquer durablement son temps. L'exposition reviendra sur la fabrique de l'un des plus grands artistes de tous les temps, sa formation, sa connaissance précoce des gravures italiennes du Quattrocento et le dialogue qu'il a établi avec les grands graveurs et dessinateurs germaniques de son temps, notamment Martin Schongauer. Les célèbres cycles gravés sur bois qui ont fait sa célébrité (l'Apolypse, la Vie de la Vierge et la Grande Passion) seront exposés dans leur intégralité, et formeront les jalons du parcours de l'exposition. La découverte de Venise, lors de l'éventuel premier voyage et du second quant à lui bien attesté, marqua un tournant dans son art. Dessins et gravures montreront les échanges féconds qui se sont installés entre l'artiste et le foyer vénitien, pendant son séjour ou après. Des dessins exceptionnels, préparatoires à ses plus grands chefs-d'oeuvre, comme la Fête du Rosaire ou le Retable Landauer, permettront de comprendre la maturation et les ressorts artistiques de ces derniers. Comme bien peu d'artistes avant lui, Albrecht Dürer a nourri un projet artistique global et humaniste de compréhension et d'émulation avec la nature.[...]#Catalogue de l'exposition sous la direction de Mathieu Deldicque et de Caroline Vrand est disponible aux éditions IN FINE éditions d'art. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour la seconde année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la culture dans le cadre de la troisième édition du Parlement de la Photographie qui se déroulera les 7 et 8 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons, les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir les points qui seront évoqués lors de la troisième table ronde intitulée La Commande publique photographique : histoires enjeux et perspectives avec deux des quatre intervenantes : Héloïse Conesa (Conservatrice du patrimoine, chargée de la collection de photographie contemporaine, Département des Estampes et de la Photographie, Bibliothèque nationale de France) et Pascal Beausse (Responsable de la collection photographie du CNAP).
Au programme de l'émission du 04 mai : avec Philippe Achermann, chargé de communication à la Maison de la culture du Japon à Paris, pour une visite commentée de l'exposition Les enfants de l'ère Meiji Des albums : chronique de Véronique Soulé – c'est au début Augustine et Othilie présentent un roman qu'elles ont lu et aimé : - Le garçon fleurs, de Jarvis – Kaléidoscope, mars 2022 Le garçon en fleurs, c'est David, un petit garçon aux cheveux fleuris, tout un véritable bouquet multicolore qui lui pousse sur la tête. Quelle jolie idée que cette métaphore des cheveux en fleurs pour aborder de biais et tout en légèreté la thématique de la différence. À partager avec les enfants dès 4 ans. Exposition - interview de Philippe Achermann – c'est vers 08 mn La passionnante exposition Les enfants de l'ère Meiji. À l'école de la modernité (1868-1912) – à la Maison de la culture du Japon à Paris jusqu'au 21 mai – présente quelque 150 estampes donnant à voir comment la façon d'éduquer les enfants japonais a évolué au cours de cette période charnière, dite ère Meiji, où le Japon s'est ouvert à l'Occident et s'est modernisé à son contact. Estampes pédagogiques, images jouets ou encore estampes représentant des enfants dans différentes situations du quotidien, elles sont non seulement très variées, dans leur composition comme dans leur contenu, dans leurs nombreux détails et leur diversité, mais sont aussi très intéressantes pour leurs palettes de couleurs, souvent vives, et leurs nuances raffinées, et pour ainsi dire très contemporaines. Visite commentée avec l'intarissable et fin connaisseur Philippe Achermann, chargé de communication à la Maison de la culture du Japon. Grands livres pour petites personnes - chronique de Elsa Gounot - c'est vers 60 mn - Règlobus, de Pierre Alexis – La Partie, 2022 "Rainette, une grenouille conductrice, nous accueille au volant de son bus pour animaux et égrène au fil des pages les différentes règles de conduite à y tenir. L'on passe des plus classiques aux plus farfelues, visant les particularités de tel ou tel passager." Lecture - par Lionel Chenail - c'est vers 65 mn - Là où chantent les écrevisses – Delia Owens – Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marc Amfreville – Seuil, 2020 / Points, 2021 On a écouté - Voici le mois de mai – Zaph Zapha – Kalenda, Voyage musical dans le monde créole – Livre CD, La Caza musique, coll. Tout s'métisse, 2016 - Marché aux fleurs - Jean Hughes Malineau, Jocelyne Sand - Comptines à croquer à belles dents - livre CD, Actes Sud junior, 2003 - Barcarolles [et] Choro – Daniel Goyone – Il y a du bleu dans l'orange – Label bleu, 2013 - Lalala – Mami Chan - Mami Chan Band Live – CD, 2001 ------------------------------------------- N'hésitez pas à nous envoyer vos informations (ou juste un petit message, ça fait toujours plaisir !) à elephant@aligrefm.org
Donald Macleod explores Debussy's life as he approaches his thirties. Donald Macleod explores Debussy's life as he approaches his thirties, a challenging period both personally and musically. One of the twentieth century's most original minds, the French composer Claude Debussy has had a profound influence on the course of music. Born in 1862, his precocious talent gained him admittance to the prestigious Paris Conservatoire as a ten year old, one of the youngest pupils in the piano class. There were soon indications of his independence of mind. His student years are littered with reports which, while recognising his gifts also found him to be careless and scatterbrained. Debussy found it difficult to focus on his lessons because he felt frustrated with the rules of composition he was told to follow. He wanted to express himself differently, and if he broke the rules to achieve that, well, in his view, so be it. This week Donald Macleod begins his stories at the point in Debussy's life where, the young man has dispensed with institutional restrictions. He was free to choose his own path. No more rules, no more regulations. There were still some practical considerations he would have to factor in to his plans. Having fulfilled, for the main, the requirements of the Prix de Rome, he needed to make a professional name for himself, and most urgently, earn some money! All in all, it would prove to be a difficult decade. Music Featured: Deux Arabesques Romance (Silence Ineffable) La damoiselle élue, Poem Lyric (Introduction; Élue s'appuyait) String Quartet in G minor, op 10 (1st mvt) Rodrigue et Chimène, Act 1 (excerpt) Prélude à l'après-midi d'un faune Images oubliees, No 2 (Souvenir du Louvre) Trois Mélodies de Verlaine Pour le piano (Prelude, Sarabande, Toccata) String quartet in G minor, op 10 (2nd mvt) Proses Lyriques, No 4 (De soir) 6 Épigraphes Antiques Images Oubliees, No 3 (Quelques aspects de "Nous n'irons plus au bois") Proses lyriques, No 3 (De fleurs) Overture to Wagner's ‘The Flying Dutchman' (arr for two pianos) Pelléas et Mélisande, Act 4, Scene 4 Pelléas et Mélisande, Act 1 (excerpt) Nocturnes, No 1 (Nuages) Pelléas et Mélisande, Act 1 (excerpt) Pelléas et Mélisande, Act 1, Scene 3 Nocturnes, No 2 (Fêtes) Lindaraja for 2 pianos Pelléas et Mélisande, Act 3, Scene 1 Images, No 2 (Hommage à Rameau) La mer, No 3 (Dialogue du vent et de la mer) Estampes, No 1 (Pagodes) Le Diable dans le beffroi (excerpt) Masques pour piano Fantaisie for piano and orchestra (1st mvt) Pelléas et Mélisande Act 5 (excerpt) La mer, No 3 (Dialogue du vent et de la mer) Presented by Donald Macleod Produced by Johannah Smith, for BBC Wales For full track listings, including artist and recording details, and to listen to the pieces featured in full (for 30 days after broadcast) head to the series page for Claude Debussy (1862-1918) https://www.bbc.co.uk/programmes/m0015546 And you can delve into the A-Z of all the composers we've featured on Composer of the Week here: http://www.bbc.co.uk/programmes/articles/3cjHdZlXwL7W41XGB77X3S0/composers-a-to-z
Second installment of our new series, featuring music of Claude Debussy. 1. "Pagodas" from Estampes, L. 100 performed by Jani Parsons 2. "Clair de Lune" from Suite Bergamasque performed by Amy Gustafson 3. "Beau Soir" transcribed and performed by Merideth Hite Estevez, oboe and Jani Parsons, piano While you listen: What stifles your artistic practice? What spoken or unspoken laws are you adhering to in your creative work? What would it be like to let joy be the rule or theory that guides you? Take a moment to brainstorm some ways you might practice courage, compassion, and connection this week, around any shame you may feel about your worthiness.
“La photographie à tout prix“ Une année de prix photographiquesà la BnF François Mitterrand, Parisdu 23 novembre 2021 au 20 février 2022Interview de Héloïse Conesa, conservatrice au département des Estampes et de la photographie à la BnF en charge la photographie contemporaine, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 22 novembre 2021, durée 17'23.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat :Héloïse Conesa, conservatrice au département des Estampes et de la photographie, BnF pour la photographie contemporainePrix Niépce I Prix Nadar I Bourse du Talent I Prix du tirage photographique Collection Florence et Damien BachelotLa Bibliothèque nationale de France soutient un grand nombre de prix photographiques. Elle est partenaire historique du Prix Niépce et du Prix Nadar initiés par l'association Gens d'images en 1955. Elle s'est associée en 2006 à la Bourse du Talent et enfin, en 2020 au nouveau Prix du tirage photographique – Collection Florence & Damien Bachelot – Collège international de photographie. À partir du 23 novembre 2021, la BnF présente, en collaboration avec le Collège international de photographie, Les Gens d'Images, photographie.com et Picto Foundation une sélection des tirages des lauréats de ces prix partenaires, dans une exposition destinée à s'inscrire comme un rendez-vous annuel des amateurs de photographie. L'occasion pour le public de s'immerger dans l'effervescence créative de la photographie d'aujourd'hui.Les Prix et lauréatsLe Prix Niépce 2021 Gens d'images est attribué à :Grégoire Eloy, membre du Collectif Tendance Floue, sa candidature était parrainée par Philippe Guionie, directeur de la Résidence 1+2.Le Prix Nadar 2021 Gens d'images est attribué à :LEAVING AND WAVINGPhotographies de Deanna DikemanPublié par les éditions Chose CommunePrix du tirage Collection Florence & Damien Bachelot 2021 sont :Guillaume GENESTE et Bernard PLOSSU (catégorie « duo)Guillaume ZUILI (catégorie « photographe »)Bourse du talent 2021 – Les 3 lauréats présentés sont :Gabriel Dia, séries Fragments et SabarAurélie Scouarnec, séries Anamnêsis et FeræYann Datessen, série A.R. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Baudelaire, la modernité mélancolique“à la BnF François Mitterrand, Parisdu 3 novembre 2021 au 13 février 2022Interview de Julien Dimerman, conservateur au département Littérature et art – BnF, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 1er novembre 2021, durée 13'18.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat : Commissaire principalJean-Marc Chatelain, directeur de la Réserve des livres rares, BnFCommissaires associésSylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie, BnFJulien Dimerman, conservateur au département Littérature et art, BnFAndrea Schellino, maître de conférences à l'Université Rome-III Le 9 avril 1821 naissait à Paris Charles Baudelaire, que Rimbaud saluera un demi-siècle plus tard comme « le premier voyant, roi des poètes ». La Bibliothèque nationale de France célèbre le bicentenaire de sa naissance par une grande exposition qui plonge au coeur de la création poétique de Baudelaire et de sa modernité, invitant à explorer le rôle capital qu'y joue l'expérience de la mélancolie. Réunissant près de 200 pièces – manuscrits, éditions imprimées, oeuvres graphiques et picturales –, l'exposition offre l'occasion de découvrir, aux côtés des prêts prestigieux dont elle bénéficie, la richesse des collections baudelairiennes de la Bibliothèque, notamment les épreuves corrigées de l'édition originale des Fleurs du Mal et le manuscrit autographe de Mon coeur mis à nu, saisissant autoportrait de la révolte et du déchirement intérieur d'un homme dont l'oeuvre a changé le destin de la poésie.L'exposition de la BnF invite le visiteur à se mettre véritablement à l'écoute de la parole du poète des Fleurs du Mal et du Spleen de Paris, plutôt que de suivre pas à pas les étapes de sa vie. Embrassant les divers aspects de l'oeuvre de Baudelaire, elle est avant tout consacrée à son univers poétique et au rôle primordial qu'y tient la mélancolie, « toujours inséparable du sentiment du beau », comme Baudelaire l'écrivait lui-même. Inséparable aussi de ce qu'il appelait la « modernité » : non la promesse d'un avenir radieux mais la relation vive qu'entretient l'artiste, sommé « de tirer l'éternel du transitoire » (Le peintre de la vie moderne), avec le temps présent. Cette mystérieuse solidarité de la beauté moderne et de la mélancolie, qui est aussi pour Baudelaire une manière d'habiter le monde, guide le parcours de visite. Si les manuscrits, éditions et lettres y occupent une place centrale, les oeuvres graphiques et picturales y sont présentes à double titre : pour le rapport historique qui les relient à l'oeuvre de Baudelaire – telles certaines des gravures qui ont été à la source de ses poèmes – ; pour la résonance particulière qu'elles entretiennent avec elle et qui permet d'en éclairer la compréhension. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Claude Debussy - Estampes: Pagodes Akihiro Sakiya, piano More info about today's track: Naxos 8.573502 Courtesy of Naxos of America, Inc. Subscribe You can subscribe to this podcast in Apple Podcasts, or by using the Daily Download podcast RSS feed. Purchase this recording ArkivMusicAmazon
durée : 00:22:33 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - La fermeture des musées pour cause de pandémie a accéléré le principe des déambulations virtuelles. Mais comment filmer une installation muséale ? Elements de réponses avec l'exemple de l'exposition "Noir et Blanc, une esthétique de la photographie" du Grand Palais. - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Virginie d’Allens Chef du département Multimédia et Audiovisuel de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais; Héloïse Conésa conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnF
durée : 00:22:33 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - La fermeture des musées pour cause de pandémie a accéléré le principe des déambulations virtuelles. Mais comment filmer une installation muséale ? Elements de réponses avec l'exemple de l'exposition "Noir et Blanc, une esthétique de la photographie" du Grand Palais. - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Virginie d’Allens Chef du département Multimédia et Audiovisuel de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais; Héloïse Conésa conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnF
“Girault de Prangey photographe” (1804-1892)au Musée d'Orsay, Parisdu 15 décembre 2020 au 14 mars 2021Interview de Thomas Galifot, conservateur en chef pour la photographie au musée d'Orsay et de Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la Photographie à la Bibliothèque nationale de France, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 14 décembre 2020, durée 26'20, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :Commissariat : Thomas Galifot, conservateur en chef pour la photographie au musée d'Orsay Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la Photographie à la Bibliothèque nationale de France Oublié pendant plus d'un siècle, le Langrois Joseph-Philibert Girault de Prangey (1804-1892) s'est imposé depuis une vingtaine d'années parmi les figures majeures des débuts de la photographie française, à la faveur de quelques expositions et publications stimulées par une actualité spectaculaire du marché de l'art. Cet aristocrate fortuné qui choisit de se faire peintre et dessinateur, archéologue et historien de l'architecture, savant amateur de plantes et d'oiseaux rares, est aussi un pionnier du daguerréotype. Cette technique qu'il maîtrise parfaitement dès 1841 lui permet de réaliser une oeuvre d'une qualité et d'une ampleur presque incomparable.Comptant en effet non moins de 1000 plaques répertoriées à ce jour (ce chiffre pouvant augmenter tant l'oeuvre demeure mystérieuse encore), le corpus a majoritairement été réalisé entre 1842 et 1844, lors d'un tour du bassin méditerranéen de l'Italie à l'Égypte en passant par la Grèce, la Turquie, la Syrie, le Liban, Jérusalem et la Palestine. Prenant le relais des méthodes manuelles de relevés employées lors de ses précédents voyages, la photographie s'inscrit alors avant tout dans un cadre d'études archéologiques : elle nourrit une documentation iconographique conçue comme la base des nombreuses illustrations à paraître bientôt dans les luxueuses publications de Girault de Prangey centrées sur l'architecture islamique. Première monographie en France consacrée à l'oeuvre photographique de Girault de Prangey, l'exposition du musée d'Orsay ambitionne tout d'abord de mettre en valeur cet ensemble exceptionnel, en déployant la vision et la méthode de travail d'un auteur soucieux de renouveler l'histoire comparée de l'architecture et des styles grâce à l'apport de la photographie.De manière totalement inédite, la manifestation et le catalogue qui l'accompagnera replaceront également ce corpus au sein de la production précédant et suivant ce voyage. L'exposition révèle que Girault de Prangey développe à partir des années 1850 une très riche oeuvre photographique sur papier d'une qualité et d'une variété avant tout inspirée par son domaine et ses jardins. Est ainsi proposée une vision nouvelle et plus complète du grand photographe qu'il a été des années 1840 aux années 1870, et dont ses daguerréotypes spectaculaires ne donnaient qu'une idée partielle.L'oeuvre de Girault de Prangey sera analysée dans le contexte français des années 1830 aux années 1880 – contexte artistique, archéologique, celui de l'essor de l'édition scientifique illustrée et des sociétés savantes d'archéologie, d'acclimatation et d'horticulture – pour proposer une compréhension résolument nouvelle de la personnalité de Girault de Prangey et de l'originalité de son oeuvre.L'exposition présentera une centaine de daguerréotypes mais aussi une cinquantaine de photographies sur papier majoritairement inédites et récemment découvertes, des peintures, dessins, lithographies et ouvrages illustrés de Girault de Prangey, qui seront mis en regard avec des oeuvres de ses contemporains.Un accent particulier sera mis sur le regard porté par Girault de Prangey sur la cathédrale Notre-Dame de Paris, alternant vues d'ensemble et études en plan rapproché aussi audacieuses que pionnières dans la technique du daguerréotype. Nous sommes alors en 1841 soit 3 ans avant le lancement des restaurations menées sous la conduite de Jean-Baptiste Lassus et d'Eugène Viollet-le-Duc. Une attention égale sera accordée au fait que beaucoup de plaques réalisées au Proche-Orient entre 1842 et 1844 comptent parmi les premières photographies connues de sites aujourd'hui détruits, détériorés ou menacés. Autant d'aspects qui ne font que renforcer l'un des enjeux primordiaux d'une telle exposition : démontrer que la dimension documentaire exceptionnelle attachée à une grande part de l'oeuvre de Girault de Prangey ne doit pour autant pas éclipser les ambitions esthétiques manifestes chez ce photographe archéologue qui était d'abord un artiste.L'exposition est organisée par les musées d'Orsay et de l'Orangerie, Paris, avec la collaboration exceptionnelle de la Bibliothèque nationale de France.Le catalogue d'exposition Girault de Prangey. Photographe est publié en coédition Musées d'Orsay et de l'Orangerie / Hazan. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Noir & Blanc : une esthétique de la photographie” Collection de la Bibliothèque nationale de Franceau Grand Palais, Parisdu 16 décembre 2020 au 1er février 2021PODCAST – Interview de Héloïse Conésa, conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnF, et de Dominique Versavel, cheffe du service de la photographie et conservatrice en charge de la photographie moderne au département des Estampes et de la photographie de la BnF, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, enregistrement réalisé par téléphone, entre Paris et Paris, le 10 décembre 2020, durée 32'01, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :commissariat :Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie de la BnFHéloïse Conésa, conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnFFlora Triebel, conservatrice en charge de la photographie du XIXe siècle au département des Estampes et de la photographie de la BnFDominique Versavel, cheffe du service de la photographie et conservatrice en charge de la photographie moderne au département des Estampes et de la photographie de la BnFscénographie : Maud Martinot« Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d'autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleurs ? » Shoji Ueda.Cette exposition présente des chefs-d'oeuvre en noir et blanc des collections photographiques de la Bibliothèque nationale de France (BnF), exceptionnellement réunis pour l'occasion. Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Frank, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin… Les grands noms de la photographie francaise et internationale sont réunis dans un parcours qui embrasse 150 ans d'histoire de la photographie noir et blanc, depuis ses origines au XIXe siècle jusqu'à la création contemporaine.150 ans d'histoire de la photographie noir et blancDans la continuité des grandes expositions de photographie organisées depuis 2012 dans la Galerie Sud-Est du Grand Palais, l'exposition Noir & Blanc présente plus de 300 tirages représentatifs de la collection exceptionnelle du département des Estampes et de la photographie de la BnF.Cette présentation se concentre sur le XXe siècle et la période contemporaine sans omettre un préambule de quelques photographies du XIXe siècle : ainsi le thème est traité sur plus de 150 ans à travers l'œuvre d'environ 200 photographes de plus de 30 nationalités.Le noir et blanc, un parti-pris technique et esthétique en constante évolutionLe noir et blanc fait partie intégrante de l'histoire de la photographie : ses évolutions, de la fin du XIXe à aujourd'hui, ont permis de produire des nuances de plus en plus contrastées et sophistiquées, révélant la force plastique de cette technique. Alors que le recours à la couleur s'intensifie au cours des années 1970, le noir et blanc se maintient et s'emploie comme un moyen d'expression esthétique affirmé mettant l'accent sur le graphisme et la matière.Jusqu'aux années 1980-1990, il domine la production en nombre et en hiérarchie de valeur : à l'instar de Walker Evans (1903-1975), de nombreux photographes considèrent alors la photographie en couleur comme un procédé “vulgaire”, à réserver pour des sujets banals et des usages utilitaires. Au-delà d'une justification économique et technique, la persistance de l'usage du noir et blanc s'explique par le fait qu'il a fini par incarner, dans le sens commun, l'essence même de la photographie et la « belle photographie ».Le noir et blanc apparaît comme porteur d'une dimension universelle, intemporelle voire mémorielle, là où la couleur serait la traduction du seul monde contemporain. La Bibliothèque nationale de France (BnF) s'est toujours voulue un conservatoire privilégié de la photographie en noir et blanc de même qu'elle a encouragé la persistance de sa pratique et aujourd'hui sa réappropriation par de jeunes auteurs en réaction contre le tout numérique couleur.Le noir et blanc dans les collections photographiques de la BnFL'exposition aborde la question sous un angle esthétique, formel et sensible en insistant sur les modes de création de l'image monochrome : effets plastiques et graphiques de contrastes, jeux d'ombres et de lumières, rendu des matières dans toute la palette des valeurs du noir et blanc en passant par les gammes de gris.Le choix a mis l'accent sur les photographes qui ont concentré et systématisé leur création artistique en noir et blanc, en ont expérimenté les possibilités et les limites, en ont fait parfois le sujet même de leur photographie : Imogen Cunningham, Man Ray, Ansel Adams, Florence Henri , Ralph Gibson, Mario Giacomelli, Vaérie Belin par exemple.Une attention particulière a été portée à la qualité des tirages et à la variété des techniques et des papiers photographiques (tirages pigmentaires, gommes bichromatées, gélatino-argentiques barytés…) et une place faite au thème de l'impression du noir et blanc, le livre et les revues ayant été longtemps le principal véhicule de la création photographique.Les trésors des collections photographiques de la BnF exposés au Grand PalaisLes collections photographiques du département des Estampes et de la photographie de la BnF, qui compte aujourd'hui quelque 6 millions de tirages, sont particulièrement représentatives de cette histoire de la photographie noir et blanc.La collection de photographies de la BnF, l'une des plus riches au monde, conserve aujourd'hui des centaines de milliers d'épreuves, d'albums et de portfolios de près de 2000 photographes du XIXe siècle et plus de 5700 photographes des XXe et XXIe siècles, toutes tendances et nationalités représentées. 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Nouvelle diffusion, ce dimanche, de la rencontre avec Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden, deux membres du quatuor de guitares ' Four Aces '. C'était ce 27 octobre 2019. "Et si Mozart avait joué de la guitare", c'est à partir de ce postulat, aussi sympathique, saugrenu, sérieux qu'intrigant qu'est né "Tabula Rasa" le 4e disque du "Four Aces guitar quartet" Le quatuor "Four aces", est comme son nom le dit un quatuor de guitares constitué de Menno Buggenhout, Inti De Maet, Stijn Verrelst et Maarten Vandenbemden . Fondé en 2009, il publie en ce moment son 4e disque "Tabula rasa". Deux de ses membres sont nos invités : les guitaristes Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden. " Tabula rasa " tente de répondre à une question que s'est posée le quatuor : "Que se serait-il passé si de grands Maîtres comme Jean-Sébastien Bach, Mozart, Chopin, Rachmaninov ou Bizet avaient composé pour la guitare ? " On se surprend bien sûr lorsqu'on ne connaît pas le monde de la guitare, à découvrir que ces grands compositeurs ne se sont pas intéressés à cet instrument !! La guitare a donc manifestement souffert d'un manque d'intérêt et de considération évidents, au cours des siècles passés. C'est pour pallier ce manque, pour ouvrir de nouveaux horizons au public et aux guitaristes, mais surtout pour se faire plaisir que les 4 membres du "Four Aces guitar quartet" se sont attelés à la transcription de chefs d'oeuvre du répertoire, de JS Bach, à Rachmaninov et Debussy, en passant par Mozart, Bizet et Scriabine. Essentiellement des oeuvres pour piano. Le résultat est d'abord un disque à la finition technique impeccable, mais c'est surtout dans la finesse des transcriptions que s'expriment le talent et la créativité de cette formation. " Une transcription doit bien sûr d'abord respecter le texte original ", nous confiera le guitariste Maarten Vandenbemden, " Mais elle doit aussi tenter d'y apporter une valeur ajoutée. " Une mission accomplie avec brio donc, en particulier dans la célèbre Marche Turque de Mozart qui clot ce disque. Le charme des transcriptions du "Four Aces guitar quartet", c'est aussi de nous donner à entendre davantage et autre chose que la partition originale. Le cas des "Estampes" de Claude Debussy est exemplaire à cet égard, tant la finesse des quatre voix donnent à Debussy une palette de couleurs, rarement entendue dans la version originale pour piano. Cela étant dit, ces transcriptions ne devraient pas non plus laisser penser qu'on n'a pas écrit du tout pour la guitare au cours des siècles passés! Le répertoire est abondant, en particulier à l'époque baroque, au 20e et à notre 21e siècle. On pense par exemple à des figures aussi importantes que Luciano Berio ou Toru Takemitsu. "Tabula rasa" et ce postulat "Et si Mozart avait joué de la guitare..." sont donc une vraie réussite. C'est d'abord un travail d'orfèvre qui ravira les mélomanes avertis, mais aussi un voyage sensoriel charmant, par la beauté des mélodies originales, et l'inventivité de leurs transcriptions : le "Four Aces guitar quartet" parvient ainsi à toucher un large public. "Tout le monde a une histoire avec la guitare", nous dira le guitariste Maarten Vandenbemden. " Que ce soit via un père, une soeur, une amie ou un cousin. Tout le monde connaît, de près ou de loin, quelqu'un qui a joué cet instrument ! " "Tabula Rasa" est publié chez Beeldenstorm Bonne écoute ! Réalisation et présentation: Laurent GRAULUS
Nouvelle diffusion, ce dimanche, de la rencontre avec Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden, deux membres du quatuor de guitares ' Four Aces '. C'était ce 27 octobre 2019. "Et si Mozart avait joué de la guitare", c'est à partir de ce postulat, aussi sympathique, saugrenu, sérieux qu'intrigant qu'est né "Tabula Rasa" le 4e disque du "Four Aces guitar quartet" Le quatuor "Four aces", est comme son nom le dit un quatuor de guitares constitué de Menno Buggenhout, Inti De Maet, Stijn Verrelst et Maarten Vandenbemden . Fondé en 2009, il publie en ce moment son 4e disque "Tabula rasa". Deux de ses membres sont nos invités : les guitaristes Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden. " Tabula rasa " tente de répondre à une question que s'est posée le quatuor : "Que se serait-il passé si de grands Maîtres comme Jean-Sébastien Bach, Mozart, Chopin, Rachmaninov ou Bizet avaient composé pour la guitare ? " On se surprend bien sûr lorsqu'on ne connaît pas le monde de la guitare, à découvrir que ces grands compositeurs ne se sont pas intéressés à cet instrument !! La guitare a donc manifestement souffert d'un manque d'intérêt et de considération évidents, au cours des siècles passés. C'est pour pallier ce manque, pour ouvrir de nouveaux horizons au public et aux guitaristes, mais surtout pour se faire plaisir que les 4 membres du "Four Aces guitar quartet" se sont attelés à la transcription de chefs d'oeuvre du répertoire, de JS Bach, à Rachmaninov et Debussy, en passant par Mozart, Bizet et Scriabine. Essentiellement des oeuvres pour piano. Le résultat est d'abord un disque à la finition technique impeccable, mais c'est surtout dans la finesse des transcriptions que s'expriment le talent et la créativité de cette formation. " Une transcription doit bien sûr d'abord respecter le texte original ", nous confiera le guitariste Maarten Vandenbemden, " Mais elle doit aussi tenter d'y apporter une valeur ajoutée. " Une mission accomplie avec brio donc, en particulier dans la célèbre Marche Turque de Mozart qui clot ce disque. Le charme des transcriptions du "Four Aces guitar quartet", c'est aussi de nous donner à entendre davantage et autre chose que la partition originale. Le cas des "Estampes" de Claude Debussy est exemplaire à cet égard, tant la finesse des quatre voix donnent à Debussy une palette de couleurs, rarement entendue dans la version originale pour piano. Cela étant dit, ces transcriptions ne devraient pas non plus laisser penser qu'on n'a pas écrit du tout pour la guitare au cours des siècles passés! Le répertoire est abondant, en particulier à l'époque baroque, au 20e et à notre 21e siècle. On pense par exemple à des figures aussi importantes que Luciano Berio ou Toru Takemitsu. "Tabula rasa" et ce postulat "Et si Mozart avait joué de la guitare..." sont donc une vraie réussite. C'est d'abord un travail d'orfèvre qui ravira les mélomanes avertis, mais aussi un voyage sensoriel charmant, par la beauté des mélodies originales, et l'inventivité de leurs transcriptions : le "Four Aces guitar quartet" parvient ainsi à toucher un large public. "Tout le monde a une histoire avec la guitare", nous dira le guitariste Maarten Vandenbemden. " Que ce soit via un père, une soeur, une amie ou un cousin. Tout le monde connaît, de près ou de loin, quelqu'un qui a joué cet instrument ! " "Tabula Rasa" est publié chez Beeldenstorm Bonne écoute ! Réalisation et présentation: Laurent GRAULUS
durée : 00:14:54 - L'invité Happy Hours
“Josef Koudelka” Ruinesà la BnF François Mitterrand, Parisdu 15 septembre au 16 décembre 2020Commissariat :Héloïse Conésa, conservatrice au département des Estampes et de la photographie, BnF Bernard Latarjet, administrateur culturelPendant près de trente ans, Josef Koudelka a sillonné environ 200 sites archéologiques du pourtour méditerranéen, dont il a tiré des centaines de photographies panoramiques en noir et blanc. De ce projet singulier, la Bibliothèque nationale de France présente 110 tirages exceptionnels : un ensemble inédit intitulé Ruines, qui révèle toute la force et la beauté du lexique visuel de Koudelka. La BnF met ainsi à l'honneur l'un des derniers grands maîtres de la photographie moderne, un photographe à l'oeuvre monumentale, qu'Henri Cartier-Bresson considérait comme son « frère » en photographie et dont il avait décelé l' « oeil de peintre ».Cette exposition est accompagnée d'un don exceptionnel consenti par le photographe au département des Estampes et de la photographie de la BnF de près de 170 tirages issus de cette même série.« Les Grecs et les Romains ont été les plus grands paysagistes de l'Histoire et dès lors, pour moi, photographier le paysage, c'était donner à voir cette admirable science de l'espace, de la lumière et des formes. J'ai trouvé ce qui m'est désormais le plus précieux, le mariage de la beauté et du temps. » Josef Koudelka, extrait de Rencontre, texte de Bernard Latarjet dans le catalogue de l'exposition Ruines coédition : Xavier Barral et BnF Éditions. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Today, we are exploring Pagodes (Pagodas) from Estampes by Claude Debussy.What could you imagine with this piece? What were you thinking while listening? I know we can't travel now with COVID-19, but could you be able to make a trip with the piece mentally? Any story comes in your mind listening? Please share it with me! I would love to hear from you! To leave a voice or a written comment, please go to Jeeyoon's WebsiteCreating a podcast requires lots of time and efforts…Please consider to be a supporter of the show! Please go to http://www.patreon.com/journeythroughclassicalpianoJeeyoon’s YouTube Channel to watch the live performances/vlogs/performance tips etc! AND! Join me my Funday Live (every Sunday at 2 pm PST during this quarantine time at my Youtube Channel! Jeeyoon's official website; http://www.jeeyoonkim.com Instagram: http://www.instagram.com/jeeyoonkimpianistFacebook: http://www.facebook.com/jeeyoonkimpianistTo buy Jeeyoon's albums, "10 More Minutes" and "Over. Above. Beyond.": (If you order from this link, I will personally sign it for you and send it to you!) http://www.jeeyoonkim.com/shopSupport the show (http://www.patreon.com/journeythroughclassicalpiano)
Especial dia de Nadal a "Ciutat Maragda" en format lletra i m
Especial dia de Nadal a "Ciutat Maragda" en format lletra i m
Partage“Bourse du Talent“2019 à la BnF François-Mitterrand, Parisdu 19 décembre 2019 au 29 mars 2020Photographie.comBNF.frBourse Du Talent.comPODCAST –Interview de Héloïse Conesa, conservatrice pour la photographie contemporaineau département des Estampes et de la photographie de la BnF et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 décembre 2019, durée 12'59 ».© FranceFineArt.son à insérer (click sur remplacer et changer à partir d'un url)©Anne-Fréderique Fer, visite de l'exposition avec Héloïse Conesa, le 18 décembre 2019.
Intervention de Dominique Versavel, conservatrice au département des Estampes et de la photographie de la BnF, et Audrey Leblanc, co-commissaire, historienne et docteure de l'EHESS Présentant des photographies de Mai 68, notamment celles de Gilles Caron et de Jean-Pierre Rey, l'exposition " ICÔNES DE MAI 68, LES IMAGES ONT UNE HISTOIRE" montrait comment leur utilisation par la presse, puis les commémorations successives ont fixé dans la mémoire collective une représentation des événements divergente des faits. Depuis plusieurs années, les missions traditionnelles du musée évoluent. Il ne s'agit plus seulement d'acquérir de nouvelles œuvres, de conserver des collections ou de valoriser la recherche scientifique. Le musée est devenu un lieu de vie où le public vit une expérience sensible, immersive. Cette nouvelle édition du colloque « Ce qu'exposer veut dire » s'interrogera sur ces évolutions et la manière dont les musées et institutions culturelles s'adaptent aux nouvelles pratiques tout en s'attachant à maintenir ses missions scientifiques. Les débats porteront également sur l'articulation qui est faite entre exposition temporaire et exposition permanente. Dans quelle mesure les musées et les institutions culturelles restent au XXIème siècle les territoires des expositions et selon quelles modalités ? Enfin, une dernière session portera sur les commémorations de mai 68 et les différentes formes d'exposition de la révolte.
Introduction to Debussy's Estampes
Introduction to Debussy's Estampes
Exposer quatre décennies de regards photographiques sur le paysage : enjeux scientifiques, sensibles et politiques. Autour de l'exposition « Paysages français. Une aventure photographique, 1984-2017 »Face à un paysage en mutation, Raymond Depardon, Lewis Baltz, Elina Brotherus et une centaine d'autres photographes tentent de dresser un nouveau « portrait » de la France. C'est le récit de cette aventure photographique, commencée à l'orée du XXIe siècle, que la BnF invitait à découvrir, en 2017, au travers de plus de mille œuvres. http://expositions.bnf.fr/paysages-francais/#menu Héloïse Conesa revient ici sur la légitimité de la Bibliothèque national de France à organiser une telle exposition, en présentant les multiples raisons ayant mené à ce choix. Par la suite, la conservatrice évoque les contraintes et enjeux scientifiques en lien avec ce projet. Intervention d'Héloïse Conesa, conservatrice en charge de la collection de photographie contemporaine, département des Estampes et de la photographie, BnF , enregistrée le 13 avril 2018 dans le cadre du colloque "Ce qu'exposer veut dire". Image : Centrale nucléaire de Nogent sur Seine (Aube), 2003, Crédits CC by Jürgen Nefzger, Courtesy Galerie Françoise Paviot, Paris BnF, Estampes et photographie.
L'apport de l'iconographie : les collections d'architecture et d'arts décoratifs du département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France. Collection d'arts graphiques, le département des Estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France se veut aussi, dès sa création au XVIIIe siècle, un centre de documentation par l'image, qui doit aider à l'écriture de l'Histoire, en particulier celle des arts et du goût : dessins d'architectes, vues de monuments, voire papiers peints et textiles sont donc entrés dans les fonds au même titre que les oeuvres de graveurs et de photographes, le dépôt légal de l'image imprimée venant compléter les collections de particuliers acquises ou reçues en don. La communication se propose de présenter séries topographiques, ensembles d'architecture ou encore recueils consacrés aux arts appliqués, susceptibles d'offrir aux restaurateurs d'ensembles mobiliers des sources, qui, en raison d'un déficit de signalement dans les catalogues, sont encore trop peu exploitées. Intervention de Corinne Le Bitouzé, conservatrice générale à la BnF, département des estampes et de la photographie, enregistrée le 28 janvier 2016 dans le cadre du colloque « Mobiliers, ensembles, décors. Conserver, restaurer, faire vivre ».
Martine Mauvieux, conservateur en chef, chargée du dessin de presse au département des Estampes et de la photographie, présente un panorama des actions menées : collecte, expositions, journées d'étude, biennales… Échanges avec les dessinateurs. Conférence du 26 mars 2016.
Martine Mauvieux, conservateur en chef, chargée du dessin de presse au département des Estampes et de la photographie, présente un panorama des actions menées : collecte, expositions, journées d'étude, biennales… Échanges avec les dessinateurs. Conférence du 26 mars 2016.
音乐是财富是一种心情、是一个改变自己的方式。 它能表达出你的心情,释放你的压力,找到你的共鸣!
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¿Alguna vez te has preguntado cómo podría sonar el mar hecho música? Descubre en Fila 01 la fascinante obra de Debussy La Mer, en la que el francés expresó cómo veía el Atlántico norte. Además, el Preludio a la Siesta de un Fauno y el mágico piano de Estampes. ¿Qué más se puede pedir a un concierto?
¿Alguna vez te has preguntado cómo podría sonar el mar hecho música? Descubre en Fila 01 la fascinante obra de Debussy La Mer, en la que el francés expresó cómo veía el Atlántico norte. Además, el Preludio a la Siesta de un Fauno y el mágico piano de Estampes. ¿Qué más se puede pedir a un concierto?
Claude Debussy förändrade musikens språk, dess harmonier, rytmer, textur och form. Han var mycket noggrann med sin musik och noterade precist hur musiken skulle vara. Han var ofta missnöjd med framföranden av sin musik och kunde vara syrlig i sin kritik. När Debussy studerade fick han inte högsta diplom för sitt pianospel. Det hindrade en karriär som pianovirtuos, men han var ändå en skicklig pianist. Hans pianospel var mjukt, men samtidigt fylligt och med många skiftningar i färgen. Hans verk är ofta krävande att spela. Mer information på sverigesradio.se/p2
Réunis autour d’Antoinette Le Normand-Romain, conservateur général et directeur général de l’INHA, les trois commissaires Rodolphe Rapetti, conservateur général à l’INHA, Marie-Pierre Salé, conservateur en chef au musée d’Orsay, Valérie Sueur-Hermel, conservateur au département des Estampes et de la Photographie de la BNF présentent l’exposition. Ils expliquent comment l’étude de nombreux documents inédits apporte un éclairage nouveau sur un artiste d’exception que cette rétrospective, la première en France depuis 1956, va permettre de redécouvrir.
Debussy's beautiful suite for piano, Estampes. I hope you enjoy!
In this episode... our last before our Spring Recess...Elleka talks to members of Fifth House, our ensemble-in-residence, who are back on campus for more work with our students...Jason Robert Brown at DePauwwith the end of the semester approaching, we hear from several students who are have upcoming junior and senior recitals, including our very own Anna Gatdula...and right on the heels of our Living Composers Festival featuring guest composer Jason Robert Brown, Hannah talks with a pair of students who had the opportunity to sing for Jason in a masterclass...and I sit down with him to talk about his terrific performance here and the good advice he has for 21st century musicians! SOURCES From her Faculty Select Series recital on March 10th, pianist Darcy McCoy performs Claude Debussy's "La soiree dans grenade," from "Estampes."From their concert of March 8th, Craig Paré directs the DePauw University Band in a performance of Philip Sparke's "Overture for Woodwinds."From their appearance at the March 11th recital hour, here are Fifth House flutist Melissa Snoza, clarinetist Jenny Woodrum, and bassoonist Eric Heidbreder playing Jared Miller's piece "Happiness."From the Student Cabaret performance on March 7th during last week's Living Composers Festival, soprano Angel Riley. baritone Derrick Truby, and pianist Jennifer Peacock perform "A-rumblin' and a-rollin'" from Jason Robert Brown's "Parade."From the horn studio concert of March 11th, Horn Professor Rob Danforth performs the third movement, Allegro, from Richard Strauss' Concerto no. 1 in E-flat Major, op. 11.
con Andrea Malvano
Howard Goodall and Suzy Klein discuss Pagodes from Debussy's Estampes
1 - "Jardin sous la pluie" de/from "Estampes" (Debussy). Benyamin Nuss, piano. 2 - "Sorbet N. 5: wood and metal chimes" (Evelyn Glennie). Evelyn Glennie, percussão/ percussion. 3 - "Quarteto Fantasia" (Britten). Arcadio Minczuk, oboe. Emmanuele Baldini, violino. Peter Pas, viola. JOhannes Gramsch, cello. 4 - Canto da tradição Karajá/ Brazilian indian chant. 5 - "Lee" (Sporto Kantès). Sporto Kantès.