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Olivier Babeau revient sur la polémique entourant le projet de taxe mondiale sur les grandes fortunes, défendu par l'économiste Gabriel Zucman. Il explique que cette proposition a suscité de vives critiques de la part d'autres économistes, qui remettent en cause la méthodologie utilisée et les conclusions tirées. Le débat permet de mieux comprendre les enjeux de notre système de solidarité, notamment la question de la redistribution et de l'incitation à l'effort. Plutôt que de se focaliser sur les inégalités, Olivier Babeau invite à une analyse objective de la réalité de notre système fiscal et social.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:35 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Le sénat a rejeté la “taxe Zucman”, un impôt de 2% sur le patrimoine des ultras-riches. Une très grande majorité de Français l'aurait pourtant souhaitée. Nous recevons la ministre des comptes publics, bonjour Amélie de Montcharline…
durée : 00:03:35 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Le sénat a rejeté la “taxe Zucman”, un impôt de 2% sur le patrimoine des ultras-riches. Une très grande majorité de Français l'aurait pourtant souhaitée. Nous recevons la ministre des comptes publics, bonjour Amélie de Montcharline…
L'exemple anglais le démontre : le riche est volatile ! Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'exemple anglais le démontre : le riche est volatile ! Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 12 juin 2025 : "Taxer les ultra-riches français, bonne idée ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Flora Ghebali, militante dans la transition écologique.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C'est un sujet qui revient de plus en plus dans l'actualité. En cause : le changement climatique galopant dont l'un des effets est la sécheresse, particulièrement en été. Pour limiter la consommation des foyers qui consomment trop d'eau, une commune française a eu l'idée de tarifer celle-ci plus cher. La municipalité de Séquestre, dans le Tarn, s'apprête à devenir pionnière en la matière. D'après une consoeur du média Vert, le maire de la commune a l'intention de mettre en place la tarification progressive de l'eau. Comment ça marche ? Est-ce une mesure qui fonctionne ? Va-t-elle s'appliquer à l'échelle nationale ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Qu'est-ce que la taxe kérosène ? Qu'est-ce que la taxe carbone aux frontières ? Qu'est-ce que l'ISF climatique ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 18/05/2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les milliardaires paient deux fois moins d'impôts que la moyenne des Français. Pour corriger cette inégalité, des économistes et experts, comme Quentin Parrinello, proposent de les taxer de 2 %. Une idée qui sera discutée au Sénat le 12 juin.Entretien avec Quentin Parrinello directeur des politiques publiques de l'EU Tax Observatory (Observatoire européen de la fiscalité).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Babaud analyse la proposition de taxer les entreprises qui remplacent les travailleurs par des robots. Il explique que cette mesure, bien qu'elle puisse sembler séduisante, serait en réalité contre-productive et freinerait l'investissement. Plutôt que de ralentir le progrès, Olivier Babaud estime qu'il faut s'adapter à l'automatisation en repensant notre système éducatif et notre modèle social.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Donald Trump a proposé d'imposer des droits de douane de 100 % sur les films diffusés aux États-Unis mais produits à l'étranger, accusant les incitations fiscales étrangères de nuire à l'industrie cinématographique américaine. Cette mesure vise notamment des pays comme le Canada, le Royaume-Uni ou la Belgique, qui attirent les tournages grâce à des avantages fiscaux. Mais en réalité, les grandes victimes seraient les studios américains eux-mêmes, qui tournent souvent à l'étranger pour réduire les coûts. L'annonce suscite l'inquiétude, d'autant plus que les contours de la mesure restent flous. À quelques jours du Festival de Cannes, les professionnels redoutent une aggravation des difficultés déjà rencontrées par le secteur. Présenté par Milan Berckmans Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis quelques jours, c'est l'effervescence politique autour d'une invention qui n'a rien d'innocent : la taxe sur les plus-values. Traduction pour les non initiés : si vos actions, vos cryptomonnaies, vos assurances ou vos obligations prennent de la valeur, et que vous les vendez, l'Etat peut, ou veut même, prélever 10% sur la plus-value. Mais dans le grand laboratoire belge, rien n'est jamais simple. Yanis Albane, le ministre des Finances N-VA, a dégainé une idée digne d'une recette de grand-mère : celui qui garde ses actions pendant dix ans sera exonéré. Le message est clair : sois patient, petit épargnant, et nous ne te mangerons pas tout cru. Mais cette carotte fiscale fait hurler Vooruit, les socialistes flamands. Pour eux, pas de pitié pour les riches. Ils avaient signé pour une taxe sur les plus-values sans exception, sans passe-droit. Pour eux, autoriser une exonération après dix ans, c'est dérouler le tapis rouge à celles et ceux qui ont les reins assez solides pour immobiliser de l'argent aussi longtemps. En coulisse la menace est réelle. Si Vooruit claque la porte, le gouvernement risque de tomber. Et si la N-VA plie, elle perd son électorat entrepreneur. Bref, pour sauver la coalition actuelle Arizona, il faudra taxer, mais avec des gants de soie. Et pendant que les politiques rejouent leur éternel ballet, des promesses trahies et des compromis boiteux, nous, petits épargnants, nous avançons sur un fil tendu au-dessus du vide en espérant que d'ici dix ans, personne n'ait changé encore une fois les règles du jeu. Car, ici en Belgique, l'épargne n'est plus une vertu, c'est un sport de combat. Et visiblement, la patience est devenue aussi une niche fiscale. Mots clés : Belgique, portefeuille, patients, impatients, contribuables modèles, profiteurs, taxe, plus-values, actions, cryptomonnaies, assurances, obligations, valeur, vendre, Etat, prélèvement, prélever, pourcentage, ministre des Finances N-VA, Yanis Albane, finance, financier, financière, décennie, dix ans, épargne, épargnant, épargner, fiscalité, recette, fiscale, socialistes flamands, riches, exception, passe-droit, exonération, exonérer, argent, millionnaires, entrepreneurs, fortune, vooruit, classe moyenne, présidente, Valérie Van Pelt, investisseur, investir, investissement, déficit, budget, retraité, retraite, fonds, dividende, entreprise, rendement, fortunes liquides, marché, compromis gouvernemental, million, euros, société, taxe progressive, donations familiales, start-ups, fonds de pension, menace, gouvernement, chute, électorat, coalition, arizona, politiques, taxer, niche fiscale, fiscalité, coalition fédérale, déclaration, impôts, revenus, actionnaires, imposition, vente, réforme, revenus professionnels, personnes physiques, taux progressif, tranches, revenu imposable, montant, contribuable, revenus, capital --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amid Faljaoui nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Merci pour votre écoute Vous pouvez nous écouter à tout moment sur www.rtbf.be/musiq3 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be : Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:31 - L'invité de la rédaction, ici Drôme Ardèche - Le Conseil départemental de la Drôme a approuvé ce lundi le budget prévisionnel 2025 de presque 914 millions d'euros. Ce vote entérine plusieurs coupes budgétaires. L'opposition dénonce un budget d'austérité.
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les cours boursiers mondiaux dévissent depuis l'annonce des mesures commerciales de Donald Trump. Personne n'est épargné, pas même les marchés américains qui subissent leurs plus fortes baisses depuis mars 2020 et le Covid. On a beaucoup analysé les conséquences, mais revenons aux faits. Pourquoi Donald Trump a-t-il déclenché cette guerre commerciale ? Que peuvent y gagner les États-Unis ? Décryptage. Comme très souvent en économie, à question simple, attendez une réponse un peu plus compliquée ! Donald Trump veut tout simplement rendre l'Amérique encore plus puissante comme il le martelait d'ailleurs durant sa campagne électorale. Traduisez : plein emploi, croissance forte, donc plus de productions sur le sol américain ou encore tenter d'atteindre l'autosuffisance. Et cela à tout prix. Voilà sa boussole, et pour atteindre ses objectifs, il utilise les outils et les mécanismes économiques qui lui semblent les plus opportuns. Logique protectionniste L'un de ses outils préférés, ce sont les droits de douane. Taxer, taxer et encore taxer. Voilà la solution que Donald Trump a trouvée pour réduire le déficit commercial américain qui, on le rappelle, est de pratiquement 1000 milliards de dollars. Pour lui, c'est un signe de faiblesse des États-Unis. En taxant, il entend limiter les importations et donc rééquilibrer la balance commerciale. La conséquence, toujours selon Donald Trump : plus d'investissements — du monde entier – sur le sol américain, pour y augmenter la production et donc créer de la richesse et des emplois, avec au bout de la chaine, des rentrées fiscales fédérales plus importantes. En fait, c'est une logique protectionniste. À demande égale, si l'on suit le président américain, l'offre américaine va remplacer l'offre du monde entier. Quelles conséquences ? C'est ce qu'il avait d'ailleurs entrepris durant son premier mandat, et ça n'a pas spécialement fonctionné. Selon la Réserve fédérale de New York, entre 2018 et 2019, avant la pandémie de covid donc, la guerre commerciale de Donald Trump a coûté en moyenne 850 dollars par an à chaque foyer américain. Ce que l'on comprend c'est que sur le court et moyen terme, le premier impact visible sera une hausse du niveau général des prix. Le niveau de vie des États-uniens va donc diminuer en raison d'une inflation que beaucoup d'économistes annoncent importante. Pourtant, Donald Trump l'a encore affirmé ce jeudi 3 avril, les États-Unis ressortiront « forts » de cet épisode. Jouer avec le dollar Le président américain met ainsi la pression au monde entier, et comme souvent, en cassant les codes et en sortant du système, il incite à négocier. Sauf qu'il prend un risque. Beaucoup de pays ne sont pas dans cet état d'esprit et entendent eux aussi se défendre en augmentant les tarifs douaniers pour taxer les produits importés depuis les États-Unis. Et puis il y a un point essentiel : le dollar ne cesse de perdre de sa valeur, et c'est sûrement l'un des éléments clés de la stratégie de l'administration Trump. À lire aussiGuerre commerciale: «C'est 25 ans d'histoire commerciale qui sont en train de s'achever»Ses mesures engendrent une baisse du billet vert. Cela peut soutenir l'agressivité tarifaire américaine. La monnaie étant moins forte, il est plus facile d'exporter et moins d'intéressant d'importer. Donc naturellement, cela tend à réduire le déficit commercial américain. Voilà pour la théorie de Donald Trump. Un peu trop simpliste pour beaucoup d'économistes. Ce qui est sûr, c'est que jouer avec le dollar, la monnaie mondiale de référence, c'est là encore changer la donne pour le monde entier. Finalement, pour revenir au point de départ, si Donald Trump veut rendre l'Amérique encore plus grande, il le fait au détriment du reste du monde. Et dans une économie globalisée, ultra-connectée et interdépendante, c'est l'effet boule de neige. C'est-à-dire que les conséquences seront elles aussi globalisées !
C'est la question du jour du Figaro !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec Pierre Palmade qui demande à sortir de prison pour purger sa peine sous bracelet électronique
Roland Pérez nous plonge dans un sujet inattendu mais ô combien important : la diffusion de musique lors des cérémonies funéraires. Accompagné de Mathieu Alterman, spécialiste de la musique, les deux invités nous éclairent sur les nouvelles réglementations qui s'appliquent désormais en France depuis le 1er janvier 2025.Découvrez comment la SACEM, la société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, s'impose désormais comme un acteur incontournable dans l'organisation des funérailles. Jusqu'à présent tolérée, la diffusion publique de musique lors de ces événements privés est désormais soumise à des droits d'auteur, suscitant l'indignation de certains et l'approbation d'autres. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Ce jeudi 6 mars, le discours d'Emmanuel Macron sur la hausse des dépenses pour la défense, mais sans augmenter les impôts, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 6 mars, le discours d'Emmanuel Macron sur la hausse des dépenses pour la défense, mais sans augmenter les impôts, a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'émission 28 minutes du 28/02/2025 Ce vendredi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : l'essayiste Antoine Bueno, la directrice de la revue “Regards” Catherine Tricot, la rédactrice en chef “Opinions” au “JDD” Aziliz Le Corre et la dessinatrice Louison.Retour sur deux actualités de la semaine :Taxe à 25% sur les produits européens : Trump est-il encore notre allié ?Donald Trump a annoncé dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 février qu'il taxerait prochainement les produits européens à hauteur de 25 %. Une décision qu'il a accompagnée d'une critique : “L'Union européenne a été conçue pour emmerder les États-Unis. C'était l'objectif et ils y sont parvenus.” La balance commerciale sur les biens entre les États-Unis et l'Europe est largement excédentaire (environ 230 milliards de dollars l'an dernier), notamment grâce à l'exportation de produits pharmaceutiques, chimiques et agricoles, et de voitures européens. Ces taxes mettraient à mal ces exportations. Par conséquent, le consommateur américain paierait ces produits beaucoup plus chers. “L'Union européenne fera de même” si les Américains ”maintiennent des hausses” de taxes, a prévenu Éric Lombard, le ministre français de l'Économie.Jusqu'où ira le bras de fer entre la France et l'Algérie ?À l'issue du comité interministériel de contrôle de l'immigration, le Premier ministre François Bayrou a adressé un ultimatum à l'Algérie, la sommant de récupérer les ressortissants algériens sous le coup d'une OQTF énumérés sur une “liste d'urgence”. Il menace de remettre en cause les accords migratoires passés entre les deux pays, en particulier celui de 1968 qui facilite l'installation des Algériens en France pour une longue durée. Cette décision survient quatre jours après une attaque au couteau qui a fait un mort et cinq blessés à Mulhouse, dont le suspect est un ressortissant algérien sous le coup d'une OQTF. Les autorités algériennes auraient empêché à dix reprises son retour. Les tensions entre les deux pays se sont intensifiées ces derniers mois avec l'arrestation et la détention de l'écrivain Boualem Sansal par les autorités algériennes, ainsi que la reconnaissance par la France de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.Nous recevons Richard Brunel, metteur en scène, acteur et directeur de l'Opéra national de Lyon depuis 2021. Il présente le projet “Camion-Opéra” : un opéra itinérant à travers la région Auvergne-Rhône-Alpes pour aller directement à la rencontre du public. Ce projet met en scène “Le Sang du glacier”, un spectacle axé sur le réchauffement climatique, créé pour l'occasion. Cette représentation, à prix réduit, a pour but “d'abolir les frontières de l'opéra”, selon Richard Brunel.Initialement invité à la CPAC — une conférence qui réunit toutes les droites conservatrices du monde à Washington — pour y prononcer un discours, Jordan Bardella a finalement décidé d'annuler son intervention. Cette décision intervient après que Steve Bannon, l'ancien conseiller de Donald Trump, a exécuté un salut nazi lors de cette même conférence. Un départ que ce dernier a durement critiqué. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Malgré le classement sans suite de plaintes pour harcèlement moral et abus de faiblesse visant l'ancien secrétaire national d'Europe Écologie Les Verts Julien Bayou, l'affaire continue de diviser le parti écologiste. La députée Sandrine Rousseau estime que "la justice a ses critères, maintenant, il reste la question politique" concernant l'ancien membre du parti qui a déjà fait l'objet de deux enquêtes internes. C'est le point com de Paola Puerari.Que ce soient les arbitres exerçant dans la Ligue de football professionnel, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), ou encore l'Office français de la biodiversité qui contribue à la surveillance, la préservation, la gestion et la restauration de la biodiversité, les institutions arbitrales font l'objet de vives contestations en France. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur la cérémonie d'hommage en Israël, lors du passage du cortège funéraire de trois otages du Hamas décédés pendant leur captivité ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 28 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques… Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.
Ce jeudi 20 février, le retour, à l'Assemblée nationale, de la proposition de loi visant à instaurer un impôt plancher de 2% sur le patrimoine des ultra-riches a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Taxer les plus values comme veut le faire le gouvernement Arizona va être tout sauf une promenade santé. Ce sera même un casse-tête monumental en vue ! Démonstration de l'inaptitude de nos gouvernants à penser à long terme. C'est un sujet aussi captivant qu'un bon polar ou presque : la taxation des plus-values sur actions, c'est au programme de notre nouveau gouvernement et autant vous prévenir, c'est tout sauf simple. On nous promet une révolution fiscale pour effectivement détaxer le travail, mais en réalité, on s'apprête à compliquer la vie de presque tout le monde. Rappelons d'abord que depuis le code des impôts sur les revenus de 1962, la Belgique avait choisi de ne pas taxer les plus-values. Pourquoi cette absence de taxation ? Mais parce qu'en Belgique, les revenus sont déjà lourdement taxés. La pression fiscale chez nous, ce n'est pas une légende. Alors pourquoi changer une logique fiscale qui certes n'arrange sans doute pas tout le monde, mais a tenu bon pendant plus de 60 ans ? Mots-Clés : rappel, économiste, Bruno Colmant, travail, taux marginal, dividendes, impôt des sociétés, précompte mobilier, taxation, exemple, 2026, entrer en vigueur, action, plus-value, moyenne pondérée, banque, produire, relevé détaillé, achats, ventes, contribuables, déclaration fiscale, comptes, étranger, cauchemar fiscal, cohabite, fisc, Bourse, opérations, taxer, impôt progressif, activité, professionnel, critères, mortels, doute, État fédéral, risque, millions, euros, grandes fortunes, titres, rentiers, moralité, investisseurs modestes, fructifier, économies, classe moyenne, caisse, ministre des Finances, Télévision flamande, résultat, Bourse de Bruxelles, introduction, rythme, Palais, temple du capitalisme, musée de la bière, coalition, bricoler, négociations gouvernementales, chaotique. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Didier Giraud et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h45, ce lundi 3 février 2025, les GG : Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido, débattent de : Taxer les produits sucrés, dissuasif ?
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 3 février 2025 : "Emmanuel Macron veut 'raccourcir les vacances d'été', bonne idée ?" et "Taxer les produits sucrés, dissuasif ?", avec Zohra Bitan, fonctionnaire, Charles Consigny, avocat, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido.
Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié, experte économique, analyse en détail la situation fiscale des retraités en France. Elle revient sur les différents taux de CSG appliqués selon les niveaux de revenus, et questionne la pertinence d'une hausse du taux normal. Au-delà de cette mesure, elle souligne la nécessité de s'attaquer aux dépenses publiques et d'encourager le travail plutôt que de multiplier les prélèvements. Un éclairage nuancé sur un sujet économique sensible.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
C dans l'air du 22 janvier 2025 - Taxer les retraités : la fin d'un tabou ? Faire payer une cotisation aux retraités les plus aisés pour financer le grand âge. C'est la proposition formulée par la ministre chargée du Travail et de l'Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, mardi 21 janvier. Une "proposition personnelle", a tempéré aujourd'hui Matignon, mais qui suscite l'intérêt de certains parlementaires.La ministre propose que les retraités qui peuvent "se le permettre", ceux qui touchent plus de 2 000 euros net mensuel (soit 25 % des retraités) ou 2 500 euros net mensuel ( 7 % des retraités), soient mis à contribution pour payer l'autonomie et la dépendance. C'est-à-dire qu'ils pourraient participer à l'effort pour qu'il ne repose pas uniquement sur les actifs qui consacrent déjà près d'un tiers de leur salaire à payer les retraites, et qui, depuis la réforme de 2023, doivent travailler jusqu'à 64 ans. Des actifs à qui certains, comme la ministre des Solidarités Catherine Vautrin, envisagent de demander de travailler gratuitement sept heures de plus par an, soit une deuxième journée de solidarité.Le patron du Medef, Patrick Martin, a lui aussi remis cette idée dans le débat il y a quelques jours en proposant de supprimer l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraites. Cet abattement, dont bénéficient les actifs, est destiné à l'origine à compenser les frais professionnels. En novembre dernier la sénatrice du groupe Les Républicains Christine Lavarde (Hauts-de-Seine), avait proposé la suppression de cet abattement pour les retraités les plus aisés, et avait été recalé. "C'est pour moi une question d'équité générationnelle", explique la sénatrice pour qui "le niveau de vie des retraités s'améliore ou ne baisse pas par rapport aux actifs".Alors les retraités ont-ils réellement un niveau de vie supérieur aux actifs ? Vont-ils, à plus ou moins court terme, participer davantage au redressement des comptes de la Nation et au financement de la protection sociale ? Le sujet, hautement explosif, n'a jusqu'ici jamais dépassé le stade du ballon d'essai car ce sont ceux qui votent le plus. Il a d'ailleurs cette fois encore suscité une levée de bouclier de la gauche jusqu'à l'extrême droite. Mais derrière ce débat sur le financement de la dépendance, un autre débat est également relancé, celui de la démographie à l'heure où l'Insee constate que le nombre de naissances continue de chuter en France, une baisse tendancielle depuis 2011. Autre point de discussions en ce début d'année : les cahiers de doléances. Lors de son discours de politique générale, François Bayrou a souhaité reprendre l'étude de ces doléances, rédigées par les Français en 2019 à la suite du mouvement des Gilets jaunes. À l'époque pas moins de 2 millions de contributions populaires ont été déposées, avant d'être archivées. Que contiennent-ils ? Les explications de l'archiviste Marie-Anne Chabin ce soir dans #cdanslair.Les experts : - Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - Nathalie SAINT-CRICQ - éditorialiste politique - France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - Thomas PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de Mon dictionnaire d'économie
Ecoutez Lenglet-Co du 22 janvier 2025.
Ce mercredi 22 janvier, l'idée avancée par la ministre du Travail qui propose de taxer les sept millions de retraités les plus aisés qui touchent plus de 2 000 ou 2 500 euros par mois pour financer la protection sociale a été abordée par Sylvie Matherat, senior advisor du cabinet de conseil et d'audit Mazars, Sylvain Orebi, président d'Orientis, et Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ensemble, ils reviennent sur les retraites et savoir si elles vont être taxées.
Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié analyse les projets fiscaux du gouvernement et leurs impacts sur les ménages. Malgré les assurances, certains foyers, surtout les plus aisés, subiront des hausses, notamment via un « plancher Barnier » imposant un taux minimum de 20% sur les revenus supérieurs à 500 000 euros, contredisant la promesse de Macron en 2017. Avec les prélèvements sociaux, l'imposition des revenus du capital dépasserait 37%. Le gouvernement prévoit aussi une nouvelle taxe sur les patrimoines, soulevant des questions sur sa portée et ses effets potentiels.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:51:14 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour d'Aurélie Herbemont et Augustin Arrivé.
A 10h45, ce mardi 21 janvier 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : Faut-il taxer davantage les billets d'avion ?
Astrid Panosyan-Bouvet veut mettre à contribution les retraités les plus aisés pour renflouer les comptes de la sécurité sociale. Une piste qui risque de faire grincer des dents.
In this episode of Fraudish, Kelly Paxton sits down with David Taxer, cybersecurity expert and author of Shadows of Eden, for an insightful conversation on the intersection of technology, fraud, and human behavior.David shares his unconventional path from tech enthusiast to penetration tester, revealing how an insider fraud case shaped his career. Together, they dive into:Fraud ethics and how gender influences the appeal of white-collar crimesThe role of curiosity and pattern recognition in solving investigationsThe growing impact of AI on cybersecurity and fraud detectionPractical tips for protecting your personal informationMust-have resources for exploring open-source intelligence (OSINT)Whether you're intrigued by the psychology behind fraud or fascinated by the latest cybersecurity trends, this episode is packed with valuable insights for professionals and enthusiasts alike.Resources Mentioned:Connect with David Taxer on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/davidtaxer/Check out Shadows of Eden on Amazon: https://www.amazon.com/Shadows-Eden-Jack-Diamond-Novel/dp/B0D3J4RRRVExplore Fuzzy Panda Research: https://fuzzypandaresearch.com/globe-life-american-income-life-david-zophin-steve-greer/Listen Now to uncover the secrets of insider fraud and the evolving world of cybersecurity!
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
C dans l'air du 10 janvier 2025 - Budget : taxer les plus riches…et les retraités ?Depuis la nomination de François Bayrou à Matignon, c'est l'un des grands défis du gouvernement : faire adopter prochainement au Parlement le budget 2025, avec comme objectif 50 milliards d'euros d'économies. Alors pour éviter toute censure, le nouveau ministre de l'Economie, Éric Lombard et la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin bouclent ce vendredi une première semaine de consultations avec les principales forces politiques en vue d'amender le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, dont l'examen est sur le point de reprendre au Sénat où il a été suspendu plus d'un mois après la chute du gouvernement de Michel Barnier. Toute la question pour Bercy est de savoir où sont les lignes rouges pour chaque camp, et notamment une partie de la gauche avec qui le gouvernement cherche à sceller un accord de non-censure. Une stratégie qui crée la division au sein du Nouveau Front populaire.Ainsi après une première rencontre lundi, Éric Lombard, a reçu ce mercredi pour la seconde fois, et ensemble les représentants du Parti socialiste, du parti Les Écologistes et du Parti communiste. "Nous avançons sur tous les sujets", a commenté le patron des socialistes, Olivier Faure à l'issue de cette rencontre, ajoutant que "pour qu'il n'y ait pas de censure, ça suppose qu'il y ait une inflexion forte sur la politique qui est conduite jusqu'ici". De son côté, la France insoumise, qui a refusé d'assister à ces rendez-vous, a fustigé le comportement de ses alliés du Nouveau Front populaire. "Cette façon de négocier dans le dos du NFP et contre son programme est une forfaiture d'un irrespect total pour notre alliance", s'est emporté sur X Jean-Luc Mélenchon. Dans un article de blog, publié jeudi 9 janvier, il accuse Olivier Faure d'avoir entamé "un revirement complet du PS sur la question des retraites" et de "se substituer aux syndicats" pour la renégocier. "Les retraites, ce sont nos salaires, pas un jouet entre les mains de la finance ou des macronistes", a conclu le leader insoumis.La gauche du tout ou rien, c'est aujourd'hui la gauche du rien", a cinglé en retour le premier secrétaire du parti au poing et à la rose, sur TF1. Avant de justifier sa stratégie : "Moi, ce que je veux c'est arracher des victoires, faire en sorte que la politique conduite depuis sept ans puisse connaître une inflexion." Et de mettre en avant la nécessité de parvenir à un "compromis", faute de majorité à l'Assemblée nationale. Selon des informations de Libération, les socialistes ont formulé plusieurs demandes au gouvernement, dont la suspension de la réforme des retraites, le fait de renoncer à la suppression de 4.000 postes d'enseignants prévue par le précédent gouvernement ou encore le maintien de l'Aide médicale d'État dans sa version actuelle.Les consultations se poursuivent ce vendredi. Une délégation de députés RN – sans Marine Le Pen, endeuillée depuis la mort de père – est reçu ce vendredi à Bercy pour porter ses revendications sur le budget. Au menu : refus de hausses d'impôts, économies sur le "train de vie de l'État" et nouveau tour de vis sur l'immigration.Alors que les échanges s'intensifient entre les chefs de partis et le gouvernement, le patron du Medef Patrick Martin s'est dit "inquiet". Il craint que les compromis pour éviter la censure se fassent « sur le dos » des entreprises, et ce alors que nombre d'entre elles connaissent des difficultés. Plus de 66 000 entreprises ont ainsi faillite en 2024, soit un niveau record depuis au moins 2009, selon le bilan annuel de BPCE l'Observatoire. Au total, 260 000 emplois ont été menacés en 2024 par ces défaillances. Le patron du Medef Patrick Martin, a appelé ce jeudi à la suppression de l'abattement pour frais professionnels dont bénéficient les retraités dans leur déclaration de revenus, qu'il juge "aberrant".Alors où en sont les négociations après une première semaine de consultations ? impôts, taxes, économies… Quelles sont les pistes du gouvernement pour le budget 2025 ? Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle Gaël MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de Sens politique - France CultureMathieu PLANE - Économiste – OFCE, Observatoire Français des Conjonctures Économiques
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
REDIFF - "Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.
"Si l'État a besoin d'argent, il n'a qu'à taxer les riches". C'est une idée qu'on entend souvent alors que le déficit s'est creusé et que l'État manque de ressources... Cela s'appuie sur une faux constat, alimenté en partie par certains travaux de Thomas Piketty. "Hors-série Lenglet & Co", un podcast hebdomadaire présenté par François Lenglet et Sylvain Zimmermann, qui vous donne les clés pour tout comprendre des évolutions et des mutations économiques, en Europe et dans le monde.