sidelocks or sideburns
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Pays démocratique et républicain, la France nourrit un paradoxe : dans la mémoire collective des Français, la figure de l'homme providentiel a une place de choix. Parmi ces hommes et femmes surgissant dans des circonstances souvent exceptionnelles, se trouve Charles De Gaulle. Incarnation de la France libre pendant la Seconde Guerre mondiale, instigateur de la Ve République en 1958, le Général de Gaulle a, par deux fois, fait figure de sauveur dans notre pays. Comment s'est construit le mythe gaullien de l'homme providentiel ? Pour répondre à cette question, Virginie Girod reçoit l'historien Jean Garrigues. Fin connaisseur de l'histoire de nos institutions, il est président de la commission internationale d'histoire des assemblées, et auteur, notamment, des livres "A la plage avec Charles de Gaulle, l'homme providentiel dans un transat" (Dunod) et "Les Hommes providentiels: Histoire d'une fascination française" (Payot).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes vers l'an trente avant notre ère. Virgile, poète latin contemporain de la fin de la République romaine et du début du règne de l'empereur Auguste, termine un texte consacré à l'agriculture. Il écrit : « Oui, c'est le printemps qui pare les bosquets de leur feuillage, le printemps qui pare les forêts. Au printemps, les terres se gonflent et réclament les semences génératrices. Alors le Père tout puissant, l'Ether descend en pluies fécondantes dans le sein de son épouse prolifique et, uni dans une puissante étreinte à son corps puissant, vivifie tous les embryons. Alors les oiseaux mélodieux font résonner les buissons écartés, et le bétail réclame Vénus à dates fixes. La terre nourricière est en gésine (sur le point d'accoucher), et, aux souffles tièdes de Zéphyr, les champs ouvrent leur sein. » Marqueur social et culturel essentiel en Occident, le printemps nous ramène à une époque où les humains et la nature étaient liés par le même ordre des choses. Or, si les grands hivers et les étés torrides ont leurs chroniqueurs, le printemps, symbole de renaissance et d'espoir, a laissé moins de traces dans les sources. À l'heure où le rythme des saisons semble avoir perdu la boussole, où les enjeux climatiques et environnementaux occupent les esprits : que reste-t-il de « l'éternel et vert printemps » ? Avec nous : François Walter, professeur honoraire à l'Université de Lausanne. « Désir de printemps – Histoire sensible d'une saison » ; Payot. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire met "des soeurs à l'honneur", ces soeurs qui sont entrées dans l'Histoire à plusieurs. Pour le quatrième épisode, Stéphane Bern nous entraîne direction l'Angleterre à la rencontre de Nancy, Pamela, Diana, Unity, Jessica et Déborah, toutes Mitford ! 6 filles de l'aristocratie anglaise, 6 sœurs excentriques qui ont traversé le siècle et pris des chemins aussi différents que… surprenants ! Qu'est-ce qui a rendu cette fratrie de sœurs si célèbres ? En quoi les 6 sœurs Mitford ont-elles marqué, chacune à leur manière, le 20ᵉ siècle ? Comment expliquer que ces femmes issues d'une famille aristocrate, aisée, bien éduquées, aient dévié de leur voie qui semblait toute tracée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Jean-Noël Liaut, biographe et traducteur, auteur de "Nancy Mitford, la dame de la rue Monsieur" (Allary) et traducteur des livres de Nancy et Deborah Mitford aux éditions Payot. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute cette semaine, Au Coeur de l'Histoire met "des soeurs à l'honneur", ces soeurs qui sont entrées dans l'Histoire à plusieurs. Pour le quatrième épisode, Stéphane Bern nous entraîne direction l'Angleterre à la rencontre de Nancy, Pamela, Diana, Unity, Jessica et Déborah, toutes Mitford ! 6 filles de l'aristocratie anglaise, 6 sœurs excentriques qui ont traversé le siècle et pris des chemins aussi différents que… surprenants ! Qu'est-ce qui a rendu cette fratrie de sœurs si célèbres ? En quoi les 6 sœurs Mitford ont-elles marqué, chacune à leur manière, le 20ᵉ siècle ? Comment expliquer que ces femmes issues d'une famille aristocrate, aisée, bien éduquées, aient dévié de leur voie qui semblait toute tracée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Jean-Noël Liaut, biographe et traducteur, auteur de "Nancy Mitford, la dame de la rue Monsieur" (Allary) et traducteur des livres de Nancy et Deborah Mitford aux éditions Payot. Au Coeur de l'Histoire est réalisée par Loïc Vimard. Rédaction en chef : Benjamin Delsol. Auteur du récit : Pierre-Vincent Letourneau. Journaliste : Clara Leger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:02 - L'invité de 8h20 - Karine Jacquemart, directrice générale de Foodwatch France, publie "Les Dangers de notre alimentation - Dérives et conséquences du système agroalimentaire sur nos vies" (Payot) dans lequel elle livre son diagnostic et ses solutions pour lutter contre la malbouffe.
Aujourd'hui ce n'est pas en ep classique de l'appart clic-clac mais je t'invite à découvrir un podcast que j'aime beaucoup ; KAAVAN ⭐️ RDV la mardi prochain pour le prochain ep de retour à l'appart clic-clac, en attendant je te laisse avec Vickie!Lots of love,Mimo x*collaboration rémunéré*Description de l'épisode : "Journaliste et chroniqueuse, Salomé Saqué analyse et décrypte les grands sujets économiques et sociaux. En 2022 Salomé sort son premier ouvrage intitulé “Sois-jeune et tais-toi”, paru chez Payot, qui déconstruit les clichés associés à la jeunesse, et plus récemment “Résister”, toujours chez Payot, un appel à la résistance, à l'indignation et au retour du collectif pour préserver la démocratie et le bien commun. Aujourd'hui, un jeune sur cinq souffre de troubles dépressifs, soit deux fois plus qu'en 2017, ce message est d'autant plus important pour remobiliser, pour redonner de la force et montrer que s'engager de diverses manières peut nous aider à aller mieux. Pourquoi on n'écoute pas les jeunes et on ne leur donne que très peu la parole ?Quelle place pour les jeunes aujourd'hui dans notre société ?Avons-nous encore la possibilité de nous engager et de résister, que ce soit par les urnes ou autrement ?Nous répondrons à toutes ces questions, et bien d'autres, dans cet épisode.Parce que la santé mentale c'est aussi important que la santé physique !Bonne écoute !"
Aujourd'hui dans Parlons-en, nous vous proposons de nous éloigner un peu des fracas du monde… et de discuter de l'une des musiques les plus écoutées au monde : le rap. Un genre longtemps méprisé, né comme un cri, qui s'invite aujourd'hui au premier rang des défilés de mode. Le rap, plus fort que la pop ? On en parle avec Mehdi Maïzi, présentateur de l'émission "Le Code" sur Apple Music et auteur de "Le rap a gagné, à quel prix ?" (éd. La Fabrique) et Benjamine Weill, autrice de "À qui profite le sale ?" (éd. Payot et Rivages).
durée : 01:59:29 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse au phénomène de l'obésité et à la nouvelle exposition de l'artiste Karine Rougier. On se posera aussi la question "Où est-on chez soi ?" avec nos invitées Marie Kock et Pauline Rochart. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Muriel Coupaye Endocrinologue, diabétologue, nutritionniste. Ex-présidente de l'Association Française d'Etude et de Recherche sur l'Obésité ; Marie Kock Journaliste et autrice; Pauline Rochart Consultante spécialiste des mutations du travail. Autrice de "Ceux qui reviennent" aux éditions Payot.; Karine Rougier Artiste peintre
durée : 00:39:59 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Vivons-nous où nous naissons ? Qu'est-ce qui nous rattache à ce qu'on appelle son chez-soi ? Et est-ce forcément notre lieu d'origine ? Voici quelques-unes des questions existentielles que l'on va se poser ce matin. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Marie Kock Journaliste et autrice; Pauline Rochart Consultante spécialiste des mutations du travail. Autrice de "Ceux qui reviennent" aux éditions Payot.
durée : 01:59:29 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse au phénomène de l'obésité et à la nouvelle exposition de l'artiste Karine Rougier. On se posera aussi la question "Où est-on chez soi ?" avec nos invitées Marie Kock et Pauline Rochart. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Muriel Coupaye Endocrinologue, diabétologue, nutritionniste. Ex-présidente de l'Association Française d'Etude et de Recherche sur l'Obésité ; Marie Kock Journaliste et autrice; Pauline Rochart Consultante spécialiste des mutations du travail. Autrice de "Ceux qui reviennent" aux éditions Payot.; Karine Rougier Artiste peintre
Dans ce 2ème épisode consacré à Eliott, on veut comprendre comment il est devenu le plus jeune aventurier de la Société des Explorateurs. Islande, Mongolie, Himalaya et Amazonie, de fil en aiguille, il se réconcilie avec l'humanité et construit sa nouvelle manière de concevoir le monde : avec lenteur, dans une vie minimaliste, proche du vivant. On écoute ce vagabond des temps modernes, tellement inspirant. Ce podcast est la suite de #40 Eliott Schonfeld : Retour à la vie sauvage.Retrouvez dans Les Bonnes Feuilles de AR n°69, un extrait de son livre "Surla piste de Telaquana" aux éditions Payot. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce 2ème épisode consacré à Eliott, on veut comprendre comment il est devenu le plus jeune aventurier de la Société des Explorateurs. Islande, Mongolie, Himalaya et Amazonie, de fil en aiguille, il se réconcilie avec l'humanité et construit sa nouvelle manière de concevoir le monde : avec lenteur, dans une vie minimaliste, proche du vivant. On écoute ce vagabond des temps modernes, tellement inspirant. Ce podcast est la suite de #40 Eliott Schonfeld : Retour à la vie sauvage.Retrouvez dans Les Bonnes Feuilles de AR n°69, un extrait de son livre "Surla piste de Telaquana" aux éditions Payot. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dass der Lohn auch bei längerer Krankheit weiter auf dem Konto landet, ist unter Umständen ein Trugschluss. Eine Krankentaggeldversicherung ist in der Schweiz nicht obligatorisch. Nun kommt auf politischer Ebene Bewegung in die Sache.Sollen alle Arbeitnehmenden in der Schweiz obligatorisch versichert sein, falls sie wegen einer körperlichen oder psychischen Erkrankung länger ausfallen? Zu dieser Frage verlangt das Eidgenössische Parlament aktuell Fakten. Denn die Datenlage ist dünn. Unklar ist, wie viele erwerbstätige Schweizerinnen und Schweizer überhaupt versichert sind. Auch wenn sie versichert sind, geniessen sie bei weitem keinen einheitlichen Versicherungsschutz. Versicherungen sind nicht verpflichtet, mit einer Arbeitgeberin eine Versicherung abzuschliessen, oder sie können diese ändern oder kündigen, falls in einer Firma viele teure, langwierige Krankheitsfälle zusammenkommen.«Für viele Arbeitnehmende gibt es sehr rasch Deckungslücken. Vor allem Personen, die noch nicht lange an einem Ort arbeiten, häufig die Stelle wechseln oder im Tieflohnbereich tätig sind, sind betroffen», sagt Prof. Peter Mösch Payot, er ist Professor für Sozialrecht an der Hochschule Luzern - Soziale Arbeit. Auch für Arbeitgebende kann es rasch teuer werden. Dann nämlich, wenn sie das Krankentaggeld aus der eigenen Tasche bezahlen müssen, weil sie nicht versichert sind.Hier möchte das Parlament Gegensteuer geben. Eine Motion verlangt ein Obligatorium. Der Nationalrat befürwortet dieses Anliegen. Der Ständerat möchte mehr Zahlen zu dieser Versicherung, die in Zeiten von steigenden Zahlen krankheitsbedingter Ausfälle am Arbeitsplatz an Relevanz gewinnt. Hannes Blatter und Mirjam Breu diskutieren, ordnen ein und klären Details mit dem Experten für Sozialversicherungen Prof. Peter Mösch Payot.
Les familles occidentales du 21e siècle qui optent pour le biberon savent que c'est un mode d'alimentation sécuritaire et bien pratique. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Script: Geneviève C. Bergeron Montage: Théo Dussault-Drainville Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Facebook: https://www.facebook.com/histoirenousledira Instagram: https://www.instagram.com/laurentturcot Images provenant de https://www.storyblocks.com Musique issue du site : https://epidemicsound.com Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Boneless Archéologie, Drôles de Biberons Préhistoriques!, épisode du 10 août 2022. https://www.youtube.com/watch?v=AhAW6sYBm8E Fildes, Valeria A. Breasts, bottles and babies: an history on infant feeding. Edinburg, University Press, 1986. Lett, Didier et Marie-France Morel. Une histoire de l'allaitement. Paris, Éditions de la Martinière, 2006. Rima D. Apple, Mothers and medicine: a social history of infant feeding 1890-1950. Madison, University of Wisconsin Press, 1987 Fildes, Valeria A. Breasts, bottles and babies: an history on infant feeding. Edinburg, University Press, 1986. Rollet, Catherine. Des gutti aux biberons contemporains, dans Premiers cris, premières nourritures. Version Web. Gauvreau, Danielle et Peter Gossage. Avoir moins d'enfants au tournant du XXe siècle : une réalité même au Québec. Revue d'histoire de l'Amérique française, volume 54, numéro 1. Gossage, Peter. Les enfants abandonnés à Montréal au 19e siècle : la crèche d'Youville des Sœurs Grises, 1820-1871. Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 40, no 4, printemps 1987. Nathoo, Tasnim et Aleck Ostry. The one best way? : breastfeeding history, politics, and policy in Canada. Waterloo, Wilfrid Laurier University Press, 2009. Baillargeon, Denyse. Fréquenter les Gouttes de lait : l'expérience des mères montréalaises, 1910-1965. Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 50, no 1, été 1996. Knibiehler, Yvonne. Histoire des mères et de la maternité en Occident. Paris, PUF, « Que sais-je? », no 3539, 2017. Harari, Yuval Noah. Sapiens. Une brève histoire de l'humanité. Paris, Albin Michel, 2015. Morel, Marie-France. Théories et pratiques de l'allaitement en France au XVIIIe siècle. Annales de démographie historique, 1976. Fay-Sallois, Fanny. Les nourrices à Paris au XIXe siècle. Paris, Payot, 1980. Baillargeon, Denyse. Un Québec en mal d'enfants. La médicalisation de la maternité, 1910-1970. Montréal, Éditions du remue-ménage, 2004. Scholl, Sarah. Nourrir au lait de vache. L'alimentation des bébés entre nature et technique (1870–1910). Anthropozoologica, volume 52, numéro 1, 2017. Vallières, Alain. Médicalisation de l'alimentation du nourrisson au Canada. Une revue de littérature sociohistorique. Revue des politiques sociales et familiales, numéro 135, 2020. Sautereau, Manuelle. Aux origines de la pédiatrie moderne : le Docteur Léon Dufour et l'œuvre de la « Goutte de lait » (1894-1928). Annales de Normandie, 41e année, numéro 3, 1991. "Pasteurisation" Wikipédia (FR) https://fr.wikipedia.org/wiki/Pasteurisation Dombrow Apple, Rima. Mothers and medicine: a social history of infant feeding 1890-1950. Madison, University of Wisconsin Press, 1987. Didierjean-Jouveau, Allaitement et féminisme, dans Collectif, Près du cœur, 11 juin 2016, version Web. Le texte et les sources ont été vérifiés de manière indépendante par un historien phD. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #biberon #lait #gouttedelait
Depuis qu'il y a des bébés, il y a des nourrices! Pour plein de raisons, des mères ne peuvent pas allaiter depuis toujours. Pour les remplacer, il y a d'autres femmes qui allaitent à leur place, par solidarité, contre un salaire ou parce qu'elles y sont contraintes. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Texte: Geneviève C. Bergeron Montage: Martin Bérubé de @proposmontreal sur YouTube Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Fildes, Valeria A. Breasts, bottles and babies: an history on infant feeding. Edinburg, University Press, 1986. Fildes, Valeria A. Wet nursing from antiquity to the present. Oxford, Basil Blackweil, 1988. Rollet, Catherine. Des gutti aux biberons contemporains, dans Premiers cris, premières nourritures. Version Web. https://books.openedition.org/pup/34728 Rollet, Catherine. La politique à l'égard de la petite enfance sous la IIIe République. Paris, Institut national d'études démographiques, PUF, 1990. Knibiehler, Yvonne. L'allaitement et la société. Recherches féministes, volume 16, numéro 2, 2003. Knibiehler, Yvonne. Histoire des mères et de la maternité en Occident. Paris, PUF, « Que sais-je? », no 3539, 2017. Lett, Didier et Marie-France Morel. Une histoire de l'allaitement. Paris, Éditions de la Martinière, 2006. Romanet, Emmanuelle. « La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIXe siècle », Transtext(e)s Transcultures, 8, 2013. Fay-Sallois, Fanny. Les nourrices à Paris au XIXe siècle. Paris, Payot, 1980. Yalom, Marilyn. Le sein. Une histoire. Paris, Galaade Editions, 2010. Morel, Marie-France. Théories et pratiques de l'allaitement en France au XVIIIe siècle. Annales de démographie historique, 1976. Morel, Marie-France. « À quoi servent les enfants trouvés? Les médecins et le problème de l'abandon dans la France du XVIIIe siècle », dans Enfance abandonnée et société en Europe, XIVe-XXe siècle. Actes du colloque international de Rome (30 et 31 janvier 1987), Rome, École Française de Rome, 1991. Lemieux, Denise. Les petits innocents : l'enfance en Nouvelle-France, Québec : Institut québécois de recherche sur la culture, 1985. Collectif Clio. Histoire des femmes au Québec depuis quatre siècles. Idéelles, Montréal, Le Jour, 1992. Gauvreau, Danielle. À propos de la mise en nourrice à Québec pendant le Régime français. Revue d'histoire de l'Amérique française, volume 41, numéro 1, 1987. Gauvreau, Danielle. Destins de femmes, destins de mères : images et réalités historiques de la maternité au Québec. Recherches sociographiques, volume 32, numéro 3, 1991. Lactarium https://fr.wikipedia.org/wiki/Lactarium Banque de lait maternel, Héma-Québec https://www.hema-quebec.qc.ca/lait-maternel/donneuses-lait/banque-publique-lait-maternel.fr.html Malboeuf, « Héma-Québec pourrait ouvrir une banque de lait maternel », Le Soleil, 18 octobre 2010. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #lait #nourrice #nursery #nanny #nurse
Face aux bouleversements climatiques et au retour de la guerre, une partie des jeunes générations a peur. Pour la jeune journaliste et essayiste Salomé Saqué, l'éco-anxiété croissante chez cette tranche d'âge n'est pas à craindre. Au contraire, elle met fin au déni, ouvre le spectre des actions possibles (militantisme, diffusion des informations, moyens parfois choc pour éveiller les consciences). Aujourd'hui, arrêter de discriminer les jeunes et écouter ce qu'ils ont à nous dire, sur l'écologie comme sur le reste des sujets de société devient essentiel pour permettre un engagement collectif et sortir de la léthargie politique. Car sans solidarité entre les générations, comment espérer pouvoir infléchir la catastrophe en cours ? Dialogue avec Aleksandra Planinic, journaliste RTS. — En partenariat avec le Centre Dürrenmatt Neuchâtel et dans le cadre de l'exposition « Friedrich Dürrenmatt – Imaginaires atomiques » à voir du 12 octobre 2024 au 9 février 2025 au Centre Dürrenmatt Neuchâtel. _ Salomé Saqué est une journaliste et essayiste française, connue pour son engagement sur les questions sociales et environnementales. Diplômée de Sciences Po Paris, elle s'est illustrée par ses reportages incisifs et ses chroniques sur Blast et France Info, abordant des sujets tels que la justice climatique et les inégalités sociales. En 2022, elle a été récompensée par le prix du jeune journaliste de l'année pour son approche audacieuse et engagée. L'année suivante, elle publie Sois jeune et tais-toi : réponse à ceux qui critiquent la jeunesse (Payot, 2023), un essai au succès immédiat. _ Enregistré au Club 44 le 30 janvier 2025
C'est un épisode assez spécial que je vous propose aujourd'hui. Nous allons parler de transgénérationnel et des traumatismes qui se transmettent de génération en génération, notamment entre grands-parents et petits-enfants.Cela fait un certain temps que je suis le travail de Bruno, une des grandes voix en France qui sensibilise aux traumatismes liés à l'inceste. Après plusieurs best-sellers sur les « fantômes familiaux » – ces traumatismes inconscients hérités de nos ancêtres – nous nous sommes retrouvés en studio pour explorer ensemble l'impact de l'histoire des grands-parents sur l'inconscient des enfants.Je suis convaincue qu'il est essentiel de prendre conscience de notre responsabilité face à nos propres traumatismes et d'entreprendre, si nécessaire, un travail thérapeutique pour libérer nos enfants de ces fardeaux invisibles.Dans cet épisode, nous avons abordé le rôle des grands-parents, l'importance des arbres généalogiques et bien sûr, les mécanismes des traumatismes transgénérationnels.Ressources :Devenir un bon ancêtre: Transgénérationnel et grands-parents, aux éditions Payot, de Bruno ClavierLes Fantômes familiaux: Psychanalyse transgénérationnelle, aux éditions Payot, de Bruno Clavier_______________________________Si tu souhaites me soutenir, le meilleur moyen c'est d'aller sur Apple Podcast et Spotify, de mettre 5 étoiles et de laisser un avis ! Si tu veux suivre les coulisses du podcast, tu peux me suivre sur le compte Instagram @lesadultesdedemain. Tu peux retrouver toutes les interviews en vidéo sur Youtube : https://www.youtube.com/@lesadultesdedemain.Les Adultes de Demain est le podcast qui explore l'enfance et l'éducation. Chaque semaine des personnalités variées (psys, auteurs, enseignants, philosophes, etc.) partagent leur expertise pour ré-inventer ensemble l'enfance.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Née à l'aube du XXe siècle, cette pionnière de l'océanographie moderne, photographe, vidéaste et écrivaine française, a sillonné les mers du monde en quête de sciences, d'images et surtout d'horizon. Suivre le sillage d'Anita Conti, c'est instantanément sentir un vent de liberté souffler, charriant avec lui les mots « avant-garde », « poésie » ou « engagement », mêlés aux intonations enjouées, à jamais gravées dans les archives radiophoniques françaises, de celle que l'on surnommait « La Dame de la mer ». Née en 1899, Anita Conti, née Caracotchian, a traversé son siècle avec une détermination sans faille, seule femme à bord des bateaux de pêche, que ce soit des chalutiers terre-neuvas dans l'Atlantique Nord ou des pirogues des mers chaudes, pendant ces dix années passées en Afrique de l'Ouest. Tour à tour relieuse d'art, journaliste, scientifique de terrain, résistante engagée sur les démineurs en 1939, écrivaine, lanceuse d'alerte sur les dégâts de la surpêche ou précurseure de l'aquaculture, Anita Conti a inspiré des générations d'enfants de la mer. À ceux qui lui demandaient si elle était un garçon manqué, Anita Conti répondait : « Non, je suis une femme réussie ! » ; une femme qui, jusqu'à son dernier souffle, en 1997, à l'âge de 98 ans, va s'attacher à donner une voix aux océans et à ceux qui les peuplent et en vivent… À l'occasion de l'année de la Mer 2025, et dans le cadre de l'exposition « Anita Conti, la femme aux semelles de vent » qui s'est tenue au Musée des Pêcheries de Fécamp, on suit son sillage profond. Un reportage de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary En savoir plus : - Sur Les Pêcheries de Fécamp qui ont imaginé l'exposition « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent » - Sur le Fonds Anita Conti conservé par les Archives de Lorient depuis 2003. Il se compose d'archives papier, d'environ 40 000 photographies, des centaines d'objets et d'une bibliothèque de 1 800 ouvrages.- Sur Laurent Girault-Conti, fils adoptif d'Anita qui œuvre, depuis des décennies, à transmettre l'œuvre, la vie et le message d'Anita. Il a notamment publié le très bel ouvrage « Anita Conti et la Bretagne » - Sur les ouvrages d'Anita Conti paru en France aux Éditions Payot- Sur la surpêche et comment se portent les poissons en 2023, par l'Ifremer, institut français de recherche pour l'exploitation de la mer- Sur l'Année de la mer 2025. À lire :- « Racleurs d'océans ». Anita Conti. Éd. originale 1953. Petite Bibliothèque Payot 2017- « Géants des mers chaudes ». Anita Conti. Éd. originale 1957. Petite Bibliothèque Payot 2021- « Le carnet Vikings. 70 jours en mer de Barents ». Anita Conti. Éditions Payot 2018- « L'océan, les bêtes et l'homme ou l'ivresse du risque ». Anita Conti. Éditions Payot 2019- « Anita Conti et la Bretagne ». Laurent Girault-Conti. Éditions Filigrane 2021- « Anita Conti ». Catell et Bocquet. Une biographie dessinée parue chez Casterman. 2024- « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent », le catalogue de l'exposition des Pêcheries de Fécamp. Éditions des Falaises 2024.
Née à l'aube du XXe siècle, cette pionnière de l'océanographie moderne, photographe, vidéaste et écrivaine française, a sillonné les mers du monde en quête de sciences, d'images et surtout d'horizon. Suivre le sillage d'Anita Conti, c'est instantanément sentir un vent de liberté souffler, charriant avec lui les mots « avant-garde », « poésie » ou « engagement », mêlés aux intonations enjouées, à jamais gravées dans les archives radiophoniques françaises, de celle que l'on surnommait « La Dame de la mer ». Née en 1899, Anita Conti, née Caracotchian, a traversé son siècle avec une détermination sans faille, seule femme à bord des bateaux de pêche, que ce soit des chalutiers terre-neuvas dans l'Atlantique Nord ou des pirogues des mers chaudes, pendant ces dix années passées en Afrique de l'Ouest. Tour à tour relieuse d'art, journaliste, scientifique de terrain, résistante engagée sur les démineurs en 1939, écrivaine, lanceuse d'alerte sur les dégâts de la surpêche ou précurseure de l'aquaculture, Anita Conti a inspiré des générations d'enfants de la mer. À ceux qui lui demandaient si elle était un garçon manqué, Anita Conti répondait : « Non, je suis une femme réussie ! » ; une femme qui, jusqu'à son dernier souffle, en 1997, à l'âge de 98 ans, va s'attacher à donner une voix aux océans et à ceux qui les peuplent et en vivent… À l'occasion de l'année de la Mer 2025, et dans le cadre de l'exposition « Anita Conti, la femme aux semelles de vent » qui s'est tenue au Musée des Pêcheries de Fécamp, on suit son sillage profond. Un reportage de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary En savoir plus : - Sur Les Pêcheries de Fécamp qui ont imaginé l'exposition « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent » - Sur le Fonds Anita Conti conservé par les Archives de Lorient depuis 2003. Il se compose d'archives papier, d'environ 40 000 photographies, des centaines d'objets et d'une bibliothèque de 1 800 ouvrages.- Sur Laurent Girault-Conti, fils adoptif d'Anita qui œuvre, depuis des décennies, à transmettre l'œuvre, la vie et le message d'Anita. Il a notamment publié le très bel ouvrage « Anita Conti et la Bretagne » - Sur les ouvrages d'Anita Conti paru en France aux Éditions Payot- Sur la surpêche et comment se portent les poissons en 2023, par l'Ifremer, institut français de recherche pour l'exploitation de la mer- Sur l'Année de la mer 2025. À lire :- « Racleurs d'océans ». Anita Conti. Éd. originale 1953. Petite Bibliothèque Payot 2017- « Géants des mers chaudes ». Anita Conti. Éd. originale 1957. Petite Bibliothèque Payot 2021- « Le carnet Vikings. 70 jours en mer de Barents ». Anita Conti. Éditions Payot 2018- « L'océan, les bêtes et l'homme ou l'ivresse du risque ». Anita Conti. Éditions Payot 2019- « Anita Conti et la Bretagne ». Laurent Girault-Conti. Éditions Filigrane 2021- « Anita Conti ». Catell et Bocquet. Une biographie dessinée parue chez Casterman. 2024- « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent », le catalogue de l'exposition des Pêcheries de Fécamp. Éditions des Falaises 2024.
A Palexpo, 80 galeries triées sur le volet, des solo shows, des inventions numériques en première mondiale, des prix, des conférences, de grandes œuvres exposées hors stand, cʹest le temps dʹart Genève avec ses singularités comme la présence dʹune microédition de badges dʹartistes (LaClac) accessibles à toutes les bourses et présentés au P.A.G.E.S Print & Art Book Fair et Payot. Claudia Renna et Dominique Hoeltschi, curatrices et instigatrices de ces éditions sont au micro de Florence Grivel. Art Genève, jusquʹau 2 février 2025 à Palexpo, Genève
Pendant longtemps, se marier et avoir des enfants semblait tout à fait naturel. Aujourd'hui, c'est beaucoup moins évident. 13 % des femmes contre 2 % en 2006 ne veulent pas être mères. Pourquoi ce refus ? Comment est-il perçu dans notre société ? Avec : - Bettina Zourli, journaliste, autrice du Le temps du choix, éditions Payot et de Childfree : je ne veux pas d'enfant, éditions Spinelle, créatrice du compte Instagram jeneveuxpasdenfant - Helen Monnet, psychologue et autrice de Avoir un enfant ou pas ?, éditions Le courrier du livre - Karen Hendriks, rédactrice en chef du magazine L'école des Parents
Dans ce nouvel épisode du podcast Nouveau Départ, je reçois Sarah Zitouni, directrice de la stratégie chez Aurobay, en Suède. Passionnée d'automobile depuis son enfance, Sarah pose un regard expert sur les mutations du secteur automobile et les grands enjeux qui le traversent. En parallèle, elle est la fondatrice de PowHER ta carrière, un réseau qui aide des milliers de femmes à prendre leur place dans le monde du travail. Dans cet épisode, nous discutons de l'avenir de l'automobile : la montée en puissance des constructeurs chinois, l'électrification, Volkswagen, les constructeurs européens, les enjeux géopolitiques et les défis économiques qui redessinent les équilibres mondiaux. J'ai trouvé cette conversation passionnante ! Je ne saurais trop vous recommander de l'écouter.Au fil de notre conversation, nous discutons avec Sarah de :* l'origine de sa passion pour l'automobile ;* sa carrière dans l'automobile ;* la crise des constructeurs européens, avec des fermetures d'usines comme celles annoncées par Volkswagen ;* comment les constructeurs chinois se sont imposés dans le marché des voitures électriques ;* Musk et Tesla ;* les éventuels futurs droits de douane de Trump et leur impact ;* les nouveaux comportements des consommateurs ;* les concessionnaires et le marché de seconde main ;* la promesse ratée des voitures autonomes ;* la voiture de demain…Elon Musk et l'extrême-droite allemande : clefs pour comprendre : article Nouveau Départ de Laetitia & Nicolas.Volkswagen : l'Allemagne va-t-elle enfin tourner la page du XXe siècle ? : article Nouveau Départ de Laetitia.L'inflation et les limites du progrès technologique : des années 1970 à aujourd'hui : article Nouveau Départ de Nicolas.Le média de la transition* “À deux voix”, nos conversations à bâtons rompus sur l'actualité* Des interviews de personnalités remarquables (écrivains, entrepreneurs…)* Des articles sur le travail et l'économie* Une vision engagée, des clefs pour aller au fond des choses* Nos abonnés : des professionnels et citoyens engagés* Des nouvelles de nos travaux et de nos projetsQui nous sommes* Laetitia | Fondatrice de Cadre Noir, collabore avec Welcome to the Jungle, autrice de Du Labeur à l'ouvrage (Calmann-Lévy, 2019) et En finir avec la productivité. Critique féministe d'une notion phare de l'économie et du travail (Payot, 2022).* Nicolas | Cofondateur de la société The Family, ancien chroniqueur à L'Obs, auteur de L'Âge de la multitude (avec Henri Verdier, Armand Colin, 2015) et Un contrat social pour l'âge entrepreneurial (Odile Jacob, 2020).Nous sommes mariés depuis 17 ans. Après avoir vécu près de 10 ans à Londres puis à Munich, nous sommes revenus en France en août 2024. Nouveau Départ est le média que nous avons conçu ensemble au printemps 2020 pour mieux nous orienter dans l'incertitude.Nos podcasts sont également accessibles sur Apple Podcasts et Spotify. Nouveau Départ a sa page LinkedIn et son compte Twitter : @_NouveauDepart_. Suivez-nous aussi individuellement sur LinkedIn (Laetitia & Nicolas). This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit nouveaudepart.substack.com
Journaliste et formatrice auprès des professionnels des médias, Nina Fasciaux plaide pour que les journalistes mettent l'écoute au cœur de leur métier. Entretien. Nina Fasciaux travaille pour le Solutions Journalism Network, une organisation américaine qui propose notamment aux journalistes des formations intégrant des techniques de médiation des conflits dans la couverture des sujets qui polarisent le débat public.Cette professionnelle des médias publie Mal entendus (Payot, 2025), un livre dans lequel elle explique que les journalistes doivent « apprendre à écouter » et « changer de posture » s'ils veulent réduire la défiance que portent nombre de leurs concitoyens envers les médias.Au micro de L'atelier des médias, durant ces 30 minutes d'entretien, il est question de la formation Complicating the Narratives, de Destin commun, d'« écoute insincère », de « journalisme transactionnel », de la technique du looping, de complexité et de curiosité.Extrait choisi : « On accompagne les journalistes à poser les bonnes questions, à parler dans un micro, à enquêter mais pas à accueillir la parole de l'autre avec vraiment pour objectif de réceptionner ce qui est dit et de le comprendre profondément. (...) Ensuite, évidemment, quand le journaliste décide ou pas de donner la parole, décide ou pas de couper ensuite après l'enregistrement, décide ou pas de ne garder qu'une infime partie de ce qui a été dit, il a un pouvoir. Et les gens qui sont interviewés en sont bien conscients. Donc, il y a un rapport de domination qu'il est important de reconnaître. Et je pense, un travail assez simple – on va dire, énoncé comme ça, même si ça demande un peu d'introspection – [serait de] vraiment adopter une posture d'humilité quand on accueille la parole de l'autre – et notamment quand on est journaliste – qui, je trouve, manque cruellement dans le métier. »
Dans ce nouvel épisode du podcast Nouveau Départ, je m'entretiens avec Pauline Rochart, consultante, autrice, et “sociologue de l'expérience”. Pauline vient de publier Ceux qui reviennent aux éditions Payot, un livre passionnant qui explore le phénomène des "revenants" : ces Français qui, après avoir vécu et travaillé à Paris, décident de retourner dans leur région d'origine. À travers son récit personnel, des entretiens et de nombreuses lectures, elle met en lumière une quête de sens, de racines et de communauté qui résonnent profondément aujourd'hui. Depuis que je suis rentrée, je suis sûre d'une chose : j'ai toujours des convictions, mais de moins en moins de certitudes.Le retour est un phénomène d'hybridation. Et s'hybrider, c'est accepter de se laisser questionner, chambouler par l'autre.Au fil de notre conversation, nous discutons avec Pauline de :* ceux qui reviennent ;* son retour à Dunkerque ;* ses réflexions sur l'hybridation identitaire que ce choix implique ;* le télétravail, le travail indépendant et les combinaisons différentes dans les couples ;* les somewhere et les anywhere et l'écueil de la binarité ;* le mythe de l'archipellisation de la société ;* les revenants “traits d'union” ;* le rapport au territoire et à l'identité ;* le voyage intérieur qui accompagne toute mobilité ;* le syndrome du cul entre deux chaises ;* ceux qui reviennent de l'étranger…Ceux qui reviennent… et créent du lien : mon article Nouveau Départ, Nouveau TravailAvec Pauline, nous avons enregistré plusieurs podcasts Nouveau Départ qui n'ont rien perdu de leur actualité
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit le Dr Juan-David Nasio, psychiatre et psychanalyste lacanien. Ensemble, ils évoquent ce que les autres nous révèlent de nous-même. Quel impact les autres ont-ils sur nous ? Pourquoi ne "sentons"-nous pas parfois une personne alors que c'est la première fois que nous la rencontrons ? Qu'est-ce que l'autre révèle de nos propres blessures émotionnelles ? Le Dr Juan-David Nasio connait bien la psyché humaine grâce à sa longue et riche carrière de praticien. Il explore en compagnie d'Anne Ghesquière la question du rapport à l'autre et de ce qui se joue dans la rencontre avec l'autre. Son dernier livre, Clara le bébé qui revient à la vie et autre récits est paru aux Éditions Payot. Épisode #556Quelques citations du podcast avec le Dr Juan-David Nasio :"On a besoin de l'autre pour être soi.""L'amour ça veut dire se sentir reconnu et reconnaître l'autre.""L'empathie, c'est imaginer ce que ressent l'autre et, en l'imaginant, l'éprouver soi-même."Thèmes abordés lors du podcast avec le Dr Juan-David Nasio :00:00 Introduction06:57 Quels sont les besoins fondamentaux du nourrisson ?08:46 Qu'est-ce que la dépression du nourrisson ?16:32 Prendre soin de l'autre : une pulsion ?23:29 Dans quelle mesure l'Autre participe de mon identité ?28:12 L'impact de nos expériences émotionnelles fortes.31:24 Qu'est-ce que le deuil pathologique ?42:23 Comment pratiquer la juste empathie ?51:04 Le visage, une fenêtre de notre inconscient.53:02 Comment fonctionnent les neurones miroirs ?55:28 Qu'est-ce que le "je" qui m'habite ?01:00:05 Notre contradiction fondamentale.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Recevez un mercredi sur deux l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec les 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous gratuitement sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Notre livre international de cette semaine nous emmène en Ukraine. L'auteur allemand Stephan Orth a passé huit mois dans ce pays en pleine guerre. Non pas en tant que journaliste, mais en tant que « couchsurfer », c'est-à-dire, comme voyageur qui se fait inviter chez des habitants. Il écoute leurs histoires, est impressionné par leur courage et leur volonté de vivre. De cette expérience intense, il a écrit un livre, intitulé : Couchsurfing en Ukraine, publié aux éditions allemandes Malik. Un livre qui retrace le quotidien d'une population confrontée à la guerre déclenchée par la Russie le 24 février 2022. Stephan Orth répond aux questions d'Achim Lippold. RFI : Vous avez déjà visité beaucoup de pays pour dormir chez l'habitant : l'Iran, la Russie, la Chine, entre autres. Mais cette fois, vous avez choisi un pays en guerre depuis presque trois ans. Pourquoi ce choix ? Stephan Orth : Il y avait des raisons personnelles, car mon ex-petite amie vit à Kiev. Je suis donc allé fréquemment en Ukraine pendant la guerre. On peut dire que nous avons eu la « bonne » idée de devenir un couple juste après le début de la guerre. J'ai continué à me rendre à Kiev en train, puisqu'aucun avion ne vole vers l'Ukraine. À un moment donné, je me suis dit : « Puisque je prends le risque insensé de passer autant de temps dans cette guerre, pourquoi ne pas y associer un projet de livre ? ». L'éditeur était partant, et j'avais le sentiment que l'intérêt pour cette guerre diminuait déjà, au début de 2023. Pourtant, sur place, cette guerre terriblement violente continuait à faire rage, et j'ai pensé qu'il fallait la raconter davantage, en adoptant une perspective plus personnelle et intime.Comment les gens vous ont-ils accueilli ? Je me suis vraiment posé la question : est-ce que c'est approprié de demander de l'hospitalité en ce moment, alors que les Ukrainiens traversent une guerre ? Peut-on aller chez les gens, dormir sous leur toit. Mais finalement, mes craintes se sont vite envolées. Les Ukrainiens qui m'ont accueilli, m'ont assuré qu'ils le faisaient de bon cœur. L'un d'eux m'a dit : « Vous, les Allemands, vous avez accueilli un million d'Ukrainiens, donc on peut bien accueillir un Allemand chez nous ! ». Franchement, j'ai été très bien reçu. Il y avait ce sentiment d'égal à égal. Je veux dire, je ne suis pas venu en tant que journaliste de télé avec toute une équipe et une grosse caméra pour juste prendre deux-trois témoignages et repartir. Non, j'ai vraiment partagé leur quotidien, j'ai vécu la guerre avec eux. Et je pense que ça crée une proximité particulière, une relation plus humaine.Vous décrivez une situation un peu absurde. Vous louez une voiture et l'agence vous appelle chaque fois que vous approchez de la ligne de front.Exactement ! Avec un photographe, on avait loué une voiture pour quatre jours, dans la région de Donetsk. Mais bon, petit problème : vous n'êtes pas assuré dans ces zones-là. Et je me disais souvent : si quelque chose arrive à cette Volkswagen T-Roc, il faudra la rembourser, et ce n'est vraiment pas donné ! Chaque fois qu'on s'est trouvé à 20 km de la ligne de front, à portée d'artillerie russe, l'agence de location nous appelait en nous demandant de faire demi-tour. Visiblement, ils suivaient nos déplacements ! En fait, dans le contrat, il n'y avait pas d'interdiction de circuler près du front, mais ils tenaient à nous avertir.Vous expliquez aussi comment les Ukrainiens cherchent une normalité, même en pleine guerre. Ils vont à l'opéra, sachant que la représentation peut être interrompue à tout moment par une alerte aérienne. Ça vous a surpris, cette façon de s'adapter ?Ah oui, ça m'a beaucoup marqué. Je ne pouvais pas imaginer à quel point les gens s'habituent à une situation aussi extrême. Moi, j'ai choisi d'aller en Ukraine, de m'exposer à ce conflit. Personne ne m'y obligeait. Mais les Ukrainiens, eux, n'ont pas le choix. Ils n'avaient aucune expérience de la guerre, et pourtant ils s'y sont adaptés. Leur quotidien s'est ajusté à cette réalité. Des choses qui nous paraîtraient incroyables deviennent banales pour eux. C'était une vraie leçon de voir comment l'humain s'adapte dans des situations très difficiles.Pendant ces huit mois en Ukraine, vous avez rencontré beaucoup de gens. Y a-t-il une personne qui vous a particulièrement marqué ?Oh oui, il y avait beaucoup de rencontres marquantes, mais je pense à Polina, de Zaporijjia. Une jeune femme très engagée depuis le premier jour de la guerre. Avec ses frères et des amis, elle a monté une association de bénévoles pour distribuer de l'aide humanitaire et collecter des dons. Aujourd'hui, elle travaille pour les ambulances et aide à évacuer les soldats blessés du front. Elle sauve des vies, tout en risquant la sienne. Elle va tous les jours près de la ligne de front. Mais ce qui était frappant de voir, c'étaient tous ces gens qui, d'une manière ou d'une autre, s'engageaient pour que leur pays tienne bon. Pour que l'Ukraine ne perde pas cette guerre. Après presque trois ans de guerre, tout le monde est épuisé. Mais les gens font preuve d'une incroyable force, d'une résilience impressionnante. Ils continuent. Ils ne lâchent pas.Vous restez en contact avec ces personnes ?Oui, presque toutes. Souvent, nos conversations commencent par la question : « Est-ce que tout va bien après la dernière attaque de missiles ? ». Par exemple, pendant les fêtes de Noël, environ soixante-dix missiles ont été lancés par la Russie. Certains ont été interceptés, mais c'était une attaque massive, même Le jour de Noël. Certains amis ont dû se mettre à l'abri ne serait-ce que dans leur salle de bain durant les bombardements.Pensez-vous que votre livre offre une perspective différente de celle transmise par les médias ?J'espère que oui. Les meilleures conversations n'ont pas lieu immédiatement. Elles viennent au deuxième ou troisième jour, lorsque vous êtes vraiment intégré dans le quotidien des gens. J'ai voulu montrer la vie des gens ordinaires, mettre en avant le côté humain, pas seulement décrire la vie des soldats ou les stratégies militaires.Quel impact cette guerre a-t-elle sur la société ukrainienne ?Il est énorme. Beaucoup parlent d'années « volées ». La priorité est de survivre, ne pas devenir fous. Ils n'ont pas le temps ni l'esprit pour se projeter dans l'avenir. Les problèmes de santé, qu'ils soient physiques ou psychologiques, sont omniprésents, on parle beaucoup de symptômes post-traumatiques. J'ai moi-même eu des sirènes fantômes, dans la tête. Après mon retour, chaque bruit me rappelait une alerte aérienne. Mais moi, je n'ai passé que huit mois en Ukraine. Donc, imaginez celles et ceux qui y vivent et qui subissent des bombardements au quotidien.Avez-vous le sentiment que les Ukrainiens montrent des signes de lassitude face à cette guerre ?Oui, bien sûr. Beaucoup sont épuisés. Mais la majorité veut continuer à se battre, car ils savent qu'un cessez-le-feu temporaire ne signifie pas la fin du conflit. Ils veulent éviter qu'une armée russe renforcée ne revienne dans quelques années. Et ils sont bien conscients du fait ce que cela signifierait de vivre sous occupation russe.En quoi ce voyage a-t-il été différent des autres pour vous ? C'est sans doute le voyage le plus extrême et le plus dangereux que j'aie jamais fait. C'est aussi celui qui m'a le plus marqué, tout simplement, parce que ma position sur l'Ukraine est très claire. Je pense que toute personne dans le monde ayant fait ce type de voyage serait parfaitement consciente qu'il n'est plus possible de revenir à une situation normale avec la Russie d'aujourd'hui. Il ne faut pas recommencer à faire du commerce avec la Russie, à lui acheter du gaz et du pétrole à grande échelle, comme certains partis en Allemagne le souhaitent.Quand on vit une situation de guerre de près, on saisit pleinement l'injustice et la brutalité de ce conflit, d'une manière qu'aucun reportage ou documentaire télévisé ne pourrait transmettre. C'est ce qui m'a le plus marqué émotionnellement. On me demande souvent quel sera mon prochain projet de livre. Pour l'instant, je ne peux ni décider ni même y penser, car le sort de l'Ukraine continue de me bouleverser.Couchsurfing in der Ukraine : Meine Reise durch ein Land im Krieg (Couchsurging en Ukraine. Mon voyage dans un pays en guerre) est publié aux éditions Malik.Le livre précédent de Stephan Orth sur le couchsurfing en Iran a été traduit en français et a été publié aux éditions Payot sous le nom de Derrière les portes closes. Mes aventures en Iran.
durée : 00:11:20 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'explorateur Eliott Schonfeld publie "Alaska, sur la piste de Telaquana" aux éditions Payot. - invités : Eliott Schonfeld - Eliott Schonfeld : Plus jeune membre de la société des explorateurs français
durée : 00:11:20 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'explorateur Eliott Schonfeld publie "Alaska, sur la piste de Telaquana" aux éditions Payot. - invités : Eliott Schonfeld - Eliott Schonfeld : Plus jeune membre de la société des explorateurs français
Pendant les fêtes, "L'Heure du Monde" vous propose de redécouvrir ses meilleurs épisodes. Rendez-vous en 2025 et prenez soin de vous
Après plus de trois mois d'un procès hors norme, le verdict a été annoncé ce jeudi dans l'affaire des viols de Mazan. Les 51 accusés ont tous été condamnés. La peine la plus lourde a été prononcée à l'encontre de Dominique Pelicot qui écope de 20 ans de prison pour avoir drogué pendant plusieurs années son épouse Gisèle Pelicot et l'avoir livré sexuellement à des inconnus rencontrés sur internet.Quels sont les enseignements de ce procès ? L'onde de choc générée peut-elle permettre de mieux lutter contre les violences sexuelles et faire reculer les inégalités entre les femmes et les hommes ? Pour en débattreIsabelle Rome, ambassadrice pour les droits de l'homme, ancienne ministre de l'Égalité entre les femmes et les hommesViolaine De Filippis Abate, avocate et co-fondatrice du collectif Action juridique féministe, porte-parole d'Osez le féminisme, autrice de l'ouvrage Classées sans suites. Les femmes victimes de violence face à la justice, aux éditions Payot.Sébastien Garcin, cofondateur de la startup YZR mais aussi un ardeur défenseur de l'égalité, co fondateur du collectif Men at Work qui conçoit des outils pour mobiliser les hommes en tant qu'allié, auteur de la newsletter Héraclès, des astuces pour devenir un bon allié
L'émission 28 minutes du 14/12/2024 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Jeremy Stubbs, directeur adjoint de la rédaction de la revue Causeur ; Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme ; Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po et la dessinatrice de presse Dorthe Landschulz. L'Europe a-t-elle raison de dire “stop” aux réfugiés syriens ? Depuis 2015, 6 millions de Syriens ont fui leur pays et le régime de Bachar al-Assad : 3 millions vers la Turquie voisine et 1,3 million vers l'Europe. Alors que le régime est tombé, la question du retour de ces réfugiés en Syrie se pose. Depuis lundi 9 décembre, plusieurs pays ont gelé les procédures d'examen des demandes d'asile des Syriens comme l'Allemagne, le Royaume-Uni ou la Norvège. L'Autriche a même annoncé préparer un “programme de rapatriement et d'expulsion” des Syriens ayant déjà obtenu l'asile. Cet empressement est “indécent” pour plusieurs partis de gauche, des ONG et des médias. La Syrie sans Bachar al-Assad sera-t-elle plus sûre pour ces millions de réfugiés ? Les émissions de CO2 dues au tourisme explosent : faudra-t-il limiter les voyages ? Les émissions mondiales de CO2 liées au tourisme s'envolent, selon une étude publiée dans la revue “Nature Communications”. Elles représentent aujourd'hui 9 % du total des émissions de CO2 dans le monde. Surtout, elles augmentent de 3 à 4 % par an depuis 10 ans. La tendance n'est pas près de s'infléchir avec l'augmentation de la population mondiale. Trois pays, la Chine, les États-Unis et l'Inde, représentent 40 % des émissions du secteur du tourisme. Dans le même temps, le secteur aérien anticipe un record mondial de 5,2 milliards de passagers en 2025. Pour faire baisser les émissions de CO2 générées par le tourisme de masse, les auteurs de l'étude estiment nécessaires des choix politiques forts pour “limiter la demande”. Doivent-ils forcément être coercitifs ? Nous recevons l'explorateur et écrivain Eliott Schonfeld qui publie “Alaska, sur la piste de Telaquana” aux éditions Payot. Depuis plusieurs années, il explore des territoires sauvages en solitaire avec la volonté de revenir à l'instinct primaire de survie, en communion avec la nature. En août 2023, il décide de partir sur les traces de Richard Proenneke, un homme de 51 ans qui décide en 1968 de revenir à la vie sauvage dans l'une des régions les plus inhospitalières d'Alaska, la vallée des Twin Lakes. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins allemands. Le droit à l'IVG n'est pas inscrit dans la loi mais elle est tolérée. Si elle est pratiquée dans les douze premières semaines de la grossesse après une consultation médicale, elle n'est pas passible de poursuites judiciaires. Mais, puisque l'intervention est illégale, elle n'est pas remboursée. Le projet de loi propose de légaliser l'avortement jusqu'à la douzième semaine. Il sera possible de le faire au-delà de ce délai, en cas de problème médical particulier. Sur avis médical, il serait ainsi remboursé. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision américaine qui revient sur l'assassinat de Brian Thompson, patron d'un géant de l'assurance santé aux États-Unis, par Luigi Mangione. L'engouement autour de ce dernier est-il révélateur du malaise des Américains avec leur système d'assurance santé privée ? Ce week-end, Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Abou Mohammed al-Joulani, le nouvel homme fort de la Syrie. Ancien membre d'al-Qaida, il se présente aujourd'hui comme le leader “réformateur” des rebelles syriens. Paola Puerari s'intéresse au robot Optimus : conçu par Tesla et doté de l'intelligence artificielle, il peut effectuer de nombreuses tâches. Deviendra-t-il le majordome du 21e siècle ? Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes qui se demande comment surfer sur la plus grande vague du monde. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 14 décembre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
Thune podcast s'enrichit d'un nouvel épisode ! Chaque mois, nous (Anna et Laurence) passerons en revue quelques produits culturels "Thune compatibles" qui nous ont marqué.En décembre, nous décryptons donc le film documentaire Au boulot ! de François Ruffin et nous ne sommes pas vraiment d'accord (quoique) sur le documentaire Buy now : ces marques qui nous manipulent sur Netflix. Puis, nous discutons de Qui travaille vraiment ? (éditions Payot), le nouveau livre de Denis Colombi, que nous avons déjà interviewé (épisode 69). Enfin, petit bonus sur l'exposition Tina Barney eu Jeu de Paume à Paris.De quoi étoffer ou conserver votre capital... culturel bien sûr. Bonne écoute.Une émission animée par Anna Borrel & Laurence Vély, montée par Bastien Bironneau sur une musique originale de Frédéric Fortuny. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Faut-il encore voyager ? Comment voyager autrement ? Quels sont les méfaits environnementaux, sociaux ou culturels du tourisme ? Analyse critique d'une culture hyper-valorisée dans nos sociétés contemporaines mais qui peut s'avérer dévorante… Ces dernières années, le tourisme international a connu une croissance exponentielle, même après la crise sanitaire et en dépit de la crise climatique, suscitant des conflictualités nouvelles, liées notamment au surtourisme. De Barcelone -16 millions de visiteurs en 2023- à Athènes en passant par Venise -30 millions de touristes chaque année-, des manifestations se sont multipliées pour dénoncer la pression immobilière, l'inflation et les nuisances environnementales que génère, à l'heure de l'Anthropocène, le tourisme. Dans son dernier essai «Dévorer le monde» paru en France, l'anthropologue française et militante écologiste Aude Vidal s'inscrit dans la lignée de ces mouvements et nous invite à réfléchir collectivement et individuellement sur la place qu'a fini par occuper le voyage dans les imaginaires et les modes de vie occidentaux : entre mobilité frénétique, inconscience entretenue et envie de se distinguer socialement. Car voyager pour ses loisirs, qui plus est à l'autre bout du monde, demeure un privilège. 80% de la population mondiale n'a ainsi jamais pris l'avion et seulement 1% de la population mondiale concentre 50% des émissions du secteur aérien. Mais Aude Vidal, qui s'avoue elle-même grande voyageuse, interroge surtout l'industrie touristique qui pèse lourd dans l'économie mondiale et le PIB de nombreux pays ; une industrie «du surplus, qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres» et qui, tel un ogre, présiderait en quelque sorte, à la table d'un grand banquet où la planète et ses ressources seraient au menu.Plus que d'émettre des solutions, des aménagements concrets contre le surtourisme, l'anthropologue s'attache plutôt à repolitiser un champ - le voyage- perçu, voulu comme une parenthèse déréalisée, loin du travail et des tracas du quotidien, pour ceux qui ont la chance et les moyens de partir. Ce faisant, elle dénonce le capitalisme à l'œuvre dans ces dynamiques touristiques et les inégalités croissantes qu'il produit, partout dans le monde.Avec Aude Vidal, anthropologue française et autrice de « Dévorer le monde ». À lire :- «Dévorer le monde. Voyage, capitalisme et domination». Aude Vidal. Éditions Payot. 2024- «Égologie: écologie, individualisme et course au bonheur». Aude Vidal. Éditions Le monde à l'envers. 2017- «La vraie vie est ici. Voyager encore?» Rodolphe Christin. Éditions Écosociété. 2020 - «Désastres touristiques». Henri Mora. Éditions L'échappée. 2022- «Habiter une ville touristique». Collectif Droit à la ville Douarnenez. Éditions du commun. 2023- Le blog d'écologie politique d'Aude Vidal. À voir :- Mayapolis, un documentaire de Renaud Lariagon sur le tourisme et l'expansion urbaine dans la péninsule du Yucatan, recommandé par Aude Vida. Disponible en ligne.
Café ? thé ? chocolat ? avec un peu de sucre ? Un coup d'œil à nos petits déjeuners et à nos tasses de boissons chaudes, et c'est une autre histoire du monde que l'on découvre. Choisissez votre préféré : Thé, café, chocolat ? Des produits exotiques découverts au Mexique, en Éthiopie, au Yémen, en Asie que les Européens ne pouvaient cultiver au Nord, et auquel pourtant ils avaient pris goût. Plus ancienne encore : la découverte de la canne à sucre, « ce roseau qui donne du miel sans le recours des abeilles », dont la valeur dépasse celle de l'or au XVè siècle.Ce petit déjeuner s'avère pionnier de l'industrie agroalimentaire, aux sources mêmes de la colonisation et de la mondialisation.Avec Christian Grataloup, géo-historien, professeur émérite, auteur de « Le monde dans nos tasses, une étonnante histoire du petit déjeuner », publié aux éditions Payot.Le sucre est l'élément de base sur lequel sera construit le modèle de la plantation, et donc le recours aux esclaves.Thomas Clouet est animateur TV et cuisinier. Il publie « Petit déjeuner, tout un monde en 150 recettes », aux éditions Flammarion. Curieux, Thomas Clouet s'est passionné pour le sujet et s'est laissé presque surprendre par la richesse de ce repas auquel la littérature culinaire prête généralement peu d'attention.Au micro de Catherine Fruchon-Toussaint, de RFI, qui aime aussi les livres de cuisine. Pour suivre Thomas Clouet sur les réseaux. Pour aller plus loin- Robert Fortune. La route du thé et des fleurs. Éditions Payot.- Histoire du sucre, histoire du monde, de James Walvin. Éditions de la Découverte- L'usage du thé, une histoire sensible du monde, de Lucie Azéma. Éditions Flammarion- Quelques adresses où petit déjeuner : le Holy Belly café à Paris, rue Sampaix, Arthurs Nosh à Montréal, Aux bons amis pour un bouillon, des bao, du tofu sucré, ou aux algues à Belleville, Mûre à Paris, Keliba café à Dakar.Côté musique : Oh Bahia, de Dino d'Santiago et Luedji Luna. En imagesRecettes :Issues du livre de Thomas Clouet ; Le petit déjeuner, tout un monde en 150 recettes, aux éditions Flammarion.
Elles sont nombreuses les femmes seules à élever leurs enfants : plus d'un million et demi en France.On les voit peu, on les entend peu, et pour cause : les mère solo sont pressées. Elles ont des courses à faire, des dîners à préparer, des enfants à emmener chez le médecin. Bref, la mère solo est quelquefois (souvent) au bout du rouleauMais dans cet épisode de Thune, on ne va pas uniquement parler de sa charge mentale. Avec Johanna Luyssen, journaliste et autrice de l'essai “Mères solo, le combat invisible” (éditions Payot) on va surtout essayer de comprendre ce qui pêche dans le système et pourquoi chez les mères, "célibataire" rime trop fréquemment avec "précaire".Crédit photo ©Marie Rouge.Si vous le pouvez, merci de soutenir Thune sur Tipeee. Pour que le projet continue, en toute indépendance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Deux-centième numéro de Chemins d'histoire, cinquième numéro de la sixième saison, émission animée par Luc Daireaux Émission diffusée le mardi 22 octobre 2024 Thème : Le petit âge glaciaire et la chute des Ming Invité : Timothy Brook, professeur émérite à l'université de Colombie-Britannique, auteur de Le Prix de l'effondrement. Le petit âge glaciaire et la chute de la Chine des Ming, Payot, 2024.
Un jour, j'ai dû interrompre ma grossesse J'ai 36 ans. Je suis enceinte. Je vais donner la vie. Suite à la première échographie, je suis forcée d'interrompre ma grossesse à cause d'une anomalie fœtale grave. Je vais donner la mort. J'ai été enceinte pendant 3 mois. C'est l'histoire d'une maternité avortée. D'un amour empêché. C'est l'histoire d'une disparition. D'une apparition désincarnée. De quelque chose qui apparaît en mourant. Pour rompre ce silence, j'ai mené mon enquête. En retraçant mon histoire avec le « presque père », Gianni. En interrogeant d'autres femmes ayant vécu des pertes similaires. J'ai également rencontré des spécialistes afin d'éclairer les zones d'ombre qui entourent la perte d'un enfant. Non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les femmes. Car c'est avant tout une histoire de femmes. Une expérience passée sous silence. Un tabou qui fait l'objet de préjugés. Une absence de mots. Un vide dévastateur. De ce vide est né le désir d'écrire. Pour rendre visible aussi tous les aspects corporels et émotionnels partagés par des milliers de femmes lors du deuil périnatal. Pour partager avec d'autres les textes féministes qui m'ont aidée à traverser l'impensable. Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du Ministère de la Culture. Réalisatrice de documentaires et créatrice sonore, Laure Chatrefou signe des récits intimes pour ARTE Radio, dont Maman, sa femme et moi et L'amour, les hommes et moi. Elle réalise aussi des installations immersives, des films documentaires ou des créations sonores mettant en lumière des pratiques culturelles locales, comme le Debaa de Mayotte, le Fon ker de La Réunion ou les touloulous de Guyane. Ses œuvres sont exposées en France et à l'international, du Mucem à Marseille au Musée d'art moderne de Rabat. Elle collabore également avec le Centre Pompidou et le musée d'arts de Nantes pour la création de podcasts. AvecCaroline Reniche, sage-femme ;Diane de Wailly, psychologue spécialisée dans le diagnostic anténatal et l'accompagnement de femmes et de couples endeuillés ;Lisa Carayon, maîtresse de conférences en droit à l'université Paris spécialiste en droit de la santé, de la famille et des migrations ;Mathilde Lemiesle, autrice et illustratrice de « Mes presques riens » ;Anne Sophie Giraud, chercheuse en anthropologie de la personne, du corps et la parenté. LecturesLudmilla Dabo, Anna Holveck, Perrine Kervran, Agathe Rémi, Sabine Zovighian, Antoine Bault, Chloé Assous-Plunian et Anne Guillou. TémoignagesGianni Fileccia, Alice, Lucie, Axelle, Sophie, Céline, Marine et Cécile. RemerciementsÀ toutes les voix entendues dans le documentaire et à celles qu'on n'entend pas.À Judith Aquien, autrice de Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse (Éditions Payot) ; Emmanuelle Berthiaud, historienne du genre, de l'enfance et de la médecine, autrice de Enceinte. Une histoire de la grossesse entre art et société (Éditions de la Martinière) ; Marc Dupont, Directeur d'hôpital à l'Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Maud Trichet, intervenante en santé sexuelle au planning familial de Nantes ; Félicia Joinau-Zoulovits, Cheffe de service en gynécologie-obstétrique - Hôpital Le Raincy à Montefermeil ; Myriam Gervais, maitresse de cérémonie au crématorium du Père-Lachaise et l'équipe Père-Lachaise ; Sophie Louÿs , sage-femme.À Gianni Fileccia, ma fille Thelma Chatrefou-Fileccia, Sophie et son mari, Justine Weisz, Anne Guillou, Anne-Céline Genevois, Hoang Ngyuen Le, Clarice Guimaraes, Bastien de Sordi, Mina Souchon, Mathilde Guermonprez.Pour tous les précieux conseils, remerciements à Perrine Kervran, Arnaud Forest, Silvain Gire et Chloé Assous-Plunian. Pour aller plus loinLe corps des femmes, Camille Froidevaux Metterie, 2018 ;L'horreur d'un pareil amour, Marguerite Duras, 1976 ;Attendre un enfant après une interruption médicale de grossesse, Diane de Wailly, 2018 ;Trois mois sous silence, Judith Aquien, 2021 ;Enceinte, une histoire de la grossesse, Emmanuelle Berthiaud, 2013 ;Mes presque riens, Mathilde Lemiesle, 2021 (Instagram) ;Lettres à Madame Hanska, Honoré de Balzac, 1846-1850."Mon corps, mes droits ! L'avortement menacé ?", in Penser les droits reproductifs comme un tout : avortement, contraception et accouchement sous X en droit français, Lisa Carayon, 2019. Prise de son, montage : Laure Chatrefou - Texte et voix : Laure Chatrefou - Enregistrements : 2023-2024 - Réalisation, mixage et musique originale : Arnaud Forest - Musique originale et violoncelle : Cécile Lacharme - Musique additionnelle : “Thoughts on Wings” de Timothée Couteau - Illustration : Mathilde Lemiesle - Extrait de film : "Annie Colère" de Blandine Lenoir (2022) - Production : ARTE Radio
Un jour, j'ai dû interrompre ma grossesse J’ai 36 ans. Je suis enceinte. Je vais donner la vie. Suite à la première échographie, je suis forcée d’interrompre ma grossesse à cause d'une anomalie fœtale grave. Je vais donner la mort. J’ai été enceinte pendant 3 mois. C’est l’histoire d’une maternité avortée. D’un amour empêché. C’est l’histoire d’une disparition. D’une apparition désincarnée. De quelque chose qui apparaît en mourant.Pour rompre ce silence, j'ai mené mon enquête. En retraçant mon histoire avec le « presque père », Gianni. En interrogeant d'autres femmes ayant vécu des pertes similaires. J'ai également rencontré des spécialistes afin d'éclairer les zones d'ombre qui entourent la perte d'un enfant. Non seulement pour moi, mais aussi pour toutes les femmes.Car c’est avant tout une histoire de femmes. Une expérience passée sous silence. Un tabou qui fait l’objet de préjugés. Une absence de mots. Un vide dévastateur. De ce vide est né le désir d’écrire. Pour rendre visible aussi tous les aspects corporels et émotionnels partagés par des milliers de femmes lors du deuil périnatal. Pour partager avec d’autres les textes féministes qui m’ont aidée à traverser l’impensable. Ce documentaire a bénéficié de l'aide à l'écriture de podcasts du Ministère de la Culture.Réalisatrice de documentaires et créatrice sonore, Laure Chatrefou signe des récits intimes pour ARTE Radio, dont Maman, sa femme et moi et L’amour, les hommes et moi. Elle réalise aussi des installations immersives, des films documentaires ou des créations sonores mettant en lumière des pratiques culturelles locales, comme le Debaa de Mayotte, le Fon ker de La Réunion ou les touloulous de Guyane. Ses œuvres sont exposées en France et à l'international, du Mucem à Marseille au Musée d’art moderne de Rabat. Elle collabore également avec le Centre Pompidou et le musée d’arts de Nantes pour la création de podcasts. AvecCaroline Reniche, sage-femme ;Diane de Wailly, psychologue spécialisée dans le diagnostic anténatal et l’accompagnement de femmes et de couples endeuillés ;Lisa Carayon, maîtresse de conférences en droit à l'université Paris spécialiste en droit de la santé, de la famille et des migrations ;Mathilde Lemiesle, autrice et illustratrice de « Mes presques riens » ;Anne Sophie Giraud, chercheuse en anthropologie de la personne, du corps et la parenté.LecturesLudmilla Dabo, Anna Holveck, Perrine Kervran, Agathe Rémi, Sabine Zovighian, Antoine Bault, Chloé Assous-Plunian et Anne Guillou.TémoignagesGianni Fileccia, Alice, Lucie, Axelle, Sophie, Céline, Marine et Cécile.RemerciementsÀ toutes les voix entendues dans le documentaire et à celles qu’on n’entend pas.À Judith Aquien, autrice de Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse (Éditions Payot) ; Emmanuelle Berthiaud, historienne du genre, de l'enfance et de la médecine, autrice de Enceinte. Une histoire de la grossesse entre art et société (Éditions de la Martinière) ; Marc Dupont, Directeur d’hôpital à l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Maud Trichet, intervenante en santé sexuelle au planning familial de Nantes ; Félicia Joinau-Zoulovits, Cheffe de service en gynécologie-obstétrique - Hôpital Le Raincy à Montefermeil ; Myriam Gervais, maitresse de cérémonie au crématorium du Père-Lachaise et l’équipe Père-Lachaise ; Sophie Louÿs , sage-femme.À Gianni Fileccia, ma fille Thelma Chatrefou-Fileccia, Sophie et son mari, Justine Weisz, Anne Guillou, Anne-Céline Genevois, Hoang Ngyuen Le, Clarice Guimaraes, Bastien de Sordi, Mina Souchon, Mathilde Guermonprez.Pour tous les précieux conseils, remerciements à Perrine Kervran, Arnaud Forest, Silvain Gire et Chloé Assous-Plunian.Pour aller plus loinLe corps des femmes, Camille Froidevaux Metterie, 2018 ;L’horreur d’un pareil amour, Marguerite Duras, 1976 ;Attendre un enfant après une interruption médicale de grossesse, Diane de Wailly, 2018 ;Trois mois sous silence, Judith Aquien, 2021 ;Enceinte, une histoire de la grossesse, Emmanuelle Berthiaud, 2013 ;Mes presque riens, Mathilde Lemiesle, 2021 (Instagram) ;Lettres à Madame Hanska, Honoré de Balzac, 1846-1850."Mon corps, mes droits ! L'avortement menacé ?", in Penser les droits reproductifs comme un tout : avortement, contraception et accouchement sous X en droit français, Lisa Carayon, 2019. Prise de son, montage Laure Chatrefou Texte et voix Laure Chatrefou Enregistrements 2023-2024 Réalisation, mixage et musique originale Arnaud Forest Musique originale et violoncelle Cécile Lacharme Musique additionnelle “Thoughts on Wings” de Timothée Couteau Illustration Mathilde Lemiesle Extrait de film "Annie Colère" de Blandine Lenoir (2022) Production ARTE Radio
On fait parler la poudre d'escampette avec la grande écrivaine et voyageuse suisse du siècle passé : Ella Maillart. Voyage dans son pays natal, qui près de 30 ans après sa mort, continue d'honorer sa mémoire et son legs immense. À Si loin si proche, Ella, c'est une sorte de marraine, d'aînée que l'on convoque souvent, tant elle a ouvert la voie à d'autres sur les chemins de l'ailleurs, de la liberté et de l'Asie. Née en 1903 sur les bords du Lac Léman, Ella Maillart va très tôt tracer sa route au-delà des frontières et des conventions, voyageant seule et refusant « de remplir un destin tout tracé par son sexe » – on dirait genre aujourd'hui…Tour à tour sportive de haut niveau, marin, reporter, photographe, écrivaine, guide et conférencière jusqu'à l'âge de 80 ans, l'autrice de La voie cruelle ou d'Oasis interdites a laissé derrière elle une œuvre puissante, singulière : des images et des récits dans lesquels son regard bleu perçant avait à cœur de raconter, mettre à jour le monde et dire sa vérité. Aujourd'hui encore, on est frappé par la modernité, la cohérence de son existence. On la cite et on la lit encore, certain.e.s voyagent sur ses traces en Asie... Et en Suisse, à travers des lieux, des musées ou des expositions temporaires, on continue de célébrer, partager la géographie complexe d'Ella Maillart, « la femme du globe », comme l'avait surnommé le poète Paul Valéry. Nouvel épisode de notre série de portraits radiophoniques d'écrivain.e.s voyageurs-voyageuses, dans les yeux d'Ella en Suisse. Entre les rives du Léman de son enfance et son refuge d'altitude à Chandolin où elle s'est installée en 1946, entre les vitrines du Musée Rath de Genève qui lui a consacré une rétrospective au printemps 2024 et celles du Musée Bolle de Morges qui s'est penché sur son passé de navigatrice. Dans Ma philosophie du voyage, Ella Maillart faisait sienne les mots d'Antoine de Saint-Exupéry : « Une mauvaise littérature nous a parlé du besoin d'évasion. Bien sûr, on s'enfuit en voyage à la recherche de l'étendue. Mais l'étendue ne se trouve pas, elle se fonde. Et l'évasion n'a jamais conduit nulle part. » Puis, terminait ainsi : « Ces mots résument ma vie. »Un voyage sonore de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary.Partir en Suisse dans les yeux d'Ella : À Chandolin, dans la quiétude des Alpes valaisannes, on retrouve à près de 2 000 mètres, le chalet Atchala d'Ella Maillart et l'émouvant musée qui lui est dédié. Contacter l'Association des Amis d'Ella Maillart pour le chalet, un lieu particulièrement touchant et intouché. L'espace Ella Maillart est tout aussi passionnant. Un vrai voyage dans le temps et dans la vie d'Ella. Le Musée Rath, musée d'art et d'histoire de Genève, a consacré une grande exposition à l'écrivaine voyageuse et convoqué deux artistes plasticiennes pour interroger le sillon profond qu'a laissé Ella Maillart derrière elle. Le Musée Bolle de Morges s'est penché sur le passé de navigatrice d'Ella. À partir du travail de l'autrice suisse Carine Bertola, autrice de Ella Maillart Navigatrice. Libre comme l'eau paru aux Éditions Glénat. Le Musée photo Élysée de Lausanne concentre la fabuleuse collection d'images d'Ella Maillart. Plus d'infos pour organiser votre voyage sur le site de Suisse Tourisme.À lire en voyage : Ella Maillart. Navigatrice. Libre comme l'eau de Carine Bertola. Éditions Glénat 2024 Ella Maillart, l'intrépide femme du globe de Gwenaëlle Abolivier. Éditions Paulsen 2023 Les Éditions Payot publient en poche, en France, les différents ouvrages d'Ella Maillart Regards sur Chandolin d'Ella Maillart. Éditions Zoé 2021
Après le casse-tête des fournitures scolaire, de la rentrée, c'est le tour de la course aux activités périscolaires . Mais attention de ne pas surcharger des enfants de plus en plus touchés, eux aussi, par le burn-out. Béatrice Millêtre, docteur en psychologie et auteur de "Le burn out des enfants : comment éviter qu'ils ne craquent", aux éditions Payot, est l'invitée de Amandine Bégot. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot avec Amandine Bégot du 04 septembre 2024.
Après le casse-tête des fournitures scolaire, de la rentrée, c'est le tour de la course aux activités périscolaires . Mais attention de ne pas surcharger des enfants de plus en plus touchés, eux aussi, par le burn-out. Béatrice Millêtre, docteur en psychologie et auteur de "Le burn out des enfants : comment éviter qu'ils ne craquent", aux éditions Payot, est l'invitée de Amandine Bégot. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot avec Amandine Bégot du 04 septembre 2024.
durée : 00:49:52 - La 20e heure - par : Eva Bester - Dans son nouveau roman "Le rêve du jaguar" chez Payot & Rivages, l'écrivain Miguel Bonnefoy déploie des trésors d'inventivité pour entremêler les destins de ses personnages et l'histoire du Venezuela qui se crée sous leurs pas. Un safari familial teinté d'un peu de magie et d'un brin de mythologie. - réalisé par : Lola COSTANTINI
"J'ai eu besoin d'écrire sur l'amour parce que je ne crois plus qu'il y ait quoi que ce soit à reconstruire ou à réinventer. Il faut détruire l'idée d'amour. " Majé, enseignante, chercheuse, autrice : "Non-binaire quand je suis dans ma chambre, femme cisgenre quand je me présente aux autres".Majé ouvre un débat passionnant : et si finalement, l'amour au sens "relation amoureuse", plutôt qu'un souhait positif, n'était en fait, que l'origine de nombreuses souffrances. Et si on sortait de la matrice ? Des schémas répétitifs ? En serait-on plus heureuse, heureux ? J'ai dévoré le livre de Majé "Ne plus tomber (en amour) - manifeste de dissidence affective" (éditions Ixe), paru en octobre 2023. Dans cet épisode, nous évoquons : l'éducation (conditionnement ?) à l'amour et à la quête d'une relation amoureuse, la dépendance affective, le male gaze (être validé·e par les hommes) mais aussi la joie, le plaisir, la sexualité, la tendresse, la jalousie ou la compersion, les différentes formes d'amour ou de relations intimes pas forcément amoureuses, la CONSIDERATION qu'on est en droit d'attendre de tout partenaire, le consentement, l'amitié, l'habitat, le sommeil (en solo ou à plusieurs) etc. Si vous êtes une grand·e romantique, et que le titre de l'épisode vous effraie, ouvrez votre cœur et votre esprit, cet épisode vous est dédié, vraiment ! Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois (ou +), j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage). Merci aux premières personnes qui ont participé ! MERCI à tous et toutes ! Single Jungle a dépassé les 340 000 écoutes cumulées, tous épisodes confondus ! C'est un bel accomplissement ! En route pour les 400 000 ! AUTO-PROMO : Je suis encore passée sur France inter ! Cette fois, dans l'émission "Blockbusters" animée par Frédérick Sigrist, avec Jennifer Padjemi (autrice, journaliste, podcasteuse) et Benjamin Benoit (journaliste et auteur), pour parler de la série "Grey's Anatomy", série féministe, inclusive, qui a déjà 20 ans ! Merci à toute l'équipe, attachés de production : Lysiane Larbani, Benjamin Dussy, réalisation : Charles De Cilliahttps://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/blockbusters/blockbusters-du-vendredi-12-juillet-2024-8349512Extrait : https://www.instagram.com/p/C9XGV0WAJfQ/La 1ère fois, c'était dans la matinale la plus écoutée de France, animée par Léa Salamé et Nicolas Demorand. Et en plus j'étais aux côtés de Judith Duportail ! C'était super. N'hésitez pas à mettre un like et/ou commentaire, ça aide mon référencement : https://youtu.be/QOaP9WlBcTw?si=tLMgg_rrhMoxSkApLien audio : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-debat-du-7-10/le-debat-du-7-10-du-lundi-01-avril-2024-2959967 Références citées dans l'épisode ou en bonus (à suivre) résumé du livre de Majé :"J'ai eu besoin d'écrire sur l'amour parce que je ne crois plus qu'il y ait quoi que ce soit à reconstruire ou à réinventer. Il faut détruire l'idée d'amour. Un jour, Majé en a eu marre. Marre d'être fragilisée par la relation amoureuse, marre d'être anéantie par la rupture, marre de tomber chaque fois dans le même piège. Alors elle a décidé d'arrêter, et ce fut plus facile que prévu. Car si l'amour est une belle boîte noire qui nous arrive toute ficelée, quand on l'ouvre pour chercher à comprendre comment fonctionne l'engrenage, on se rend compte que tous ces rouages qui tournent ensemble peuvent être dissociés les uns des autres. Et à y regarder de plus près, on voit qu'il est possible de ne garder que les moments beaux, intenses et drôles en renonçant au désir d'être « tout » pour l'autre. Et on peut alors choisir de préférer à l'amour la tendresse radicale."https://www.placedeslibraires.fr/livre/9791090062818-ne-plus-tomber-en-amour-maje/ Autres livres "Libres ! manifeste pour s'affranchir des diktats sexuels" d'Ovidie et Diglee (éditions Delcourt) "Sexfriends : comment (bien) rater sa vie amoureuse à l'ère numérique, de Richard Mèmeteau (éditions La Découverte) "Si je veux : mère célibataire par choix" de Johanna Luyssen (éditions Grasset), et son prochain livre "Mères solos : Le combat invisible des mères célibataires", à paraître le 4 septembre 2024 (éditions Payot) "Maternités rebelles" de Judith Duportail, à paraître le 23 octobre 2024 (Binge Audio Editions), couverture dessinée par Chien fou « Polyamoureuse, confidences d'une femme qui aime au pluriel » de Lucile Bellan (éditions Larousse) "Au-delà du personnel : Pour une transformation politique du personnel" ouvrage collectif dirigé par – Grand livre, 30 mai Corinne Monnet et Léo Vidal, résumé :«Il faut du temps. Du temps pour réfléchir, discuter et tenir compte des rapports inégalitaires de genre. Du temps ensuite pour essayer, se tromper, réfléchir, discuter et reprendre. J'ai maintenant trente-sept ans, je réfléchis, je discute, j'essaye, je me trompe, je reprends… Les relations multipartenariales transparentes s'apprennent progressivement – comme la guitare, la bicyclette ou l'espagnol. Mais c'est une discipline encore confidentielle avec peu de pratiquants et peu de pratiquantes.Quant aux manuels et autres ouvrages théoriques… Parmi ceux qui existent en France, Au-delà du personnel explore le genre, le féminisme et l'amour libre dans une perspective libertaire. Vingt ans après le début de cette nouvelle vague de libération affective et sexuelle des années 2000, à une époque qui balbutie encore sa liberté sexuelle entre tantrisme et adultère serein, ce livre reste indéniablement d'actualité. »Éva ThiébaudAvec des contributions de : Tamara Bower, Christel, Katherine Davis, Françoise d'Eaubonne, Dominique Fauquet, Sarah Franklin, Claude Guillon, Sheila Jeffreys, Joris, Lola, Stanfield Major, Marie-Odile Marty , Elise Matthesen, Corinne Monnet, Annie S. Murray, Nicolas, Simone Nijboer, Noémie, Weia Reinboud, Jackie Stacey, Sylvie, Éva Thiébaud, Naomi Tucker, Léo Vidal et Rymke Wiersma. Podcasts Single Jungle, épisode 60 : Ella, 38 ans, a fait congeler ses ovocytes (en Espagne, car c'était trop tard en France) https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-60-ella-38-ans-a-fait-congeler-ses-ovocytes-je-ne-voulais-plus-depee-de-damocles-au-dessus-de-la-tete "Marie et les œufs en neige", podcast génial de Marie Cahu, à écouter ici : https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/marie-et-les-oeufs-en-neige et en intégralité ici : https://open.spotify.com/show/6VdQuPdfONEWNypix9Emp1 "Les mecs que je veux ken" de Rosa Bursztein, avec Judith Duportail https://open.spotify.com/episode/7kFfQpY23ig25JTk1XA2XF?si=KPTRo76rQiqFrnpl5mbe7w Suivez Judith Duportail, réflexions sur sa vie de jeune maman PMA sola, de jumeaux !, sur son compte Instagram : https://www.instagram.com/judithduportail_/ "Plaisir d'offrir" (sur le don d'ovocytes) de Klaire fait grr, prises de son additionnelles : Elodie Font, Réalisation & mix : Samuel Hirsch, chez Arte Radio https://www.arteradio.com/serie/plaisir_d_offrir [Bonne nouvelle : depuis la loi d'août 2021, le conjoint de la personne qui donne ses gamètes n'a plus à donner son consentement. Ce qui n'était pas le cas lorsque Klaire Fait Grr a fait son don d'ovocytes.] Lucile Bellan, et sa règle personnelle des 24h (et non 48h comme je l'indique dans l'épisode) où elle a besoin d'une pause entre 2 relations intimes avec ses amoureux, amoureuses, dans le cadre de son polyamour. Elle évoque aussi sa vision de la compersion, en comparant avec une mousse au chocolat que l'un de ses amoureux, amoureuses, mangerait sans elle, eh bien, elle serait alors ravie pour elle ou lui. Mais.. les gens ne sont pas des desserts chocolatés, donc pas toujours évident de ne pas être jalouse, jaloux... à retrouver dans l'épisode 66 de Single Jungle https://singlejungle.lepodcast.fr/ep-point-66-lucile-bellan-polyamoureuse-ce-qui-coince-cest-que-je-prenne-du-temps-pour-moi-alors-que-je-suis-maman Photos Oeuvres de Nan Goldin https://www.mep-fr.org/les-collections/nan-goldin/Voir aussi le documentaire avec Nan Goldin, réalisé par Laura Poitras, et sorti en 2022 "Toute la beauté et le sang versé" https://youtu.be/6H_y2iCuQ3I?si=jX4fGG4zMQteLKpD Vidéo Pourquoi les couples se disputent systématiquement à Ikea ? Sketch de Gad Elmaleh dans son spectacle "L'autre, c'est moi"https://youtu.be/6ptarOq0vs4?si=8Vg2kbuKP80TXmMu AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires d'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en avril 2024, merci à elle (et à son chat) pour son hospitalitéMontage et mixage : Isabelle FieldMusique : Générique de "Manimal", virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
durée : 00:59:21 - Toute une vie - par : Vinciane Moeschler - Journaliste, photographe et écrivain suisse, Annemarie Schwarzenbach est devenue une icône. Dans l'Europe déchirée des années trente orchestrée par l'Allemagne nazie, elle lutte aux côtés des "enfants terribles" de Thomas Mann. Sa vie est fulgurante, son destin tragique. - invités : Daniel Girardin Historien de l'art et ancien conservateur du Musée la photographe de l'Elysée, à Lausanne.; Dominique Grente Germaniste, traductrice littéraire et auteur de la biographie Annemarie Schwarzenbach ou le mal d'Europe (2004), éditions Payot.; Anne Bisang Directrice artistique du Théâtre populaire romand (TPR) et metteur en scène de "Sils-Kaboul", adapté des textes d'Ella Maillart et d'Annemarie Schwarzenbach.; Véronique Aubouy Performeuse et réalisatrice de Je suis Annemarie Schwarzenbach (2014), essai documentaire/fiction, 86 mn.; Nicole Le Bris Normalienne et agrégée de lettres classiques. Elle a collaboré entre autres aux éditions bilingues de Rives du Congo et des Quarante Colonnes du souvenir d'Annemarie Schwarzenbach.
À l'occasion des JO de Paris 2024, 10 500 athlètes vont concourir dans 329 épreuves. Des sportifs de haut niveau, qui ont su se démarquer de leurs rivaux, lors des qualifications, grâce à l'alliance de la performance physique et de la préparation psychique. Comment au fil des années, l'encadrement repère, sélectionne, valorise et accompagne-t-il les meilleur.es ? Avec nos invités, nous nous intéressons à ce qui distingue un bon sportif d'un athlète d'excellence, mais aussi en termes de motivation, ce qui pousse à cet engagement dans le sport et la compétition. Entraînement, exigence, endurance, gestion du stress…Comment les sportifs sont-ils accompagnés sur le plan psychologique et physique ? Comment gérer les émotions avant et après la compétition ? Hubert Ripoll, fondateur du premier laboratoire français de psychologie cognitive appliquée au sport, à l'Institut national du sport (INSEP) et auteur du livre Le mental des champions. Comprendre la réussite sportive, édité par la petite biblio Payot psychologie. en duplex (France Bleu Provence) Témoignage de l'athlète Enzo Lefort, champion olympique d'escrime, avec Tom Malki Reportage de Tom Malki sur les « championnes de demain », à l'Institut national du footballChroniques spéciales : « L'édito du Doc » du Dr Philippe Le Van, directeur des services médicaux de Paris 2024 « La rencontre du jour » : Christophe Audouard, porteur de la flamme olympique et capitaine de l'équipe de France des greffés et transplantés, avec Louise Caledec « L'archive du jour » : Jeux olympiques de Sydney en 2000 avec Marie-José Pérec Programmation musicale : ► Modjo - Lady (Hear me tonight)► Faada Freddy – So amazing
À l'occasion des JO de Paris 2024, 10 500 athlètes vont concourir dans 329 épreuves. Des sportifs de haut niveau, qui ont su se démarquer de leurs rivaux, lors des qualifications, grâce à l'alliance de la performance physique et de la préparation psychique. Comment au fil des années, l'encadrement repère, sélectionne, valorise et accompagne-t-il les meilleur.es ? Avec nos invités, nous nous intéressons à ce qui distingue un bon sportif d'un athlète d'excellence, mais aussi en termes de motivation, ce qui pousse à cet engagement dans le sport et la compétition. Entraînement, exigence, endurance, gestion du stress…Comment les sportifs sont-ils accompagnés sur le plan psychologique et physique ? Comment gérer les émotions avant et après la compétition ? Hubert Ripoll, fondateur du premier laboratoire français de psychologie cognitive appliquée au sport, à l'Institut national du sport (INSEP) et auteur du livre Le mental des champions. Comprendre la réussite sportive, édité par la petite biblio Payot psychologie. en duplex (France Bleu Provence) Témoignage de l'athlète Enzo Lefort, champion olympique d'escrime, avec Tom Malki Reportage de Tom Malki sur les « championnes de demain », à l'Institut national du footballChroniques spéciales : « L'édito du Doc » du Dr Philippe Le Van, directeur des services médicaux de Paris 2024 « La rencontre du jour » : Christophe Audouard, porteur de la flamme olympique et capitaine de l'équipe de France des greffés et transplantés, avec Louise Caledec « L'archive du jour » : Jeux olympiques de Sydney en 2000 avec Marie-José Pérec Programmation musicale : ► Modjo - Lady (Hear me tonight)► Faada Freddy – So amazing
Pierre-Édouard Deldique reçoit dans Idées sous le thème d'une réflexion sur les moments de concorde en France de 1790 à 1998 : Jean Garrigues, historien, spécialiste d'histoire contemporaine et notamment de la vie politique française, auteur de : « Jours heureux, quand les Français rêvaient ensemble » chez Payot.