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Écoutez l'essentiel de La commission du 9 septembre 2025: Expulsé de la CAQ, le député Pierre Dufour pourrait-il faire le saut avec le PLQ? «Je vais regarder toutes les options»; Ozempic, Rybelsus et Wegovy`«Ces médicaments n’auraient jamais dû devenir un phénomène de société»; Plafond d'embauche en éducation: «Des enfants paieront les frais d'une idiotie bureaucratique»; Des requins blancs dans le golfe du St-Laurent: «Il y en a de plus en plus». Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Début de la saison de la NFL hier. Tennis : en attendant la demie-finale de Félix Auger-Aliassime ce soir, on connaît maintenant les finalistes chez les dames. Caitlin Clark a confirmé ce que les amateurs de basketball craignaient. Discussion sports avec Justine St-Martin, chroniqueuse sports. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pedro Henriques sublinha que Os treinadores terem de perceber que "o fora de jogo não é uma interpretação, é lei". A arbitragem de José Bessa é nota 6 por "quase todos os amarelos bem mostrados".See omnystudio.com/listener for privacy information.
« Arrivée de la première vague de migrants en provenance des États-Unis » titre Walf.net, au Sénégal. Même si l'on ne peut guère parler de « vague » puisqu'il ne s'agit en tout et pour tout que de sept personnes, dont l'identité et la nationalité n'ont pas été révélées. « Le Rwanda », précise Africanews, « est l'un des quatre pays africains à avoir signé des accords d'expulsion avec Washington, les autres étant l'Ouganda, le Swaziland et le Soudan du Sud ». Que vont devenir ces migrants arrivés au Rwanda ? Selon Yolande Makolo, porte-parole du gouvernement rwandais, « trois de ces personnes ont exprimé le souhait de retourner dans leur pays d'origine, tandis que quatre souhaitent rester au Rwanda et y construire leur vie ». Ces personnes qui seront autorisées à rester au Rwanda, « bénéficieront d'un logement, d'une formation professionnelle et des services de santé » a également assuré la porte-parole du gouvernement rwandais. Reste que ces expulsions attirent la curiosité, car, comme le rappelle Walf.net, « la gestion Trump est particulièrement scrutée en raison des arrangements secrets qu'elle a noués avec des nations africaines pour recevoir des individus expulsés ». Avant le Rwanda, rappelle encore Africanews, les États-Unis avaient expulsé, début juillet, vers le Soudan du Sud « huit hommes originaires du Soudan du Sud, mais aussi de Cuba, du Laos, du Mexique, de Birmanie et du Vietnam. » Fichier électoral A la Une également, le référendum constitutionnel en Guinée. Référendum prévu le 21 septembre prochain. La presse guinéenne se fait l'écho ce matin des statistiques officielles du fichier électoral dévoilées hier par le ministère de l'Administration du territoire et de la Décentralisation. « Plus de 6,7 millions d'inscrits » titre Ledjely selon lequel les statistiques, « révèlent une forte participation féminine et une implication notable de la diaspora ». « Plus de 6 millions d'électeurs attendus aux urnes », titre de son côté Guinée 7, qui précise que « la publication de ces chiffres marque la fin du processus de révision et de correction des listes électorales ». Aminata relève par ailleurs que « la campagne référendaire débutera ce dimanche à minuit, et qu'elle s'achèvera le 18 septembre ». Un référendum qui se déroulera, alors que les principaux partis d'opposition viennent d'être suspendus. « Une décision, estime Jeune Afrique, qui accentue l'étau politique et soulève la question de la capacité de mobilisation de l'opposition, qui a néanmoins appelé à des manifestations ». Maîtrise de soi Enfin, au Maroc, on se prépare à participer à la flottille internationale qui doit prendre, dimanche, la direction de Gaza. Le magazine marocain Telquel nous explique « qu'un navire marocain participera à une nouvelle flottille pour dénoncer le blocus de Gaza. » Quarante-quatre pays y participeront. « Baptisée 'flottille mondiale de la résilience', l'initiative vise à acheminer une aide symbolique aux Palestiniens et à alerter l'opinion internationale sur la situation humanitaire dans l'enclave » ajoute Telquel. « Selon les organisateurs, l'engouement a été fort : un grand nombre de citoyens marocains ont exprimé leur volonté de s'impliquer ». « Les participants ont été retenus après un processus de sélection basé, nous dit l'hebdomadaire marocain, sur la sérénité, la maîtrise de soi, la capacité à réagir sous pression, l'endurance psychologique, ainsi que la valeur symbolique et médiatique que chacun peut apporter ». « La délégation marocaine sera répartie en deux équipes », précise encore Telquel. « La première embarquera sur les navires avec un équipage national ainsi que des médecins, des infirmiers, des enseignants chercheurs, des journalistes, des influenceurs, des ingénieurs et des coordinateurs. La seconde se chargera de la logistique, de la communication et du soutien permanent depuis le terrain ».
A Unidade Nacional de Estrangeiros e Fronteiras iniciou actividade faz hoje uma semana e já tem cerca de 100 mil processos pendentes para retorno voluntário ou coercivo de imigrantes. É a herança que recebe da AIMA, que já tinha recebido do SEF e até dos serviços que existiam antes. A UNEF quer recuperar o tempo perdido, começando por adquirir novo software. Toneladas de papel estão a ser transferidos das instalações da AIMA para a sede da nova unidade da PSP. Neste episódio, conversamos com a jornalista Raquel Moleiro.See omnystudio.com/listener for privacy information.
« Arrivée de la première vague de migrants en provenance des États-Unis » titre Walf.net, au Sénégal. Même si l'on ne peut guère parler de « vague » puisqu'il ne s'agit en tout et pour tout que de sept personnes, dont l'identité et la nationalité n'ont pas été révélées. « Le Rwanda », précise Africanews, « est l'un des quatre pays africains à avoir signé des accords d'expulsion avec Washington, les autres étant l'Ouganda, le Swaziland et le Soudan du Sud ». Que vont devenir ces migrants arrivés au Rwanda ? Selon Yolande Makolo, porte-parole du gouvernement rwandais, « trois de ces personnes ont exprimé le souhait de retourner dans leur pays d'origine, tandis que quatre souhaitent rester au Rwanda et y construire leur vie ». Ces personnes qui seront autorisées à rester au Rwanda, « bénéficieront d'un logement, d'une formation professionnelle et des services de santé » a également assuré la porte-parole du gouvernement rwandais. Reste que ces expulsions attirent la curiosité, car, comme le rappelle Walf.net, « la gestion Trump est particulièrement scrutée en raison des arrangements secrets qu'elle a noués avec des nations africaines pour recevoir des individus expulsés ». Avant le Rwanda, rappelle encore Africanews, les États-Unis avaient expulsé, début juillet, vers le Soudan du Sud « huit hommes originaires du Soudan du Sud, mais aussi de Cuba, du Laos, du Mexique, de Birmanie et du Vietnam. » Fichier électoral A la Une également, le référendum constitutionnel en Guinée. Référendum prévu le 21 septembre prochain. La presse guinéenne se fait l'écho ce matin des statistiques officielles du fichier électoral dévoilées hier par le ministère de l'Administration du territoire et de la Décentralisation. « Plus de 6,7 millions d'inscrits » titre Ledjely selon lequel les statistiques, « révèlent une forte participation féminine et une implication notable de la diaspora ». « Plus de 6 millions d'électeurs attendus aux urnes », titre de son côté Guinée 7, qui précise que « la publication de ces chiffres marque la fin du processus de révision et de correction des listes électorales ». Aminata relève par ailleurs que « la campagne référendaire débutera ce dimanche à minuit, et qu'elle s'achèvera le 18 septembre ». Un référendum qui se déroulera, alors que les principaux partis d'opposition viennent d'être suspendus. « Une décision, estime Jeune Afrique, qui accentue l'étau politique et soulève la question de la capacité de mobilisation de l'opposition, qui a néanmoins appelé à des manifestations ». Maîtrise de soi Enfin, au Maroc, on se prépare à participer à la flottille internationale qui doit prendre, dimanche, la direction de Gaza. Le magazine marocain Telquel nous explique « qu'un navire marocain participera à une nouvelle flottille pour dénoncer le blocus de Gaza. » Quarante-quatre pays y participeront. « Baptisée 'flottille mondiale de la résilience', l'initiative vise à acheminer une aide symbolique aux Palestiniens et à alerter l'opinion internationale sur la situation humanitaire dans l'enclave » ajoute Telquel. « Selon les organisateurs, l'engouement a été fort : un grand nombre de citoyens marocains ont exprimé leur volonté de s'impliquer ». « Les participants ont été retenus après un processus de sélection basé, nous dit l'hebdomadaire marocain, sur la sérénité, la maîtrise de soi, la capacité à réagir sous pression, l'endurance psychologique, ainsi que la valeur symbolique et médiatique que chacun peut apporter ». « La délégation marocaine sera répartie en deux équipes », précise encore Telquel. « La première embarquera sur les navires avec un équipage national ainsi que des médecins, des infirmiers, des enseignants chercheurs, des journalistes, des influenceurs, des ingénieurs et des coordinateurs. La seconde se chargera de la logistique, de la communication et du soutien permanent depuis le terrain ».
Le Journal en français facile du jeudi 28 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BxgG.A
Après l'Eswatini et le Soudan du Sud, le Rwanda a accueilli sept premiers migrants en situation irrégulière expulsés des États-Unis, dans le cadre d'un accord récemment conclu avec Washington, a annoncé jeudi Kigali. Depuis le retour du président américain Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, son administration avait déjà envoyé des étrangers vers ces pays, dont ils n'étaient souvent pas originaires.
Depuis plusieurs mois, les camps de réfugiés en Cisjordanie occupée sont devenus le théâtre d'opérations militaires israéliennes d'une intensité inédite. À Tulkarem, l'un des camps les plus anciens, les bulldozers ont tout emporté : les maisons, les souvenirs, les vies ancrées dans la terre. Les familles expulsées s'entassent désormais dans des salles de classe d'une école dans des conditions difficiles avec la crainte de ne plus retourner chez eux. De notre correspondante à Tulkarem, Il n'y a plus âme qui vive dans le camp de Tulkarem éventré par les bulldozers sous la surveillance des drones israéliens. Le bourdonnement des drones résonne jusqu'à cette école, installée en périphérie de la ville, qui accueille les réfugiés expulsés du camp. Moussa Abu Shanab, employé de la municipalité, est responsable des lieux : « C'est dur de se dire que tous les gens ici ont leurs maisons qui ont été détruites et dont les affaires sont restées là-bas ». Les 125 personnes, chassées du camp par l'armée, occupent l'école. Osman vit dans l'une des salles de classe : « Je suis ici avec ma femme et mes deux filles. Et nous attendons un enfant qui naîtra dans quelques semaines. » La température dépasse les 40 degrés. « Il fait une chaleur étouffante, les conditions sont très difficiles. Je rêve de changer d'air, d'un peu de calme ». Son épouse, Rowan, arrive en fin de grossesse : « Il y a 125 personnes pour quatre salles de bains mixtes. C'est très difficile, pas comme si nous étions à la maison, avec notre propre salle de bains, tranquilles dans notre maison. Nous sommes quatre dans cette pièce et, bientôt, nous serons cinq ». « Ils détruisent toutes les maisons » L'armée israélienne a récemment annoncé qu'elle occuperait les camps jusqu'à la fin de l'année. Le désespoir s'empare de la jeune femme : « Notre tour est déjà passé, ma maison a disparu. Que reste-t-il du camp ? Le camp est désormais isolé de tout. Nous pensions y retourner et planter une tente sur le tas de terre qui est à la place de notre maison. Cela fait six mois que nous sommes hors du camp, nous ne savons pas si nous y retournerons, si nous retournerons chez nous ». À l'étage supérieur de l'école, une famille de onze personnes s'entasse dans une pièce dont le sol est jonché de matelas. Hiba redoute, elle aussi, de ne jamais pouvoir retourner dans le camp : « Ils ne veulent plus rien qui soit lié aux camps ou aux réfugiés, ils veulent nous faire disparaître. Ce sont des menteurs, ils disent qu'ils ne détruisent que les maisons des résistants, mais ils détruisent toutes les maisons. » Après la disparition des camps du nord de la Cisjordanie, Hiba redoute que l'armée s'en prenne à tous les camps du territoire. Et avec eux, le droit au retour des Palestiniens sur leurs terres. À lire aussiCisjordanie occupée: le camp de Tulkarem, cible de la violence de l'armée et des colons israéliens
Depuis plusieurs mois, les camps de réfugiés en Cisjordanie occupée sont devenus le théâtre d'opérations militaires israéliennes d'une intensité inédite. À Tulkarem, l'un des camps les plus anciens, les bulldozers ont tout emporté : les maisons, les souvenirs, les vies ancrées dans la terre. Les familles expulsées s'entassent désormais dans des salles de classe d'une école dans des conditions difficiles avec la crainte de ne plus retourner chez eux. De notre correspondante à Tulkarem, Il n'y a plus âme qui vive dans le camp de Tulkarem éventré par les bulldozers sous la surveillance des drones israéliens. Le bourdonnement des drones résonne jusqu'à cette école, installée en périphérie de la ville, qui accueille les réfugiés expulsés du camp. Moussa Abu Shanab, employé de la municipalité, est responsable des lieux : « C'est dur de se dire que tous les gens ici ont leurs maisons qui ont été détruites et dont les affaires sont restées là-bas ». Les 125 personnes, chassées du camp par l'armée, occupent l'école. Osman vit dans l'une des salles de classe : « Je suis ici avec ma femme et mes deux filles. Et nous attendons un enfant qui naîtra dans quelques semaines. » La température dépasse les 40 degrés. « Il fait une chaleur étouffante, les conditions sont très difficiles. Je rêve de changer d'air, d'un peu de calme ». Son épouse, Rowan, arrive en fin de grossesse : « Il y a 125 personnes pour quatre salles de bains mixtes. C'est très difficile, pas comme si nous étions à la maison, avec notre propre salle de bains, tranquilles dans notre maison. Nous sommes quatre dans cette pièce et, bientôt, nous serons cinq ». « Ils détruisent toutes les maisons » L'armée israélienne a récemment annoncé qu'elle occuperait les camps jusqu'à la fin de l'année. Le désespoir s'empare de la jeune femme : « Notre tour est déjà passé, ma maison a disparu. Que reste-t-il du camp ? Le camp est désormais isolé de tout. Nous pensions y retourner et planter une tente sur le tas de terre qui est à la place de notre maison. Cela fait six mois que nous sommes hors du camp, nous ne savons pas si nous y retournerons, si nous retournerons chez nous ». À l'étage supérieur de l'école, une famille de onze personnes s'entasse dans une pièce dont le sol est jonché de matelas. Hiba redoute, elle aussi, de ne jamais pouvoir retourner dans le camp : « Ils ne veulent plus rien qui soit lié aux camps ou aux réfugiés, ils veulent nous faire disparaître. Ce sont des menteurs, ils disent qu'ils ne détruisent que les maisons des résistants, mais ils détruisent toutes les maisons. » Après la disparition des camps du nord de la Cisjordanie, Hiba redoute que l'armée s'en prenne à tous les camps du territoire. Et avec eux, le droit au retour des Palestiniens sur leurs terres. À lire aussiCisjordanie occupée: le camp de Tulkarem, cible de la violence de l'armée et des colons israéliens
Como vão resistir as relações diplomáticas entre Lisboa e Bissau depois da expulsão dos jornalistas portugueses e do encerramento das emissões da RTP África, RDP África e Agência Lusa? Como olham os guineenses para a decisão do Presidente Umaro Sissoco Embaló três meses antes das agendadas eleições presidenciais? Para conversar sobre o tema convidámos o analista e investigador Rui Jorge Semedo. As delegações da agência Lusa, da RTP e da RDP têm até esta terça-feira para deixarem a Guiné-Bissau, de acordo com a ordem de expulsão do governo tornada pública na sexta-feira. Não foram avançadas razões para a decisão e, este domingo, em Cabo Verde, o Presidente guineense, Umaro Sissoco Embaló, recusou explicar os motivos da expulsão, dizendo que o problema é entre a Guiné-Bissau e Portugal. Na sexta-feira, o Ministério dos Negócios Estrangeiros português repudiou a expulsão dos orgãos de comunicação social portugueses, que classificou de “altamente censurável e injustificável” e convocou o embaixador da Guiné-Bissau em Lisboa para dar “explicações e esclarecimentos”. Este domingo, até a porta-voz para a política externa da Comissão Europeia, Anitta Hipper, condenou, a decisão da Guiné-Bissau e falou em "restrição lamentável" à liberdade de expressão. Como olham os guineenses para a expulsão dos jornalistas e corte das emissões, assim como para um eventual degradar das relações entre Lisboa e Bissau? “Com muita preocupação”, alerta o analista e investigador guineense Rui Jorge Semedo, falando em “tentativa de silenciamento da imprensa, neste caso particular da imprensa portuguesa”. “Isso não é de agora. O que aconteceu foi resultado de um percurso de mau relacionamento entre o actual poder político com a imprensa. E o que acabou de acontecer com a imprensa pública portuguesa pode ser visto como o seu ponto mais alto”, começa por considerar o investigador. Este domingo, em Cabo Verde, Umaro Sissoco Embaló rejeitou que a liberdade de imprensa esteja em causa na Guiné-Bissau e disse: "Podem ir à Guiné-Bissau e ver se está interditada a liberdade de expressão. Façam-me essa pergunta na Guiné-Bissau”. No final de Julho, o delegado da RTP na Guiné-Bissau, Waldir Araújo, foi agredido e assaltado no centro de Bissau e disse que os agressores acusaram a RTP de "denegrir a imagem da Guiné-Bissau no exterior". As Direcções de Informação da Rádio e Televisão de Portugal repudiaram a agressão e apelaram às autoridades uma urgente investigação. A ordem de expulsão dos jornalistas portugueses acontece um mês depois de a Guiné-Bissau ter assumido a presidência rotativa de dois anos da Comunidade de Países de Língua Portuguesa (CPLP), numa cimeira em que o Presidente português esteve ausente e em que Portugal esteve representado pelo chefe da diplomacia. Por outro lado, a expulsão dos jornalistas e fim das emissões é ordenada três meses antes das agendadas eleições presidenciais. Rui Jorge Semedo lembra que a imprensa nacional e internacional “funcionam como holofotes para o mundo ver o que está a ser vivenciado na Guiné-Bissau” e questiona se “essa tentativa de silenciamento e de apagamento das luzes pode ser ligada com o avizinhar das eleições”. “Há vários elementos que devem ser observados para podermos compreender o que pode estar por detrás dessa atitude do governo. Se é a mera atitude de repudiar o posicionamento do Conselho de Administração da RDP [ao pedir explicações sobre agressão a Waldir Araújo] ou se é uma estratégia para poder controlar a comunicação no período eleitoral para não permitir que o mundo saiba aquilo que está a acontecer durante o processo e também no dia do escrutínio. Portanto, há várias leituras que se podem fazer. Eu acho que vamos compreender isso talvez nos próximos dias ou nos próximos três meses que nos separam, de acordo com a comunicação oficial, das próximas eleições gerais”, conclui Rui Jorge Semedo. As direcções de informação da Lusa, RTP e RDP reagiram, em conjunto, à decisão do Governo guineense, que descrevem como "um ataque deliberado à liberdade de expressão".
Série histórica Nossas Origens, um recorrido desde os primórdios até o tempo dos nossos tataravós. Com produção e apresentação de Martim Cesar Gonçalves. Inéditos, quintas feiras, às 11:15h na Radiosul.net
Pour l'Inde, la réélection de Donald Trump comme président des États-Unis a eu une conséquence immédiate et brutale : le renvoi de centaines de migrants illégaux. Ces dernières semaines, ils arrivent donc en Inde par avions militaires, enchaînés, comme des esclaves. L'humiliation est grande, surtout pour le Premier ministre nationaliste indien, Narendra Modi, proche de Donald Trump. Mais, plus gravement, cela révèle le désespoir de millions d'Indiens, qui ne trouvent pas de travail chez eux, et sont prêts à risquer leur vie pour entrer aux États-Unis. (Rediffusion) «Les migrants indiens expulsés par Donald Trump, symbole de la crise économique en Inde», un Grand reportage de Côme Bastin.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chroniqueurs : - Raphael Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD - Paul Melun, écrivain et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme promis pendant sa campagne, le président Donald Trump a mis fin au statut de protection temporaire, le TPS, pour les Honduriens et les Nicaraguayens vivant aux États-Unis. Les autorités honduriennes, elles, se préparent déjà depuis le mois de janvier 2025 à accueillir et prendre en charge les migrants expulsés. Un reportage de Alice Campaignolle. Toutes les semaines, des migrants expulsés des États-Unis débarquent à l'aéroport de San Pedro Sula, dans le nord du Honduras. Dès leur arrivée, ils sont pris en charge par un centre d'accueil, dirigé par la sœur Idalina Borguignon. Un parcours bien rodé les attend : café, nourriture, examens médicaux, soutien psychologique, démarches administratives. Beaucoup témoignent de la peur et des mauvais traitements subis aux États-Unis, où, selon eux, « le rêve américain est terminé » depuis l'arrivée de Donald Trump. Parmi eux, Jerry, expulsé après deux tentatives de passage par la frontière, espérait retrouver son jeune fils soigné aux États-Unis. Il renonce temporairement à repartir et prévoit de se réinstaller dans son pays. Mais une fois revenus, ces Honduriens doivent repartir de zéro dans un pays où les opportunités restent rares et la violence omniprésente. Certains enfants de retour ne parlent même plus espagnol. Le profil des expulsés a aussi évolué : il s'agit désormais majoritairement de personnes établies de longue date aux États-Unis. Haïti se prépare aussi au retour des migrants en provenance des Etats-Unis C'est à la Une de l'agence Alterpresse et nous en parlons avec son directeur Gotson Pierre : Le ministère de la Justice haïtien a adopté un « protocole pour le traitement des dossiers des Haïtiens déportés ou extradés pour crimes financiers ou liens avec des groupes criminels ou terroristes ». Cette mesure « répond aux nouvelles décisions des autorités américaines visant l'arrestation et l'expulsion de ressortissants haïtiens impliqués dans ce type de délits ». Une manière de montrer, précise Gotson Pierre, que le gouvernement haïtien est prêt à coopérer pleinement avec les autorités américaines dans le domaine des expulsions. Autre sujet à la Une d'Alterpresse : l'enquête sur l'assassinat du président Jovenel Moïse, tué le 7 juillet 2021, est-elle en train de s'enliser dans une impasse judiciaire ? Plus d'une semaine après la fin des auditions en appel des accusés, tous les regards se tournent vers la cour d'appel de Port-au-Prince, dont la décision est désormais très attendue, selon le site d'information. Ce verdict pourrait représenter un tournant dans ce dossier aussi sensible que complexe. Mais les lenteurs de la procédure, les retards accumulés et certaines absences-clés nourrissent la crainte d'un nouveau blocage judiciaire. Colombie : Un verdict historique qui pourrait influencer la campagne présidentielle L'ancien président Álvaro Uribe a été reconnu coupable d'avoir tenté de faire pression sur un témoin, pour éviter d'être associé aux milices d'extrême droite. Le journal El Espectador parle d'un verdict historique et salue le travail de la justice. Il faut désormais, écrit-il, reconnaître la légitimité du jugement et rejeter fermement les voix qui, sans fondement, cherchent à le présenter comme une persécution politique. Le quotidien reconnaît que ce procès a suscité des passions. Juger une figure politique aussi influente qu'Álvaro Uribe entraîne inévitablement des lectures biaisées, selon les appartenances politiques. Mais rien, selon El Espectador, ne permet de conclure que la juge ait agi en dehors du droit. En tout cas, à moins d'un an de la prochaine présidentielle, ce jugement aura forcément un impact politique. D'après El Heraldo, il est indéniable que cette sentence contre le chef naturel du parti conservateur Centre démocratique, le leader de droite le plus influent des dernières décennies, va bouleverser les rapports de force de la campagne électorale. Selon le journal, les positions des uns et des autres risquent de se radicaliser. On continuera à parler de persécution judiciaire, de politisation de la justice ou encore de judiciarisation de la politique, ce qui risque d'alimenter encore davantage la polarisation et la mobilisation sociale. Pour le journal El Tiempo, la droite pourrait exploiter le rejet du verdict et l'impopularité de l'actuel président de gauche Gustavo Petro pour tenter de regagner du terrain. Mais l'incertitude demeure : Álvaro Uribe va-t-il se retirer de la vie politique ou au contraire intensifier son activité en vue de 2026 ? Le Brésil tente d'éviter des surtaxes commerciales Pour le gouvernement brésilien, c'est une course contre la montre pour tenter d'éviter la hausse des droits de douane décidée par le président américain Donald Trump. 50% supplémentaires à partir du 1er août 2025, donc vendredi prochain. Brasilia est en négociation intense avec les autorités américaines, selon Folha de São Paulo. Objectif, selon Carta Capital : exclure de cette surtaxe certains produits stratégiques, comme les aliments ou les avions afin d'atténuer les impacts d'une mesure qui pourrait toucher de plein fouet les secteurs industriels et agroalimentaires. Mais le problème, c'est que Washington refuse de négocier avec Brasilia, alors même qu'il vient de conclure une série d'accords avec l'Union européenne ou le Japon. Donald Trump reste inflexible. Et impose comme condition — jugée inacceptable et absurde par Folha de Sao Paulo — l'abandon du procès contre Jair Bolsonaro, l'ancien président, poursuivi pour tentative de coup d'État contre les institutions démocratiques. Au Mexique, de plus en plus de corps mutilés retrouvés dans les rivières du Chiapas C'est un reportage à lire dans El País. Dans le sud du Mexique, Walter González, un pêcheur de 54 ans, est devenu malgré lui un sauveteur informel de cadavres. Depuis sept ans, il repêche les corps abandonnés dans les rivières du Chiapas, à la frontière avec le Guatemala. Ces dernières semaines, il a été témoin d'une recrudescence de violence extrême liée au crime organisé. Des corps ligotés, mutilés, parfois sans tête, refont surface dans les rivières Suchiate et Cahoacán. Face à l'inaction ou à l'indifférence des autorités, Walter et ses compagnons enterrent parfois eux-mêmes les restes humains, par respect pour les victimes. Cette vague de violence intervient alors que les autorités locales se félicitent des progrès en matière de sécurité. Mais en réalité, les affrontements entre groupes criminels, pour le contrôle du trafic de migrants et des extorsions, ont fortement augmenté depuis mai dernier. Journal de la 1ère En Martinique, le taux de l'octroi de la mer va augmenter.
Nesta segunda-feira (28), nossos comentaristas repercutiram a grande polêmica da 17ª rodada do Brasileirão, durante a partida entre Internacional e Vasco, no Beira-Rio. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la polémique selon laquelle des adolescents de confession juive auraient été expulsés d'un vol de la compagnie Vueling, au départ de Valence en Espagne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Philippe Court, préfet du Val-D'Oise. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Cinq immigrés en situation irrégulière aux Etats-Unis et originaires de pays d'Asie ou des Caraïbes ont été expulsés vers l'Eswatini, petit pays d'Afrique australe, l'administration Trump ayant expliqué que leurs propres pays refusent d'accueillir ces "criminels".
La police avait trouvé 2,3 kg de cannabis en possession d'un membre de la famille âgé de 27 ans. Cette découverte a entraîné une procédure d'expulsion par son bailleur, avec le soutien de la préfecture.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La police avait trouvé 2,3 kg de cannabis en possession d'un membre de la famille âgé de 27 ans. Cette découverte a entraîné une procédure d'expulsion par son bailleur, avec le soutien de la préfecture.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La police avait trouvé 2,3 kg de cannabis en possession d'un membre de la famille âgé de 27 ans. Cette découverte a entraîné une procédure d'expulsion par son bailleur, avec le soutien de la préfecture.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Así deportó Nayib Bukele de El Salvador al reportero Daniel Lízarraga El Faro es el medio más importante de El Salvador. En plena pandemia de COVID 19, el reportero mexicano Daniel Lizárraga, famoso por el reportaje La Casa Blanca de Peña Nieto, fue invitado a trasladarse a la capital salvadoreña para formar parte del equipo de ese portal periodístico de fama mundial. Le duró bien poco el gusto: Nayib Bukele, el polémico presidente de ese país, ordenó su deportación, como una más de sus maneras de acosar a El Faro.
O Cruzeiro vai repetir o ótimo desempenho na outra parte do campeonato? Metas do Cabuloso para 2025 já mudaram? Empate com o Vitória, pelas circunstâncias do jogo, deve ser comemorado? Expulsão de Eduardo foi justa? Com Danny Paiva, Henrique Fernandes e Rogério Corrêa. Edição: Lavínia Aguiar.
Comentaristas da ESPN analisam os jogos da 11ª rodada do Campeonato Brasileiro Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Une explosion a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi, entre 1h et 2h du matin, provoquant un incendie dans un immeuble de la rue Taitbout (Paris). Selon les premières constatations des techniciens du laboratoire central, dépêchés sur place, une batterie de trottinette est à l'origine de l'explosion, confie une source policière à RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h30, ce jeudi 22 mai 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, débattent de : Un père de dealers expulsé de son logement, scandaleux ?
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En RD Congo, plus de 300 civils ont été expulsés de Goma vers le Rwanda. Le M23, qui a pris la ville il y a quelques mois, affirme que ces personnes sont des Rwandais en situation irrégulière. La plupart vivait à Karenga, fief des FDLR, opposées au groupe rebelle.
Chaque samedi et dimanche, Alexis de le Fléchère reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie pour évoquer notamment les tensions entre la France et l'Algérie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:08 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le Salvadorien Kilmar Abrego Garcia, expulsé à tort des Etats-Unis par l'administration Trump et désormais détenu au Salvador, a rencontré le sénateur démocrate Chris Van Hollen. Une cour d'appel fédérale trouve "choquante" la position de l'administration Trump qui ne revient pas sur cette expulsion
A edição do Futebol no Mundo desta segunda-feira vai falar de: - Bayern e Dortmund empatam na despedida de Thomas Müller do clássico; - Leverkusen fica no 0 a 0 com o Union Berlim... - Empate no Derby della Capitale e Atalanta volta a vencer após três derrotas seguidas; - Sassuolo retorna à primeira divisão italiana; - Barcelona e Real Madrid (com Mbappé expulso) ganham no sufoco, nada muda em LaLiga; - Villarreal vence jogo decisivo pela Champions contra o Betis; - Liverpool pode ser campeão na próxima rodada; - Manchester United goleado pelo Newcastle e Tottenham leva de 4 a 2 do Wolverhamptonm; - Birmingham garante título da terceira divisão inglesa; Wrexham segue na disputa pelo acesso; - Olympique de Marseille derrete: duas vitórias e cinco derrotas nas sete últimas rodadas; - Olympiacos volta a ser campeão grego após três anos. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Futebol, informação, humor, opinião e corneta! Um programa de debate sobre tudo que envolve futebol de um jeito descontraído e animado.Veja muito mais no YouTube
Accès au traitement en dépendance : un chaos financier qui jette des usagers à la rue Entrevue avec Bruno Ferrari, président du comité permanent national en traitement à l’Association québécoise des centres d’intervention en dépendance.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Lunes Deportivo hablamos de la famosa flor en el culo del fútbol, de un motorista que cruzó el Atlántico en moto y una última hora de la tele de Florentino Párez.
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Pour l'Inde, la réélection de Donald Trump comme président des États-Unis a eu une conséquence immédiate et brutale : le renvoi de centaines de migrants illégaux. Ces dernières semaines, ils arrivent donc en Inde par avions militaires, enchaînés, comme des esclaves. L'humiliation est grande, surtout pour le Premier ministre nationaliste indien, Narendra Modi, proche de Donald Trump. Mais, plus gravement, cela révèle le désespoir de millions d'Indiens, qui ne trouvent pas de travail chez eux, et sont prêts à risquer leur vie pour entrer aux États-Unis. «Les migrants indiens expulsés par Donald Trump, symbole de la crise économique en Inde», un Grand reportage de Côme Bastin.
L'ambassadeur sud-africain aux États-Unis, Ibrahim Rassoul, a 72 heures pour quitter le pays. Il a été déclaré persona non grata à cause de ses critiques envers le président américain. L'Afrique du sud juge cette expulsion sans précédent, tandis que l'opposition de gauche radicale compare Trump a un leader du Ku Klux Klan.
La suppression du statut de protection temporaire (TPS) pour les Vénézuéliens aux États-Unis plonge des milliers de migrants dans l'incertitude. Comment cette communauté se prépare à de possibles expulsions ? Nous en avons parlé avec certains d'entre eux. Hector Arguizones, président de l'association VIA (Venezuelans and Immigrants Aid), tente d'apporter des réponses à travers des visioconférences très suivies. Il alerte sur les conséquences dramatiques de cette suppression : près de 300 000 personnes risquent l'expulsion vers le Venezuela, un pays où la situation ne cesse de se dégrader, notamment en matière d'économie, de santé et de sécurité, particulièrement pour les opposants politiques. Pourtant, l'administration Trump justifie sa décision en affirmant que les conditions au Venezuela se sont améliorées, un constat vivement contesté par la communauté vénézuélienne aux États-Unis.Face à cette situation, Nicolas Maduro appelle ses compatriotes à rentrer au Venezuela, mais la majorité des migrants refuse cette option. Certains envisagent même de quitter les États-Unis par leurs propres moyens, faute de passeport ou de visa pour un autre pays. Le désespoir est palpable : certains songent à traverser illégalement la frontière mexicaine, malgré les risques encourus. En attendant l'expiration officielle du TPS le 7 avril, les Vénézuéliens multiplient les demandes d'asile pour tenter d'éviter l'expulsion, tandis que les visioconférences d'Hector Arguizones restent un ultime recours pour obtenir des réponses et du soutien. Un dossier réalisé par Lila Olkinuora.Au Venezuela, la presse d'opposition alerte sur la situation des prisonniers politiquesSelon l'ONG Foro Penal, citée par El Nacional, plus de 1 000 personnes sont encore détenues pour s'être opposées au régime chaviste, notamment après la réélection de Nicolás Maduro en juin 2024, jugée illégitime selon elles. La mère d'un jeune détenu affirme dans le journal que les autorités l'ont menacée afin qu'elle ne se mobilise pas pour son fils, sous peine de représailles contre ce dernier. Elle évoque également la difficulté de trouver des médicaments pour le traitement de son fils, qui ne reçoit visiblement aucune aide médicale en prison.Malgré les menaces et les intimidations des autorités, les familles continuent à manifester pour exiger la libération de leurs proches.Les États-Unis suppriment des programmes soutenant l'opposition aux régimes autoritaires Aux États-Unis, les coupes budgétaires se poursuivent. Le département d'État a brusquement annulé des programmes d'aide à l'étranger qui soutiennent des militants de l'opposition en Amérique Latine. D'après le Miami Herald, ces projets concernaient les prisonniers politiques à Cuba, les groupes religieux s'opposant au président nicaraguayen Daniel Ortega et des militants anti Maduro au Venezuela. Les financements de ces groupes ont été annulés parce que le département d'État a conclu qu'ils n'étaient pas dans « l'intérêt national » des États-Unis.Une nouvelle politique étrangère américaine« La destruction de l'U.S.A.I.D. La menace de faire du Canada le 51è État. L'humiliation de l'Ukraine. Que se passe-t-il avec la politique étrangère américaine ? », s'interroge le New York Times. Est-elle désormais motivée par la cupidité personnelle de Donald Trump ou par son penchant pour les dictateurs ? Selon le New York Times, ce qui pousse le président à ces changements radicaux, « ce n'est pas la richesse ou l'idéologie d'un pays, mais sa puissance. Il croit dans la domination des faibles et dans la déférence à l'égard des forts. C'est une stratégie vieille comme le monde. On l'appelle le réalisme ».En fait, tout part de l'idée que l'ordre mondial international libéral n'a été possible que grâce à la puissance militaire des États-Unis et que les Américains ne veulent plus payer la facture. C'est le constat dressé par cette administration et dont elle a tiré les conséquences, poursuit le New York Times. Il s'agit d'un réalisme grossier, non stratégique, un « réalisme néandertalien », selon la formule du politologue Stephen Walt. « Les réalistes en relations internationales voient le monde comme un endroit brutal et anarchique. Pour eux, la sécurité ne vient pas de la promotion de la démocratie et de la mise en place des règles internationales mais du fait d'être le plus fort des tyrans - et d'éviter les batailles avec d'autres tyrans. Dans cette logique, Donald Trump veut éviter une guerre avec la Russie. Cela signifie qu'il faudra endurcir nos cœurs face à la détresse de l'Ukraine », écrit le New York Times.Haïti : comment le gouvernement a négocié avec les gangs la réouverture d'un hôpitalC'est une enquête réalisée par le journal en ligne AyiboPost et dont nous parlons avec l'auteur Fenel Pélissier. Il nous parle des négociations que les autorités ont menées avec des gangs pour rouvrir l'Hôpital de Chancerelles au cœur de Cité Soleil. Journal de la 1èreLancement réussi de la fusée Ariane 6 en Guyane.
durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - L'Algérie cherche à humilier la France qui ne s'interdit pas de riposter. Le renvoi vers Paris d'un influenceur algérien expulsé vers son pays provoque la colère du gouvernement français.