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durée : 00:23:01 - 8h30 franceinfo - La députée européenne Renew était l'invitée du "8h30 franceinfo", samedi 10 mai 2025.
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durée : 00:10:57 - L'invité franceinfo soir - Valérie Hayer, eurodéputée et présidente du groupe Renew Europe au Parlement européen, était l'invitée politique de franceinfo soir, mercredi 30 avril 2025.
durée : 00:12:02 - L'invité franceinfo soir - Le président américain a annoncé mercredi imposer des droits de douane à de nombreux pays dans le monde, et notamment à ceux de l'Union européenne.
durée : 00:25:35 - 8h30 franceinfo - Valérie Hayer, députée européenne, présidente du groupe Renew au Parlement européen, était l'invitée du "8h30 franceinfo".
En direct sur France 5, après l'allocution d'Emmanuel MACRON, qui a revêtu ce soir ses habits de chef de guerre… Jamais le président n'avait été aussi clair sur la menace russe, une menace pour la France, l'entrée dans une nouvelle ère” qui entraîne “des changements irréversibles”... Alors cette prise de parole aura-t-elle permis à la fois de rassurer des Français de plus en plus angoissés et de clarifier ce qui devait l'être ? A quoi vont ressembler concrètement ces changements irréversibles dont parle le président ? On en parle avec nos invités… ▶︎ Olivier WIEVIORKA, Historien, professeur à l'École normale supérieure de Paris-Saclay, directeur de l'ouvrage « Les maîtres de la stratégie » aux éditions du Seuil (07.02.25) ▶︎ Sylvie CHOKRON, Neuropsychologue, directrice de recherches au CNRS, enseignante, fondatrice et responsable scientifique de l'association « Les Yeux dans la Tête », autrice de «Dans le cerveau de… » aux éditions Les Presses de la Cité ▶︎ Valérie HAYER, députée européenne, présidente du groupe Renew au Parlement européen ▶︎ Thomas WIEDER, Rédacteur en chef adjoint du service international au Monde, ancien correspondant en Allemagne pour Le Monde ▶︎ Stéphane AUDOUIN-ROUZEAU, Historien, directeur d'études à l'EHESS, spécialiste de la Grande Guerre ▶︎ Gilles MENTRÉ, Haut Fonctionnaire, ancien conseiller à la présidence de la République (Sarkozy)
Dans ce nouvel épisode, Dimitri Vernet revient sur les principaux événements qui ont marqué l'actualité internationale cette semaine. Il analyse les déclarations du président français Emmanuel Macron concernant les accords avec l'Algérie, les tensions entre l'Ukraine et la Russie, ainsi que les désaccords entre les États-Unis et leurs alliés européens. Avec son regard avisé, Dimitri Vernet offre un décryptage essentiel pour comprendre les enjeux géopolitiques qui façonnent le paysage mondial.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C Politique du dimanche 2 mars 2025. Débat : Sommes-nous désormais seuls face à Poutine ? avec - Veronika DORMAN, Journaliste à Libération- Frédéric CHARILLON, Politologue, Auteur de "Géopolitique de l'intimidation : Seuls face à la guerre ?"- Antoine VITKINE, Journaliste et réalisateur de "Opération Trump : Les espions russes à la conquête de l'Amérique"- Stéphane AUDOIN ROUZEAU, Historien, directeur d'études à l'EHESS, spécialiste de la Grande Guerre-Valérie HAYER, Eurodéputée, Présidente de RenewEurope- Véronique NAHOUM-GRAPPE, Anthropologue
durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 - Au lendemain de la vive altercation entre les présidents américain et ukrainien, Valérie Hayer, députée européenne et présidente du groupe Renew au Parlement européen, estime ce samedi sur France Inter qu'il y a "un renversement d'alliance aux États-Unis".
durée : 02:59:19 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - .Aujourd'hui dans le 6/9, nous vous invitons à un entretien exceptionnel avec Oleksandra Matviïtchouk, avocate et militante ukrainienne, et prix Nobel de la paix en 2022. Et à 8h20, notre invitée est Valérie Hayer, députée européenne, et présidente du groupe Renew au Parlement européen. - réalisé par : Marie MéRIER
C dans l'air du 27 février 2025 - Et maintenant... Trump insulte l'EuropeDonald Trump poursuit ses menaces contre l'Europe. Après le Canada et le Mexique, le président américain a annoncé que les produits européens feront également l'objet "prochainement" de 25 % de droits de douane. Selon l'ancien animateur de téléréalité, volontiers provocateur, l'Union Européenne a "été conçue pour entuber les États-Unis". Bruxelles a vite réagi promettant de répliquer "fermement" et "immédiatement". "Les États-Unis aujourd'hui ne sont plus nos alliés", a affirmé la députée européenne Valérie Hayer, présidente de Renew Europe et secrétaire générale déléguée de Renaissance. "Ils ne sont pas nos adversaires, j'espère qu'ils ne le deviendront pas", a-t-elle ajouté avant d'appeler "à réagir" et à "sortir de notre dépendance notamment vis-à-vis des États-Unis".Alors les États-Unis sont-ils toujours nos alliés ? Nous défendront-ils demain ? L'Amérique est-elle devenue un adversaire ? Ces questions hantent les dirigeants européens depuis que Donald Trump a annoncé vouloir entamer des négociations sur la guerre en Ukraine avec Moscou, et seulement Moscou. Elles se posent avec plus d'urgence encore depuis que les États-Unis ont voté une résolution sur l'Ukraine au côté de la Russie et de ses alliés comme la Corée du nord, contre les pays de l'Union européenne. Le président américain épouse désormais la rhétorique du Kremlin sur l'origine du conflit, et sur l'illégitimité du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, quand J. D. Vance et Elon Musk apportent leur soutien à l'extrême droite européenne.Lors de la grande conférence internationale consacrée aux questions de sécurité, à Munich, le vice-président des États-Unis était venu déclarer son soutien au parti d'extrême droite allemand AfD, en pleine campagne des élections législatives allemandes, et a attaqué avec véhémence les démocraties libérales de l'UE, affirmant – sans hésiter à recourir à moult exagérations et fake news – que le vrai danger pour l'Europe ne vient pas de la Russie, mais bien de l'intérieur, sécrété par des ennemis qui poussent les Européens à "oublier leurs valeurs démocratiques communes avec les États-Unis". De son côté, le patron de X, Tesla et SpaceX a multiplié pendant la campagne les appels à voter pour le parti d'Alice Weidel, à base de messages sur son réseau social, de tribunes dans la presse et de déclarations polémiques. Dans ses interventions, le conseiller spécial du président américain Donald Trump, n'a pas hésité à utiliser l'insulte et la désinformation pour soutenir l'AfD. Finalement, le principal parti d'extrême droite outre-Rhin a réalisé une percée historique lors des élections fédérales anticipées, recueillant 20,8 % des suffrages, dans un pays où la libération des paroles et des actes relevant du néonazisme inquiète. Les équipes de #cdanslair sont allées à la rencontre d'un professeur harcelé et agressé, pour avoir tenté de dénoncer les agissements – documentés – de certains de ses élèves.En France, également, l'inquiétude est là après plusieurs agressions en quelques jours. Ainsi le 22 février dernier Anton Burel, élu de la commune de Cintré, à l'ouest de Rennes, a été passé à tabac à la sortie d'un bar de sa ville. Il s'était interposé face à cinq hommes qui entonnaient des chants racistes et faisaient un salut nazi. Quelques jours plus tôt à Paris, six militants d'extrême droite ont été mis en examen après l'attaque contre une conférence antifasciste dans le Xème arrondissement. Une vingtaine d'individus, cagoulés et armés de tessons de bouteille, criant "Paris est nazi" avaient roué de coups deux personnes dont un membre de la CGT qui avait également reçu des coups de couteau. À Angers, trois hommes ont été interpellés ces derniers jours. Ils sont soupçonnés d'avoir tabassé, fin janvier, quatre étudiants. Ceux-ci ont été frappés après avoir refusé d'effectuer des saluts nazis.Parallèlement aux États-Unis, Donald Trump a partagé sur Truth Social, son réseau attitré, une vidéo, générée par IA, qui semble mettre en images le plan présenté début février par le président américain qui passerait par une prise de contrôle par les États-Unis de la bande de Gaza, dévastée par plus de 15 mois de guerre entre Israël et le Hamas, et par le déplacement de ses 2,4 millions d'habitants. Statue du président américain en or, Elon Musk dégustant du humus, Donald Trump et Benyamin Netanyahou, en maillot de bains, allongés sur un transat à la plage, un cocktail à la main, profitant de Gaza Beach, devant la Trump tower Gaza… Les images qui ne s'accompagnent d'aucun commentaire ont fait le tour du monde. Si des internautes se sont interrogés sur un possible piratage des comptes du président américain, elle n'a fait l'objet jusqu'ici d'aucun démenti.Les experts :- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter , chroniqueuse - L'Express - Corentin SELLIN - Historien spécialiste des États-Unis, chroniqueur - Les Jours - Frédéric CHARILLON - Professeur de relations internationales– Université Paris Cité et Essec, auteur de Géopolitique de l'intimidation - Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
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Lesart - das Literaturmagazin (ganze Sendung) - Deutschlandfunk Kultur
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Willkommen zu einer neuen Folge von Buchplausch! Heute haben wir einen besonders vielseitigen Gast bei uns: Privatdozent Dr. Björn Heyer. Mit ihm tauchen wir besonders tief in die Literaturwelt ein, da er nicht nur Autor und Literaturkritiker, sondern auch Literaturdozent ist. Ein Gespräch über seinen neuesten Roman "Winklers letzter Feldzug", Tierschutz, radikale Veränderungen und die Herausforderungen des Literaturbetriebs in der digitalen Welt. Es gilt also wie immer: Unbedingt reinhören!
durée : 01:09:33 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Il n'était pas encore investi que déjà, Donald Trump était au centre de l'actualité et au cœur des décisions ces derniers mois. Aujourd'hui, il prête serment sur la Bible et officialise ainsi le début de son second mandat. Un jour dans le monde analyse son discours d'investiture. - invités : Yascha Mounk, Faustine CALMEL, Franck MATHEVON, Valérie Hayer, Sébastien Paour - Yascha Mounk : Politologue allemand naturalisé américain, Faustine Calmel : Journaliste, Franck Mathevon : Directeur de la Rédaction internationale de Radio France, Valérie Hayer : Femme politique française, députée européenne depuis 2019, Sébastien Paour : Journaliste, correspondant de Radio France aux États-Unis - réalisé par : Thomas Lenglain
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Monday’s edition of “Closer Look” was a special program focusing on the life and legacy of President Jimmy Carter. The 39th president of the United States died Sunday at his home in Plains, Georgia. He was 100 years old. Carter, a lifelong Democrat served as a naval officer, a Georgia state senator and Georgia's 76th governor from 1971 to 1975. He served as president of the U.S. from 1977 to 1981. Carter was best known for his post-presidential diplomacy. The 2002 Nobel Peace Prize recipient was a champion for human rights, peace and democracy. Beyond his global political achievements, he was a humanitarian, a peanut farmer and a Sunday School teacher. Carter will be laid to rest beside his late wife, Rosalynn Carter. The two were married for 77 years. Show host Rose Scott is joined by veteran politics journalist Denis O’Hayer. They talk with several guests about President Carter’s life of service and his global impact. Guests include: WABE politics reporter Sam Gringlas DeKalb County CEO Michael Thurmond Stacey Abrams, a politician, author and Howard University’s inaugural Ronald W. Walters Endowed Chair for Race and Black Politics GSU politics and policy professor Tammy Greer Valerie Jackson, a former radio host, author and the former first lady of AtlantaSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:10:27 - L'invité de 7h50 du week-end - L'eurodéputée Renew Valérie Hayer est l'invitée de 7h50. Elle y aborde les questions, entre autres, de la guerre en Ukraine, de l'accord Mercosur et du mandat d'arrêt de la CPI contre Benyamin Netanyahu et Yoav Gallant.
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durée : 00:23:55 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputée et présidente du groupe Renew au Parlement européen était l'invitée du "8h30 franceinfo", lundi 11 novembre 2024.
durée : 00:42:24 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - La députée européenne Valérie Hayer, tête de liste macroniste aux élections européennes de 2024 est l'invitée de Sens politique, en direct, pour revenir sur son parcours politique, la campagne européenne ou encore les conséquences de la réélection de Donald Trump pour l'Europe. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Valérie Hayer Femme politique française, députée européenne depuis 2019
durée : 00:42:24 - Sens politique - par : Astrid de Villaines - La députée européenne Valérie Hayer, tête de liste macroniste aux élections européennes de 2024 est l'invitée de Sens politique, en direct, pour revenir sur son parcours politique, la campagne européenne ou encore les conséquences de la réélection de Donald Trump pour l'Europe. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Valérie Hayer Femme politique française, députée européenne depuis 2019
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Orbán Viktort szerdán összeszidták. Adósa kritikusainak ő sem maradt, de magasról kapott ki, hiszen Manfred Weber mellett Ursula von der Leyen is perceken keresztül őt ostorozta. A miniszterelnök és kormánya strasbourgi tudósítónk szerint átlépett egy olyan vörös vonalat, amit már az EU nem hagyhatott szó nélkül, ezért hányták a szemére órákon keresztül a kínai és az orosz kapcsolatokat, a korrupciót, sőt, még a kivándorlást is. Mindez pedig meglephette a miniszterelnököt, akinek válaszai egy ponton szokatlan személyeskedésbe csúsztak át. A szerdai nap másik nagy attrakciójának előzetesen Magyar Pétert hittük – Magyar azonban öt percében egyszerre hadart el mindent, amit a kormány hibájának vélt, de nem mondott szinte semmit arról, hogy mit akar ezzel a helyzettel kezdeni. Az Európai Parlament szerdai plenáris üléséről, a magyar uniós elnökségről, a Draghi-jelentésről, Magyar Péterről, valamint Orbán vélt, vagy valós elszigetelődéséről beszélgetett a HVG-t Strasbourgból tudósító Serdült Viktóriával, valamint Arató Lászlóval, az Eurologus újságírójával Kacskovics Mihály Béla. Iratkozz fel a Fülke csatornájára! Spotify: tiny.cc/FulkeSpotify Apple Podcasts: tiny.cc/FulkeApple Hallgasd meg a HVG többi podcastját: Spotify: tiny.cc/HVGpodcastokSpotify Apple Podcasts: tiny.cc/HVGpodcastokApple SoundCloud: tiny.cc/HVGpodcastokSC 00:00 Mit tartalmaz a Draghi-jelentés? 01:32 Hogyan viszonyul a jelentéshez Magyarország? 05:29 Hogy telt eddig Magyarország uniós elnöksége? 07:46 Mitől függ, hogy mennyire sikeres egy uniós elnökség? 09:33 Milyen szerepe lehet az uniós pozíciók kiosztásában soros elnökként Magyarországnak? 10:25 Mi a „Schengen summit”, amit Orbán Viktor a keddi sajtótájékoztatóján jelentett be? 13:23 Miért érezte szükségét Ursula Von der Leyen annak, hogy párhuzamot vonjon az '56-os forradalom és az ukrán védekezés között? 17:32 Milyen újabb eszközöket vethet be az EP a jogállamiság védelmére? 18:57 Mivel kritizálta Orbán Viktort Manfred Weber, és hogyan reagált erre a magyar miniszterelnök? 21:16 Hogyan csaptak össze a Tisza-párt képviselői Orbán Viktorral? 24:05 Mivel kritizálta Orbánt Valéria Hayer, a Renew frakció vezetője? 27:56 Miért nem reagált a Néppárt és Magyar Péter Ilaria Salis megszólalására? 30:38 Mennyire elszigetelt jelenleg az EP-ben Orbán Viktor?
Host Ben Rice travels to Rocklin, CA, to talk about the inaugural I Can Fight Cancer Brewfest with organizer/creator Steve Hayer, beertender at Moksa Brewing and co-founder of Sacramento Beer Enthusiasts. The brewfest is taking place on Saturday, October 5, 2024, at The Village Green Park in Rancho Cordova, from 1pm-5pm for VIPs and 2-5 for everyone else. This the bigger, better, more marketable version of Steve's initial project, F*** Cancer, which we discussed last year.In this episode, we talk about why this fundraiser is so important, who it helps, how it helps, and all the breweries that responded with no hesitation. Before I forget, you can grab your tickets, buy shirts, or just donate at give.albieaware.org. Albie Aware supports breast cancer research as well as provides financial benefits to people fighting breast cancer, helping to deal with the cost of medical care as well as the hidden costs associated with a breast cancer diagnosis. While we continue to fight to learn more and find a way to eradicate this deadly and life-altering disease, events like I Can Fight Cancer help make this physically, mentally, emotionally, and family-altering disease just a little bit more bearable. Together, we can help to do more than just keep people afloat. We can help them find their footing back on dry land.We also discuss finding joy in an increasingly bitter world, maturity in the beer-drinking world, and HELPING STEVE PASS OUT FLYERS.By the way, there are shirts available for pre-order, but that pre-order ends Friday, August 23, so order now at give.albieaware.org. That's give.albieaware.org. I know you're reading this, but what if you're having someone read it out loud to you? That's give dot albie a as in alpha l as in lima b as in bravo i as in igloo e as in elephant dot org give.albieaware.org. Buy tickets to the brewfest there too. Give what you can, maybe even a little teensy tiny bit more. Mention you heard about the event on the podcast and receive a 0% discount because we're fighting cancer and there are no shortcuts. On episode 183 of Barley & Me. Enjoy!In case you missed it, support I Can Fight Cancer on FB/IG at I Can Fight Cancer BrewfestOr buy tickets at give.albieaware.orgFollow Moksa Brewing @moksabrewing and thank you again for giving us the time and space to discuss this event and issueLearn more about Albie Aware at albieaware.orgBarley & Me can be found across social media @barleyandmepod. Check out past episodes, show dates, and more, at the newly-revamped barleyandmepod.comEmail questions/comments/concerns/guest ideas/brewery ideas to barleyandmepodcast@gmail.com or barleyandmepod@gmail.comBen is also posting #Chugs4Charity videos semi-regularly on Instagram (@barleyandmepod), to help raise funds for various local and national charities with goals of making our world a better place. You can Venmo Ben ($comedianbenrice) or hit his PayPal (@barleyandmepod) and all money will go to support the NAACP, ACLU, Black Lives Matter, and other civil rights helpers. Charities will change with the times and as emergencies arise. But the point is: all donations will go to help those who need it.Intro Music: “Functional Alcoholism” by Be Brave Bold Robot (@bebraveboldrobot)Interstitial Music: "JamRoc" by Breez (@breeztheartist)Logo by Jessica DiMesio (@alchemistqueen)
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durée : 00:04:22 - Le zoom de la rédaction - Le ministre de l'Intérieur est à nouveau candidat aux législatives dans la circonscription de Tourcoing, la 10e du Nord. Un terrain qu'il n'a jamais abandonné mais où rien n'est acquis. Dans sa ville, aux Européennes, le RN a réuni 30 % des voix, la France Insoumise 25 %, Valérie Hayer 11.
Un coup de tonnerre. Le dimanche 9 juin, à 21 heures, le président Emmanuel Macron annonce, à la surprise générale, qu'il dissout l'Assemblée nationale. Une heure plus tôt, les premiers résultats des élections européennes venaient de confirmer la lourde défaite du camp présidentiel, et un score historique pour le Rassemblement National.La liste de Valérie Hayer, cheffe de file des macronistes au Parlement européen, n'a récolté que 14,6% des suffrages, quand celle de Jordan Bardella a réalisé un score deux fois supérieur (31,4%).De nouvelles élections législatives pour élire les députés doivent se tenir les 30 juin et 7 juillet prochain.Pourquoi Emmanuel Macron fait-il le pari de la dissolution après ce scrutin européen ? Code source revient sur séquence avec David Doukhan et Valérie Hacot, chef et cheffe-adjointe du service politique du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : AFP, BFMTV, INA, France 2, Besoin d'Europe, La France Revient. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 juin - Dissolution: coup de génie ou de folie? "J'ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote. Je dissous donc ce soir l'Assemblée nationale". Prenant acte du résultat historique de l'extrême droite en France, ce dimanche 9 juin, le président de la République a décidé d'activer l'article 12 de la Constitution, celui qui lui permet de mettre fin aux mandats des députés et de convoquer de nouvelles élections. Le premier tour des législatives aura lieu le 30 juin prochain et le second tour une semaine plus tard, le 7 juillet. Un tel événement politique ne s'est produit que huit fois en plus de 100 ans, et seulement six fois sous la Ve République : Jacques Chirac en 1997, mais également François Mitterrand (1981 et 1988) et le général de Gaulle (1962 et 1968). Il survient cette fois après la secousse que représente le vote de dimanche. Jamais l'extrême droite française n'avait jusqu'ici atteint les 30 % lors d'élections européennes. Elle se rapproche des 40 % désormais, le Rassemblement national de Jordan Bardella finissant largement en tête du scrutin avec 31, 36 % des voix hier soir, selon le ministère de l'Intérieur, et la liste Reconquête ! de Marion Maréchal totalisant 5, 47 %. Au coude-à-coude il y a cinq ans avec la liste présidentielle, le RN a distancé la liste Renaissance-MoDem-Horizons portée par Valérie Hayer de 17 points, cette dernière recueillant que 14,6 % des suffrages. En outre, le RN est arrivé en tête de toutes les régions de France métropolitaine, y compris, et c'est une première, en Bretagne. "Le résultat d'un vote sanction", a affirmé Jordan Bardella quelques minutes seulement après l'annonce des résultats, estimant que les Français avaient "exprimé une volonté de changement, mais aussi un chemin pour l'avenir". "Nous sommes prêts à exercer le pouvoir si les Français nous font confiance", a réagi Marine Le Pen. Le parti "se battra pour avoir une majorité" et pour que son président, Jordan Bardella, "arrive à Matignon" comme Premier ministre à l'issue des législatives, a affirmé pour sa part Louis Aliot le vice-président du parti alors qu'en coulisse de discrètes tractations ont commencé. Marine Le Pen, Jordan Bardella et Marion Maréchal doivent se rencontrer ce lundi au siège du RN. Arrivée en tête des élections européennes hier soir en France, l'extrême droite est-elle pour autant en mesure de s'installer à Matignon dès cet été ? "Rien n'est acquis, on a affaire à deux scrutins différents. Ce ne sont pas les mêmes enjeux, pas les mêmes modalités de vote", a expliqué le politologue Jean-Yves Camus. Les européennes sont un scrutin à la proportionnelle à un tour. Avec les législatives, il s'agit d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours et pour se qualifier au second tour, un candidat doit réunir au moins 12,5 % de la totalité du nombre d'électeurs inscrits. Un mode de vote qui a été longtemps défavorable au parti à la flamme, mais en 2022, avec la disparition du "front républicain", le RN a envoyé 89 députés au Palais-Bourbon, contre huit auparavant. Qu'en sera-t-il le 30 juin et le 7 juillet ? A gauche, l'annonce inattendue de la dissolution de l'Assemblée nationale a éclipsé le score des Européennes où la tête de liste PS- Place Publique, menée par Raphaël Glucksmann a obtenu 14 % des suffrages, devant la liste LFI de Manon Aubry (10,1 %), l'écologiste Marie Toussaint (5,5 %) et le communiste, Léon Deffontaines (2,3 %). Dans son ensemble la gauche représente 32 % des suffrages exprimés. Alors depuis hier soir, de nombreuses voix se sont élevées pour appeler à un rassemblement, un "front populaire" ou le retour de la Nupes. Mais 2024 n'est pas 2022. La gauche va-t-elle parvenir à s'unir ou partira-t-elle en ordre dispersé ? Et que vont faire Les Républicains ? Les réunions vont se succéder toute la semaine. Vendredi les préfectures devront avoir toutes les candidatures. LES EXPERTS : - Dominique Reynié - Directeur général - Fondapol, fondation pour l'innovation politique - Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Astrid de Villaines - Cheffe du service politique - Huffington Post - Brice Teinturier - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 05 juin 2024
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur les difficultés de la liste de la majorité française dans leur campagne pour les éléctions européennes, l'avenir politique de Chogel Maïga au Mali et la mutation du ministre congolais Jean-Pierre Bemba de la Défense aux Transports. Football : quel rôle pour Kylian Mbappé au Real Madrid ? L'attaquant parisien Kylian Mbappé va enfin rejoindre les Merengue pour les cinq prochaines saisons. Pourquoi le club voulait à tout prix ce joueur après les trois tentatives avortées ? Quelle plus-value peut-il apporter au Real alors que le club madrilène vient de gagner sa 15è Ligue des Champions ? Avec Christophe Diremszian, journaliste au service des sports de RFI.Élections européennes : la liste présidentielle à la peine En France, à quatre jours du scrutin, la liste du Rassemblement national menée par Jordan Bardella est toujours en tête dans les intentions de vote. Comment expliquer que la liste présidentielle n'arrive pas à rassembler davantage ? Faut-il l'imputer au choix de Valérie Hayer comme tête de liste ? Avec Pierrick Bonno, journaliste au service politique de RFI.Mali : Choguel Maïga sur la sellette ?Le M5 RFP, la formation politique restée fidèle au Premier ministre Choguel Maïga, a publié un mémorandum critiquant la gestion de la transition par les militaires. Quelles conséquences ce texte peut-il avoir sur l'avenir politique de Choguel Maïga ? Ce dernier a-t-il réagi ? Avec Kaourou Magassa, journaliste au service Afrique de RFI. RDC : Jean-Pierre Bemba remplacé à la Défense Ministre de la Défense dans le précédent gouvernement, Jean-Pierre Bemba a été muté aux Transports. Comment expliquer que Bemba ait perdu du terrain au sein de la majorité ? La nomination d'un nouveau ministre de la Défense est-elle le signe d'un changement de stratégie dans l'Est du pays ? Avec Christian Moleka, analyste politique et président de la Dynamique des politologues de la RDC.
Aujourd'hui Jean-Loup Bonnamy, Jérôme Marty et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui Jean-Loup Bonnamy, Jérôme Marty et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Attal s'incruste avec Hayer, macho ou courageux ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
durée : 00:20:04 - Journal de 18h - Pourquoi Gabriel Attal a-t-il jugé bon de venir parler à la place de la tête de liste Valérie Hayer sur Franceinfo ? L'opposition accuse le Premier ministre de paternalisme et reproche, plus généralement, à l'exécutif, d'accaparer les médias.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
C dans l'air du 30 mai - Européennes : panique en macronie A dix jours des élections européennes, le Rassemblement national de Jordan Bardella est toujours largement en tête des intentions de vote dans les sondages (34 %), loin devant le parti Renaissance de Valérie Hayer (15 %) et le parti socialiste (14 %). Face à la perspective d'une victoire écrasante du parti d'extrême droite le 9 juin prochain, l'idée d'une coalition entre la droite et la majorité, gagne du terrain. Dans Le Figaro daté du 30 mai, Nicolas Sarkozy plaide à nouveau pour un accord de gouvernement entre LR et la macronie. François Bayrou reconnaît "une campagne difficile pour le camp présidentiel" tout en estimant qu'elle se joue "dans les dix derniers jours". Dans les états-majors de la majorité et des oppositions des scénarios s'échafaudent pour l'après 9 juin et la rumeur d'un Gérard Larcher à Matignon est repartie de plus belle. "Tout le monde bruisse de rendez-vous secrets" entre le président du Sénat et le président de la République. Mais "depuis le 7 mars (date de leur dernier entretien, ndlr), il n'y en a pas eu. Je ne suis demandeur de rien", affirme Gérard Larcher. "Mais on peut se réveiller le 10 juin au matin avec une gueule de bois démocratique", avertit également le président du Sénat. De leur côté, le chef du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau et la tête de liste LR aux européennes François-Xavier Bellamy se sont dit opposés à une coalition entre LR et la majorité, et plaident pour une dissolution de l'Assemblée nationale au lendemain des européennes. En cas de victoire le 9 juin, la tête de liste RN Jordan Bardella a également annoncé qu'il demandera la dissolution de l'Assemblée nationale, alors que dans cette dernière ligne droite les questions internationales électrisent la campagne. Ce jeudi, la leader du Rassemblement national, Marine Le Pen, a ainsi accusé Emmanuel Macron de vouloir "entre(r) de plain-pied dans la guerre avec la Russie, après que le président de la République a dit souhaiter permettre l'utilisation d'armes occidentales pour "neutraliser" des bases militaires russes "d'où sont tirés les missiles" sur le territoire ukrainien. "Si on leur dit vous n'avez pas le droit d'atteindre le point d'où sont tirés les missiles, en fait on leur dit, on vous livre des armes mais vous ne pouvez pas vous défendre", a pointé hier Emmanuel Macron, au dernier jour de sa visite d'Etat en Allemagne. Une position qui est dénoncée par la chef de file des députés d'extrême droite. Cela "serait un pas supplémentaire d'investissement dans ce conflit", qui "créer(ait) un danger absolument faramineux sur la sécurité de nos compatriotes (et) sur l'intégrité de notre territoire", a-t-elle déclaré sur Franceinfo, dénonçant "des mécaniques d'entrée en guerre mondiale". Parallèlement, le bombardement meurtrier d'un centre de déplacés près de Rafah a suscité depuis dimanche soir une vague d'indignations et a relancé dans la classe politique le débat sur la reconnaissance d'un État palestinien par la France comme 146 pays l'ont déjà fait, les trois derniers étant mardi l'Espagne, l'Irlande et la Norvège : drapeau palestinien brandi mardi par un élu insoumis dans l'hémicycle, échanges tendus entre députés, nouvelles manifestations hier soir à Paris et Marseille… Pour le chef de l'Etat, si la question "n'est pas taboue", il y a lieu néanmoins de temporiser : "Cette reconnaissance doit arriver à un moment utile et non sous le coup de l'émotion" a-t-il déclaré. Une réponse qui déçoit le numéro 2 de la liste Renaissance, Bernard Guetta mais aussi Jean-Yves Le Drian, ancien ministre de la Défense de François Hollande et des Affaires Etrangères sous le premier mandat de l'actuel président, qui estime que la reconnaissance de la Palestine est devenue indispensable. Une position partagée par LFI mais aussi Raphaël Glucksmann. La tête de liste PS-Place publique, largement en tête des intentions de vote à gauche, créditée d'environ 14 % dans les sondages, non loin de la liste du camp présidentiel conduite par Valérie Hayer, entend désormais se poser en "garant du cap qui a émergé à gauche" après les européennes alors qu'une recomposition se profile et que dans la dernière ligne droite avant le scrutin, l'ombre de l'ex-président de la République François Hollande plane de plus en plus sur la campagne. Nous avons suivi ces derniers jours l'ex-chef de ‘Etat socialiste notamment lors d'un déplacement à Metz. Pour lui, aujourd'hui la démocratie en France "ne fonctionne pas bien parce que les partis politiques, ceux qui font vivre la démocratie ne fonctionnent pas bien". "L'extrême droite se cache" pour progresser et Jean-Luc Mélenchon "a fait beaucoup de mal à la gauche" selon François Hollande. Mais "la Nupes, c'est fini. Laissons Mélenchon et rassemblons-nous pour la suite" affirme-t-il au micro de #cdanslair. Les experts : - Louis HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - Jeff WITTENBERG - Journaliste politique – France Télévisions - Caroline VIGOUREUX- Journaliste politique - La Tribune Dimanche - Gaël SLIMAN - Président et co-fondateur de l'institut de sondages Odoxa
C dans l'air l'invité du 23 mai 2024 : Alexandre Devecchio, journaliste et essayiste, auteur de "Les nouveaux enfants du siècle" Dans "Les nouveaux enfants du siècle" aux éditions du Cerf, le journaliste et essayiste Alexandre Devecchio analyse les ressorts de l'engagement des jeunes figures de proue de l'extrême droite française : Jordan Bardella, Marion Maréchal et Sarah Knafo. Selon lui, "leur imaginaire a été façonné par la crise, des attentats du 11 septembre 2001 à New York aux attentats de 2015 à Paris, en passant par les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises". Si tous sont d'extrême droite, ils se sont construits en deux familles idéologiques distinctes, selon les catégories imaginées par le rédacteur en chef du Figaro Magazine. Selon l'Ifop-Fiducial, la liste du Rassemblement national portée par Jordan Bardella est largement en tête et reste pointée à 32 % des intentions de vote, près de deux fois plus que la liste de la majorité présidentielle menée par Valérie Hayer. Mais l'écart avec le troisième homme, Raphaël Glucksmann, s'effrite. La liste du Parti socialiste et de Place publique est désormais créditée de 15 % des intentions de vote (+0,5), son plus haut niveau depuis le lancement de notre sondage quotidien. Derrière, quatre partis restent au-dessus la barre des 5 %, cruciale pour envoyer des eurodéputés au Parlement européen. La liste de La France insoumise menée par Manon Aubry, celle des Républicains de François-Xavier Bellamy. La liste de Reconquête de Marion Maréchal et celle des Écologistes de Marie Toussaint suivent ensuite. Ce soir à partir de 20h15 sur France 2, la tête de liste du RN Jordan Bardella et le Premier ministre Gabriel Attal s'affrontent dans un débat. L'échange intervient en pleine campagne des européennes, à un peu plus de deux semaines du scrutin fixé le 9 juin en France. Alexandre Devecchio, journaliste et auteur de "Les nouveaux enfants du siècle" aux éditions du Cerf reviendra sur les personnalités et les engagements de Gabriel Attal, Jordan Bardella à quelques heures du débat télévisé sur France 2 et plus largement sur les nouveaux visages politiques qui émergent en France.
C dans l'air du 24 mai 2024 : Attal / Bardella : un gagnant...un perdant ? Il était attendu. A moins de vingt jours des élections européennes, le débat télévisé entre le Premier ministre et la tête de liste Rassemblement national aux élections européennes a été suivi par 3,61 millions de téléspectateurs (18,0 % du public) hier soir sur France 2. Un bon score pour ce rendez-vous politique qui a vu Gabriel Attal et Jordan Bardella opposer deux visions antagonistes de l'Europe, dans la dernière ligne droite avant le scrutin. "L'Europe est l'homme malade des économies développées", pour le l'eurodéputé RN. "L'Europe, c'est la prospérité", pour le chef du gouvernement. Deux convictions opposées, mais aussi deux attitudes différentes : un Premier ministre sans fiche, offensif et qui a tenté de mettre en lumière les failles du programme du candidat RN versus un président du parti d'extrême droite, favori des sondages, venu avec ses fiches, sur la défensive. Huitième face-à-face entre Gabriel Attal et Jordan Bardella, lourd d'enjeux, il est sans doute celui qui a été le plus scruté de tous. Alors quels sont les enseignements de ce débat ? Sécurité, immigration, protectionnisme économique, vision de l'UE, guerre en Ukraine, Russie… Que faut-il retenir de cet échange de plus d'une heure ? Qui a gagné ? Qui a perdu ? Enfin Raphaël Glucksman, troisième sur le podium dans les sondages pour les élections européennes, peut-il créer la surprise le 9 juin prochain ? Très loin de Jordan Bardella crédité de 33 % des intentions de vote dans une dernière enquête mais désormais à seulement un point de la tête de liste macroniste Valérie Hayer (16 %), la tête de liste PS-Place Publique concentre les attaques de ses rivaux à gauche. Nos experts : - Guillaume DARET - grand reporter au service politique à France Télévisions - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Nathalie MAURET - journaliste politique pour le groupe de presse régionale Ebra - Bernard SANANES - politologue, président de l'institut de sondages Elabe DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 23 mai 2024 : Nouvelle-Calédonie : Macron face aux barricades Emmanuel Macron se trouve ce jeudi 23 mai en Nouvelle-Calédonie, où les tensions persistent plus d'une semaine après le début des émeutes. Le président de la République a réaffirmé son objectif d'un retour "le plus vite possible" à "la paix, au calme, à la sécurité", mais aussi à une reprise du "dialogue". Dans ce sens, le chef de l'Etat a participé à une réunion avec les élus et acteurs économiques de l'archipel. Il a également organisé une rencontre avec toutes les composantes des partis indépendantistes. Evoquant un "mouvement d'insurrection absolument inédit" qui secoue ce territoire français du Pacifique depuis la mi-mai, Emmanuel Macron s'est dit plutôt défavorable à une prolongation de l'état d'urgence, qui est actuellement en vigueur. Néanmoins, il a averti que celui-ci ne sera levé "que si chacun en sa responsabilité appelle à lever les barrages". Il a par ailleurs appelé à un "apaisement constructif" et à la recherche d'une "solution" politique, mais sans revenir sur le résultat des trois référendums qui ont acté le maintien du territoire ultramarin dans la République. "L'apaisement ne peut pas être le retour en arrière", a-t-il estimé, promettant des "décisions" et des "annonces" rapidement, tout en assurant n'avoir "pas de limite" de temps sur place. Alors quel est le plan du président ? Comment sortir de la crise ? La question agite la classe politique également en France alors que le duel télévisé entre Gabriel Attal et Jordan Bardella se prépare. Le Premier ministre et le président du RN vont en effet débattre ce soir en prime time, sur France 2. Une confrontation à moins de trois semaines des élections européennes très attendue par le camp présidentiel pour inciter les électeurs à voter en faveur de leur liste qui dégringole dans les sondages. D'après le "rolling" Ifop-Fiducial du 22 mai, la tête de liste Renaissance, Valérie Hayer qui préside actuellement le groupe Renew au Parlement européen serait créditée de 16 % des intentions de vote, largement distancée par la tête de liste de l'extrême droite Jordan Bardella (32,5 %) et suivie de près par Raphaël Glucksmann (15 %), tête de liste PS/Place publique. Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions, auteure de "L'Ombre d'un traître" - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche - Frédéric DABI - Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "La Fracture" - Claudine WERY - Journaliste – La revue des deux Mondes, ancienne correspondante AFP et Le Monde en Nouvelle-Calédonie DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 9 mai 2024 - Attal s'engage, Bardella s'envole... A un mois jour pour jour des élections européennes, Valérie Hayer, tête de liste des macronistes, peine plus que jamais à imposer sa marque. Sondage après sondage, sa position devient plus inconfortable. Elle est très largement devancée par le RN de Jordan Bardella, sûr de sa force, qui caracole à près de 30% des intentions de vote. La candidate de la majorité est même désormais talonnée par le socialiste Raphaël Glucksmann. Récemment crédité de 14% des intentions de vote, ce dernier est aujourd'hui juste derrière sa rivale, donnée à 15%. Pour remobiliser son électorat, l'heure est à la mobilisation générale dans la majorité. Tous les ministres ont été appelés à se déployer sur les réseaux sociaux et sur le terrain. Le chef du gouvernement Gabriel Attal donne l'exemple à ses troupes. Il quadrille ce jeudi la partie sud de la Bretagne, une région considérée comme clé de l'électorat de la majorité. De son côté, la candidate se rend à Bordeaux, avec le ministre des Comptes publics Thomas Cazenave. Elle sera en Corse demain et samedi. La période électorale ne va pas sans son lot de polémiques. En marge d'un meeting de Jordan Bardella et Marine Le Pen, le 1er mai dernier à Perpignan, les propos d'une bénévole des Restos du cœur ont été ont suscité la controverse. Au micro de TF1, Colombe, une sexagénaire au RSA, électrice du RN, a évoqué ses difficultés à vivre décemment et à trouver un emploi. La vidéo a été vue et partagée par des millions de personnes sur les réseaux sociaux. Dans la foulée de cette séquence, les Restos du cœur dont la "neutralité politique" est un "principe non négociable", ont indiqué samedi dernier que Colombe ne faisait plus partie de ses bénévoles, assurant qu'elle avait démissionné après un rappel au règlement. Un volontaire peut être en effet candidat à une élection mais doit dans ce cas rester discret sur ses activités au sein de l'association. Après les multiples réactions politiques, les Restos du cœur ont finalement annoncé lundi la réintégration de Colombe. A travers l'exemple de Colombe, RN se targue aujourd'hui d'être le représentant des laissés pour compte et mise sur ses promesses d'amélioration des conditions de vie des plus pauvres pour susciter l'espoir. Si l'extrême-droite semble plus influente que jamais dans l'Hexagone, en Italie, elle est au pouvoir. Georgia Meloni est en effet présidente du Conseil des ministres depuis 2022 après avoir utilisé les mêmes recettes que le Rassemblement national. Mais ses promesses en direction des classes populaires ont déjà fait long feu. La présidente du parti Frères d'Italie, a en réalité coupé plusieurs aides sociales. La main n'a finalement pas été tendue vers les catégories les plus pauvres de la population. Et ces dernières déchantent. La majorité peut-elle encore éviter une déconvenue lors du scrutin européen ? Le RN se vante d'être le parti des classes populaires, qu'en est-il vraiment ? Quel bilan tirer de l'exercice du pouvoir par l'extrême-droite en Italie ? LES EXPERTS : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions - Auteure de « L'Ombre d'un traître » - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - « Les Echos » - FRÉDÉRIC DABI - Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP - Auteur de « La Fracture »
C dans l'air du 9 mai 2024 - Attal s'engage, Bardella s'envole... A un mois jour pour jour des élections européennes, Valérie Hayer, tête de liste des macronistes, peine plus que jamais à imposer sa marque. Sondage après sondage, sa position devient plus inconfortable. Elle est très largement devancée par le RN de Jordan Bardella, sûr de sa force, qui caracole à près de 30% des intentions de vote. La candidate de la majorité est même désormais talonnée par le socialiste Raphaël Glucksmann. Récemment crédité de 14% des intentions de vote, ce dernier est aujourd'hui juste derrière sa rivale, donnée à 15%. Pour remobiliser son électorat, l'heure est à la mobilisation générale dans la majorité. Tous les ministres ont été appelés à se déployer sur les réseaux sociaux et sur le terrain. Le chef du gouvernement Gabriel Attal donne l'exemple à ses troupes. Il quadrille ce jeudi la partie sud de la Bretagne, une région considérée comme clé de l'électorat de la majorité. De son côté, la candidate se rend à Bordeaux, avec le ministre des Comptes publics Thomas Cazenave. Elle sera en Corse demain et samedi. La période électorale ne va pas sans son lot de polémiques. En marge d'un meeting de Jordan Bardella et Marine Le Pen, le 1er mai dernier à Perpignan, les propos d'une bénévole des Restos du cœur ont été ont suscité la controverse. Au micro de TF1, Colombe, une sexagénaire au RSA, électrice du RN, a évoqué ses difficultés à vivre décemment et à trouver un emploi. La vidéo a été vue et partagée par des millions de personnes sur les réseaux sociaux. Dans la foulée de cette séquence, les Restos du cœur dont la "neutralité politique" est un "principe non négociable", ont indiqué samedi dernier que Colombe ne faisait plus partie de ses bénévoles, assurant qu'elle avait démissionné après un rappel au règlement. Un volontaire peut être en effet candidat à une élection mais doit dans ce cas rester discret sur ses activités au sein de l'association. Après les multiples réactions politiques, les Restos du cœur ont finalement annoncé lundi la réintégration de Colombe. A travers l'exemple de Colombe, RN se targue aujourd'hui d'être le représentant des laissés pour compte et mise sur ses promesses d'amélioration des conditions de vie des plus pauvres pour susciter l'espoir. Si l'extrême-droite semble plus influente que jamais dans l'Hexagone, en Italie, elle est au pouvoir. Georgia Meloni est en effet présidente du Conseil des ministres depuis 2022 après avoir utilisé les mêmes recettes que le Rassemblement national. Mais ses promesses en direction des classes populaires ont déjà fait long feu. La présidente du parti Frères d'Italie, a en réalité coupé plusieurs aides sociales. La main n'a finalement pas été tendue vers les catégories les plus pauvres de la population. Et ces dernières déchantent. La majorité peut-elle encore éviter une déconvenue lors du scrutin européen ? Le RN se vante d'être le parti des classes populaires, qu'en est-il vraiment ? Quel bilan tirer de l'exercice du pouvoir par l'extrême-droite en Italie ? LES EXPERTS : - JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions - Auteure de « L'Ombre d'un traître » - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - « Les Echos » - FRÉDÉRIC DABI - Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP - Auteur de « La Fracture »
durée : 00:14:56 - Journal de 8 h - Les noms des trente premiers candidats de la liste de la majorité présidentielle aux élections européennes ont été dévoilés vendredi soir. De nombreux eurodéputés sont reconduits, mais de nouvelles têtes ont fait leur apparition, notamment le sapeur-pompier Grégory Allione.
C dans l'air du 25 avril 2024 - Russie, Chine... qui veut torpiller les européennes ? A l'approche des élections européennes de juin, les cas d'ingérence étrangère présumée s'accumulent. Lundi, une nouvelle affaire impliquant l'assistant du député européen allemand Maximilian Krah, figure du parti d'extrême droite allemand AfD, a secoué la dernière session plénière du Parlement. L'homme, Jian G., a été arrêté à Dresde, dans l'Est de l'Allemagne, et son domicile a été perquisitionné. Il est accusé d'avoir espionné des opposants chinois en Allemagne et d'avoir partagé des informations sur le Parlement européen avec un service de renseignement chinois, a expliqué le parquet dans un communiqué. Le mois dernier, les autorités tchèques et belges ont découvert ce qu'elles considèrent comme un réseau de propagande russe qui compte plusieurs députés européens parmi ses bénéficiaires financiers dont de nombreuses figures de l'extrême droite. Parmi elles, figurerait la tête de liste de l'AfD aux élections européennes Maximilian Krah. Le groupe des Verts au Parlement européen a demandé une enquête rapide sur les ingérences étrangères au sein de l'institution. "Avec un "Chinagate" qui s'ajoute à un "Russiagate", le Parlement européen doit accélérer son enquête", a indiqué le groupe, réclamant que des résultats préliminaires soient publiés avant les élections européennes qui auront lieu du 6 au 9 juin. Des ingérences étrangères qui sont prises très au sérieux en Europe et notamment en France. Cyberattaques, corruption, fausses informations... Le pays est particulièrement ciblé par la Russie et la Chine. Ces dernières semaines, il y a par exemple eu un faux site de recrutement de l'armée usurpe l'identité de l'armée française pour demander aux Français de s'engager en Ukraine, ou encore une vidéo faussement attribuée à la radio RFI, évoquant une épidémie de tuberculose à cause de soldats ukrainiens dans des hôpitaux français. Dernièrement, c'est le candidat du PS Raphaël Glucksmann qui a été victime d'une intox relayée par des comptes liées à la Chine. Autant de fake news susceptibles de perturber les élections à laquelle l'exécutif entend s'attaquer. Le ministre chargé de l'Europe Jean-Noël Barrot a ainsi présenté ce mercredi son dispositif pour lutter contre la désinformation. Le gouvernement veut que les réseaux sociaux "déviralisent", c'est-à-dire restreignent la diffusion, voire suppriment rapidement des contenus faux concernant la campagne, notamment lors de la période de réserve, très sensible qui commence le vendredi soir à minuit, qui précédera le vote. "Nous devons augmenter notre capacité à lutter contre les ingérences et la propagande, en particulier en ces temps électoraux" a déclaré ce jeudi le chef de l'Etat dans un discours sur l'UE prononcé à la Sorbonne. À six semaines des élections européennes, le président de la République a défendu une Europe qu'il veut "plus souveraine et plus puissante". Pour cela, Emmanuel Macron entend bien "influer sur l'agenda" de la prochaine Commission européenne à l'issue des élections de juin et propose de bâtir une "défense européenne crédible", de "construire l'Europe de l'atome" et d'inscrire dans les traités "la préférence européenne" dans "la défense et le spatial". Et, alors que la campagne de la candidate du camp présidentiel, Valérie Hayer, patine, loin derrière la liste du RN menée par Jordan Bardella, le chef de l'Etat a affirmé : "L'Europe n'est pas un guichet dans lequel on accepte en quelque sorte de choisir les principes, ajoutant d'un ton grave : "Notre Europe aujourd'hui est mortelle. Elle peut mourir et cela dépend uniquement de nos choix". LES EXPERTS : - JEAN-DOMINIQUE GIULIANI - Président de la Fondation Robert Schuman - JADE GRANDIN DE L'EPREVIER - Correspondante permanente à Bruxelles – L'opinion - ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro - GUILLAUME DARET - Chef adjoint du service politique de France Télévision
C dans l'air du 16 avril 2024 - La razzia Bardella, la percée Glucksmann A deux mois du premier tour des élections européennes, le Rassemblement national fait la course en tête et atteint des niveaux records dans tous les sondages. Créditée de plus de 30 % des intentions de vote, la liste d'extrême droite menée par Jordan Bardella fait même désormais le double du score de celle des macronistes, menée par l'eurodéputée Valérie Hayer. Accusé par ses adversaires de fuir les débats et de privilégier les interviews en solo dans les médias, le patron du RN bat la campagne en multipliant les selfies et s'active sur les réseaux sociaux. Il a ainsi complètement intégré le réseau chinois TikTok à sa stratégie de communication pour séduire la jeunesse. Avec plus de 1,1 million d'abonnés et 23,6 millions de likes, il possède, statistiquement, une longueur d'avance sur ses opposants sur TikTok. Derrière, en revanche, pour la majorité présidentielle, l'heure est grave : le tremblement de terre qu'aurait dû être la nomination de Gabriel Attal à Matignon n'a pas eu lieu, du moins pour bousculer les rapports de force dans les sondages d'intentions de vote et la liste conduite par Valérie Hayer est donnée à 16 % dans la dernière enquête Ipsos alors que la liste PS-Place publique menée par Raphaël Glucksmann effectue une percée dans les intentions de vote, grimpant jusqu'à 13 %. Le candidat de la gauche sociale-démocrate est parvenu ces dernières semaines à prendre de l'avance sur ses concurrentes insoumise et écologiste, Manon Aubry et Marie Toussaint, souvent créditées de moins de 9 % d'intentions de vote et entend maintenant perturber le duel Bardella-Hayer. En queue de peloton, ce sont les listes de LR, Reconquête et celle du Parti communiste français qui ferment la marche. La liste communiste est en plus mauvaise posture, car en dessous du seuil des 5 %. Mais dans les rangs du parti d'extrême droite d'Éric Zemmour on s'interroge également sur la stratégie à adopter et Marion Maréchal a appelé Jordan Bardella à ne pas se "tromper d'ennemi", avant d' "aspirer" à "construire" une "coalition", afin de parvenir au pouvoir. LES EXPERTS : - CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ASTRID DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air l'invité du 11 avril 2024 : Didier Leschi, directeur de l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration Après dix heures de négociation, le pacte migratoire a été adopté, mercredi 10 avril. Il prévoit de durcir les contrôles lors des arrivées de migrants ainsi qu'un système de solidarité entre États afin que les plus exposés, l'Italie notamment, n'assument pas seuls la charge des migrants. Dans les rangs français, la plupart des candidats aux prochaines élections ont refusé de le voter. Trop laxiste pour certains, comme Jordan Bardella, tête de liste RN aux élections européennes, il est trop dur pour d'autres. "C'est notre capacité à accueillir dignement qui est remise en cause", estime ainsi Manon Aubry. La candidate macroniste, Valérie Hayer, revendique la victoire.
Today we are joined by Dr. Santosh Pandipati and Dr. Sarena Hayer, who talk to us about climate change and how it can affect pregnant individuals and their fetuses. Dr. Pandipati is a board certified maternal fetal medicine specialist. Dr. Hayer is a third year Ob/Gyn resident at OHSU. Twitter: @creogsovercoff1 Instagram: @creogsovercoffee Facebook: www.facebook.com/creogsovercoffee Website: www.creogsovercoffee.com Patreon: www.patreon.com/creogsovercoffee You can find the OBG Project at: www.obgproject.com