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L'un des hommes les plus influents de France est un Breton.Héritier d'une dynastie d'industriels, il a transformé un empire familial en difficulté, en un mastodonte qui réalise désormais 13,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel.Quel est son secret pour réussir dans des secteurs aussi variés que les médias, la logistique et l'énergie ? Doit-il son succès à son charisme ? Sa ruse ? Ses méthodes impitoyables ? Homme d'affaire redoutable, baron des médias, prédateur industriel. Laissez-moi vous conter l'histoire de Vincent Bolloré.
Inquiétude pour a Suisse du Moyen-Orient, autrement dit la Jordanie, petit pays de 11 millions d'habitants. Rarement à la Une des médias, et pourtant, selon l'Express, il est en train de « devenir une poudrière. Depuis le 7 octobre 2023, les habitants du Royaume Hachémite dansent sur un volcan, les opérations d'Israël en Cisjordanie et le 'plan' de Trump pour Gaza, font craindre le pire ». « Le royaume, rappelle l'hebdomadaire, a toujours été la terre d'accueil privilégiée des Palestiniens en exil ». En 1948, à la création de l'État d'Israël, ou en 67 après la guerre des Six-Jours. Le pays héberge aujourd'hui environ 2 millions de réfugiés palestiniens. Or le « plan » de Donald Trump pour Gaza, « prévoit de transférer ses 2 millions d'habitants vers l'Egypte et la Jordanie ». Mais la Jordanie a dit non. Et la punition ne s'est pas fait attendre. Donald Trump « a bloqué l'aide financière au royaume, versée chaque année depuis 1994, en contrepartie de la paix signée avec Israël. »Risque d'exode massifEt la situation en Cisjordanie inquiète aussi les Jordaniens…Selon un diplomate interrogé par l'Express, « les actions des colons et la poursuite très active de la colonisation, fragilisent l'Autorité Palestinienne, ce qui peut provoquer son effondrement et rendre à terme impossible la mise en place d'une solution à deux états. La Jordanie serait alors laissée avec une sorte de bombe à retardement ». « Des centaines de milliers d'habitants de la Cisjordanie possèdent un passeport jordanien, précise l'Express, et se sont fait construire un logement dans le royaume au cas où ». Mais, ajoute l'hebdomadaire, « les autorités jordaniennes savent pertinemment qu'un exode de Palestiniens déstabiliserait le royaume où les Frères Musulmans et le Hamas, sont plus populaires que jamais ».À lire aussiMoyen-Orient: la Jordanie peut-elle être entraînée dans le chaos régional?Fake news climatiquesA la Une également, un appel lancé par le Nouvel Obs. « Alerte à la désinformation climatique », s'exclame l'hebdomadaire. « Plus que l'Ukraine. Plus que la transidentité. Plus que le Proche Orient. Dans la grande foire aux fake news qui sature nos écrans, un sujet surclasse les autres en ce début d'année 2025, le climat », ajoute l'hebdomadaire, selon lequel « le climato-scepticisme s'est mué en une véritable industrie. Médias, réseaux sociaux, youtubers, librairies. C'est tout un écosystème qui permet le développement et la montée en puissance des discours dénialistes », nous dit le Nouvel Obs. Quelques expressions piochées ici et là dans la voix de différents intervenants : « la biodiversité ne s'effondre pas en Europe », ou, à propos du changement climatique, « on nous a baratinés pendant des années, il est temps d'arrêter ». Une étude des propos tenus dans les médias audiovisuels français sur trois mois révèle « 128 cas de désinformation climatique ». N'ayez pas d‘inquiétude, RFI et France 24 font partie des très bons élèves, aucune occurrence de désinformation climatique n'a été relevée sur leur antenne.Affaiblissement démocratiqueLa désinformation climatique en France est analysée dans les colonnes du Nouvel Obs par la climatologue française Valérie Masson -Delmotte. Et c'est d'une analyse politique qu'il s'agit car, selon la climatologue, « dans un contexte d'incertitude sociale, géopolitique et climatique, on voit émerger de nouveaux boucs émissaires : la protection de l'environnement, les agences environnementales, voire des scientifiques, que l'on jette en pâture à l'opinion publique pour distraire d'une réflexion d'ensemble sur les dysfonctionnements et injustices de nos sociétés ». Voilà qui est dit, et ce n'est pas tout. Valérie Masson-Delmotte pointe la politique éditoriale des médias français appartenant au milliardaire Vincent Bolloré. « Les questions climatiques », explique la climatologue, « sont devenues tellement transverses que les tentatives de s'opposer à la transition écologique vont de pair avec l'affaiblissement démocratique. »Bon appétitEnfin, tout autre chose, si c'est encore l'heure du petit déjeuner pour vous, voici une idée de menu… Et attention, il faut avoir l'estomac bien accroché. Car le Point nous parle de « l'assiette de Neandertal ». C'est une géochimiste française de 40 ans, Klervia Jaouen, qui a réussi « à reconstituer l'alimentation de Neandertal » « qui s'est éteint il y a environ 40 000 ans », en étudiant l'émail de ses dents. « La chercheuse » nous dit le Point, « dotée de tout son attirail d'instruments de dentiste, tente de déterminer précisément les proportions d'aliments d'origine animale, végétale ou marine de propriétaires des dents qu'elle passe au crible ». Résultat : « En Europe, Neandertal mangeait de grands mammifères, surtout du mammouth, mais aussi du cerf ou du renne. Et (détail croustillant) de la viande putride avec des asticots ». Végétariens s'abstenir…« Il y a bien quelques exemples de consommations de coquillages, poissons et mammifères marins mais on ne sait pas encore », nous dit Klervia Jaouen, « si c'était fréquent ou anecdotique. » Enfin, on sait aussi que « certains individus consommaient des dattes en Irak, et du nénuphar en Belgique» . Voilà peut-être de quoi relancer l'appétit des végétariens...
PRESS REVIEW – Tuesday, April 1: We bring you all the reactions from the French and international press after French far-right leader Marine Le Pen was found guilty of embezzlement and banned from running for public office. The immediate ban means she'll likely be ineligible for the 2027 French presidential elections. The international press, meanwhile, turn their attention to Jordan Bardella, the president of the National Rally and Le Pen's likely successor. We also look at reactions from the European far right. There's plenty of press reaction to Le Pen's conviction for embezzlement and her immediate, five-year ban on running for public office. One word from the French paper La Croix sums it up: "Ineligible". The paper says this court ruling is a huge shock for the far-right National Rally party and will throw the 2027 presidential election into disarray. La Croix hails what it sees as an inherently "legal decision", even if it has political ramifications. It adds that the ruling is based on laws and texts voted years ago. The paper expresses alarm at the response by the party's leader Jordan Bardella, who has decried the "execution" of French democracy. La Croix reminds readers that the justice system is for everyone, without exception.In the leftwing press, Libération says GUILTY in big, bold print on its front page. The communist paper, L'Humanité, revisits a slogan from the Front National, the previous name of the National Rally. The slogan was "clean hands, heads held high." It's corrected by L'Humanité to read: "dirty hands, heads hanging low". The editor of L'Humanité calls Le Pen's conviction a victory for democracy and the state of law and slams the reactions from the far right and the "Bolloré media". This is a reference to media magnate Vincent Bolloré, who is close to the far right. The latter have denounced a conspiracy against them.Speaking of the conservative media, Le Journal du Dimanche, a weekly paper that is owned by Vincent Bolloré, calls Monday's court ruling the day that destroyed Le Pen's presidential destiny. The paper laments what it sees as 20 years of her career being "annihilated" by one legal decision. The right-wing paper L'Opinion, meanwhile, calls it a political earthquake. Kak, the cartoonist, sees Le Pen hanging from a hook with the hammer of justice ready to nail her in. The paper's editor warns of "a huge moment of democratic danger" and says the court decision will paradoxically serve to feed populism. Le Parisien says it could transform Le Pen's right-hand man Bardella into a valued asset of the party.There is also lots of focus on Bardella in the international press. Politico notes that he has weathered nearly a decade in politics without losing his lustre. He is "polished, composed to a fault, with boy-next-door good looks and a carefully practiced smile". Bardella is a TikTok sensation and the only politician on the list of 50 most popular personalities in France compiled by a French newspaper. His popularity and the rise of the far right represent a "potential sea change in European politics", Politico says.For The Telegraph, the far right will survive this court ruling. It points to Bardella as a likely successor. He is "slavishly loyal" to her and recently published a bestselling memoir about growing up in an urban slum. However, his youth could be a hindrance. If one day he makes it to the Élysee palace, the irony would be that the anti-immigrant party's first president is ... the son of immigrants.In any case, far-right figures from Europe have rushed to Le Pen's defence. Italy's Matteo Salvini and the Netherlands' Geert Wilders have been quick to defend her and condemn the ruling with the slogan Je Suis Marine, which spreading on social media, according to a report from our FRANCE 24 web team. Hungary's Viktor Orban also used the slogan on social media to express his support for Le Pen. Paolo Lombardi, an Italian cartoonist, has reimagined Orban as Le Pen. Finally, Marten Wolterink, a Dutch illustrator, evokes the hypocrisy of the far right: Vive L'Europe as long as the money keeps coming in, embezzling funds but otherwise inherently Eurosceptic.
L'émission 28 minutes du 29/03/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Isabelle Durant, experte droit au développement au Conseil des Droits de l'Homme ; Gil Mihaely, historien et directeur de publication de la revue “Conflits”, Gilles Gressani, directeur de la revue “Le Grand Continent” et la dessinatrice de presse, Dorthe Landschulz. “Il nous faut le Groenland” : Donald Trump au stade des menaces ? “Nous avons besoin du Groenland pour la sécurité internationale. Il nous le faut”, a déclaré Donald Trump le 26 mars dans une interview radio, sans préciser comment il comptait s'y prendre. Cette déclaration intervient deux jours avant la visite de son vice-président J.D. Vance et sa femme dans une base américaine au Groenland. Ce déplacement déplait aux autorités groenlandaises et au Danemark. Depuis les dernières législatives, l'île est en pleines négociations pour former une coalition gouvernementale et dénonce les ingérences étrangères. Manifestations de civils à Gaza : le début de la contestation du Hamas ? Mardi 24 mars, les Gazaouis ont manifesté pour la première fois dans le nord de la bande de Gaza ainsi que le lendemain. Ils ont défilé pour réclamer la fin de la guerre mais aussi le départ du Hamas, une première depuis le 7 octobre 2023 et le début de la guerre avec Israël. Le seuil des 50 000 morts recensés dans la bande de Gaza vient d'être dépassé. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a tenté de récupérer cette mobilisation à son actif : “De plus en plus de Gazaouis comprennent que le Hamas leur apporte destruction et ruine, et c'est essentiel. Tout cela prouve que notre politique fonctionne.” Il est lui-même visé par des manifestations en Israël menées par des civils qui désapprouvent sa stratégie, notamment la fin de la trêve à Gaza. Nous recevons le champion du monde de parkour speed en 2024, Caryl Cordt-Moller. En juillet dernier, il était l'un des cascadeurs masqués qui faisaient circuler la flamme olympique sur les toits de Paris. Le parkour, une discipline née en banlieue parisienne à la fin des années 1980, consiste à franchir des obstacles dans les milieux urbains avec sauts et acrobaties. Le champion du monde est aujourd'hui à l'affiche du spectacle “Ollie” au théâtre du Châtelet, à Paris, du 25 au 27 avril. Valérie Brochard rend visite à nos voisins serbes où la jeunesse se lève contre la corruption. Les premières manifestations ont éclaté en novembre, après l'effondrement de l'auvent en béton de la gare de Novi Sad, la deuxième grande ville du pays. Seize personnes sont décédées. Une partie de la population attribue ce drame à la corruption puisque la gare venait d'être refaite sur fond de contrats opaques. Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Xenia Fedorova, l'ancienne patronne de “Russia Today” en France. Trois ans après l'arrêt de la chaîne financée par le Kremlin, elle est devenue une égérie pro-Poutine dans les médias détenus par Vincent Bolloré. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé britannique, chamboulée par la dernière série Netflix “Adolescence”. Elle relate l'histoire de Jamie, 13 ans, accusé d'avoir poignardé à mort une camarade de classe et suspecté d'avoir été influencé par l'idéologie masculiniste. Paola Puerari se demande pourquoi nous utilisons des noms de maladies mentales comme insultes.Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : peut-on transmettre des saveurs par Internet ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Dans le procès du financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, après des réquisitions extrêmement lourdes délivrées le 27 mars 2025, l'affaire a été enfin médiatisée. Ces réquisitions pèsent lourd dans cette soudaine médiatisation. Le Parquet national financier a requis sept ans de prison contre l'ancien président, 300 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Les mots employés par les procureurs ont aussi porté. Ils ont dépeint l'ancien chef d'État comme le véritable « commanditaire » d'un « pacte de corruption », « inconcevable, inouï, indécent », noué avec Mouammar Kadhafi.Pourtant, alors que le procès a débuté le 6 janvier 2025, ce n'est qu'une toute petite médiatisation dans la durée si on la compare à d'autres procès. La société Aday, qui scrute les médias, a compté 7 800 articles ou contenus liés à ce procès dans les médias français, soit deux fois moins que les procès Dominique Pélicot sur les viols de Mazan (14 981) ou sur le pédocriminel Joël Le Souarnec (14 199). Pourquoi cette frilosité vis-à-vis d'un tel procès politique ?Il y a d'abord, le fait que l'affaire a été révélée par un outsider, Mediapart, en 2011. Or, ce journal a parfois été soupçonné d'être de parti-pris, ce que Sarkozy a entretenu en le traitant « d'officine » et en le poursuivant pour faux et usage de faux, sans obtenir gain de cause. Ensuite, le fait qu'elle a pu apparaître complexe à des médias audiovisuels qui doivent résumer les faits en deux minutes.Pourtant, comme le note le journaliste de Mediapart Yunnès Abzouz, l'affaire montre « la délinquance en col blanc, ce crime social qui se nourrit de l'indifférence médiatique ». Avec des détails cocasses, comme le coffre-fort de Claude Guéant, prétendument loué pour entreposer des discours de Sarkozy.Un ex-président proche des médiasLes liens des médias avec Nicolas Sarkozy sont à prendre en compte. C'est un ami de Vincent Bolloré, de Martin Bouygues ou d'Arnaud Lagardère, et forcément, leurs médias peuvent avoir des biais, des gênes ou des silences. Là où CNews parle « d'acharnement judiciaire », TF1 préfère suivre le procès Gérard Depardieu ou l'enquête sur la disparition du petit Émile. Quant au Figaro, qui avait caviardé en 2011 une interview de Kadhafi où il déclarait avoir donné des fonds à Sarkozy pour sa campagne, le journal fait le service minimum. Son actionnaire Dassault avait obtenu un contrat pour vendre des Rafale à la Libye.Et puis il y a les médias qui ont été impliqués dans la défense de Sarkozy, soit en le faisant venir en plateau, soit en prêtant la main à des manipulations comme les fausses rétractations de Ziad Takkieddine dans Paris Match ou sur BFMTV. « On préfère la force d'un démenti à la brutalité des faits », avait déclaré Fabrice Arfi, de Mediapart, en rappelant qu'il n'y avait eu aucune couverture de news magazine sur cette affaire.
Frankreichs konservative Katholiken gewinnen über Medienhäuser an Einfluss. Der Milliardär Vincent Bolloré hat mit seinem Sender CNews ein Sprachrohr für rechtskonservative bis rechtsextreme Positionen geschaffen, das die öffentliche Debatte prägt. Von Suzanne Krause, Christiane Kaess, Katja Bigalke www.deutschlandfunkkultur.de, Weltzeit
Dans cet épisode de la matinale décoloniale, on vous parle de Vincent Bolloré. Grand industriel milliardaire, issu d’une famille bourgeoise, Bolloré a bâti son empire économique en majorité en Afrique par le pillage des ressources, et l’exploitation des personnes. Puis... Continue Reading →
C'est un 149ème épisode de J+7 en comité réduit qui vous attend cette semaine. Autour de Pacôme, la mini-team composée d'Arnaud, de Gautier et de Jérémy reviendra sur l'actualité médiatique de la semaine. Au rayon du Vu & Entendu, ils reviendront sur les anniversaires des Grosses Têtes et de RTL2, mais aussi sur La Libre Antenne de la team Lecaplain-Tsamère-Ferrari et sur l'énième concert des Enfoirés. L'actu médias fera le point sur Le 20h de TF1, TPMP, Aphatie qui quitte RTL avant qu'on ne le quitte, Bolloré, 60 Millions de Consommateurs, Canal+, Le Parisien, Tchi Tcha, et encore un peu de Bolloré, (mais on ne peut plus rien dire). Et en pêle-mêle, le ramadan, le carême, le calendrier lunaire, l'horloge de Pacôme, le petit grain de Foly, sur place ou à emporter ?, Karambolage, les QR Codes, la charte alimentaire, Destination France Travail, et Jean-Marc Jumanji. Au sommaire : 0:00 - Introduction 5:52 - Vu & Entendu 56:57 - L'Actu 2:12:52 - Conclu Les recos : Site - RadioScope YouTube - Fleur Bleue (Studio Bagel) YouTube - Une journée avec un journaliste ! (Ludovic B) Articles évoqués dans l'épisode : 20 minutes - « Je vais peut-être présenter Les Grosses Têtes quinze ans, mais pas plus », prévient Laurent Ruquier YouTube - Ferrari, Tsamère, Lecaplain : La libre antenne du trio Puremédias - Audiences : Quel score pour l'édition 2025 des “Enfoirés” sur TF1 ? L'Informé - Le rédacteur en chef du 20h de TF1 suspendu de ses fonctions Libération - Le rédacteur en chef du «20 heures» de TF1 débarqué après une enquête interne pour «comportements inappropriés» Le Parisien - « Revenir, c'était reconnaître une faute qui n'existe pas » : pourquoi Jean-Michel Aphatie quitte RTL L'Informé - « Libéré » de l'Arcom, Cyril Hanouna rappelé à l'ordre par… YouTube Libération - Cyril Hanouna dans le groupe M6 : les journalistes en état de «vigilance accrue» Libération - Avec 480 millions d'euros investis jusqu'en 2027, Canal + reste le premier financeur du cinéma français X - Tweet de Maxime Saada X - Tweet de Jean-Marc Juramie YouTube - Lena Situations reçoit Julia Roberts, Pierre Niney, Adèle Exarchopoulos, François Civil … (Canal+) YouTube - NOTRE BEST OF DES CÉSAR 2025 (Canal+) Télérama - Sur Canal+, “les émissions cinéma sont menacées alors qu'on est la chaîne du cinéma !” Street Press - Bolloré embauche la propagandiste pro-Poutine Xenia Fedorova, ex-patronne de Russia Today Le Monde - Les médias du milliardaire Vincent Bolloré défendent désormais ouvertement la Russie Le Monde - Le gouvernement résolu à privatiser « 60 millions de consommateurs » Change.org - Pétition : Non à la privatisation de 60 Millions de consommateurs L'Informé - Grève et motion de défiance contre la direction au Parisien Le Monde - La rédaction du « Parisien » vote une grève et une motion de défiance pour dénoncer le plan d'économies Le Parisien - Audiences des chaînes d'info : CNews creuse de plus en plus l'écart avec BFMTV Le Figaro - La nouvelle stratégie digitale de BFM et RMC crée des tensions au sein des rédactions X - Tweet de Adrien Schwyter Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
Au Cameroun, Vincent Bolloré a cédé ses activités logistiques à l'opérateur italo-suisse MSC, en fin d'année 2022, pour 5,7 milliards d'euros. Avec la gestion du port, de la ligne de chemin de fer, une flotte de camions et plusieurs milliers d'employés, Bolloré était l'acteur référent dans le domaine. Si certains ont bénéficié du départ du Français, d'autres estiment que la libéralisation du secteur n'est pas toujours bénéfique. 100 000 tonnes, c'est la quantité de denrées alimentaires importées par le Programme alimentaire mondial via le port de Douala l'année dernière. Des vivres destinés aux crises humanitaires de la région qu'il faut convoyer notamment par camion. Gianluca Ferrera, le directeur du PAM au Cameroun, affirme avoir vu du positif dans le départ de Bolloré. « On a plusieurs acteurs présents sur le marché et donc cela a permis d'avoir une compétition entre les acteurs qui s'est reflétée sur les prix et aussi sur la qualité et la performance des acteurs. Donc, je dois dire que nous sommes dans une situation très confortable par rapport à la capacité de nos partenaires de nous fournir les services dont nous avons besoin », détaille-t-il.Une libéralisation du secteur et une mise en concurrence accrue que Monsieur Souley, du Groupement des transporteurs terrestres du Cameroun, regrette. « C'est très désorganisé. Parce qu'au moins, avant, on savait à quoi s'en tenir, mais aujourd'hui, c'est compliqué. Le Cameroun a tellement de camions qu'on ne sait pas quoi en faire. Le transport n'est pas compétitif, nous sommes tellement nombreux que si vous refusez un transport aller à Bangui à 2,5 millions, quelqu'un va le prendre à 2 millions », déplore cet acteur.À lire aussiLe PAM achemine l'aide alimentaire via le port de Douala pour faire face aux multiples crisesConcurrence et réorganisationHilaire Zipang, homme politique camerounais, mais également conseiller du Syndicat national des transporteurs routiers, voit certains aspects positifs au départ de Bolloré. « La première, c'est que Bolloré, au regard de l'absence d'investissement qu'on lui reprochait depuis 5 ans, la RTC [Régie du terminal à conteneurs] a fait de grosses avancées, elle a augmenté le chiffre d'affaires, elle a augmenté les emplois et a augmenté naturellement les investissements qu'elle a faits à l'intérieur du port », assure-t-il. Cependant, la fin du monopole de Vincent Bolloré au port a modifié l'organisation du secteur. « Maintenant, Bolloré n'a plus cette activité-là, elle s'est libéralisée assez brutalement, décrit Hilaire Zipang. S'est introduit maintenant un nouveau type de transporteurs, ce que nous appelons les transporteurs pour compte propre. C'est-à-dire que la plupart des grandes multinationales ont acheté des camions pour faire complètement cette activité et elles se payent à elles-mêmes. »Une concurrence considérée comme déloyale, car elle n'est pas soumise aux mêmes contraintes. « La fiscalité camerounaise a adoubé cette activité-là, elle a complètement mis de côté les transporteurs professionnels qui eux participent au développement du pays et qui ont une fiscalité différente, des assurances différentes, des charges du personnel différentes. Or celui qui exerce l'activité en propre n'est pas assujetti à ces contraintes », argumente-t-il. Autre défi, selon Hilaire Zipang, le maintien de relations fluides avec les partenaires de la région pour conserver le monopole du fret par les ports de Douala et Kribi. À lire aussiLe groupe Bolloré cède officiellement ses activités africaines à l'armateur MSC
5 minutes pour comprendre: Ce vendredi, à 23h59, la chaîne de télévision française C8, du groupe du milliardaire Vincent Bolloré ne pourra plus émettre. On en parle avec Isabelle Roberts, journaliste au média Les Jours Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Après la décision de l'Arcom, confirmée par le Conseil d'État mercredi 19 février, le retrait de leur fréquence TNT devrait acter la disparition prochaine des chaines de télévision C8 et NRJ12. Les espoirs de C8 et de NRJ12 se sont évanouis mercredi 19 février. Le Conseil d'État a rendu sa décision, défavorable, entraînant le retrait de leur fréquence TNT et donc la prochaine fin de leur diffusion, prévue le 28 février au soir, 20 ans après leur lancement. Une décision rare, mais pas sans précédent. C'est arrivé par deux fois en France, en 1987 avec la chaîne musicale TV6 et en 1992 avec l'arrêt de la Cinq. Le Conseil d'État a bien pesé les arguments de l'Arcom et des plaignants, les groupes Canal+ et NRJ. Et a donné raison au régulateur.Pour C8, la fréquence lui est retirée principalement à cause des manquements répétés de son animateur vedette Cyril Hanouna dans son émission Touche pas à mon poste, qui ont amené la chaîne à cumuler 7,6 millions d'euros d'amendes. Jeudi 20 février, ses insultes proférées en direct envers le député LFI Louis Boyard lui ont même valu 4 000 euros d'amende. Un incident déjà sanctionné par l'Arcom, le régulateur des médias, d'une amende de 3,5 millions d'euros, au nom de la non-maîtrise répétée de l'antenne. Mais ce n'est pas le seul facteur. La chaîne du milliardaire français Vincent Bolloré n'a jamais atteint l'équilibre et n'a donc pas fait la preuve de sa pérennité financière. NRJ12, une chaîne estimée « sans viabilité »C'est également le cas de l'autre chaîne plaignante, NRJ12, qui n'a pas su convaincre le régulateur quant à sa viabilité. Pour rappel, celle-ci n'a eu qu'un seul exercice bénéficiaire en 20 ans et ses audiences n'ont jamais vraiment réussi à décoller. Après avoir diffusé des émissions de téléréalité comme les Anges ou Allo Nabila, elle a parié sur les magazines de divertissement ou les séries américaines.Or l'Arcom lui a reproché l'omniprésence des rediffusions ou du téléachat à l'antenne, au détriment de ses obligations contractuelles. Elle paye ainsi un manque d'investissements dans les programmes. L'Arcom a préféré mettre fin à cette chaîne alors qu'il reste de la place sur la TNT, même en comptant les deux nouvelles attendues pour juin et septembre : T18, la chaîne de Daniel Kretinsky, et Ouest France TV sur le canal 19. Un avenir incertain pour Cyril HanounaLe sort de l'animateur vedette du groupe Canal+, largement décrié pour ses fresques répétées, reste inconnu. Le groupe M6 semble prêt à le recruter pour sa chaîne W9 et Fun Radio. À condition que celui-ci se limite au strict divertissement, peut-être saupoudré d'un peu de fait divers ou de politique, mais surtout sans attaques ad hominem.Seulement, selon Le Parisien, c'est de nouveau le groupe Canal+ qui tient la corde. Cela permettrait à Hanouna de faire la même émission sur la chaîne CStar et de rester sur Europe1. « Vincent, c'est ma famille », aurait dit l'animateur à propos de Vincent Bolloré. En tout cas, du RN aux Républicains, Laurent Wauquiez ou Bruno Retailleau, le soutien à Hanouna ou à C8 est très marqué à droite et à l'extrême droite.À écouter aussiDébat du jour: fallait-il déprogrammer les chaînes C8 et NRJ12 ?
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de Patrick Cohen qui justifie la fermeture de C8.
Le déferlement des discours et idées d'extrême droite a commencé sur internet avant de se frayer un chemin dans les médias, notamment ceux détenus par le milliardaire français Vincent Bolloré. C'est ce que racontent les journalistes Pierre Plottu et Maxime Macé dans le livre Pop fascisme (Divergences, 2024). Tous deux sont les invités de L'atelier des médias. Maxime Macé et Pierre Plottu travaillent depuis de nombreuses années sur la mouvance d'extrême droite en France, des groupuscules les plus radicaux au Rassemblement national. Ces deux journalistes du quotidien français Libération ont publié en septembre 2024 Pop fascisme – Comment l'extrême droite a gagné la bataille culturelle sur internet, aux éditions Divergences.Pop fascisme, un titre en forme de clin d'œil au post-fascisme, l'étiquette utilisée en Italie pour définir le positionnement de Giorgia Meloni, écartelé entre ses origines radicales et son approche conservatrice. Dans leur livre et dans cet entretien de près d'une heure dans L'atelier des médias de RFI, Maxime Macé et Pierre Plottu expliquent aussi comment cette « fachosphère » est née et s'est structurée en ligne à partir du milieu des années 2000, réussissant ainsi à désintermédier ses messages. Il est question de Fdesouche, Novopress, d'E&R d'Alain Soral mais aussi du Forum Blabla 18-25. De figures comme Papacito ou encore Thaïs d'Escufon.Le rôle des plateformes comme YouTube, Facebook, X (anciennement Twitter) ou encore TikTok et de leurs algorithmes, qui favorisent les contenus clivants, est évoqué. Des craintes de démonétisation ou déplateformisation qui ont entraîné le développement de contenus lifestyle sur les chaînes des réseaux d'extrême droite.Enfin, Pierre Plottu et Maxime Macé expliquent que les mots et idées d'extrême droite – comme la théorie complotiste du grand remplacement – trouvent des débouchés dans les médias traditionnels. Ils citent notamment l'empire médiatique du milliardaire breton Vincent Bolloré, constitué de presse écrite (le JDD, Paris Match), de radios comme Europe 1 et de télévisions (Canal+, C8 et CNEWS). Un véritable « écosystème », expliquent-ils, avec ses figures de proue comme Cyril Hanouna et Pascal Praud, mais aussi la montée en puissance d'influenceurs venus du web.
Le 1er mars prochain, quand les téléspectateurs appuieront sur la touche 8 de leur télécommande, ils ne trouveront plus Cyril Hanouna et son équipe de TPMP mais plutôt des journalistes, des chroniqueurs et des invités politiques qui débatteront sur un plateau siglé LCP/Public Sénat. A moins d'un ultime rebondissement, grâce à une décision du Conseil d'État qui viendrait invalider la décision de l'Arcom, l'avenir d'Hanouna et de C8 semblent bien scellés. Retour en 2012. Cette année-là, le milliardaire Vincent Bolloré veut changer l'image de sa chaîne C8. Il fait donc appel à un animateur qui officie alors sur France 4, avec l'émission « Touche pas à mon poste » : Cyril Hanouna. Rapidement, il devient le visage de C8. Mais dans les années qui suivent, l'animateur se fait aussi remarquer pour ses multiples dérapages à l'antenne, qui valent à C8 de lourdes sanctions de l'Arcom. Durant l'été 2024, le gendarme de l'audiovisuel décide finalement de suspendre la fréquence de C8. Une décision qui acte le divorce entre Vincent Bolloré et son animateur.Code source raconte ce divorce avec deux journalistes médias au sein du service Culture du Parisien, Benjamin Meffre et Benoît Daragon.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : C8. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Kaess, Christiane www.deutschlandfunk.de, @mediasres
Dans cette nouvelle chronique de « L'oeil de MouMou », notre journaliste Mourad Guichard a consacré son « Préambule » à une remarque d'internautes concernant la diffusion d'une intervention lunaire de la toutologue et plagiaire Rachel Khan sur les élus et militants de gauche. Puis, à un célèbre homme politique français, un certain Jean-Luc F… Ses « Top », eux, sont allés à Ségolène Royal (tout arrive) qui a taclé son ex-compagnon François Hollande qualifié de « machine à tromper » sur un plateau TV. Mais aussi à Lucas de Villepin et Charles Enderlin pour leur confirmation du rôle joué par Netanyahou dans le soutien au Hamas pour contrer l'autorité palestinienne. Son premier « Flop » a été décerné au député PS Philippe Brun pour sa sortie sur le « cessez-le-feu » concédé au gouvernement Bayrou, jeu de mot et parallèle totalement indécents. Le deuxième à Laurence Ferrari incapable de considérer qu'Israël détenait des prisonniers politiques que l'on pourrait aisément qualifier d'otages. L'ancien ministre de l'Éducation nationale Luc Ferry a également été récompensé pour sa mesure et sa retenue face à Darius Rochebin, le journaliste vedette de LCI. Le « Microscope » a porté sur l'action des Sleeping Giants attaqués par Vincent Bolloré via des sociétés écran. Ses « Coups de cœur », enfin, ont mis en avant le colloque de Tsedek, mouvement de Français de confession juive progressistes, deux ouvrages et le travail d'un confrère, Jérémy Marillier, de France Bleu Saint-Etienne Loire. ▶ Soutenez Le Média :
Figure incontournable de la trash TV, Cyril Hanouna doit son ascension à une ambition dévorante et à son puissant allié Vincent Bolloré, propriétaire de C8. Mais le 28 février 2025, la chaîne devra rendre l'antenne : un coup dur pour Hanouna, qui voit en cette décision l'occasion rêvée de se dépeindre comme la victime d'un système médiatique qui voudrait le faire taire. Un rôle qu'il s'est taillé sur mesure et dont les conséquences ne peuvent être qu'inquiétantes.Thomas Rozec raconte.Cet épisode a été écrit par David Carzon.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Auteur : David Carzon. Réalisation : Mathieu Thevenon. Production : Charlotte Baix. Édition : Marie Foulon. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.
Tänk att du är ute med din hund och plötsligt får den vittring på nått riktigt gott - en köttbulle! Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Sen visar det sig att denna köttbulle innehåller både spik och råttgift. Ett mardrömsscenario. Det var precis det här som skådisen Sanna Bråding gick ut och varnade sina följare för på Instagram i veckan. Storyn plockades upp av Aftonbladet och i hundgrupper på sociala medier uppstod ren och skär panik. Men vad bygger de här uppgifterna på, egentligen? Och gjorde verkligen medier det grundläggande jorunalistiska jobbet? Reporter: Freddi RamelEn nygammal president ska sväras in i USA och med det blåser förändringarnas vindar även på de sociala plattformarna. För just nu sker många till synes små förvandlingar hos nätjätten Meta. Men lägger man samman förändringarna så blottar sig en helt ny riktning för bolaget bakom Facebook, Threads och Instagram.Facebook som globalt är en av världens största källor för nyheter för dess användare, spås nu av många bli en plats präglad av desinformation, bedrägerier, falska annonser och näthat. Vad händer med journalistiken när sociala medieplattformar blir ett mer laglöst landskap? Reporter: Martina Pierrou I Frankrike har det i flera år rasat en debatt om en man som kallas för Frankrikes Rupert Murdoch. Det handlar om multimiljardären Vincent Bolloré som tar över etablerade medier, byter ut hela redaktioner och anklagas för att sprida högerextrem propaganda – i syfte att föra Marine Le Pen till presidentposten. Gång på gång har hans medier straffats för rasistiska uttalanden å brist på politisk balans. Nu tycks myndigheterna ta i med hårdhandskarna, för nu ser det ut som att en av mediekoncernens TV-kanaler kommer tvingas till stängning. Reporter: August Håkansson Producent för Medierna: Erik Petersson
REDIFF - Jordan Bardella va sortir un livre le 9 novembre prochain. Intitulé "Ce que je cherche", l'ouvrage est publié aux éditions Fayard, entreprise qui appartient à Vincent Bolloré. Avant sa sortie, ce livre fait déjà polémique. Dans une tribune publiée dans "Le Nouvel Obs", des salariés et des anciens salariés de l'éditeur dénoncent : "Publier un dirigeant politique d'extrême droite (...) n'est pas autre chose qu'un élargissement de la fenêtre d'Overton. C'est pourquoi nous ne pouvons nous taire". Qu'est-ce que la "fenêtre d'Overton" ? Pourquoi un lien est-il fait avec l'extrême droite ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Clément Viktorovitch, docteur en science politique et à l'affiche du spectacle "L'art de ne pas dire". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
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L'émission 28 minutes du 27/11/2024 Le philosophe Marcel Gauchet ausculte les soubresauts de la démocratie Quel est l'état de nos démocraties, alors que Donald Trump vient d'être réélu aux États-Unis et que la France est plongée dans une crise politique qui semble sans issue ? L'historien et philosophe Marcel Gauchet, grand penseur de la démocratie, publie “Le nœud démocratique. Aux origines de la crise néolibérale” (éditions Gallimard). Engagé à gauche, il a finalement été rejeté par une partie de celle-ci qui le considère réactionnaire. Il estime que la trop grande place que prennent les droits de l'homme dans le fonctionnement de notre démocratie “donne la priorité aux libertés individuelles par rapport à tout pouvoir collectif” et que cela se voit particulièrement dans le domaine de la procédure pénale et de l'immigration. Pour lui, la situation politique actuelle française montre “l'impossibilité objective de continuer à faire comme si la protestation populiste n'existait pas, ne devrait pas exister, et n'avait pas de motifs dignes de considération”. Accord de cessez-le-feu au Liban : un premier pas vers la paix au Proche-Orient ? Le mouvement libanais du Hezbollah et l'État d'Israël se sont mis d'accord sur un cessez-le-feu effectif dès aujourd'hui. Il prévoit la retraite des troupes israéliennes, sous 60 jours, du territoire libanais où elles sont présentes depuis le 1er octobre. Parallèlement, les forces du Hezbollah devront se retirer vers le nord du fleuve Litani, situé à une vingtaine de kilomètres de la frontière israélienne. C'est un soulagement pour la population libanaise dont 1,2 million de personnes ont été déplacées. Depuis l'intensification du conflit, plus de 3 000 Libanais ont été tués par les bombardements israéliens. Du côté de l'État hébreu, des dizaines de milliers de civils ont dû évacuer le nord du pays, trop exposés aux tirs du Hezbollah. L'arrêt des combats sur le front libanais est une mauvaise nouvelle pour le Hamas qui permet à Israël de concentrer tous ses efforts de guerre sur la bande de Gaza. Cet accord fragile peut-il conduire vers la paix au Proche-Orient ? Enfin, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de l'ESJ Paris, plus vieille école de journalisme du monde récemment rachetée par des milliardaires comme Vincent Bolloré, Rodolphe Saadé ou encore Bernard Arnault. Marie Bonnisseau revient sur l'histoire d'Érik et Lyle Menendez — deux frères qui ont assassiné leurs parents dans les années 1980 — adaptée en série documentaire sur Netflix et devenue virale aux États-Unis. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 27 novembre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
Le vert, couleur de l'espoir utilisée pour symboliser la nature, à la veille de la COP29 qui débute demain, en Azerbaïdjan. Une nouvelle conférence internationale sur le climat qui se déroule encore, après Dubaï l'an dernier, « chez l'un des plus importants exportateurs d'hydrocarbures de la planète », remarque Le Nouvel Obs. En 2024, l'or noir, « le pétrole est toujours roi », constate l'hebdomadaire, et le monde « toujours accro aux énergies fossiles », alors même que pour tenir l'objectif de l'Accord de Paris d'un réchauffement de la planète contenu à 1,5°C, il est nécessaire, d'après un rapport de l'Agence internationale de l'Energie, de renoncer dès maintenant au développement de nouveaux champs pétroliers ou gaziers. Le directeur de l'AIE milite donc « pour une décarbonation accélérée » : Fatih Birol est devenu « le poil à gratter » des producteurs d'énergies fossiles, indique Le Nouvel Obs, qui consacre un article à celui qui a « cassé le côté "club de riches" de l'Agence internationale de l'Energie en l'ouvrant aux grands pays émergents ». Le vert est en couverture d'Aujourd'hui en France Week-end, pour un numéro entièrement consacré à l'environnement. Avec un reportage dans la luxuriante forêt guyanaise, à la frontière brésilienne, à la découverte des pratiques ancestrales des autochtones. « Les sociétés amazoniennes pourraient nous (ré)apprendre à préserver nos écosystèmes ou à recréer des relations plus saines entre faune, flore et humains », explique le chercheur Guillaume Odonne. Même si là-bas, aussi, on vit « un choc des générations ». « Cultiver le coton pour tisser son hamac, s'en remettre au chaman en cas de maladie » : de nombreuses coutumes « sont aujourd'hui en décalage avec l'appel de la vie moderne », peut-on lire dans ce reportage, qui conclue en ajoutant que « nombreux sont ceux qui pensent que ces deux mondes devraient s'inspirer mutuellement pour tenter de sauver l'essentiel ». Le climat et l'Union européenne face au retour de Donald Trump Reste encore beaucoup de chemin à parcourir, donc, et cela ne devrait pas s'arranger avec la réélection de Donald Trump aux États-Unis. « Ce sera l'éléphant dans la pièce de la COP29 », il sera « dans tous les esprits » en Azerbaïdjan, écrit Libération. Dans son édition du week-end, le journal prévient : « Il va falloir faire avec un climatosceptique assumé et fier de l'être ». En matière d'environnement, Donald Trump « a l'intention de mettre en place un système de destruction », s'inquiète, dans Libération, Laurence Tubiana, l'une des architectes de l'Accord de Paris, que les États-Unis pourraient de nouveau quitter avec Donald Trump. « Le contexte global est propice à voir d'autres pays le suivre », estime-t-elle, en pensant à l'Argentine et au Venezuela. En l'absence des États-Unis, Laurence Tubiana mise donc sur la Chine qui a, selon elle, « tout intérêt à ce que la diplomatie climatique continue de fonctionner », pour des raisons économiques. Elle cite également le Brésil et l'Union européenne. Sauf que l'UE est aussi perturbée par le retour de Donald Trump. « La protection qu'apportaient les États-Unis n'est plus garantie », reconnaît le ministre français des Affaires étrangères dans Le Parisien Dimanche. « Les Européens font face à un triple risque existentiel, poursuit Jean-Noël Barrot : l'insécurité généralisée et la guerre sur le continent, le décrochage industriel et technologique et la désintégration du modèle démocratique ». « La victoire de Donald Trump doit servir d'électrochoc », espère, dans La Tribune Dimanche, le directeur général du Forum de Paris sur la paix. Selon Justin Vaïsse, le retour du républicain à la Maison Blanche « confirme une tendance du système international, qui s'oriente vers toujours plus de protectionnisme, de guerres commerciales. Dans ce paysage, reste la pauvre petite Europe, dont le centre de gravité demeure le libre-échange ». « La planète tourne, et l'Europe regarde », se désole Éric Chol dans son édito dans L'Express, en se demandant « où sont donc passés les grands dirigeants d'hier ». « Le célèbre moteur franco-allemand est bon pour la casse, ajoute Franz-Olivier Giesbert dans Le Point, et rien ne l'a encore remplacé. Au moment où tous les cieux du monde se couvrent de nuages noirs, l'Europe a décidé de retourner avec les vaches regarder les trains qui passent ». Jordan Bardella publie son premier livre Lui n'est d'ailleurs pas un Européen convaincu. Jordan Bardella en tournée, dans les médias, pour faire la publicité de son premier livre : Ce que je cherche, un titre inscrit sur une photo-portrait du président du Rassemblement national en noir et blanc. Couverture qui rappelle celle des mémoires de Barack Obama. Le Figaro Magazine publie des extraits de ces 324 pages. Jordan Bardella se présente comme un « enfant des classes populaires et fils de migrants italiens, héritier de la méritocratie républicaine ». Il revient sur son enfance en Seine-Saint-Denis, près de Paris, dans la cité Gabriel-Péri, et parle aussi de son prénom, qu'il dit avoir eu du mal à « assumer ». « J'ai voulu que les Français saisissent en profondeur ce que je pense et les raisons qui me poussent à le penser », explique Jordan Bardella dans Le Journal du dimanche, propriété de Vincent Bolloré comme les éditions Fayard qui publient l'ouvrage. « Le président du RN cherche à gommer son appartenance à l'extrême droite, analyse Le Nouvel Obs, en se présentant plus libéral que Marine Le Pen. Sans rien renier, en réalité, de ses obsessions identitaires et autoritaires ». Sur le fond comme sur la forme, Libération est encore plus critique : « Dans ce livre au style si mauvais qu'on finit par penser qu'il l'a vraiment écrit tout seul, le dauphin de Marine Le Pen ne parvient guère à se découvrir ». Le retour de l'esprit olympique et paralympique avec Aurélie Aubert Elle s'affiche avec des baskets blanches, à lacets bleus et rouges, et le même sourire qui a fait chavirer la France, l'été dernier : Aurélie Aubert, en Une du magazine L'Equipe. Les images de la championne paralympique de boccia « éperdue d'extase sur son fauteuil une fois victorieuse » ont « saisi les cœurs », rappelle le reportage. Depuis son titre, le quotidien d'Aurélie Aubert « en famille d'accueil dans un hameau de l'Eure a explosé », et son entraîneuse bénévole la « trouve encore fatiguée ». Mais « c'est une combattante », assure Claudine Llop Cliville. Orpheline, atteinte d'une paralysie cérébrale due à un manque d'oxygène à la naissance, Aurélie Aubert peine à le reconnaître mais, oui, sa victoire à Paris l'été dernier, c'est une « revanche ». Dans cette vie « pas très simple », elle assure que la boccia est « sa bouée de sauvetage ». « Si on m'en prive, je pleure. Quand j'y joue, ma journée est belle. C'est un projet de vie ». Passé les nombreuses sollicitations médiatiques, Aurélie Aubert espère donc pouvoir reprendre l'entraînement normalement et, encore une fois, porter les couleurs bleu, blanc, rouge, là aussi signes d'espoir.
durée : 00:11:36 - Info médias - Alors que C8 doit s'arrêter fin février, il n'est pas question de divorce entre le présentateur et le groupe de Vincent Bolloré. D'autant que la chaîne espère encore conserver sa fréquence TNT. "C8 est la meilleure élève sur tous les critères", assure Gérald-Brice Viret, le directeur général de Canal+ France, invité de franceinfo à l'occasion du 40e anniversaire de Canal.
Jordan Bardella va sortir un livre le 9 novembre prochain. Intitulé "Ce que je cherche", l'ouvrage estpublié aux éditions Fayard, entreprise qui appartient à Vincent Bolloré. Avant sa sortie, ce livre fait déjà polémique. Dans une tribune publiée dans "Le Nouvel Obs", des salariés et des anciens salariés de l'éditeur dénoncent "un élargissement de la fenêtre d'Overton". Qu'est-ce que la "fenêtre d'Overton" ? Pourquoi un lien est-il fait avec l'extrême droite ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Clément Viktorovitch, docteur en science politique et à l'affiche du spectacle "L'art de ne pas dire". Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Jordan Bardella va sortir un livre le 9 novembre prochain. Intitulé "Ce que je cherche", l'ouvrage estpublié aux éditions Fayard, entreprise qui appartient à Vincent Bolloré. Avant sa sortie, ce livre fait déjà polémique. Dans une tribune publiée dans "Le Nouvel Obs", des salariés et des anciens salariés de l'éditeur dénoncent : "Publier un dirigeant politique d'extrême droite (...) n'est pas autre chose qu'un élargissement de la fenêtre d'Overton. C'est pourquoi nous ne pouvons nous taire". Qu'est-ce que la "fenêtre d'Overton" ? Pourquoi un lien est-il fait avec l'extrême droite ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Clément Viktorovitch, docteur en science politique et à l'affiche du spectacle "L'art de ne pas dire". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Jordan Bardella va sortir un livre le 9 novembre prochain. Intitulé "Ce que je cherche", l'ouvrage estpublié aux éditions Fayard, entreprise qui appartient à Vincent Bolloré. Avant sa sortie, ce livre fait déjà polémique. Dans une tribune publiée dans "Le Nouvel Obs", des salariés et des anciens salariés de l'éditeur dénoncent "un élargissement de la fenêtre d'Overton". Qu'est-ce que la "fenêtre d'Overton" ? Pourquoi un lien est-il fait avec l'extrême droite ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Clément Viktorovitch, docteur en science politique et à l'affiche du spectacle "L'art de ne pas dire". Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
durée : 00:03:44 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le journal Le Parisien annonce la fin de la collaboration entre le groupe Canal + détenu par Vincent Bolloré et l'animateur producteur Cyril Hanouna, après douze ans de bons et loyaux services. Où l'animateur controversé pourrait-il atterrir ?
Flash info : Vincent Bolloré est mort Ce devait être une émission passionnante, avec des longs entretiens de scientifiques et de psychanalystes, décryptant les liens entre automne et déprime, mais l'info est tombée dès la première minute du direct : la fin de Vincent Bolloré. Alors, grâce à une mobilisation exceptionnelle de la rédaction et des équipes techniques du Radio Show, nous avons improvisé une édition spéciale afin de suivre cette nouvelle incroyable et de mieux comprendre ce qui a conduit au naufrage du yacht de Vincent Bolloré au large de son île privée des Glénan en Bretagne, l'île du Loch. Une émission haletante avec des révélations fracassantes, mais aussi de vrais journalistes qui retracent le parcours du grand patron, depuis la reprise de la papeterie familiale jusqu'à son tournant facho-intégriste, en passant par son business en Afrique, le rachat de Canal+, son amour des journalistes, de la censure et de la corruption.Avec une "Bollorologue" en plateau, des correspondants depuis la Bretagne mais aussi en bas de la tour Bolloré et aux abords de sa maison de la villa Médicis, et même un chanteur venu interpréter une chanson qu'il a composée juste après avoir appris la nouvelle.L'équipeUne émission de Livo animée avec Loupiotte, Reno Bistan (le chanteur), Elodie Vincent (la Bollorogue) et Nono (le correspondant). Avec les vrais journalistes Vincent Beaufils de Challenges, Yann Phillipin de Mediapart, Isabelle Roberts de Les Jours, Raphaëlle Bacqué du Monde ainsi que Leila Abdelké Yakoub d'OXFAM.RemerciementsMerci à Marylou, Flobé, Kobri, Abad, Antoine Tricot, Fanny Pigeaud, Mickel Coreira, Mélanie et au cher public de l'auditorium de la Gaîté Lyrique.Pour aller plus loin- "L'empire", une série d'Isabelle Roberts et Raphael Garrigos, Les Jours ;- Le documentaire "Vincent, un ami qui vous veut du bien" (Complément d'enquête, France 2, prix Albert Londres 2017) ;- La page Wikipedia de l'île du Loch, propriété privée de Vincent Bolloré, gardée par un néo nazi ;- "Fin de partie pour Bolloré en Afrique" et les autres articles de Fanny Pigeaud dans Le Monde Diplomatique ; - Les articles de Yan Phillipin sur la corruption en Afrique à lire sur Mediapart ;- "Comment Vincent Bolloré mobilise son empire médiatique pour peser sur la présidentielle", une enquête de Raphaelle Bacqué et Ariane Chemin, Le Monde ;- Vincent Tout puissant, un livre de Nicolas Vescovacci et Jean-Pierre Canet, Editions JC Lattès ;- Le boa de Jean-Marie Bretagne, Editions Philippe Rey ;- Bolloré, l'homme qui inquiète, un livre de Vincent Beaufils, Editions de L'Observatoire. Enregistrement 27 septembre 2024 Réalisation et mixage Olivier Minot, Arnaud Forest Mixage Gary Salin et Charlie Marcelet Participation Mathilde Guermonprez, Elodie Vincent, Reno Bistan Production ARTE Radio
Ross Levin, Director of Research at Arbiter Partners, joins the podcast for the second time to discuss betting on French compounding legend, Vincent Bolloré: Bolloré SE and Compagnie de l'Odet. For more information about Arbiter Partners, please visit: https://arbiterpartners.net/ Chapters: [0:00] Introduction + Episode sponsor: Tegus [2:36] What are Bolloré SE and Compagnie de l'Odet and why are they interesting to Ross [12:18] Asset value / share count [16:46] Why (in Ross' opinion) is this an alpha opportunity and why now [23:03] Betting on compounding legend, Vincent Bolloré [27:40] Risk of getting "Icahn'd" [32:20] Share re-purchases / capital allocation [39:31] French regulatory risk [41:41] What's the path for l'Odet [45:42] Vivendi [50:38] Anything else that investors should be looking out for here? Follow on re: capital allocation scenarios [54:57] Ross' quick thoughts on CCIs and France overall Episode sponsor: Tegus If you've been reading my newsletters, you know how often I rely on Tegus for my research. It's truly revolutionized how I get up to speed on new industries and companies. Tegus has the largest transcript library in the world, with over 75% of private market transcripts. Whether you're curious about AI, biotech, or any niche market, Tegus has the insights you need. What sets Tegus apart is its all-in-one platform. It's packed with expert call transcripts, management checks, panel calls, and in-depth financial data. No more jumping between different services or piecing together fragmented data. With Tegus, everything is right at your fingertips. The best part? The insights you get are from the very people shaping the industries you're interested in. You'll find perspectives from insiders and executives that you simply can't get anywhere else. To see Tegus in action and understand why it's my go-to resource, visit Tegus.com/value – that's T-E-G-U-S dot com slash value. Trust me, once you try Tegus, you'll never look back.
Le mercredi 24 juillet, l'Arcom, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, annonce sa décision de ne pas renouveler la fréquence TNT de C8. La chaîne arrêtera d'émettre à la fin du mois de février 2025, tout comme NRJ 12, qui n'a pas non plus obtenu l'autorisation de conserver sa fréquence. C8 a été créée en 2005 par le milliardaire Vincent Bolloré et le journaliste et écrivain Philippe Labro, ancien directeur de RTL. La chaîne s'appelle alors Direct 8, et les débuts sont chaotiques : les problèmes techniques s'enchaînent et les téléspectateurs ne sont pas au rendez-vous. En 2012, la chaîne recrute un jeune animateur, Cyril Hanouna, qui amène avec lui une toute nouvelle émission « Touche Pas à Mon Poste ». Grâce à ce programme, les audiences décollent, mais les nombreux dérapages de l'émission mettent la chaîne dans le collimateur de l'Arcom.Cet épisode de Code source est raconté par Benjamin Meffre, journaliste au service culture du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP, C8. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'été au Média mais l'info ne s'arrête pas. Au menu de ce flash info estival, on a : Israël qui poursuit ses opérations guerrières au Proche-Orient. Dans la soirée du mardi 30 juillet, l'armée israélienne a frappé la banlieue sud de Beyrouth, la capitale libanaise. Dans la foulée était annoncé le décès d'un des plus hauts responsables du Hezbollah, Fouad Chokr. Dans la matinée du mercredi 31 juillet, le Hamas annonçait que son chef politique, Ismaïl Haniyeh, était tué à Téhéran dans un raid que le Hamas attribue à Israël. Si l'État hébreux ne revendique pas l'assassinat d'Ismaïl Haniyeh, les craintes d'une régionalisation du conflit se font de plus en plus fortes. En France, dans l'actu politique, Emmanuel Macron avance ses pions pour essayer de trouver quelqu'un qui l'arrangerait bien à Matignon. Un “pacte d'actions” aurait même été élaboré par le Président de la République et Gabriel Attal entre autres et remis aux députés macronistes. Ce pacte comprendrait une réforme de l'assurance chômage et l'idée d'un référendum annuel sur les institutions… On vous donne aussi des nouvelles concernant les révélations du média en ligne “La Lettre” sur sur le gardien secret, et surtout néo-nazi, de Vincent Bolloré. Un certain Marc de Cacqueray-Valménier, ancien chef de fil du GUD, actuellement mis en cause dans deux procès pour violences lors des meeting de Zemmour en 2021 et après la demi-finale France-Maroc, lors de la Coupe du Monde 2022. Il serait en charge de la sécurité sur l'île de Loc'h, propriété privée de Bolloré. Enfin, on reviendra sur les émeutes racistes qui ont eu lieu à Southport, en Angleterre, à la suite d'une attaque au couteau qui a coûté la vie à trois jeunes filles.
La nouvelle fait couler beaucoup d'encre : pour la première fois depuis la création de la télévision numérique terrestre en France en 2005, deux chaînes se sont vu refuser leur autorisation d'émettre. Parmi elles, le média C8 appartenant à l'homme d'affaires Vincent Bolloré proposant l'émission phare polémique Touche pas à mon poste !. Pourquoi ces décisions ? Mise en cause de la liberté d'expression ou cohérence dans l'indépendance des programmes ? Pour en débattre : Alexis Lévrier, historien des médias, maître de conférences à l'Université de Reims Camille Broyelle, professeure de droit public et responsable du Master droit du numérique, parcours droit des médias de l'Université Panthéon Assas François Jost, professeur émérite en Sciences de l'information et de la communication à Paris III, directeur de la revue Télévision (CNRS éditions) et auteur du livre L'opinion qui ne dit pas son nom : du pluralisme des médias en démocratie (Tracts Gallimard, mai 2024).
La nouvelle fait couler beaucoup d'encre : pour la première fois depuis la création de la télévision numérique terrestre en France en 2005, deux chaînes se sont vu refuser leur autorisation d'émettre. Parmi elles, le média C8 appartenant à l'homme d'affaires Vincent Bolloré proposant l'émission phare polémique Touche pas à mon poste !. Pourquoi ces décisions ? Mise en cause de la liberté d'expression ou cohérence dans l'indépendance des programmes ? Pour en débattre : Alexis Lévrier, historien des médias, maître de conférences à l'Université de Reims Camille Broyelle, professeure de droit public et responsable du Master droit du numérique, parcours droit des médias de l'Université Panthéon Assas François Jost, professeur émérite en Sciences de l'information et de la communication à Paris III, directeur de la revue Télévision (CNRS éditions) et auteur du livre L'opinion qui ne dit pas son nom : du pluralisme des médias en démocratie (Tracts Gallimard, mai 2024).
“Il faut aujourd'hui de l'or, beaucoup d'or, pour jouir du droit de parler ; nous ne sommes pas assez riches. Silence au pauvre.” C'est à travers ces mots que Félicité Robert de Lamenais, rédacteur en chef du journal Le Peuple Constituant, exprimait son dépit en 1848, alors que son titre de presse était condamné, financièrement asphyxié par le pouvoir. En 2024, il faut toujours beaucoup d'or pour avoir de l'écho médiatique et pour s'imposer sur la scène politique. Et en dehors du financement public de la vie politique, des mécènes très riches, ça aide toujours. Et l'extrême droite française peut se sentir heureuse d'avoir des bonnes fées qui se penchent à son chevet. Vincent Bolloré, qui est connu comme le loup blanc. Mais aussi Pierre-Edouard Stérin, lui aussi entrepreneur et lui aussi milliardaire, fondateur entre autres des célèbres “Smartbox”, les coffrets cadeaux vendus en grandes surfaces. Le quotidien L'Humanité nous révèle les détails de Périclès, un plan de bataille qu'il a mis en place tout simplement pour porter le Rassemblement national au pouvoir : il a mis sur la table 150 millions d'euros, à investir les 10 prochaines années. Entretien avec Thomas Lemahieu, grand reporter à L'Humanité et auteur de l'enquête terrible sur un projet absolument implacable.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - La chaîne de Vincent Bolloré se fait sanctionner par l'Arcom, qui va lui retirer sa fréquence TNT. Pour autant, ce média ne devrait pas disparaître tout de suite, les détails dans cette édition.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - La chaîne de Vincent Bolloré se fait sanctionner par l'Arcom, qui va lui retirer sa fréquence TNT. Pour autant, ce média ne devrait pas disparaître tout de suite, les détails dans cette édition.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - La chaîne de Vincent Bolloré se fait sanctionner par l'Arcom, qui va lui retirer sa fréquence TNT. Pour autant, ce média ne devrait pas disparaître tout de suite, les détails dans cette édition.
Alors que 15 chaînes de la TNT sont concernées par la réattribution des fréquences par l'Arcom, le régulateur du secteur audiovisuel, une chaîne d'information, CNews, caracole en tête.Cependant, la chaîne, qui appartient à l'homme d'affaires conservateur Vincent Bolloré, ne dépasse sa rivale BFMTV que d'une courte tête. D'après les chiffres donnés par Médiamétrie, qui mesure l'audience des chaînes de télévision et de radio, elle a enregistré, en mai, 2,8 % de parts d'audience, contre 2,7 % pour BFMTV.Derrière ces deux leaders, on trouve d'autres chaînes d'informations, comme LCI, avec 1,7 % de parts d'audience en mai, et Franceinfo, qui n'en recueille que 0,7 %.La prédominance de CNews se confirme en juin, pour le deuxième mois consécutif, le score restant cependant très serré. Selon Médiamétrie, CNews aurait recueilli 3,5 % des parts d'audience en juin, contre 3,4 % pour BFMTV. De leur côté, LCI et Franceinfo sont toujours à la traîne.D'une manière générale, les derniers événements politiques, avec les élections européennes et les législatives anticipées provoquées par la dissolution de l'Assemblée, ont stimulé l'audience des chaînes d'information.Les responsables de BFMTV relativisent la portée de ces statistiques. Ils font d'abord remarquer que CNews ne devance leur station que de très peu. Cette avance ne serait significative que si elle se confirmait sur une plus longue période.Par ailleurs, si CNews l'emporte sur sa rivale en termes de parts d'audience, BFMTV revendique un plus grand nombre de spectateurs. D'après ses chiffres, plus de 12 millions de personnes regarderaient la chaîne chaque jour, soit une progression de 10 % sur un an, contre seulement 8,2 millions pour CNews.Une affirmation que certains événements ponctuels tendent à confirmer. Ainsi, lors de la soirée électorale du 9 juin dernier, les spectateurs ont donné la préférence à BFMTV. Entre 20 h et 21 h, 1,4 million de personnes regardaient la chaîne, soit un peu plus de 6 % des spectateurs. La performance de CNews, ce soir-là, a été plus médiocre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Miliardarul francez Vincent Bolloré și-a pus vastul imperiu media în slujba extremei drepte. În spatele scenei, omul de afaceri a orchestrat o alianță între dreapta și extrema dreaptă înainte de alegerile legislative anticipate, lucrând pentru a asigura succesul Adunării Naționale, se arată într-o analiză a postului Francez France24.
Milliardär Vincent Bolloré spielt im französischen Wahlkampf eine zentrale Rolle. Er schenkt der extremen Rechten viel Platz in seinen Medien, schürt Angst vor Migranten und hofft nach dem Wahlsieg auf ein Ende des öffentlich-rechtlichen Rundfunks. Wachs, Sabine www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
La dissolution a porté un coup d'arrêt au projet de fusion des médias publics défendu par le gouvernement Attal, mais les législatives anticipées pourraient précipiter l'arrivée au pouvoir du Rassemblement National qui projette leur privatisation. Le mois dernier, les députés réunis en commission approuvaient le principe d'une fusion de l'audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, l'INA, France 24, RFI et MCD) à l'horizon 2026. La proposition de loi défendue par la ministre de la Culture Rachida Dati devait être examinée à l'Assemblée nationale dans les tout prochains jours, du 24 au 26 juin. Las ! Comme tous les autres, le projet a été enterré, balayé par la dissolution, décidée par Emmanuel Macron au soir de la défaite de son camp aux Européennes. Mais le statu quo s'annonce de courte durée. Le Rassemblement national pourrait arriver au pouvoir pour la première fois à l'issue des élections législatives anticipées du 30 juin et du 7 juillet. Jordan Bardella, le président du RN, a confirmé à plusieurs reprises que s'il devenait Premier ministre, la privatisation de l'audiovisuel public ferait partie de son programme, même si cela « ne se ferait pas en 24 heures ».« L'idée est de privatiser l'audiovisuel public mais de conserver à la fois RFI et France 24 parce qu'ils représentent la France à l'étranger, France Info qui est une chaîne d'information et les radios France Bleu qui sont les radios locales », a précisé Damien Soumi candidat du RN dans la Somme interrogé sur France Bleu Picardie. Sébastien Chenu, vice-président du RN avance même le chiffre de « trois milliards d'euros » de recettes pour l'État tiré de cette vente. Un chiffre qui ne s'appuie sur aucun plan concret et que les différents experts des médias jugent parfaitement fantaisiste. Reste que la menace d'une vente « à la découpe » est prise au sérieux par les différents syndicats des médias concernés qui se sont mobilisés. Une menace prise au sérieuxSophie Binet la secrétaire générale de la CGT l'a aussi évoqué au moment de donner pour la première fois une consigne de vote à ses adhérents : « On sait qu'un certain nombre de patrons, à commencer par Vincent Bolloré, seront ravis de pouvoir racheter et mettre au pas Radio France et France Télévisions. » L'ombre de l'homme d'affaires, puissant patron de Canal+ plane sur les législatives. Ses médias C8, CNews, Europe 1 ou encore le journal du dimanche font ouvertement campagne pour « l'union des droites » entre LR (tendance Ciotti) et l'extrême droite (Rassemblement National et Reconquête).Le projet inquiète aussi les médias privés qui craignent de devoir partager avec de nouveaux acteurs une manne publicitaire qui stagne depuis des années. Les marchés financiers ne s'y sont pas trompés : dans les jours qui ont suivi la dissolution les cours de bourse de TF1 et M6 se sont effondrés. À l'inverse de ce qui s'était passé en 2008 quand le président Nicolas Sarkozy avait annoncé la fin de la publicité en soirée sur France Télévisions, ce qui avait été perçu à l'époque comme un cadeau à son ami Martin Bouygues, propriétaire de TF1, mais aussi, déjà, à un autre ami du « parrain » de la droite française : Vincent Bolloré, à la tête de l'agence de pub Havas.À lire aussiVincent Bolloré et son empire médiatique, un tremplin pour l'extrême droite en France?Une privatisation, même partielle, de l'audiovisuel public en France serait une première en Europe, même si le RN n'est pas le seul à défendre cette idée. En Argentine le président d'extrême droite Javier Milei l'avait également inscrit à son programme. Au Royaume-Uni Boris Johnson lorsqu'il était Premier ministre avait tenté de vendre la télévision publique Channel 4, jugée hostile aux conservateurs… avant d'être lui-même contraint à la démission et que le projet ne soit abandonné. Au sein des médias publics en France, l'inquiétude dépasse la seule question de la privatisation.« L'extrême droite préfère toujours prendre le contrôle des médias publics que de les démanteler »« L'extrême droite préfère toujours prendre le contrôle des médias publics, qui sont des outils de communication extraordinaires, plutôt que de les démanteler », explique à Euractiv l'historien des médias Alexis Lévrier. « C'est ce que l'on observe en Hongrie et en Italie ». À Rome le gouvernement de Giorgia Meloni a récemment imposé à la Rai de diffuser des messages gouvernementaux sans aucune médiation journalistique. On pourrait ajouter l'exemple de la Pologne. Après sa victoire aux législatives, l'une des premières mesures du nouveau premier ministre Donald Tusk a d'ailleurs été de renvoyer tout l'état-major de l'audiovisuel public, considérant que les ultra-conservateurs au pouvoir pendant 10 ans l'avaient transformé en outil de propagande.La menace est d'autant plus aigüe que l'extrême droite pourrait arriver aux responsabilités en France à un moment où les médias publics sont particulièrement vulnérables. En 2022, Emmanuel Macron a supprimé la redevance, l'impôt qui la finançait et qui garantissait son indépendance financière sur le long terme. Sans la remplacer. Une taxe sur la TVA compense bien les pertes de revenus pour les médias publics, mais seulement jusqu'à la fin de l'année 2024. Après cela, leur financement se fera au bon vouloir des gouvernements en place. Le projet de loi sur la fusion de l'audiovisuel public visait aussi à lui trouver un nouveau financement pérenne. Mais le président français a dissous l'Assemblée nationale avant d'avoir pris le temps de réparer une faille qu'il a lui-même créée.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Franck Annese est un patron de presse pas tout à fait comme les autres. Musicien, producteur, journaliste, entrepreneur, père de famille et j'en passe. Il y a quelque chose du "self made man" chez cet homme qui ne note rien, n'a pas d'agenda et essaye de stimuler au max sa mémoire. Alors son enfance, sa passion pour le football, "les coups" qu'ils aiment faire chez SoPress et la raison pour laquelle Franck Annese rêverait d'interviewer Vincent Bolloré. Mais aussi les blagues qu'il écrivait pour les César (merci Laurent Lafitte!!) le jour où il a mis Dimitri Payet en couverture, les émissions de télé qu'il voulait lancer (en vain pour l'instant) ou encore la création de "Pédale" un des titres du groupe, Virginie Efira et sa moustache ou encore ce qu'il aimerait transmettre à sa fille... et bien tout cela et bien plus encore c'est à découvrir dans ce nouvel épisode de "Tant qu'il y aura des hommes"! Générique composé par Jean Thévenin
Parquet qui grince, moulures et cheminée. Karim Rissouli, présentateur de « C ce soir », « En société » et « En terres opposées » sur France 5, nous reçoit chez lui, un appartement dans le 9e arrondissement de Paris, qu'il qualifie de « bourgeois ». Presque gêné, comme lorsqu'il a reçu à dîner Nicolas Mathieu. Avec le prix Goncourt 2018 pour « Leurs enfants après eux », le journaliste de 42 ans, né d'un père marocain et d'une mère française, partage le sentiment d'être « transclasse ».Karim Rissouli évoque son enfance à Brain-sur-l'Authion, en périphérie d'Angers, une zone périurbaine qui accueille les salariés à la recherche de logements moins chers. Ses parents travaillaient dans le secteur social, lui rêvait d'être « journaliste ou footballeur ». Une passion du ballon rond transmise par son père. Ses origines maghrébines lui valaient des vacances annuelles au Maroc qui l'ont fait apprécier la diva Fayrouz et le groupe Nass El Ghiwane. Booba et Damso sont venus après.Désormais animateur, Karim Rissouli refuse de se plier au costard-cravate, il veut « parler de la société avec ceux qui la font, mélanger les registres de paroles et des invités ». Il raconte avec la même intensité son départ de Canal+ avec l'arrivée de Vincent Bolloré que sa nostalgie pour « Top Gun » dont il connaît les dialogues par cœur.Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project
Le 13 mars, le propriétaire du groupe Canal+, Vincent Bolloré, est auditionné par la commission d'enquête chargée de l'attribution des fréquences de la TNT. Durant plus de deux heures, face aux députés de la commission, il a défendu son groupe et particulièrement sa chaîne d'info, CNews, qui s'est retrouvée au cœur de plusieurs polémiques. Récemment lors d'une émission, l'interruption volontaire de grossesse (IVG) a été présentée comme la « première cause de mortalité dans le monde », provoquant une pluie d'indignations, notamment en interne.La chaîne d'info, autrefois connue sous le nom d'iTélé puis rebaptisée CNews en février 2017, est devenue en l'espace de quelques années l'une des plus regardées de France. En décembre, elle s'est même retrouvée leader en part d'audience pendant plusieurs journées de suite. Mais elle est aussi la chaîne qui a concentré le plus de critiques, accusée de donner trop de place aux idées d'extrême-droite et d'être devenue une chaîne d'opinion.Pour Code source, deux journalistes du service culture du Parisien, Benoît Daragon et Benjamin Meffre, spécialistes des médias, reviennent sur l'évolution de CNews.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : INA, Cnews, France 2, Youtube, Europe 1, AFP. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:32 - La chronique de Christine Gonzalez - par : Christine Gonzalez - Le média de Vincent Bolloré va devoir respecter le pluralisme d'opinion. C'est un véritable choc pour la chaîne, il faut que Christine Gonzales les console. Car comme vous le savez, elle a un grand cœur et s'enquiert donc de savoir comment Pascal Praud, entre autres, se porte.