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Les références : Pages Wikipédia des Marques et entités citées : HBO MaxChérie FMEurope 2CStarMacintoshAlphabetMetaSeamonkeyFramasoftOpenOfficeOwncloudNPAWindows Live MessengerK9-MailActiviaMandrivaWarmuxLuantiTwitterLes RépublicainsTotalEnergiesVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
C dans l'air l'invité du 27 février 2025 avec CHRISTOPHE BARBIER, ancien directeur de la rédaction de L'Express, éditorialiste pour BFM, co-auteur avec Cyril Hanouna, "ce que m'ont dit les Français" aux éditions Fayard.Ce sont les dernières heures d'existence pour C8 sur la TNT. Vendredi soir, la chaîne du groupe Bolloré, ainsi que NRJ12, va arrêter d'émettre, l'Arcom ayant décidé en juillet dernier de ne pas renouveler leurs fréquences. Avant cette sanction finale, le régulateur de l'audiovisuel français, avait multiplié les mises en garde, mises en demeure et amendes contre C8. Depuis une dizaine d'années, le talk-show a enchaîné les déclarations ou les gestes problématiques…. Pour l'Arcom, C8 a manqué à deux de ses obligations : le respect de la vie privée et la lutte contre les discriminations.Mais l'extinction de C8 a été critiquée par des politiques de droite et d'extrême droite, de Laurent Wauquiez (LR) à Marine Le Pen (RN). De son côté Cyril Hanouna dit avoir reçu quatre propositions. Il n'en cite que deux : rester dans le groupe Canal Plus, pour une quotidienne sur CStar, en plus de son émission sur Europe , ou partir chez M6, qui lui offre un créneau sur W9 et sur Fun Radio. Avec une obligation : ne plus parler de politique, revenir à du pur divertissement.Fin du suspense au cours d'un prime-time exceptionnel, ce jeudi soir : à la fin de l'ultime numéro de TPMP, Hanouna montera dans un bus avec ses chroniqueurs, et en descendra devant le siège de son nouvel employeur. Il a cependant livré deux autres "destinations" possibles pour l'après C8 : "chez moi", a-t-il dit, ce qui "voudra dire que je vais monter moi-même ma chaîne", ou "autre chose. Peut-être, pourquoi pas, 2027", semblant indiquer qu'il réfléchit à une candidature ou à un rôle quelconque lors de la prochaine élection présidentielle.
Après la décision de l'Arcom, confirmée par le Conseil d'État mercredi 19 février, le retrait de leur fréquence TNT devrait acter la disparition prochaine des chaines de télévision C8 et NRJ12. Les espoirs de C8 et de NRJ12 se sont évanouis mercredi 19 février. Le Conseil d'État a rendu sa décision, défavorable, entraînant le retrait de leur fréquence TNT et donc la prochaine fin de leur diffusion, prévue le 28 février au soir, 20 ans après leur lancement. Une décision rare, mais pas sans précédent. C'est arrivé par deux fois en France, en 1987 avec la chaîne musicale TV6 et en 1992 avec l'arrêt de la Cinq. Le Conseil d'État a bien pesé les arguments de l'Arcom et des plaignants, les groupes Canal+ et NRJ. Et a donné raison au régulateur.Pour C8, la fréquence lui est retirée principalement à cause des manquements répétés de son animateur vedette Cyril Hanouna dans son émission Touche pas à mon poste, qui ont amené la chaîne à cumuler 7,6 millions d'euros d'amendes. Jeudi 20 février, ses insultes proférées en direct envers le député LFI Louis Boyard lui ont même valu 4 000 euros d'amende. Un incident déjà sanctionné par l'Arcom, le régulateur des médias, d'une amende de 3,5 millions d'euros, au nom de la non-maîtrise répétée de l'antenne. Mais ce n'est pas le seul facteur. La chaîne du milliardaire français Vincent Bolloré n'a jamais atteint l'équilibre et n'a donc pas fait la preuve de sa pérennité financière. NRJ12, une chaîne estimée « sans viabilité »C'est également le cas de l'autre chaîne plaignante, NRJ12, qui n'a pas su convaincre le régulateur quant à sa viabilité. Pour rappel, celle-ci n'a eu qu'un seul exercice bénéficiaire en 20 ans et ses audiences n'ont jamais vraiment réussi à décoller. Après avoir diffusé des émissions de téléréalité comme les Anges ou Allo Nabila, elle a parié sur les magazines de divertissement ou les séries américaines.Or l'Arcom lui a reproché l'omniprésence des rediffusions ou du téléachat à l'antenne, au détriment de ses obligations contractuelles. Elle paye ainsi un manque d'investissements dans les programmes. L'Arcom a préféré mettre fin à cette chaîne alors qu'il reste de la place sur la TNT, même en comptant les deux nouvelles attendues pour juin et septembre : T18, la chaîne de Daniel Kretinsky, et Ouest France TV sur le canal 19. Un avenir incertain pour Cyril HanounaLe sort de l'animateur vedette du groupe Canal+, largement décrié pour ses fresques répétées, reste inconnu. Le groupe M6 semble prêt à le recruter pour sa chaîne W9 et Fun Radio. À condition que celui-ci se limite au strict divertissement, peut-être saupoudré d'un peu de fait divers ou de politique, mais surtout sans attaques ad hominem.Seulement, selon Le Parisien, c'est de nouveau le groupe Canal+ qui tient la corde. Cela permettrait à Hanouna de faire la même émission sur la chaîne CStar et de rester sur Europe1. « Vincent, c'est ma famille », aurait dit l'animateur à propos de Vincent Bolloré. En tout cas, du RN aux Républicains, Laurent Wauquiez ou Bruno Retailleau, le soutien à Hanouna ou à C8 est très marqué à droite et à l'extrême droite.À écouter aussiDébat du jour: fallait-il déprogrammer les chaînes C8 et NRJ12 ?
Hit or Miss ? Pour le 140ème et dernier numéro de J+7 de 2024, une partie l'équipe revient sur la soirée de Miss France. Étonnamment, le débat le plus houleux entre Alex et Bastien sera sur Jean-Pierre Foucault et son avenir (fera-t-il un talk show ?) Au programme de l'actu, les nouvelles conventions de la TNT mises en exergue, et notamment celles de OFTV et CMITV, les deux nouvelles arrivées. Sans oublier les changements à BFMTV, la fermeture de BFM Paris ou encore des Oscars qui passent dans les mains de Mickey en France. Mais avant tout ça, Arnaud nous racontera longuement son périple parisien médiatique avec au casting : Camille Combal, Samuel Etienne et Olivier Minne. Et puis pêle-mêle : bon Jean Reveillon à toutes & tous, et rendez-vous le lundi 6 janvier ! Au sommaire : 0:00 - Introduction 7:00 - La tournée d'Arnaud 33:34 - Vu & Entendu 1:03:09 - L'Actu 2:13:15 - Conclu Articles évoqués dans l'épisode : Puremédias - Audiences : Quel score pour l'élection de Miss France 2025 sur TF1 ? ARCOM - Appel aux candidatures national sur la TNT : signature des conventions et délivrance des autorisations Le Parisien - L'Arcom confirme l'exclusion de C8 et de NRJ 12 de la TNT fin février 2025 Le Parisien - Nouvelles conventions des chaînes de la TNT : avec la fin de C 8 et NRJ 12, les questions que l'on se pose Le Parisien - Cyril Hanouna et « Touche pas à mon poste » sur CStar : pourquoi ce n'est pas gagné Puremédias - NRJ 12 demande à l'Arcom de “reconsidérer plus que jamais sa candidature” après que Canal+ a décidé de retirer ses chaînes payantes de la TNT Le Parisien - BFMTV : Apolline de Malherbe et Julie Hammett remplacent Maxime Switek le matin Puremédias - “J'en ai eu l'idée”, Apolline de Malherbe évoque son nouveau format d'émission sur RMC Story Le Monde - La chaîne BFM Paris va fermer en 2025 Le Figaro - Public Sénat : les deux candidats en lice sont Jean-Emmanuel Casalta et Olivier Galzi Franceinfo: - Disney+ va diffuser “en exclusivité” les Oscars et prépare de nouvelles séries produites en France Le Parisien - La cérémonie « Les Bravos d'or » sera diffusée sur France 2 le 1er janvier 2025 TF1info - Miss France 2025 : Ève Gilles annonce en direct qu'elle participera à “Danse avec les stars” TVMag - Charlotte de Turckheim rejoint le casting de «Danse avec les stars» Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
Vassogne es una pequeñísima comuna rural de solo 90 habitantes en el noreste de Francia. Sus electores han pasado de la izquierda socialista y ecologista a votar por la extrema derecha. De cara a las europeas del 9 de junio 2024, RFI puso la lupa en el comportamiento electoral de los vassognenses, muestra del voto rural francés. La sociología electoral constata que el voto por la extrema derecha en Francia proviene mayoritariamente de zonas rurales donde no hay inmigrantes. No obstante, sus votantes esgrimen como razón el miedo a la inseguridad y a la violencia que asocian a la inmigración. Es el caso de Vassogne, pequeña comuna rural de la región de Alta Francia que cuenta con apenas 90 habitantes y una cincuentena de electores.Escuche el reportaje de Angélica Pérez:Un Jardín Colectivo sirve de telón de fondo a los habitantes de Vassogne para compartir la siembra y la palabra. En este terreno comunitario, indagamos las razones por las que las urnas han dado un vuelco de 360 grados saltando del voto mayoritario por la izquierda hacia la extrema derecha."Cuando llegamos aquí a Vassogne en 2004, nos pusimos muy contentos y orgullosos porque era un pueblo de galos que resistía”, dice Hélène, trabajadora social, reivindicando una resistencia política, sello hasta 2019 del electorado de este pueblito perdido en el noreste de Francia“Se votaba sobre todo por el Partido Socialista, mientras que todos los pueblos alrededor ya eran de derecha. De extrema derecha, incluso”, detalla Hélène. En las elecciones europeas de 2004, el año en que ella se instaló con su familia en Vassogne, el Partido Socialista ganó con 13 del total de 32 votos. Los Verdes obtuvieron cuatro y la ultraderecha, entonces liderada por Jean-Marie Le Pen, apenas dos.En las europeas de 2009, los socialistas siguieron campeando en las urnas del pueblo con diez votos. Y los Verdes conquistaron nueve, espejo microcópico del avance espectacular que ese año logró la lista ecologista en toda Europa.“Pero ya no es mas así”, lamenta Hélène.En las urnas: de la izquierda a la extrema derecha A partir de la elección europea de 2014, la extrema derecha se fue abriendo paso y ganando terreno en los resultados electorales del pueblo. Ese año significó una conmoción política en Francia. Por primera vez, la extrema derecha obtuvo la victoria. El Frente Nacional, con Marine Le Pen a la cabeza, hija del legendario líder de este partido, salió muy bien parado con un 25% de los votos, dejando atrás a la derecha y aventajando por diez puntos al Partido Socialista. En Vassogne, la extrema derecha también se catapultó en las urnas: con siete votos, empató a ecologistas y socialistas.Y cuatro años después, en mayo de 2019, la lista de la ultraderecha, Tómese el Poder, liderada por Jordan Bardella y amadrinada por Marine Le Pen, quedó de primera en la votación nacional para las europeas con más del 23 % de los sufragios. Un punto más que la alianza de todas las derechas.Aunque en Vassogne los ecologistas siguieron liderando el voto, el pueblo vivió su gran cisma electoral: la extrema derecha se disparó con 11 votos a su favor. El resultado del Partido Socialista - que entonces gobernaba en Francia con François Hollande en la presidencia-- emuló su debacle nacional: apenas un seis por ciento, que en esta comuna rural se tradujo en tres tristes votos.Lejos de los inmigrantes, cerca del tv El electorado de Vassogne se reduce a 50 personas y todos se conocen entre sí. ¿Se podría, acaso, saber quiénes empezaron a votar por la extrema derecha desde 2014?Imposible, responde Hélène, aun si esa pregunta es un fantasma que asecha en el pueblo en cada una de las últimas elecciones: “Es terrible porque cuando vives en un pueblo pequeño, necesariamente te preguntas ¿Y quién votó por el Frente Nacional? ¿Quién votó por Zemmour? Y, entonces, hasta piensas en hacer una lista de toda la gente”. Hélène intenta encontrar una explicación para el voto por la ultraderecha. “¿Será porque ha habido tantas muertes de gente mayor, apegada a ciertos valores y, en cambio, han llegado más y más jóvenes? Tal vez, sea esa gente nueva la que ha cambiado el resultado del voto”, conjetura. Y agrega: “Lo más triste es que se trata del voto de gente que no se enfrenta en absoluto a la inmigración”.La ciudad más cercana, Reims, queda a 45 minutos, en auto. Esta comuna rural no tiene transporte público, ni panaderías, ni cafés, ni supermercado, ni bares, ni teatros, ni salas de cine, ni bibliotecas. Pero, hay un televisor en cada casa.“Los medios, los medios, los medios, Hay que dejar de ver el C8 y C-News porque la gente no va más allá. Es que, realmente, aparte de la ignorancia y la estupidez, no me explico esos resultados”, concluye Hélène. Ladrones, asesinos y violadores "Son ladrones, asesinos, violadores. Hay que devolverlos a TODOS. Impedirles que vengan como a toda la inmigración» afirmó colérico en septiembre de 2019, a la cadena CNews, el líder de la ultraderecha francesa Eric Zemmour, refiriéndose a los menores de edad extranjeros que llegan sin papales al país.El Consejo Superior del Audiovisual (CSA) impuso una multa de 200.000 euros a la cadena por los comentarios xenófobos y llenos de odio de su polémica estrella.CNews, C8, Canal+, CStar son parte del imperio mediático privado Canal + del millonario francés Vincent Bolloré. Desde la campaña para las presidenciales de 2022, aumenta en los medios de comunicación privados franceses el espacio concedido a noticias que vinculan crimen con inmigración y dan la voz a la extrema derecha. Para explicar el repunte de la extrema derecha desde la sociología electoral, Michel Wieviorka parte de la pregunta “dónde se vota mayoritariamente por la extrema derecha en Francia. Y rsponde“Se vota mucho más en el campo, en zonas rurales alejadas de las ciudades en las que si hay inmigrantes. Entonces, el miedo y el odio a los inmigrantes no está conectado con la presencia de estos inmigrantes”.Para el sociólogo del mal, la cuestión es clara “existe un sistema mediático que contribuye a construir esta opinión pública y su voto”. Wieviorka agrega que también existe una presión editorial porque varias casas de edición francesas han sido compradas por Bolloré.“No es solo una persona: Bolloré”, aclara el autor de La sociología del sujeto y el estudio de las nuevas extremas derechas. “Es todo un grupo, un universo mediático que tiene una audiencia fuerte, entre 25 y 28 % de la población. Más la gente que, sin declarase de extrema derecha, repiten este discurso. Y no son solo los medios clásicos, prensa, televisión y radio. También están las redes sociales, que no son controladas por Bolloré, y han contribuido enormemente a este proceso de derechización de la sociedad francesa”.Seguridad, respeto y sin veloAlgunos de los vecinos que vienen al Jardín Colectivo de Vassogne dejan ver su tendencia hacia la extrema derecha.Tal es el caso de Michelle Dubuis, una pensionada que llegó a vivir al pueblo hace tres años. Ella no falta a la cita con las urnas en cada elección europea. Eso sí, defiende el principio del voto secreto. “No estoy muy de acuerdo con la idea de recibir a los inmigrantes porque ya hay bastantes en Francia” dice la mujer. Aunque acepta que en Vassogne no hay ninguno.Y también admite no haber sido víctima en carne propia de ninguna agresión?. Sin embargo, para Michelle el problema es la inseguridad inherente, según ella, a la inmigración. “A menudo veo en la televisión todo lo que está pasando. Cada vez hay más robos en casas particulares, atracos. La gente es más y mas agresiva. Todo se debe a la política, a la forma en que vivimos, a todo lo que se nos impone. Creo que la gente es agresiva porque tampoco la está pasando bien”, sostiene.Michelle vino acompañada de un amigo también jubilado. A la pregunta sobre la opción política por la que votará en estas elecciones europeas, responde- Este año, será más bien por la derecha, derecha.-¿Extrema derecha?- Sí- responde el sexagenario- Y ríe.Las razones de su voto, dice, son la necesidad de volver al orden y a la seguridad. Y, al igual que Michelle, admite nunca haber sido blanco de una agresión, pero asegura que sabe lo que ocurre en las ciudades: estafas, robos. Según él, esas violencias no existían antes y son fruto de la manera como se ha constituido la Unión Europea. “Yo no esperaba eso. Esperaba algo mejor, bien hecho, sólido, bien organizado. Y no lo tenemos”, afirma. “Antes éramos 22, ahora somos 27, pero seremos 50. Demasiados”.Para este par de pensionados, el problema de la inmigración es la no integración a los que ellos llaman “valores europeos”. “No nos lo van a devolver. Les hemos ayudado, les seguimos ayudando. Pero yo digo que no están haciendo nada por su cuenta para integrarse adecuadamente en Europa”, acusa el hombre.Los inmigrantes trabajan, mueven la economía, pagan impuestos como todo el mundo. ¿Qué más deben hacer para integrarse? Michelle toma la palabra: “Respetar las costumbres. Cuando ves en la tele a toda esa gente que viene de… los árabes, pues. Los ves que entran a nuestras escuelas portando el velo. No respetan las normas de la República. No quiero que mis nietos vayan a la escuela con velo. Que los obliguen a llevar velo”.Ella admite que no es el caso. Pero asegura que “si dejamos que vayan demasiado lejos, si somos demasiado permisivos, al final llegaremos a eso. Porque ahora hay mucha más violencia en las escuelas”. Todos somos extranjerosHace quince años que Franck Villequey vive en el pueblo y nueve que es alcalde. Él ha sido testigo del viraje del voto en esta comuna rural de la izquierda socialista y ecologista hacia extrema derecha. Un giro que coincide con la llegada de gente joven citadina, dice. Pero, advierte que los pobladores no exhiben sus preferencias políticas “Son discretos. Salvo algunos que vienen a verme y me dicen: ¿señor alcalde, usted no va a recibir extranjeros, cierto?. Y aquí no hay. Solo que cuando miras el origen de la gente, te das cuenta de que todos somos extranjeros. Todos venimos de otra parte”, afirma y remata con una gran carcajada. El mismo es de origen extranjero. Su abuela llegó a Francia huyendo del horror nazi en Hungría. "En estas elecciones europeas la inmigración es el punto principal del debate. No podemos acoger a todo el mundo, en eso estamos de acuerdo. Pero entre no acoger a todo el mundo y dejar morir a la gente. No hay sino una opción: ¡los acogemos! Los acogemos con estructuras que hay que poner en marcha, por supuesto. Pero no se deja morir a la gente en el mar. Me parece inconcebible, inconcebible. Y eso me toca mucho", estima el alcalde . Melanie Moureau; concejala de Vassogne llama a la responsabilidad política de los ciudadanos y de sus líderes. Para ella, el voto por la ultraderecha es, ante todo, una expresión de la ira social. “Es el enfado por cómo va el mundo. No creo que sea necesariamente una opinión política. La gente muestra que está furiosa, pero no creo que sepan realmente cuál es el fondo de la cuestión y el sentido de su voto. Al fin y al cabo, lo que dicen los políticos es lo que dice la gente. La gente sólo ve el primer grado del tema que les plantean, no ve la sustancia, no indaga en el partido político en sí. Para mí, básicamente, les venden un sueño que no necesariamente les darán después, pero la gente se queda con lo que le dicen primero. Es como el marketing. Y la política funciona igual”.Ira y pulsiones de odio en el discurso de la extrema derecha. ¿Qué pasa con la narrativa del bienestar social que enarbola la izquierda? En el prisma de la concejala de Vassogne “la gente ya no se identifica con la retórica de la izquierda. Tal vez, sea un discurso demasiado amable o no representa lo que la gente siente. La gente está enfadada, está perdida. Y no busca la información adecuada”. La cosecha política a las urnasMeticulosamente, Hélène busca en la tierra la cosecha de la siembra colectiva, así como busca el fruto del quehacer político de la izquierda. Esa cosecha definirá su voto en estas europeas “Será por los ecologistas. aunque me tienen decepcionada, muy decepcionada” afirma Hélène y, luego, se pregunta entre risas: Y los socialistas de hoy ¿dónde están? ¿Dónde están? No hay más, no existen. Y los pocos socialistas que hay son unos clanes en guerra. Son muy malos comunicando. No promueven sus acciones. En estas elecciones europeas, su nivel de comunicación ha estado por el suelo. Pura guerra de opiniones. Sin duda, también es la forma en que los medios los presentan”.El Jardín Colectivo de Vassogne es fruto de la invención de un adolescente. Ecologista hasta la médula, Eloi, sin embargo, es crítico frente a la visión de los partidos Verdes de Europa“La forma en que los adultos ven el compromiso con el planeta sigue entrándose en una política muy globalizada, individualista. No tienen nada que se centre en nuestra producción local, por ejemplo, hacer cosas pequeñas, muy locales, muy sencillas”, Todo es complicado y responde a una visión que solo busca sacar un beneficio económico de las prácticas ecológicas. Y, aunque se ahorre, el objetivo, por encima de todo, debería ser preparar un futuro mejor para nuestros hijos”, advierte. Eloi tiene 17 años. No le alcanza la edad para votar en estas europeas. Pero si pudiera hacerlo, cumpliría con ese deber ciudadano sin parpadear."Hay muchos jóvenes que optan por la vía fácil diciendo: "ah, como todos son deshonestos y buscan yo qué sé, lo mejor es no votar". Pero no creo que eso sea una solución. Porque, al final, no elegir deja espacio para políticas que no podemos aceptar”.En el Jardín Colectivo también hace su siembra Silvie, profesora del colegio de Vassogne donde no hay inmigrantes, pero el racismo se toma la palabra.“Por estar abriendo todo el tiempo los micrófonos a la extrema derecha, los alumnos se sienten con derecho a hacer comentarios racistas pese a estar prohibido la ley. Eso me choca mucho”.La docente narra el tipo de comentarios que se escuchan dentro de la escuela “La otra vez hice un informe y sancionaron a un alumno. Fue en una clase en la que no hay negros. Y uno de los estudiantes dijo algo así como me gustan los negros, ¡pero bien lejos!”Y si las encuestas no se equivocan. ¿Y en estas elecciones europeas se impone el voto de la extrema derecha?“No quiero creerlo, nunca me resignaré” afirma la profesara. Y concluye: “Yo sigo siendo optimista, mientras eso no ocurra”.
Vassogne es una pequeñísima comuna rural de solo 90 habitantes en el noreste de Francia. Sus electores han pasado de la izquierda socialista y ecologista a votar por la extrema derecha. De cara a las europeas del 9 de junio 2024, RFI puso la lupa en el comportamiento electoral de los vassognenses, muestra del voto rural francés. La sociología electoral constata que el voto por la extrema derecha en Francia proviene mayoritariamente de zonas rurales donde no hay inmigrantes. No obstante, sus votantes esgrimen como razón el miedo a la inseguridad y a la violencia que asocian a la inmigración. Es el caso de Vassogne, pequeña comuna rural de la región de Alta Francia que cuenta con apenas 90 habitantes y una cincuentena de electores.Escuche el reportaje de Angélica Pérez:Un Jardín Colectivo sirve de telón de fondo a los habitantes de Vassogne para compartir la siembra y la palabra. En este terreno comunitario, indagamos las razones por las que las urnas han dado un vuelco de 360 grados saltando del voto mayoritario por la izquierda hacia la extrema derecha."Cuando llegamos aquí a Vassogne en 2004, nos pusimos muy contentos y orgullosos porque era un pueblo de galos que resistía”, dice Hélène, trabajadora social, reivindicando una resistencia política, sello hasta 2019 del electorado de este pueblito perdido en el noreste de Francia“Se votaba sobre todo por el Partido Socialista, mientras que todos los pueblos alrededor ya eran de derecha. De extrema derecha, incluso”, detalla Hélène. En las elecciones europeas de 2004, el año en que ella se instaló con su familia en Vassogne, el Partido Socialista ganó con 13 del total de 32 votos. Los Verdes obtuvieron cuatro y la ultraderecha, entonces liderada por Jean-Marie Le Pen, apenas dos.En las europeas de 2009, los socialistas siguieron campeando en las urnas del pueblo con diez votos. Y los Verdes conquistaron nueve, espejo microcópico del avance espectacular que ese año logró la lista ecologista en toda Europa.“Pero ya no es mas así”, lamenta Hélène.En las urnas: de la izquierda a la extrema derecha A partir de la elección europea de 2014, la extrema derecha se fue abriendo paso y ganando terreno en los resultados electorales del pueblo. Ese año significó una conmoción política en Francia. Por primera vez, la extrema derecha obtuvo la victoria. El Frente Nacional, con Marine Le Pen a la cabeza, hija del legendario líder de este partido, salió muy bien parado con un 25% de los votos, dejando atrás a la derecha y aventajando por diez puntos al Partido Socialista. En Vassogne, la extrema derecha también se catapultó en las urnas: con siete votos, empató a ecologistas y socialistas.Y cuatro años después, en mayo de 2019, la lista de la ultraderecha, Tómese el Poder, liderada por Jordan Bardella y amadrinada por Marine Le Pen, quedó de primera en la votación nacional para las europeas con más del 23 % de los sufragios. Un punto más que la alianza de todas las derechas.Aunque en Vassogne los ecologistas siguieron liderando el voto, el pueblo vivió su gran cisma electoral: la extrema derecha se disparó con 11 votos a su favor. El resultado del Partido Socialista - que entonces gobernaba en Francia con François Hollande en la presidencia-- emuló su debacle nacional: apenas un seis por ciento, que en esta comuna rural se tradujo en tres tristes votos.Lejos de los inmigrantes, cerca del tv El electorado de Vassogne se reduce a 50 personas y todos se conocen entre sí. ¿Se podría, acaso, saber quiénes empezaron a votar por la extrema derecha desde 2014?Imposible, responde Hélène, aun si esa pregunta es un fantasma que asecha en el pueblo en cada una de las últimas elecciones: “Es terrible porque cuando vives en un pueblo pequeño, necesariamente te preguntas ¿Y quién votó por el Frente Nacional? ¿Quién votó por Zemmour? Y, entonces, hasta piensas en hacer una lista de toda la gente”. Hélène intenta encontrar una explicación para el voto por la ultraderecha. “¿Será porque ha habido tantas muertes de gente mayor, apegada a ciertos valores y, en cambio, han llegado más y más jóvenes? Tal vez, sea esa gente nueva la que ha cambiado el resultado del voto”, conjetura. Y agrega: “Lo más triste es que se trata del voto de gente que no se enfrenta en absoluto a la inmigración”.La ciudad más cercana, Reims, queda a 45 minutos, en auto. Esta comuna rural no tiene transporte público, ni panaderías, ni cafés, ni supermercado, ni bares, ni teatros, ni salas de cine, ni bibliotecas. Pero, hay un televisor en cada casa.“Los medios, los medios, los medios, Hay que dejar de ver el C8 y C-News porque la gente no va más allá. Es que, realmente, aparte de la ignorancia y la estupidez, no me explico esos resultados”, concluye Hélène. Ladrones, asesinos y violadores "Son ladrones, asesinos, violadores. Hay que devolverlos a TODOS. Impedirles que vengan como a toda la inmigración» afirmó colérico en septiembre de 2019, a la cadena CNews, el líder de la ultraderecha francesa Eric Zemmour, refiriéndose a los menores de edad extranjeros que llegan sin papales al país.El Consejo Superior del Audiovisual (CSA) impuso una multa de 200.000 euros a la cadena por los comentarios xenófobos y llenos de odio de su polémica estrella.CNews, C8, Canal+, CStar son parte del imperio mediático privado Canal + del millonario francés Vincent Bolloré. Desde la campaña para las presidenciales de 2022, aumenta en los medios de comunicación privados franceses el espacio concedido a noticias que vinculan crimen con inmigración y dan la voz a la extrema derecha. Para explicar el repunte de la extrema derecha desde la sociología electoral, Michel Wieviorka parte de la pregunta “dónde se vota mayoritariamente por la extrema derecha en Francia. Y rsponde“Se vota mucho más en el campo, en zonas rurales alejadas de las ciudades en las que si hay inmigrantes. Entonces, el miedo y el odio a los inmigrantes no está conectado con la presencia de estos inmigrantes”.Para el sociólogo del mal, la cuestión es clara “existe un sistema mediático que contribuye a construir esta opinión pública y su voto”. Wieviorka agrega que también existe una presión editorial porque varias casas de edición francesas han sido compradas por Bolloré.“No es solo una persona: Bolloré”, aclara el autor de La sociología del sujeto y el estudio de las nuevas extremas derechas. “Es todo un grupo, un universo mediático que tiene una audiencia fuerte, entre 25 y 28 % de la población. Más la gente que, sin declarase de extrema derecha, repiten este discurso. Y no son solo los medios clásicos, prensa, televisión y radio. También están las redes sociales, que no son controladas por Bolloré, y han contribuido enormemente a este proceso de derechización de la sociedad francesa”.Seguridad, respeto y sin veloAlgunos de los vecinos que vienen al Jardín Colectivo de Vassogne dejan ver su tendencia hacia la extrema derecha.Tal es el caso de Michelle Dubuis, una pensionada que llegó a vivir al pueblo hace tres años. Ella no falta a la cita con las urnas en cada elección europea. Eso sí, defiende el principio del voto secreto. “No estoy muy de acuerdo con la idea de recibir a los inmigrantes porque ya hay bastantes en Francia” dice la mujer. Aunque acepta que en Vassogne no hay ninguno.Y también admite no haber sido víctima en carne propia de ninguna agresión?. Sin embargo, para Michelle el problema es la inseguridad inherente, según ella, a la inmigración. “A menudo veo en la televisión todo lo que está pasando. Cada vez hay más robos en casas particulares, atracos. La gente es más y mas agresiva. Todo se debe a la política, a la forma en que vivimos, a todo lo que se nos impone. Creo que la gente es agresiva porque tampoco la está pasando bien”, sostiene.Michelle vino acompañada de un amigo también jubilado. A la pregunta sobre la opción política por la que votará en estas elecciones europeas, responde- Este año, será más bien por la derecha, derecha.-¿Extrema derecha?- Sí- responde el sexagenario- Y ríe.Las razones de su voto, dice, son la necesidad de volver al orden y a la seguridad. Y, al igual que Michelle, admite nunca haber sido blanco de una agresión, pero asegura que sabe lo que ocurre en las ciudades: estafas, robos. Según él, esas violencias no existían antes y son fruto de la manera como se ha constituido la Unión Europea. “Yo no esperaba eso. Esperaba algo mejor, bien hecho, sólido, bien organizado. Y no lo tenemos”, afirma. “Antes éramos 22, ahora somos 27, pero seremos 50. Demasiados”.Para este par de pensionados, el problema de la inmigración es la no integración a los que ellos llaman “valores europeos”. “No nos lo van a devolver. Les hemos ayudado, les seguimos ayudando. Pero yo digo que no están haciendo nada por su cuenta para integrarse adecuadamente en Europa”, acusa el hombre.Los inmigrantes trabajan, mueven la economía, pagan impuestos como todo el mundo. ¿Qué más deben hacer para integrarse? Michelle toma la palabra: “Respetar las costumbres. Cuando ves en la tele a toda esa gente que viene de… los árabes, pues. Los ves que entran a nuestras escuelas portando el velo. No respetan las normas de la República. No quiero que mis nietos vayan a la escuela con velo. Que los obliguen a llevar velo”.Ella admite que no es el caso. Pero asegura que “si dejamos que vayan demasiado lejos, si somos demasiado permisivos, al final llegaremos a eso. Porque ahora hay mucha más violencia en las escuelas”. Todos somos extranjerosHace quince años que Franck Villequey vive en el pueblo y nueve que es alcalde. Él ha sido testigo del viraje del voto en esta comuna rural de la izquierda socialista y ecologista hacia extrema derecha. Un giro que coincide con la llegada de gente joven citadina, dice. Pero, advierte que los pobladores no exhiben sus preferencias políticas “Son discretos. Salvo algunos que vienen a verme y me dicen: ¿señor alcalde, usted no va a recibir extranjeros, cierto?. Y aquí no hay. Solo que cuando miras el origen de la gente, te das cuenta de que todos somos extranjeros. Todos venimos de otra parte”, afirma y remata con una gran carcajada. El mismo es de origen extranjero. Su abuela llegó a Francia huyendo del horror nazi en Hungría. "En estas elecciones europeas la inmigración es el punto principal del debate. No podemos acoger a todo el mundo, en eso estamos de acuerdo. Pero entre no acoger a todo el mundo y dejar morir a la gente. No hay sino una opción: ¡los acogemos! Los acogemos con estructuras que hay que poner en marcha, por supuesto. Pero no se deja morir a la gente en el mar. Me parece inconcebible, inconcebible. Y eso me toca mucho", estima el alcalde . Melanie Moureau; concejala de Vassogne llama a la responsabilidad política de los ciudadanos y de sus líderes. Para ella, el voto por la ultraderecha es, ante todo, una expresión de la ira social. “Es el enfado por cómo va el mundo. No creo que sea necesariamente una opinión política. La gente muestra que está furiosa, pero no creo que sepan realmente cuál es el fondo de la cuestión y el sentido de su voto. Al fin y al cabo, lo que dicen los políticos es lo que dice la gente. La gente sólo ve el primer grado del tema que les plantean, no ve la sustancia, no indaga en el partido político en sí. Para mí, básicamente, les venden un sueño que no necesariamente les darán después, pero la gente se queda con lo que le dicen primero. Es como el marketing. Y la política funciona igual”.Ira y pulsiones de odio en el discurso de la extrema derecha. ¿Qué pasa con la narrativa del bienestar social que enarbola la izquierda? En el prisma de la concejala de Vassogne “la gente ya no se identifica con la retórica de la izquierda. Tal vez, sea un discurso demasiado amable o no representa lo que la gente siente. La gente está enfadada, está perdida. Y no busca la información adecuada”. La cosecha política a las urnasMeticulosamente, Hélène busca en la tierra la cosecha de la siembra colectiva, así como busca el fruto del quehacer político de la izquierda. Esa cosecha definirá su voto en estas europeas “Será por los ecologistas. aunque me tienen decepcionada, muy decepcionada” afirma Hélène y, luego, se pregunta entre risas: Y los socialistas de hoy ¿dónde están? ¿Dónde están? No hay más, no existen. Y los pocos socialistas que hay son unos clanes en guerra. Son muy malos comunicando. No promueven sus acciones. En estas elecciones europeas, su nivel de comunicación ha estado por el suelo. Pura guerra de opiniones. Sin duda, también es la forma en que los medios los presentan”.El Jardín Colectivo de Vassogne es fruto de la invención de un adolescente. Ecologista hasta la médula, Eloi, sin embargo, es crítico frente a la visión de los partidos Verdes de Europa“La forma en que los adultos ven el compromiso con el planeta sigue entrándose en una política muy globalizada, individualista. No tienen nada que se centre en nuestra producción local, por ejemplo, hacer cosas pequeñas, muy locales, muy sencillas”, Todo es complicado y responde a una visión que solo busca sacar un beneficio económico de las prácticas ecológicas. Y, aunque se ahorre, el objetivo, por encima de todo, debería ser preparar un futuro mejor para nuestros hijos”, advierte. Eloi tiene 17 años. No le alcanza la edad para votar en estas europeas. Pero si pudiera hacerlo, cumpliría con ese deber ciudadano sin parpadear."Hay muchos jóvenes que optan por la vía fácil diciendo: "ah, como todos son deshonestos y buscan yo qué sé, lo mejor es no votar". Pero no creo que eso sea una solución. Porque, al final, no elegir deja espacio para políticas que no podemos aceptar”.En el Jardín Colectivo también hace su siembra Silvie, profesora del colegio de Vassogne donde no hay inmigrantes, pero el racismo se toma la palabra.“Por estar abriendo todo el tiempo los micrófonos a la extrema derecha, los alumnos se sienten con derecho a hacer comentarios racistas pese a estar prohibido la ley. Eso me choca mucho”.La docente narra el tipo de comentarios que se escuchan dentro de la escuela “La otra vez hice un informe y sancionaron a un alumno. Fue en una clase en la que no hay negros. Y uno de los estudiantes dijo algo así como me gustan los negros, ¡pero bien lejos!”Y si las encuestas no se equivocan. ¿Y en estas elecciones europeas se impone el voto de la extrema derecha?“No quiero creerlo, nunca me resignaré” afirma la profesara. Y concluye: “Yo sigo siendo optimista, mientras eso no ocurra”.
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This episode features Dr. Trishul Kapoor, Senior Clinical Anesthesiology Resident & CSTAR Fellow. Here, he discusses his experience as a physician & entrepreneur, his innovative healthcare patents, advice for emerging founders, and more.
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Au programme ce soir, le débrief de la semaine on parlera de l'émission ” La Story d'Elton John” c'était lundi à 21h05 sur CStar, Le buzz de la semaine avec l'émission ” la chanson de l'année 2022 : êtes vous d'accord avec le choix du gagnant ? ” c'était samedi soir à 21h10 sur TF1. Le Débat de la semaine : Doit-on interdire les jeux violents aux enfants ?
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This week Nico sat down with Matthew Katidjo. Matthew is a fashion YouTuber and MMA practitioner from Florida who comes on to discuss the importance of self discipline and staying dedicated.
No guest this week. We're going to start doing quarterly check-ins where we go over the last couple of months and discuss our plans for the future. Hosts: https://www.instagram.com/fiberglassreinforcedadhesive/ https://www.instagram.com/mahmudsc/ https://www.instagram.com/neekus410/ https://www.instagram.com/lorwaatwan/ Join our discord: https://discord.gg/6RkGbhMYYA
This week the sat down with Susan Weis-Bohlen. She's a local Ayurveda practitioner. We talked about the ancient medical system and how we begin to integrate some of the practices.Guest: https://www.instagram.com/susanweisbohlen/?hl=en https://www.breatheayurveda.com/ Hosts: https://www.instagram.com/fiberglassr... https://www.instagram.com/rockswoledo... Join our Discord https://discord.gg/6RkGbhMYYA
For this week's episode, we sat down with Score F Swayze a Baltimore creative to find out his process and some of his keys to success.
For this week's episode, we sat down with Evan Woodard from the SalvageArc Instagram page. We talked about local history, how he got his start, and how he produces his videos.
CStar Boys talk with Devin Moreno, a local real estate mogul and discuss the basics of getting into the industry as well as the projections for Baltimore's market in the future.
The CStar Boys speak with film director Jason Russell, most notably known form directing Kony 2012, to discuss in ins and outs of filmmaking and what life has instore for him in the future.
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Du lundi au vendredi dans Culture médias, Eva Roque vous livre ses conseils TV pour la soirée. Ce mercredi, le programmé télé nous fera sourire. CStar nous décrochera un sourire cynique avec la série "Sherlock" à 21h00. De la bienveillance et des sourires également sur Arte à 22h30 avec le documentaire "L’école de la dernière chance". Philippe Gougler nous fera sourire depuis un cimetière de Guadeloupe à 21h05 sur France 3 dans "Faut pas rêver".
This episode of Getting Geeky with Gamer Leaf is powered by Heroes of History For listeners of the show, you can get a 10 percent rebate on the game by emailing sam@bradansworld.com with a copy of your receipt and he'll get you 10 percent off. And for the first 10 listeners to leave an Amazon or eBay review, he'll send you an extra 5 percent rebate. Dark Naga - Haunting of Hastur - Hardback - 5e and OSR through Sun, February 17 2019 5:00 PM MST. Calakmul: 4 Daring Jungle Dice Games in a Tin! through Thu, February 28 2019 9:00 PM MST. 9 Lives through Sun, March 3 2019 5:59 AM MST. Heroes & Treasure: Darkness & Light Campaign through Tue, March 12 2019 7:00 AM MST. Getting Geeky with Gamer Leaf podcast: Season 3 through Mon, April 1 2019 1:55 PM MST. But see update #8! Gamer Leaf sits down with Peter of Cstar games to talk about Head Chef - The tabletop card game of food, fame and fun! that is on Kickstarter through Fri, February 22 2019 3:58 AM MST. Kickstarter Corner: Theosis: Godslayer through Tue, February 19 2019 1:00 PM MST. In The Hall of the Mountain King through Thu, February 28 2019 7:00 PM MST 9 Lives through Sun, March 3 2019 5:59 AM MST. Duels of Cartisora — Two Players, Six Warriors through Sun, March 10 2019 7:00 PM MST Sheep-Boom-Bah through Tue, March 5 2019 8:04 AM MST. Getting Geeky with Gamer Leaf podcast: Season 3 through Mon, April 1 2019 1:55 PM MST. But see update #8!
Top Albums - CSTAR
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Episode 3 is generously sponsored by start.ca. On this episode: The Transformation of Care Dr. Irene Hramiak, Site Chief of Medicine and the Centre for Diabetes, Endocrinology and Metabolism at St. Joseph’s Health Care London and a Professor and Division Chair at Western's Schulich School of Medecine and Dentistry talks about about how a rebuilding a century-old hospital from the ground up has led to new discoveries and treatments in patient care. Watch some videos about the transformation here. Scanning The Mysteries Dr. Lisa Saksida (twitter), Canada Research Chair in Translational Cognitive Neuroscience Dr. Ravi Menon (twitter), Canada Research Chair in Functional and Molecular Imaging, Medical Director at CFMM (twitter) Dr. Adrian Owen (twitter), Canada Research Excellence Chair in Cognitive Neuroscience at Western University All three exceptional scientists tell us about sixty-six million dollar study that involves, scientists, doctors, musicians, artists, and business people looking into the most mysterious organ we have through BrainsCAN (twitter). Meet Our Future Robot Surgeons Dr. Christopher Schlachta at CSTAR, London Health Sciences Centre is blending virtual reality with real-world robots to make surgery safer, faster, and more accessible. Watch a video about Nick Paparella's experience with robotic surgery.
Tune in on this episode as we welcome Executive Chef and Co-owner Victor Jimenez of Cowboy Star Restaurant and Butcher Shop. His restaurant serves a unique Neighborhood Fine Dining experience by combining contemporary American cuisine with a western flare. When you combine great food with great service you get the CStar experience.