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Dans cette édition :Shein ouvre sa première boutique physique en France au BHV à Paris avec une promotion choc pour attirer les clients.Zoran Mamdani, un social-démocrate de 34 ans, est élu nouveau maire de New York, devenant le premier musulman à occuper ce poste, ce qui est vu comme un revers pour Donald Trump.Cécile Kohler et Jacques Paris, deux otages français détenus en Iran depuis trois ans, sont enfin libérés grâce à un échange avec une Iranienne arrêtée en France.Nicolas Sarkozy reçoit des milliers de lettres de soutien de la part de Français depuis sa prison.Michel Sardou fête ses 60 ans de carrière avec la sortie d'un livre-coffret contenant l'intégrale de ses chansons.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Shein ouvre sa première boutique physique en France au BHV à Paris avec une promotion choc pour attirer les clients.Zoran Mamdani, un social-démocrate de 34 ans, est élu nouveau maire de New York, devenant le premier musulman à occuper ce poste, ce qui est vu comme un revers pour Donald Trump.Cécile Kohler et Jacques Paris, deux otages français détenus en Iran depuis trois ans, sont enfin libérés grâce à un échange avec une Iranienne arrêtée en France.Nicolas Sarkozy reçoit des milliers de lettres de soutien de la part de Français depuis sa prison.Michel Sardou fête ses 60 ans de carrière avec la sortie d'un livre-coffret contenant l'intégrale de ses chansons.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vu sur La chronique de Patsy (190) : Natalie Amari et Düzen Tekkal, Nous n'avons pas peur. Le courage des femmes iraniennes, Natalie Amari et Düzen Tekkal, Nous n'avons pas peur. Le courage des femmes iraniennes, Editions du Faubourg, 2025. « Il y a des circonstances dans la vie où respecter nos propres principes suppose de sacrifier notre bonheur ». Jasmin Shakeri est Iranienne. Elle est l'une des seize femmes à s'être confiée à Natalie Amari et […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
C'est à l'artiste vidéaste iranienne Shirin Neshat qu'a été confiée la mise en scène d'Aïda de Verdi présentée en ce moment et jusqu'au 4 novembre à l'Opéra Bastille. Il s'agit de la troisième version d'une production créée au festival de Salzbourg en 2017 et réadaptée pour la scène parisienne. Avec Krzysztof Baczyk, Eve-Maud Hubeaux, Saioa Hernandez ou encore Piotr Beczala sous la direction de Michele Mariotti. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:53:45 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:11 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 8 septembre 1978 marque un tournant irréversible dans la révolution iranienne avec le massacre de la place Jaleh, au cœur de Téhéran, où de très nombreux manifestants pacifiques sont abattus par l'armée. Cet événement scelle la perte de légitimité du shah. Le pays entre en grève générale. - invités : Bernard HOURCADE - Bernard Hourcade : Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:29 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Début 1978, le journal officiel d'Iran publie une tribune dénonçant les ennemis du shah dont un certain ayatollah Khomeiny, un dignitaire religieux chiite vivant en exil. Il est accusé d'être un agent britannique, aux mœurs douteuses et allié des communistes. L'article déclenche des manifestations. - invités : Bernard HOURCADE - Bernard Hourcade : Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:38 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - 31 janvier 1979. L'ayatollah Khomeiny pénètre dans l'aéroport Charles-de-Gaulle accompagné par une foule de sympathisants brandissant son portrait. Le regard toujours impassible, l'homme de 77 ans, accompagné de sa famille et d'une cinquantaine de fidèles, monte dans l'avion que le mènera à Téhéran. - invités : Bernard HOURCADE - Bernard Hourcade : Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:52 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Octobre 1979. Cela fait 6 mois que la République islamique a été proclamée. Mais la colère des Iraniens contre le shah n'est pas retombée, elle monte même encore d'un cran lorsque la radio officielle annonce que, malade d'un cancer, il a été hospitalisé aux Etats-Unis. - invités : Bernard HOURCADE - Bernard Hourcade : Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est un pays au cœur d'importantes tensions internationales, allant de confrontations diplomatiques au conflit ouvert comme en juin dernier. L'Iran est un pays incontournable sur la scène internationale, mais pas nécessairement compris. Le chercheur Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul Valéry de Montpellier, publie Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? aux éditions Le Cavalier Bleu. RFI : L'une des idées reçues que vous interrogez au début de votre livre, c'est le qualificatif de théocratie, souvent attribué à la République islamique. Pour comprendre ce régime, il faut se pencher, dites-vous, sur un concept-clé, la tutelle du juriste théologien. Clément Therme : C'est l'idée de l'ayatollah Khomeini qui l'a développée dans ses écrits avant la révolution. Ses écrits n'avaient pas été diffusés suffisamment en Occident. Puisque, au moment de la révolution, personne n'avait compris de quoi il s'agissait et la nature de ce mouvement révolutionnaire qui n'était pas une révolution marxiste, et donc qui échappait à la compréhension des contemporains. Même les Iraniens ne comprenaient pas ce que la « révolution islamique » voulait dire. Le qualificatif islamique était perçu positivement par la population dans sa majorité, qui ne pensait pas qu'il devrait faire face à un principe absolu de la gouvernance du Guide suprême. C'était une révolution cléricale, mais cela n'a pas été compris. En Occident, encore aujourd'hui, on ne sait pas que la majorité du clergé chiite, par exemple, ne soutient pas ce principe théologique qui sous-tend la gouvernance en République islamique. Il y a les idées reçues, les raccourcis qui sont faits à propos de l'Iran, mais aussi des aspects des enjeux méconnus comme cette crise environnementale de grande ampleur qui frappe l'Iran. Vous lui consacrez d'ailleurs la couverture de votre livre. Est-ce un enjeu important pour l'Iran en 2025 ? Tout à fait, parce que le maintien au pouvoir de la République islamique menace la survie du pays. On le voit avec la crise de l'eau cet été, la crise énergétique, les coupures d'électricité. En 1979, si vous le voulez, la République islamique a fait sortir l'Iran des normes internationales en matière de respect de l'environnement, de technologie. Avant la révolution, par exemple, les barrages étaient construits dans le cadre de coopération avec la Banque mondiale. Après la révolution, la multiplication des petits barrages a conduit à une mauvaise utilisation des ressources en eau. Cela s'ajoute les sanctions internationales et le réchauffement climatique qui aggravent ces dysfonctionnements de la République islamique. C'est pour cela que cette question environnementale est centrale dans les problématiques pour la population qui vit en Iran. Vous vous intéressez aussi aux sujets qui font souvent entrer l'Iran dans l'actualité. Par exemple, la place des femmes dans la société, avec la question du voile notamment. Il avait été interdit en 1936 par le Shah et au contraire rendu obligatoire par la République islamique en 1983. Le voile en Iran n'est pas qu'un signe religieux. Dans le cadre de la République islamique, il a un outil de gouvernance, c'est-à-dire qu'il fait partie des symboles du maintien de l'autorité du Guide suprême et il fait partie de l'identité du système politique. Même si depuis 2022, il y a des accommodements qui ont été imposés par la population au régime. On a vu, par exemple, une loi qui était prévue au Parlement ne pas être adoptée et mise en œuvre sous la pression des femmes et de la société civile. On dit souvent que le régime iranien s'est déjà effondré sur le plan idéologique. Cette question du voile obligatoire pose la question de la survie du régime. Il est question aussi du programme nucléaire aussi, évidemment, avec un rappel historique. Tout d'abord, il a été lancé dans les années 1950 sous la monarchie avec le soutien des Occidentaux. Les interrogations autour d'une éventuelle militarisation de ce programme ne datent pas de la révolution islamique. On parlait à l'époque de gaullisme chiite, c'est-à-dire que le modèle du programme nucléaire iranien, c'était le modèle français. Le programme nucléaire iranien, dès les années 1970, voulait transformer l'Iran en État du seuil, un État qui serait capable de fabriquer des systèmes d'armes nucléaires s'il en prend la décision. Après la révolution, ce qui a changé, c'est la nature idéologique du régime et les tensions avec l'Occident consécutives à la révolution. La perception occidentale de ce programme a évolué puisque avant la révolution, il était perçu comme une opportunité commerciale pour vendre des réacteurs nucléaires, alors qu'après la révolution, il est perçu comme une menace. Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? de Clément Therme (232 pages), publié aux éditions Le Cavalier Bleu, le 28 août 2025. À lire aussiIran : le rôle oublié de la France et de l'Allemagne dans la naissance du programme nucléaire
C'est un pays au cœur d'importantes tensions internationales, allant de confrontations diplomatiques au conflit ouvert comme en juin dernier. L'Iran est un pays incontournable sur la scène internationale, mais pas nécessairement compris. Le chercheur Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul Valéry de Montpellier, publie Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? aux éditions Le Cavalier Bleu. RFI : L'une des idées reçues que vous interrogez au début de votre livre, c'est le qualificatif de théocratie, souvent attribué à la République islamique. Pour comprendre ce régime, il faut se pencher, dites-vous, sur un concept-clé, la tutelle du juriste théologien. Clément Therme : C'est l'idée de l'ayatollah Khomeini qui l'a développée dans ses écrits avant la révolution. Ses écrits n'avaient pas été diffusés suffisamment en Occident. Puisque, au moment de la révolution, personne n'avait compris de quoi il s'agissait et la nature de ce mouvement révolutionnaire qui n'était pas une révolution marxiste, et donc qui échappait à la compréhension des contemporains. Même les Iraniens ne comprenaient pas ce que la « révolution islamique » voulait dire. Le qualificatif islamique était perçu positivement par la population dans sa majorité, qui ne pensait pas qu'il devrait faire face à un principe absolu de la gouvernance du Guide suprême. C'était une révolution cléricale, mais cela n'a pas été compris. En Occident, encore aujourd'hui, on ne sait pas que la majorité du clergé chiite, par exemple, ne soutient pas ce principe théologique qui sous-tend la gouvernance en République islamique. Il y a les idées reçues, les raccourcis qui sont faits à propos de l'Iran, mais aussi des aspects des enjeux méconnus comme cette crise environnementale de grande ampleur qui frappe l'Iran. Vous lui consacrez d'ailleurs la couverture de votre livre. Est-ce un enjeu important pour l'Iran en 2025 ? Tout à fait, parce que le maintien au pouvoir de la République islamique menace la survie du pays. On le voit avec la crise de l'eau cet été, la crise énergétique, les coupures d'électricité. En 1979, si vous le voulez, la République islamique a fait sortir l'Iran des normes internationales en matière de respect de l'environnement, de technologie. Avant la révolution, par exemple, les barrages étaient construits dans le cadre de coopération avec la Banque mondiale. Après la révolution, la multiplication des petits barrages a conduit à une mauvaise utilisation des ressources en eau. Cela s'ajoute les sanctions internationales et le réchauffement climatique qui aggravent ces dysfonctionnements de la République islamique. C'est pour cela que cette question environnementale est centrale dans les problématiques pour la population qui vit en Iran. Vous vous intéressez aussi aux sujets qui font souvent entrer l'Iran dans l'actualité. Par exemple, la place des femmes dans la société, avec la question du voile notamment. Il avait été interdit en 1936 par le Shah et au contraire rendu obligatoire par la République islamique en 1983. Le voile en Iran n'est pas qu'un signe religieux. Dans le cadre de la République islamique, il a un outil de gouvernance, c'est-à-dire qu'il fait partie des symboles du maintien de l'autorité du Guide suprême et il fait partie de l'identité du système politique. Même si depuis 2022, il y a des accommodements qui ont été imposés par la population au régime. On a vu, par exemple, une loi qui était prévue au Parlement ne pas être adoptée et mise en œuvre sous la pression des femmes et de la société civile. On dit souvent que le régime iranien s'est déjà effondré sur le plan idéologique. Cette question du voile obligatoire pose la question de la survie du régime. Il est question aussi du programme nucléaire aussi, évidemment, avec un rappel historique. Tout d'abord, il a été lancé dans les années 1950 sous la monarchie avec le soutien des Occidentaux. Les interrogations autour d'une éventuelle militarisation de ce programme ne datent pas de la révolution islamique. On parlait à l'époque de gaullisme chiite, c'est-à-dire que le modèle du programme nucléaire iranien, c'était le modèle français. Le programme nucléaire iranien, dès les années 1970, voulait transformer l'Iran en État du seuil, un État qui serait capable de fabriquer des systèmes d'armes nucléaires s'il en prend la décision. Après la révolution, ce qui a changé, c'est la nature idéologique du régime et les tensions avec l'Occident consécutives à la révolution. La perception occidentale de ce programme a évolué puisque avant la révolution, il était perçu comme une opportunité commerciale pour vendre des réacteurs nucléaires, alors qu'après la révolution, il est perçu comme une menace. Idées reçues sur l'Iran - Un pouvoir à bout de souffle ? de Clément Therme (232 pages), publié aux éditions Le Cavalier Bleu, le 28 août 2025. À lire aussiIran : le rôle oublié de la France et de l'Allemagne dans la naissance du programme nucléaire
Dans ce documentaire sorti en salle ce mercredi 3 septembre, François-Xavier Drouet raconte avec brio l'histoire de la théologie de la libération, ce vaste courant de pensée théologique qui a embrasé l'Amérique latine dans les années 1960. À lire aussiCinéma : la descente aux enfers d'une Iranienne dans « La femme qui en savait trop » de Nader Saeivar
Dans ce documentaire sorti en salle ce mercredi 3 septembre, François-Xavier Drouet raconte avec brio l'histoire de la théologie de la libération, ce vaste courant de pensée théologique qui a embrasé l'Amérique latine dans les années 1960. À lire aussiCinéma : la descente aux enfers d'une Iranienne dans « La femme qui en savait trop » de Nader Saeivar
On n'épouse jamais son fantasme, disait le cinéaste italien Federico Fellini. Il se pourrait bien que la peinture épouse tous les fantasmes d'une peintre diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, née en Iran. Silhouettes de femmes apprêtées sur un champ de ruines, visage de femme poignard sous le menton, beauté de femme blanche enlaçant beauté de femme africaine, scènes de guerre, allusion biblique ou mythologique, les toiles de Nazanin Pouyandeh font place à l'humanité. (Rediffusion) Mais, foin de blabla droit-de-l'hommiste, non, Nazanin n'a d'yeux que pour une humanité féminine, transgressive, désobéissante à l'image de son exposition éponyme à voir en ce moment à Montpellier, en France. Bien sûr, nos yeux d'amoureux, de journaliste, de critique, vont chercher des indices de sa vie passée en Iran. Ils vont chercher des tapis persans, des tapis volants, des préjugés coiffés de turban, chers vous tous, passez votre chemin... La Pouyandeh n'est pas l'Iranienne de service attendue, c'est une guerrière, peut-être bien une amazone.
On n'épouse jamais son fantasme, disait le cinéaste italien Federico Fellini. Il se pourrait bien que la peinture épouse tous les fantasmes d'une peintre diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, née en Iran. Silhouettes de femmes apprêtées sur un champ de ruines, visage de femme poignard sous le menton, beauté de femme blanche enlaçant beauté de femme africaine, scènes de guerre, allusion biblique ou mythologique, les toiles de Nazanin Pouyandeh font place à l'humanité. (Rediffusion) Mais, foin de blabla droit-de-l'hommiste, non, Nazanin n'a d'yeux que pour une humanité féminine, transgressive, désobéissante à l'image de son exposition éponyme à voir en ce moment à Montpellier, en France. Bien sûr, nos yeux d'amoureux, de journaliste, de critique, vont chercher des indices de sa vie passée en Iran. Ils vont chercher des tapis persans, des tapis volants, des préjugés coiffés de turban, chers vous tous, passez votre chemin... La Pouyandeh n'est pas l'Iranienne de service attendue, c'est une guerrière, peut-être bien une amazone.
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
durée : 00:44:28 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Alors que la guerre éclair menée par Israël pendant douze jours a ébranlé l'Iran, pourquoi ce régime autoritaire et théocratique n'est-il pas tombé ? Y a-t-il une opposition structurée à la République islamique ? - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Chowra Makaremi Anthropologue, chargée de recherche CNRS à l'IRIS, spécialiste de l'Iran, de la violence et des migrations; Armin Arefi Grand reporter, spécialiste du Proche et Moyen-Orient; Didier Idjadi Sociologue.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:10:07 - Journal de 18h - A Berlin, près de 1 500 personnes venues de toute l'Allemagne se sont rassemblées devant la mairie de la capitale, à l'appel du conseil de la résistance iranienne. Les manifestants réclament un changement de régime mais sans intervention étrangère. - invités : Emmanuelle Lallement Anthropologue et professeure à l'université Paris 8; Frédéric Hocquard Conseiller de Paris, délégué auprès du Premier Adjoint à la Maire de Paris chargé de la Nuit.
durée : 00:10:07 - Journal de 18h - A Berlin, près de 1 500 personnes venues de toute l'Allemagne se sont rassemblées devant la mairie de la capitale, à l'appel du conseil de la résistance iranienne. Les manifestants réclament un changement de régime mais sans intervention étrangère. - invités : Emmanuelle Lallement Anthropologue et professeure à l'université Paris 8; Frédéric Hocquard Conseiller de Paris, délégué auprès du Premier Adjoint à la Maire de Paris chargé de la Nuit.
Conflit entre Israël et l'Iran : derrière les bombes, il y a la cyber-guerre. Un groupe de hackers pro israélien vient de s'attaquer à une banque iranienne...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Sahand Saber, avocat franco-iranien au barreau de Paris et porte-parole du Collectif d'avocats franco-iranien Vakilan.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Nous ferons le point sur cette sixième journée de confrontation militaire entre Israël et l'Iran et sur les dernières déclarations du président américain Donald Trump.
durée : 00:19:45 - Journal de 18h - Nous ferons le point sur cette sixième journée de confrontation militaire entre Israël et l'Iran et sur les dernières déclarations du président américain Donald Trump.
Alors que le conflit s'enlise entre l'Iran et Israël, nous nous intéressons à ces familles franco-iraniennes dont une partie est restée en France et l'autre est coincée en Iran. Une situation difficile à vivre, d'autant qu'il est compliqué d'avoir des nouvelles. Valentin Boissais a rencontré Colline, une avocate franco-iranienne basée en banlieue parisienne... Ecoutez RTL inside avec Valentin Boissais du 18 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:11:57 - L'invité d'un jour dans le monde - L'ambassadeur d'Israël en France défend les frappes inédites sur l'Iran et parle d'une opération "qui a pour but de nous débarrasser et de débarrasser le Moyen-Orient de la menace nucléaire iranienne".
Israël a visé des sites liés au programme nucléaire iranien et tué des gardiens de la Révolution Iranienne. Une attaque à laquelle l'Iran a riposté, faisant au moins 13 morts côté israélien. De son côté, Donald Trump menace le régime de Téhéran d'une réplique maximale s'il attaque les États-Unis. Le conflit risque-t-il de s'étendre dans la région ? La désescalade est-elle encore possible ? Ecoutez l'analyse de Frédéric Encel, docteur en géopolitique et enseignant à Sciences Po Paris, auteur de "La Guerre mondiale n'aura pas lieu. Les raisons géopolitiques d'espérer" (Odile Jacob, 2025). Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Israël a visé des sites liés au programme nucléaire iranien et tué des gardiens de la Révolution Iranienne. Une attaque à laquelle l'Iran a riposté, faisant au moins 13 morts côté israélien. De son côté, Donald Trump menace le régime de Téhéran d'une réplique maximale s'il attaque les États-Unis. Le conflit risque-t-il de s'étendre dans la région ? La désescalade est-elle encore possible ? Ecoutez l'analyse de Frédéric Encel, docteur en géopolitique et enseignant à Sciences Po Paris, auteur de "La Guerre mondiale n'aura pas lieu. Les raisons géopolitiques d'espérer" (Odile Jacob, 2025). Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Emmanuel Razavi, grand reporter franco-iranien, spécialiste du Moyen-Orient, et auteur de l'ouvrage "La Face cachée des Mollahs : Le livre noir de la république islamique d'Iran" aux éditions du Cerf pour évoquer notamment la troisième nuit de tensions entre Israël et l'Iran. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:56 - 8h30 franceinfo - Joshua Zarka était l'invité du "8h30 franceinfo" le 14 juin, au lendemain de l'offensive lancée par l'Etat hébreu sur le territoire iranien.
durée : 00:50:46 - Les informés de franceinfo - Tous les vendredis, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
Vincent Hervouët analyse les derniers développements concernant le programme nucléaire iranien. D'après un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique, l'Iran accélère la production d'uranium enrichi, se rapprochant dangereusement du seuil permettant la fabrication d'armes nucléaires. Face à cette menace, les Européens envisagent de nouvelles sanctions et de saisir l'ONU. Pendant ce temps, les négociations entre l'Iran et les États-Unis piétinent, chacun cherchant à tirer son épingle du jeu. L'enjeu est de taille : éviter une nouvelle crise majeure au Moyen-Orient.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poursuivre l'exploration de l'art de l'attention avec Reza : « l'attention fait partie intégrale du travail de photographe » La photographie est une histoire d'attention. Une manière de capter l'instant, de saisir la lumière, de révéler l'invisible. Reza Deghati -il signe ses œuvres de son nom d'artiste Reza-, photo-reporter de renom, parcourt le monde depuis des décennies, armé de son objectif et d'un regard habité par l'humanité. Ses images racontent des vies, des résistances, des espoirs, et nous invitent à voir autrement. J'ai été extrêmement émue, et honorée, de recevoir ce grand homme à mon micro. Le regard qu'il porte sur le monde est singulier, comme son parcours et son travail. Son rapport à l'attention est essentiel, engagé et il le partage avec nous avec beaucoup de grâce. J'espère que cette conversation vous touchera autant que moi.Après des études d'architecture, il se spécialise en parallèle pour la photo, discipline pour laquelle il se fait remarquer, et arrêter, très tôt, vers 16 ans et bien avant la révolution islamique Iranienne. Il doit quitter l'Iran dès 1981 car ses photographies gênent, et ne peut pas, depuis, remettre les pieds dans son pays. Mais il parcourt le monde avec son objectif, et ses photographies montrent le chaos de la guerre de ses ravages et du désarroi des êtres humains pris dans la tourmente. L'année 1991 marque le début pour Reza d'une longue et étroite collaboration avec la revue National Geographic. Ses photographies ont fait l'objet de 25 couvertures du magazine. "Je ne suis pas photographe de guerre, je suis correspondant de paix " Dans cet épisode de L'Art de l'Attention, nous parlons de ce que signifie vraiment « regarder » : comment prêter attention au monde, comment raconter une histoire en une seule image, comment témoigner sans trahir. Avec Reza, l'attention devient un engagement, une éthique, une poésie. Quelques citations extraites de notre conversation avec Reza :« L'attention fait partie intégrale du travail de photographe »« J'écris l'histoire des autres, j'essaie de mettre ma photographie au service de l'histoire des autres, qui n'ont pas de voix »,« On va défendre qqchose qu'on aime »,« La photographie est comme une peinture, elle a ses règles aussi.»Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:53:47 - Et je remets le son - par : Matthieu Conquet - De l'extraterrestre Jul à Flavien Berger on se plonge dans l'actualité musicale. Avec les nouveaux sons de Théodora, Lous & The Yakuza, Barth et les Viagra Boys. Un livre sur Beck et l'histoire d'une chanteuse Iranienne culte invitée par Ed Sheeran : Googoosh. - réalisé par : Jérôme CHELIUS
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La déroute militaire du Hezbollah au Liban, puis en Syrie marque un tournant et bouleverse la géopolitique du Moyen-Orient. Une page vient de se tourner. Les ambitions de puissance régionale de l'Iran sont sérieusement mises à mal. La République islamique est fragilisée. Sa situation économique est jugée catastrophique. Parallèlement, le programme nucléaire de l'Iran n'a jamais été aussi avancé, en quantité comme en qualité. Le programme balistique iranien a lui aussi été accéléré. Le délai de sécurité d'un an a été enfoncé depuis longtemps. Avec la destruction de ses milices par Israël, l'Iran a perdu la première couche censée le protéger contre ses ennemis.D'où la tentation de rétablir sa dissuasion régionale en franchissant le seuil nucléaire. La diplomatie est-elle encore possible ? Mardi dernier (4 février 2025) à Washington, Donald Trump a signé devant les journalistes un décret présidentiel rétablissant une « pression maximale sur Téhéran dont le programme nucléaire serait une menace existentielle pour les États-Unis. L'objectif est d'assécher les revenus pétroliers du régime. Donald Trump veut des négociations avec Téhéran. Et Téhéran semble soudainement intéressé à discuter de son programme nucléaire après avoir traité Joe Biden avec un mépris non dissimulé. Quelques jours avant l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, Moscou et Téhéran signaient un accord stratégique de vingt-cinq ans. Une guerre indirecte oppose de facto Israël et l'Iran. La nouvelle configuration du Moyen-Orient provoquera-t-elle durcissement ou assouplissement de l'Iran ? Quel genre d'accord Donald Trump veut-il avec Téhéran ?Invités Azadeh Kian, professeur de Sociologie à l'Université Paris Cité ». « Rethinking gender, ethnicity and religion in Iran ». Réédition 2025 chez Bloomsbury. Bertrand Badie, professeur émérite des Universités à Sciences Po. « L'art de la paix » chez Flammarion.
Negzzia, mannequin en Iran, a fui son pays où elle risquait 148 coups de fouet pour avoir montré son corps. Arrivée à Paris, entre les lenteurs de l'administration et les hommes « trop intéressés », elle n'est pas au bout de ses peines…
Laurent Mariotte s'entoure de bons vivants pour une émission autour de la cuisine du quotidien : qu'ils soient chefs, artistes ou intellectuels, ils ont en commun cette passion du bien manger et la partagent pendant 1h30 avec les auditeurs d'Europe 1. Promenades gourmandes à travers les marchés et chez les producteurs, recettes simples et conseils proches des préoccupations des auditeurs... Le rendez-vous incontournable des gourmands !
Chaque samedi, Laurent Mariotte et son invité vous livrent conseils, trucs et astuces autour de la gastronomie et l'alimentation. Un éclairage utile sur l'art du bien-manger. Aujourd'hui, tout savoir sur les recettes perses avec notre invité Fereydoun et Rochane Garajedagui.
Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez.
C dans l'air l'invitée du 4 novembre : Marjane Satrapi, auteure et cinéaste franco-iranienne. Elle a dirigé le roman graphique Femme, Vie, Liberté, aux éditions L'Iconoclaste, du nom du mouvement de révolte formé en 2022 suite à la mort de Mahsa Amini, jeune femme arrêtée et tuée en Iran pour ne pas avoir respecté le code vestimentaire.Samedi dernier, une étudiante iranienne, Ahou Daryaei, a été arrêtée à l'université Azad de Téhéran. Après avoir été interpellée pour un voile mal porté, elle s'est dévêtue et a marché en sous-vêtements, cheveux lâchés, en signe de protestation. La scène a été filmée, et la vidéo a été énormément partagée tout le week-end. Depuis, les ONG réclament sa libération. Amnesty Iran parle sur X d'"allégations de coups et de violence sexuelle à son encontre pendant son arrestation".Cette image impressionnante d'une jeune femme dévêtue devant l'université, à Téhéran, a suscité de nombreuses réactions. Dans un contexte où la répression contre la population iranienne est sans cesse plus violente. D'après Iran Human Rights, 551 personnes sont mortes lors des manifesttaions en soutien à Mahsa Amini et au mouvement "Femme, Vie, Liberté". Des milliers de personnes ont également été arrêtées.Marjane Satrapi, auteure et cinéaste, très célèbre pour ses bandes dessinées, notamment "Poulet aux prunes", et "Persepolis", adaptée au cinéma et primée à Cannes et aux César. Soutien au mouvement "Femme, Vie, Liberté", elle reviendra sur cette vidéo symbolique d'une jeune femme qui ose se dévêtir en signe de protestation, et sur sa portée. "Un Moyen-Orient démocratique, c'est une garantie de sécurité pour le monde", affirme Marjane Satrapi. "Ce mouvement féministe pour une république laïque doit être davantage soutenu, on doit saisir cette opportunité", demande-t-elle a propos du mouvement "Femme, Vie, Liberté".
De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud s'intéresse à la notion de courage.
Aujourd'hui, Bruno Pomart, Flora Ghebali et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Journal en français facile du vendredi 4 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B0zn.A