Podcast appearances and mentions of Jacques Toubon

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Jacques Toubon

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Best podcasts about Jacques Toubon

Latest podcast episodes about Jacques Toubon

L'invité de RTL
ROBERT BADINTER - Jacques Toubon, ancien ministre de la Justice, est l'invité de RTL Midi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Feb 9, 2024 4:56


Écoutez la réaction et l'hommage de l'ancien ministre de la Justice de Jacques Chirac (1995-1997) et ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, après le décès de Robert Badinter à l'âge de 95 ans.

8.30 franceinfo:
Loi immigration : "la préférence nationale est contraire à nos principes constitutionnels", juge l'ancien Défenseur des droits Jacques Toubon

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Jan 21, 2024 16:48


durée : 00:16:48 - 8h30 franceinfo - L'ancien Défenseur des droits était était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 21 janvier.

Le Nouvel Esprit Public
Bada : Constance Rivière, haute fonctionnaire, écrivaine et directrice du Palais de la Porte Dorée (2/3)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Nov 15, 2023 15:56


Pour ce Bada du Nouvel Esprit Public, Philippe Meyer a eu la joie de recevoir Constance Rivière, haute fonctionnaire, écrivaine et directrice du Palais de la Porte-Dorée. Dans ce deuxième épisode, Constance Rivière revient sur ses cinq années de secrétaire générale du Défenseur des droits, Jacques Toubon. Elle nous parle également de l'économie du spectacle vivant et l'éducation artistique qu'elle a pu observer de près comme conseillère chargée de la culture au cabinet de François Hollande. Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Maryvonne De Saint-Pulgent, ancienne directrice du patrimoine, auteur avec Jacques Toubon de « L'énergie et la passion » – Le Barbier du...

En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier

Play Episode Listen Later Jul 14, 2022 14:02


Christophe Barbier reçoit Maryvonne De Saint-Pulgent, ancienne directrice du patrimoine, auteur avec Jacques Toubon de « L'énergie et la passion ».

Musique matin
La Matinale spéciale autour des ensembles français

Musique matin

Play Episode Listen Later Jun 13, 2022 124:58


durée : 02:04:58 - Musique matin du lundi 13 juin 2022 - par : Jean-Baptiste Urbain - Après deux années de crise, comment se portent les ensembles français ? Pour y répondre, nous donnons la parole à deux musiciens : Marianne Piketty du Concert Idéal et Etienne Meyer des Traversées Baroques, ainsi qu'à Jacques Toubon, président de la Fevis. - réalisé par : Figaro Freslon Le Floc'h

Maintenant, vous savez
[REDIFFUSION] Qu'est-ce que le Défenseur des Droits ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Jun 11, 2022 4:43


Le 11 juin 2022 se tient la Nuit du Handicap, un événement mis en place pour sensibiliser la population et briser les clichés autour du handicap. A ce propos, saviez-vous qu'il existe une institution chargée de défendre nos droits ? Qu'est-ce que le Défenseur des Droits ? Il existe une institution indépendante mal connue en France, chargée de défendre les enfants, les lanceurs d'alerte et les droits de tous les citoyens face aux services publics. Cette institution s'appelle le Défenseur des Droits et son influence sur le débat public n'est pas négligeable. Avant 2008, il existait un Médiateur de la République, un Défenseur des enfants et une haute autorité de lutte contre les discriminations. Depuis 2008, toutes ces prérogatives sont celles du Défenseur des Droits, un rôle inscrit dans la constitution. Il est chargé de veiller à la protection des droits et des libertés et de promouvoir l'égalité. Le premier Défenseur des Droits s'appelait Dominique Baudis. Il est décédé pendant son mandat et c'est Jacques Toubon qui lui a succédé de 2014 à 2020. Concrètement, il travaille sur quoi le Défenseur des Droits ? N'importe qui peut saisir le Défenseur des Droits pour dénoncer une situation qui rentre dans ces domaines ? Peut-il mettre une amende ou envoyer quelqu'un en prison ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez". A écouter aussi : Qu'est-ce qu'un remaniement ? Qu'est-ce que la loi Avia ? Qu'est-ce que l'état d'urgence ? Si vous souhaitez écouter les épisodes sans interruption, rendez-vous sur la chaîne Bababam+ d'Apple Podcasts : https://apple.co/3NQHV3I Abonnement Maintenant Vous Savez : https://apple.co/3x8liRx Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Pour Jacques Toubon, «l'anti-racisme contemporain ne tourne pas le dos à l'universalisme»

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later May 21, 2022 9:16


Tous les samedis et dimanches à 19h17, Pierre de Vilno reçoit un invité décalé pour apporter un éclairage inédit sur l'actualité. Ce soir, Jacques Toubon, ancien Défenseur des droits et ancien ministre de la Culture puis de la Justice. Auteur de "Je dois vous dire" (Stock, paru le 4 mai dernier).

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Europe Soir Week-end avec Cédric Villani et Jacques Toubon

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later May 21, 2022 82:52


Deux heures de débats en direct pour faire un point complet sur l'actualité du week-end.

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France Culture physique
Droits et libertés en danger ? Le diagnostic de Jacques Toubon

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 18, 2022 32:54


durée : 00:32:54 - La Grande Table idées - par : Olivia Gesbert - Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture et de la Justice, maire du 13e arrondissement de Paris pendant plus de 25 ans et Défenseur des droits de 2014 à 2020, vient nous parler de son parcours et de sa vision de l'état des droits aujourd'hui. - invités : Jacques Toubon Défenseur des droits, ancien ministre de la Culture, ancien Garde des Sceaux

Livre France
Jacques Toubon: «Je dois vous dire»

Livre France

Play Episode Listen Later May 7, 2022 11:37


Le livre de la semaine aborde les questions des libertés individuelles et des valeurs républicaines (notamment). L'ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, s'inquiète des tentations identitaires qui s'imposent dans le débat politique. Il en parle à Frédérique Genot. RFI : Vous avez été député, maire, ministre de la Culture puis de la Justice dans les années 90, vous avez présidé le Conseil d'orientation de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration et été le défenseur des droits de 2014 à 2020. Vous publiez un essai intitulé Je dois vous dire. Quel est ce message que vous ne pouviez pas garder pour vous ? Jacques Toubon : Je pense que les expériences que j'ai pu faire dans la fonction publique, mais surtout dans le monde politique, de nature très diverse, m'ont attaché à ce qu'on appelle d'un terme qui n'est pas du tout technique, qui devrait être connu par tout le monde, qui est l'état de droit. C'est-à-dire, cet ensemble de principes avec lesquels nous vivons depuis historiquement 200 ans, c'est-à-dire depuis la fin du XVIIIe siècle, les grands principes qui ont été fixés par la Révolution française et qui sont contenus dans notre Constitution, mais qui sont par exemple repris aussi dans la charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, donc ce n'est pas une affaire franco-française. Et je me suis posé la question d'une évolution qui me parait aujourd'hui dangereuse. J'ai une conviction, qui est la supériorité de ces valeurs universelles fondées sur l'humanité, sur le fait que les 7 ou 8 milliards d'hommes et de femmes qui vivent sur la Terre sont tous pareils, tous égaux et ont tous les mêmes droits et la même dignité. Et que cette conviction qui est permanente, et que j'ai trimballée tout au long de mon existence et de mon action, et d'un contexte politique aujourd'hui en France et partout ailleurs qui en quelque sorte bouscule aujourd'hui ces convictions, qui montre que dans beaucoup de circonstances, la lutte contre le terrorisme (il y a une légitimité), la lutte contre la pandémie (il y a une légitimité), mais aussi tout simplement des régimes politiques qui se veulent autoritaires et qui veulent mettre en œuvre un certain nombre de mesures de manière autoritaire, on voit l'état de droit s'amenuiser, on voit les éléments non démocratiques se développer. Et j'essaye dans ce livre d'expliquer d'une part cette évolution en Europe et ailleurs, et d'autre part de proposer un certain nombre de mesures. Mais d'abord, parce que ce livre, c'est pour ça qu'il a ce titre, Je dois vous dire, c'est une prise de conscience. Je pense qu'aujourd'hui, et quand je dis aujourd'hui ça veut dire depuis vingt ans, depuis l'affaire des tours jumelles, depuis que les Américains se sont rendus compte que même sur leur territoire, ils pouvaient être touchés, et ils ont donc pris des mesures qui ont porté atteinte aux libertés fondamentales aux États-Unis en faveur d'une plus grande sécurité. Cela s'est appelé à l'époque le Patriot Act et tout le monde a copié le Patriot Act plus ou moins. Et donc je me suis dit qu'il fallait le dire, parce que ce qui me parait la pire des choses, c'est qu'on aille peu à peu vers des systèmes non libéraux, des systèmes non démocratiques, vers des systèmes où l'identité prend le dessus sur l'humanité, dans l'indifférence. Et c'est ce qui est caractéristique d'un pays, même comme la France. On voit aujourd'hui beaucoup d'affrontements. On l'a vu dans les derniers débats électoraux, on en verra encore pour les élections législatives. Mais ces affrontements portent aujourd'hui souvent sur des questions purement politiciennes et ils oublient le fond des choses, c'est-à-dire ce déclin de l'état de droit que je caractérise, et d'autre part, cette bataille d'une volonté identitaire qui cherche à supplanter le caractère universel des principes que (encore une fois) nous appliquons depuis 200 ans dans un pays comme la France. C'est un sujet qui est à la fois d'actualité parce que je vois l'avenir, d'une certaine façon, de manière pessimiste, et, en même temps, c'est un sujet qui nous prend depuis que nous avons instauré au début du 19e siècle les éléments de la démocratie dans un pays comme le nôtre. ► À lire aussi : Défenseur des droits: Jacques Toubon, l'inattendu pourfendeur des inégalités Ces revendications identitaires que vous évoquez, c'est cela qui nous divise. Est-ce que l'on peut revenir en arrière ? Je pense qu'on peut sûrement revenir en arrière. Je fais appel dans mon livre à quelque chose qui peut paraitre un terme un peu révolu, je fais appel à la raison, parce que je pense qu'il y a dans beaucoup de ces positions, dans ceux qui défendent des communautés, des nationalités, dans ceux qui mènent la lutte des sexes ou des genres, dans ceux qui pensent qu'il faut exclure ceux qui ne sont pas pareils. Bien entendu, cela concerne les étrangers, mais cela peut concerner les personnes handicapées ou les personnes âgées. Dans tout cela, il faut que nous essayions de nous rendre compte que nous avons des idéologies, des propos qui sont en train de gagner du terrain et comment redresser les choses : la raison ! Parce que la raison, elle nous dit que nous sommes tous frères et sœurs, que nous sommes égaux… Vous faites appel à la raison, mais vous le dites vous-même, les réseaux sociaux, l'anonymat, la violence de l'époque… Et c'est pour ça que je propose un grand travail d'éducation. Dans des pays développés comme le nôtre, mais un grand travail d'éducation partout. Je prends un exemple qui peut paraître éloigné : quand on voit un pays comme le Brésil. L'influence qu'ont pris les Églises évangéliques depuis des années dans le nord-est d'abord et maintenant dans l'ensemble du Brésil. Comment elles fabriquent l'opinion. Et comment aujourd'hui Bolsonaro s'appuie sur elles. Elles ont créé dans l'esprit de millions de Brésiliens une vision absolument mythique qui fait qu'on demande à Dieu de résoudre les problèmes de l'économie ou de la société. Et que la révélation divine remplace l'idéologie politique, les institutions. On est là dans quelque chose où l'absence de raison, l'absence de rationalité, risque de conduire (en l'occurrence c'est le cas) à un certain nombre de mesures autoritaires, à des mesures de privation de liberté. Car, qu'on le veuille ou non, nos grands principes de liberté et d'égalité sont fondés sur une démarche qui a été faite au XVIIIe siècle et qui consiste à dire : nous savons en raison, nous savons en objectivité parce que c'est ça qui est l'humanité, que nos contemporains sont comme nous, que nous n'avons pas de supériorité, qu'ils n'ont pas d'infériorité, que par exemple les étrangers qui viennent chez nous, il ne faut pas les traiter comme s'il y avait eux et nous. Non ! Nous sommes tous nous ! Et vous le rappelez dans votre livre : « Entrer en France n'est pas un délit, et s'installer en France ne relève pas d'emblée de la police »… Bien entendu. Nous avons à la fois des textes internationaux (y compris européens) et nos lois qui font que la libre circulation et d'une certaine façon, le principe du monde, c'est le principe légal. Si vous avez des papiers normaux, vous sortez de votre pays, vous pouvez aller dans un autre pays. Après il s'agit de savoir si on peut y travailler, on peut s'y installer, etc. Il y a toute une série de réglementations. Mais le fait de se déplacer dans le monde – il y a aujourd'hui à peu près en permanence 2,5% de la population du monde qui se déplace. Et le plus souvent d'ailleurs, contrairement à ce qu'on croit, ils se déplacent de pays du Sud à pays du Sud. Et pas de pays du Sud à pays du Nord. C'est la négation du fameux grand remplacement. Donc il y a deux millions et demi de personnes qui se déplacent et ce déplacement est d'ordre normal et d'ordre légal. À partir de là, appréhender la migration, d'abord comme une question de sécurité ou d'insécurité, et faire travailler d'abord la police, c'est une erreur. C'est pourquoi, vous l'avez vu, je propose que toutes ces questions ne relèvent pas du ministère de l'Intérieur, mais d'une politique interministérielle. Il y a des aspects qui relèvent de l'Intérieur, c'est vrai. La police aux frontières, c'est le ministère de l'Intérieur. Mais il y a plein de mesures qui relèvent de questions sociales : tout ce qui concerne le travail, tout ce qui concerne la protection sociale. C'est pour cela d'ailleurs que pendant très longtemps, jusqu'en 2008 (une période encore très récente), c'était le ministère des Affaires sociales qui était principalement chargé de la question des étrangers. Avec le ministère des Affaires étrangères qui traite des relations entre les États à ce sujet. Donc la complexité, c'est qu'il y a au moins trois ministères qui sont concernés : l'Intérieur, les Affaires étrangères et les Affaires sociales. Et moi, je voudrais le retrouver dans une grande politique migratoire qui soit conduite au niveau de Matignon, chez le Premier ministre. Vous évoquez ce que vous avez fait, en tant que défenseur des droits, pour défendre la liberté de manifester, pour que les migrants aient un minimum de droits (être nourris et soignés) ou pour que la fessée soit interdite par la loi. De quoi êtes-vous le plus fier ? Probablement, c'est le fait d'avoir, après des années, pu permettre un certain nombre de droits pour les femmes. Que les femmes puissent faire tout ce qu'elles ont à faire en tant qu'individus libres, égales, dignes…  Sans avoir aucune autorisation, sans avoir aucune procédure particulière. Nous avons là pour les femmes et pour les enfants aussi, car très souvent les deux questions sont liées, parce que dans notre esprit, il y a quelque chose qui tient des droits des enfants, des droits des mères et de la maternité. Je pense que c'est ça que j'ai fait le plus évolué à travers les droits des femmes et des droits des enfants. Encore récemment, en 2017 et 2018, des dispositions ont été prises en ce sens et qui font que tout simplement, l'égalité se concrétise. Au lieu d'en parler, on la fait !

France Culture physique
Jacques Toubon : "Sur le plan sanitaire les mesures préconisées me paraissent opportunes et justifiées"

France Culture physique

Play Episode Listen Later Jan 1, 2022 43:19


durée : 00:43:19 - Politique ! - par : Frédéric Says - Jacques Toubon a eu un parcours assez singulier. Du RPR, il est devenu défenseur des droits. Une nomination qui avait beaucoup surpris en 2014. Certains diront qu'il s'est gauchisé au fil du temps. Qu'en pense t-il ? Quel regard porte t-il sur la politique aujourd'hui ? Sur la passe vaccinal ? - invités : Jacques Toubon Défenseur des droits, ancien ministre de la Culture, ancien Garde des Sceaux

Politique !
Jacques Toubon : "Sur le plan sanitaire les mesures préconisées me paraissent opportunes et justifiées"

Politique !

Play Episode Listen Later Jan 1, 2022 43:19


durée : 00:43:19 - Politique ! - par : Frédéric Says - Jacques Toubon a eu un parcours assez singulier. Du RPR, il est devenu défenseur des droits. Une nomination qui avait beaucoup surpris en 2014. Certains diront qu'il s'est gauchisé au fil du temps. Qu'en pense t-il ? Quel regard porte t-il sur la politique aujourd'hui ? Sur la passe vaccinal ? - invités : Jacques Toubon Défenseur des droits, ancien ministre de la Culture, ancien Garde des Sceaux

Restons polis !
HS : C'est quoi la Constitution ? Ep. 3

Restons polis !

Play Episode Listen Later Jan 4, 2021 26:53


Pour les fêtes de fin d'année, Restons polis vous a préparé une trilogie hors-série pour revenir à la base de la 5ème République : La Constitution. Pendant 3 émissions, Hadrien et Nemo vous lise le fameux texte et vous explique tout sans langue de bois et de façon compréhensible.N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil au texte original pendant le podcast. Bonne écoute et bonnes fêtes de fin d'année à toutes et à tous. Pour en savoir plus : La Constitution sur Legifrance --Chapitre de l'épisode : 00:32 Introduction 01:36 Article 52 02:22 Article 53 03:18 Article 53 -1, 53 -2 et 54 05:24 Article 55 06:10 Article 56 à 63Pour ce passage, on vous renvoie sur notre épisode consacré au Conseil Constitutionnel 06:35 Article 64 07:34 Article 65 09:50 Article 66 10:41 Article 66 -1 11:13 Article 67 et 68 13:27 Ces articles qu'on ne va pas traiter dans cette sériePour ce passage, on vous renvoie notamment sur l'épisode consacré à Jacques Toubon, Défenseur des droits de 2014 à 2020 15:07 Article 89 18:47 Bilan et perspective sur la Constitution 25:47 Remerciement et fin du podcast --Animation et réalisation : Hadrien et NemoJingle : SuzieQIllustration : Constitution - Conseil Constitutionnel -- Vous voulez nous soutenir ? Cliquez ici et participez à notre financement participatif. Retrouvez l'équipe de Restons Polis ! sur Twitter @PodcastPolisEt sur Youtube !

Musique matin
Musique matin avec Jacques Toubon

Musique matin

Play Episode Listen Later Nov 16, 2020 119:06


durée : 01:59:06 - Musique matin du lundi 16 novembre 2020 - par : Jean-Baptiste Urbain - Le Président de la FEVIS (la Fédération des Ensembles Vocaux et Instrumentaux Spécialisés), Jacques Toubon, évoque avec nous ce matin l’édition 2020 100% digitale du New Deal, un salon initié par la FEVIS et conçu pour les professionnels du secteur des musiques de patrimoine et création. - réalisé par : Yassine Bouzar

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Musique matin (samedi)
Margaux Blanchard et Jacques Toubon, Gundecha brothers, échauffement vocal, le Festival d'Ambronay

Musique matin (samedi)

Play Episode Listen Later Oct 3, 2020 88:14


durée : 01:28:14 - Musique matin, samedi du samedi 03 octobre 2020 - par : Saskia de Ville - réalisé par : Davy Travailleur

Baba Squaaly se confie sans haine
Baba Squaaly se prend pour Jean-Pierre Foucault

Baba Squaaly se confie sans haine

Play Episode Listen Later Aug 26, 2020 2:58


Baba Squaaly se confie, sans haine... Tranquillement, sans haine, parfois même avec amour, il nous parle du ciel bleu, des feuilles mortes ou de l'actualité politique… Et ce matin, Squaaly nous parle d'une personnalité politique que les moins jeunes d'entres vous ont sûrement bien connu. Il s'agit de Jacques Toubon. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Les interviews d'Inter
Claire Hédon : "La réalité du non-accès au droit, c'est une atteinte à notre démocratie"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jul 24, 2020 8:30


durée : 00:08:30 - L'invité de 7h50 - Claire Hédon, nouvelle Défenseure des droits qui vient de succéder à Jacques Toubon, est l'invitée de 7h50. Elle détaille son ambition pour ce poste, notamment sur la question de l'accès de tous à ses droits.

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Invité du matin
Invité du matin - Claire Hédon: «On n'est pas là pour faire plaisir mais pour dire le droit»

Invité du matin

Play Episode Listen Later Jul 22, 2020 7:23


Claire Hédon, Défenseure des droits, revient sur sa nomination et explique les raisons pour lesquelles elle l'a acceptée. Elle détaille aussi sa mission et comment elle mènera son combat. RFI : Avant de s’attarder sur les pouvoirs du Défenseur des droits, en quelques mots, pourquoi pensez-vous avoir été choisie par le président de la République ? Claire Hédon : Parce que, en tant que présidente de ATD Quart Monde (mouvement de lutte contre la pauvreté, ndlr), mon but était de batailler sur l’accès aux droits, et l’accès à tous les droits pour toutes les personnes. Et j’ai toujours défendu cela. La précarité ce n’était pas simplement un manque de revenus financiers, c’était des problèmes d’accès aux droits. Et quand on se bat pour l’accès aux droits, on se bat pour l’accès aux droits de tous. Je vous donne un exemple : la dématérialisation, le simple fait de faire ces démarches uniquement par informatique, ça pénalise des personnes en situation de précarité qui n’ont pas d’ordinateur, mais ça pénalise aussi des personnes âgées qui ont des difficultés d’utilisation d’ordinateur et des personnes qui sont en zone blanche dans des endroits où il n’y a pas internet. Donc, on voit bien comment se battre pour l’accès aux droits et à tous les droits peut concerner tout le monde. Comme je me suis battue pour ça, je pense que c’est pour cela qu’on a pensé à moi. RFI : Peut-être faut-il commencer par rappeler ce qu’est le Défenseur des droits. Quel est son rôle ? De quels droits parle-t-on ? On parle de tous les droits. RFI : Oui, mais on n’a pas tous les droits. On a un certain nombre de droits en France qui peuvent aller de questions de l’accès à un logement, de l’accès au travail, qui peuvent être des difficultés de relation avec Pôle emploi quand on doit toucher le chômage, avec la Caisse des allocations familiales quand on a les allocations familiales, avec la sécurité sociale, etc. Ce sont les différents liens avec les services publics, la défense des droits, toute la question de la lutte contre les discriminations, la partie sur la déontologie des forces de sécurité qui est une partie aussi très importante et les lanceurs d’alerte, et les droits des enfants, absolument capital. C’est tout cela. C’est vrai que dans le grand public, on ne sait pas bien qu’on peut saisir le Défenseur des droits. Mon prédécesseur, Jacques Toubon, a fait un travail formidable et je veux saluer à la fois son travail et le travail des équipes. RFI : Il a donné une visibilité nouvelle à la fonction… Incroyable, mais on sent qu’il faut faire encore plus aujourd’hui. RFI : C'est une chance ? C’est une chance inouïe. RFI : Ce n’est pas une difficulté ? Au contraire, passer après quelqu’un qui a fait le travail de façon formidable est une chance et va me permettre de poursuivre dans la lignée. Et quand je vais vous quitter, je vais tout de suite en Seine Saint-Denis qui est quand même un des départements qui a été le plus touché par cette épidémie pour essayer de voir ce qui est fait en terme à la préfecture d’accès aux droits, d’aller voir une association de protection de l’enfance, rencontrer les délégués territoriaux. Tous ces points-là sont absolument importants. Je veux être proche des gens. Je le suis de fait, par mon histoire, je veux le rester. Je veux rendre de plus en plus accessible cette institution. RFI : Quels sont les pouvoirs du Défenseur des droits ? Est-ce que vous avez un pouvoir de recommandation ou est-ce que vous avez un pouvoir de sanction ? On n’a pas de pouvoir de sanction, mais on a un pouvoir de recommandation. Et les recommandations doivent être suivies. On peut faire des rappels quand ce n’est pas suivi. Et dans la médiation, le but c’est d’obtenir un accord entre les deux parties. Quand je vous ai parlé de difficultés par exemple avec la sécurité sociale, on peut fonctionner dans ces difficultés avec une médiation. C’est vraiment une institution qui est au service de la population. Et à l’heure actuelle, on sent de plus en plus d’atteintes ou de scepticisme par rapport à notre démocratie. Cette question de l’effectivité de l’accès aux droits est un élément fondamental de notre démocratie et de cohésion sociale. Et le deuxième point qui est capital, c’est que c’est une autorité indépendante des pouvoirs publics.  RFI : Je crois que vous êtes nommée par le président de la République, mais il ne peut pas vous révoquer si ça lui chante ? Je suis nommée pour six ans exactement, pas révocable. C’est une autorité qui est indépendante et c’est cela qui fait sa force. On n’est pas là pour faire plaisir à qui que ce soit, mais on est là pour dire le droit. RFI : Très simplement, comment saisit-on le Défenseur des droits ? S’il y a quelqu’un qui est en difficulté, il peut soit s’adresser au délégué territorial qui est près de chez lui, dans des maisons de service public, ou à la préfecture. Il y a le site internet, le courrier, le téléphone. Vous permettez de le donner, évidemment c’est pour ceux qui sont en France. RFI : Vous le répétez deux fois, vous savez bien… Oui, c’est ça : 09 69 39 00 00. RFI : Et le Défenseur des droits a le pouvoir de s’autosaisir. Et c’est important... C’est très important. Quand on voit des situations qui sont inadmissibles d’accès au droit, on peut s’autosaisir quand on voit des dysfonctionnements à plusieurs endroits, ou sur une préfecture ou sur un service de sécurité sociale ou dans un hôpital, on peut rendre un avis plus général et donner des préconisations. RFI : Vous n’avez pas l’intention de hiérarchiser les droits. Vous voulez les mettre tous sur un pied d’égalité. En revanche, est-ce qu’il y a à vos yeux des priorités en termes d’urgence ? Pourquoi je ne veux pas hiérarchiser ? Parce que les droits sont indivisibles et interdépendants. C’est-à-dire qu’on a très souvent affaire à des personnes qui ont des atteintes aux droits, mais pas seulement dans un domaine. C’est souvent dans un cumul de problèmes d’atteintes aux droits. Et quand une personne nous saisit pour un problème de discrimination ou pour un non-accès à un logement, pour elle, c’est la chose la plus importante. Donc, hiérarchiser ce serait dire à des personnes que ce qu’elles vont déposer, n’est pas le plus important. C’est pour cela que je ne veux pas hiérarchiser, que l’ensemble de ces droits est absolument capital et qu’il faut travailler sur l’ensemble et en même temps. RFI : Il y a deux sujets d'actualité assez brûlante, la question des violences commises par des représentants des forces de l’ordre dont on parle beaucoup depuis des mois, et celle qui arrive la semaine prochaine à l’Assemblée nationale, la loi bioéthique qui comporte notamment les nouvelles dispositions sur la procréation médicalement assistée (PMA). Est-ce que ce sont deux sujets sur lesquels vous avez commencé à réfléchir, la PMA avec tout ce que cela comporte sur les droits de l’enfant ? Je me situe complètement dans la lignée de ce qui a été fait c’est-à-dire tout ce qui a été fait dans les dernières années et ces derniers mois. Je suis en accord complet avec ce qu’a pu défendre Jacques Toubon. Quand vous parlez de la question de la déontologie des forces de sécurité, c’est pour moi un point absolument capital. Cela fera partie de mes premières sorties. Jeudi prochain, je serai justement dans une école de formation de police où on forme à ces questions de déontologie des forces de sécurité, c’est un point de vigilance pour moi et un point sur lequel il faut faire attention. Je pense qu’il faut réconcilier la population avec sa police dans les deux sens. Et je pense que le droit est un des moyens de réconciliation et la réalité de l’accès aux droits. Et sur la loi bioéthique, effectivement, on va être très vigilants sur ce qui se passe. C’est très important pour nous de suivre justement les évolutions législatives dans tous ces domaines. Oui, bien sûr, on suit tout ce qui se passe. RFI : Un mot plus personnel, est-ce qu’on vous reverra un jour à la radio ou c’est une histoire qui est terminée ? J’ai « été obligée » de démissionner complétement de mes fonctions parce que justement, je vous ai dit qu’on était indépendants et que pour être indépendante, il faut démissionner. Je voulais dire un mot sur l’international, on est sur des réseaux francophones de médiateurs et vous imaginez bien qu’il y a toujours un lien avec l’Afrique francophone et que je serai très vigilante. Vous savez mon attachement. RFI : On vous y reverra sans doute, mais comme défenseure des droits puisque c’est un mandat de 6 ans.

Le Nouvel Esprit Public
Thématique : le Défenseur des droits, Jacques Toubon / n°149 (12 juillet 2020)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 12, 2020 68:50


Jacques Toubon, vous avez été nommé à ce poste par le Président Hollande en juillet 2014 pour un mandat de 6 ans qui est arrivé à son terme le 12 juillet 2020. Vous êtes haut fonctionnaire et avez exercé de nombreuses responsabilités politiques et gouvernementales, mais avant d’en venir à vous, un rappel des missions et des moyens du DDD : cette autorité administrative indépendante a été créée en 2011 à la suite de la révision constitutionnelle de 2008. Elle reprend les missions du médiateur de la République, de la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), de la HALDE, du Défenseur des enfants et la loi Sapin 2 lui a confié le rôle de protection des lanceurs d’alerte.Le Défenseur des droits peut être saisi par tout individu estimant ses droits violés ou étant témoin d’une violation de droits. Il peut également s’autosaisir.Disposant d’un pouvoir d’enquête, il peut proposer un règlement à l’amiable, comme dans 8 cas sur 10, ou faire des recommandations d’évolution des pratiques ou des normes. Il peut également intervenir dans une procédure judiciaire.Pour remplir ses missions, le Défenseur des droits est entouré de trois adjoints responsables chacun d’un domaine de compétence. Il dispose de 250 collaborateurs - principalement des juristes spécialisés. 510 délégués du Défenseur des droits dans les territoires assument bénévolement des permanences toute l’année et reçoivent gratuitement toute personne qui sollicite de l’aide pour faire valoir ses droits.En 2019, le Défenseur des droits a reçu plus de 100 000 réclamations, en augmentation de 40% depuis 2014. Certains domaines connaissent une forte hausse des requêtes : les droits des usagers du service public (+78,4%) et la déontologie de la sécurité (+178,8%). La dématérialisation à marche forcée des démarches administratives, la crise des Gilets Jaunes ou encore les soupçons de racisme chez les forces de l’ordre sont autant d’explications de ces hausses.Vous vous êtes particulièrement intéressé à la protection de l’enfance et au droit à l’éducation, notamment pour les mineurs non accompagnés. Vous avez développé durant votre mandat la sensibilisation des jeunes à leurs droits.Votre mandat a notamment été marqué par deux états d’urgence, l’adoption de dispositions jusque-là exceptionnelles dans le droit commun, une loi sur le renseignement et une crise migratoire. Sur chacun de ces sujets, vous avez dénoncé les atteintes portées par le législateur ou le gouvernement aux droits des citoyens, que ce soit au niveau des libertés individuelles, de la protection des plus vulnérables ou de la dignité de chacun.Vous êtes un homme de droite dont la nomination au poste de Défenseur des droits en 2014 avait provoqué une certaine grogne à gauche. Alors que vous quittez vos fonctions, les grognons battent leur coulpe et se bousculent pour faire votre éloge. Comme disent les Suisses, vous les avez déçus en bien. Nous comprendrons sans doute mieux ce qui vous vaut cet agréable revers de fortune, en nous penchant sur votre action à la tête d’une autorité qui n’est pas la seule de son genre en Europe, mais d’abord, dites-nous ce qui vous a poussé à accepter cette fonction.

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que le Défenseur des Droits ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Jul 8, 2020 3:43


Qu'est-ce que le Défenseur des Droits ? Merci d'avoir posé la question ! Il existe une institution indépendante mal connue en France, chargée de défendre les enfants, les lanceurs d’alerte et les droits de tous les citoyens face aux services publics. Cette institution s’appelle le Défenseur des Droits et son influence sur le débat public n’est pas négligeable. Avant 2008, il existait un Médiateur de la République, un Défenseur des enfants et une haute autorité de lutte contre les discriminations. Depuis 2008, toutes ces prérogatives sont celles du Défenseur des Droits, un rôle inscrit dans la constitution. Il est chargé de veiller à la protection des droits et des libertés et de promouvoir l’égalité. Le premier Défenseur des Droits s’appelait Dominique Baudis. Il est décédé pendant son mandat et c’est Jacques Toubon qui lui a succédé de 2014 à 2020.Concrètement, il travaille sur quoi le Défenseur des Droits ? Bien que le ou la Défenseur des Droits soit nommé par le président de la République pour 6 ans, cette institution composée de plus de 200 agents est totalement indépendante. D’ailleurs, le défenseur des droits ne peut être poursuivi en justice pour ce qu’il dit ou accomplit lors de son mandat. Et pour garantir cette indépendance, il ne peut pas cumuler cette fonction avec un autre travail ou autre mandat. Le Défenseur des Droits a cinq domaines de compétences. Celui où les réclamations sont le plus nombreuses c’est la “défense des droits des usagers des services publics”. Celui ou les réclamations augmentent le plus concerne le respect de la déontologie des professionnels de la sécurité, comprenez la police et la gendarmerie. Mais il veille aussi à la défense des droits des enfants, à la lutte contre les discriminations et à la protection des lanceurs d’alerte.N'importe qui peut saisir le Défenseur des Droits pour dénoncer une situation qui rentre dans ces domaines ? Peut-il mettre une amende ou envoyer quelqu'un en prison ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez".A écouter aussi : Qu'est-ce qu'un remaniement ? Qu'est-ce que la loi Avia ?Qu’est-ce que l'état d’urgence ? See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Restons polis !
Ep. 39 : C'est qui Jacques Toubon ?

Restons polis !

Play Episode Listen Later Jun 15, 2020 18:36


À l'occasion de sa fin de mandat en tant que Défenseur des droits, Restons Polis revient sur Jacques Toubon. Homme politique associé à Jacques Chirac, Jacques Toubon a Comme toujours, Hadrien et Nemo vous éclaire sur le sujet. Retrouver Restons Polis sur Twitch lundi 15 juin à 21h pour une écoute en direct et répondre aux questions et commentaires des internautes. Pour en savoir plus : Présentation de Jacques Toubon sur le site du Défenseur des droits Interview de Jacques Toubon où il revient sur son rapport annuel 2019 - Coup de gueule de Jacques Toubon pour défendre les droits fondamentaux des demandeurs d’asile. Polémique sur la rémunération de Jacques Toubon alors qu'il est défenseur des droits Les chiraquiens : Alain, Jean-Louis, Dominique et les autres... (dont Jacques Toubon) Animation et réalisation : Hadrien et NemoJingle : SuzieQExtrait sonore : Vidéo de LCPIllustration : Site du Défenseur des droits -- Vous voulez nous soutenir ? Cliquez ici et participez à notre financement participatif. Retrouvez l'équipe de Restons Polis ! sur Twitter @PodcastPolisEt maintenant sur Youtube ! et Twitch ! Et niveau podcast :Nemo : Canapé Game, Les pires rennais et A Gauche toutes.Hadrien : Ludologies. --

Le Nouvel Esprit Public
Racisme : ils n’en souffraient pas tous, mais tous étaient frappés / n°145

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 14, 2020 70:25


RACISME : ILS N’EN SOUFFRAIENT PAS TOUS, MAIS TOUS ÉTAIENT FRAPPÉS L’onde de choc provoquée par la mort de George Floyd aux Etats-Unis continue de se propager en France. Le 2 juin, devant le tribunal judiciaire de Paris, 20.000 personnes, selon la Préfecture de police, au moins 60.000, selon les organisateurs, se sont rassemblées à l'appel du comité La vérité pour Adama du nom du jeune homme de 24 ans, mort en 2016, lors de son interpellation par des gendarmes dans des circonstances qui font encore aujourd’hui l’objet d’une information judiciaire. Le comité Adama est devenu le symbole le plus connu en France de la lutte contre les violences policières. Personne n'avait vu venir l'ampleur de la mobilisation, qui se poursuit dans plusieurs villes de France. Depuis plusieurs semaines, la dénonciation de certaines pratiques policières et les accusations de racisme à l'encontre des forces de l'ordre se multiplient. Sur plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, des insultes proférées par des policiers - utilisant des termes à caractère raciste - alimentent un débat sur l'interprétation à faire de ces comportements : faut-il y voir le fait d'agents isolés à sanctionner individuellement ou le symptôme d'un mal plus profond, structurel, au sein de l'institution policière ? Au-delà de l’affaire Adama Traoré la question est posée dans le calme ou avec passion du caractère institutionnel des violences policières et du caractère « systémique » du racisme. « Il s'agit de dire que le racisme est détachable des individus pour être le fait d'une institution ou d'un système, selon Fabien Jobard, sociologue et directeur de recherche au CNRS. Ici, le racisme est le produit d'un cumul de processus, notamment historiques, avec une histoire de la police fortement marquée par la guerre d'Algérie et la chasse aux travailleurs d'Afrique du Nord, et d'une organisation économique et sociale, qui veut que la jeunesse masculine sans diplôme, occupant l'espace public, est principalement formée de descendants de l'immigration post-coloniale ». Saisi d'une affaire relative à des violences policières sur des jeunes noirs et d'origine maghrébine de Paris, commises entre l'été 2013 et l'été 2015, le Défenseur des droits, Jacques Toubon a formulé, le 12 mai dernier, des observations devant le tribunal judiciaire de Paris plaidant pour une analyse « systémique » des discriminations qu'ont subies ces jeunes. Le ministère de l'intérieur, s'il condamne les cas individuels, refuse de parler de « racisme diffus dans la police », comme l'a déclaré le secrétaire d'État Laurent Nunez. Lors des questions d'actualité au gouvernement, le 2 juin, Christophe Castaner a défendu la police « qui protège dans ce pays les femmes et les hommes de tout, y compris du racisme ». L’ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira a jugé pour sa part que, contrairement aux États-Unis, où l’aspect systémique du racisme ne fait plus beaucoup débat, « chez nous, des personnes meurent d’avoir rencontré des policiers, pas d’avoir rencontré la police ».

Le journal de 8H00
Le Défenseur des droits dénonce une "crise de confiance et une augmentation des violences" de la part des forces de l'ordre

Le journal de 8H00

Play Episode Listen Later Jun 8, 2020 15:25


durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - Dans son rapport annuel publié ce matin, le Défenseur des droits Jacques Toubon note un nombre record de saisines en rapport avec les forces de sécurité, 1 957 recensées en 2019. Plus de la moitié de ces réclamations concernent la police nationale et un quart dénoncent des violences.

Le sept neuf
Jacques Toubon et le ou la lauréat.e du prix du Livre inter 2020

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 8, 2020 119:57


durée : 01:59:57 - Le 7/9 - Le défenseur des droits Jacques Toubon est l'invité de Léa Salamé à 7h50 et le ou la lauréat.e du prix du Livre inter 2020

inter jacques livre prix salam laur livre inter jacques toubon
Les interviews d'Inter
Jacques Toubon, défenseur des droits, réclame "la traçabilité des contrôles d'identité"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 8, 2020 10:00


durée : 00:10:00 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Le défenseur des droits Jacques Toubon est l'invité de Léa Salamé pour la sortie du rapport annuel 2019.

Les journaux de France Culture
Le Défenseur des droits dénonce une "crise de confiance et une augmentation des violences" de la part des forces de l'ordre

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 8, 2020 15:25


durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - Dans son rapport annuel publié ce matin, le Défenseur des droits Jacques Toubon note un nombre record de saisines en rapport avec les forces de sécurité, 1 957 recensées en 2019. Plus de la moitié de ces réclamations concernent la police nationale et un quart dénoncent des violences.

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: cette importante manifestation contre les violences policières à Paris

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 3, 2020 4:24


Alors que les réseaux sociaux affichaient des bandeaux noirs pour le black out tuesday, plus de 20 000 personnes se sont rassemblées devant le tribunal de grande instance de Paris. En mémoire de George Floyd, note Libération, mais surtout pour celle d'Adama Traoré, ce jeune homme mort dans des circonstances très troubles alors qu'il avait été arrêté par des gendarmes en 2016. Le collectif Vérité pour Adama « a décidé de profiter de l'émotion internationale pour rassembler et se faire entendre », explique Le Parisien. La sœur d'Adama Traoré, Assa, figure charismatique du collectif, explique au journal « George Floyd a pris le poids de policiers sur le corps, mon frère aussi. Le poids de trois gendarmes, plus de 250 kg. Tous les deux ont eu les mêmes mots avant de mourir : ' Je n'arrive pas à respirer ' ». La jeune femme est en colère parce que la manifestation a été interdite au dernier moment : « La France est le seul pays où le rassemblement n'a pas été autorisé », s'insurge-t-elle dans les colonnes de Libération. Libération qui donne la parole à des manifestants Comme Isaac pour qui « la mort d'Adama Traoré n'a pas été filmée mais celle de George Floyd oui. Ça a eu un impact sur les jeunes générations » Le Parisien note d'ailleurs que la « moyenne d'âge (tourne) autour de 25 ans avec autant de filles, si ce n'est plus, que de garçons ». Des jeunes femmes comme Adèle, interrogée par Libération, pour qui « il est temps d’élever notre voix. Ce n’est pas normal qu’il y ait des personnes tuées à cause de la police (…) il est temps que l'on se réveille ». Le Figaro de son côté, se focalise sur les incidents qui ont émaillé la fin du rassemblement « certaines personnes étant venues en découdre avec les forces de l'ordre » note le journal, qui reconnaît toutefois que « la foule est impressionnante ». Et cette mobilisation ne s'est cantonnée à Paris, « des rassemblements ont eu lieu à Lille, Lyon et Marseille », toujours selon Le Figaro « Une mobilisation spectaculaire contre le racisme et les violences policières » titre La Voix du Nord. Les manifestants demandent « Justice pour Adama » mais aussi pour Selom et Matisse, deux jeunes Lillois morts heurtés par un train alors qu'ils étaient poursuivis par la police. Comme à Paris et un peu partout sur la planète, les personnes rassemblées mettent un genou à terre, poursuit le quotidien régional. Du côté de Marseille, c'est à Zineb Redouane que rendent hommage les personnes mobilisées, notent La Provence et La Marseillaise. Zineb Redouane, c'est cette femme âgée tuée par une grenade lacrymogène lors d'une manifestation des Gilets Jaunes dans la cite phocéenne. À Lyon, Le Progrès donne la parole à Meryem pour qui « ça fait trop longtemps que ça dure. C'est un ras-le-bol. Je le ressens depuis que je suis petite parce qu'on est dans une société où on n'est pas respecté plus que cela. On a besoin que ça s'arrête et de faire entendre nos voix » Mediapart consacre de son côté un article à un autre cas de violences policières Des faits dénoncés par le Défenseur des droits, Jacques Toubon. Pendant des années, des jeunes gens d'un quartier parisien ont subi des « contrôles d'identité répétés et abusifs ainsi que des violences » de la part de policiers qui avaient décidé qu'ils étaient « indésirables ». « Une discrimination systématique » et un « harcèlement discriminatoire » selon Jacques Toubon, ancien ministre de la Justice et Défenseur des droits. Les contrôles s'accompagnaient de « propos racistes », explique Mediapart, ainsi que de coups. Des pratiques encouragées, selon le Défenseur des droits, par la hiérarchie des policiers, dont 3 ont été condamnés à de la prison avec sursis. La responsabilité de l'État est donc engagée, estime le rapport. « Une décision fondamentale et historique » selon l'avocat des jeunes gens interrogé par le site d'information, « c'est la première fois qu'une instance étatique reconnaît un système discriminatoire (en France) et cela au sein de la police ». L'autre grand titre de la presse ce matin, ce sont les dernières manœuvres pour nouer des alliances en vue du second tour des élections municipales Le Figaro livre « les clés de la bataille ville par ville » avec une double page avec infographie présentant les cités où l'incertitude règne. Le quotidien complète cet article par un portrait du maire de Lyon Gérard Collomb, ancien socialiste, puis ministre d'Emmanuel Macron, qui a finalement décidé de s'allier avec Les Républicains pour ce second tour. « Une ultime manœuvre politique », lance Le Figaro, Gérard Collomb, se retrouvant à faire liste commune avec « des élus ayant porté plainte contre lui il y a quelques mois ». Libération s'intéresse « aux gauches qui se retrouvent en fusion ». Dans la dernière ligne droite avant le dépôt des listes hier, plusieurs accords ont été trouvés. Et « les gauches espèrent conserver leurs fiefs » comme Paris où la maire Anne Hidalgo fait équipe avec l'écologiste David Belliard. « Elles rêvent surtout d'arracher des villes à la droite » poursuit Libération, listant Lyon justement, Bordeaux, Marseille ou encore Toulouse. Mais les ambitions sont également fortes à droite où, rappelle Le Figaro, « Les Républicains espèrent profiter de la dynamique du 1er tour. » Quant au parti présidentiel La République en Marche, Le Monde se fait lapidaire pour décrire la situation : « il faut perdre et passer à autre chose ».

Le téléphone sonne
Jacques Toubon et Aurore Vincenti

Le téléphone sonne

Play Episode Listen Later May 31, 2020 44:06


durée : 00:44:06 - Le Téléphone sonne - Quelle conséquences du confinement pour les citoyens, qu’il s’agisse de leurs droits en général ou de l’accès aux services publics en particulier ?

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal
Europe midi, le journal avec Jacques Toubon

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal

Play Episode Listen Later Apr 26, 2020 28:24


Chaque dimanche, retrouvez le journal de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.

Les interviews d'Inter
Jacques Toubon : "Jacques Chirac était l'anti-clash des civilisations"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Sep 28, 2019 54:25


durée : 00:54:25 - Le Grand Face-à-face - Qu’est-ce qui fait de la disparition d’un ancien président une date dans nos existences ? Quelle place Jacques Chirac prendra-t-il dans notre histoire ? A la veille de l’hommage populaire qui lui sera rendu, une émission largement consacrée à la mémoire et à l’héritage de l’ancien président.

Le Nouvel Esprit Public
L’État vu d’en bas / n°97

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 14, 2019 61:22


Noël de Saint Pulgent vous êtes actuellement délégué du défenseur des droits pour le 19ème arrondissement ; un rôle encore méconnu dans notre société. Le 17 juillet 2014, Jacques Toubon a été nommé défenseur des droits par François Hollande. Selon l’article 71-1 de la Constitution, « Le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés ». C’est une personne indépendante qui défend les droits de chaque citoyen de manière confidentielle et gratuite. Afin de parvenir à mener à bien cette mission, le défenseur des droits est appuyé par des délégués. Ces derniers peuvent aider un citoyen s’il a des difficultés dans ses relations avec les services publics, si les droits d’un enfant ne sont pas respectés ou s’il est discriminé. Les délégués du Défenseur des droits accueillent, écoutent et orientent gratuitement tous ceux qui pensent que leurs droits ne sont pas respectés. Ils ont donc tout autant un rôle d’information que de médiateur. Selon le rapport annuel d’activité, en 2018 l’institution a reçu 95 836 dossiers de réclamations soit une augmentation de plus de 6% par rapport à 2017 et de 13% sur les deux dernières années. 80% des règlements amiables engagés par l’institution ont abouti favorablement. En outre, le Défenseur des droits a répondu à 34 999 demandes d’information. Il a rendu 295 décisions, adressé 29 avis au Parlement et présenté à 108 reprises des observations devant des juridictions.

Le journal de 22h00
Le défenseur des droits Jacques Toubon interpelle le gouvernement français sur le sort des enfants de jihadistes français retenus en Syrie

Le journal de 22h00

Play Episode Listen Later May 29, 2019 14:55


durée : 00:14:55 - Journal de 22h - Le défenseur des droits Jacques Toubon interpelle le gouvernement français, et demande des mesures rapides pour rapatrier les enfants de jihadistes français retenus en Syrie. Une problématique qui existe également en Turquie, qui a rapatrié 200 enfants de membres de l'Etat Islamique aujourd'hui.

Les Podcasts du Village de la Justice
EP5 - Défenseur des droits et proximité du Droit...

Les Podcasts du Village de la Justice

Play Episode Listen Later Mar 27, 2019 17:39


Recontre avec un Défenseur des droits... Pour clôturer la thématique, nous avions envie d’entendre le témoignage d’un acteur au plus près du terrain. Et nous avons décidé de nous tourner vers le Défenseur des droits. Dirigée actuellement par Jacques Toubon, l’institution veille, selon la Constitution, au respect des droits et des libertés. Et pour exercer ses missions, elle bénéficie du déploiement de près de 500 délégués du Défenseur des droits, présents dans 600 points d’accès au droit sur l’ensemble du territoire. Pour en savoir plus, nous avons rencontré Isabelle Neuchwander, déléguée du Défenseur des droits du Val de Marne, dans les locaux du point d’accès au droit d’Orly.

Minute papillon!
Minute Papillon! Flash info soir - 20 juin 2018

Minute papillon!

Play Episode Listen Later Jun 20, 2018 2:19


Vous avez zappé les infos ? 20 Minutes vous a concocté un récap' audio de la mi-journée. « Minute Papillon ! », c’est deux minutes à écouter sur les supports de 20 Minutes (desktop, site et application mobile) et les réseaux sociaux. Vous pouvez aussi l’écouter sur iTunes, Deezer, Pippa, Soundcloud et sur les applications de podcast, iOS et Android, ou encore Alexa.Au programme ce soir:- Un plan mercredi pour occuper les enfants. Le dispositif a été lancé par le ministre de l’Education aujourd’hui. Le but ? Proposer des activités périscolaires aux communes revenues à la semaine de 4 jours.- Seine-Maritime : La responsable des adoptions a été suspendue aujourd’hui. Elle avait admis qu’elle discriminait des couples homoparentaux souhaitant adopter. Le défenseur des droits Jacques Toubon s’est saisi du dossier.- Le Portugal fait un grand pas vers les 8e de finale du Mondial. Cristiano Ronaldo a marqué le seul but du match. Le Maroc est éliminé.- Une nouvelle application arrive chez Google : elle s’appelle Podcasts. Elle pour l’instant disponible seulement avec Android. Retrouvez-y Minute Papillon !- La « Desperate housewife » Eva Longoria a accouché. Son premier enfant s’appelle Santiago Enrique.- On a le premier gagnant français à l’Euromillions de 2018. Le parieur qui n’a pas encore réclamé son gain devrait empocher 36 millions d’euros. Crédits sons : Longing - Joakim Karud/Musique libre de droits -Vibe With Me Joakim Karud/Audio Library - Density & Time/Audio Library- Rock Angel Joakim Karud/Daedelus-17-Racecar_Drums/Fresh Start Joakim Karud/Audio Library. Pour plus d'informations sur la confidentialité de vos données, visitez Acast.com/privacy See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Le vrai-faux de l'info
La France est-elle le 16ème pays en Europe à accueillir des migrants ?

Le vrai-faux de l'info

Play Episode Listen Later Apr 25, 2018 2:44


Le défenseur des droits Jacques Toubon a affirmé que la France était le 16ème pays d'accueil des migrants en Europe. Vrai ou faux ?

Le podcast des Archives du Val-de-Marne
Radio Fréquence 94 - Actualités du 28 novembre 1984

Le podcast des Archives du Val-de-Marne

Play Episode Listen Later Oct 26, 2017 19:25


Actualités internationales : URSS, Chili. Actualités nationales : Manifestations en Nouvelle-Calédonie : Charles Barbeau, envoyé spécial du gouvernement, a rencontré les européens qui vivent en Nouvelle-Calédonie, résumé de la discussion à l'Assemblée nationale sur le sujet avec Valéry Giscard d'Estaing, député du Puy-de-Dôme et Laurent Fabius, Premier ministre. Autres titres : Bilan de la visite de François Mitterrand, Président de la République, en Syrie, présentation par Jacques Toubon de la nouvelle équipe du RPR (Rassemblement de la République) en vue des élections législatives de 1986, un cimetière israélite vandalisé à Nice, explosion d'une chaudière thermique au Havre (Seine-Maritime). Actualités locales : Convergence 84 : interview de M. Herbessier de l'Office des migrants de Créteil à propos de l'accueil qui sera réservé aux "rouleurs" au marché de la Brèche. Définition de Convergence 84, réception auprès de la population et objectifs de l'évènement. Comité des Ethiopiens de France de lutte contre la famine : interview de M. Kiflé, président-coordinateur du comité sur le problème et les origines de la famine, les solutions et la réaction de M. Herbessier de l'Office des migrants de Créteil.

Le coup de Sang de Bernard Mabille
Jacques Toubon is back - S6E039

Le coup de Sang de Bernard Mabille

Play Episode Listen Later Jan 8, 2014 2:40


EN TOURNÉE PRÈS DE CHEZ VOUS - Bernard Mabille pique un coup de sang sur l'actu chaude ou sur des sujets de société. RTL - Les grosses têtes de Philippe Bouvard tous les jours de 16h à 18h - Textes : Bernard Mabille - Réalisation: Éric Laverdin - Création, gestion et illustration du podcast: Pascal Mabille - MabProd 2014 - SAISON 6.