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Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Antoine Fine cofondateur d'Eutopia, entreprise à mission BCORP, dont la conviction est qu'il faut agir vite et fort, pour promouvoir une consommation plus responsable.Eutopia finance des start-up portées par des entrepreneurs audacieux qui souhaitent renouveler nos modes de consommation et répondent au triptyque « bon pour moi, bon pour la société, bon pour la planète », comme Epiceries Nous Anti-gaspi, Spring (Clean Collective) ou encore Murfy.Mais concrètement, comment peut-on financer et encourager le changement dans les modes de production et de consommation du quotidien ?Quels sont les critères de sélection des startups qu'il finance ? Comment Eutopia les accompagne delà du financement ? …Tant de questions et bien plus, abordées dans ce nouvel épisode de L'Empreinte.Bonne écoute ! Première diffusion le 8 mai 2024.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Antoine Fine cofondateur d'Eutopia, entreprise à mission BCORP, dont la conviction est qu'il faut agir vite et fort, pour promouvoir une consommation plus responsable. Eutopia finance des start-up portées par des entrepreneurs audacieux qui souhaitent renouveler nos modes de consommation et répondent au triptyque « bon pour moi, bon pour la société, bon pour la planète », comme Epiceries Nous Anti-gaspi, Spring (Clean Collective) ou encore Murfy. Mais concrètement, comment peut-on financer et encourager le changement dans les modes de production et de consommation du quotidien ? Quels sont les critères de sélection des startups qu'il finance ? Comment Eutopia les accompagne delà du financement ? … Tant de questions et bien plus, abordées dans ce nouvel épisode de L'Empreinte. Bonne écoute ! Première diffusion le 8 mai 2024.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Antoine Fine cofondateur d'Eutopia, entreprise à mission BCORP, dont la conviction est qu'il faut agir vite et fort, pour promouvoir une consommation plus responsable.Eutopia finance des start-up portées par des entrepreneurs audacieux qui souhaitent renouveler nos modes de consommation et répondent au triptyque « bon pour moi, bon pour la société, bon pour la planète », comme Epiceries Nous Anti-gaspi, Spring (Clean Collective) ou encore Murfy.Mais concrètement, comment peut-on financer et encourager le changement dans les modes de production et de consommation du quotidien ?Quels sont les critères de sélection des startups qu'il finance ? Comment Eutopia les accompagne delà du financement ? …Tant de questions et bien plus, abordées dans ce nouvel épisode de L'Empreinte.Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
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durée : 00:03:39 - Demain l'éco - par : Annabelle Grelier - L'entreprise Murfy, spécialisée dans la réparation d'électroménager, forme des techniciens pour étendre ses services dans toute la France d'ici à 2025. Son objectif : réduire les déchets en prolongeant la durée de vie des appareils.
durée : 00:14:52 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - C'est un engagement aussi précieux que méconnu : les bénévoles en soins palliatifs rendent visite à des malades dont le pronostic vital est engagé. Une association de Morlaix cherche du renfort. Aussi au programme des Carnets, Murfy, une entreprise qui se bat contre l'obsolescence programmée.
Experte en tentage de trucs. C'est comme ça que Carole David se définit sur son profil LinkedIn. Après des études de psychologie, Carole a finalement choisi le chemin des Ressources Humaines et du recrutement. Après quelques temps de freelancing pour se former sur pleeeein de sujets différents, elle a décidé de renouer avec son secteur de coeur : le recrutement chez Murfy. Et pour recruter les meilleurs profils, elle n'hésite jamais à tester toutes ses idées — même les plus loufoques. C'est comme ça qu'un beau jour, pour trouver (enfin) un profil de sourceur·euse elle a créé un petit jeu de piste. Tout cela ? L'importance de l'expérience candidat, ses tests, son apprentissage du No Code, l'utilisation de l'IA et comment intégrer tout cela au recrutement… Elle nous le raconte dans le dernier épisode de Learning by Doing. Bref, préparez-vous, aujourd'hui on va parler « tentage de trucs ». Bonne écoute ! À très vite, Prenez soin de vous ! Plus d'info : Pour suivre Carole David sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/caroletentedestrucs/ Pour écouter l'épisode #79 - Sandrine Dorbes - Culture, transparence et grille salariale : comment gérer sa stratégie de rémunération ? L'épisode #32 - Alexis Kovalenko - Comment le NoCode révolutionne le test & learn dans les organisations Et l'épisode #17 - Etienne Ageneau - Authenticité et confiance : comment mettre en place une culture managériale efficace ? Pour recevoir gratuitement notre sélection hebdo de conseils pratiques pour animer votre équipe, rendez-vous ici : https://teambakery.com/nl Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un gentil commentaire sur Apple Podcast et Spotify si l'épisode vous a plu. TIMELINE : 00:00:00 - Intro 00:01:25 - Présentation de Carole et de son parcours. 00:11:18 - Comment s'organise-t-elle sur l'expérience candidat ? 00:14:59 - Comment décompose-t-elle ses process ? 00:23:40 - Quelles briques d'outils a-t-elle réalisées en No Code pour s'aider au quotidien ? 00:27:34 - Quel est son rôle dans l'équipe ? 00:33:47 - Comment utilise-t-elle l'IA dans son recrutement ? 00:40:26 - Comment sourcer des profils plus terrain ?
Grégory Richa, directeur associé de la société de conseil OPEO détaille ce qu'est l'économie circulaire et Agnès Crépet, responsable de la longévité des logiciels chez Fairphone et porte-parole France, nous explique la circularité de son smartphone modulaire. Qu'est-ce que l'économie circulaire ? [1:00 - 15:18]Modèle économique le plus répandu, l'économie linéaire est basée sur une boucle d'extraction et un produit-déchet. L'économie circulaire vise à réduire la consommation de ressources (matière, eau, énergie), et se base sur trois grandes boucles de circularité : réduction, réparabilité et récupération. Le recyclage est un dernier recours. Fairphone est un exemple de circularité avec son smartphone modulaire et démontable. “Pour la fin de vie", il n'y a pas "que le recyclage mais également la réutilisation de certaines pièces” détaille Agnès Crépet. Ces smartphones intègrent en effet des métaux issus de recyclage. L'économie circulaire permet aux entreprises qui l'intègrent qui se distinguer. Les grandes changent leurs modes de consommation et les petites peuvent émerger rapidement. Restant compétitives sur les ressources, elles sont aussi plus résilientes et moins soumises aux variations des coûts de matières premières. Leur empreinte CO² est réduite grâce aux produits remanufacturés moins énergivores. La circularité favorise la création d'emplois locaux via une matière en circuit local. Concevoir un produit circulaire [15:27 - 28:24]Les industries ont tendance à toujours fabriquer une nouvelle version d'un produit, entraînant souvent l'ajout de technologies, de fonctionnalités. Des produits toujours plus grands ou plus connectés, sont aussi fermés. Dans les smartphones par exemple, la batterie, l'écran sont collés et ne peuvent pas être remplacés lorsqu'ils ne fonctionnent plus. L'appareil entier n'est plus utilisable et doit être remplacé par un neuf ! Choisir des produits ouverts permet de pérenniser leur usage. Voilà un défi passionnant pour les ingénieurs ! Passer à l'économie circulaire [28:29 - 42:56]Intégrer la circularité ne doit pas attendre, recommande Grégory Richa : “quand on est un industriel dans un monde linéaire, on est voué à ne plus pouvoir opérer dans les 5 ans”. Revenir à des chaînes de valeurs locales, autonomes et résilientes est nécessaire. Les réglementations venir vont probablement aller dans ce sens. Un produit circulaire peut être réutilisé, un atout pour un industriel. Déjà existant, il est disponible plus rapidement qu'un neuf et vraisemblablement à un prix équivalent. De plus, l'industrie circulaire est attractive pour les employés et les clients, “on a envie de s'engager” affirme Grégory Richa.Références citées :- Haulotte, Valrhona, SEB, Décathlon, Renault Trucks, réseau ENVIE, Murfy, Saint-Gobain Glass, Tesla, Volvo, Backmarket.- Fairphone, Google Ara et Nokia 3310.- Et aussi iPhone, SpaceX, Vinted, FoxconnRessources pour aller plus loin :Les livres :- Ecologie du smartphone de Laurence Allard, Alexandre Monin et Nicolas Nova- L'âge des low tech de Philippe Bihouix- La guerre des métaux rares et L'enfer du numérique de Guillaume Pitron- La machine est ton seigneur et ton maître de Jenny Chan et Yang Lizhi- Pivoter vers une industrie circulaire de Grégory Richa et Emmanuelle Ledoux- La théorie du donut de Kate Raworth- 20 000 ans ou la grande histoire de la nature de Stéphane Durand- Les limites à la croissance de Dennis Meadows, Donella Meadows et Jorgen Randers- L'événement anthropocène de Jean-Baptiste Fressoz et Christophe Bonneuil Le podcast :- Circular4good, un podcast de Grégory Richa et Aurélien Gohier Le site web :- Association SystExt avec l'ingénieure géologue minier Aurore StéphantCogitons Sciences est un podcast produit par Techniques de l'Ingénieur. Cet épisode a été réalisé par Séverine Fontaine, en collaboration avec Marie-Caroline Loriquet. Le générique a été réalisé par Pierre Ginon et le visuel du podcast a été créé par Camille Van Belle.
durée : 00:02:57 - Actualités Rhénanes sur le Net FB Elsass - La réparation de vos appareils : viable, économique et écologique. Découvrez Murfy.fr !
Cette semaine, on va discuter d'économie circulaire !
"There should be no factual reasons that would push the consumer to buy new products rather than refurbished products", here is the motto that has driven the Startup Back Market since its creation. For this 9th episode, it is with great pleasure that we received Camille Richard, CSR Manager of the French unicorn, at the microphone of On The Way. On the strength of this leitmotif and with the aim of extending the lifespan of appliances already in circulation, in order to combat overproduction and its harmful effects, the Back Market teams have redesigned the experience of buying refurbished products so that the consumer prefers it to new. This experience must be as good or better than those offered by market leaders in electronics. As an intermediary, one of the challenges for Back Market has been to obtain and present to the consumer evidence provided by reconditioners by setting up specific processes that guarantee this high level of quality, from reconditioning to delivery, which is essential to gain the trust of buyers. Camille reveals to us behind the scenes of Back Market and underlines that it was crucial to offer the same advantages, the same guarantees, the same range of choices and the same pleasure in purchasing, in order to guarantee the success of this business model based on the circular economy. Thanks to a bold communication, Back Market has managed to change the perception of refurbished products and thus behaviors. The company has adopted a fairly strong brand image, quite quirky, quite humorous, the idea being to make the refurbished sexy: "the buyer must be proud of having chosen refurbished" Camille rightly tells us. Back Market also informs the consumer of the environmental impact of buying a refurbished item, right from the selection stage. It's a way of making consumers aware of these issues. Even if the price is the primary reason that drives the purchase of refurbished products, consumers are now nearly 25% coming to the site for ecological reasons, whereas they were only 3% at the launch. Thus, to deepen the subject and measure the real impact of a refurbished purchase, for example a telephone, Back Market conducted a particularly instructive impact study with ADEME. Smartphone manufacturers, for their part, are hammering out a marketing discourse to the consumer in order to push him to buy a latest generation product that he does not necessarily need. With the circular economy and reconditioning, we are in a virtuous logic, which makes it possible to buy a suitable product without feeling guilty and to fight against planned obsolescence. Finally, we can rejoice that these new parallel circuits, around the circular economy, bring up to date forgotten professions, such as repairers. This is what the Murfy startup with which Back Market works has understood. "Repair is a profession with a future and there are many professional opportunities with refurbished and repair to give a second life," says Camille. So much good news, which testifies that we are on the right path! Good listening ! ----------------------- The Back Market startup was founded in 2014 and is now present in more than 15 countries. The online marketplace offers products from more than 1,200 refurbishers. She has been part of the French unicorns since May 2021 ----------------------- The sites mentioned by Camille: To fight against planned obsolescence: HOP - Halte à l'Obsolescence Programmée (halteobsolescence.org) To recycle your phone: I give my phone (jedonnemontelephone.fr) To repair my appliance: Murfy.fr ADEME
« Il ne doit pas y avoir de raisons factuelles qui pousseraient le consommateur à acheter du neuf plutôt que du reconditionné », voici le motto qui anime la Startup Back Market depuis ses débuts. Pour ce 9ème épisode, c'est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu Camille Richard, Responsable RSE de la licorne française, au micro d'On The Way. Fort de ce leitmotiv et avec pour objectif d'allonger la durée de vie des appareils déjà en circulation, afin de lutter contre la surproduction et ses effets néfastes, les équipes de Back Market ont repensé l'expérience d'achat du reconditionné pour que le consommateur le préfère au neuf. Cette expérience doit être aussi bonne voire meilleure que celles proposées par les leaders du marché de l'électronique. En tant qu'intermédiaire, un des challenges pour Back Market a été d'obtenir et de présenter au consommateur des preuves fournies par les reconditionneurs en mettant en place des processus spécifiques qui garantissent ce haut niveau de qualité, du reconditionnement à la livraison, indispensable pour gagner la confiance des acheteurs. Camille nous dévoile ainsi les coulisses de Back Market et nous souligne qu'il a été crucial d'offrir les mêmes avantages, les mêmes garanties, la même palette de choix et le même plaisir à l'achat, afin de garantir le succès de ce business model qui repose sur l'économie circulaire. Grâce à une communication audacieuse, Back Market a réussi à faire changer la perception du reconditionné et ainsi les comportements. L'entreprise a adopté une image de marque assez forte, assez décalée, assez humoristique, l'idée étant de rendre le reconditionné sexy : « il faut que l'acheteur soit fier d'avoir choisi du reconditionné » nous précise Camille à juste titre. Back Market informe aussi le consommateur de l'impact environnemental de l'achat d'un reconditionné, dès l'étape de sélection. C'est une façon de sensibiliser les consommateurs à ces enjeux. Même si le prix est le motif premier qui pousse à l'achat de produits reconditionnés, les consommateurs sont aujourd'hui près de 25% à venir sur le site pour des raisons écologiques, alors qu'ils n'étaient que 3% au lancement. Ainsi, pour approfondir le sujet et mesurer l'impact réel d'un achat reconditionné, par exemple un téléphone, Back Market a conduit une étude d'impact particulièrement riche en enseignements avec l'ADEME. Les constructeurs de smartphones de leur côté, martèlent un discours marketing au consommateur afin de le pousser à acheter un produit dernière génération dont il n'a pas forcément besoin. Avec l'économie circulaire et le reconditionnement, on est dans une logique vertueuse, qui permet d'acheter un produit adapté sans culpabiliser et de lutter contre l'obsolescence programmée. Enfin, on peut se réjouir que ces nouveaux circuits parallèles, autour de l'économie circulaire, remettent au gout du jour des métiers oubliés, tels que les réparateurs. C'est ce qu'a bien compris la startup Murfy avec laquelle travaille Back Market. « La réparation est un métier d'avenir et il y a beaucoup d'opportunités professionnelles avec le reconditionné et la réparation pour donner 2ème vie » affirme Camille. Autant de bonnes nouvelles, qui témoignent que nous sommes sur le bon chemin ! Bonne écoute ! ----------------------- La startup Back Market a été fondée en 2014 et est désormais présente dans plus de 15 pays. La place de marché en ligne propose les produits de plus de 1200 reconditionneurs. Elle fait partie des licornes françaises depuis mai 2021 ----------------------- Les sites mentionnés par Camille : Pour lutter contre l'obsolescence programmée : HOP - Halte à l'Obsolescence Programmée (halteobsolescence.org) Pour recycler son téléphone : Je donne mon téléphone (jedonnemontelephone.fr) Pour réparer mon électroménager : Murfy ADEME
“Je considère nos avocats comme des partenaires”Aujourd'hui dans Objectif Clients, nous recevons Doran Piazza, responsable administratif et juridique chez Murfy. Murfy, c'est une entreprise de réparation d'électroménagers à domicile et de reconditionnement d'appareils en ateliers comptant aujourd'hui entre 230 et 300 employés.Doran travaille avec plusieurs avocats sur des aspects sociaux, business et opérationnels. Il nous fait part de son expérience et de ses conseils afin de fluidifier les échanges avocats - clients.On ne vous en dit pas plus, place à notre discussion avec Doran.Bonne écoute ! Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Guy Pezaku, Polytechnicien, a créé Murfy en 2018 avec quatre associés. Il s'agit d'un service de réparation des gros appareils électroménagers. Sur 28 millions d'appareils électroménagers (réfrigérateur, lave-linge, plaques de cuisson, etc.) qui tombent en panne chaque année, seuls 5 millions font l'objet de réparation, alors que 60 % des problèmes sont liés à des soucis d'entretien. Retrouvez Vacher, Niko, Anne-So et Lul en direct tous les jours de 9h à 11h et en podcast sur funradio.fr et l'application Fun Radio.
Aujourd'hui dans Le Vacher Time, Guy Pezaku, a créé Murfy en 2018. Il s'agit d'un service de réparation des gros appareils électroménagers. Et Diata N'Diaye nous parlera aujourd'hui du victime blaming. Retrouvez Vacher, Niko, Anne-So et Lul en direct tous les jours de 9h à 11h et en podcast sur funradio.fr et l'application Fun Radio.
La exposición 'Profundidad zero' se inaugura esta tarde y podrá ser visitada hasta el 28 de noviembre.La obra de Murfy abarca distintas disciplinas como pintura, murales de gran formato, instalación, video-creación, diseño e ilustración.
Écoutez le premier épisode de la saison 6 du podcast Changer La Norme, animé par Flavie Deprez. Depuis plus de deux ans, dans le podcast Changer La Norme, Flavie Deprez, fondatrice de Carenews, le média des acteurs de l'engagement, reçoit des entrepreneurs sociaux. Ces entrepreneurs d'un genre différent ne sont ni des bisounours, ni Gandhi, ils ont leurs galères, leurs joies, leurs réussites, leurs doutes. De la technique, de l'humain et du commercial à gérer, ils veulent mouvoir les choses, ont décidé de placer l'impact et ses valeurs avant la valorisation financière. Changer La Norme reçoit dans cet épisode Guy Pezaku, l'un des cofondateurs de Murfy qui contribuerait à sauver 3 500 tonnes de déchets par an. Des tutos réparations dans une cave à une entreprise en pleine croissance, la belle aventure anti-gaspi de Murfy a commencé il y a 3 ans et compte toucher 75% des foyers Français à terme, et développe parallèlement son école et sa plateforme d'appareils reconditionnés. La saison 6 de Changer La Norme est soutenue par la Fondation Entreprendre.
Depuis quelques mois, nous découpons nos podcasts en séries de 4 ou 5 épisodes, notamment pour vous aider à naviguer parmi les sujets parfois très divers que nous traitons avec nos intervenants et intervenantes. Depuis ces découpages, nous recevons pas mal de retours d'auditeurs et d'auditrices qui regrettent de devoir cliquer sur l'épisode suivant pour passer d'un épisode à un autre. Si c'est votre cas, sachez que ce n'est pas normal et que vous pouvez changer le passage automatique d'un épisode à un autre dans vos réglages. Mais, pour faire plus simple, on s'est aussi dit que nous pouvions vous partager les versions complètes. Alors, cet été, nous rediffusons nos derniers épisodes en version complète. Si vous connaissez déjà Murfy, on vous tire notre chapeau car même si l'entreprise est en très forte croissance, elle est encore assez peu connue. A l'inverse, si vous ne connaissez pas encore Murfy, empressez vous d'en parlez à vos amis, histoire de dire dans quelques années “hey, c'est moi qui t'en ai parlé le premier (si vous êtes un homme), la première (si vous êtes une femme)”. Car il y a de très fortes chances pour que Murfy devienne bientôt un service utilisé par le plus grand nombre jusqu'à entrer dans le vocabulaire commun, comme un Blablacar, un Lydia ou un Too Good To Go par exemple. En quelques mots, Murfy c'est 150 personnes qui ont comme ambition de réduire les déchets électroménagers qu'on produit chaque année en créant de l'emploi local, qualifié et non-délocalisable. Un savant mélange entre écoute et détermination. Pour Guy, Murfy ça commence par une bonne galère : une réparation en duo, à Nanterre pendant 2h30, en transpirant à grosses gouttes et en se demandant comment ça allait finir. Pour Aurélie, c'est différent, beaucoup moins fastidieux mais un peu particulier aussi. Ce premier jour, elle s'en souvient extrêmement bien. Elle est arrivée le 1er jour du 1er jour du déconfinement. C'était le 1er job qu'elle commençait complètement en télétravail. Et malgré la distance, elle en garde un très bon souvenir. Ensuite, on a cherché à comprendre d'où était né ce projet. En 2017, lui et les 4 autres fondateurs cherchaient un job avec du sens, d'un point de vue social et environnemental. Et c'est comme ça qu'ils ont commencé à s'intéresser aux déchets électroménagers. Dans cet épisode, Guy nous explique : Leur réflexion sur le fonctionnement du secteur d'activité des appareils électroménagers et des process de réparation. Leur business model : résoudre les problèmes dès qu'ils arrivent. Une stratégie de développement qui s'appuie sur la réparation à domicile et le reconditionnement. Le fonctionnement de leur système de revente de produits reconditionnés et de leurs ateliers de reconditionnement répartis sur le territoire. En arrivant chez Murfy, il y a maintenant un an, Aurélie a fait un constat : les français sont très frileux à l'idée de réparer. Elle s'est donc fixée comme enjeu d'identifier ces peurs et d'apporter une solution à chacune. Dans cette partie, vous découvrirez : Comment Murfy voit son positionnement face à des acteurs plus traditionnels Le choix audacieux d'un discours fun, rassurant et de couleurs flashies pour se faire connaître et amener les personnes à tester La chose qui marque le plus les personnes quand ils découvrent Murfy Dans cette partie, Guy nous confie qu'avant d'en arriver là, soit 150 collaborateurs et 60 en formation, ils ont fait beaucoup d'erreurs de recrutement. Et ces erreurs leur ont permis d'apprendre plein de choses. On a interrogé également Guy sur le fait d'avoir fondé une entreprise à 5. Il explique que pour lui ce n'est pas le fait d'être 5 le problème mais c'est d'être issu du même milieu. Ils ont donc par la suite réussi à s'entourer de personnes différentes pour obtenir une diversité qui leur est chère. Il nous montre également comment il est possible de bien, voire très bien, fonctionner en étant plusieurs à prendre des décisions.
Dans cette partie, Guy nous confie qu'avant d'en arriver là, soit 150 collaborateurs et 60 en formation, ils ont fait beaucoup d'erreurs de recrutement. Et ces erreurs leur ont permis d'apprendre plein de choses. Selon lui, le plus important est de bien définir les valeurs de l'entreprise. Ces valeurs qui permettent de nous lier les uns aux autres au sein d'une même entité. Et en entretien, c'est quelque chose de primordial : la personne doit être convaincue par les valeurs, par la mission de l'entreprise. Vous découvrirez également, les questions récurrentes que Guy et Aurélie posent en entretien, les choses qu'ils vérifient. “Si je sens en entretien que la personne ne va rien en tirer de venir travailler chez Murfy, je dis non car la relation ne sera pas saine.” Guy Pezaku “Les problèmes ça ne fait pas peur chez Murfy. Donc vérifier que chez ces personnes, il y a cet automatisme.” Aurélie Fircowicz On a interrogé également Guy sur le fait d'avoir fondé une entreprise à 5. Il explique que pour lui ce n'est pas le fait d'être 5 le problème mais c'est d'être issu du même milieu. Ils ont donc par la suite réussi à s'entourer de personnes différentes pour obtenir une diversité qui leur est chère. Il nous montre également comment il est possible de bien, voire très bien, fonctionner en étant plusieurs à prendre des décisions. “Vu qu'on est beaucoup, quand on prend des décisions ça nous permet de savoir que s'il y a un consensus c'est que notre idée est vraiment bien. Si on partage les mêmes valeurs mais avec des parcours différents, on arrivera à développer l'entreprise dans le même sens. Une fois qu'on a posé la mission, l'ambition et qu'on partage les mêmes valeurs, alors les décisions sont finalement assez faciles à prendre.” Guy Pezaku Cette discussion autour de la diversité nous a amené à parler de l'égalité homme-femme chez Murfy. On pose souvent la question aux femmes dans nos podcasts mais cette fois, on a posé la question à Guy.
Bienvenue dans ce nouvel épisode de Flashback avec Guy Pezaku et Aurélie Fircowicz de chez Murfy. Si vous connaissez déjà Murfy, on vous tire notre chapeau car même si l'entreprise est en très forte croissance, elle est encore assez peu connue. A l'inverse, si vous ne connaissez pas encore Murfy, empressez vous d'en parlez à vos amis, histoire de dire dans quelques années “hey, c'est moi qui t'en ai parlé le premier (si vous êtes un homme), la première (si vous êtes une femme)”. Car il y a de très fortes chances pour que Murfy devienne bientôt un service utilisé par le plus grand nombre jusqu'à entrer dans le vocabulaire commun, comme un Blablacar, un Lydia ou un Too Good To Go par exemple. En quelques mots, Murfy c'est 150 personnes qui ont comme ambition de réduire les déchets électroménagers qu'on produit chaque année en créant de l'emploi local, qualifié et non-délocalisable. Un savant mélange entre écoute et détermination. Dans cet épisode, Guy nous raconte justement la création, le fonctionnement et la mission de Murfy. Aurélie nous explique comment s'est déroulé son arrivée en tant que Chief Marketing Officer et ce qu'elle a mis en place, notamment pour augmenter la notoriété de cette entreprise prometteuse. On a également pu échanger avec eux sur les questions de recrutement. Une discussion inspirante pour savoir comment bien s'entourer. Bref, on espère que vous apprécierez cet épisode très riche. Allez, Flashback, avec Guy et Aurélie de Murfy, c'est parti !
Entre vie professionnelle et vie personnelle : difficile de scinder les deux quand on travaille chez Murfy. Le livre qui leur a donné plein d'idées à appliquer chez Murfy. Pour Aurélie, la 25ème heure de Bao Dinh, Guillaume Declair et Jérôme Dumont. Pour Guy, l'éloge du carburateur de Matthew Crawford. La chose qu'ils faisaient avant et qu'ils ne referez plus. Pour Guy, recruter des personnes lors du 1er entretien au bout de seulement 30 minutes. Pour Aurélie, travailler sur un projet pour lequel elle ne partage pas les valeurs. Leur rencontre marquante. Pour Aurélie, Julia Perroux avec qui elle a partagé une aventure start-up et Sébastien Loctin, fondateur de Biofuture (Quintesens). Pour Guy, c'est Gianbeppi Fortis, patron de Solutions30. Il leur a redonné confiance en leur projet au moment où il cherchait des fonds pour l'entreprise Murfy.
En arrivant chez Murfy, il y a maintenant un an, Aurélie a rapidement fait un constat : les français sont très frileux à l'idée de réparer. A cause du prix, de la peur de l'arnaque, de la méconnaissance sur le sujet. Elle s'est donc fixée comme enjeu d'identifier ces peurs et d'apporter une solution à chacune. Ainsi, dans ce podcast, elle nous décrit les solutions proposées par Murfy : un tarif fixe, proposer une “happy end”, des délais rapides avec des créneaux fixes de deux heures. Toutes ces solutions permettent qu'il n'y ait aucun point bloquant tout au long de l'expérience. Murfy les accompagne pour leur montrer que la réparation est la bonne solution. L'objectif ? La satisfaction client. “L'objectif est que le client se dise qu'il a vraiment fait le bon choix en choisissant la réparation. Et que plus jamais il n'achètera neuf avant d'avoir tenté de réparer.” Aurélie Fircowicz Dans cette partie, vous y découvrirez également : Comment Murfy voit son positionnement face à des acteurs plus traditionnels (Darty, Boulanger, etc.) Le choix audacieux d'un discours fun, rassurant et de couleurs flashies (ce qui n'est pas forcément évident dans le domaine de la réparation d'électroménagers) pour se faire connaître et amener les personnes à tester La chose qui marque le plus les personnes quand ils découvrent Murfy (et on vous invite vivement à le découvrir aussi !) Pour que l'expérience fun visible dans la communication de Murfy soit également ressenti et tangible dans l'expérience client sur le terrain, Aurélie nous explique leur fonctionnement. “Ce qui est important déjà c'est de sélectionner les réparateurs non pas sur leurs capacités techniques mais vraiment sur leur conviction que la réparation c'est le futur de la consommation d'électroménagers.” Aurélie Fircowicz Lorsqu'un réparateur vient chez un client, tout est mis en place pour que l'expérience soit agréable et conviviale. Chez Murfy, ils ont également fait le choix de n'avoir aucune relation commerciale entre le client et le technicien pour garder le professionnalisme et l'expérience autour du produit. Leur objectif est également d'éduquer les personnes pour éviter les pannes liées surtout à l'entretien. “On donne vraiment beaucoup d'informations et de conseils sur ces gestes d'entretien. On essaye de rétablir la confiance avec les produits en cassant les idées préconçues.” Aurélie Fircowicz
On a commencé ce podcast comme à notre habitude : est-ce que vous vous souvenez de votre premier jour chez Murfy ? Pour Guy, Murfy ça commence par une bonne galère : une réparation en duo, à Nanterre pendant 2h30, en transpirant à grosses gouttes et en se demandant comment ça allait finir. Pour Aurélie, c'est différent, beaucoup moins fastidieux mais un peu particulier aussi. Ce premier jour, elle s'en souvient extrêmement bien. Elle est arrivée le 1er jour du 1er jour du déconfinement. C'était le 1er job qu'elle commençait complètement en télétravail. Et malgré la distance, elle en garde un très bon souvenir. Ensuite, on a cherché à comprendre d'où était né ce projet. En 2017, lui et les 4 autres fondateurs cherchaient un job avec du sens, d'un point de vue social et environnemental. Et c'est comme ça qu'ils ont commencé à s'intéresser aux déchets électroménagers. Dans cet épisode, Guy nous explique : Leur réflexion sur le fonctionnement du secteur d'activité des appareils électroménagers et des process de réparation. Leur business model : résoudre les problèmes dès qu'ils arrivent. Une stratégie de développement qui s'appuie sur la réparation à domicile et le reconditionnement. “Ca permet de garantir qu'on va trouver une solution à tous les problèmes que les gens vont rencontrer, que ça sera toujours moins cher que l'achat d'un produit neuf et qu'il sera beaucoup plus responsable, éco-responsable.” Guy Pezaku Le fonctionnement de leur système de revente de produits reconditionnés et de leurs ateliers de reconditionnement répartis sur le territoire. “Tout ça c'est un gros système d'économie circulaire qui s'appuie sur de la réparation à domicile, du reconditionnement mais aussi sur la gestion des pièces détachées d'occasion, la gestion des transports, etc. C'est assez complet comme offre dans l'économie circulaire.” Guy Pezaku Et enfin, dans cette première partie, Guy détaille également comment ils forment leur communauté de réparateurs à un métier plein d'avenir. Cette année, c'est 150 personnes qui ont été formées à la réparation d'électroménagers. Et 60 personnes sont en cours de formation à Paris, Lyon, Lille et Nantes.
Jean-Marie Cavada, journaliste, ancien Député européen et président du mouvement Génération citoyens et Romain Martin, co-fondateur de Murfy
Et si on faisait réparer notre machine à laver plutôt que de la jeter ? Ça semble évident, non ? Une panne, c'est quand même pas la mort. Et pourtant, de nombreux appareils sont jetés à la moindre faille. Rien qu'en Île-de-France, 55.000 lave-linges sont jetés chaque mois. Sur les près de 30 millions d'appareils électroménagers qui tombent en rade chaque année, seuls 44% sont reparés (c'est moins quand ils ne sont plus sous garantie). Guy Pezaku, le co-fondateur de Murfy, s'est donc lancé un défi : faire du neuf avec du vieux. Il propose des réparations à domicile d'électroménager pour lutter contre l'obsolescence programmée. Changer un appareil pour du neuf est une catastrophe environnementale. Au cours de sa vie, un frigo produit 343 kg de CO2, dont 260 avant même d'arriver chez nous ! Pour fabriquer un micro-onde, il faut deux tonnes de matières premières. Pour que tout ça finisse dans nos déchetteries, de plus en plus vite à cause de l'obsolescence programmée. Murfy propose 2 choses : nous former à l'autoréparation avec des tutos gratuits – fini les vidéos YouTube douteuses -, ou faire intervenir à domicile un technicien, moyennant un forfait fixe (85€) communiqué à l'avance. Guy a bien étudié le sujet : « le vrai problème est la confiance. À cause de la différence de savoir technique entre le réparateur et le consommateur, ce dernier a toujours l'impression de se faire arnaquer ». Manque de confiance, coût du dépannage, disponibilité des pièces… trop de facteurs qui nous poussent à jeter nos appareils plutôt que de les réparer. Guy est un malin pétri de convictions. Malin, car il surfe sur la tendance à la réparation, tendance renforcée par la loi pour l'économie circulaire qui prévoit désormais d'afficher l'indice de réparabilité de nos appareils. Pétri de conviction, car il porte une mission : que demain, plus aucun produit ne soit recyclé sans être d'abord passé entre les mains d'un réparateur. Un joli défi, entre une demande en plein boom et une pénurie de main d'œuvre ! Qu'à cela ne tienne, Guy a déjà ouvert une école pour former lui-même ses futurs réparateurs et revaloriser ce métier. Comment structure-t-on un business qui vise les 12 millions d'euros de de CA en 2021 ? ? Comment forme-t-on des milliers de réparateurs dans un contexte de pénurie de ces métiers en France ? Comment recrute-ton 150 collaborateurs en 2 ans ? On parle de tout ça dans l'épisode. Murfy vient de lever 8 millions d'euros auprès de fonds à impact. On leur souhaite d'aller loin ! Les personnes qui l'inspirent et qu'il voudrait qu'on invite ? Gianbeppi Fortis, le CEO de Solutions 30, et Chrisitian Jorge, le co-fondateur de Vestiaire Collective. Pour découvrir Murfy, c'est ici : https://murfy.fr/ Si vous aimez écouter À Vous Demain, et pour donner un coup de pouce au podcast, vous pouvez : • vous abonner à notre chaîne sur la plateforme que vous préférez (Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast Addict, Castbox, Google Podcasts), et la partager en cliquant sur les 3 points ; • nous mettre 5 étoiles et un commentaire sur l'application Podcasts d'Apple ; • en parler autour de vous ! Et si vous avez en tête des personnalités qui s'engagent pour transformer positivement les choses, écrivez-nous et parlons-en ! Bonne écoute !
Dans cet épisode, je reçois Guy Pezaku le co-fondateur de Murfy, qui propose un service de réparation d'électroménager à domicile Après un seed de 2M€ en novembre 2019, Murfy vient d'annoncer un tour de table de 8M€ auprès d'Alter Equity et Eutopia suivi par l'investisseur historique Investir&+. Dans cet épisodes nous parlerons impact et réemploi et nous tenterons de comprendre comment on convainc des investisseurs sur un modèle basé sur des réparateurs salariés à l'ère où recours aux indépendants rime avec scalabilité.
206 millions d'appareils de gros électroménager sont présents dans les foyers français. Lorsqu'une panne survient, le réflexe c'est d'en changer. Changer ce réflexe c'est la mission que s'est fixé Guy Pezaku en lançant Murfy, une société qui promeut et facilité la réparation. A côté de sérieuses compétences techniques, Murfy a également développé une série d'astuces marketing pour assurer son succès. Dans le podcast d'aujourd'hui Guy Pezaku revient en détail sur son aventure entrepreneuriale et en particulier sur les techniques d'étude de marché utilisées pour valider son idée entrepreneuriale et permettre la croissance de l'entreprise.