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Première salve aujourd'hui avec 150 milliards débloqués pour l'achat en commun d'armement, produits en majorité par l'industrie de la défense européenne. Sur le flanc Est de l'Otan, on s'active aussi sur d'autres chantiers. En Roumanie, à une trentaine de kilomètres de la mer Noire et donc du conflit Russie-Ukraine, l'organisation atlantique ambitionne de construire une des plus grandes bases aériennes d'Europe, capable d'accueillir près de 10 000 soldats permanents. La première piste d'avion est en construction alors que, par ailleurs, on s'inquiète d'un désengagement partiel des États-Unis. Reportage à Contanta et à Mihail Kogălniceanu, signé Marine Leduc. Documenter l'extrême droite allemande L'Allemagne confrontée au terrorisme d'extrême droite. Dans les années 2000, une cellule du réseau extrémiste NSU a tué 10 personnes. Et elle avait trouvé refuge dans l'est du pays dans la ville de Chemnitz. C'est là que va ouvrir demain un centre de documentation destiné au public et aux chercheurs. Il donnera une visibilité aux victimes et surtout permettra de mieux comprendre les faits. On retrouve à Berlin une de nos correspondantes Delphine Nerbollier. Santorin L'industrie du tourisme commence déjà à avoir un aperçu de la saison estivale. En Grèce, la petite île de Santorin, la plus connue de toutes les Cyclades, fait déjà les comptes et ils sont serrés. Les réservations sont en baisse en raison de toute une série de séismes de faible intensité qui ont secoué l'île en début d'année. Petit village blanc sur une mer bleu azur, Santorin est une carte postale, un paysage façonné par une éruption volcanique vieille de 3 500 ans, mais c'est aussi une économie du tourisme dont l'île est très dépendante. Reportage signé Joël Bronner. Les objectifs climatiques européens L'Europe de plus en plus tiraillée entre ses impératifs de sécurité, la nécessité de relancer la croissance et ses engagements pour le climat. L'ambition de parvenir à la neutralité carbone pour 2050 n'est pas remise en cause ni même de réduire de 55% nos émissions de gaz à effet de serre en 2030.Mais la commission devrait donner cet été ses objectifs pour 2040.On retrouve à Bruxelles Damien Genicot du média Contexte.
Première salve aujourd'hui avec 150 milliards débloqués pour l'achat en commun d'armement, produits en majorité par l'industrie de la défense européenne. Sur le flanc Est de l'Otan, on s'active aussi sur d'autres chantiers. En Roumanie, à une trentaine de kilomètres de la mer Noire et donc du conflit Russie-Ukraine, l'organisation atlantique ambitionne de construire une des plus grandes bases aériennes d'Europe, capable d'accueillir près de 10 000 soldats permanents. La première piste d'avion est en construction alors que, par ailleurs, on s'inquiète d'un désengagement partiel des États-Unis. Reportage à Contanta et à Mihail Kogălniceanu, signé Marine Leduc. Documenter l'extrême droite allemande L'Allemagne confrontée au terrorisme d'extrême droite. Dans les années 2000, une cellule du réseau extrémiste NSU a tué 10 personnes. Et elle avait trouvé refuge dans l'est du pays dans la ville de Chemnitz. C'est là que va ouvrir demain un centre de documentation destiné au public et aux chercheurs. Il donnera une visibilité aux victimes et surtout permettra de mieux comprendre les faits. On retrouve à Berlin une de nos correspondantes Delphine Nerbollier. Santorin L'industrie du tourisme commence déjà à avoir un aperçu de la saison estivale. En Grèce, la petite île de Santorin, la plus connue de toutes les Cyclades, fait déjà les comptes et ils sont serrés. Les réservations sont en baisse en raison de toute une série de séismes de faible intensité qui ont secoué l'île en début d'année. Petit village blanc sur une mer bleu azur, Santorin est une carte postale, un paysage façonné par une éruption volcanique vieille de 3 500 ans, mais c'est aussi une économie du tourisme dont l'île est très dépendante. Reportage signé Joël Bronner. Les objectifs climatiques européens L'Europe de plus en plus tiraillée entre ses impératifs de sécurité, la nécessité de relancer la croissance et ses engagements pour le climat. L'ambition de parvenir à la neutralité carbone pour 2050 n'est pas remise en cause ni même de réduire de 55% nos émissions de gaz à effet de serre en 2030.Mais la commission devrait donner cet été ses objectifs pour 2040.On retrouve à Bruxelles Damien Genicot du média Contexte.
En Roumanie, pays stratégique sur le flanc est de l'Otan face à la menace russe, un grand chantier est en cours sur la base militaire de la mer Noire. Il s'agit d'une première étape qui consiste à construire une nouvelle piste d'avion. Mais si le projet final est mené à terme, elle pourrait devenir la plus grande base aérienne d'Europe et accueillir près de 10 000 soldats permanents. Des inquiétudes émergent cependant, avec la possibilité de retrait de troupes américaines sur le continent. Reportage de Marine Leduc à Constanța et à Mihail Kogălniceanu.
En Roumanie, pays stratégique sur le flanc est de l'Otan face à la menace russe, un grand chantier est en cours sur la base militaire de la mer Noire. Il s'agit d'une première étape qui consiste à construire une nouvelle piste d'avion. Mais si le projet final est mené à terme, elle pourrait devenir la plus grande base aérienne d'Europe et accueillir près de 10 000 soldats permanents. Des inquiétudes émergent cependant, avec la possibilité de retrait de troupes américaines sur le continent. Reportage de Marine Leduc à Constanța et à Mihail Kogălniceanu.
Le chef de la diplomatie israélienne a accusé les pays européens d'«incitation à la haine». En cause, une condamnation ferme de plusieurs pays face aux « actions scandaleuses » du gouvernement de Benyamin Netanyahou dans la Bande de Gaza. De plus en plus de civils sont tués en Ukraine, loin de la ligne de front. Et ce alors que les efforts diplomatiques sont intenses. George Simion, en Roumanie, n'accepte toujours pas la victoire de son adversaire, le libéral Nicusor Dan, à la présidentielle.
En Europe centrale et orientale, des élections cruciales se succèdent et pourraient faire basculer l'unité des Vingt-Sept. La Roumanie vient d'élire comme président un candidat pro-européen, Nicusor Dan, face à George Simion, qui se présentait comme grand admirateur de Donald Trump et hostile à l'aide à l'Ukraine.
En Roumanie, Nicusor Dan, maire de Bucarest et candidat pro-européen a remporté l'élection présidentielle ce dimanche. Mais son rival, le nationaliste George Simion a demandé l'annulation du scrutin en raison "d'ingérences extérieures" dit-il, notamment de la France, ce qui a été démenti par Paris. Le recours a finalement été rejeté par la Cour constitutionnelle roumaine. "La cour continue son coup d'Etat", a réagi le nationaliste, il invite ses partisans à "le rejoindre".
durée : 00:38:14 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - En Roumanie et en Pologne, les présidentielles de 2025 confirment l'ancrage des droites radicales, dopées par les réseaux sociaux et la défiance envers les élites. Pourtant, ce sont deux libéraux qui arrivent en tête. Un sursaut fragile dans des démocraties sous tension, internes comme externes ? - réalisation : François Richer - invités : Catherine Durandin Historienne spécialiste de la Roumanie, professeur émérite à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO); Georges Mink Directeur de Recherche émérite au CNRS, directeur d'études et responsable du programme d'études interdisciplinaires européennes au Collège d'Europe (campus de Natolin, Pologne)
durée : 00:38:14 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - En Roumanie et en Pologne, les présidentielles de 2025 confirment l'ancrage des droites radicales, dopées par les réseaux sociaux et la défiance envers les élites. Pourtant, ce sont deux libéraux qui arrivent en tête. Un sursaut fragile dans des démocraties sous tension, internes comme externes ? - réalisation : François Richer - invités : Catherine Durandin Historienne spécialiste de la Roumanie, professeur émérite à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO); Georges Mink Directeur de Recherche émérite au CNRS, directeur d'études et responsable du programme d'études interdisciplinaires européennes au Collège d'Europe (campus de Natolin, Pologne)
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
durée : 00:03:08 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Hier en Europe, trois élections pouvaient donner les clés du pouvoir à un parti ou un candidat nationaliste : En Roumanie, en Pologne et au Portugal. Heureusement qu'en France, pour faire face à cette poussée populiste, on peut désormais compter sur Bruno Retailleau !
durée : 00:03:08 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Hier en Europe, trois élections pouvaient donner les clés du pouvoir à un parti ou un candidat nationaliste : En Roumanie, en Pologne et au Portugal. Heureusement qu'en France, pour faire face à cette poussée populiste, on peut désormais compter sur Bruno Retailleau !
durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Contre toute attente, le candidat d'extrême droite George Simion, arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle roumaine, a perdu au second tour face au libéral Nicusor Dan. Un scrutin qui faisait figure de test entre démocratie libérale et nationalisme d'extrême droite.
Maintenir le cap européen et le soutien à Kiev ou se tourner vers l'extrême droite: les Roumains, nombreux dimanche aux urnes pour élire leur président, ont choisi la première option en donnant la victoire au maire centriste de Bucarest. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:47:04 - Les informés de franceinfo - Tous les dimanches, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet sur franceinfo.
La Roumanie vote ce dimanche 18 mai pour le second tour de l'élection présidentielle, pour lequel le candidat pro-européen Nicusor Dan est donné au coude-à-coude avec celui d'extrême droite, George Simion. Après son score canon du premier tour, le populiste se rêve désormais en Trump roumain au sein d'une alliance Maga au cœur de l'UE. L'analyse de Sergiu Miscoiu, professeur des universités en sciences politiques à la faculté d'études européennes de Cluj-Napoca en Roumanie.
A la une de la presse ce vendredi 16 mai 2025 : une élection présidentielle scrutée de près, le premier rendez-vous d'un pape, et un combat.
En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
L'émission 28 minutes du 10/05/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Kéthévane Gorjestani, chroniqueuse internationale à France 24 ; Gil Mihaely, historien franco-israélien et directeur de publication de la revue “Conflits” ; Juan Jose Dorado, correspondant espagnol à Paris et le dessinateur de presse Eric Truant. Élection présidentielle roumaine : la tentation de l'extrême droite ?Dimanche 4 mai, le candidat d'extrême droite, eurosceptique et fan de Donald Trump, George Simion, a obtenu 40,5 % des voix au premier tour de l'élection présidentielle roumaine. Dans une semaine, il affrontera au second tour le maire centriste de Bucarest, Nicusor Dan, qui a obtenu seulement 20,9 % des suffrages. Le 6 décembre 2024, la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé le premier tour de la présidentielle à la suite de soupçons d'ingérences russes. Un autre candidat d'extrême droite, Calin Georgescu, proche de Poutine, était arrivé en tête avec près de 23 % des voix. Avec ce nouveau vote, les Roumains semblent avoir confirmé leur vote pour un candidat dont la conception de l'Europe est éloignée de celle de la France ou encore de l'Allemagne. Comment analyser ces résultats ? Les Roumains rejettent-ils l'Union européenne à l'instar d'autres pays d'Europe de l'Est ? Léon XIV, le premier pape américain : un défi pour Trump ?Jeudi 8 mai, de la fumée blanche est sortie de la cheminée de la chapelle Sixtine, à Rome, annonçant que les 113 cardinaux électeurs se sont mis d'accord sur le prochain pape. Pour la première fois, un pape américain a été élu. En 2023, le pape François l'avait appelé à Rome pour diriger le puissant dicastère chargé de sélectionner les évêques du monde. Robert Francis Prevost, 69 ans, a choisi le nom de Léon XIV pour son pontificat. “Le mal ne gagnera pas”, a-t-il déclaré lors de sa première allocution aux fidèles. Léon XIV est proche du pape François à plusieurs égards notamment au sujet du soutien aux plus démunis et aux migrants.Nous recevons le dessinateur Aurel, auteur de la BD “Méditerranée, histoires d'un continent kaléidoscope”, aux éditions Futuropolis. Ce recueil de recherches documentaires menées auprès de spécialistes du bassin méditerranéen rassemble des extraits littéraires, des cartographies, des analyses scientifiques mais aussi des témoignages. Dans cet ouvrage, Aurel souhaite explorer l'histoire des civilisations méditerranéennes. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins gallois confrontés à une baisse de leur fréquentation touristique, moins 13 % entre 2019 et 2023. Afin d'attirer les touristes au Pays de Galles, les pouvoirs publics ont décidé de lancer un programme de subventions étonnant pour protéger les vacanciers de la pluie. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Warren Buffett, la “légende vivante du capitalisme”. Le 3 mai, il a annoncé qu'il passait la main à la tête de sa société Berkshire Hathaway, à l'âge de 94 ans. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision russe qui a diffusé le 4 mai un documentaire mettant en scène Vladimir Poutine à l'occasion de ses 25 ans à la tête du Kremlin. Paola Puerari s'intéresse à la question des salaires et se demande pourquoi le sujet est si tabou en France. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : que faire si vous tombez dans l'eau avec votre voiture ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 mai 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
George Simion, candidat nationaliste d'extrême droite et admirateur de Donald Trump est arrivé largement en tête au premier tour de la présidentielle roumaine confirmant ainsi la vague de “dégagisme” des partis traditionnels. Le second tour s'annonce tout de même serré puisqu'il affrontera le maire de Bucarest qui défend une vision plus libérale et pro-européenne. Deux modèles qui s'opposent et incarnent les scissions idéologiques présentes en Roumanie, pays voisin de l'Ukraine et sixième plus peuplé de l'Union européenne. Marine Leduc est correspondante pour Le Soir à Bucarest. Elle revient avec nous sur les enjeux qui entourent ce scrutin et sur ce qu'ils disent de la société roumaine actuelle. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
George Simion, candidat nationaliste d'extrême droite et admirateur de Donald Trump est arrivé largement en tête au premier tour de la présidentielle roumaine confirmant ainsi la vague de “dégagisme” des partis traditionnels. Le second tour s'annonce tout de même serré puisqu'il affrontera le maire de Bucarest qui défend une vision plus libérale et pro-européenne. Deux modèles qui s'opposent et incarnent les scissions idéologiques présentes en Roumanie, pays voisin de l'Ukraine et sixième plus peuplé de l'Union européenne. Marine Leduc est correspondante pour Le Soir à Bucarest. Elle revient avec nous sur les enjeux qui entourent ce scrutin et sur ce qu'ils disent de la société roumaine actuelle.
En Roumanie, c'est un nouveau séisme politique, George Simion est arrivé en tête du premier tour de l'élection présidentielle. Le candidat nationaliste et trumpiste a obtenu près de 41 % des voix. Il affrontera au second tour le 18 mai prochain le maire de Bucarest, le centriste et pro-européen Nicusor Dan, qui a arraché sa qualification avec 21% des voix. Le Premier ministre Marcel Ciolacu, a en conséquence donné sa démission.
Avec 40% des voix, le premier tour de l'élection présidentielle en Roumanie a été remporté haut la main par le candidat d'extrême droite, George Simion, dimanche 4 mai. Au second tour qui se déroulera dans deux semaines, il sera opposé au maire de Bucarest, Nicusor Dan, qui a quant à lui récolté 20% des suffrages. Entretien avec Sylvain Kahn, chercheur spécialiste de l'Europe au Centre d'histoire de Sciences Po. À lire aussiPrésidentielle en Roumanie: George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
Trump remet en question son engagement envers la Constitution américaine et soutient les religieux dans l'État. En Roumanie, un “mini-Trump” prend la tête du premier tour de la présidentielle. Israël prépare officiellement la conquête de la bande de Gaza, au prix d’une crise humanitaire dénoncée comme un génocide par Amnistie internationale. Pendant ce temps, Loïc Tassé fait le tour des tensions internationales majeures. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:55:09 - Les informés de franceinfo - Tous les dimanches, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
durée : 00:10:05 - Journal de 9h - Six mois après l'annulation du scrutin ayant - brièvement - porté Calin Georgescu au pouvoir, la Roumanie retourne aux urnes.
durée : 00:10:05 - Journal de 9h - Six mois après l'annulation du scrutin ayant - brièvement - porté Calin Georgescu au pouvoir, la Roumanie retourne aux urnes.
durée : 00:54:41 - Les informés de franceinfo - Tous les samedis, les correspondants de la presse étrangères débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Cinq mois après l'annulation du scrutin en raison de soupçons d'ingérence russe, une nouvelle élection présidentielle se tient dimanche 4 mai en Roumanie. L'ombre du président américain plane au-dessus de ce vote dans ce pays membre de l'UE et de l'OTAN.
Nous nous intéressons cette semaine à la désinformation et aux ingérences étrangères dans nos démocraties européennes. Plusieurs scrutins vont plus que jamais être observés de très près dans les semaines à venir : les élections présidentielles en Roumanie (les 4 et 18 mai) et en Pologne (les 18 mai et 1er juin). En Roumanie, fait extrêmement rare, le premier tour avait été annulé en décembre dernier, après que Calin Georgescu, candidat surprise nationaliste pro-russe, avait été propulsé en tête par le réseau social chinois TikTok. Ce réseau a depuis reconnu que ce candidat avait bénéficié du soutien de "27 000 comptes inauthentiques ayant pour but de manipuler le discours électoral". La Commission européenne a ouvert une enquête dont les conclusions ne seront finalement pas rendues avant le nouveau scrutin. Mais des mesures préventives ont cette fois été prises, avec un contrôle renforcé sur les publications politiques en ligne. Certains crient à la censure, l'extrême droite européenne en particulier, appuyée depuis les États-Unis par un discours trumpiste défavorable à toute réglementation européenne des réseaux et toute lutte contre la désinformation.
Il portera l'une des voix pro-européennes à la prochaine présidentielle en Roumanie. Nicușor Dan est notre Européen de la semaine. Le maire de Bucarest est candidat aux élections des 4 et 18 mai face au favori d'extrême droite, George Simion. Nicușor Dan tente le plus gros pari politique de sa vie. Nicușor Dan tente sa chance dans cette élection à rebondissement. La présidentielle a été annulée au premier tour : le candidat pro-russe Călin Georgescu est soupçonné de financement illégal de sa campagne. Nicușor Dan s'est présenté en indépendant avec comme leitmotiv la justice sociale. « Je suis candidat, explique-t-il dans un clip de campagne, parce que la Roumanie est pleine d'injustices, on ne peut pas obtenir d'argent public, les impôts élevés sur le travail restent impunis, gaspillés par l'État, les enfants n'ont pas accès à l'école, les villages n'ont pas de médecins, les institutions sont faibles et les Roumains sont déçus par la classe politique actuelle. »Nicușor Dan a eu une autre vie avant la politique. C'est d'abord un génie des mathématiques. Il remporte la médaille d'or lors des Olympiades internationales de mathématiques en 1987 et 1988. Nicușor Dan a aussi étudié en France. Mais c'est à son retour à Bucarest dans les années 90 qu'il se lance dans l'action sociale.« Peu à peu, Nicușor Dan se dirige vers la défense de la vie urbaine saine en s'inspirant de plusieurs villes françaises, mais aussi en portant un projet associatif », rappelle Sergiu Miscoiu, professeur de sciences politiques à l'université de Cluj, en Roumanie. « Il fonde en 2006 l'association Sauver Bucarest qui se confronte directement avec les spéculateurs immobiliers. Il devient un peu connu en tant que militant de cette association. » Un combat qui l'amène jusqu'à l'Assemblée en 2016 puis, quatre ans plus tard, à la mairie de Bucarest. Son action contre les « mafias immobilières » de la capitale assure sa popularité.Candidat surpriseÀ 55 ans, Nicușor Dana a vu une porte s'ouvrir devant lui. C'est au moment de l'annulation du premier tour en décembre dernier que plusieurs personnalités de l'USR, le parti libéral et europhile, lâchent leur candidate Elena Lasconi pour soutenir Nicușor Dan. Un coup de théâtre, un de plus dans cette élection. « J'ai été surpris, raconte Stelian Negrea, journaliste d'investigation à Newsweek Romania. Il venait de remporter un deuxième mandat à la mairie de Bucarest et son annonce a été une surprise pour tout le monde. »Un candidat surprise… et atypique. Posé, calme, dans ses costumes passe-partout, « Nicușor Dan est tout le contraire » de la classe politique traditionnelle, note le professeur Sergiu Miscoiu. « Il réfléchit peut-être un peu trop, même pour certaines réponses, mais cela crée aussi l'impression de quelqu'un qui est découplé du système politique traditionnel et donc qui a une sorte d'honnêteté dans sa manière de fonctionner. » Il se présente comme intègre, mais il a été épinglé dans la presse pour sa proximité avec un homme d'affaires pro-russe. Très discret sur sa vie privée, on sait qu'il vit avec sa compagne sans être marié, ce qui pourrait le handicaper auprès de l'électorat traditionnel dans le pays.Bien implanté à Bucarest, Nicușor Dan manque d'ancrage hors de la capitale. Mais ce ne sera pas un problème. « La Roumanie compte près de 9 millions de comptes TikTok », explique le journaliste Stelian Negrea. « Beaucoup d'entre eux vivent en zone rurale. Avec une campagne TikTok ciblée, on peut atteindre ces zones rurales, et cela ne devrait pas être un handicap pour lui. Chaque femme âgée de la campagne possède un compte TikTok et y est très active ! » Si le candidat de l'extrême-droite George Simion est donné vainqueur du premier tour, l'élection va en réalité se jouer entre deux candidats pro-européens : Nicușor Dan ou bien Crin Antonescu de la coalition au pouvoir. Celui qui passera le premier tour est quasiment assuré de l'emporter au second.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la guerre commerciale déclarée par Donald Trump au monde entier, avant qu'il ne se ravise sur l'ampleur des hausses des droits de douane. Le Royaume-Uni ne fait plus partie de l'Union européenne depuis 2020, comment le pays réagit à ce revirement du président américain ? Les pays touchés se trouvent principalement en Europe et en Asie, l'Afrique n'est pas totalement épargnée. Quels sont les pays qui pourraient précisément être affectés par cette décision de Donald Trump ? Et tout cela était largement commenté par la presse et les responsables politiques en Roumanie. Quel est l'impact potentiel de ces droits de douane plus élevés sur l'économie roumaine ? Avec : Alison Hird, de la rédaction en anglais : de nouveaux marchés pour le vin français, et c'est en Afrique. Vasile Damian, pour la rédaction en roumain : le début de la campagne électorale en Roumanie pour la présidentielle des 4 et 18 mai. Ibrahima Timbi Bah de la rédaction en fulfude : il sera question d'images violentes relayées largement sur les réseaux sociaux en Guinée.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la guerre commerciale déclarée par Donald Trump au monde entier, avant qu'il ne se ravise sur l'ampleur des hausses des droits de douane. Le Royaume-Uni ne fait plus partie de l'Union européenne depuis 2020, comment le pays réagit à ce revirement du président américain ? Les pays touchés se trouvent principalement en Europe et en Asie, l'Afrique n'est pas totalement épargnée. Quels sont les pays qui pourraient précisément être affectés par cette décision de Donald Trump ? Et tout cela était largement commenté par la presse et les responsables politiques en Roumanie. Quel est l'impact potentiel de ces droits de douane plus élevés sur l'économie roumaine ? Avec : Alison Hird, de la rédaction en anglais : de nouveaux marchés pour le vin français, et c'est en Afrique. Vasile Damian, pour la rédaction en roumain : le début de la campagne électorale en Roumanie pour la présidentielle des 4 et 18 mai. Ibrahima Timbi Bah de la rédaction en fulfude : il sera question d'images violentes relayées largement sur les réseaux sociaux en Guinée.
On commence avec Donald Trump qui a mis sa menace à exécution en instaurant des droits de douane sur tous les pays étrangers, +35% pour la Chine, +25% pour le Japon, +20% pour l'Union Européenne
durée : 02:30:46 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Catherine Durandin, historienne spécialiste de la Roumanie, professeur émérite à l'INALCO / Marie-Anne Rameix-Welti, virologue / Frédéric Charillon, professeur des universités en science politique à l'université Paris Cité ; Sylvie Bermann, ancienne ambassadrice en Russie. - réalisation : Félicie Faugère
Au programme : Tout comprendre sur les crises qui touchent la Roumanie et la Serbie. / Comment nos universités sont rongées par les idéologies woke et islamiste... / Quand le jugement moral écrase le droit !
durée : 00:58:20 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Coline Renault qui rentre des États-Unis ; suivi d'une table-ronde sur la crise politique en Roumanie suite à l'exclusion du candidat d'extrême droite Călin Georgescu de la présidentielle. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Catherine Durandin Historienne spécialiste de la Roumanie, professeur émérite à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO); Coline Renault Journaliste à Charlie Hebdo; Silvia Marton Maîtresse de conférence à l'université de sciences politiques de Bucarest
durée : 00:38:37 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - La Cour constitutionnelle roumaine a rejeté la candidature de Calin Georgescu pour l'élection présidentielle à venir. Le candidat ultra-nationaliste est soupçonné d'avoir bénéficié d'ingérences russes. Lui et ses partisans ont manifesté leur colère dans la rue et dénoncent un coup d'Etat. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Catherine Durandin Historienne spécialiste de la Roumanie, professeur émérite à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO); Silvia Marton Maîtresse de conférence à l'université de sciences politiques de Bucarest
La justice a classé sans suite les accusations de harcèlement et d'abus de faiblesse portées par l'ancienne campagne de Julien Bayou, l'accusant de violences psychologiques. Toutefois, Marine Tondelier, candidate à la tête du parti des Écologistes, ne reconnaît toujours pas son innocence. Elle refuse de présenter des excuses, malgré les propos de Bayou, qui se dit brisé. Ruth Elkrief estime que cette attitude manque de principes, notamment pour une personne qui porte de telles responsabilités. Le conclave sur la réforme des retraites a commencé, avec une tentative d'écarter l'UNSA, syndicat des autonomes. Deux autres syndicats ont mis en cause leur participation. Le Medef juge la réforme insuffisante mais considère qu'il faut la maintenir telle quelle. Pascal Perri qualifie l'UNSA de "gêneur" dans ce processus. En Roumanie, l'annulation de l'élection présidentielle est vue comme un acte anti-démocratique. J. David Vance s'interroge si cela a été pris en compte. Abnousse Shalmani, n'est pas surprise, soulignant que le candidat national-populiste pro-russe, arrivé en tête avec 23 %, représente un ras-le-bol général. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.
durée : 00:22:31 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - La Roumanie est en pleine crise politique et démocratique suite à l'annulation du second tour des élections présidentielles, en raison de « l'interférence d'un État » qui pourrait être la Russie. Une crise qui se poursuit avec la démission récente du président roumain, Klaus Iohannis. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Ludovic Lamant Journaliste à Médiapart
durée : 00:03:11 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La Cour constitutionnelle a annulé les élections présidentielles suite à des éléments des services secrets roumains qui attestent que TikTok a été instrumentalisé pour favoriser le candidat ultra-nationaliste Călin Georgescu. La Russie est visée, explications.
Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BDbo.A
durée : 02:29:49 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:03:22 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le candidat indépendant prorusse Călin Georgescu est arrivée à la surprise générale en tête du premier tour de l'élection présidentielle, TikTok est suspecté d'avoir poussé la campagne du candidat.
durée : 00:35:42 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Margaux Leridon - Le candidat ultra-nationaliste Calin Georgescu a créé la surprise en arrivant en tête du premier tour des présidentielles roumaines dimanche dernier. Des élections suivies de près en Europe, car la Roumanie a pris une place stratégique dans la défense du continent depuis la guerre en Ukraine. - réalisation : Margot Page - invités : Antonela Capelle-Pogăcean Chargée de recherche Sciences Po au CERI (Centre d'Etudes et de Recherches Internationales) et enseignante à Sciences Po Dijon; Traian Sandu Historien, professeur agrégé à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
durée : 00:58:05 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Margaux Leridon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Marianne Getti qui s'est rendue en Éthiopie, dans la région du Tigré ; suivi d'une table-ronde sur la Roumanie où un candidat ultra-nationaliste est arrivé en tête du premier tour des présidentielles. - réalisation : Margot Page - invités : Marianne Getti Réalisatrice et journaliste; Antonela Capelle-Pogăcean Chargée de recherche Sciences Po au CERI (Centre d'Etudes et de Recherches Internationales) et enseignante à Sciences Po Dijon; Traian Sandu Historien, professeur agrégé à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur le candidat pro-russe en Roumanie, les manifestations en Angola et les difficultés sportives rencontrées par le club Manchester City. COP29 : quel bilan pour les pays menacés par le changement climatique ? À l'issue de la COP29 à Bakou, les pays les plus développés ont promis une aide de 300 milliards de dollars aux pays les plus menacés par le dérèglement climatique. Pourquoi les pays vulnérables estiment-ils que cette somme ne soit pas suffisante ? Comment expliquer que la question des énergies fossiles n'est pas mentionnée dans les principaux textes de l'accord final ?Avec Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI.Roumanie : un candidat pro-russe en tête du premier tour de la présidentielle En Roumanie, un candidat indépendant pro-russe, Calin Georgescu, est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle. Comment expliquer la percée surprise de ce candidat peu connu ? Quelles sont ses chances de remporter la présidentielle ? Face à son soutien à la Russie, quels sont les risques pour l'Union européenne et pour l'OTAN s'il remporte l'élection ?Avec Romain Le Quiniou, directeur général d'Euro Créative, un centre de réflexion français sur l'Europe centrale et orientale. Angola : manifestations contre le parti au pouvoir L'Unita, principal parti d'opposition en Angola, a organisé des manifestations contre la pauvreté et la mauvaise gestion du gouvernement de João Lourenço. C'est le premier grand rassemblement depuis les élections contestées de 2022. Quelle est la situation actuelle dans le pays qui explique un tel rassemblement ? Comment réagit le parti au pouvoir, le MPLA ? Peut-il finir par céder à la pression de l'opposition ?Avec Didier Péclard, professeur de Science politique et études africaines à l'Université de Genève. Football : Manchester City dans une mauvaise passe Les Sky Blues ont enchaîné cinq défaites consécutives, toutes compétitions confondues. Une situation inédite pour le club anglais depuis l'arrivée de Pep Guardiola. Comment expliquer ces difficultés ? S'agit-il d'un problème d'effectif ou de tactique ? Comment l'entraîneur compte-t-il redresser la barre ?Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI.
durée : 00:03:11 - Géopolitique - La surprise au premier tour de la présidentielle roumaine est venue du candidat d'extrême droite prorusse Călin Georgescu. Comment un tel candidat peut-il surgir de nulle part ? Il y a certes Tik Tok, mais il y a aussi la peur de l'extension de la guerre en Ukraine. Une leçon pour toute l'Europe.