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durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
durée : 00:05:39 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les rebelles houthis accusent les Etats-Unis d'avoir tué 68 migrants Africains dans un bombardement. Les conditions de vie des Yéménites et des exilés ont empiré dans ce pays en guerre depuis plus de dix ans. Les Houthis, qui se disent solidaires des Gazaouis, enrôlent des enfants.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Depuis 59 jours, Israël empêche l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza, et l'ONU prévient que les stocks s'épuisent. La Cour de justice internationale de La Haye siège depuis hier sur la question de l'aide, le droit international interdisant l'usage de l'arme de la faim.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:04:11 - Le Zoom de France Inter - Les négociations patinent sur la fin de la guerre en Ukraine. Le conflit a déjà fait plusieurs dizaines de milliers de morts. Mais inlassablement, les habitants des zones occupées par les Russes collectent les preuves de ce qu'ils dénoncent comme des crimes de guerre. Reportage à Boutcha.
In this conversation, Mayur Mistry interviews Stevan Lukic, founder of Civils AI, discussing his career journey, the inception of Civils AI, and the challenges and innovations in the construction industry through AI. They explore the features of Civils AI, the importance of domain-specific workflows, and the debate between open source and closed source models in construction technology. The conversation concludes with insights on the future of AI in the industry. Takeaways Stevan Lukic emphasizes the importance of making AI accessible in construction. His career highlights include working on tunneling projects and transitioning to AI startups. Civil's AI aims to automate repetitive processes in construction using natural language. The platform allows users to automate tasks without needing programming skills. Stevan discusses the challenges of extracting information from complex drawings. He highlights the need for domain-specific workflows in AI applications. The conversation touches on the difficulties of measuring accuracy in AI systems. Stevan shares insights on the importance of structuring information effectively. The discussion includes the pros and cons of open source versus closed source models. Stevan expresses excitement about the future of AI in the construction industry. Chapters 00:00 Introduction to Stevan Lukic and Civil's AI 02:59 Career Highlights and Journey to AI 03:30 The Birth of Civils AI 04:54 Understanding Civils AI and Its Benefits 06:48 Demonstration of Civils AI Platform 12:19 Challenges in Drawing Recognition 19:00 Startup Challenges and Successes 20:56 Customer Acquisition Strategies 23:16 Open Source vs Closed Source Solutions 27:24 AI Agents and Future Opportunities 29:26 How to Reach Out and Collaborate 30:21 Closing Thoughts and Future Outlook
Les Palestiniens de la bande de Gaza sont “pris au piège, bombardés et affamés”, selon six agences de l'ONU qui ont lancé un appel au cessez le feu.En cause, la rupture de la trêve le 18 mars, la reprise des bombardements israéliens et un nouveau blocus de l'aide, qui entraine une grave crise humanitaire. La situation semble bloquée. Jeudi soir, le mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé avoir rejetté une proposition israélienne de trêve à Gaza.Les positions restent très opposées. Le Hamas veut "un accord global" impliquant un échange de prisonniers en une seule fois, l'arrêt de la guerre, la fin de l'occupation de la bande de Gaza, et un début de reconstruction.Israël a juré de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007 et considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne.Il exige son désarmement et le départ de ses combattants de Gaza, ce que le mouvement refuse.L'armée israélienne souhaite par ailleurs mettre en place ce qu'elle appelle des zones tampons, qui morcellent le territoire. Un rapport de l'armée publié mercredi 16 avril, indique qu'elle contrôle 30% de Gaza. En l'espace d'un mois, près de 500.000 Palestiniens ont une nouvelle fois été déplacés. Pour rappel, l'attaque menée par Hamas en territoire israélien le 7 octobre avait entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils selon un décompte tiré de sources officielles. Dans la bande de Gaza contrôlée par le Hamas, le bilan depuis le début de la guerre s'établit à plus de 50.000 morts selon le ministère de la Santé. Et désormais, l'ONU et des ONG de défense des droits humains craignent que le but ultime soit de pousser au départ tous les Palestiniens. Pour en savoir plus sur la situation Sur le Fil a invité Chloé Rouveyrolles, journaliste de l'AFP qui couvre les territoires palestiniens depuis Jérusalem.Vous entendrez aussi dans ce podcast Aaron David Miller, ancien diplomate et négociateur américain au Proche Orient et Agnès Levallois, vice-préidente de l'IREMO, l'Institut de recherche et d'études de Moyen-Orient Méditerranée, chargée de cours à Sciences Po et auteure du "Livre Noir de Gaza" (Editions du Seuil)Nous vous recommandons aussi le podcast d'Aaron David Miller Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferDoublages : Emmanuelle Baillon, Luca Matteucci, Elouan Blat, Mathys Vallée.Enregistrements sur le terrain AFPTVSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:02 - Journal de 18h - En Ukraine, au moins une trentaine de victimes et près d'une centaine de blessés civils après une frappe de missiles russes sur la ville de Soumy ce matin.
durée : 00:13:47 - Journal de 12h30 - Des dizaine de morts et de blessés après une frappe russe sur la ville de Soumy dans le nord est de l'Ukraine, d'après le président ukrainien.
durée : 00:10:02 - Journal de 18h - En Ukraine, au moins une trentaine de victimes et près d'une centaine de blessés civils après une frappe de missiles russes sur la ville de Soumy ce matin.
durée : 00:13:47 - Journal de 12h30 - Des dizaine de morts et de blessés après une frappe russe sur la ville de Soumy dans le nord est de l'Ukraine, d'après le président ukrainien.
durée : 00:06:39 - L'invité de 6h20 - Bénédicte Jeannerod, directrice du bureau de Paris de Human Rights Watch, était l'invitée de Mathilde Munos ce mercredi, alors que cinq pays européens ont fait part de leur souhait de quitter le traité international interdisant les mines antipersonnel.
Merci à André Baratte d'être venu témoigner sur LEGEND Story. Le 1er avril 1944, un groupe de résistants sabote une voie ferrée pour immobiliser un train. Ce qu'ils ignorent, c'est que ce train transporte en réalité 400 Waffen-SS (soldats naz*s). Âgé de 15 ans, André assiste à l'impensable : son père ainsi que 85 civils sont fusillés dans son village. Il survit par miracle, et nous raconte son histoire. Découvrez son histoire à travers ce documentaire :https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=327775.html Toutes les infos pour découvrir ce documentaire à l'avant-première du 16/04https://espacesaintmichel.com/Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/l6pvsYqSII8Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après deux ans de guerre, l'armée soudanaise vient tout juste de gagner la bataille de Khartoum, la capitale du Soudan. Elle appelle désormais les habitants à revenir chez eux. Mais à quel prix ? Nos reporters étaient sur la ligne de front lors de la dernière phase de l'offensive contre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Regardez leur reportage exclusif d'une durée de 31 minutes.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L'objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l'utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l'URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".Des dizaines d'expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n'est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d'État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n'est qu'en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l'ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.MK-Ultra, c'est l'histoire d'une course à l'arme psychique, d'une science sans conscience, et d'un scandale qui continue, encore aujourd'hui, à nourrir théories, peurs… et fiction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo À partir du début des années 1950, la CIA lance secrètement le programme MK-Ultra. L'objectif ? Explorer les techniques de manipulation mentale et de contrôle du comportement humain, notamment à travers l'utilisation de drogues psychotropes comme le LSD. Dans un contexte de guerre froide et de paranoïa anticommuniste, les États-Unis redoutent que l'URSS ou la Chine aient mis au point des méthodes pour "laver le cerveau".Des dizaines d'expériences sont alors menées, souvent sans le consentement des participants. Civils, soldats, prisonniers, patients psychiatriques... tous deviennent des cobayes potentiels. Hypnose, privation sensorielle, électrochocs, isolement prolongé : rien n'est épargné. Derrière cette opération, plusieurs "médecins", sans aucune limite.Pendant plus de vingt ans, MK-Ultra restera un secret d'État, dissimulé derrière une multitude de sous-projets aux noms anodins. Ce n'est qu'en 1975, après des enquêtes parlementaires, que l'ampleur du programme commence à être révélée au grand public. À ce moment-là, la plupart des documents ont déjà été détruits.MK-Ultra, c'est l'histoire d'une course à l'arme psychique, d'une science sans conscience, et d'un scandale qui continue, encore aujourd'hui, à nourrir théories, peurs… et fiction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Oubliée en Syrie, l'euphorie qui avait suivi la chute de Bachar al-Assad le 8 décembre 2024, après 13 ans de guerre civile. Début mars 2025, près de 1 500 personnes, ont été tuées en quelques jours dans l'ouest du pays. Des violences déclenchées par une attaque de partisans du clan Assad contre les forces de sécurité ou groupes alliés. S'en sont suivies des représailles aveugles : un millier de civils majoritairement alaouites ont été victimes d'exécutions sommaires. Les vidéos des exactions ont choqué les Syriens qui voulaient croire à l'apaisement et l'unité nationale promis par Ahmed al-Charaa, djihadiste repenti d'al-Qaïda, chef du groupe islamiste sunnite radical HTC (Hayat Tahrir Al Cham), devenu président par intérim de la Syrie.Alors la transition en Syrie est-elle menacée ? Faut-il craindre un nouvel embrasement du pays ? Ahmed al-Charaa est-il capable de cimenter une Syrie ruinée, morcelée en communautés ? Saura-t-il contrôler les plus radicaux de ses partisans et calmer la soif de revanche des loyalistes pro-Assad ?Le mouvement HTC au pouvoir depuis 3 mois s'est-il vraiment déradicalisé, ou est-ce une stratégie pour séduire les Occidentaux ? Quelle place la Syrie veut-elle occuper sur l'échiquier régional et quelle est sa politique vis-à-vis des grandes puissances ? Faut-il plus que jamais soutenir la transition en Syrie ou rester circonspect ?Avec - Hala Kodmani, Franco-syrienne, grand reporter au journal Libération, a publié en 2017 « Seule dans Raqqa », aux Équateurs- Aghiad Ghanem, chercheur franco-syrien, docteur en Relations internationales et enseignant à Sciences-Po Paris, spécialiste des alaouites- Anthony Samrani, co-rédacteur en chef du quotidien libanais L'Orient le Jour, a publié dans la collection Tracts de Gallimard « Vu du Liban, la fin d'un pays, la fin d'un monde ? ».
durée : 00:06:56 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Au Burkina Faso, Idrissa Barry, figure d'un mouvement politique qui a dénoncé, cette semaine, des massacres de civils Peuls, attribués à l'armée burkinabè et ses supplétifs dans l'ouest du pays, a été enlevé. La junte au pouvoir dément ces exactions et dénonce de fausses informations occidentales.
Michel Duclos, conseiller spécial à l'institut Montaigne, ambassadeur en Syrie et auteur de "La longue nuit syrienne" aux éditions de l'Observatoire, répond aux questions de Dimitri Pavlenko.
Le Journal en français facile du lundi 10 mars 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BU0H.A
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - C'est la minorité alaouite, celle dont est issue l'ancien dictateur, qui est prise pour cible. Près de 1 000 personnes sont mortes ces derniers jours.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
durée : 00:14:36 - Journal de 7 h - C'est la minorité alaouite, celle dont est issue l'ancien dictateur, qui est prise pour cible. Près de 1 000 personnes sont mortes ces derniers jours.
Dans cet épisode, Vincent Hervouët revient en détail sur les récents massacres d'Alaouites en Syrie. Il décrit les violences commises par des groupes islamistes et les forces de sécurité, qui ont assassiné au moins 1 000 personnes pendant le week-end. Il analyse les enjeux de ce conflit meurtrier entre les différentes communautés du pays, alors que la Syrie sombre dans le chaos après plus de 12 ans de guerre civile. L'épisode aborde également la situation précaire des autres minorités, comme les chrétiens et les Druzes, face à la montée en puissance des djihadistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.
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durée : 00:14:54 - Journal de 12h30 - Des scènes de massacres dans l'ouest de la Syrie avec plus de 300 civils alaouites exécutés en l'espace de 48h. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
durée : 00:14:54 - Journal de 12h30 - Des scènes de massacres dans l'ouest de la Syrie avec plus de 300 civils alaouites exécutés en l'espace de 48h. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
durée : 00:01:36 - Le grand format - Depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad, la Syrie fait face à plusieurs défis, notamment la sécurisation du pays. Dans le nord, à Manbij, les attentats à la voiture piégée se multiplient. Reportage de notre envoyée spéciale, Manon Chapelain.
durée : 00:02:34 - Le grand format - Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, les Européens se préparent à un éventuel plan de paix proposé par Donald Trump. Sur le terrain, l'armée russe continue son avancée. Près de Kharkiv, Claude Guibal, Yashar Fazylov et Alexandre Abergel ont rencontré un couple fuyant les combats.
Depuis deux jours, les habitants de l'Est de République Démocratique du Congo notent une accalmie dans les affrontements entre les rebelles du M23 et leurs soutiens rwandais contre les forces congolaises. Les forces congolaises ont arrêté plusieurs dizaines de militaires et de combattants locaux pour les présenter à la justice militaire. Ils sont accusés d'avoir commis des exactions contre des civils durant le week-end. Au moins neuf personnes ont été tuées selon la société civile locale.
durée : 00:05:40 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Malgré une trêve, le M23 et les troupes rwandaises s'emparent d'une cité minière lors d'une nouvelle offensive dans l'est de la République du Congo, où ils ont déjà pris le contrôle de la ville de Goma. Les combats ont fait au moins 2 900 morts. L'ONU alerte également sur les violences sexuelles.
Les civils de la région du Catatumbo, dans le nord de la Colombie, fuient une nouvelle flambée de combats entre les groupes rebelles qui se disputent le contrôle de cette zone stratégique pour le trafic de drogue. Le 16 janvier, un groupe appelé ELN a lancé une attaque contre les combattants de l'ancienne guérilla des FARC. Plus de 50 personnes ont été tuées à ce jour et des milliers d'autres ont été déplacées. Deux de nos Observateurs dans la région témoignent.Des images satellite publiées ont révélé que la Chine est en train de construire un nouveau type de navire : des barges à "pieds" potentiellement utilisables pour une invasion de Taïwan.
Dans le nord de la Syrie, les combats continuent entre les forces armées kurdes et les factions pro-turques de l'Armée nationale syrienne. L'objectif : récupérer la totalité de la poche kurde, contrôlée par les forces démocratiques syriennes. En début de semaine, Ankara, qui accuse les forces démocratiques syriennes d'avoir des liens avec les séparatistes armés kurdes sur son sol, a menacé de lancer une opération militaire. De notre envoyée spéciale à Manbij,Des soldats s'entassent à l'arrière d'une Toyota transformée en canon anti-aérien. La carrosserie est recouverte de poussière, les visages sont concentrés, les fusils AK-47 chargés. Ces combattants de l'Armée nationale syrienne quittent Manbij, dans le nord de la Syrie, pour lancer l'assaut quelques kilomètres plus à l'est, en direction du barrage de Tichrine. C'est là que les milices kurdes des Forces démocratiques syriennes tiennent leurs positions. Abou Jumaa, chef de faction, lance les dernières instructions à ses hommes : « Nous ne sommes pas d'ici, nous sommes d'Azaz, mais il est de notre devoir de libérer chaque centimètre carré de la Syrie ! Hier, nous avons libéré environ cinq villages, et y avons établi des positions. D'ici à quelques jours, nous parviendrons à traverser l'Euphrate et à pénétrer dans la zone kurde ! »Dans le ciel, des avions de reconnaissance font des allers-retours. Un soldat lève les yeux, s'amuse à compter les traces blanches. À qui appartiennent-ils ? « Certainement pas aux Turcs », avance Khalil Al-Wakaf, un chef de faction. Le dos tourné, des soldats moins gradés affirmeront l'inverse. À Manbij, l'intervention de la Turquie est visible dès l'arrivée. Des drapeaux turcs sont peints sur le béton des check-points.« Ça ne veut rien dire. C'est parce que nous avons dans nos rangs des combattants syriens d'origine turkmènes. Ils brandissent des drapeaux turcs, car ils aiment la Turquie. Mais c'est tout, cela ne veut rien dire de plus », appuie-t-il.À lire aussiSyrie: combats mortels entre forces kurdes et milices pro-turques, un accord trouvé entre les FDS et DamasDes tunnels sous-marins jusqu'au barrage de TishrineKhalil Al-Wakaf insiste surtout pour nous faire visiter les kilomètres de tunnels creusés par les combattants kurdes ces dernières années : « Il y a une ville entière sous la ville. Venez, regardez ! » Dans un hall d'entrée, le soldat ouvre une trappe, nous fait descendre à l'intérieur. Un trou béant, et à perte de vue, des dédales de sous-terrain.« La ville entière est truffée de tunnels. Nous n'avons pas eu le temps de tous les fouiller. Nous avons placé des gardes à chaque sortie, car vous savez, ces tunnels vont jusqu'au barrage de Tishreen, où se déroulent les combats. Les ennemis pourraient y entrer et venir jusqu'ici », précise Khalil Al-Wakaf.Sur des pierres, en kurde, ont été gravés les noms des rues où débouchent ces tunnels. Dans les murs creusés des cavités, des kilos de TNT y avaient été dissimulés. « Montre-lui la vidéo ! », clame un homme. Sur son téléphone, Khalil Al-Wakaf nous montre : des sacs entiers d'explosifs, fabriqués à la main.À lire aussiSyrie: à Abu Qilqil, les civils fuient les combats entre factions pro-turques et forces kurdesLes civils rêvent d'une paix À la sortie du tunnel, des habitants sont regroupés. Inquiets, ils craignent que les combats qui se tiennent sur le barrage de Tishreen ne reviennent jusqu'à Manbij. Mohammad, un berger du village, confie : « La situation est très instable, il y a encore des batailles et des affrontements partout. Nous avons peur. »Sur la route du village, quelques ambulances reviennent du front. Elles roulent à toute vitesse en direction de l'hôpital de Dar al Shift. « Il y a aussi eu des victimes civiles. Manbij est déjà une zone de front, une zone de guerre. Ces victimes sont arrivées jusqu'à cet hôpital et nous avons pu les prendre en charge. Ils ont été blessés car il y a eu deux attentats à la voiture piégée. Deux attentats... », lâche Taïsir Ahmed, le directeur.Depuis l'hôpital, on entend le son des bombes et des tirs. Ici, les civils ne rêvent que d'une chose : que cessent ces bruits sourd. Et que s'installe enfin la paix.À lire aussiLes Kurdes du nord-ouest syrien, perpétuels déplacés, presque oubliés
La guerre en Ukraine vient de franchir le cap des 1000 jours et le pays traverse une mauvaise passe : la Russie grignote du du terrain à l'Est. Les troupes de Vladimir Poutine ont conquis près de 500 km² durant le seul mois d'octobre, un record depuis mars 2022.Le long de la ligne de front, il reste des civils qui refusent de partir, pour aider un proche, par manque de moyens, ou tout simplement par principe. Ils survivent au rythme des attaques aériennes russes sur leurs villages fantômes.Une équipe de l'AFP est allée à leur rencontre, dans l'oblast de Donetsk. Sur place le moral est bas et certains avouent ouvertement attendre avec impatience l'arrêt des combats, sans croire véritablement à la paix promise par Donald Trump. Pour ce Sur le fil, on part le long de la ligne de front, dans l'est de Ukraine, à 600 km de Kiev, avec sur le terrain Florent Vergnes et Maryke Vermaak.Réalisation : Emmanuelle Baillon, avec Maxime Mamet.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après le Premier ministre et coordinateur de la campagne pour le « oui » au référendum constitutionnel prévu demain, samedi 16 novembre, RFI donne la parole à un tenant du « non », Albert Ondo Ossa, candidat lors de la dernière élection (élections générales gabonaises du 26 août 2023) qui continue de revendiquer sa victoire à ce scrutin rendu caduc par le coup d'État militaire de 2023. Ce professeur d'université, qui dénie le droit d'organiser un tel référendum au pouvoir de transition, appelle les Gabonais à lui faire barrage massivement. Il répond aux questions de Esdras Ndikumana. RFI : Pourquoi est-ce que vous vous opposez à ce projet de Constitution ?Albert Ondo Ossa : Alors, je ne veux pas faire du juridisme, il faut passer en revue les articles. Effectivement, je pense que l'homme politique que je suis repose son appréciation sur deux choses : l'esprit du texte d'une part, la procédure conduisant à son élaboration et à son adoption d'autre part. Alors, pour ce qui est de l'esprit, deux éléments sont importants à relever. Le président de la transition au Gabon manque de posture, de légitimité, de crédibilité. Il a besoin d'un texte susceptible de le crédibiliser, de le légitimer, de le légaliser. Un texte ne peut rendre légal ce qui est illégal, pas plus qu'il ne suffit pas à légitimer ce qui est illégitime, car nul ne peut se prévaloir de sa turpitude. Donc, à partir de ce moment-là, véritablement, la seule chose, c'est pouvoir dire non au référendum.L'une des dispositions qui fâchent dans son projet de Constitution, c'est la limitation de l'âge de 35 à 70 ans pour être candidat à l'élection présidentielle. Est-ce que vous vous sentez visé personnellement, vous, qui venez d'avoir justement 70 ans ?On se sent visé si on va dans leur logique, c'est-à-dire faire du juridisme. Non, je me sens pas du tout visé. Le problème, c'est que globalement, un référendum, c'est un vote qui permet à l'ensemble des citoyens d'approuver ou de rejeter une mesure proposée par le pouvoir exécutif. Dans ce genre d'opération, aucun calcul politicien n'est permis, aucune justification de bas-étage n'est plausible. Le choix à opérer est clair : ou on accepte le texte dans son intégralité ou on le rejette globalement. Et c'est en cela que toutes les arguties et autres gesticulations des partisans du « oui » sont superfétatoires, voire indécentes. Le choix est simplement facile et clair : ou la République ou la déchéance. Or, je suis un démocrate, je recommande au peuple gabonais de voter pour la République. Voilà. Et c'est clair.Je reviens encore sur cette question, quand même, c'est important. Par exemple, si le « oui » passe, la prochaine fois, vous ne pourrez pas vous présenter parce que vous aurez plus de 70 ans. Est-ce... Ça, c'est ce que vous dites, si le « oui » passe. Le « oui » ne passera pas ! Et dans le cas où il passe, le peuple gabonais qui m'a voté va se lever pour chasser les militaires, leur place est dans les casernes, pas effectivement dans la politique. Ça se passe partout ailleurs.Une des personnalités qui milite pour le « non » a estimé que ce projet allait mettre en place, je cite, « un homme fort et non des institutions fortes ». Est-ce que vous êtes d'accord avec lui ou pas ?Un homme fort ou les institutions fortes, moi, je ne rentre pas dans ce débat-là. Ma position est claire : je ne rentre pas dans ce que fait le CTRI (Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions – Ndlr), pour ou contre ; et ma formule : ni allégeance, ni défiance. Donc, je ne me mêle pas de ce débat-là. Je parle de cela parce que j'ai été interpellé par le peuple gabonais qui m'a élu en me demandant ce que je leur recommande. C'est tout. Le reste ne m'intéresse pas. Ils sont dans le non-droit. Je ne veux pas avaliser ce qui est illégal, ce qui est illégitime, ce qui procède du non-droit et du déni de droit. Voilà.À lire aussiRéférendum constitutionnel au Gabon: «On clarifie les pouvoirs du président purement et simplement»Est-ce que pour vous ce régime hyper présidentialiste est la preuve de ce que vous dénoncez depuis le coup d'État, à savoir qu'il s'agit davantage d'une évolution du système que d'une rupture ?Vous allez dans les détails. Mon appréciation du texte, quelque chose qui est mal ficelé au départ est forcément mauvais. Le coup d'État est illégal, la révolution de palais illégale. Tout ce qu'ils font, c'est du non-droit et du déni de droit. Moi, je ne peux pas l'accepter. Donc, j'ai dit aux populations de refuser cela, c'est tout. Et m'amener à regarder tel ou tel article, c'est du juridisme. Je n'en suis pas là. Il faut que les militaires retournent dans les casernes. Ils l'ont déclaré, le moment est venu pour eux de rendre le pouvoir aux civils. C'est là le débat de fond, voilà l'enjeu. Et le peuple gabonais le comprend très bien aujourd'hui.Retourner dans les casernes, cela passe notamment par l'organisation d'un référendum. Certains appellent à voter « oui », d'autres appellent à voter « non ».Ah non. Ah non. Non, non. Organiser ? Si les militaires organisent un référendum, cela revient à légaliser l'illégalité. Seul quelqu'un qui est élu dans les conditions normales peut appeler le peuple gabonais à l'élection. Nul ne peut se prévaloir de sa turpitude. C'est inacceptable dans un pays normal, dont le Gabon, aspirant à être un pays normal, ne peut pas accepter qu'un militaire lance un genre de référendum pour légaliser sa forfaiture. Ça ne se comprend pas et ça ne s'accepte pas.La quasi-totalité de vos anciens alliés dans Alternance 2023 soutiennent aujourd'hui le « oui ». Quelle est votre réaction ?Oh moi, je les comprends tout à fait. Chacun est libre de faire ce qu'il pense. Ils étaient mes alliés du moment. Ils ne sont plus mes alliés aujourd'hui. Moi, je repose ma popularité, ma crédibilité sur le peuple gabonais. Ça n'a rien à voir. Et majoritairement, le peuple gabonais me soutient. Je n'ai pas de souci par rapport à cela.Au contraire, vous vous retrouvez aujourd'hui à combattre le texte avec d'anciens cadres du régime Bongo comme l'ex-Premier ministre Bibie By Nze ou l'ex-vice-président Maganga Moussavou, n'est-ce pas étonnant ça ?Rien n'est étonnant en politique. En politique, il y a la tactique, il y a la stratégie. Et en politique, effectivement, on peut avoir des alliés du moment. Pour le moment, ils prônent le « non ». Moi aussi, je prône le « non ». Peut-être pas pour les mêmes raisons. Moi, je dis que les militaires retournent dans les casernes, leur place est dans les casernes, ils n'ont rien à faire là où ils sont aujourd'hui et, en tout cas, il ne faut pas qu'on légalise effectivement ce qui est illégal. Donc maintenant, savoir qui dit non, qui dit oui, moi, je ne rentre pas dans ces choses-là. Je sais que le peuple gabonais va voter massivement « non » pour que les militaires retournent dans leurs casernes. Voilà.Beaucoup de ceux qui prennent le « non » parlent aujourd'hui d'un texte qui va faire renouer le Gabon avec le culte de la personnalité. Est-ce que vous êtes d'accord avec ça ?Je ne suis pas là pour faire du juridisme. Je ne me lance pas là-dedans. Je m'en tiens à l'esprit et je m'en tiens à la procédure. On ne peut pas légaliser l'illégalité. Oligui Nguema est illégal. Non, je suis désolé. Ou on est un pays de droit ou on est un pays de non-droit et c'est là tout l'enjeu.Oligui Nguema, comme vous dites, est aujourd'hui reconnu par la communauté internationale comme président de transition.Un président de la transition, ce n'est pas un président de la République. L'enjeu, c'est d'avoir un président de la République qui, effectivement, dont l'action porte à conséquence, et personne ne le reconnaît comme président de la République, surtout la communauté internationale. C'est lui qui le dit. Il n'est reconnu nulle part en tant que tel, je suis désolé.Au-delà de la Constitution, vous avez gardé vos distances avec, justement, le président de transition Brice Oligui Nguema, qui s'est pourtant rapproché de vous au lendemain du coup d'État, pourquoi cela ?Mais je n'ai pas de problème personnel avec lui, n'allons pas dans les confusions. Je l'ai toujours dit, je n'ai pas de problème personnel avec lui. Il peut chercher à me voir, pas de problème. Je peux chercher à le voir, pas de problème. Donc, ce n'est pas parce qu'il est venu me voir, moi aussi, je suis parti à la présidence, j'ai même été invité à Oyem (ville dans le nord du Gabon – Ndlr) , mais ça ne porte pas conséquence. Nous sommes des citoyens gabonais, lui et moi, il n'y a pas de problème personnel entre nous, mais nous avons une différence d'options, je suis un démocrate, lui, il putschiste. On ne peut pas laisser un pays aux putschistes, voilà ma position.L'une de vos attaques qui a été relayée par la presse, c'est que vous avez soutenu qu'en un an Oligui Nguema a dépensé plus qu'Ali Bongo en 14 ans, comment est-ce possible ?Mais vous me demandez, je ne l'ai pas inventé, c'est le rapport du Fonds monétaire international, un rapport qui date du 30 avril. Je suis désolé. Et c'est ce rapport-là qui donne effectivement les chiffres, que je n'ai fait que commenter. Donc, comment est-ce possible ? Allez lui demander ! C'est lui qui dilapide les sous publics, c'est lui qui s'endette à ne plus en finir. Et le résultat, on l'a. Et il n'y a pas seulement le Fonds monétaire international, la Cemac vient d'attirer l'attention parce que le Gabon a eu une mise en demeure. Les entreprises gabonaises, les banques gabonaises sont mises en demeure. Elles doivent avoir une couverture de 100%. Ça, c'est la dernière en date, la Cemac. Donc, ce n'est pas moi. Toutes les instances sous-régionales sont là pour dire que le Gabon est le seul pays, dans la sous-région, qui ne respecte pas les critères de convergence, c'est-à-dire la surveillance multilatérale. Aucun critère. Ni les critères de premier ordre ni les critères de second ordre. Et ça, on n'a jamais vu ça. Oligui Nguema et son CTRI font courir un risque grave à notre pays. Voilà où j'en suis.Êtes-vous satisfait des conditions dans lesquelles s'est déroulée la campagne pour le référendum constitutionnel de samedi ?Je ne m'occupe pas de campagne, monsieur. Je n'en ai rien à cirer de la campagne. Je n'ai rien à faire de la campagne. Je me mets en dehors de ce qu'ils font, c'est du non-droit ! C'est une question de principe, c'est des positions de principe. Oligui Nguema et le CTRI, c'est des putschistes. Un putschiste ne peut pas organiser une élection. Je suis désolé, ce n'est pas sa fonction.Dans ces conditions, est-ce que vous pensez avoir réussi à convaincre les Gabonais de rejeter ce texte, samedi ?Eh bien, comment on le pense ? C'est la réalité des urnes qui dira si j'ai convaincu ou non. Est-ce que moi, je... je ne suis pas en train... je ne fais pas ce que fait Oligui. Il est dans tous les quartiers, il est partout, sa photo est partout. C'est les mêmes méthodes que le PDG. Pourtant, chaque fois que le PDG a fait ça, le PDG n'a jamais gagné une élection au Gabon. Voilà où nous en sommes. Il subira le même sort que ses mentors, les PDGistes, voilà.Monsieur Ondo Ossa, comment voyez-vous l'avenir du Gabon si le « oui » l'emporte ?Je répète, si le « oui », le « oui » ne peut pas l'emporter, donc ne m'amenez pas sur cette voie-là. Le « oui » ne peut pas l'emporter. Si Oligui traficote les résultats comme le PDG en a l'habitude, il subira le même sort qu'Ali Bongo, voilà ce que je dis.Vous dites à chaque fois que le pouvoir aujourd'hui est illégitime et que c'est vous le président élu. Est-ce que vous vous considérez aujourd'hui comme le président du Gabon ?Je ne me considère pas… Il y a eu un vote le 26 août, il y a eu des résultats qui ont été donnés. Oligui est destinataire des résultats par l'institution agréée dans les bonnes normes. Moi, j'ai les mêmes résultats, donc quelqu'un qui a été élu. Quelqu'un qui a été élu avec le score que j'ai eu, c'est quelqu'un qui est le président de la République. Il n'y en a pas deux. De l'autre côté, c'est un putschiste.Mais c'est lui qui est aux affaires.Ouattara n'est pas venu au pouvoir tout de suite. C'est des situations qui existent par ailleurs dans le monde, être élu et ne pas être au pouvoir. Et le peuple gabonais comprend très bien. Donc, je ne désespère pas. Je serai au pouvoir et Oligui, lui, il sera à la caserne. Voilà.
Le Liban à nouveau ravagé par la guerre. Le conflit entre Israël et le Hezbollah embrase tout le pays. Tout commence au lendemain des attaques terroristes menées de Gaza par le Hamas, le 7 octobre 2023, contre Israël. Le Hezbollah allié libanais de l'Iran ouvre alors un front de soutien au Hamas. Pendant dix mois, les affrontements restent contenus le long de la frontière Israélo-libanaise. Mais, le 17 septembre 2024, des explosions de bipeurs et de talkies-walkies piégés touchent plusieurs milliers de combattants du Hezbollah. Attaque attribuée à Israël qui ne dément pas et accélère encore. Les frappes tuent Hassan Nasrallah, le leadeur du parti de dieu et les chars Israéliens entrent au pays du Cèdre.Plus de 2 500 morts et 11 500 blessés, des milliers de disparus, 1,4 million de déplacés. «Liban : les civils pris au piège de l'offensive israélienne», un Grand reportage de notre correspondante au Liban, Sophie Guignon avec Chloé Domat.
durée : 00:57:08 - LSD, la série documentaire - par : Rafael Lewandowski - C'est le début de la guerre. Les attaques sont d'une extrême violence et une question ne cesse de persister dans la tête des civils "Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu pour qu'on nous punisse comme ça ?". - réalisation : Rafik Zénine
durée : 00:05:55 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit en urgence, ce lundi, pour parler du Soudan, face à l'escalade de la violence dans une guerre qui oppose, depuis un an et demi, deux généraux jadis alliés. Massacres à caractère ethniques, viols se multiplient ces derniers jours, alertent de nombreux médias.
Miquel Barceló presenta el cartell del Barça, però l'Angelines li agrada l'art que s'entén. Amnistia per a 45 Guàrdia Civils més: en Cirici vol que girem full. Llei contra el despoblament: una nova edició de Cabralunya Informació.