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President John Mahama says his administration is introducing stricter controls on the importation of excavators as part of a renewed national effort to clamp down illegal mining, commonly known as galamsey.
President John Mahama says recent gains by the Cedi have helped the country reduce its total debt burden by almost 150 billion Cedis. He says if the trajectory continues, the target of reaching 55 to 58 percent debt sustainability by 2028 will be met by the end of this year
“You have no right to criticize John Mahama or the government's removal of the Chief Justice when your own party did the same to Charlotte Osei. Your pain is obvious, but no one is coming to your rescue. People see right through your lies and hypocrisy.”
Le président du Ghana John Mahama a fait sensation cette semaine à Abidjan, en Côte d'Ivoire, quand il a appelé les investisseurs à venir forer du pétrole dans son pays « comme s'il n'y avait pas de lendemain ». Pourquoi une telle frénésie et une telle impatience ? Il y a l'effet Donald Trump, bien sûr, mais pas seulement. Benjamin Augé est chercheur associé au programme Afrique et au programme Énergie climat à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Il nous donne quelques clés au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : À l'Africa CEO Forum d'Abidjan cette semaine, le président ghanéen John Mahama a fait sensation quand il a appelé les investisseurs à venir pomper un maximum de pétrole chez lui, « comme s'il n'y avait pas de lendemain », a-t-il précisé. Qu'est-ce que vous en pensez ? Benjamin Augé : Je pense que c'est très classique de tous les dirigeants de pays producteurs, l'objectif est de produire le plus vite possible. Et John Mahama, qui vient d'arriver au pouvoir, a besoin de revenus significatifs. Et donc c'est assez classique que dans le sillage de l'arrivée de Trump au pouvoir, qui justement va faire son possible pour augmenter encore la production pétrolière de son pays, et bien à l'image de Trump, il essaie de suivre ses traces. Et donc l'objectif est de produire jusqu'à la dernière goutte. Quand il y a une rentabilité par rapport à un gisement, c'est d'essayer de faire en sorte que des investisseurs viennent pour trouver de nouveaux gisements pour que la production puisse à nouveau remonter. Et c'est vrai qu'il a compris que l'enveloppe globale pour les hydrocarbures a tendance à diminuer et que donc les investisseurs sont de plus en plus difficiles à convaincre d'investir dans certains pays, notamment dans des pays compliqués. Et donc il est nécessaire de tout faire pour faire en sorte que ces investisseurs viennent, en l'occurrence au Ghana.Oui, parce qu'il y a pas mal de banques européennes et américaines qui sont sous pression de leurs opinions publiques et qui n'osent plus investir dans le pétrole et le gaz. C'est ça ? Exactement. Tout gros investissement, on peut parler aussi d'investissement au Mozambique, sur Mozambique LNG avec Total, est très compliqué parce que vous avez plusieurs pays qui sont impliqués et les ONG environnementales sont en Occident à faire beaucoup, beaucoup de pression pour que leurs banques n'investissent pas dans ces projets-là. Et donc ça devient de plus en plus compliqué… Avec une enveloppe globale pour le pétrole et le gaz qui diminue et avec un nombre d'acteurs qui se dirigent de moins en moins sur les hydrocarbures qui n'ont plus vraiment la cote.Alors le Ghana n'est pas le seul pays africain à nourrir de grandes ambitions gazières et pétrolières. Il y a son voisin ivoirien, il y a le Sénégal, il y a la Mauritanie. Est-ce que ces grands projets d'hydrocarbures sont compatibles avec la lutte contre le changement climatique et le développement des énergies renouvelables ?C'est une discussion très complexe parce que, à partir du moment où vous faites des découvertes pétrolières et gazières, l'objectif c'est de les mettre en production. Il n'y a aucun pays au monde qui a réussi à faire en sorte que des projets avec des découvertes et avec des financements ne se développent pas dans les hydrocarbures. L'Équateur a essayé de faire ça, c'est-à-dire en disant « Chevron a fait des découvertes, on ne les développe pas si les organisations internationales nous donnent l'équivalent en revenus », et finalement, évidemment, Chevron a développé parce que personne n'a proposé de solution. Donc, tous les pays que vous avez cités, leur objectif, c'est de produire au maximum du pétrole et du gaz. Et les barils qui ont été découverts ne vont pas être transformés en énergie électrique parce que l'énergie électrique va venir des renouvelables.Donc les énergies renouvelables, ça va permettre justement de donner de l'énergie pour ces pays-là. Donc, plus vous faites de l'énergie renouvelable dans ces pays-là, plus vous avez une capacité d'exportation des hydrocarbures. C'est tout à fait la stratégie des gros pays producteurs, notamment dans le Golfe, comme l'Arabie saoudite, qui construisent d'énormes fermes solaires justement pour leur électricité propre, pour pouvoir continuer à exporter le plus grand nombre de barils de pétrole.Alors, au cours de son intervention à l'Africa CEO Forum d'Abidjan, le président ghanéen a fait cet aveu : « J'ai honte de dire que seulement 2,7 % de l'énergie que consomme le Ghana provient des énergies renouvelables, notamment du solaire ». Est-ce que l'énergie verte, ce n'est pas encore un gadget ? En fait, ce sont des énergies qui ne sont pas continues. Donc c'est difficile de stocker cette électricité. Et les hydrocarbures permettent justement d'avoir une énergie continue plutôt bon marché et donc on va plutôt à la facilité. Donc c'est en grande partie pour ça qu'il y a encore une très grande majorité des centrales en Afrique qui sont au pétrole, au gaz et évidemment, encore pire, au charbon qui est encore plus rentable. Donc c'est une question de rentabilité, de facilité, d'investissement et aussi du fait que vous avez de l'énergie en continu contrairement à l'énergie renouvelable.Et du coup, est-ce que beaucoup de dirigeants africains et européens ne se disent pas à voix basse que le gaz, le pétrole ou le charbon, comme vous dites, ont encore de beaux jours devant eux ? Oui, en fait, clairement, les hydrocarbures ont encore plusieurs décennies de production, ça, c'est absolument évident. Et donc on va avoir certainement une production qui va commencer à décroître dans les années 2030-2035, mais ça ne veut pas du tout dire qu'on va arrêter de consommer du pétrole et du gaz. En tout cas, pour le pétrole, il risque d'y avoir une courbe descendante dans les années 2030. Et pour le gaz, ça risque d'être encore plus tard. Donc, on est vraiment sur une industrie dont la fin est difficile à prévoir, mais clairement, il y a facilement encore trois décennies devant nous de production.
« Investir dans l'Énergie africaine », le forum réunissant le gratin du secteur des hydrocarbures en Afrique s'est refermé ce mercredi 14 mai à Paris. Résultat des échanges : les projets pétroliers ne manquent pas sur le continent, mais les investisseurs ne se bousculent pas. Le réservoir est immense : plus de 125 milliards de barils de réserves prouvées de pétrole. Et pourtant, c'est le paradoxe, l'exploitation de ces ressources restent très difficile. L'Afrique n'attire pas assez de capitaux. En RDC, il y a eu l'annulation de l'appel d'offre sur 27 blocs pétroliers de la cuvette centrale en fin d'année. Il a été relancé la semaine dernière après un redécoupage en 52 blocs, mais que la route est longue. L'Angola subit aussi une baisse de sa production et des départs d'investisseurs. Au Nigeria, les majors ont tour à tour quitté le pays et ses puits onshore. Le Ghana n'arrive également pas à être attractif malgré les appels répétés de ses gouvernants. Dernier en date, John Mahama au CEO forum d'Abidjan ce mardi demandant aux investissements étrangers de « pomper du pétrole comme s'il n'y avait pas de lendemain ».Baisse des prix néfaste pour les pays producteursD'autant que la dynamique des investissements n'est pas bonne, notamment depuis l'élection de Donald Trump. Un président américain, grand soutien des énergies fossiles. La première des conséquences, c'est que les banques américaines risquent d'orienter leurs investissements vers les projets aux États-Unis. C'est, pour elles, moins risqué qu'en Afrique où le FMI souligne les infrastructures limitées, l'insécurité accrue et la gouvernance parfois déficiente. Une autre conséquence de l'élection de Trump, c'est une baisse des prix du pétrole qui aujourd'hui pénalise les producteurs africains. Les incertitudes namibiennesMême les valeurs sûres comme la Namibie charrient leurs lots d'incertitudes. Le pays d'Afrique australe est vu comme l'eldorado pétrolier du continent avec les récentes découvertes d'importants gisements offshore. Maggy Shino, commissaire au pétrole au ministère de l'Énergie namibien, était à Paris au forum d'investissement ce mardi. Elle a insisté sur les opportunités de son pays pour les investisseurs, mais sur le terrain, tout semble plus complexe. Shell traîne des pieds, Chevron fore des puits sans grand succès pour l'instant et TotalEnergies n'a toujours pas signé sa décision finale d'investissement sur le projet Vénus. Un gisement de 750 millions de barils estimés à près de 3 000 mètres de profondeur. Les défis techniques et les calculs de rentabilité ne semblent pas encore complètement résolus.
The Minority caucus in Parliament is demanding tough actions from President John Mahama against the acting Chief Executive Officer of the Ghana Gold Board (GoldBod), Sammy Gyamfi.
Listen as we take a closer look at former President John Mahama's proposed code of conduct for political appointees and how it stands in relation to the recent public controversy involving Sammy Gyamfi and Nana Agradaa. What standards should appointees uphold, and how do public spats like this reflect on party image and leadership? Join the conversation as we break it all down
President John Mahama has completed his first four months in office, but his much-publicized 120-day social contract with Ghanaians remains partially fulfilled.
President John Mahama has issued a strong warning to government appointees who failed to declare their assets by the 31st March 2025 deadline. He announced that any appointee who still fails to comply by Wednesday, May 7, will be automatically dismissed.
Women of Kwawu Afram Plains North have expressed their gratitude to President John Dramani Mahama for appointing Kate Mawusi Babanawo as the District Chief Executive (DCE) for Kwawu Afram Plains North
The Ghana Bar Association has escalated its opposition to President John Mahama's suspension of Chief Justice Gertrude Torkornoo, warning of imminent legal action if the directive is not revoked.
The Movement for Change (MFC) says it is shocked at the Ghana Bar Association's (GBA) recent call for President John Mahama to suspend the suspension of Chief Justice Gertrude Araba Esaaba Sackey Torkornoo, describing the appeal as a surprising deviation from constitutional principle.
Private Legal Practitioner Nana Agyei Bawuah has stated that the suspension Justice Gertrude Torkornoo by President John Mahama is unconstitutional
President John Mahama has suspended the Chief Justice, Gertrude Torkornoo. This follows the establishment of a committee to investigate petitions against the top judicial official.
President John Mahama has suspended Chief Justice Gertrude Torkornoo following serious petitions filed against her. A special committee has now been set up to investigate the matter. What does this mean for Ghana's judiciary?
What exactly is the government afraid of? Why hasn't the investigation into the suspicious flight commenced, as directed by President John Mahama? And why is Felix Kwakye Ofosu all over the place, dismissing the matter as if it's nothing serious? - Hon. Samuel Abu Jinapor (MP for Damongo and Ranking Member on the Foreign Affairs Committee)
Deputy Trade Minister, Sampson Ahi, has disclosed that President John Mahama has directed them to do everything within their power to resolve the controversial 10% tariff imposed on Ghana's exports by U.S. President Donald Trump.
Chief Justice Gertrude Torkornoo has submitted her preliminary response to President John Mahama following petitions seeking her removal from office.
President John Mahama has assented to eight significant bills aimed at reforming Ghana's tax and financial management systems.
President John Mahama has fulfilled a key campaign promise by assenting to a set of bills that abolish the betting tax, e-Levy, and emissions tax, among others.
In a promise made to Ghanaians during his campaign, John Mahama vowed to repeal the betting tax, emissions levy, and electronic levy to ease the burden on taxpayers. This afternoon, Parliament passed a bill to eliminate the three taxes. This follows the repeal of the Income Tax Amendment Act 2015 (Act 896)
President John Mahama has begun consultations with the Council of State following the submission of three petitions seeking the removal of the Chief Justice, Gertrude Sackey Torkornoo.
President John Mahama has strongly condemned the killing of a soldier in Bawku, emphasising that military personnel are deployed to maintain peace and should not be harmed in conflicts they are not involved in.
Bamako, Niamey, Ouagadougou… Le président ghanéen John Dramani Mahama vient de boucler une tournée dans les pays de l'AES, l'Alliance des États du Sahel. Objectif, relève Afrik.com : « renforcer les liens diplomatiques et explorer les possibilités de réintégration de ces pays au sein de la Cédéao, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest, conformément à l'appel conjoint lancé, mercredi dernier à Abidjan par le président ivoirien Alassane Ouattara et par John Dramani Mahama. Le président ghanéen a insisté sur “la nécessité d'une reconnaissance de l'Alliance des États du Sahel par la Cédéao“. Cette déclaration, estime Afrik.com, traduit une volonté manifeste de relancer le dialogue entre ces nations et l'organisation sous-régionale ».Intérêts économiques cruciaux…Sahel Tribune à Bamako s'interroge : « pourquoi Mahama tend-il aujourd'hui la main à des régimes de transition qui ont claqué la porte de la Cédéao ? Simple diplomatie ? Pas uniquement. Derrière ce rapprochement se cache une série d'intérêts économiques, stratégiques et énergétiques cruciaux pour le Ghana ».En effet, précise Sahel Tribune, « en trois jours et trois capitales, John Mahama a redéfini la posture du Ghana face aux bouleversements ouest-africains. Là où le Nigeria campe sur une ligne dure vis-à-vis de l'AES, Accra privilégie la voie du pragmatisme. Commerce, énergie, sécurité : loin des querelles institutionnelles, le président ghanéen veut ancrer son pays comme un partenaire économique et stratégique incontournable pour les trois États sahéliens. Une prise de position qui ne manquera pas de susciter des remous au sein de la Cédéao, estime encore Sahel Tribune, où le Ghana, traditionnellement proche du Nigeria, semble aujourd'hui jouer sa propre carte. Un réajustement tactique ? Un virage stratégique ? Une chose est sûre, conclut le site malien. Accra regarde désormais autant vers Bamako, Ouagadougou et Niamey que vers Abuja. Et dans cette recomposition régionale, Mahama vient de poser ses premiers jalons ».Reprendre langue…Au-delà des intérêts économiques des uns et des autres, le quotidien Aujourd'hui à Ouagadougou insiste sur le volet diplomatique de cette tournée. D'abord reprendre le dialogue… « Détendre un contexte constipé et créer un dégel diplomatique, marchepied vers une persuasion de retourner dans la Cédéao, telle était la mission de Dramani », pointe le quotidien burkinabè. « Une mission de contorsion, de confiance, de management des susceptibilités et de lecture pragmatique de la géopolitique sous-régionale et internationale. (…) Pour le moment, c'est un Dramani funambule sur un fil qui évolue et qui sait bien que deux de ses devanciers, le Togolais Faure et le Sénégalais Diomaye Faye ont fait chou blanc. S'il réussit à ce qu'Alassane Ouattara et Patrice Talon reprennent langue avec Goïta, Tiani et IB, ce serait déjà une petite victoire d'étape, car au-delà de la Cédéao, tous ces présidents se regardent de travers. »« Ne pas reculer d'un iota… »L'Alternance à Bamako s'interroge en écho : « John Dramani Mahama pourrait-il réussir là où les présidents sénégalais et togolais ont échoué ? Les présidents des États de l'AES vont-ils saisir cette ultime main tendue du président ghanéen pour revenir dans la grande famille avant qu'il ne soit trop tard ? (…) Nul ne saurait répondre par l'affirmative, affirme le quotidien bamakois, quand on sait que les trois chefs d'État de l'AES sont déterminés à aller jusqu'au bout de leurs ambitions et n'entendent pas reculer d'un iota. (…) En réalité, ils aspirent tous à rester au pouvoir aussi longtemps qu'ils le pourront hors du cadre et des normes de démocratie et de bonne gouvernance fixés par la Cédéao. Ils ne feront plus marche arrière ».Bref, conclut L'Alternance, « pour ceux qui rêvent de voir la Cédéao à 15 États et plus, plutôt que 12 risquent de voir leur rêve ne pas se réaliser, car les dirigeants des États de l'AES n'entendent pas renoncer à leurs ambitions ».Enfin, L'Essor, toujours à Bamako, prévient : « toute détente future entre la Cédéao et les pays de l'AES dépendra de ce respect mutuel qui a été demandé dès le début par les pays de la confédération et notamment le Mali. (…) La démarche ghanéenne n'altère pas le processus de retrait des trois pays déjà en marche. (…) Détente, réconciliation, coopération, l'AES s'est toujours tenue prête, ancrée qu'elle est dans le panafricanisme, mais avec une souveraineté à respecter (…) ».
Le président Ghanéen John Dramani Mahama est arrivée samedi à Bamako dans le cadre d'une tournée dans les pays de l'alliance des états du Sahel ( Mali , Burkina et Niger) . Le président ghanéen est partisan d'un retour au sein de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest ( CEDEAO) de ses trois pays qui ont quitté l'organisation ouest africaine
President John Mahama has called for an end to the conflict in Bawku, and everywhere in the land where conflict is riding urging the people to embrace lasting peace for the sake of future generations.
Dr. Nsiah Asare responds strongly to John Mahama's remarks regarding the funding of the Agenda 111 project. He addresses the criticisms and sets the record straight, defending the government's efforts and highlighting the progress made in securing funding for the ambitious healthcare initiative
President John Mahama has criticized the previous NPP government under Nana Akufo-Addo, accusing it of "criminally mishandling" the country's economy. He made this statement during the National Tripartite Committee meeting at the Ministry of Labour, where a 10% salary increase for public sector workers was announced
President John Mahama has sworn in the newly appointed and elected members of Ghana's Council of State, following their election as representatives from the 16 regions. He urged the members to go beyond ceremonial duties and serve with integrity and dedication, highlighting the significance of their role in shaping national policies. The Council is expected to provide wisdom and oversight to the presidency
President John Mahama has reaffirmed Ghana's commitment to addressing its economic challenges through strategic measures and international partnerships. He assured the citizens that the nation is on the path to stability and recovery.
The immediate past Managing Director of SIC Insurance Company Limited, Hollistar Duah-Yentumi, has withdrawn her court application seeking to halt the termination of her appointment by President John Mahama.
President John Mahama has formally submitted the list of Deputy Minister-nominees to Parliament for vetting and approval.
Memories of the havoc created and the massive response engendered by the recently deceased “orange juice queen” Anita Bryant can inspire a new generation to meet vicious attacks with creative resistance (produced by Brian DeShazor with This Way Out reports preserved in the American Archive of Public Broadcasting). And in NewsWrap: Ghana's in-coming President John Mahama announces that the anti-queer “Promotion of Proper Human Sexual Rights and Ghanaian Family Values” bill is “effectively dead,” a decades-long struggle to bring marriage equality to Thailand ends with wedding bells for more than a thousand gay and lesbian couples who registered their marriages the first day the law took effect, United States President Donald Trump's inaugural salvo against human and civil rights puts transgender people near the top of his target list, Trump then rescinds President Joe Biden's support for trans rights in federal agencies and the military, former senator from “Don't Say Gay” Florida Marco Rubio is sworn in as Secretary of State and bans U.S. embassies from displaying LGBTQ Pride or Black Lives Matter flags, LGBTQ youth crisis hotlines report a dramatic rise in calls since Trump's election, Bishop of the Episcopal Diocese of Washington, D.C. the Right Reverend Mariann Edgar Budde makes Donald Trump squirm at the traditional inaugural prayer service in the National Cathedral, and more international LGBTQ+ news reported this week by Wendy Natividad and David Hunt (produced by Brian DeShazor). All this on the January 27, 2025 edition of This Way Out! Join our family of listener-donors today at http://thiswayout.org/donate/
John Mahama a été élu président du Ghana pour un second mandat non consécutif, promettant des réformes économiques et une lutte accrue contre la corruption.Traduction :John Mahama was elected President of Ghana for a second non-consecutive term, promising economic reforms and a stronger fight against corruption. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
John Mahama is as nuwe president van Ghana ingehuldig te midde van die ergste ekonomiese krisis in die land in ʼn leeftyd. Die 65-jarige het van 2012 tot 2017 ook as president gedien en het visepresident Mahamudu Bawumia verslaan nadat hy onderneem het om ekonomiese uitdagings, korrupsie en werkloosheid onder die jeug aan te spreek. Mahama se oorwinning in die Desember-verkiesing word beskou as 'n belangrike toets vir Ghana se demokrasie. Hy het voormalige president Nana Akufo-Addo bedank vir sy diens:
Ghanaian President President-elect John Dramani Mahama was sworn in on Tuesday for the third time. During his campaign, he vowed to prioritize the economy and good governance. Mustapha Gbande, deputy general secretary of Mahama's National Democratic Congress party tells VOA's James Butty the party and all of Ghana are ready to support President Mahama accomplish his agenda.
The newly elected John Mahama government has formed a committee to tackle a potential power shortage that could affect the country's electricity supply.
Opposition candidate John Mahama will return as Ghana's President following his recent electoral victory. This is a massive comeback for Mahama, who left a shaky legacy. What can we expect from his upcoming administration? Join Vincent Rouget for a discussion with Control Risks experts Mikolaj Judson and Omobolade Olagunju about why the results turned out the way they did and how Mahama might reboot Ghana's economy. Find out how we can support your organisation.
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur les « Madgermans » au Mozambique et les réfugiés syriens. Ghana : comment expliquer la réélection de l'ancien président Mahama ? Huit ans après sa défaite à la présidentielle, John Mahama est de retour en remportant l'élection avec 56,55% des voix face à son concurrent, Mahamudu Bawumia, vice-président sortant et candidat du parti au pouvoir. Comment expliquer l'échec du Nouveau Parti Patriotique ? Sur quelles promesses Mahama a-t-il été réélu ?Avec Bineta Diagne, envoyée spéciale de RFI à Accra. Mozambique : qui sont les « Madgermans » qui rejoignent la protestation ? Deux mois après l'élection présidentielle, Eduardo Mondlane conteste toujours les résultats. Parmi les soutiens de l'opposant, un groupe surnommé les « Madgermans », contraction de « Made in Germany », s'est imposé comme l'une des voix de la protestation post-électorale au Mozambique. Qui sont-ils exactement ? Pourquoi ont-ils décidé de rejoindre la contestation portée par la jeunesse ? Leur mobilisation peut-elle faire bouger les lignes ?Avec Gaëlle Laleix, envoyée spéciale permanente de RFI à Nairobi. Syrie : quel avenir pour les réfugiés syriens en Europe ? Dès le lendemain du renversement du régime d'Assad, plusieurs pays européens ont annoncé la suspension du traitement des demandes d'asile des Syriens. Quels sont les pays les plus concernés par ces réfugiés ? Ces décisions ne sont-elles pas précipitées alors que l'avenir de la Syrie et la politique des rebelles sont encore incertains ?Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'Institut de Recherches et d'Études sur les Mondes Arabes et Musulmans (IREMAM), spécialiste de la Syrie.
*) Israel kills 25 Palestinians in a strike on home in northern Gaza The Israeli army has killed two Palestinian families overnight bombing a home that was sheltering them in the town of Beit Hanoon in the northern besieged Gaza. Eyewitnesses said that the Israeli army bombed a house that was sheltering two families from the Al-Kahlout clan, consisting of 25 individuals, burying them under the rubble. A relative of those killed said that Israel committed another massacre, wiping out two families entirely from the civil registry. He said their bodies remain trapped under the rubble of the destroyed house and in the street as rescue operations are impossible due to the dire security situation. *) Netanyahu says won't end Gaza war 'now' Meanwhile, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has said he would not stop Israel's war in besieged Gaza "now", even as the renewed efforts towards a ceasefire are underway. Speaking at a press conference in West Jerusalem, he said, If we end the war now, Hamas will return, recover, rebuild and attack us again — and that is what we do not want to go back to". *) Israel violates 1974 agreement in Golan Heights buffer zone — UN The UN has warned that Israeli military activity along the Golan Heights buffer zone in Syria "would constitute a violation" of a 1974 pact on disengagement between Israel and Syria. UN peacekeepers informed the Israeli counterparts that these actions would constitute a violation of the agreement and that there should be no military forces or activities in the area of separation. A UN spokesperson also confirmed that the Israeli army personnel entered the area of separation and have been moving within that area where they remain in at least three locations throughout the region of separation. *) Syria transition must ensure 'accountability' for past crimes - UN The UN rights chief has said any political transition in Syria following the fall of Bashar al Assad must include accountability for him and others behind crimes committed under his rule. Volker Turk told reporters in Geneva that any political transition must ensure accountability for perpetrators of serious violations and guarantee that those responsible are held accountable. Asked about whether Assad was among those who should be brought to account, he said the "former president of Syria and whoever was in senior leadership positions, there are indeed serious grounds to believe that they may have committed atrocity crimes". *) Ghana's ex-president John Mahama returns with election win Ghana's former president John Drahami Mahama has won a historic comeback election victory after the ruling party accepted defeat with voters appearing to punish them for the government's handling of an economic crisis. Following Saturday's election, New Patriotic Party candidate Vice President Mahamudu Bawumia conceded that Ghanaians wanted change after he failed to shake off widespread frustration over high living costs. His defeat ended eight years in power for the NPP under President Nana Akufo-Addo, whose last term was marked by the West African state's worst economic turmoil in years, high inflation and a debt default.
Russia confirms that it has granted asylum to Assad, A suspect is detained in the murder of UnitedHealthcare's CEO, A Haitian gang is accused of killing 184 people over witchcraft accusations, Trump vows to end birthright citizenship and pardon January 6th convicts, South Korea's president faces a travel ban, John Mahama wins Ghana's presidential election, Australia signs a security deal with Nauru, Daniel Penny is acquitted in the NYC subway chokehold death case, A report indicates that 2024 is set to break global temperature records, Google unveils a new quantum computing chip, and Notre-Dame Cathedral reopens in Paris. Sources: https://www.verity.news/
After two previous attempts, John Mahama is set to make comeback as Ghana's president. He was the country's leader from 2012-2016. Ghana's economy is struggling and corruption endemic. Political analyst Nansata Yakubu explains the huge expectations on a Mahama presidency over the next four years. The menstrual health taboos facing African women athletesAnd the flaw with Africa's big infrastructure finance models.Presenter: Audrey Brown Producers: Rob Wilson, Yvette Twagiramariya, Nour Abida and Amie Liebowitz in London. Frenny Jowi in Nairobi Senior Producer: Paul Bakibinga Technical Producer: Nick Randell Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
Le Journal en français facile du lundi 9 décembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BE4B.A
durée : 00:03:19 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Scènes de liesse dans les rues d'Accra. Le candidat de l'opposition, qui a déjà été président de la République de 2012 à 2016, reprend les commandes. Le vice-président, candidat du parti au pouvoir a reconnu sa défaite avant même l'annonce officielle des résultats.
durée : 00:03:19 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Scènes de liesse dans les rues d'Accra. Le candidat de l'opposition, qui a déjà été président de la République de 2012 à 2016, reprend les commandes. Le vice-président, candidat du parti au pouvoir a reconnu sa défaite avant même l'annonce officielle des résultats.
En este episodio de El Brieff, Arturo Salazar te trae un resumen detallado de las noticias más relevantes del momento. Desde las estrategias de la presidenta mexicana Claudia Sheinbaum frente a las amenazas de Donald Trump, hasta el histórico fin del régimen de Bashar al-Assad en Siria. Conoce la reinauguración de la Catedral de Notre-Dame en París, los primeros movimientos del presidente electo Trump en Estados Unidos, y el triunfo de John Mahama en las elecciones de Ghana. Exploramos también la situación política en Rumanía y Corea del Sur, los nuevos cardenales creados por el Papa Francisco, la venta récord de los ruby slippers de Judy Garland, y el regreso triunfal de McLaren en la Fórmula Uno. Patrocinador del día: Queremos agradecer a nuestro patrocinador del día, STRTGY y a su nueva inteligencia artificial llamada EVA. EVA es una analista digital que transforma tus datos en estrategias de negocios para aumentar tus ventas, ayudando a tus equipos comerciales a identificar nichos de mercado, mejorar la eficiencia operativa y predecir cambios en el comportamiento del consumidor. En un mundo donde los datos son abundantes pero las respuestas son escasas, EVA ofrece claridad y dirección. Conoce más en www.strtgy.ai o escríbenos a arturo@strtgy.ai para agendar una demostración.Conviértete en patrocinador de El Brieff donando 25, 60 o 100 pesos al mes entrando a este link.Descarga Brieffy haciendo click aquí.Si te interesa una mención en El Brieff, escríbenos a arturo@brieffy.com Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Au Ghana, Mahamudu Buwamia a reconnu sa défaite dans la course à la présidentielle et ce avant même l'annonce des résultats officiels. John Dramani Mahama devient donc le premier chef d'état du pays à reprendre la présidence après en avoir été chassé par les urnes. Le pays est désormais dans l'attente des résultats des législatives qui étaient organisées en même temps.
Le Ghana suspendu au verdict des urnes. Le pays votait aujourd'hui pour des élections législatives, mais aussi pour la présidentielle. Celle-ci s'annonce serrée entre le vice-président Maha-mudu Bawumia et l'ex-chef de l'État issu de l'opposition John Mahama.
Ghanaians are preparing to vote in their presidential election this Saturday. The election is being contested between vice-president Mahamudu Bawumia and former president John Mahama. What are the key issues voters will be focusing on? Also, Sierra Leone's desire to return to being a rice exporter, instead of importing the country's most favourite foodAnd French President Macron's pivot towards anglophone countries in Africa. Presenter: Audrey Brown Producers: Rob Wilson and Victor Sylver in London Technical Producer: Nick Randell Senior Journalist: Karnie Sharp Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
This week campaigning in Ghana comes to an end as candidates make their final arguments in an election where every vote counts. For most people, Ghana's economic turmoil has been at the top of concerns. In 2022 the Central Bank lost $5 billion in one year. The government asked the International Monetary Fund for a bailout and there have been accusations that the economy has been mismanaged High inflation has left many unable to afford basic goods, levels of unemployment are rising and hundreds of thousands of people have been pushed into poverty. So the next government will have the daunting task of easing hardship for millions and getting the economy back on its feet. In today's Africa Daily, Alan Kasujja will be looking at what's gone wrong and how the two main presidential candidates- Mahamudu Bawumia and John Mahama- plan to fix it.There will be a lot more on Ghana's elections from our sister programme Newsday. James Copnall will be broadcasting live from the capital Accra on Friday morning- the day before polls open.