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Eya est Tunisienne, Musulmane, voyage seule et a fait le choix de quitter la Tunisie pour venir en France.J'ai eu la chance de la rencontrer en janvier, son parcours m'inspire énormément. C'est un échange entre deux voyageuses solitaires, venant de cultures différentes, qui ont fait des choix de vies inverses et pourtant très similaires.Merci à Eya pour ce qu'elle inspire et pour le partage :)Et si tu tombes sur cet épisode par le beau fruit du hasard,rejoins moi sur instagram: @sarah_lpgEmbarque avec moi, et c'est parti!Musique d'introduction et de conclusion:Flight by LiQWYD / liqwyd Creative Commons — Attribution 3.0 Unported — CC BY 3.0 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pekodjinn est un producteur genevois dʹorigine Tunisienne dont le dernier album, sorti en fin dʹannée dernière, se nomme TN Tape. Il sera sur une des scènes du festival Antigel en tant que Dj lors de la soirée du 21 février au Grand Central. Par Michel Ndeze.
Plusieurs dizaines de manifestants se sont rassemblés à Tunis pour réclamer la libération des opposants et protester contre la politique du président Kais Saied, au 14e anniversaire de la révolution de 2011 et de la chute du dictateur Ben Ali. Les manifestations incessantes à partir du 17 décembre 2010 qui firent fuir le dictateur Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier, marquent le début des Printemps arabes.
Samedi 17 septembre 2022, le corps de Romain Pizzato, un Français de 42 ans, est retrouvé sans vie dans une piscine à Djerba, en Tunisie. Cet entraîneur de ski de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence) s'était fiancé discrètement quelques mois auparavant à Samar, une Tunisienne de 26 ans rencontrée dans un hôtel de l'île.La jeune femme est aujourd'hui soupçonnée du crime, ainsi que deux complices présumés. Le trio comparaît devant la justice tunisienne depuis le mois d'octobre. La mère de la victime, présente à l'audience et qui n'avait jamais vu la fiancée de son fils auparavant, se bat pour faire éclater « la vérité ».Cet épisode de Code source est raconté par Nicolas Jacquard, journaliste au service police-justice du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis son plus jeune âge, Samyra sait au fond d'elle qu'elle est une femme. Cependant, sa décision de commencer une transition hormonale est venue bien plus tard dans sa vie. Ce cheminement a été rendu possible grâce à sa foi, au soutien de ses parents et à des rencontres marquantes qui l'ont aidée à s'accepter pleinement. Dans cet épisode, Samyra explique comment elle a franchit ce cap pour enfin vivre en accord avec son identité, prête à embrasser sa vie de femme avec confiance et sérénité. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Personne ne l'attendait. En 2019, Kaïs Saïed, professeur de droit spécialiste de la Constitution en Tunise remporte l'élection présidentielle, avec plus de 70 % des voix. Un raz-de-marée, pour cet homme sans parti ni expérience politique.Sa popularité, il la doit à ses nombreuses interventions dans les médias depuis la révolution tunisienne de 2011, où il défend sa vision radicale de la démocratie : participative et décentralisée. Mais aussi à son statut d'outsider. Dans un pays en proie à l'instabilité politique et économique, les électeurs ne font plus confiance aux partis traditionnels, qu'ils jugent corrompus. Kaïs Saïed impose alors son image d'homme droit, antisystème, qui va rendre le pouvoir au peuple.Mais deux ans après son élection, le ton change : en 2021 il limoge son gouvernement, suspend les activités du Parlement et s'arroge les pleins pouvoirs. Un an plus tard, il enterre la Constitution tunisienne de 2014, qui avait été le fruit d'un long processus de transition démocratique. Depuis, il s'emploie à verrouiller les institutions et museler toute opposition politique. Treize ans après les printemps arabes, qui avaient pourtant commencé en Tunisie, le pays est à nouveau dans un régime autoritaire.Dans cet épisode de « L'Heure du Monde », Monia Ben Hamadi, correspondante du Monde en Tunisie brosse le portrait de l'insaisissable Kaïs Saïed, le fossoyeur de la jeune démocratie tunisienne.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zheng. Musiques : Amandine Robillard. Suivi éditorial : Adèle Ponticelli. Présentation : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait de l'émission « Al Zelzel » de Mosaïque FM de juillet 2013, extrait du journal de France 24 du 11 mai 2024.Episode diffusé le 11 octobre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Croissance en berne, chômage qui ne baisse pas et balance commerciale dans le rouge, l'économie tunisienne est en souffrance avant une élection présidentielle organisée dans un contexte tendu. La dette tunisienne est colossale - environ 80% du PIB. C'est difficilement soutenable surtout pour un pays qui est très dépendant de l'extérieur. Tunis peine à régler ses importations, ce qui provoque une paralysie de sa production et des pénuries à répétition de blé, riz, farine par exemple.Le pays s'appuie essentiellement sur les prêts et les plans de sauvetage. « C'est une économie de prédation, une économie de rente, une économie sans production qui vit sur les financements extérieurs. Cette économie-là ne peut plus survivre aux changements internationaux », explique Majid Bouden avocat de nationalité française et tunisienne.À lire aussiEn Tunisie, la colère des pêcheurs et des transporteursJeunesse désabuséeUne économie à l'arrêt qui a poussé des milliers de tunisiens à manifester notamment pour dénoncer le jeu trouble du président Kaïs Saïed. D'un côté, il répète refuser de se soumettre aux « diktats étrangers ». D'un autre son gouvernement construit le budget de l'État chaque année en fonction des aides et des prêts venus de l'étranger - Arabie Saoudite, Union européenne par exemple - et des institutions financières internationales.Au final, le plan de 1,9 milliard de dollars négocié avec le Fonds monétaire international (FMI) est gelé. La population inquiète pour l'avenir économique du pays. Un des signaux, c'est cette jeunesse tunisienne qui cherche à partir à l'étranger. Sept jeunes tunisiens sur dix souhaitent émigrer selon une enquête du réseau de recherche Arab Barometer publié en août. Et les raisons sont principalement économiques.Le chômage des jeunes explose - près de 40% au premier trimestre de cette année. Aucune amélioration n'est constatée ou attendue à court ou moyen terme. Selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), près de 18 000 Tunisiens sont arrivés en Europe l'année dernière.À lire aussiJournée internationale de la jeunesse: en Tunisie, les jeunes toujours plus désabusés Des start-ups innovantes et performantesS'il y avait un motif d'espoir, il pourrait justement venir de la jeunesse. Des jeunes à la tête de start-ups innovantes, dans l'intelligence artificielle entre autres. Et qui s'invitent dans les marchés mondiaux. La Tunisie est le pays africain qui a le plus investi en France pour 2023 avec dix-neuf projets et 361 emplois créés. Un entreprenariat qui pourrait s'imposer dans une économie nationale cadenassée par le pouvoir selon Majid Bouden : « Les jeunes font leur travail depuis la Tunisie mais ont leurs revenus à l'extérieur. Ils rapatrient cet argent en Tunisie. Ce modèle-là, à un moment donné, va être plus fort que le carcan qu'instaure la gouvernance tunisienne ».Les recettes en devises générées par les Tunisiens résidant à l'étranger permettraient d'engranger plus de 10 milliards de dinars cette année. En augmentation constante depuis 2011. Ces Tunisiens expatriés n'envoient pas plus d'argent au pays, ils sont simplement plus nombreux à être partis, près d'un demi million en 13 ans.
Elle est la première en Tunisie à avoir été nommée deux fois aux Oscars. D'abord en 2021, pour son film, L'homme qui a vendu sa peau, puis cette année pour le meilleur documentaire étranger pour Les filles d'Olfa, qui a reçu plus de 22 prix, dont le César du meilleur documentaire. Le cinéma de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania s'intéresse beaucoup aux sujets féminins : « je parle des sujets que je connais le mieux », explique celle qui a écrit et réalisé une dizaine de films. Deuxième épisode de notre série de portraits sur des cinéastes africaines.Passionnée depuis toute jeune par la littérature, Kaouther Ben Hania rêvait de devenir romancière. Le cinéma, elle l'a découvert sur le tard. La lauréate du César du meilleur documentaire s'ennuyait en faisant des études de commerce à Tunis, elle s'inscrit donc à un atelier où étudiants et travailleurs viennent s'essayer à faire des films les weekends. Il s'agit de la Fédération tunisienne des cinéastes amateurs : « Quand j'ai rejoint cette Fédération, je me suis dit : c'est ce que j'ai envie de faire en réalité. Pas juste le weekend, mais toute la vie. » Puis elle étudie le cinéma à Paris, à la Fémis et à la Sorbonne Nouvelle.Étudiante déjà, elle rêvait de le rester éternellement : « Je suis extrêmement intéressée par les choses que je ne comprends pas. D'ailleurs, quand je fais un film, c'est pour comprendre. J'adore apprendre et je pense que ce n'est pas par hasard que j'ai choisi ce métier. Parce qu'avec la réalisation, chaque nouveau projet est un terrain de recherche, de construction, de réflexion, et d'apprentissage, explique-t-elle. Donc mon regard est à la fois construit, mais à la fois très naïf. J'ai besoin de cette fraicheur et de cette naïveté pour recevoir le monde, le comprendre et ensuite le structurer. »Une réalisatrice de films non conventionnelsKaouthar Ben Hania s'est attaquée au documentaire, au faux documentaire et à la fiction. Elle prépare actuellement son prochain film : « En traversant ces genres et ces sous-genres, en arrivant à la fabrication des Filles d'Olfa, j'ai pu en fait bénéficier d'une certaine expérience, d'une certaine maturité qui m'a permise de me lancer dans ce projet qui est assez complexe. » Pourtant, le succès de son film ne signifie pas moins de pression pour le suivant, c'est même le contraire : « Ce succès en réalité me met la pression, ce n'est jamais facile, à chaque fois, on a l'impression que l'on recommence de zéro, on reprend tout, c'est une autre histoire, un autre univers. Il faut convaincre, même au niveau du financement. Cela ne suit pas forcément, parce que je fais des films non conventionnels. » Faire des films, pour elle, c'est donner un sens à ce monde : « Ce que j'ai découvert avec le documentaire au début, et ensuite avec la fiction, c'est qu'on peut donner un sens à ce monde. Je pense qu'on fait des films, parce qu'on vit dans un monde chaotique où on est tout le temps à la recherche d'un sens, on peut faire une proposition qui dit : "Voilà comment je regarde les choses", cela nous donne cette possibilité de mettre de l'ordre dans le monde et de lui donner du sens. Et de partager cette proposition avec le spectateur. » Plus que de donner un sens au monde, tourner Les filles d'Olfa était, pour Kaouther Ben Hania, une thérapie. À lire aussiLa réalisatrice Maïmouna Doucouré : « Passer par le cœur, pour atteindre l'esprit » [1/4]
Merci à Salim !
Vingt-six athlètes tunisiens sont en lice pour les JO 2024, la moitié sont des femmes et une en particulier se démarque par sa détermination. Khadija Krimi, 28 ans, dispute les épreuves d'aviron couple poids légers avec sa coéquipière Selma Dhaouadi, qui s'entraîne en France. Pour ses troisièmes Jeux olympiques, Khadija Krimi mise sur sa maturité sportive et sa résilience. Notre correspondante en Tunisie l'a rencontrée. À lire aussiJO 2024: l'escrime, une affaire de famille pour les Ferjani, cousins tunisiens
Vingt-six athlètes tunisiens sont en lice pour les JO 2024, la moitié sont des femmes et une en particulier se démarque par sa détermination. Khadija Krimi, 28 ans, dispute les épreuves d'aviron couple poids légers avec sa coéquipière Selma Dhaouadi, qui s'entraîne en France. Pour ses troisièmes Jeux olympiques, Khadija Krimi mise sur sa maturité sportive et sa résilience. Notre correspondante en Tunisie l'a rencontrée. À lire aussiJO 2024: l'escrime, une affaire de famille pour les Ferjani, cousins tunisiens
À Mahdia, ville côtière située à environ 200 kilomètres de la capitale Tunis, a commencé l'aventure Skila, une marque tunisienne qui commercialise des écharpes de soie faites main. L'entreprise, pilotée par Hassine Labaied, le créateur de la marque, plaide pour une révolution du « made in Tunisia » et pour faire évoluer l'image de l'artisanat tunisien. De notre envoyée spéciale à Mahdia,Vendredi, jour de grande prière et de marché. C'est dans les ruelles de Mahdia qu'il aime tant que Hassine Labaied donne rendez-vous. « On est au cœur de Mahdia, pointe-t-il. Mahdia a toujours été connue comme la capitale de la soie, il y a tout un savoir-faire qui est venu de l'Orient, du Yémen, de l'Irak, de la Syrie. »Contrairement aux apparences, Hassine Labaied n'est pas guide touristique, mais entrepreneur, ancien banquier d'affaires et fondateur de la marque Skila. À Skila Lab et Skila Gallery, le visiteur se retrouve devant un métier à tisser. « Parfois, pour un petit peu taquiner les visiteurs, on leur dit : "Ça, ce n'est pas du fait main, non, c'est du fait main et fait pied" », plaisante-t-il.Trente mille écharpes sortent de ces ateliers chaque année. Une dizaine d'heures de travail et jusqu'à neuf kilomètres de soie sont nécessaires pour fabriquer une écharpe. « Les nuances, le nombre de couleurs est illimité », détaille encore Hassine Labaied. La quinzaine d'artisans qu'il emploie ne chôment pas.« Le modèle Macron »En 2018, en voyage officiel en Tunisie, le président français Emmanuel Macron s'affiche avec une écharpe de chez Skila. Une aubaine inattendue pour la marque tunisienne. « Il a fait pas mal de réunions en portant cette écharpe-là et tout le monde faisait des selfies. Cela nous a fait évidemment beaucoup de pub, se réjouit-il. L'anecdote, c'est que juste après, on était envahis par les touristes chinois qui venaient à la boutique et à l'entrée, ils disaient : "Il est où le modèle Macron ?" Et ils achetaient le même modèle en série. »Avec des clients à Dubaï, aux États-Unis ou encore au Japon, Skila veut montrer que le « made in Tunisia » peut se faire une place dans le monde du luxe. Cependant, s'imposer sur ce secteur n'est pas simple. « Cela prend du temps parce qu'on est perçu comme un pays de sous-traitance : textile, mécanique, industrielle… Où la valeur ajoutée malheureusement n'est que dans la main d'œuvre compétitive », témoigne le fondateur de Skila. Mais il ne désespère pas : « On est en train de percer petit à petit, ça prend du temps, on n'est pas pressés. »Aujourd'hui, 85% des écharpes fabriquées dans les ateliers de Skila sont vendues en Tunisie. Sept ans après son lancement et pour accélérer sa croissance à l'international, l'entreprise née à Mahdia travaille sur l'ouverture d'une toute première boutique à Paris.À lire aussiTunisie: une exposition qui célèbre l'histoire du textile traditionnel
De nombreux migrants ont été arrêtés dans plusieurs villes tunisiennes la semaine dernière. Une politique migratoire qui préoccupe au plus haut niveau, l'ONU a déclaré vendredi s'inquiéter de l'augmentation des discours xénophobes et des exactions commises contre les migrants ces derniers mois. Au Soudan, le conflit a paralysé le système de santé du pays avec près de 80% des hôpitaux hors service alors que deux tiers de la population n'a pas accès au soins. Enfin nous allons à la rencontre de Sona Jobarteh talentueuse joueuse de Kora. L'artiste gambienne a ouvert en 2015 la Gambia Academy pour former une nouvelle génération de musiciens.
Salut l'équipe pour le 45e épisode on se retrouve AU COEUR DU JEU avec Faïssal Mannaï. Beaucoup de jeunes rêvent, mais rares sont ceux qui osent annoncer leur ambition. Faïssal ne s'en est jamais caché : il a toujours rêvé de gagner le Ballon d'Or et ce, même quand il a fait ses débuts en senior à 18 ans, en D2 !! Avec le temps il a pris en maturité, mais c'est surtout grâce à son ambition et son mental à toutes épreuves qu'il a réussi porté les couleurs de son pays : la Tunisie. Un itinéraire atypique et improbable, mais dans lequel n'importe qui pourra se reconnaître ! BIENVENUE AU COEUR DU JEU
L'émission 28 Minutes du 14/05/2024 Jérémy Ferrari, l'enfant terrible de l'humour noir, fait école La couleur de Jérémy Ferrari : le noir. Comme les tenues qu'il arbore sur scène ; comme son humour, particulièrement grinçant ; ou comme ses humeurs, qui l'ont conduit à faire une tentative de suicide et à tomber dans l'alcoolisme. Avant d'être révélé au public dans l'émission de Laurent Ruquier “On n'demande qu'à en rire”, l'humoriste grandit à Charleville-Mézières, dans les Ardennes. Fils de commerçants, élève dissipé, adolescent renfrogné : Jérémy Ferrari quitte très tôt le système scolaire pour découvrir le théâtre. Il remplit aujourd'hui des salles comme l'Accor Arena de Paris. Sa dernière tournée, longue de cinq ans : celle de son spectacle “Anesthésie générale”, trois heures consacrées au système médical et hospitalier français. “J'ai développé très tôt une colère contre les aberrations de la société [...], mais aussi une curiosité pour essayer d'en comprendre les rouages et les dénoncer.” En parallèle, il lance une école du rire, l'ESAR — École supérieure des arts du rire — un projet pour construire “l'école de [ses] rêves”, et est à l'affiche du film “Roqya”, en salle le 14 mai. Jérémy Ferrari est notre invité. Répression en Tunisie : 13 ans après, que reste-t-il de la Révolution tunisienne ? Borhen Bssais et Mourad Zeghidi, chroniqueurs de radio et télévision, placés en détention pour “fausses informations dans le but de diffamer autrui ou porter atteinte à sa réputation” ; Sonia Dahmani, avocate, brutalement arrêtée samedi 11 mai et filmée en direct par France 24… Un peu plus de treize ans après la révolution du Jasmin, la démocratie tunisienne paraît bien mal en point. Selon le syndicat national des journalistes tunisiens, plus de soixante personnes — journalistes, avocats, opposants — ont fait l'objet de poursuites judiciaires depuis la promulgation d'une loi visant à réprimer la diffusion de “fausses nouvelles” il y a un an et demi. Une énième entorse aux libertés publiques, lesquelles n'en finissent plus d'être grignotées depuis l'arrivée au pouvoir de Kaïs Saïed en 2019 — alors que rien ne semblait le prédestiner à suivre les traces de son prédécesseur Ben Ali. Devenue anti-réfugiés, confrontée à une crise socio-économique importante, la Tunisie a pris un virage autoritaire. Que reste-t-il de la révolution du Jasmin ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Marie Bonnisseau ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 14 mai 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 14/05/2024 Répression en Tunisie : 13 ans après, que reste-t-il de la Révolution tunisienne ? Borhen Bssais et Mourad Zeghidi, chroniqueurs de radio et télévision, placés en détention pour “fausses informations dans le but de diffamer autrui ou porter atteinte à sa réputation” ; Sonia Dahmani, avocate, brutalement arrêtée samedi 11 mai et filmée en direct par France 24… Un peu plus de treize ans après la révolution du Jasmin, la démocratie tunisienne paraît bien mal en point. Selon le syndicat national des journalistes tunisiens, plus de soixante personnes — journalistes, avocats, opposants — ont fait l'objet de poursuites judiciaires depuis la promulgation d'une loi visant à réprimer la diffusion de “fausses nouvelles” il y a un an et demi. Une énième entorse aux libertés publiques, lesquelles n'en finissent plus d'être grignotées depuis l'arrivée au pouvoir de Kaïs Saïed en 2019 — alors que rien ne semblait le prédestiner à suivre les traces de son prédécesseur Ben Ali. Devenue anti-réfugiés, confrontée à une crise socio-économique importante, la Tunisie a pris un virage autoritaire. Que reste-t-il de la révolution du Jasmin ? Nos invités en débattent. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 14 mai 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
DigiClub spécial MWC 2024 (Ep4): le futur de la Poste tunisienne et l'initiative de l'IUT sur l'IA
Chaque samedi, Laurent Mariotte et son invité vous livrent conseils, trucs et astuces autour de la gastronomie et l'alimentation. Un éclairage utile sur l'art du bien-manger. Aujourd'hui, tout savoir sur la cuisine Nord africaine et juive tunisienne avec nos invités Norbert Saada et Aurélie Saada.
27 octobre 2023 - Rencontre avec Mohamed-Chérif Ferjani, professeur honoraire de l'Université Lyon 2, Hatem Nafti, journaliste et essayiste. Modération: Jean-Paul Chagnollaud, président de l'iReMMO. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/0taTiK3St1U Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
ASCENDANCELe podcast des histoires de famille.Bonjour, et bienvenue sur ce nouvel épisode de « Carnet de reco' » !Le format « bonus » qui sort chaque mois entre chaque épisode d'Ascendance, où je vous parle d'une œuvre culturelle reprenant à différents degrés et points de vue les thèmes signatures du podcast : la transmission, les histoires familiales, la mémoire.Aujourd'hui je vais vous parler d'un film documentaire unique en son genre, sorti cet été 2023, réalisé par Kaouther Ben Hania : Les Filles d'Olfa. La vie d'Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscille entre ombre et lumière. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l'histoire d'Olfa et ses filles.Je vous souhaite une bonne écoute !Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à le dire avec des étoiles, ou un commentaire !Instagram du podcast : https://www.instagram.com/ascendance.podcast/A bientôt sur Ascendance, et prenez soin de vous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La 6e joueuse mondiale affronte la Tchèque Marketa Vondrousova en finale de Wimbledon. Une troisième finale de Grand Chelem pour Jabeur, la Tunisienne, battue à deux reprises en finale d'un tournoi majeur l'an passé.
14 jeunes provenant de 7 pays méditerranéens ont suivi pendant huit mois une formation innovante pour les aider à développer leur projet et à prendre conscience de leur destin commun. Invités : - Camélia Barbachi, Franco-Tunisienne, styliste et fondatrice de la marque éthique et inclusive Chez nous- Camilla Morelli, Italienne, styliste, fondatrice de la marque Camoz qui recycle les voiles de bateau - Meriem Aouadi, Tunisienne, fondatrice de Pontalent, une association qui incite les stylistes tunisiens à pratiquer l'upcycling à partir des surplus de vêtements importés - Henri Flamand, responsable des opérations Afrique du Nord, Moyen-Orient et Afrique de l'Ouest de l'incubateur d'entreprise à impact social et environnemental Inco - Martin Serralta, prospectiviste à l'Institut des Futurs Souhaitables. Cette émission a été réalisée avec le soutien du campus de l'AFD.
14 jeunes provenant de 7 pays méditerranéens ont suivi pendant huit mois une formation innovante pour les aider à développer leur projet et à prendre conscience de leur destin commun. Invités : - Camélia Barbachi, Franco-Tunisienne, styliste et fondatrice de la marque éthique et inclusive Chez nous- Camilla Morelli, Italienne, styliste, fondatrice de la marque Camoz qui recycle les voiles de bateau - Meriem Aouadi, Tunisienne, fondatrice de Pontalent, une association qui incite les stylistes tunisiens à pratiquer l'upcycling à partir des surplus de vêtements importés - Henri Flamand, responsable des opérations Afrique du Nord, Moyen-Orient et Afrique de l'Ouest de l'incubateur d'entreprise à impact social et environnemental Inco - Martin Serralta, prospectiviste à l'Institut des Futurs Souhaitables. Cette émission a été réalisée avec le soutien du campus de l'AFD.
14 jeunes provenant de 7 pays méditerranéens ont suivi pendant huit mois une formation innovante pour les aider à développer leur projet et à prendre conscience de leur destin commun. Invités : - Sarah Marniesse, directrice du Campus AFD - Karim Brouri, Algérien, co-fondateur deAkoma, une start-up de compensation carbone - Hend Aouini, Tunisienne, fondatrice de Alguaplast qui commercialise des billes de plastique à base d'algues biodégradables en trois semaines- Issa Ndjamira, Mauritanien, fondateur d'Energy Citoyens qui vise à développer l'énergie solaire en milieu rural. Cette émission a été réalisée avec le soutien du campus de l'AFD.
14 jeunes provenant de 7 pays méditerranéens ont suivi pendant huit mois une formation innovante pour les aider à développer leur projet et à prendre conscience de leur destin commun. Invités : - Sarah Marniesse, directrice du Campus AFD - Karim Brouri, Algérien, co-fondateur deAkoma, une start-up de compensation carbone - Hend Aouini, Tunisienne, fondatrice de Alguaplast qui commercialise des billes de plastique à base d'algues biodégradables en trois semaines- Issa Ndjamira, Mauritanien, fondateur d'Energy Citoyens qui vise à développer l'énergie solaire en milieu rural. Cette émission a été réalisée avec le soutien du campus de l'AFD.
Merci à Salim !
Quand le cinéma déjoue les clichés et montre des jeunes Tunisiennes rurales, modernes et connectées dans une région tunisienne conservatrice : c'est le cas du film « Sous les figues », qui sort ce mercredi 7 novembre en salles. C'est le premier long métrage de fiction d'une réalisatrice autodidacte, la Franco-Tunisienne Erige Sehiri. Et depuis sa sélection à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes, il remporte des trophées. Comme dernièrement avec le Tanit d'argent aux Journées cinématographiques de Carthage.
Quand le cinéma déjoue les clichés et montre des jeunes Tunisiennes rurales, modernes et connectées dans une région tunisienne conservatrice : c'est le cas du film « Sous les figues », qui sort ce mercredi 7 novembre en salles. C'est le premier long métrage de fiction d'une réalisatrice autodidacte, la Franco-Tunisienne Erige Sehiri. Et depuis sa sélection à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes, il remporte des trophées. Comme dernièrement avec le Tanit d'argent aux Journées cinématographiques de Carthage.
RTL vous Régale termine cette Semaine du Goût (fin dimanche 16 août) avec les incontournables épices ! Véritable compositeur d'épices, Le Chef Olivier Roellinger, nous fera voyager dans sa partition d'algues et d'épices Habib Bahri de l'épicerie en ligne bababahri.com nous raconte les piments de son exploitation en Tunisie et nous dévoilera les secrets de la harissa maison, chaque famille Tunisienne a sa propre recette ! Louise nous régale : Les Saint-Jacques sont au menu et Mathieu Aumont - chef étoilé Restaurant Aux Pesked à Saint-Brieuc nous livrera sa recette de coquilles Saint-Jacques aux épices Ecoutez RTL vous régale avec Jean-Sébastien Petitdemange, Jean-Michel Zecca et Louise Petitrenaud du 15 octobre 2022
Dans cet extrait de l'épisode 136 de DigiClub powered by Topnet et Huawei Technologies, nous avons invité Ahmed Amine Azzouzi, CEO du nouveau média digital et décalé "QLM". Pourquoi s'est il lancé dans cette aventure dans un marché en crise et quelle est sa stratégie pour faire sortir son média du lot et gagner de l'audience et des investissements publicitaires ? Animation : Walid Naffati Producteur : Walid Naffati Ingénieur son : Ghazi Neffati Habillage sonnore : Dorsaf Kortobi
L'émission qui dit tout haut ce que le monde du foot pense tout bas ! Cette année, l' « After Foot » fête ses 16 ans et propose un choc des générations ! Composée de ceux qui ont grandi avec l'After, la « Génération After » prendra les commandes de l'émission entre 20h et 22h. Avec Nicolas Jamain aux manettes, entouré de Kévin Diaz, Mathieu Bodmer, Walid Acherchour, Simon Dutin, Romain Canuti et Sofiane Zouaoui, cette nouvelle génération débattra avec passion, mais toujours en conservant les convictions et les codes de l'After. De 22h à minuit, place à la version originelle et historique de l'After autour de Gilbert Brisbois, Daniel Riolo, Stéphane Guy, et Florent Gautreau. Les soirs de Ligue des Champions, Jérôme Rothen rejoindra la bande pour les matchs du PSG et Mamadou Niang pour les matchs de l'OM. Nicolas Vilas sera aux commandes pour faire vivre les matchs dans l'After Live. Cette année, Thibaut Giangrande pilotera l' « After Foot » le vendredi et samedi. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h30-8h30), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
MY CREATIVE CLASS - Pour participer à l'atelier gratuit du 8-12 août, vous pouvez inscrire votre enfant en suivant ce lien. Hello et Bienvenue sur le podcast Expat Families.Cette semaine, on accueille Olfa au micro.Olfa est une maman tunisienne qui vit a Kigali au Rwanda depuis tout juste deux ans.Dans cet épisode, on revient ensemble sur leur arrivée en famille dans ce pays considéré comme la mini Suisse d'Afrique. Je ne vous en dis pas plus et je vous laisse découvrir le témoignage d'Olfa qui devrait certainement se faire rémunérer par l'office du tourisme pour partager avec autant d'engouement et d'authenticité son expatriation dans ce pays si atypique. On vous souhaite une excellente écoute.Music by Twisterium from PixabayDo Fathers or The Absence Of Impact Lives?We have humorous way to discuss this serious factor with diverse guests.Listen on: Apple Podcasts Spotify Smells Like HumansLike spending time with funny friends talking about curious human behavior. Listen on: Apple Podcasts SpotifyMY CREATIVE CLASS - Pour participer à l'atelier gratuit du 8-12 août, vous pouvez inscrire votre enfant en suivant ce lien. Support the show
Dans cet épisode de DigiClub N°133 sponsorisé par Topnet et Huawei Technology, nous avons accompagné la délégation tunisienne qui s'est deplacée à Abidjan, Côte d'Ivoire, à l'occasion de la 6ème édition de salon Sitic Africa. Une douzaine de startups ainsi que plusieurs entreprises étatitiques et privées tunisiennes ont participé à l'évènement. Voici notre couverture. Producteur et animateur : Walid Naffati Son et mixage : Ghazi Neffati
Les têtes d'affiche de Denise Epoté de TV5Monde, comme chaque dimanche sur RFI, avec Assane Diop. Au menu : deux frères camerounais Serge et Philippe Boupda ont créé une plateforme de transactions financières pour faciliter la vie des commerçants. Et l'ingénieure tunisienne Amira Cheniour, qui entend repousser les frontières de l'innovation pour une agriculture 4.0.
Medusa Tn est une rappeuse tunisienne qui s'est faite connaître pendant le printemps arabe avec son titre ‘Tounsiya Fière De L'être'. Aujourd'hui elle habite en Île-de-France où elle poursuit ses études d'ingénieur.Initialement elle a voulu rapper pour donner le point de vue d'une femme tunisienne dans un contexte où il n'y avait que des rappeurs hommes. Elle aborde des sujets politiques et sociaux mais toujours d'un point de vue féministe. Son message et ses chansons sont devenus un porte voix pour beaucoup de femmes dans le monde arabe, en particulier pendant le printemps arabe.Medusa n'a pas froid aux yeux : elle a notamment créé un flash mob avec une association de défense du droit à l'avortement des femmes en Tunisie dans un contexte politique difficile et dangereux.Medusa est aussi maman et passionnée par les nouvelles technologies. Tout en poursuivant ses études d'ingénieur, elle continue la scène et travaille sur un nouvel album.Le message qu'elle voudrait faire passer aux femmes est d'être unies dans leur féminisme et d'arracher leur place, ce qu'elle a fait avec un courage exceptionnel à découvrir dans son interview!Je serai ravie de savoir ce que vous pensez de cet épisode et de répondre à vos questions éventuelles. Vous pouvez me trouver sur Linkedin, la page Brave New Women de Facebook ou sur mon site web.Cecilia PoullainFondatrice de Brave New WomenCoach - pour que les femmes trouvent leurs voixwww.ceciliapoullain.comMusique : Stephen Marquis https://songsta.com.auMontage : Talal BourokiCecilia PoullainFounder of Brave New WomenCoach - Empowering Women to Find their Voice
durée : 00:32:22 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - .
Cette semaine, Les Têtes d'affiche de Denise Epoté sont Esther Brou-Kouakou, une Ivoirienne qui propose une application pour mieux éduquer les citoyens de demain et Fatma M'Barek, une entrepreneuse tunisienne dans l'agroalimentaire qui lutte contre la malnutrition.
Un set réalisé depuis les hauteurs de Tunis à écouter et à honorer sur les pistes de danse. En direct de la Fabrique Art Studio en plein coeur de la capitale, la DJ Missy Ness propose une fusion rap, électro, musique traditionnelle et sonorité reggae tout en nous faisant découvrir la scène locale avec le collectif Erkez Hip Hop de Debo ou des artistes émergents comme Skinnypee. À noter que Missy Ness vous donne rendez-vous le 25 février prochain au Petit Bain, en soutien à l'association ANKH qui défend la communauté LGBTQI+ issue des pays arabes. Une mixtape consacrée à la scène hip-hop du monde arabe est également en préparation. Tunisienne d'origine, enfant du 18ème arrondissement de Paris, Missy Ness est l'une des premières représentantes féminines du deejaying en Tunisie et en est un élément important de la scène underground. TracklistLobna Noomen - KEB EL-FOULARAStxve Abidov - COUSCOUS CONNEXION4lfa, Ktyb, Mahdi Machfar - FOOLPhenix - PHOBAVipa - TROUCHKIKSkinnypee - YGATER (w/ Choubayla Rached)Tiga Black'Na - NHAR W LILShvdy, Baya - KEN NSITRise Of A Gang - GA3DA NSAFIW (w/ Ktyb & Koast)Skinnypee - ITAW GPaza Man - SOLDIERVipa - TOZErkez Hip-Hop - HWITA (w/ Tiga Black'Na, Vipa, Dali Chebil)Cheikh El Afrit - ANA MADHABIYAAzu Tiwaline - BERBEKANuri - FRFRFRErkez Hip-Hop - LA3RIBA (w/ Vipa, Tiga Black'Na, Massi) Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Aujourd'hui nous allons mettre à l'honneur tout ce qui se fait de moins glamour dans notre société. C'est à dire Wita. Mais aussi des gens du 77, une humoriste Tunisienne, un ancien militaire et un informaticien à bouc. Sans oublier un moment en Anglais de haut vol. Si vous voulez un meilleur casting il faut donner au pot ou acheter nos sublimes tee-shirts sur www.legrandrapprochement.lol
durée : 00:58:39 - Grande Traversée : Gisèle Halimi, la fauteuse de troubles - par : Ilana Navaro - Avocate, militante, députée … Tunisienne, française, ou presque algérienne. A qui appartient l'héritage de Gisèle Halimi ? Aux femmes et aux hommes d'Etat ou aux féministes de la rue ? - invités : Emmanuel Faux journaliste, a été le correspondant permanent d'Europe 1 à Jérusalem de 2003 à 2007; Jean-Yves Halimi Avocat, fils de Gisèle Halimi; Serge Halimi Journaliste; Samia Kassab-Cherfi Professeure de littérature à l'université de Tunis; Violaine Lucas Professeure, et présidente de l'association Choisir la cause des femme; Martine Portnoé Membre de Choisir la cause des femmes; Michelle Perrot historienne, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'université Paris-Diderot.; Benjamin Stora Historien, auteur du rapport public "Les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d'Algérie" commandé en juillet 2020 par le président de la République; Wassyla Tamzali essayiste, ancienne avocate à Alger et ancienne directrice des droits des femmes à l'Unesco, membre fondateur du Collectif Maghreb Egalité et directrice du centre d'art contemporain « Les ateliers sauvages »; Bibia Pavard Historienne, maîtresse de conférences à l'Université Paris 2 Panthéon Assas.; Rachida Ennaifer Juriste; Claire Charlès Militante féministe et secrétaire générale de l'association Les Effrontées.; Louise Doubray Psychologue clinicienne auprès de femmes victimes de violences chez l'association Woman's Safe.; Meriem Ben Mansour Doctorante en littérature, université de Tunis
durée : 00:58:39 - Les Grandes Traversées - par : Ilana Navaro - Avocate, militante, députée … Tunisienne, française, ou presque algérienne. A qui appartient l'héritage de Gisèle Halimi ? Aux femmes et aux hommes d'Etat ou aux féministes de la rue ? - invités : Emmanuel Faux journaliste, a été le correspondant permanent d'Europe 1 à Jérusalem de 2003 à 2007; Jean-Yves Halimi Avocat, fils de Gisèle Halimi; Serge Halimi Directeur du Monde Diplomatique; Samia Kassab-Cherfi Professeure de littérature à l'université de Tunis; Violaine Lucas Professeure, et présidente de l'association Choisir la cause des femme; Martine Portnoé Membre de Choisir la cause des femmes; Michelle Perrot Historienne, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris Cité; Benjamin Stora Historien, auteur du rapport public "Les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d'Algérie" commandé en juillet 2020 par le président de la République; Wassyla Tamzali essayiste, ancienne avocate à Alger et ancienne directrice des droits des femmes à l'Unesco, membre fondateur du Collectif Maghreb Egalité et directrice du centre d'art contemporain « Les ateliers sauvages »; Bibia Pavard Maîtresse de conférence à l'université Paris II Panthéon-Assas.; Rachida Ennaifer Juriste; Claire Charlès Militante féministe et secrétaire générale de l'association Les Effrontées.; Louise Doubray Psychologue clinicienne auprès de femmes victimes de violences chez l'association Woman's Safe.; Meriem Ben Mansour Doctorante en littérature, université de Tunis
Comme vous le savez notre but est de rapprocher les peuples. C'est pourquoi nous accueillons aujourd'hui : - Reda Saoui, un Québecois d'origine Algérienne. - Soun Dembele, un Français d'origine Malienne. - Rémi, un ex futur gay d'origine Congolaise et de culture geek. - Wahel, un prof de Jeux Vidéos d'origine Tunisienne. - Melan, un rappeur Francilien d'origine Catalane accompagné de DJ Hesa, mi-Toulousain mi-chauve. - Yassine Belattar et Thomas Barbazan, amoureux pour le meilleur et pour le rire, d'origine golri. Avec ce casting on peut écrire un film pour Netflix ! Et n'oubliez pas de soutenir nos vannes sur www.legrandrapprochement.lol (Rubrique "Faire un don")
Décembre 2014, La Badira, premier hôtel de luxe Tunisien labélisé Leadings Hotels ouvre officiellement ses portes. Derrière ce projet d'envergure se cache une femme à poigne : Mouna Allani Ben Halima. Chef d'entreprise et directrice d'hôtel, la femme d'affaires ne se définit pas uniquement en tant que tel. Son deuxième créneau est tout ce qui touche à la vie associative et au militantisme social. Elle est membre du bureau exécutif de la Fédération Tunisienne de l'Hôtellerie, et s'active dans plusieurs réseaux, dont l' ATUGE Entrepreneurs. Pour décrire cette femme à la succes storie incroyable, il serait intéressant de croiser ces termes : ouverture sur le monde, voyages, culture, startup, management, affaires, et ce dans un même champ lexical. Et dans ouverture sur le monde et voyages, les langues prennent la place qu'ils méritent. Pour Mouna, c'est dès la petite enfance que tout se joue. #Podcast #TunisiaPodcast #LaBadira #MounaAllaniBenHalima #MounaBenHalima #MaVieEnVF
Aujourd'hui j'ai eu la chance de rencontrer au "LinkedIN Local Montreal" Said Mariche, cette homme qui a travaillé pendant plus de 40 ans à la radio Tunisienne. Aujourd'hui à la retraite, il décide de continuer à contribuer au mieux être de cette planète en se consacrant au Podcasting. Pour me joindre Francis Parent-Valiquette -- LinkedIN: https://www.linkedin.com/in/fpv/ InstaGram: https://www.instagram.com/runningfranck/ Facebook: https://www.facebook.com/francis.parentvaliquette Strava: https://www.strava.com/athletes/runningfranck Varmedia INC -- Web: https://www.varmedia.com/ Facebook: https://www.facebook.com/varmedia/ InstaGram: https://www.instagram.com/vmpodcast/