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Les cours boursiers mondiaux dévissent depuis l'annonce des mesures commerciales de Donald Trump. Personne n'est épargné, pas même les marchés américains qui subissent leurs plus fortes baisses depuis mars 2020 et le Covid. On a beaucoup analysé les conséquences, mais revenons aux faits. Pourquoi Donald Trump a-t-il déclenché cette guerre commerciale ? Que peuvent y gagner les États-Unis ? Décryptage. Comme très souvent en économie, à question simple, attendez une réponse un peu plus compliquée ! Donald Trump veut tout simplement rendre l'Amérique encore plus puissante comme il le martelait d'ailleurs durant sa campagne électorale. Traduisez : plein emploi, croissance forte, donc plus de productions sur le sol américain ou encore tenter d'atteindre l'autosuffisance. Et cela à tout prix. Voilà sa boussole, et pour atteindre ses objectifs, il utilise les outils et les mécanismes économiques qui lui semblent les plus opportuns. Logique protectionniste L'un de ses outils préférés, ce sont les droits de douane. Taxer, taxer et encore taxer. Voilà la solution que Donald Trump a trouvée pour réduire le déficit commercial américain qui, on le rappelle, est de pratiquement 1000 milliards de dollars. Pour lui, c'est un signe de faiblesse des États-Unis. En taxant, il entend limiter les importations et donc rééquilibrer la balance commerciale. La conséquence, toujours selon Donald Trump : plus d'investissements — du monde entier – sur le sol américain, pour y augmenter la production et donc créer de la richesse et des emplois, avec au bout de la chaine, des rentrées fiscales fédérales plus importantes. En fait, c'est une logique protectionniste. À demande égale, si l'on suit le président américain, l'offre américaine va remplacer l'offre du monde entier. Quelles conséquences ? C'est ce qu'il avait d'ailleurs entrepris durant son premier mandat, et ça n'a pas spécialement fonctionné. Selon la Réserve fédérale de New York, entre 2018 et 2019, avant la pandémie de covid donc, la guerre commerciale de Donald Trump a coûté en moyenne 850 dollars par an à chaque foyer américain. Ce que l'on comprend c'est que sur le court et moyen terme, le premier impact visible sera une hausse du niveau général des prix. Le niveau de vie des États-uniens va donc diminuer en raison d'une inflation que beaucoup d'économistes annoncent importante. Pourtant, Donald Trump l'a encore affirmé ce jeudi 3 avril, les États-Unis ressortiront « forts » de cet épisode. Jouer avec le dollar Le président américain met ainsi la pression au monde entier, et comme souvent, en cassant les codes et en sortant du système, il incite à négocier. Sauf qu'il prend un risque. Beaucoup de pays ne sont pas dans cet état d'esprit et entendent eux aussi se défendre en augmentant les tarifs douaniers pour taxer les produits importés depuis les États-Unis. Et puis il y a un point essentiel : le dollar ne cesse de perdre de sa valeur, et c'est sûrement l'un des éléments clés de la stratégie de l'administration Trump. À lire aussiGuerre commerciale: «C'est 25 ans d'histoire commerciale qui sont en train de s'achever»Ses mesures engendrent une baisse du billet vert. Cela peut soutenir l'agressivité tarifaire américaine. La monnaie étant moins forte, il est plus facile d'exporter et moins d'intéressant d'importer. Donc naturellement, cela tend à réduire le déficit commercial américain. Voilà pour la théorie de Donald Trump. Un peu trop simpliste pour beaucoup d'économistes. Ce qui est sûr, c'est que jouer avec le dollar, la monnaie mondiale de référence, c'est là encore changer la donne pour le monde entier. Finalement, pour revenir au point de départ, si Donald Trump veut rendre l'Amérique encore plus grande, il le fait au détriment du reste du monde. Et dans une économie globalisée, ultra-connectée et interdépendante, c'est l'effet boule de neige. C'est-à-dire que les conséquences seront elles aussi globalisées !
C'est la question du jour du Figaro !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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On commence avec Pierre Palmade qui demande à sortir de prison pour purger sa peine sous bracelet électronique
On commence avec Pierre Palmade qui demande à sortir de prison pour purger sa peine sous bracelet électronique
Roland Pérez nous plonge dans un sujet inattendu mais ô combien important : la diffusion de musique lors des cérémonies funéraires. Accompagné de Mathieu Alterman, spécialiste de la musique, les deux invités nous éclairent sur les nouvelles réglementations qui s'appliquent désormais en France depuis le 1er janvier 2025.Découvrez comment la SACEM, la société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, s'impose désormais comme un acteur incontournable dans l'organisation des funérailles. Jusqu'à présent tolérée, la diffusion publique de musique lors de ces événements privés est désormais soumise à des droits d'auteur, suscitant l'indignation de certains et l'approbation d'autres. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Ce jeudi 6 mars, le discours d'Emmanuel Macron sur la hausse des dépenses pour la défense, mais sans augmenter les impôts, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 6 mars, le discours d'Emmanuel Macron sur la hausse des dépenses pour la défense, mais sans augmenter les impôts, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En janvier dernier, le vote de la loi finances 205, a permis de faire adopter la hausse de la taxe solidarité sur les billets d'avions. Elle passe de 2,63€ à 7,40€. Quel est l'intérêt de cette hausse pour l'État et dans quelle mesure elle peut être bénéfique pour l'environnement ? Ce sont les questions posées dans ce débat.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
L'émission 28 minutes du 28/02/2025 Ce vendredi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : l'essayiste Antoine Bueno, la directrice de la revue “Regards” Catherine Tricot, la rédactrice en chef “Opinions” au “JDD” Aziliz Le Corre et la dessinatrice Louison.Retour sur deux actualités de la semaine :Taxe à 25% sur les produits européens : Trump est-il encore notre allié ?Donald Trump a annoncé dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 février qu'il taxerait prochainement les produits européens à hauteur de 25 %. Une décision qu'il a accompagnée d'une critique : “L'Union européenne a été conçue pour emmerder les États-Unis. C'était l'objectif et ils y sont parvenus.” La balance commerciale sur les biens entre les États-Unis et l'Europe est largement excédentaire (environ 230 milliards de dollars l'an dernier), notamment grâce à l'exportation de produits pharmaceutiques, chimiques et agricoles, et de voitures européens. Ces taxes mettraient à mal ces exportations. Par conséquent, le consommateur américain paierait ces produits beaucoup plus chers. “L'Union européenne fera de même” si les Américains ”maintiennent des hausses” de taxes, a prévenu Éric Lombard, le ministre français de l'Économie.Jusqu'où ira le bras de fer entre la France et l'Algérie ?À l'issue du comité interministériel de contrôle de l'immigration, le Premier ministre François Bayrou a adressé un ultimatum à l'Algérie, la sommant de récupérer les ressortissants algériens sous le coup d'une OQTF énumérés sur une “liste d'urgence”. Il menace de remettre en cause les accords migratoires passés entre les deux pays, en particulier celui de 1968 qui facilite l'installation des Algériens en France pour une longue durée. Cette décision survient quatre jours après une attaque au couteau qui a fait un mort et cinq blessés à Mulhouse, dont le suspect est un ressortissant algérien sous le coup d'une OQTF. Les autorités algériennes auraient empêché à dix reprises son retour. Les tensions entre les deux pays se sont intensifiées ces derniers mois avec l'arrestation et la détention de l'écrivain Boualem Sansal par les autorités algériennes, ainsi que la reconnaissance par la France de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.Nous recevons Richard Brunel, metteur en scène, acteur et directeur de l'Opéra national de Lyon depuis 2021. Il présente le projet “Camion-Opéra” : un opéra itinérant à travers la région Auvergne-Rhône-Alpes pour aller directement à la rencontre du public. Ce projet met en scène “Le Sang du glacier”, un spectacle axé sur le réchauffement climatique, créé pour l'occasion. Cette représentation, à prix réduit, a pour but “d'abolir les frontières de l'opéra”, selon Richard Brunel.Initialement invité à la CPAC — une conférence qui réunit toutes les droites conservatrices du monde à Washington — pour y prononcer un discours, Jordan Bardella a finalement décidé d'annuler son intervention. Cette décision intervient après que Steve Bannon, l'ancien conseiller de Donald Trump, a exécuté un salut nazi lors de cette même conférence. Un départ que ce dernier a durement critiqué. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Malgré le classement sans suite de plaintes pour harcèlement moral et abus de faiblesse visant l'ancien secrétaire national d'Europe Écologie Les Verts Julien Bayou, l'affaire continue de diviser le parti écologiste. La députée Sandrine Rousseau estime que "la justice a ses critères, maintenant, il reste la question politique" concernant l'ancien membre du parti qui a déjà fait l'objet de deux enquêtes internes. C'est le point com de Paola Puerari.Que ce soient les arbitres exerçant dans la Ligue de football professionnel, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), ou encore l'Office français de la biodiversité qui contribue à la surveillance, la préservation, la gestion et la restauration de la biodiversité, les institutions arbitrales font l'objet de vives contestations en France. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur la cérémonie d'hommage en Israël, lors du passage du cortège funéraire de trois otages du Hamas décédés pendant leur captivité ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 28 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques… Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.
À chaque tentative de régulation du numérique en Europe, les mêmes critiques fusent : c'est la fin de l'innovation, une menace pour la compétitivité, un frein au progrès, bref une aberration venant entraver la bonne marché du progrès !
Ce jeudi 20 février, le retour, à l'Assemblée nationale, de la proposition de loi visant à instaurer un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des ultra-riches a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 20 février, le retour, à l'Assemblée nationale, de la proposition de loi visant à instaurer un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des ultra-riches a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Taxer les plus values comme veut le faire le gouvernement Arizona va être tout sauf une promenade santé. Ce sera même un casse-tête monumental en vue ! Démonstration de l'inaptitude de nos gouvernants à penser à long terme. C'est un sujet aussi captivant qu'un bon polar ou presque : la taxation des plus-values sur actions, c'est au programme de notre nouveau gouvernement et autant vous prévenir, c'est tout sauf simple. On nous promet une révolution fiscale pour effectivement détaxer le travail, mais en réalité, on s'apprête à compliquer la vie de presque tout le monde. Rappelons d'abord que depuis le code des impôts sur les revenus de 1962, la Belgique avait choisi de ne pas taxer les plus-values. Pourquoi cette absence de taxation ? Mais parce qu'en Belgique, les revenus sont déjà lourdement taxés. La pression fiscale chez nous, ce n'est pas une légende. Alors pourquoi changer une logique fiscale qui certes n'arrange sans doute pas tout le monde, mais a tenu bon pendant plus de 60 ans ? Mots-Clés : rappel, économiste, Bruno Colmant, travail, taux marginal, dividendes, impôt des sociétés, précompte mobilier, taxation, exemple, 2026, entrer en vigueur, action, plus-value, moyenne pondérée, banque, produire, relevé détaillé, achats, ventes, contribuables, déclaration fiscale, comptes, étranger, cauchemar fiscal, cohabite, fisc, Bourse, opérations, taxer, impôt progressif, activité, professionnel, critères, mortels, doute, État fédéral, risque, millions, euros, grandes fortunes, titres, rentiers, moralité, investisseurs modestes, fructifier, économies, classe moyenne, caisse, ministre des Finances, Télévision flamande, résultat, Bourse de Bruxelles, introduction, rythme, Palais, temple du capitalisme, musée de la bière, coalition, bricoler, négociations gouvernementales, chaotique. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Didier Giraud et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h45, ce lundi 3 février 2025, les GG : Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido, débattent de : Taxer les produits sucrés, dissuasif ?
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 3 février 2025 : "Emmanuel Macron veut 'raccourcir les vacances d'été', bonne idée ?" et "Taxer les produits sucrés, dissuasif ?", avec Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géo. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Légasse, journaliste à Marianne. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
L'émission 28 minutes du 31/01/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Maud Vergnol, codirectrice de la rédaction de "L'Humanité" ; Jean Quatremer, correspondant européen de “Libération” ; Maxime Thiébaut, avocat et docteur en droit public, ainsi que le dessinateur de presse Pascal Gros.Retour sur deux actualités de la semaine : Meurtre d'Elias, 14 ans : faut-il durcir la justice des mineurs en France ?Elias, 14 ans, est mort le vendredi 24 janvier au soir à Paris, poignardé pour avoir résisté au vol de son téléphone portable par deux mineurs. Âgés de 16 et 17 ans, les adolescents ont été identifiés et interpellés. Mais leur passé judiciaire déjà lourd (vols, extorsions avec violence et port d'arme blanche) interroge l'efficacité de la justice des mineurs en France. Depuis 1945, "l'excuse de minorité" impose que les individus mineurs soient jugés et sanctionnés moins sévèrement que les majeurs, excluant par exemple le recours aux comparutions immédiates. Cette justice est-elle adaptée au monde d'aujourd'hui ?“Une taxe qui pousse à délocaliser” : la colère des grands patrons est-elle légitime ?De retour des États-Unis, où il a assisté à l'investiture du président Donald Trump, le patron du groupe LVMH Bernard Arnault a exprimé sa colère vis-à-vis de “la taxation du made in France” qui pousse, selon lui, à la délocalisation. Dans son viseur, le projet de surtaxe temporaire sur les bénéfices des grandes entreprises prévu par le gouvernement, qui devrait rapporter quelque huit milliards d'euros. À l'heure où les États-Unis promettent d'abaisser le taux d'impôt sur les sociétés à 15 % et des subventions massives aux entreprises, cette colère est partagée par d'autres grands patrons de multinationales françaises — Michelin, Air France, Total, par exemple — qui dénoncent la hausse de la fiscalité et le trop-plein de normes.Après quinze ans de recherche, le médecin légiste et paléopathologiste Philippe Charlier vient d'élucider un “cold case” historique : les mystérieuses taches brunâtres sur “la table de Robespierre”, le révolutionnaire guillotiné le 28 juillet 1794. Grâce à des expertises scientifiques poussées et le progrès des technologies, l'enquête a révélé qu'il s'agit bien du sang de Robespierre qui aurait été soigné sur cette table, victime d'un tir à la mâchoire. Philippe Charlier nous explique comment son travail permet de “faire parler les morts” à travers des reliques qui ont traversé les âges.Interrogé sur LCI, puis dans un discours à l'Assemblée nationale, le Premier ministre François Bayrou a évoqué un “sentiment de submersion” migratoire, ressenti par les Français. Le groupe socialiste, présidé par Boris Vallaud, a dénoncé un vocabulaire emprunté au Rassemblement national et annulé sa présence à une réunion préparatoire au vote du budget. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Un discours au Louvre, une vidéo sur TikTok, une visite surprise dans une petite commune de l'Aisne… Ces derniers temps, Emmanuel Macron multiplie les apparitions publiques, quand l'heure est à l'instabilité et la crise politique en France. Une présence inhabituelle qui n'a pas échappé aux internautes, comme le raconte Paola Puerari.Le 23 janvier dernier, la Cour européenne des droits de l'homme a tranché : refuser des relations sexuelles avec son époux n'est pas un manquement aux obligations du mariage. Elle a condamné la France pour avoir prononcé un divorce en 2019 pour faute, alors qu'une femme refusait de se soumettre au “devoir conjugal”. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur le retour de milliers de Gazaouis au Nord, dans une enclave en ruine ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 31 janvier 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié, experte économique, analyse en détail la situation fiscale des retraités en France. Elle revient sur les différents taux de CSG appliqués selon les niveaux de revenus, et questionne la pertinence d'une hausse du taux normal. Au-delà de cette mesure, elle souligne la nécessité de s'attaquer aux dépenses publiques et d'encourager le travail plutôt que de multiplier les prélèvements. Un éclairage nuancé sur un sujet économique sensible.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Faire payer une cotisation aux retraités les plus aisés pour financer le grand âge. C'est la proposition formulée par la ministre chargée du Travail et de l'Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, mardi 21 janvier. Une "proposition personnelle", a tempéré aujourd'hui Matignon, mais qui suscite l'intérêt de certains parlementaires.La ministre propose que les retraités qui peuvent "se le permettre", ceux qui touchent plus de 2 000 euros net mensuel (soit 25 % des retraités) ou 2 500 euros net mensuel ( 7 % des retraités), soient mis à contribution pour payer l'autonomie et la dépendance. C'est-à-dire qu'ils pourraient participer à l'effort pour qu'il ne repose pas uniquement sur les actifs qui consacrent déjà près d'un tiers de leur salaire à payer les retraites, et qui, depuis la réforme de 2023, doivent travailler jusqu'à 64 ans. Des actifs à qui certains, comme la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, envisagent de demander de travailler gratuitement sept heures de plus par an, soit une deuxième journée de solidarité.Le patron du Medef, Patrick Martin, a lui aussi remis cette idée dans le débat il y a quelques jours en proposant de supprimer l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraites. Cet abattement, dont bénéficient les actifs, est destiné à l'origine à compenser les frais professionnels. En novembre dernier la sénatrice du groupe Les Républicains Christine Lavarde (Hauts-de-Seine), avait proposé la suppression de cet abattement pour les retraités les plus aisés, et avait été recalé. "C'est pour moi une question d'équité générationnelle", explique la sénatrice pour qui "le niveau de vie des retraités s'améliore ou ne baisse pas par rapport aux actifs".Alors les retraités ont-ils réellement un niveau de vie supérieur aux actifs ? Vont-ils, à plus ou moins court terme, participer davantage au redressement des comptes de la Nation et au financement de la protection sociale ? Le sujet, hautement explosif, n'a jusqu'ici jamais dépassé le stade du ballon d'essai car ce sont ceux qui votent le plus. Il a d'ailleurs cette fois encore suscité une levée de bouclier de la gauche jusqu'à l'extrême droite. Mais derrière ce débat sur le financement de la dépendance, un autre débat est également relancé, celui de la démographie à l'heure où l'Insee constate que le nombre de naissances continue de chuter en France, une baisse tendancielle depuis 2011. Autre point de discussions en ce début d'année : les cahiers de doléances. Lors de son discours de politique générale, François Bayrou a souhaité reprendre l'étude de ces doléances, rédigées par les Français en 2019 à la suite du mouvement des Gilets jaunes. À l'époque pas moins de 2 millions de contributions populaires ont été déposées, avant d'être archivées. Que contiennent-ils ? Les explications de l'archiviste Marie-Anne Chabin ce soir dans #cdanslair.Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
Ecoutez Lenglet-Co du 22 janvier 2025.
Ce mercredi 22 janvier, l'idée avancée par la ministre du Travail qui propose de taxer les sept millions de retraités les plus aisés qui touchent plus de 2 000 ou 2 500 euros par mois pour financer la protection sociale a été abordée par Sylvie Matherat, senior advisor du cabinet de conseil et d'audit Mazars, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur les retraites et savoir si elles vont être taxées.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 22/01/2025, il est question du financement de la protection sociale et de la ministre du Travail qui veut taxer les retraités qui "peuvent se le permettre". Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié analyse les projets fiscaux du gouvernement et leurs impacts sur les ménages. Malgré les assurances, certains foyers, surtout les plus aisés, subiront des hausses, notamment via un « plancher Barnier » imposant un taux minimum de 20% sur les revenus supérieurs à 500 000 euros, contredisant la promesse de Macron en 2017. Avec les prélèvements sociaux, l'imposition des revenus du capital dépasserait 37%. Le gouvernement prévoit aussi une nouvelle taxe sur les patrimoines, soulevant des questions sur sa portée et ses effets potentiels.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:51:14 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour d'Aurélie Herbemont et Augustin Arrivé.
A 10h45, ce mardi 21 janvier 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : Faut-il taxer davantage les billets d'avion ?
Astrid Panosyan-Bouvet veut mettre à contribution les retraités les plus aisés pour renflouer les comptes de la sécurité sociale. Une piste qui risque de faire grincer des dents.
In this episode of Fraudish, Kelly Paxton sits down with David Taxer, cybersecurity expert and author of Shadows of Eden, for an insightful conversation on the intersection of technology, fraud, and human behavior.David shares his unconventional path from tech enthusiast to penetration tester, revealing how an insider fraud case shaped his career. Together, they dive into:Fraud ethics and how gender influences the appeal of white-collar crimesThe role of curiosity and pattern recognition in solving investigationsThe growing impact of AI on cybersecurity and fraud detectionPractical tips for protecting your personal informationMust-have resources for exploring open-source intelligence (OSINT)Whether you're intrigued by the psychology behind fraud or fascinated by the latest cybersecurity trends, this episode is packed with valuable insights for professionals and enthusiasts alike.Resources Mentioned:Connect with David Taxer on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/davidtaxer/Check out Shadows of Eden on Amazon: https://www.amazon.com/Shadows-Eden-Jack-Diamond-Novel/dp/B0D3J4RRRVExplore Fuzzy Panda Research: https://fuzzypandaresearch.com/globe-life-american-income-life-david-zophin-steve-greer/Listen Now to uncover the secrets of insider fraud and the evolving world of cybersecurity!
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
C dans l'air du 10 janvier 2025 - Budget : taxer les plus riches…et les retraités ?Depuis la nomination de François Bayrou à Matignon, c'est l'un des grands défis du gouvernement : faire adopter prochainement au Parlement le budget 2025, avec comme objectif 50 milliards d'euros d'économies. Alors pour éviter toute censure, le nouveau ministre de l'Economie, Éric Lombard et la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin bouclent ce vendredi une première semaine de consultations avec les principales forces politiques en vue d'amender le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, dont l'examen est sur le point de reprendre au Sénat où il a été suspendu plus d'un mois après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Toute la question pour Bercy est de savoir où sont les lignes rouges pour chaque camp, et notamment une partie de la gauche avec qui le gouvernement cherche à sceller un accord de non-censure. Une stratégie qui crée la division au sein du Nouveau Front populaire.Ainsi après une première rencontre lundi, Éric Lombard, a reçu ce mercredi pour la seconde fois, et ensemble les représentants du Parti socialiste, du parti Les Écologistes et du Parti communiste. "Nous avançons sur tous les sujets", a commenté le patron des socialistes, Olivier Faure à l'issue de cette rencontre, ajoutant que "pour qu'il n'y ait pas de censure, ça suppose qu'il y ait une inflexion forte sur la politique qui est conduite jusqu'ici". De son côté, la France insoumise, qui a refusé d'assister à ces rendez-vous, a fustigé le comportement de ses alliés du Nouveau Front populaire. "Cette façon de négocier dans le dos du NFP et contre son programme est une forfaiture d'un irrespect total pour notre alliance", s'est emporté sur X Jean-Luc Mélenchon. Dans un article de blog, publié jeudi 9 janvier, il accuse Olivier Faure d'avoir entamé "un revirement complet du PS sur la question des retraites" et de "se substituer aux syndicats" pour la renégocier. "Les retraites, ce sont nos salaires, pas un jouet entre les mains de la finance ou des macronistes", a conclu le leader insoumis.La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", a cinglé en retour le premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1. Avant de justifier sa stratégie : "Moi, ce que je veux c'est arracher des victoires, faire en sorte que la politique conduite depuis sept ans puisse connaître une inflexion." Et de mettre en avant la nécessité de parvenir à un "compromis", faute de majorité à l'Assemblée nationale. Selon des informations de Libération, les socialistes ont formulé plusieurs demandes au gouvernement, dont la suspension de la réforme des retraites, le fait de renoncer à la suppression de 4.000 postes d'enseignants prévue par le précédent gouvernement ou encore le maintien de l'Aide médicale d'État dans sa version actuelle.Les consultations se poursuivent ce vendredi. Une délégation de députés RN – sans Marine Le Pen, endeuillée depuis la mort de père – est reçu ce vendredi à Bercy pour porter ses revendications sur le budget. Au menu : refus de hausses d'impôts, économies sur le "train de vie de l'État" et nouveau tour de vis sur l'immigration.Alors que les échanges s'intensifient entre les chefs de partis et le gouvernement, le patron du Medef Patrick Martin s'est dit "inquiet". Il craint que les compromis pour éviter la censure se fassent « sur le dos » des entreprises, et ce alors que nombre d'entre elles connaissent des difficultés. Plus de 66 000 entreprises ont ainsi faillite en 2024, soit un niveau record depuis au moins 2009, selon le bilan annuel de BPCE l'Observatoire. Au total, 260 000 emplois ont été menacés en 2024 par ces défaillances. Le patron du Medef Patrick Martin, a appelé ce jeudi à la suppression de l'abattement pour frais professionnels dont bénéficient les retraités dans leur déclaration de revenus, qu'il juge "aberrant".Alors où en sont les négociations après une première semaine de consultations ? impôts, taxes, économies… Quelles sont les pistes du gouvernement pour le budget 2025 ? Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle Gaël MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de Sens politique - France CultureMathieu PLANE - Économiste – OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
"Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
"Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Lenglet-Co avec François Lenglet du 12 novembre 2024.
Ecoutez Lenglet-Co avec François Lenglet du 12 novembre 2024.
"Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
"Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
durée : 00:07:56 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - En France, 87% des enfants et 47% des adultes consommeraient plus de sucre que les recommandations de l'OMS. Pour lutter contre cette consommation excessive de sucres, un rapport de l'Institut Montaigne préconise de taxer les produits ultra-transformés. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marie-Pierre De Bailliencourt Directrice générale de l'Institut Montaigne
durée : 02:30:22 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Laetitia Bucaille, professeure de sociologie politique à l'Inalco / Marie-Pierre de Bailliencourt, directrice générale de l'Institut Montaigne / Dominique Eddé, romancière et essayiste libanais, Joseph Maïla, professeur de géopolitique à l'ESSEC, Sophie Guignon, réalisatrice, correspondante au Liban - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:07:27 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Michel Barnier a annoncé la semaine dernière vouloir augmenter l'impôt pour les ménages les plus fortunés et taxer les très grandes entreprises pour réduire le déficit. Que peut-on attendre de telles mesures ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Laurent Bach professeur à l'ESSEC et directeur du pôle entreprise à l'Institut des Politiques Publiques
Le Journal en français facile du vendredi 4 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B0zn.A
Le Journal en français facile du jeudi 3 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B0qE.A