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En 2025, le Cinéma Rouge & Noir (Art et Essai à Saint-Julien-en-Genevois) se distingue par l'attente d'une deuxième salle, l'accueil du festival Images Hispano-Américaines et la projection de films comme MémOires d'un escargot. Parallèlement, le cinéma français a célébré la Fête du Cinéma et le Printemps du Cinéma. Des adaptations […] The post Le Rouge & Noir : une nouvelle ère pour le cinéma en 2025 first appeared on Radio Vostok.
En 2025, le Cinéma Rouge & Noir (Art et Essai à Saint-Julien-en-Genevois) se distingue par l'attente d'une deuxième salle, l'accueil du festival Images Hispano-Américaines et la projection de films comme MémOires d'un escargot. Parallèlement, le cinéma français a célébré la Fête du Cinéma et le Printemps du Cinéma. Des adaptations […] The post Le Rouge & Noir : une nouvelle ère pour le cinéma en 2025 first appeared on Radio Vostok.
Un dub inspiré où The 18th Parallel revisite dix riddims de Fruits Records. The post Dub Avalanche : le dub genevois en haute altitude first appeared on Radio Vostok.
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Trois jours pour comprendre la densité urbaine genevoise The post Balade dans le coeur de l'urbanisme genevois first appeared on Radio Vostok.
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Avec " Flashback sur les années rock à Genève : 1960-1980 ", Christian Degiorgi signe un récit historique foisonnant sur une période fondatrice qui a vu lʹémergence de quantité de groupes et de structures, dont certains perdurent encore. Un parfait complément à dʹautres ouvrages déjà parus sur cette période effervescente. Christian Degiorgi, au micro dʹOlivier Horner.
Cʹest dans la commune de Chêne-Bourg, à lʹétage dʹun pavillon du parc Floraire, que deux colonies dʹabeilles se développent. Equipé dʹune combinaison dʹapiculteur, notre reporteur Samuel Soquet est allé récolter leur miel dʹété, avec Tanguy Coustaline, président de lʹassociation Apidae.
Pour la 7ème édition du festival FestiʹTerroir à Genève, le groupe Veniz donne un concert inédit au Parc des Bastions ce samedi 30 août à 16h30. Lʹensemble musical genevois se compose de Loulou au chant, de Stéphane Augsburger à la guitare, Marius Rivier à la batterie, Julien Israelian aux percussions et de Félicien Lia à la basse. Veniz a gagné La médaille dʹargent (deuxième place) du concours de la chanson francophone La médaille dʹor de Saignelégier en 2024. Loulou, parolière, chanteuse et comédienne, au micro de Layla Shlonsky.
Il y a du nouveau dans le secteur de l'événementiel à Genève. Deux gros acteurs- Events Concept et Vitalis Events - se sont rapprochés au sein de Butterfly Group Holding SA . Nous recevons aujourd'hui Antoine Darbellay, associé d'Events Concept, et nouveau CEO et Patrick Mengelt, le directeur associé, de la nouvelle holding qui regroupe quelque 50 collaborateurs et qui compte une centaine de clients actifs.
durée : 00:02:49 - Damien au 8ème étage à St Julien en Genevois Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le musicien Genevois dʹorigine Haïtienne Ted Beaubrun sort un premier roman, Le Yanvalou de lʹÂme. Lʹhistoire dʹune quête dʹidentité et dʹun retour aux sources. Par Michel Ndeze.
La chanteuse et multiinstrumentiste Chilienne Josefa Ibarra sera en concert au Gena Festival de Avully près de Genève le 04 juillet prochain. Tout comme le chanteur reggae Genevois dʹorigine Congolaise et Roumaine Lion Messager.
➡️ Tu veux investir dans l'immobilier en Suisse ? Clique ici :https://www.inved.ch/fixer-un-rendez-...Hey, c'est Edouard, bienvenue dans ce nouvel épisode : Investir dans l'immobilier dans le canton de FribourgDans cet épisode, j'accueille Jonas Murith (Murith Immobilier) et Fred Varenne (Concept Immobilier) pour une immersion dans le marché immobilier fribourgeois.Croissance démographique, pénurie de logements, communes en plein essor, nouvelles aides pour les primo-acquéreurs : pourquoi Fribourg attire-t-il autant d'acheteurs ces dernières années ?Au fil de notre échange, nous explorons :Les communes les plus prometteuses du canton pour investir en 2024L'impact de la nouvelle loi qui allège les frais de mutation pour les primo-acquéreursLe boom de Bulle, Farvagny, Romont… et ce qu'il faut savoir avant d'y acheterComment les Vaudois et Genevois influencent les prix dans la régionLes perspectives à 5 ans pour les maisons individuelles et les projets neufsAvec leur ancrage local et leur vision terrain, Jonas et Fred nous livrent une analyse sans filtre du marché fribourgeois.
Mai au Parc 2025 dévoile sa programmation The post Mai au Parc 2025 : l'open air genevois en avant-première first appeared on Radio Vostok.
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Le Servette FC reçoit Yverdon-Sport, samedi, en 28e journée de Super League. Un match qui sera aussi l'occasion de célébrer les 135 ans du club. Avec séance de dédicaces de joueurs actuels et anciens dès 15h30 sur l'esplanade du stade de Genève puis concert de rap ; un game show avant le match à 18h, pour terminer par un gâteau géant avec 135 bougies. Lionel Pizzinat, le Team Manager du Servette FC, était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Servette fête, samedi, ses 135 ans, à l'occasion du derby face à Yverdon. 135 ans, avec des hauts et des bas, et actuellement, c'est plutôt haut, avec Servette en tête du championnat…"On va profiter, on vit une semaine en tant que leader mais on sait très bien que c'est une championnat très volatile cette année donc il faut rester bien tranquille, aborder ce match contre Yverdon avec une grande fête devant notre public. Je pense qu'il y aura une belle corniche de public sur ce match mais surtout c'est une étape du championnat et il faut que le match soit bien maîtrisé et on espère les 3 points au bout!""On a quand même toujours été dans les six premiers cette saison: on a bien commencé, après c'est au gré du championnat. On voit que les équipes ont des dynamiques positives et négatives. On a eu une fin d'année avec quelques résultats, beaucoup de matchs nuls des résultats un petit peu, pas négatifs mais une période un peu plus difficile. Mais on a su rester calme. Il y a eu quatre matchs nuls au début, ça a été un peu difficile mais si on fait des victoires derrière on est à 5 victoires aujourd'hui et ça nous permet d'être en tête du championnat donc il y a beaucoup de certitude aujourd'hui".Il y a aussi ces débordements des fans, lors du match face au LS, à Lausanne. Vous avez d'ailleurs écopé d'une fermeture de la Tribune nord pour le match contre YB, le 1er avril. Avec la crainte d'un match à huis clos, en cas de nouveau débordement… "Il faut que les fans sachent ce qui nous attend en cas de nouveau débordement. On sait qu'on a besoin d'eux, ils sont importants pour l'ambiance mais aujourd'hui il y a des règles et puis on sait qu'on a été pénalisé aussi en Coupe d'Europe: si on a un prochain match en Coupe d'Europe, la tribune sera fermée donc il faut un peu de bon sens aussi pour éviter que tout le monde soit pénalisé pas uniquement les ultras mais tous nos supporters. Il y a des gens en Tribune Nord qui, avec cette fermeture, ne peuvent pas voir le match ou se racheter un billet donc je pense qu'il faut un peu de bon sens. C'est un petit peu inquiétant parce qu'on voit énormément de débordements et je pense qu'il va de toute façon falloir trouver une solution. On parle de billets nominatifs, je ne sais pas si c'est la vraie solution mais ça ne peut pas continuer ainsi"Vous êtes le team manager de Servette mais aussi un joueur emblématique du club. Le dernier titre de champion de Servette remonte à 1999. Un titre auquel vous avez participé… Quelle image vous gardez de ce titre?"J'étais tout jeune mais c'était un moment incroyable parce que c'était un dernier match Servette-Lausanne à la Pontaise. Le vainqueur du match gagnait le titre donc c'était un derby et un match pour le titre! Vous vous imaginez, gagner à la Pontaise et gagner le titre pour un jeune joueur comme moi, c'était un moment magique! Notre équipe, aujourd'hui, a la capacité à démontrer qu'elle a la capacité de se sublimer sur des matchs. On a eu de très grands matchs européens la saison dernière le socle de l'équipe est là, il y a des joueurs qui sont là depuis très longtemps donc il y a eu un titre l'année dernière l'équipe sait aujourd'hui comment gagner"C'est quoi l'esprit Servette ?"Je parle du staff on est des personnes qui sont là depuis longtemps, ensemble. Il y a quand même un esprit de famille: on est reparti de tout en bas avec un esprit solide des gens du cru, des gens Genevois, du staff il y a beaucoup de personnes q
La mobilité, au cœur des discussions transfrontalières: saturation des petites douanes, extension du tram 15 à l'arrêt. Florent Benoit, le président de la communauté de communes du Genevois français était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Le trafic frontalier ne cesse d'augmenter aux petites douanes. Avec ce nouvel objectif: réduire de 30% les passages à Soral, Chancy, Certoux et Sézegnin. Comment réalisez-vous ce "miracle"?"On y travaille tous les jours et de manière intelligente avec la Suisse et particulièrement Pierre Maudet et l'ensemble de son administration. On a signé une lettre d'intention le 29 janvier dernier qui prolonge l'ensemble des mesures qui ont été prises et parmi celles-ci les feux qui ont été mis le matin pour réduire le trafic aux petites douanes. Depuis 2017, le flux a été réduit de 27%"On craint beaucoup, ici, ce nouvel échangeur de l'A40 à Viry, qui déboucherait directement à Soral. Un véritable aspirateur à voitures. Quasiment une provocation quand on essaie de juguler le flux de voitures…"C'est une manière de voir les choses. Je sais que côté Suisse, il y a eu des mouvements contre cet échangeur. La commune de Viry n'est pas favorable à l'arrivée de cet échangeur. Elle s'est d'ailleurs prononcée dans une délibération contre. L'État en a pris acte. À ce stade, il n'y a plus de projet d'échangeur tel que. Pour autant, il y a une véritable problématique d'engorgement de notre territoire du Vuache, qui fait partie de la communauté de communes du Genevois. Au-delà de la position de l'échangeur, il va falloir massifier du flux sur les autoroutes et particulièrement en direction de Bardonnex pour justement éviter que les voitures traversent Soral particulièrement"Il y a peu d'alternatives, à la voiture, de votre côté..."La problématique, c'est que nos concitoyens demandent davantage de transports publics. Ça a un coût mais pour autant c'est un service public. On a mis le paquet sur les transports publics. Désormais, depuis l'année dernière, ma commune de Vulbens, qui est loin effectivement, est desservie par le transport public, toutes les 20 minutes en heure de pointe. Donc c'est un investissement qui est très important pour notre communauté de communes. Et puis vous savez que le point d'orgue sera l'arrivée du tram à Saint-Julien. Tram pour lequel, quand on dit que tout est compliqué en France, et bien pour une fois, tout est simple puisque nous sommes prêts. L'ensemble des réseaux ont été dévoyés, les ponts ont été renforcés, etc. Et c'est plutôt du côté suisse que ça coince, si vous me permettez l'expression. Et on attend des nouvelles du tribunal fédéral. Dès que les choses seront rentrées dans l'ordre, on recommencera notre travail. Mais nous, on est à deux doigts de poser les rails. Le tram, ce serait environ 3 000 voitures en moins sur les routes. On espère une arrivée de ce projet à l'horizon 2029-2030".
Banbourg est momentanément encore plus estimé que célèbre, profitez-en pour en faire votre idole avant tout le monde. Pour agrémenter une discographie qui nous menait de " Berlin" au "Mont-Salève", le Genevois revient avec ce disque "IntraLoop" siglé "French Pop", produit avec son comparse Robin Girod et le concours de Gaspard Sommer.
durée : 00:03:04 - Damien au 8ème étage à St Julien en Genevois - Venu à St Julien pour les salaires de la Suisse voisine, Damien a choisi un appartement au sommet d'un grand immeuble pour profiter d'une belle vue sur le Salève.
Pekodjinn est un producteur genevois dʹorigine Tunisienne dont le dernier album, sorti en fin dʹannée dernière, se nomme TN Tape. Il sera sur une des scènes du festival Antigel en tant que Dj lors de la soirée du 21 février au Grand Central. Par Michel Ndeze.
durée : 00:58:54 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dans les années 1830-1840, un Genevois nommé Rodolphe Töpffer dessine une dizaine d'"histoires en estampes", drôles et variées. Il vient d'inventer la bande dessinée. Qui sont les précurseurs de la bande dessinée en Europe ? Comment ce genre nouveau naît-il au 19e siècle ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Thierry Groensteen Historien et théoricien de la bande dessinée
Stone Pixel : pont entre talents locaux et mondiaux The post Stone Pixel : le label genevois aux larges ambitions first appeared on Radio Vostok.
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La Gauche radicale avance, unie, pour les élections municipales en Ville de Genève. Avec un seul candidat pour Ensemble à Gauche et Union Populaire: Tobia Schnebli. Il était invité de Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac.Vous êtes le candidat unique de la Gauche radicale, pour ces élections. Une union entre Ensemble à Gauche et l'Union populaire que vous avez rejeté lors des élections cantonales. Il y a eu des mots très forts de votre camp, et aujourd'hui, vous partez ensemble? “Rien n'est impossible, mais là c'est vraiment le bon sens qui a prévalu. Chacune de ces quatre composantes qu'il y a aujourd'hui à la gauche de la gauche, savait qu'on n'allait pas réussir ces prochaines élections municipales en Ville de Genève sans un accord électoral, sans se mettre ensemble. C'est une responsabilité que j'ai acceptée volontiers: celle de mener cette liste dans le cadre de la reconstruction. C'est un mariage de raisons, il y a encore des cicatrices de ce passé de division, mais il faut aller au-delà dans l'intérêt de la population face à un canton et même à une Suisse aujourd'hui qui a drôlement viré vers la droite, je pense que la présence de la gauche radicale dans les institutions contribue contrepoids”. “C'est un mariage de raisons”Votre slogan: «Ensemble créons la ville populaire écologique et sociale». Comment la rendre plus écologique, cette ville de Genève… “Genève est une des villes les plus riches au monde. Vous regardez le PIB par habitant, on est entre le Liechtenstein et le Luxembourg. On vit bien en Suisse, mais le problème c'est que cette richesse est inégalement répartie. Vous avez un taux de chômage à Genève, officiel Genevois de 4,6%. Si vous utilisez celui du Bureau international du travail, on est presque à 10%. Et il y a à Genève, y compris en ville, plus de 40% de la population qui a recours au subside d'assurance maladie”Vous demandez l'accès à des logements abordables. Comment faites-vous?“C'est un gros terrain de confrontation face aux intérêts économiques des milieux immobiliers. Il s'agit de construire sur un acquis fondamental qui est la loi sur la démolition, transformation des maisons, des habitations, la LDTR, onie par la droite et qu'on s'emploie à défendre. On est très préoccupés sur comment va être aménagé le PAV. La quantité de tours et de bureaux de prestige et aussi d'appartements chers et PPE qu'il y aura au sein du quartier Praille / Acacias / Vertnets a de quoi nous inquiéter. Sans parler du tissu économique: localement, c'est difficile de trouver des ateliers convenables. La ville en elle-même peut très peu faire”
Le nouveau médecin cantonal genevois, Alessandro Cassini, est en place depuis le 1er octobre. Il dressait un bilan de son action après 100 jours, avec Béatrice Rul, à 7h30, sur Radio Lac. Vous êtes médecin cantonal depuis le 1er octobre. Comment se sont passés, ces plus de 100 jours?“Je dirais que j'ai eu le temps de prendre un petit peu les mesures, comprendre aussi comment marchent les choses. J'ai trouvé des équipes très compétentes, extrêmement passionnées. Ce sont des xperts, ils sont autonomes. J'essaye aussi de comprendre comment marche le terrain, les autres acteurs de la santé, qu'ils soient des hôpitaux ou qu'ils soient des associations, il y a un domaine associatif à Genève qui est extrêmement développé, positif, avec lequel on travaille tous les jours”Quelle est la situation de l'épidémie de grippe?“On n'a pas encore atteint le pic, ça continue à circuler de façon très très forte. La grippe entraîne un petit peu de tension, surtout aux HUG. On a essayé de mieux évaluer la situation aussi la semaine dernière, quand les HUG ont dû déprogrammer certaines opérations et créer des lits en plus, nous avons remis en place un système de monitorage de nombre de lits qu'il y a sur le canton pour s'assurer que si la situation ne devienne pas encore plus tendue. On aurait eu des possibilités aussi dans d'autres cliniques et dans d'autres hôpitaux, si besoin. Aux HUG, on en est à plus de 80 hospitalisations par semaine”. Avant le Covid aussi, il y avait toujours ces vagues épidémiques très importantes mais on en parlait un petit peu moins. Le Covid nous a permis un petit peu de refocaliser sur certaines vagues épidémiques, mais aussi peut-être des fois un petit peu trop d'attention sur des situations qui sont assez normales chaque hiver, et c'est pour ça qu'il faut rappeler les bons gestes. Par exemple quand on est malade, se rappeler de mettre le masque, se rappeler aussi de se vacciner, c'est très important, surtout pour les populations pour lesquelles la vaccination est recommandée”.Une pandémie, comme celle du Covid, pourait-elle se reproduire?“Bien sûr, je dirais même que c'est presque certain que ça se reproduise. Ca ne sera pas avec peut-être la même quantité ou le même impact. On est en train de suivre différents types de virus qui ont ce potentiel. On se prépare au niveau international avec les nouvelles règles internationales pour faire face à des épidémies. Au niveau national, un plan pandémie national doit être bientôt publié. Il y a une adaptation genevoise à ce plan pandémie pour être certain qu'on connaisse bien les acteurs du terrain, qu'on se coordonne et qu'on puisse faire face de façon très efficace à la nouvelle épidémie qui arrivera, on ne sait pas encore quand et dans combien d'années”.
Le Parti socialiste mise sur un ticket féminin pour le conseil administratif de la Ville de Genève. L'une d'elle, Joëlle Bertossa, était invitée de Béatrice Rul, à 7h30.Vous estimez que grâce à la majorité de Gauche, Genève a poursuivi sa mue vers une société plus juste et résiliente. Est-ce vraiment une Genève plus juste quand la précarité augmente, quand il devient impossible de se loger ou quasiment impossible de faire garder son enfant en bas âge? Alors effectivement les Genevois sont résilients… "Disons que les efforts sont encore très grands. On a réussi heureusement à augmenter le nombre de places de crèche, on en a créé 100 durant la dernière législature. Ce n'est pas suffisant, je crois qu'il en manque à peu près 1000. Donc oui, nous allons continuer à agir de ce côté-là. Et puis c'est vrai que la précarité augmente. D'ailleurs, c'est un souci pour nous quotidiens de comment faire pour aider la population. C'est un beau constat, mais il laisse la majorité de gauche au conseil administratif. Oui, mais il faut savoir pourquoi. C'est aussi des politiques fédérales d'augmentation des primes maladie, d'augmentation des loyers que malheureusement nous ne contrôlons pas. On peut augmenter le nombre de logements que la Ville peut acquérir, avec la Fondation Genevoise pour le Logement Social. On peut aussi pousser les régies privées à faire des logements abordables. On peut transformer les locaux commerciaux vides depuis des années en logements également".Vous souhaitez que Genève soit une ville plus solidaire, inclusive et durable. Concrètement, très concrètement, Joël Berthosa, ça veut dire quoi?"Ma priorité, ce sont les familles! Je suis mère de famille, j'ai deux adolescentes à la maison. On peut, par exemple, faire plus de lieux pour la jeunesse. On peut aider les familles avec des chèques famille qui aident tout un chacun à inscrire ses enfants, que ce soit dans des cours de culture ou de sport. On fait déjà les allocations de rentrée qui aident passablement les familles. On peut continuer à rendre cette ville plus résiliente au niveau de l'aménagement. Il faudrait identifier dans chaque quartier, par exemple, une rue ou un lieu qu'on pourrait redonner aux habitants pour qu'ils se l'approprient. Moi, je suis très attachée à la collaboration qu'on peut avoir avec les habitants et les associations de quartier".Autre proposition, pour la culture et le sport: Viser un subventionnement équitable des différentes entités et institutions. Le budget du Grand Théâtre est de 63 millions de francs, par année. Les associations sportives peuvent donc se frotter les mains. Vous allez leur offrir 63 millions!"Non, alors déjà, il y a le canton, heureusement, qui rentre dans le financement du Grand Théâtre, qui va nous soulager un peu de cette énorme manne financière. En ville, il y a effectivement une disproportion des moyens entre culture et sport. Mais nous avons augmenté les budgets, pour le sport, sous l'impulsion de la magistrate Marie Barbey-Chappuis et on a un peu augmenté les subventions. Il n'y a pas vraiment de demande des associations sportives pour davantage d'argent. Étonnamment, parce que j'étais commissaire au sport, j'étais même présidente de la commission et je l'ai souvent demandé. Ce que les associations sportives demandent surtout, c'est du soutien pour leurs bénévoles. Parce qu'en fait, c'est devenu de plus en plus compliqué au niveau administratif de gérer une association sportive. Donc, ce n'est pas forcément au niveau des sous. Ils ont besoin d'espaces. On a voté 27 millions pour la rénovation des infrastructures sportives. C'est surtout ça dont les associations sportives ont besoin. Après, dans le domaine culturel, là, il y a des disparités. Moi, je me suis toujours engagée à essayer, et on l'a fait d'ailleurs ces dernières années, de remonter un peu ce qui est donné par exemple aux arts visuels, qui sont quand même le parent pauvre de la culture. On en p
Découvrez LSC005, le nouvel EP électro du collectif genevois Ski Club The post Le collectif genevois Ski Club dévoile LSC005, son nouvel EP first appeared on Radio Vostok.
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Nocturne et Catalyse, sont deux collectifs en collaboration avec la Globale Locale The post Nocturne et Catalyse, alliés des jeunes talents genevois first appeared on Radio Vostok.
L'UDC revient avec un projet de traversée de la Rade. Le parti va déposer une nouvelle initiative pour une traversée sous lacustre, entre la route de Malagnou et celle des Nations. Unique solution, pour pacifier le trafic sur le Pont du Mont-Blanc, selon le parti. Lionel Dugerdil, le président de l'UDC Genève, était invité de Béatrice Rul, à 7h30,sur Radio Lac.L'initiative de l'UDC pour la traversée de la Rade a été refusée, en 2014, par les Genevois à 63%. 63%, c'est clair et net et vous, vous revenez pourtant à la charge?"On revient avec la même idée parce que beaucoup de choses ont changé depuis. On a notamment voté la loi sur la mobilité cohérente et équilibrée, et cette loi qui est une bonne loi si elle est appliquée dans son ensemble, demande un vrai U lacustre! Cette loi demande quasiment clairement une traversée de la rade puisqu'on ne peut pas faire un U lacustre sans traverser à un, voire à deux, voire à trois endroits puisqu'il faudra une petite, une moyenne et une grande ceinture".L'argument principal à l'époque pour le refus de cette traversée de la rade, c'était la protection de cette rade, vous n'en voulez plus ?" Non pas du tout! On propose d'ailleurs un tunnel qu'autre chose. A l'époque, il y avait l'argument de dire qu'on allait aller dans la nappe phréatique, qu'on allait abîmer la nappe phréatique. On a vu aujourd'hui avec le CEVA qu'on savait très bien faire sans abîmer la nappe phréatique et beaucoup de choses ont changé depuis, notamment 50 000 personnes habitant en plus à Genève, une trentaine de milliers de frontaliers en plus, donc pour nous c'est d'autant plus nécessaire! On a également une votation qui a été claire: on n'a pas voté l'élargissement des autoroutes, on a de facto enterré la traversée du lac, ou du moins repoussée donc c'est d'autant plus nécessaire aujourd'hui de faire cette traversée"
Un coupe à la ville comme sur scène, qui mixe à la K7, et crée des bootlegs suisses ! Tristan et Mahi, les roi et reine du cool Genevois, fondent Disco Toi & Moi et avec eux, des crayons pour rembobiner la musique sur bande magnétique.
Dans ce podcast, ONU Info Genève vous emmène dans les coulisses des cours d'orientation sur le désarmement destinés aux nouveaux diplomates à Genève. Ces formations, organisées par le Bureau des affaires de désarmement de l'ONU (UNODA) et l'Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement (UNIDIR), visent à renforcer les compétences des diplomates dans un contexte international de plus en plus complexe.Mélanie Réginbal, Cheffe de la branche genevoise de l'UNODA et Fanny Sebban, experte à l'UNIDIR évoquent l'importance de ces formations. Ensemble, elles explorent les défis actuels liés aux armes de destruction massive, aux nouvelles technologies et à la sécurité internationale, tout en soulignant le rôle crucial de Genève dans la promotion de la paix mondiale.Les invitées partagent également leur vision sur les futurs grands défis du désarmement et l'importance d'un dialogue constant entre les États pour construire une paix durable. Entretien réalisé par Alexandre Carette
Un jour, j'ai dû interrompre ma grossesse J'ai 36 ans. Je suis enceinte. Je vais donner la vie. Suite à la première échographie, je suis forcée d'interrompre ma grossesse à cause d'une anomalie fœtale grave. Je vais donner la mort. J'ai été enceinte pendant 3 mois. C'est l'histoire d'une maternité avortée. D'un amour empêché. C'est l'histoire d'une disparition. D'une apparition désincarnée. De quelque chose qui apparaît en mourant. Pour rompre ce silence, j'ai mené mon enquête. En retraçant mon histoire avec le « presque père », Gianni. En interrogeant d'autres femmes ayant vécu des pertes similaires. J'ai également rencontré des spécialistes afin d'éclairer les zones d'ombre qui entourent la perte d'un enfant. Non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les femmes. Car c'est avant tout une histoire de femmes. Une expérience passée sous silence. Un tabou qui fait l'objet de préjugés. Une absence de mots. Un vide dévastateur. De ce vide est né le désir d'écrire. Pour rendre visible aussi tous les aspects corporels et émotionnels partagés par des milliers de femmes lors du deuil périnatal. Pour partager avec d'autres les textes féministes qui m'ont aidée à traverser l'impensable. Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du Ministère de la Culture. Réalisatrice de documentaires et créatrice sonore, Laure Chatrefou signe des récits intimes pour ARTE Radio, dont Maman, sa femme et moi et L'amour, les hommes et moi. Elle réalise aussi des installations immersives, des films documentaires ou des créations sonores mettant en lumière des pratiques culturelles locales, comme le Debaa de Mayotte, le Fon ker de La Réunion ou les touloulous de Guyane. Ses œuvres sont exposées en France et à l'international, du Mucem à Marseille au Musée d'art moderne de Rabat. Elle collabore également avec le Centre Pompidou et le musée d'arts de Nantes pour la création de podcasts. AvecCaroline Reniche, sage-femme ;Diane de Wailly, psychologue spécialisée dans le diagnostic anténatal et l'accompagnement de femmes et de couples endeuillés ;Lisa Carayon, maîtresse de conférences en droit à l'université Paris spécialiste en droit de la santé, de la famille et des migrations ;Mathilde Lemiesle, autrice et illustratrice de « Mes presques riens » ;Anne Sophie Giraud, chercheuse en anthropologie de la personne, du corps et la parenté. LecturesLudmilla Dabo, Anna Holveck, Perrine Kervran, Agathe Rémi, Sabine Zovighian, Antoine Bault, Chloé Assous-Plunian et Anne Guillou. TémoignagesGianni Fileccia, Alice, Lucie, Axelle, Sophie, Céline, Marine et Cécile. RemerciementsÀ toutes les voix entendues dans le documentaire et à celles qu'on n'entend pas.À Judith Aquien, autrice de Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse (Éditions Payot) ; Emmanuelle Berthiaud, historienne du genre, de l'enfance et de la médecine, autrice de Enceinte. Une histoire de la grossesse entre art et société (Éditions de la Martinière) ; Marc Dupont, Directeur d'hôpital à l'Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Maud Trichet, intervenante en santé sexuelle au planning familial de Nantes ; Félicia Joinau-Zoulovits, Cheffe de service en gynécologie-obstétrique - Hôpital Le Raincy à Montefermeil ; Myriam Gervais, maitresse de cérémonie au crématorium du Père-Lachaise et l'équipe Père-Lachaise ; Sophie Louÿs , sage-femme.À Gianni Fileccia, ma fille Thelma Chatrefou-Fileccia, Sophie et son mari, Justine Weisz, Anne Guillou, Anne-Céline Genevois, Hoang Ngyuen Le, Clarice Guimaraes, Bastien de Sordi, Mina Souchon, Mathilde Guermonprez.Pour tous les précieux conseils, remerciements à Perrine Kervran, Arnaud Forest, Silvain Gire et Chloé Assous-Plunian. Pour aller plus loinLe corps des femmes, Camille Froidevaux Metterie, 2018 ;L'horreur d'un pareil amour, Marguerite Duras, 1976 ;Attendre un enfant après une interruption médicale de grossesse, Diane de Wailly, 2018 ;Trois mois sous silence, Judith Aquien, 2021 ;Enceinte, une histoire de la grossesse, Emmanuelle Berthiaud, 2013 ;Mes presque riens, Mathilde Lemiesle, 2021 (Instagram) ;Lettres à Madame Hanska, Honoré de Balzac, 1846-1850."Mon corps, mes droits ! L'avortement menacé ?", in Penser les droits reproductifs comme un tout : avortement, contraception et accouchement sous X en droit français, Lisa Carayon, 2019. Prise de son, montage : Laure Chatrefou - Texte et voix : Laure Chatrefou - Enregistrements : 2023-2024 - Réalisation, mixage et musique originale : Arnaud Forest - Musique originale et violoncelle : Cécile Lacharme - Musique additionnelle : “Thoughts on Wings” de Timothée Couteau - Illustration : Mathilde Lemiesle - Extrait de film : "Annie Colère" de Blandine Lenoir (2022) - Production : ARTE Radio
Un jour, j'ai dû interrompre ma grossesse J’ai 36 ans. Je suis enceinte. Je vais donner la vie. Suite à la première échographie, je suis forcée d’interrompre ma grossesse à cause d'une anomalie fœtale grave. Je vais donner la mort. J’ai été enceinte pendant 3 mois. C’est l’histoire d’une maternité avortée. D’un amour empêché. C’est l’histoire d’une disparition. D’une apparition désincarnée. De quelque chose qui apparaît en mourant.Pour rompre ce silence, j'ai mené mon enquête. En retraçant mon histoire avec le « presque père », Gianni. En interrogeant d'autres femmes ayant vécu des pertes similaires. J'ai également rencontré des spécialistes afin d'éclairer les zones d'ombre qui entourent la perte d'un enfant. Non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les femmes.Car c’est avant tout une histoire de femmes. Une expérience passée sous silence. Un tabou qui fait l’objet de préjugés. Une absence de mots. Un vide dévastateur. De ce vide est né le désir d’écrire. Pour rendre visible aussi tous les aspects corporels et émotionnels partagés par des milliers de femmes lors du deuil périnatal. Pour partager avec d’autres les textes féministes qui m’ont aidée à traverser l’impensable. Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du Ministère de la Culture.Réalisatrice de documentaires et créatrice sonore, Laure Chatrefou signe des récits intimes pour ARTE Radio, dont Maman, sa femme et moi et L’amour, les hommes et moi. Elle réalise aussi des installations immersives, des films documentaires ou des créations sonores mettant en lumière des pratiques culturelles locales, comme le Debaa de Mayotte, le Fon ker de La Réunion ou les touloulous de Guyane. Ses œuvres sont exposées en France et à l'international, du Mucem à Marseille au Musée d’art moderne de Rabat. Elle collabore également avec le Centre Pompidou et le musée d’arts de Nantes pour la création de podcasts. AvecCaroline Reniche, sage-femme ;Diane de Wailly, psychologue spécialisée dans le diagnostic anténatal et l’accompagnement de femmes et de couples endeuillés ;Lisa Carayon, maîtresse de conférences en droit à l'université Paris spécialiste en droit de la santé, de la famille et des migrations ;Mathilde Lemiesle, autrice et illustratrice de « Mes presques riens » ;Anne Sophie Giraud, chercheuse en anthropologie de la personne, du corps et la parenté.LecturesLudmilla Dabo, Anna Holveck, Perrine Kervran, Agathe Rémi, Sabine Zovighian, Antoine Bault, Chloé Assous-Plunian et Anne Guillou.TémoignagesGianni Fileccia, Alice, Lucie, Axelle, Sophie, Céline, Marine et Cécile.RemerciementsÀ toutes les voix entendues dans le documentaire et à celles qu’on n’entend pas.À Judith Aquien, autrice de Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse (Éditions Payot) ; Emmanuelle Berthiaud, historienne du genre, de l'enfance et de la médecine, autrice de Enceinte. Une histoire de la grossesse entre art et société (Éditions de la Martinière) ; Marc Dupont, Directeur d’hôpital à l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Maud Trichet, intervenante en santé sexuelle au planning familial de Nantes ; Félicia Joinau-Zoulovits, Cheffe de service en gynécologie-obstétrique - Hôpital Le Raincy à Montefermeil ; Myriam Gervais, maitresse de cérémonie au crématorium du Père-Lachaise et l’équipe Père-Lachaise ; Sophie Louÿs , sage-femme.À Gianni Fileccia, ma fille Thelma Chatrefou-Fileccia, Sophie et son mari, Justine Weisz, Anne Guillou, Anne-Céline Genevois, Hoang Ngyuen Le, Clarice Guimaraes, Bastien de Sordi, Mina Souchon, Mathilde Guermonprez.Pour tous les précieux conseils, remerciements à Perrine Kervran, Arnaud Forest, Silvain Gire et Chloé Assous-Plunian.Pour aller plus loinLe corps des femmes, Camille Froidevaux Metterie, 2018 ;L’horreur d’un pareil amour, Marguerite Duras, 1976 ;Attendre un enfant après une interruption médicale de grossesse, Diane de Wailly, 2018 ;Trois mois sous silence, Judith Aquien, 2021 ;Enceinte, une histoire de la grossesse, Emmanuelle Berthiaud, 2013 ;Mes presque riens, Mathilde Lemiesle, 2021 (Instagram) ;Lettres à Madame Hanska, Honoré de Balzac, 1846-1850."Mon corps, mes droits ! L'avortement menacé ?", in Penser les droits reproductifs comme un tout : avortement, contraception et accouchement sous X en droit français, Lisa Carayon, 2019. Prise de son, montage Laure Chatrefou Texte et voix Laure Chatrefou Enregistrements 2023-2024 Réalisation, mixage et musique originale Arnaud Forest Musique originale et violoncelle Cécile Lacharme Musique additionnelle “Thoughts on Wings” de Timothée Couteau Illustration Mathilde Lemiesle Extrait de film "Annie Colère" de Blandine Lenoir (2022) Production ARTE Radio
durée : 00:59:14 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Dans les années 1830-1840, un Genevois nommé Rodolphe Töpffer dessine une dizaine d'"histoires en estampes", drôles et variées. Il vient d'inventer la bande dessinée. Qui sont les précurseurs de la bande dessinée en Europe ? Comment ce genre nouveau naît-il au 19e siècle ? - invités : Thierry Groensteen Historien et théoricien de la bande dessinée
Dans les souvenirs d'enfance de Florian, pas de musique, pas de fêtes, pas d'insouciance – juste des crises, incessantes. D'aussi loin qu'il s'en souvienne, sa mère souffre de gros troubles psychiques – une schizophrénie doublée d'épisodes dépressifs. A 39 ans aujourd'hui, le Genevois raconte ce foyer hautement dysfonctionnel, la violence, la peur, la solitude. Et comment on grandit tant bien que mal au milieu du chaos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mike, plus connu sous le nom d'Eye Attraction, est Suisse et origniaire de la République Démocratique du Congo. Dans cet épisode, il nous parle de ses débuts en tant que photographe, des ses projets personnels et de son départ aux USA. Il cotoye les plus grands artistes et models du moment et son ascension est loin d'être terminée ! Prenez le temps de le découvrir car il a beaucoup de choses à raconter.
Yohan a 21 ans et un avenir radieux lorsqu'une Porsche le fauche sur sa moto, cet après-midi de mars 2009. S'il sort miraculeusement du coma, le Genevois doit tout réapprendre: à boire, à s'habiller, à marcher – mais aussi à vivre avec une fatigue extrême et des problèmes oculaires, séquelles de son grave trauma crânien. Il raconte la colère puis l'acceptation de ce handicap qui ne se voit pas. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Débat entre Sylvain Thévoz, Sylvain Thévoz, député socialiste au Grand Conseil genevois, Alexandre de Senarclens, député PLR au Grand conseil genevois, et Irène Herrmann, professeure en histoire transnationale de la Suisse à l'UNIGE.
La Suisse est bien connue pour son chocolat et pour ses montres. La précision des mécanismes et l'élégance des modèles fait depuis des siècles la réputation des horlogers helvétiques.Mais à quand remonte cette tradition horlogère ? On la doit à Jean Calvin qui, avec Luther, est l'un des principaux artisans de la Réforme protestante.Chassé de France pour ses idées, Calvin s'installe à Genève en 1536. Il a, dès le début de son séjour, une grande influence sur les institutions et les habitants de la ville, déjà gagnée à la Réforme.En effet, Calvin joue un grand rôle dans la réforme de l'Église genevoise et fait régner une véritable terreur sur la ville.Des montres à la place des bijouxCalvin est un puritain dans l'âme. Il a une vision très rigoriste des mœurs que, selon lui, doivent adopter ses concitoyens. De ce fait, il ne s'occupe pas que du dogme et de l'organisation de l'Église, il régente aussi la vie quotidienne.Ainsi, il bannit les fêtes et les réjouissances et prescrit aux Genevois de porter un costume modeste, où le noir domine. Bien entendu, les bijoux et autres colifichets sont interdits, car ils peuvent induire des tentations coupables.Les habitants se plient d'autant plus à ces ukases qu'ils font l'objet d'une surveillance constante. Mais, bien entendu, toutes ces restrictions provoqyuent la consternation parmi certains corps de métier.C'est le cas des cafetiers, mais aussi des orfèvres et des joailliers. Vont-ils devoir meettre la clef sous la porte ? Pour éviter la ruine, une idée leur vient : pour remplacer les bijoux, pourquoi ne fabriqueraient-ils pas des montres et des horloges ?Aussitôt dit aussitôt fait. Les orfèvres genevois se reconvertissent dans l'horlogrie dès le début des années 1540. Et ils se mettent si bien au travail que leur réputation grandit rapidement et franchit même les frontières un demi-siècle plus tard.Et, à la fin du XVIIe siècle, de nombreux horlogers français, chassés par la Révocation de l'édit de Nantes, s'établissent en Suisse et apportent leur savoir-faire à une industrie horlogère qui, décidément, doit beaucoup à la France. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Suisse est bien connue pour son chocolat et pour ses montres. La précision des mécanismes et l'élégance des modèles fait depuis des siècles la réputation des horlogers helvétiques. Mais à quand remonte cette tradition horlogère ? On la doit à Jean Calvin qui, avec Luther, est l'un des principaux artisans de la Réforme protestante. Chassé de France pour ses idées, Calvin s'installe à Genève en 1536. Il a, dès le début de son séjour, une grande influence sur les institutions et les habitants de la ville, déjà gagnée à la Réforme. En effet, Calvin joue un grand rôle dans la réforme de l'Église genevoise et fait régner une véritable terreur sur la ville. Des montres à la place des bijoux Calvin est un puritain dans l'âme. Il a une vision très rigoriste des mœurs que, selon lui, doivent adopter ses concitoyens. De ce fait, il ne s'occupe pas que du dogme et de l'organisation de l'Église, il régente aussi la vie quotidienne. Ainsi, il bannit les fêtes et les réjouissances et prescrit aux Genevois de porter un costume modeste, où le noir domine. Bien entendu, les bijoux et autres colifichets sont interdits, car ils peuvent induire des tentations coupables. Les habitants se plient d'autant plus à ces ukases qu'ils font l'objet d'une surveillance constante. Mais, bien entendu, toutes ces restrictions provoqyuent la consternation parmi certains corps de métier. C'est le cas des cafetiers, mais aussi des orfèvres et des joailliers. Vont-ils devoir meettre la clef sous la porte ? Pour éviter la ruine, une idée leur vient : pour remplacer les bijoux, pourquoi ne fabriqueraient-ils pas des montres et des horloges ? Aussitôt dit aussitôt fait. Les orfèvres genevois se reconvertissent dans l'horlogrie dès le début des années 1540. Et ils se mettent si bien au travail que leur réputation grandit rapidement et franchit même les frontières un demi-siècle plus tard. Et, à la fin du XVIIe siècle, de nombreux horlogers français, chassés par la Révocation de l'édit de Nantes, s'établissent en Suisse et apportent leur savoir-faire à une industrie horlogère qui, décidément, doit beaucoup à la France. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices