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durée : 00:02:15 - Le vrai du faux - "Je suis favorable à ce que les Anglais font depuis quelques mois, le contact tactique", a déclaré Eric Zemmour en parlant des rodéos sauvages. Une méthode qui permet de renverser certains deux-roues en faute. Mais qui n'est pas utilisée pour les rodéos sauvages Outre-Manche.
Les dérapages de Cyril Hanouna sur C8 et la proximité de CNews avec Eric Zemmour pourraient-ils faire perdre leur fréquence aux chaînes du groupe Bolloré en 2025 ? Le gouvernement s'inquiète d'une menace pour le débat démocratique, le camp Bolloré crie à la censure. Entre les deux, c'est l'Arcom, le gendarme de l'audiovisuel, qui doit arbitrer. Le feuilleton politico-télévisuel ne fait que commencer, nous raconte Etienne Girard, chef du service Société de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Présentation et écriture : Xavier YvonMontage : Marion GalardRéalisation : Jules KrotCrédits : C8, CNews, France InterMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Eric Permont / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:50 - Le journal de presque 17h17 - .Des scènes de violences terribles qui accompagnent la réforme des retraites, Emmanuel Macron souhaite que la réforme des retraites "puisse aller au bout de son chemin démocratique", Léa Salamé a invité Eric Zemmour sur France 2, c'est l'actu du jour !
Hervé le Bras est géographe et historien, il est chercheur à l'Institut National d'études démographique et auteur de nombreux livres dont "Il n'y a pas de grand remplacement". Le titre de l'ouvrage est explicit et clair (au cas où vous aviez un doute). Pourtant presque 60% des français croient dans cette théorie inventée de toutes pièces et mise en lumière par Eric Zemmour pour sa campagne (personne ne s'est dit : le mec est lui même un juif d'origine maghrébine d'ailleurs, ca m'échappe, c'est comme Hitler qui faisait la promotion des Aryens...personne n'a remarqué qu'il n'était pas grand blond aux yeux bleus). Pour préparer cet épisode, j'ai utilisé une méthode très différente de celles que j'utilise habituellement, j'ai regardé les commentaires sous des vidéos ou Hervé Le Bras parle de Grand Remplacement pour justement reprendre tous les arguments des personnes qui croient dans la théorie du grand remplacement qui n'est ni plus ni moins que du racisme déguisé en réalité. Un des arguments d'ailleurs est de regarder les photos de classe mais je n'ai aucun doute ou ces personnes me situeraient si elles me voyaient sur la dîtes photo...pourtant ma mère est Martiniquaise et mon père Bourguignon, cela fait de moi un "bon français" mais je sais pertinemment que pour une personne raciste qui me rencontre dans la rue, je ressemble surtout à un marghrebin ou un indien ou autre mais en tous cas pas un français de souche... Alors avec Hervé nous répondons à ces différentes questions : Comment s'est construite la France? La France ne s'est elle pas construite par des vagues d'immigration par définition? Pourquoi la théorie du grand remplacement a pris autant de place? Des Grands remplacements ont existé en Amérique et en Australie ou Afrique du Sud mais ce sont les Européens qui ont remplacé pas l'inverse? Quels sont les chiffres de l'immigration? Qui sont les immigrés en France? Est-ce que le problème n'est pas lié à l'interdiction des statistiques raciales? Mais si on regarde les photos de classe, il y a plus de noirs et d'arabes? Pourquoi cette peur irrationnelle vers les musulmans? Comment un fils d'immigré tunisien peut mettre en avant le Grand Remplacement? Comment peut on comparer le modèle d'intégration française et américaine? Est-ce qu'ils ne veulent pas s'intégrer dans la culture française? Est-ce que la problématique n'est pas sociale? Qu'est ce que le petit remplacement? La culture d'autres civilisations est déjà bien intégrée en France non? Est-ce que l'arrivée d'étrangers n'est pas un enrichissement de notre culture? Que pensez vous des migrants? Qu'est ce que coute des immigrés à la France concrètement? Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #113 Revenir au temps long pour comprendre le monde avec Christian Grataloup (https://audmns.com/eSlZGOZ) Vlan #103 Comment passer du rejet des migrants à leur accueil avec Lionel Pourtau (https://audmns.com/QaEGpTn)
EXPERTS PASCAL BONIFACE Directeur de l'IRIS Institut de Relations Internationales et Stratégiques FRANCOIS CLEMENCEAU Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche » NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » MERIEM AMELLAL Journaliste « France 24 » Spécialiste de l'Afrique et du Moyen-Orient Un match pour l'histoire. L'équipe de France de football, tenante du titre, affrontera ce soir, en demi-finale de la Coupe du monde, le Maroc, porté par la ferveur du continent africain, du monde arabe et de tout le stade ou presque au Qatar. Dans les tribunes, seront présents 4 000 supporters français dont le président de la République et la ministre des Sports, entourés d'une marée rouge au couleur du Maroc. Les Lions de l'Atlas pourront compter une fois encore sur le soutien massif du public, derrière eux depuis le début de cette épopée historique. Le Maroc est en effet le premier pays africain à accéder à une demi-finale de Coupe du monde. Alors pour l'occasion près de trente vols spéciaux entre Casablanca et Doha ont été mis en place pour permettre aux fans marocains d'assister au match. Des supporters que suivront également le match depuis Rabat, Casablanca mais aussi à Paris, Tunis ou encore Alger. Malgré le regain de tensions diplomatiques entre le Maroc et l'Algérie ces dernières années, notamment au sujet du Sahara occidental, et le fait que depuis le début de la Coupe du monde la télévision publique algérienne s'est employée à passer sous silence les exploits des Lions de l'Atlas, des Algériens s'emballent aussi pour leurs voisins. En France où la diaspora marocaine est l'une des plus présentes dans l'hexagone, on se prépare aussi à la fête. Certains y voient plus qu'un match, et d'autres craignent des débordements après le coup de sifflet final. 10 000 policiers et gendarmes vont être déployés ce soir dans les rues. Pour le sélectionneur du Maroc Walid Regragui, lui-même franco-marocain, ce match « va être une fête en France. Quoi qu'il arrive, que l'on gagne ou que l'on perde, ce n'est qu'un match de football et cela doit nous permettre de faire la fête ensemble. Ce n'est que du foot » a rappelé l'entraineur du Maroc. Mais depuis quelques jours l'extrême droite joue le match en avance, critiquant les binationaux et les immigrés qui se réjouiraient d'une victoire du Maroc face aux Bleus. Eric Zemmour et les siens y voient « un choc des civilisations footballistique », quand le Rassemblement national anticipe des affrontements dont la source viendrait du refus de l'assimilation. Chaque camp multiplie les interventions pour tenter de tirer son épingle du jeu sur fond de débat déjà lancé dans les médias sur le projet de loi Immigration qui arrive au Sénat la semaine prochaine. Ce soir 20 h, France - Maroc en demi-finale du mondial de football, un match très attendu sur le terrain sportif mais aussi diplomatique : les relations entre Paris et Rabat se sont crispées ces derniers mois. Pourquoi ? L'ensemble du monde arabe, mais aussi le continent africain, soutiennent l'équipe du Maroc. Comment l'analyser ? Et où en est la relation entre l'Algérie et le Maroc ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Revivez les meilleurs moments de la chronique de Philippe Caverivière.
durée : 00:02:27 - Le brief politique - Ce dimanche, Eric Zemmour va fêter le premier anniversaire de son parti Reconquête, lors d'un meeting à Paris, où l'on prépare déjà les Européennes de 2024. Une élection où le leadership d'Eric Zemmour pourrait être contesté. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
Entre le 19 et le 20 novembre 2022, se tenait le 18e sommet international de la Francophonie. Il réunissait les 31 chef-fes d'Etat dont le français est la langue officielle. La Francophonie c'est une institution mais aussi un terme qui regroupe tout ce qui concerne l'usage du français. Une langue qui représente pas moins de 320 millions de locuteurs dans le monde, la plaçant à la 5e position des idiomes les plus parlés sur la planète. Et la 4e sur le web, selon nos confrères de Radio France international. L'organisation internationale de la francophonie - dite OIF - est un organisme international culturel, mais pas uniquement. Mais à quoi sert la Francophonie ? Comment l'OIF parvient-elle à promouvoir la francophonie ? La langue est-elle un outil politique ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. À écouter aussi : Pourquoi le terme “francocide” utilisé par Eric Zemmour fait-il débat ? Que sont les “Français de papier” ? Qu'est-ce que la novlangue ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:41 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Donald Trump a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2024, un missile est tombé cette nuit par erreur en Pologne, et la fusée Artémis de la NASA s'est enfin envolée ce matin, c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:41 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Donald Trump a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2024, un missile est tombé cette nuit par erreur en Pologne, et la fusée Artémis de la NASA s'est enfin envolée ce matin, c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:41 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Donald Trump a annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2024, un missile est tombé cette nuit par erreur en Pologne, et la fusée Artémis de la NASA s'est enfin envolée ce matin, c'est l'actu du jour !
Le meurtre de la petite Lola, 12 ans, dont le corps a été retrouvé dans une malle le 14 octobre 2022 a fait la Une des journaux. Ce drame a suscité de nombreuses réactions, et notamment de la part de l'extrême-droite qui n'a pas tardé à organiser des rassemblements en hommage à la jeune fille, malgré ses parents refusant toute récupération politique. C'est dans ce tourbillon médiatique qu'Eric Zemmour a tweeté : “Quand défendrons-nous nos enfants contre ces francocides qui sont toujours commis par les mêmes, toujours au détriment des mêmes?". Le néologisme “francocide”, inventé par le président de Reconquête pose alors question… En tout cas, on ne le trouve dans aucun dictionnaire. Mais en fait, c'est quoi un “francocide” ? Depuis quand ce terme existe-t-il ? Y a-t-il un lien entre “francocide” et “féminicide" ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. À écouter aussi : Qu'est-ce qu'un féminicide ? Qu'est-ce qu'une personne racisée ? Qui est Giorgia Meloni, le nouveau visage de l'extrême-droite italienne ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:10 - Le brief politique - Dimanche 16 octobre, cela fera deux ans que Samuel Paty a été victime d'une attaque terroriste islamiste. A cette occasion, le ministre de l'Education nationale doit rendre hommage au professeur d'histoire-géographie, mais l'extrême droite se tient en embuscade. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
"Avec Anthony Lebbos aux Journées Parlementaires des écolos à Strasbourg, un épisode sur Sandrine Rousseau, qui agace ses collègues députés EELV mais qui est la plus percutante pour capter l'attention médiatique et porter la voix des écolos dans le débat politique. Un de ses collègues la décrit même en "Zemmour de gauche".
Philippe de Villiers, ancien secrétaire d'Etat à la culture et auteur de "La valse de l'adieu", était l'invité d'Europe 1 ce jeudi matin. Au micro de Sonia Mabrouk, il est revenu sur l'échec d'Eric Zemmour lors de la campagne présidentielle. Mais il l'assure : "Eric Zemmour avait raison avant tout le monde".
Ecoutez Le débrief des auditeurs ont la parole avec Laurent Tessier du 26 septembre 2022 / L'union des droites possible en France ? / Emmanuel vous recommande un hôtel à Milan / Pascal Praud, guide touristique pour Mr Boobook / Jean-Alphonse Richard, fan du Cluedo
Ecoutez Les auditeurs ont la parole avec Pascal Praud du 26 septembre 2022 / "L'union des droites" est-elle possible en France ?
Nicolas Sarkozy a reçu Eric Zemmour dans ses bureaux parisiens. L'ex-candidat Reconquête à l'élection présidentielle est très discret depuis ses multiples revers aux élections. À tel point que l'on se demande si Eric Zemmour a encore un avenir politique. Pourquoi l'ancien président de la République a reçu Eric Zemmour ? Invité de RTL ce jeudi 8 septembre, Jules Torrès, journaliste politique à Valeurs Actuelles et auteur de Zemmour, dans le secret de sa campagne, il existe "plusieurs thèses". "Il y a la thèse de Nicolas Sarkozy qui cherche à se redroitiser après une présidentielle où il a fait quelques appels du pied à Emmanuel Macron", a-t-il expliqué.
On commence avec le projet de réforme de l'assurance chômage sur la table du Conseil des ministres ce mercredi. L'Etat souhaite changer les règles d'indemnisation pour les rendre "plus strictes quand trop d'emplois sont non pourvus… »
Nicolas Sarkozy a reçu Eric Zemmour dans ses bureaux parisiens. L'ex-candidat Reconquête à l'élection présidentielle est très discret depuis ses multiples revers aux élections. À tel point que l'on se demande si Eric Zemmour a encore un avenir politique. Pourquoi l'ancien président de la République a reçu Eric Zemmour ? Invité de RTL ce jeudi 8 septembre, Jules Torrès, journaliste politique à Valeurs Actuelles et auteur de Zemmour, dans le secret de sa campagne, il existe "plusieurs thèses". "Il y a la thèse de Nicolas Sarkozy qui cherche à se redroitiser après une présidentielle où il a fait quelques appels du pied à Emmanuel Macron", a-t-il expliqué.
Chaque jour, Arnaud Demanche vous dévoile trois histoires insolites de l'actualité, dans Apolline Matin, sur RMC. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h30-8h30), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Chaque jour à 7h25 sur RMC, Hélène Terzian décrypte les indiscrets politiques du jour aux côtés d'Apolline Malherbe. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. Chaque matin dès 6h, écoutez un show radio/télé unique en France. Pendant trois heures, l'équipe de RMC s'applique à partager l'actualité au plus près du quotidien des Français. Un rendez-vous exceptionnel mêlant infos en direct, débats autour de l'actualité, réactions et intervention d'experts. En simultané de 6h à 8h30 sur RMC Story. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h).
durée : 00:03:02 - Le brief politique - Discret depuis son échec aux législatives, Eric Zemmour prépare sa rentrée. Dans une semaine, il interviendra lors de l'université d'été de son parti Reconquête. Mais en coulisses, l'ancien candidat à la présidentielle peaufine surtout son retour sur le devant de la scène.
REDIFF. Le 26 avril, celle qui a soutenu Eric Zemmour pendant la présidentielle était l'invitée de RTL. Et elle est restée en studio pour la chronique de Phillipe Caverivière.
REDIFF. Le 26 avril, celle qui a soutenu Eric Zemmour pendant la présidentielle était l'invitée de RTL. Et elle est restée en studio pour la chronique de Phillipe Caverivière.
L'ancien polémiste, candidat à l'élection présidentielle de 2022, était l'invité de RTL le 28 février. Et il est resté pour la chronique de Philippe Caverivière.
L'ancien polémiste, candidat à l'élection présidentielle de 2022, était l'invité de RTL le 28 février. Et il est resté pour la chronique de Philippe Caverivière.
Toute la semaine, Philippe Caverivière s'est amusé du premier tour des élections législatives. De Jean-Luc Mélenchon à Eric Zemmour, tout le monde en a pris pour son grade.
Gilbert Collard, député européen et président d'honneur de Reconquête !, est l'invité de Livre Noir en exclusivité et en direct pour commenter les résultats du premier tour des élections législatives et notamment la défaite d'Eric Zemmour. Soutenez-nous !
MACRON / MÉLENCHON : TOUT EST POSSIBLE ? – 13/06/22 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » MATHILDE SIRAUD Journaliste politique – « Le Point » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Pari réussi pour Jean-Luc Mélenchon. La percée de la gauche rassemblée derrière lui sous la bannière de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (Nupes) a bien eu lieu hier soir lors du premier tour des élections législatives. Ce tour de force s'est produit en dépit d'une très forte abstention, souvent préjudiciable à la gauche. 52,49 % des électeurs ne se sont en effet pas déplacés, dépassant ainsi les 51,3% du premier tour de 2017. Un nouveau record. La coalition de gauche fait jeu égal avec Ensemble !, le bloc de la majorité, d'après les résultats définitifs du ministère de l'Intérieur. La majorité dispose d'une très courte avance avec 25,75 % des voix contre 25,66 % des suffrages à la Nupes. Les deux ensembles politiques ne sont séparés que par 21 441 voix. Les deux blocs seront opposés dans 272 duels au second tour ainsi que dans cinq des huit triangulaires. En dépit de la très forte poussée de la gauche, les premières projections en termes de sièges à l'Assemblée, à prendre avec précaution, laissent entrevoir la victoire de Ensemble !. L'alliance de la Nupes pourrait en effet obtenir entre 150 et 190 sièges. Quant à celle d'Ensemble !, elle est créditée, selon les premières tendances de l'institut de sondage Ipsos-Sopra Steria, de 255 à 295 sièges. La majorité absolue ne lui est donc pas assurée. Le RN de Marine Le Pen réalise lui un très bon résultat, cumulant 18,7% des voix et lui permettant d'espérer obtenir dans une semaine un groupe de plusieurs dizaines de parlementaires, peut-être même le plus important jamais obtenu par le parti. Les Républicains font, avec 10,4 % des suffrages exprimés, meilleure figure qu'à la présidentielle. Ils bénéficient de l'ancrage local de nombreux candidats, mais enregistrent malgré cela un net recul par rapport à 2017. Le groupe qu'ils devraient obtenir à l'Assemblée, de 50 à 80 élus, pourrait toutefois constituer une force d'appoint non négligeable pour le camp présidentiel afin d'obtenir la majorité absolue. Au sein de cette majorité présidentielle, 15 ministres sont candidats à la députation. Et ce n'est rien de moins que leur avenir qui se joue. Car conformément à la consigne édictée par l'Élysée, tous les ministres candidats qui seraient battus aux élections législatives devront démissionner du gouvernement. A l'issue du premier tour, tous sont qualifiés. Gérald Darmanin est arrivé largement en tête dans la 10ème circonscription du Nord avec 39,11%. Le ministre de l'Intérieur, implanté à Tourcoing, commune dont il a longtemps été maire envisage le second tour avec sérénité. Même constat pour Damien Abad. En dépit des polémiques qui l'ont vu être accusé d'agressions sexuelles dans les jours qui ont suivi sa nomination au gouvernement, l'ancien patron des députés LR, aujourd'hui ministre des Solidarités, sera présent au second tour dans la 5ème circonscription de l'Ain. Pour d'autres, l'affaire est plus compliquée. Avec 35,81% des voix dans la 7ème circonscription de Paris, Clément Beaune est en ballottage défavorable. Le ministre délégué à l'Europe affrontera au second tour Caroline Mecary, de la Nupes, qui l'a devancé avec 40,43%. Dans la 6ème circonscription de l'Essonne, Amélie de Montchalin est également en mauvaise posture pour le second tour. Avec 31,46%, la ministre de la Planification écologique est distancée par son adversaire Nupes, Jérôme Guedj, qui obtient 38,31% des voix. Des symboles de la macronie sont eux d'ores et déjà éliminés. C'est le cas de l'ex-ministre du Logement Emmanuelle Wargon dans le Val-de-Marne ou encore de l'ancien patron de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer dans le Loiret. A l'extrême-droite, c'est la douche froide pour Eric Zemmour et Reconquête !. Le candidat ne passe pas la barre du premier tour dans la 4ème circonscription du Var. S'il a réuni 23,19 % des voix, ce sont les candidats de la majorité présidentielle et du RN qui se qualifient. Un nouvel échec politique. Guillaume Peltier, vice-président du parti, et député sortant de la 2ème circonscription du Loir-et-Cher, est également éliminé dès le premier tour avec 13,99 % des voix. Tout comme Stanislas Rigault, le président de Génération Zemmour et candidat dans la 2ème circonscription du Vaucluse, qui atteint tout juste 10,54 % des voix. Ensemble ! aura-t-elle une majorité absolue ? Jean-Luc Mélenchon peut-il encore espérer devenir Premier ministre ? Combien de ministres sont menacés de défaite au second tour ? Est-ce la fin de la carrière politique d'Eric Zemmour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Jules Torres est le grand invité de Livre Noir jeudi 2 juin à 20h pour décrypter avec les nous les coulisses de la campagne présidentielle d' Eric Zemmour et présenter son dernier ouvrage « Zemmour, dans les secrets de sa campagne » ! Il a tout vu et tout entendu dans l'équipe d'Eric Zemmour, et vient en parler chez Livre Noir en exclusivité. Soutenez-nous !
La nouvelle émission de Livre Noir qui va décrypter l'actualité avec un invité exceptionnel ! Ce soir pour la première édition on reçoit Laurent Obertone. Au programme l'élection présidentielle Française, le cas Eric Zemmour, le Burkini à Grenoble, l'insécurité, le rachat de Twitter par Elon Musk, le bras de fer Ron De Santis Vs Disney et l'attentat de Buffalo. Soutenez-nous !
C'est la surprise du gouvernement Elisabeth Borne. L'historien Pap Ndiaye, nommé ministre de l'Education nationale le 20 mai dernier, est décrit comme un « anti-Blanquer », du nom de son prédécesseur à ce ministère. Chercheur et maître de conférence spécialiste des questions raciales, il prend position, tout au long de sa carrière, tantôt sur l'utilisation du mot “race”, tantôt sur la notion d'islamo-gauchisme.C'est sur la base de ses travaux que ses détracteurs s'empressent de dénoncer sa nomination. Quand Marine Le Pen accuse le directeur général du musée de l'Histoire de l'immigration “d'indigénisme, de racialisme et de wokisme”, Eric Zemmour le soupçonne de “vouloir déconstruire l'Histoire de France”. Les syndicats enseignants, eux, doutent de sa capacité à gérer un aussi gros ministère avec aussi peu d'expérience politique. Pourquoi cette nomination a-t-elle suscité des réactions aussi vives ? Code source retrace le parcours de Pap Ndiaye avec trois journalistes du Parisien : Gwenaël Bourdon du service enquête Ile-de-France, Thomas Poupeau du service société, et Rosalie Lucas, cheffe-adjointe du service politique. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Ines Chaieb et Sarah Hamny - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musique François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : INA, BFM TV, LCI, France Inter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
STADE DE FRANCE : UN FIASCO ET DES ACCUSATIONS – 30/05/22 Invités ALAIN BAUER Professeur au CNAM Responsable du pôle sécurité, défense et renseignement YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction « Le Figaro » EVE ROGER Directrice adjointe de la rédaction « Le Parisien - Aujourd'hui en France» NEILA LATROUS Journaliste politique « France Info » Une finale marquée par les lacrymogènes. Et des supporters, places en main, qui ratent le match. L'organisation chaotique de la finale de la Ligue des Champions samedi dernier à Paris interroge sur la capacité d'organiser des événements sportifs de grande ampleur en France. Si le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin rejette la faute sur un trafic britannique de faux billets, l'Hexagone est pointé du doigt, avec son stade de France rebaptisé « stade de Farce » outre-manche. L'incident diplomatique n'est pas loin. À un an de la Coupe du monde du rugby, et à deux des Jeux Olympiques, l'image du pays est sérieusement écornée. L'opposition politique tire à boulets rouges depuis le fiasco de samedi soir. Eric Zemmour accuse Gérald Darmanin de « mettre la poussière sous le tapis » en évoquant les « racailles qui font la loi », qu'il qualifie de « banlieusards, pillards et voleurs ». Même vocabulaire du côté de Marine Le Pen qui pointe du doigt « l'incapacité de Gérald Darmanin à maintenir l'ordre face à la racaille ». Mélenchon enfin, dénonce de son côté « l'échec complet de la stratégie policière » du gouvernement. Le sulfureux préfet de police Didier Lallement, qui a saisi la justice pour « fraude massive aux faux billets », se retrouve donc à nouveau au centre d'une polémique. Décrié pour ses méthodes autoritaires de maintien de l'ordre, il est une figure controversée, régulièrement pointée du doigt, depuis sa prise de fonction il y a trois ans, en pleine crise des Gilets Jaunes. Nouvelle polémique donc, qui occulte encore un peu plus la campagne pour les législatives. Alors que celle-ci commence officiellement aujourd'hui, le débat peine à s'installer durablement dans les médias. La Première ministre peine quant à elle à impulser une dynamique autour de la majorité. L'opposition, quant à elle, est principalement incarnée par la Nupes de Jean-Luc Mélenchon depuis la présidentielle. L'union de la gauche fait sévèrement de l'ombre à Marine Le Pen, très discrète depuis sa défaite, comme aux autres formations politiques. Alors, les débordements au Stade de France sont-il symptomatiques d'un maintien de l'ordre défaillant? Didier Lallement peut-il tenir face aux polémiques à répétition ? Quelle campagne à venir pour les législatives ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Sebastian Budgen returns to PTO to discuss the upcoming French legislative elections and the prospects for the new left popular union coalition, led by Jean-Luc Mélenchon and La France Insoumise. We talked about the prospects for the popular union and whether Mélenchon becoming Prime Minister is a realistic prospect. We also talked about the creation of the new coalition which includes the french socialists and the greens, hitherto fierce critics of Mélenchon. Finally, we discussed why Marine Le Pen's National Rally and Eric Zemmour's Reconquête party have failed to make an electoral pact - and why this is likely to lead to a poor electoral result for the far right. Become a £5 support of PTO to get access to this and all other episodes of PTO Extra: https://www.patreon.com/poltheoryother
Philippe Caverivière a demandé à Éric Zemmour, candidat aux législatives dans le Var, d'attendre un peu avant de proposer la canonisation de Philippe Pétain. "C'est pas parce que vous venez d'être relaxé qu'il faut faire le malin". Retrouvez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 17 mai 2022
Après avoir critiqué Marine Le Pen, Eric Zemmour s'est mis à dos le Rassemblement National qui lui refuse toute alliance pour l'élection législative. Philippe de Villiers, l'un des plus grands soutien d'Eric Zemmour, se sent attaqué de toute part !
Législatives : l'heure des grandes manœuvres LES INVITÉ.ES : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - JEAN VIARD - Sociologue - Directeur de recherche associé à Sciences-Po - SOPHIE DE RAVINEL - Grand reporter politique - « Le Figaro » - NATHALIE SEGAUNES - Journaliste politique - « l'Opinion » Les grandes manœuvres ont débuté. L'élection présidentielle ayant rendu son verdict, ce sont désormais les législatives qui sont au centre des attentions. A gauche, les plaques tectoniques sont en train de bouger. Après des années d'échec des multiples tentatives d'union, 2022 pourrait être la bonne. Jean-Luc Mélenchon, candidat LFI et troisième homme de la présidentielle, rêve à voix haute de réussir ce tour de force, alors que les discussions sont en cours avec ses partenaires. Après plusieurs jours de tractation, le Parti socialiste annonçait hier matin dans un communiqué avoir trouvé un accord sur de nombreuses questions épineuses avec les Insoumis. Mais le midi, il décidait de suspendre les négociations. Simple retardement de la signature d'un accord ou volte-face ? Car chez certains socialistes, la pilule avait du mal à passer en interne. Jeudi, François Hollande était persuadé qu'un accord ne serait pas accepté car, s'il le signe « le Parti socialiste aura décidé de disparaître ». Un avis partagé par de nombreux éléphants, et élus locaux de grandes métropoles, qui s'en sont ouverts dans la presse. Julien Dray, ancien député du PS, évoquant par exemple une « capitulation politique en rase campagne ». Les tractations ont également cours avec EELV et le PCF, sans qu'un accord ne soit pour l'heure annoncé. Dans une interview au Journal du dimanche, Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France insoumise, a lui appelé les autres formations de gauche à sortir de « la culture permanente de la défaite » pour trouver un accord en prévision des élections législatives. Il regrette que les partis de gauche avec lesquels des négociations sont engagées « se laissent absorber par leurs enjeux internes ». De l'autre côté de l'échiquier politique, Les Républicains risquent l'implosion. Le parti, déjà ébranlé il y a cinq ans par la non-qualification de François Fillon au second tour de la présidentielle est aujourd'hui très affaibli après le score catastrophique de Valérie Pécresse. Des cadres, dont Damien Abad, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, sont tentés par un rapprochement avec LREM. D'autres, comme l'ancien ministre de sarkozyste Eric Woerth, n'ont même pas attendu la réélection du président pour le rallier. Les électeurs de droite, eux, assument totalement leur vote Macron. A l'extrême-droite, l'entente semble impossible entre le nouveau venu Reconquête ! et le très installé Rassemblement National. Le premier sort abimé du scrutin présidentiel après n'avoir récolté qu'à peine plus de 7% des suffrages au premier tour. Le Parti de Marine Le Pen, malgré sa défaite, a obtenu un résultat historiquement élevé. En position de force, il choisit pour l'heure d'ignorer la main tendue par Eric Zemmour. Ce dernier, comme Marion Maréchal, ne sera pas candidat aux législatives et craint qu'une victoire soit impossible en cas de désunion. Entre divergences stratégiques et haine personnelle, le torchon brûle donc entre les deux formations et à quelques exceptions près, aucun accord n'aura lieu. Le bloc nationaliste s'avance donc divisé vers le scrutin à venir. Jean-Luc Mélenchon peut-il parvenir à faire l'union de la gauche ? Les Républicains parviendront-ils à éviter l'explosion ? Que peut espérer le bloc national divisé pour le scrutin législatif ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Curt is joined by Luke Nicastro, TAC contributing writer and fellow at Defense Priorities, to discuss the French election: what happened to Eric Zemmour, how Emmanuel Macron has been an unlikely nationalist, and how he might go down in defeat to Marine Le Pen anyways.
This week the first round of the presidential election in France has shone a spotlight on the tectonic shifts taking place in the nation's politics. President Emmanuel Macron, who shocked the world five years ago by winning the presidency as an outsider, has firmly established his party as the only centrist force - peeling off support from the traditional left and right. His main challenger, Marine Le Pen of National Rally, has proved the enduring appeal of the far-right by once again receiving the second highest number of votes. They will face each other in a run-off on 24th April. Analysts believe Ms Le Pen would have performed even better had she not faced stiff competition from another far-right figure, former TV personality Eric Zemmour. So what's behind the popularity of right-wing politics in France? Are policies that used to be confined to the more extreme ends of the political spectrum now becoming commonplace? And what might a far-right president mean for France's place in Europe and the world? Ritula Shah is joined by a panel of experts. Producers: Junaid Ahmed and Paul Schuster.
Sebastian Budgen returns to PTO to talk about the first round of the French presidential election, and the prospects for the second round vote later this month. We discussed what Marine Le Pen may have learned from her heavy defeat in 2017, how Eric Zemmour's far-right candidacy affected the campaign and why the left can take some heart from the impressive result for Jean-Luc Melenchon - that came close to pushing Le Pen and the national rally into third place.
On this episode, Nathan Pinkoski joins Mark Bauerlein to discuss Eric Zemmour and his recent First Things article, "The Most Controversial Man in France."
Nathan Pinkoski joins Mark Bauerlein to discuss Eric Zemmour and his recent First Things article, “The Most Controversial Man in France.”
No hubo sorpresas en la primera vuelta de las elecciones presidenciales francesas celebradas ayer. Pasarán a la segunda vuelta Emmanuel Macron y Marine Le Pen que ya se vieron las caras en 2017. En aquella ocasión menos de tres puntos les separaban en la primera vuelta, pero el casi empate se deshizo en la segunda. Le Pen no pudo ir más allá de un tercio de los votos mientras que Macron se hizo con el 66%. Esta vez podría suceder algo similar, pero se ha producido algún que otro cambio en el mapa político francés. Hace cinco años las elecciones se interpretaron como un vuelco electoral. Pusieron al frente de la presidencia a un recién llegado que había montado un partido de forma un tanto improvisada con sólo unos meses de antelación. Macron, antiguo militante socialista y ministro de François Hollande, es ya un candidato maduro que ha tenido un mandato muy agitado. Ha tenido que atender muchos problemas internos, la pandemia y, a modo de traca de fin de fiesta, la guerra en Ucrania. En el otro extremo Marine Le Pen ha tomado fuerzas y ha redefinido su programa culminando con la denominada “desdiabolización” del antiguo Frente Nacional. Entre medias se han quedado el resto de los candidatos, algunos prácticamente desapareciendo del mapa como Anne Hidalgo, alcaldesa de París y candidata del PSF a la presidencia. Hidalgo se ha dado un batacazo histórico que compromete la existencia misma de su partido. Los Republicanos de Valérie Pécresse han corrido una suerte parecida. La sucesora de François Fillón, que en 2017 firmó un meritorio tercer puesto, se han desplomado por debajo de La Francia Insumisa de Jean-Luc Mélenchon y la Reconquista de Eric Zemmour. Nada queda del bipartidismo que dio forma a la quinta república francesa. En su lugar lo que tenemos es un centro al que han acudido antiguos votantes socialistas y republicanos y dos extremos bien definidos. En la izquierda Mélenchon y un abanico de partidos que no han sido capaces de llegar a un acuerdo de coalición. En la derecha Le Pen y Zemmour que, entre ambos, suman en torno al 30% de los votos. Ese es el nuevo eje de la política francesa. Macron en el centro y a ambos lados dos mayorías que empujan en direcciones opuestas. Para analizar esta jornada electoral en Francia, que ha venido precedida por una campaña que no ha despertado mucho interés internacional a causa de la invasión de Ucrania, tenemos hoy en La ContraCrónica a Alberto Garín, todo un entendido de la política francesa que nos ayudará a desvelar las claves de esta primera vuelta. Estamos, eso sí, a medio partido. El próximo día 24 de abril se celebrará la segunda vuelta y de esa saldrá el próximo presidente de la República Francesa. >>> “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
After Russia invaded Ukraine, Western businesses pulled out and governments imposed punishing sanctions. But Russia's economy is proving surprisingly resilient. In the instalment of our French election series, we travel to Provence to better understand the campaign of the hard-right candidate Eric Zemmour, who has tapped into and stoked anti-Muslim sentiment. And why Lebanon's plastic surgeons are thriving amid an economic mess.For full access to print, digital and audio editions of The Economist, subscribe here www.economist.com/intelligenceoffer See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
After Russia invaded Ukraine, Western businesses pulled out and governments imposed punishing sanctions. But Russia's economy is proving surprisingly resilient. In the instalment of our French election series, we travel to Provence to better understand the campaign of the hard-right candidate Eric Zemmour, who has tapped into and stoked anti-Muslim sentiment. And why Lebanon's plastic surgeons are thriving amid an economic mess.For full access to print, digital and audio editions of The Economist, subscribe here www.economist.com/intelligenceoffer See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
All eyes are on the coming French elections as the world watches the first political choice to vote out those who forced lockdowns, mandates and purposely made life miserable for much of their population. Opposing French PM Macron who's trying for his 2nd term is Marine Le Pen and Eric Zemmour, both siding with the unemployed healthcare workers' plight due to vaccine refusal.#EricZemmour #MarineLePen #ChristineAnderson
In this episode, Dinesh evaluates Ketanji Brown Jackson not as a justice but rather as a performer, and grades how she is doing before her audience, the Senate. Danielle D'Souza Gill joins her dad to talk about Jackson's mentor, the legal activist Derrick Bell. Dinesh examines the strange appeal of "the most controversial figure in France," Eric Zemmour. Dinesh looks at how the cancellation of all things Russian now extends to his own favorite hobby, chess. Dinesh concludes his analysis of Guido da Montefeltro in Dante's circle of fraud. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Hugo Micheron est enseignant chercheur à l'université de Princeton aux Etats-Unis et à Science Po, il est l'auteur du Jihadisme français et désormais d'un petit Tract de 60 pages chez Gallimard pour mieux comprendre l'histoire du jihadisme en Europe, les idées reçues mais aussi la réalité de cet extrémisme. Alors que le procès pour les attentats du Bataclan se prolonge mais qu'en même temps tous les regards sont tournés vers l'Ukraine, on en oublierait presque que ce mouvement grandit dans l'ombre mais grandit sérieusement. En effet, c'est important, comme va nous l'expliquer Hugo, que le jihadisme, ce ne sont pas seulement des attentats meurtriers, c'est aussi et surtout une idéologie très forte. Et cela se déconstruit. Nous passons pas mal de temps à déconstruire tous les clichés autour du Jihadisme sur lesquels surfent les partis d'extrême droite: le grand remplacement, le voile, les musulmans, les migrants...non tout cela n'a rien à voir. Le problème est endogène et très localisé. D'un autre coté, la stratégie de certaines personnes à gauche qui ont peur d'être taxé de racisme en abordant le sujet sont tout autant un problème car ils ignorent le débat. Pourtant cette discussion doit avoir lieu de manière sérieuse. Comme le propose Hugo, il faut poser intelligemment les termes du débat. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #211 Dépasser les idées reçues sur le Jihadisme en Europe avec Hugo Micheron (https://audmns.com/hFgjDJB) #207 Comprendre la tension autour de la laïcité avec Patrick Weil (https://audmns.com/oavleuD) #209 Le racisme en France et la gestion de la haine avec Rokhaya Diallo (https://audmns.com/DQlYUZg)
Fareed talks with the President's national security adviser Jake Sullivan about the pace of progress on climate change, concerns over China's military build-up, and the tragic end of America's longest war. French right-wing TV star Eric Zemmour has been called France's Donald Trump, and there's growing excitement for him to run for President. Bernard-Henri Levy Joins to discuss the factors behind the rise in his popularity. To learn more about how CNN protects listener privacy, visit cnn.com/privacy