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durée : 00:39:27 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Alors que la science fait face à de nombreuses attaques aux États-Unis, quel regard Françoise Combes, astrophysicienne et présidente de l'Académie des sciences, porte-t-elle sur la place de la science dans nos sociétés ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Françoise Combes Spécialiste de physique galactique, médaille d'or du CNRS, professeur au Collège de France et Présidente de l'Académie des sciences pour 2025-2026
L'émission 28 minutes du 21/04/2025 Découvrez ou redécouvrez les meilleurs moments de 28 minutes !Au programme : le comédien et écrivain Panayotis Pascot raconte son passage à l'âge adulte dans son dernier spectacle, l'astrophysicienne Françoise Combes nous aide à mieux comprendre l'Univers et le neurologue Lionel Naccache nous donne les dernières nouvelles du cerveau. Le comédien Vincent Dedienne évoque son adolescence et sa passion pour Jean-Luc Lagarce. Puis Claire Nouvian, fondatrice et présidente de l'association BLOOM, détaille son combat pour protéger les océans de la pêche industrielle. Pour finir, l'explorateur Nicolas Dubreuil nous conte son amour du pôle Nord et des Inuits. Retour sur deux débats de société qui interrogent notre avenir : l'épidémie d'obésité qui représente un défi majeur pour la santé mondiale au 21e siècle et l'avenir de l'avion. L'avion 100 % écolo, c'est pour bientôt ?Enfin, Xavier Mauduit évoque l'histoire du mont McKinley, nommé d'après l'ancien président républicain William McKinley. Marie Bonnisseau nous fait découvrir le blobfish, élu poisson de l'année malgré sa laideur. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 21 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Les signaux d'alerte se multiplient concernant la recherche dans le monde. En premier lieu aux États-Unis où prolifèrent les coupes budgétaires, les licenciements massifs et le blocage de programmes entiers selon les domaines concernés (genre, diversité, changement climatique…). L'Argentine ou encore la France ne sont pas en reste, concernées elles aussi par des restrictions budgétaires. Pourquoi la recherche est-elle ainsi visée ? Quelles conséquences sur le monde de demain ? Quels leviers pour limiter la casse ? Pour en débattre :- Michel Dubois, sociologue et directeur de recherche au CNRS- Françoise Combes, astronome à l'Observatoire de Paris, professeure au Collège de France et présidente de l'Académie des sciences- Emmanuelle Perez Tisserant, maîtresse de conférences en Histoire à l'Université de Toulouse, spécialiste des États-Unis et du Mexique, elle est l'une des trois initiatrices du mouvement national Stand Up for science : « Pourquoi je me mobilise » qui a eu lieu vendredi 7 mars, en écho au mouvement américain.
Les signaux d'alerte se multiplient concernant la recherche dans le monde. En premier lieu aux États-Unis où prolifèrent les coupes budgétaires, les licenciements massifs et le blocage de programmes entiers selon les domaines concernés (genre, diversité, changement climatique…). L'Argentine ou encore la France ne sont pas en reste, concernées elles aussi par des restrictions budgétaires. Pourquoi la recherche est-elle ainsi visée ? Quelles conséquences sur le monde de demain ? Quels leviers pour limiter la casse ? Pour en débattre :- Michel Dubois, sociologue et directeur de recherche au CNRS- Françoise Combes, astronome à l'Observatoire de Paris, professeure au Collège de France et présidente de l'Académie des sciences- Emmanuelle Perez Tisserant, maîtresse de conférences en Histoire à l'Université de Toulouse, spécialiste des États-Unis et du Mexique, elle est l'une des trois initiatrices du mouvement national Stand Up for science : « Pourquoi je me mobilise » qui a eu lieu vendredi 7 mars, en écho au mouvement américain.
L'émission 28 minutes du 24/02/2025 L'astrophysicienne Françoise Combes nous aide à mieux comprendre l'UniversPrésidente de l'Académie des sciences pour les années 2025 et 2026, Françoise Combes a consacré ses travaux à l'étude de "la formation et de l'évolution des galaxies”, dans un contexte cosmologique. Elle cumule les prix et récompenses accordés aux chercheurs et chercheuses scientifiques, dont la médaille d'or du CNRS, devenant la sixième femme de l'histoire à l'obtenir (contre 67 hommes au total). Selon l'astrophysicienne, la vie existe ou a existé ailleurs que sur Terre, estimant qu'il serait “tout à fait improbable qu'il n'y ait qu'une seule planète dans l'Univers qui, comme la Terre, réunirait les conditions à la création d'une forme de vie”. Elle avertit toutefois que “si on trouve de la vie quelque part, elle sera sans doute très loin de nous, et peut-être déjà éteinte”. L'Académie des sciences a publié un communiqué pour s'inquiéter des conséquences de la politique menée par la nouvelle administration Trump sur la recherche publique américaine. Victoire de la droite en Allemagne : un nouveau départ pour le couple franco-allemand ?L'alliance entre l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et l'Union chrétienne-sociale (CSU) est arrivée, dimanche 23 février, en tête des élections législatives en Allemagne avec 28,6 % des suffrages. L'AfD, avec à sa tête Alice Weidel, est devenu la deuxième force politique du pays, avec un score historique de 20,8 %. Le parti d'extrême droite avait reçu le soutien du milliardaire américain Elon Musk. Il revient désormais au futur chancelier allemand Friedrich Merz de réussir à former une coalition avec les sociaux-démocrates, grands perdants des élections (16,4 % des voix), au terme de longues négociations. Autre dossier brûlant : la crise que traverse le couple franco-allemand. L'aide militaire à l'Ukraine, l'autonomie stratégique à définir pour l'UE ou encore l'accord de libre-échange avec le Mercosur : Emmanuel Macron et le chancelier sortant Olaf Scholz étaient en désaccord sur de nombreux sujets, de quoi affaiblir la relation entre les deux piliers européens. Sur X, Emmanuel Macron a félicité le chef de la CDU : “Nous sommes plus que jamais déterminés à faire de grandes choses ensemble pour la France et pour l'Allemagne et travailler à une Europe forte et souveraine”.Enfin, Xavier Mauduit retrace l'histoire de la fondue au fromage, après que le record du monde de la plus grande fondue a été battu dans le Jura. Marjorie Adelson nous explique pourquoi une Américaine de 38 ans a été contrainte de rendre son bébé de cinq mois après un échange d'embryons lors d'une FIV. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
(Airdate 2/12/25) Roman Combes is a entrepreneur and technologist with a profound dedication to fostering community development. He is the founder of Roman's Global Enterprise, Roman's Global Foundation and Havenmade Global. On this podcast he shares the story of how he moved his whole family to Africa and mad a living and a difference through his entrepreneurial skills and spirit.https://website-5a0a5b8d.exl.rmj.mybluehost.me/ https://www.instagram.com/tarzanofla/ https://www.instagram.com/diprimaradio/?hl=en
Accents, expressions, sens et contresens, qu'elles soient d'origine, deuxième, troisième, etc., qu'elle se soient doucement glissées dans notre palais ou qu'on les y ait fait entrer de force, les langues sont dans toutes les bouches et toutes les oreilles. À Bruxelles, elles se croisent, se côtoient et ne se ressemblent pas, enfin pas toujours. D'une gorge à l'autre, d'une bouche à l'autre, elles se modifient et évoluent à mesure qu'elles cohabitent. Il arrive que des langues soient perdues ou qu'elles ne trouvent personne avec qui converser. Des locuteurs et locutrices doivent alors trouver d'autres moyens de communiquer et vivre avec une langue en sourdine, quelque part, et blottis contre elle des souvenirs, des images, des références et des codes culturels. Certaines personnes vivent à cheval entre plusieurs langues. Elles passent à cloche-pied de l'une à l'autre ou les tissent ensemble. Qu'elles soient bilingues ou polyglottes, il arrive bien souvent qu'une de ces langues contamine l'autre, et inversement. Il faudra pourtant choisir, en fonction des contextes, laquelle solliciter. Sauf que parfois, la langue s'impose d'elle-même, évidemment. Politiquement, ça n'est pas toujours correct, et ça n'est pas toujours sans conséquence non plus. Une création documentaire de Lucie Combes et Aurélien Caillaux Une coproduction Papier Machine / Les Voix de Traverse Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Mark Combes, a veteran of the K-12 publishing space, shares advice for all those aspiring to write their first book.Mark has collaborated with and supported authors whose books are on your bookshelf. He shares his expertise and wisdom on writing and publishing a book. Having worked with Mark personally, I highly recommend you "have a cup of coffee” with him.Get in touch with Mark:X: Mark Combes (@FloridaBookGeek) on XLinkedIn: Mark CombesWebsite here.
durée : 00:58:47 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Le remplacement de la société Fret SNCF par deux entités, Hexafret et Technis au 1ᵉʳ janvier 2025, ravive les inquiétudes et les tensions dans un secteur qui peine à se montrer compétitif face au fret routier. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Patricia Perennes Économiste spécialiste du transport ferroviaire et consultante auprès des collectivités pour le cabinet Trans-Missions; Michel Savy Ingénieur, économiste, professeur émérite à l'université Paris Est, auteur de « Nouveaux lieux, nouveaux flux : les mobilités de l'avenir », ed. Odile Jacob et de « Le transport de marchandises », ed. Presses polytechniques et universitaires romandes.; François Combes économiste, professeur à l'Université Gustave Eiffel
Conférence par Françoise Combes, titulaire de la chaire Galaxies et cosmologie au Collège de FranceLe Collège de France et la BnF proposent un cycle de conférences scientifiques s'appuyant sur des documents exceptionnels issus des collections patrimoniales. Quatre professeurs du Collège de France présentent leur lecture subjective de grands textes, à la croisée de leurs goûts intimes, de leur imaginaire et de leur pratique de la recherche. Françoise Combes, titulaire de la chaire Galaxies et cosmologie, est l'invitée de la première séance. L'étude de la mécanique céleste connaissait un point culminant avec la publication des Principa Mathemetica de Newton, qui accède à la notoriété grâce à la traduction d'Émilie du Châtelet. Trois siècles plus tard, la recherche récente sur la matière et l'énergie noires questionne la gravitation newtonienne et la relativité générale d'Einstein.Séance enregistrée le 7 novembre 2024 à la BnF I Richelieu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vu sur La chronique Patsy (160) : Hélène Combes, De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, Hélène Combes, De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, CNRS Editions, 2024 Avec ce livre, la politiste Hélène Combes apporte une contribution originale à notre compréhension de la vie politique mexicaine contemporaine puisque son enquête ne porte pas sur les élites politiques mais sur une poignée de militants de terrain, membres des […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
Colloque de rentrée 2024 - Genre et Sciences : OuvertureLe colloque de rentrée 2024 du Collège de France entend explorer la relation entre Genre et Sciences sous deux angles différents et complémentaires. Il s'agit tout d'abord de réunir des données et des expériences issues de diverses disciplines, d'analyser les ressorts de la participation – ou de l'absence de participation – des femmes à la recherche au cours des siècles et les stéréotypes qu'il a fallu – et qu'il faut encore – combattre. Ce volet de la rencontre concerne dès lors le genre dans la science. Il s'agit ensuite d'aborder le genre comme objet de science et, après plusieurs décennies d'investigations dans ce champ, de donner la parole aux chercheurs et chercheuses qui l'ont configuré et investi.Thomas RömerComité scientifiqueFrançoise Combes, Patrick Boucheron, Vinciane Pirenne-Delforge, François Héran.Plan des séances État des lieux, séance animée par Françoise Combes (le 17 octobre – matin) Histoire et comparaison, séance animée par Patrick Boucheron (le 17 octobre – après-midi) Science biologique et génomique, juridique, séance animée par Vinciane Pirenne-Delforge (le 18 octobre – matin) Science du genre, séance animée par François Héran (le 18 octobre – après-midi)Chaque communication de 30 minutes est suivie de 10 minutes de discussion.
Le PTIT BURO, l'émission rugby sur TWITCH, tous les lundis à 18h !Nouvelle rubrique en fin d'émission, on crée les transferts les plus improbable en jouant à Mr l'Agent !Le BUS du TOP14 de la 5ème journée.Dans les NEWS : L'histoire d'un MATCH incroyable !DEBAT sur les règles de la FFR pour encadrer le comportement des joueurs. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lights, camera, action! Peter Reynolds is back with all the juicy Hollywood gossip straight from L.A. Find out who's hot, who's not, what's shining bright, and what's lost its sparkle.... LEARN MORE The post Lana Del Rey, Anna kendrick, Sean “Diddy” Combes and More appeared first on LA Spinz.
Le 1ᵉʳ octobre, la première présidente élue dans l'histoire du Mexique, Claudia Sheinbaum, accédera au pouvoir. Elle prend la succession du très populaire Andrés Manuel López Obrador (AMLO). Claudia Sheinbaum est le personnage clé du nouveau livre d'Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS. Dans son ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, publié aux éditions du CNRS, la spécialiste du Mexique étudie la naissance du mouvement de gauche Morena, de la première grande mobilisation jusqu'à la victoire du président AMLO en 2018. RFI : Dans votre livre, vous vous penchez sur la mobilisation des militants de gauche à Mexico. Une mobilisation qui débouche en 2018 sur l'élection de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) à la présidence mexicaine. Vous étiez en immersion au sein du mouvement qui a porté AMLO au pouvoir. Quelle est la clé de son succès ?Hélène Combes : Ce que je montre dans mon livre, c'est l'histoire d'une victoire. Mais une victoire qui a pris du temps, en fait, douze ans.Dans mon ouvrage, je suis huit personnages, quatre cadres politiques, dont une écrivaine et quatre militants de quartiers populaires sur toute cette période. Et je montre comment c'est un long travail d'organisation qui a été fait à l'échelle de quartiers populaires, la création d'un journal qui va devenir un organe d'éducation populaire et qui va permettre de réactiver des réseaux militants qui étaient parfois anciens, qui étaient liés notamment aux mobilisations urbaines en particulier, qui ont été très intenses après le tremblement de terre de 1985 et entre 2006 et 2018. López Obrador, mais aussi les gens qui l'entourent, notamment ces cadres politiques que je suis, vont faire tout un travail territorial dans les quartiers de Mexico.Ce que je montre aussi, c'est que ce travail est variable en fonction des quartiers de cette ville, Mexico, qui est une ville immense, une des plus grandes villes du monde, où il y a des histoires urbaines très contrastées. Et donc on ne peut comprendre finalement le succès de ces mobilisations, puis de la transformation en parti, puis de la victoire à l'élection présidentielle — qui s'appuie en grande partie sur Mexico, qui concentre une partie de l'électorat — sans revenir à une histoire très spécifique et différente des quartiers. Il y a des quartiers du centre historique de Mexico, plutôt coloniaux, ou des quartiers d'autoconstruction à flanc de volcan, des terrains qui ont été occupés par des migrants ruraux dans les années 1970 autour de réseaux amicaux, familiaux, villageois et qui ont impliqué des formes de sociabilités populaires très spécifiques, qui sont reprises dans les mobilisations.À écouter aussiLe Chiapas, un État mexicain qui s'enfonce dans la violenceEst-ce que cette mobilisation est un phénomène urbain ou est-ce qu'on observe cette même ferveur un peu partout dans le pays ?Ce qui est très intéressant dans le contexte du Mexique, c'est qu'il y a des poches de très fortes politisations, aussi bien en milieu urbain qu'en milieu rural. J'avais travaillé sur ces questions-là précédemment dans un autre ouvrage intitulé Trajectoires de gauche au Mexique et où je montrais que des dirigeants de mouvements sociaux, dans des zones rurales notamment, par exemple dans l'État du Guerrero, avaient aussi très fortement contribué à la création d'un parti de gauche, sous une forme qui est assez classique en Amérique latine. Cette forme de parti, j'ai commencé à l'étudier à la fin des années 1990, elle est maintenant considérée comme classique, c'est celle du « parti-mouvement », donc avec une très forte articulation entre le tissu associatif, des mobilisations, des mouvements sociaux et des appareils partisans. Et donc là, dans cet ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, je me centre plus particulièrement sur le contexte urbain.Vous avez commencé votre enquête en 2006. Dix-huit ans plus tard, est-ce que vous diriez que la ferveur de la mobilisation pro-Morena (le parti d'AMLO et de Claudia Sheinbaum) reste intacte ou il y a quelque chose qui a changé ?Déjà, [le parti] Morena a remporté l'élection présidentielle du 2 juin avec presque 60 % des voix et a vu accéder au poste suprême au Mexique une femme, Claudia Sheinbaum, qui est l'un de mes personnages. J'ai commencé à suivre Claudia Sheinbaum dès 2006. Je l'ai rencontrée à plusieurs reprises. J'ai suivi des mobilisations dont elle a été la principale artisane, notamment ce qu'on appelait la « mobilisation des adelitas », qui est une mobilisation qui a été organisée contre la privatisation de la compagnie Pemex et dont elle était à la tête. C'étaient des brigades de femmes qui ont d'abord empêché le vote de la loi vue comme une privatisation. Ensuite, elles ont réalisé tout un travail territorial. Et donc Claudia Sheinbaum était la figure de proue de cette mobilisation. Donc, il y a quand même une très forte continuité de mon point de vue.Cette mobilisation tient beaucoup au charisme, en tout cas au début, mais peut-être encore aujourd'hui, du président sortant AMLO, qui reste donc très populaire à la fin de son mandat qui s'achève dans quelques jours. Comment peut-on expliquer ce charisme ?Alors moi, justement, je prends complètement le contrepied de ça dans mon ouvrage.Vous dites que ce n'est pas que le charisme.C'est quelque chose qui est construit — ce qui est complètement invisibilisé, parce que les médias ne regardent que les conférences de López Obrador. J'ai suivi pendant des années le travail d'organisation qui a été fait par López Obrador de manière extrêmement incertaine. Il y a des moments où ce n'était plus du tout couvert par les médias. Je suis partie en tournée avec lui, il n'y avait quasiment plus de journalistes qui suivaient son action. Et moi, ce que je voyais, c'était quelque chose de très différent du charisme, c'était un travail très systématique, un travail de quadrillage territorial. Il a sillonné plusieurs fois le pays en allant dans chacune des municipalités du pays, il a construit des bases de soutien... Et donc, ce que j'essaye de montrer, c'est qu'on ne peut pas comprendre la construction d'un nouveau parti, Morena, la place qu'a occupée López Obrador, sans ce travail qui était en fait très besogneux. Il a été très présent dans des médias alternatifs. Ce sont ses conférences, tous les matins, qui ont contribué à ce qu'il donne le ton sur l'agenda politique. Et il a été suivi en ça d'une certaine manière par les journalistes, même ceux qui étaient ses détracteurs. C'est lui qui a toujours dicté l'agenda et donc ça a aussi sans doute joué dans le maintien de sa popularité. Mais surtout, pendant son mandat, la pauvreté a diminué de 8 %. Je pense qu'il faut plutôt regarder de ce côté-là que de son soi-disant charisme qui, de mon point de vue, est vraiment à relativiser.Alors un charisme à relativiser et un dévouement quand même des militants, un certain culte de sa personne, de ce que j'ai pu voir moi-même en ayant couvert les élections au Mexique en juin dernier. Ça fait un peu penser à Lula au Brésil. Est-ce qu'il y a des parallèles entre le succès de Morena et celui du Parti des travailleurs au Brésil ?C'est en partie une histoire parallèle. C'est la même génération de militants, ce sont ces militants qui se sont formés dans les années 1970 pour beaucoup. Il y a eu d'autres générations qui sont venues renforcer les rangs de la gauche. Donc, ça, c'est un premier point de parallèle. Ce sont des histoires partisanes aussi qui ont des points de similitude. Le Parti des travailleurs s'est beaucoup appuyé également sur les réseaux associatifs et sur les mouvements sociaux. Donc, là, il y a aussi un parallèle important. Et malgré l'histoire houleuse de Lula ces dernières années, il y a cette image aussi de figure morale, on va dire, de la gauche, de probité, de présidents qui sont proches des milieux populaires. Dans la pratique, Lula en est issu. López Obrador est plutôt issu des classes moyennes de province, mais il a un parler qui est très populaire, il n'a jamais gommé son accent régional. Il y a des parallèles, en effet.À lire aussi Claudia Sheinbaum, une scientifique de gauche à la tête du MexiqueVous avez parlé de Claudia Sheinbaum, que vous avez suivie pendant des années. C'est effectivement une personne clé de votre livre. Elle succédera à AMLO dans quelques jours, le 1ᵉʳ octobre. Est-ce que vous pourriez nous décrire un peu sa personnalité ?Dans les moments où je l'ai fréquentée — j'imagine que les derniers événements l'ont sans doute transformée —, c'était quelqu'un d'extrêmement concis, précis. Elle est docteure, spécialisée dans les questions d'énergie. Et puis elle a beaucoup travaillé sur le climat. C'est une universitaire, donc qui est plutôt issue, elle, des classes moyennes intellectuelles de Mexico. Et ce qui est intéressant, c'est qu'elle a été beaucoup, de mon point de vue, transformée par ces mobilisations auxquelles elle a participé depuis 2006. Elle avait déjà participé à des mobilisations antérieures. Elle avait participé à une mobilisation très importante en 1988 de l'Université nationale autonome comme étudiante. Mais en fait, toutes les mobilisations qui ont succédé après 2006 lui ont donné un ancrage dans les quartiers populaires et lui ont appris aussi finalement à créer ce lien plus personnalisé. Donc, par exemple, en avril 2023, je l'ai suivie dans la visite de centres communautaires qu'elle a créés, 300 centres communautaires à l'échelle de Mexico et où elle allait rencontrer les usagers, donc très à l'écoute. Le responsable du programme me disait : c'est très intéressant parce qu'elle ne vient pas pour faire des discours, ce qui est un peu le style de López Obrador, elle vient pour écouter les gens. J'ai passé l'après-midi avec elle, et durant cet après-midi, elle a parlé avec des jeunes qui avaient été déscolarisés, des mères de famille, des jeunes enfants, avec cette attitude finalement d'écoute, de comprendre la situation de ses administrés. Donc, un style quand même très différent de López Obrador.Et à l'époque, aviez-vous pensé que, éventuellement, elle pourrait devenir un jour présidente ?À l'époque de la « mobilisation des adelitas », pas du tout, et d'ailleurs, les journalistes non plus. Parce que quand j'ai cherché une photo pour la couverture de mon ouvrage, j'ai voulu une photo d'elle dans la « mobilisation des adelitas » et il n'y en avait aucune. Donc, elle était complètement invisible aussi pour la presse, même pour la presse mexicaine.
Le 1ᵉʳ octobre, la première présidente élue dans l'histoire du Mexique, Claudia Sheinbaum, accédera au pouvoir. Elle prend la succession du très populaire Andrés Manuel López Obrador (AMLO). Claudia Sheinbaum est le personnage clé du nouveau livre d'Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS. Dans son ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, publié aux éditions du CNRS, la spécialiste du Mexique étudie la naissance du mouvement de gauche Morena, de la première grande mobilisation jusqu'à la victoire du président AMLO en 2018. RFI : Dans votre livre, vous vous penchez sur la mobilisation des militants de gauche à Mexico. Une mobilisation qui débouche en 2018 sur l'élection de Andrés Manuel López Obrador (AMLO) à la présidence mexicaine. Vous étiez en immersion au sein du mouvement qui a porté AMLO au pouvoir. Quelle est la clé de son succès ?Hélène Combes : Ce que je montre dans mon livre, c'est l'histoire d'une victoire. Mais une victoire qui a pris du temps, en fait, douze ans.Dans mon ouvrage, je suis huit personnages, quatre cadres politiques, dont une écrivaine et quatre militants de quartiers populaires sur toute cette période. Et je montre comment c'est un long travail d'organisation qui a été fait à l'échelle de quartiers populaires, la création d'un journal qui va devenir un organe d'éducation populaire et qui va permettre de réactiver des réseaux militants qui étaient parfois anciens, qui étaient liés notamment aux mobilisations urbaines en particulier, qui ont été très intenses après le tremblement de terre de 1985 et entre 2006 et 2018. López Obrador, mais aussi les gens qui l'entourent, notamment ces cadres politiques que je suis, vont faire tout un travail territorial dans les quartiers de Mexico.Ce que je montre aussi, c'est que ce travail est variable en fonction des quartiers de cette ville, Mexico, qui est une ville immense, une des plus grandes villes du monde, où il y a des histoires urbaines très contrastées. Et donc on ne peut comprendre finalement le succès de ces mobilisations, puis de la transformation en parti, puis de la victoire à l'élection présidentielle — qui s'appuie en grande partie sur Mexico, qui concentre une partie de l'électorat — sans revenir à une histoire très spécifique et différente des quartiers. Il y a des quartiers du centre historique de Mexico, plutôt coloniaux, ou des quartiers d'autoconstruction à flanc de volcan, des terrains qui ont été occupés par des migrants ruraux dans les années 1970 autour de réseaux amicaux, familiaux, villageois et qui ont impliqué des formes de sociabilités populaires très spécifiques, qui sont reprises dans les mobilisations.À écouter aussiLe Chiapas, un État mexicain qui s'enfonce dans la violenceEst-ce que cette mobilisation est un phénomène urbain ou est-ce qu'on observe cette même ferveur un peu partout dans le pays ?Ce qui est très intéressant dans le contexte du Mexique, c'est qu'il y a des poches de très fortes politisations, aussi bien en milieu urbain qu'en milieu rural. J'avais travaillé sur ces questions-là précédemment dans un autre ouvrage intitulé Trajectoires de gauche au Mexique et où je montrais que des dirigeants de mouvements sociaux, dans des zones rurales notamment, par exemple dans l'État du Guerrero, avaient aussi très fortement contribué à la création d'un parti de gauche, sous une forme qui est assez classique en Amérique latine. Cette forme de parti, j'ai commencé à l'étudier à la fin des années 1990, elle est maintenant considérée comme classique, c'est celle du « parti-mouvement », donc avec une très forte articulation entre le tissu associatif, des mobilisations, des mouvements sociaux et des appareils partisans. Et donc là, dans cet ouvrage De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico, je me centre plus particulièrement sur le contexte urbain.Vous avez commencé votre enquête en 2006. Dix-huit ans plus tard, est-ce que vous diriez que la ferveur de la mobilisation pro-Morena (le parti d'AMLO et de Claudia Sheinbaum) reste intacte ou il y a quelque chose qui a changé ?Déjà, [le parti] Morena a remporté l'élection présidentielle du 2 juin avec presque 60 % des voix et a vu accéder au poste suprême au Mexique une femme, Claudia Sheinbaum, qui est l'un de mes personnages. J'ai commencé à suivre Claudia Sheinbaum dès 2006. Je l'ai rencontrée à plusieurs reprises. J'ai suivi des mobilisations dont elle a été la principale artisane, notamment ce qu'on appelait la « mobilisation des adelitas », qui est une mobilisation qui a été organisée contre la privatisation de la compagnie Pemex et dont elle était à la tête. C'étaient des brigades de femmes qui ont d'abord empêché le vote de la loi vue comme une privatisation. Ensuite, elles ont réalisé tout un travail territorial. Et donc Claudia Sheinbaum était la figure de proue de cette mobilisation. Donc, il y a quand même une très forte continuité de mon point de vue.Cette mobilisation tient beaucoup au charisme, en tout cas au début, mais peut-être encore aujourd'hui, du président sortant AMLO, qui reste donc très populaire à la fin de son mandat qui s'achève dans quelques jours. Comment peut-on expliquer ce charisme ?Alors moi, justement, je prends complètement le contrepied de ça dans mon ouvrage.Vous dites que ce n'est pas que le charisme.C'est quelque chose qui est construit — ce qui est complètement invisibilisé, parce que les médias ne regardent que les conférences de López Obrador. J'ai suivi pendant des années le travail d'organisation qui a été fait par López Obrador de manière extrêmement incertaine. Il y a des moments où ce n'était plus du tout couvert par les médias. Je suis partie en tournée avec lui, il n'y avait quasiment plus de journalistes qui suivaient son action. Et moi, ce que je voyais, c'était quelque chose de très différent du charisme, c'était un travail très systématique, un travail de quadrillage territorial. Il a sillonné plusieurs fois le pays en allant dans chacune des municipalités du pays, il a construit des bases de soutien... Et donc, ce que j'essaye de montrer, c'est qu'on ne peut pas comprendre la construction d'un nouveau parti, Morena, la place qu'a occupée López Obrador, sans ce travail qui était en fait très besogneux. Il a été très présent dans des médias alternatifs. Ce sont ses conférences, tous les matins, qui ont contribué à ce qu'il donne le ton sur l'agenda politique. Et il a été suivi en ça d'une certaine manière par les journalistes, même ceux qui étaient ses détracteurs. C'est lui qui a toujours dicté l'agenda et donc ça a aussi sans doute joué dans le maintien de sa popularité. Mais surtout, pendant son mandat, la pauvreté a diminué de 8 %. Je pense qu'il faut plutôt regarder de ce côté-là que de son soi-disant charisme qui, de mon point de vue, est vraiment à relativiser.Alors un charisme à relativiser et un dévouement quand même des militants, un certain culte de sa personne, de ce que j'ai pu voir moi-même en ayant couvert les élections au Mexique en juin dernier. Ça fait un peu penser à Lula au Brésil. Est-ce qu'il y a des parallèles entre le succès de Morena et celui du Parti des travailleurs au Brésil ?C'est en partie une histoire parallèle. C'est la même génération de militants, ce sont ces militants qui se sont formés dans les années 1970 pour beaucoup. Il y a eu d'autres générations qui sont venues renforcer les rangs de la gauche. Donc, ça, c'est un premier point de parallèle. Ce sont des histoires partisanes aussi qui ont des points de similitude. Le Parti des travailleurs s'est beaucoup appuyé également sur les réseaux associatifs et sur les mouvements sociaux. Donc, là, il y a aussi un parallèle important. Et malgré l'histoire houleuse de Lula ces dernières années, il y a cette image aussi de figure morale, on va dire, de la gauche, de probité, de présidents qui sont proches des milieux populaires. Dans la pratique, Lula en est issu. López Obrador est plutôt issu des classes moyennes de province, mais il a un parler qui est très populaire, il n'a jamais gommé son accent régional. Il y a des parallèles, en effet.À lire aussi Claudia Sheinbaum, une scientifique de gauche à la tête du MexiqueVous avez parlé de Claudia Sheinbaum, que vous avez suivie pendant des années. C'est effectivement une personne clé de votre livre. Elle succédera à AMLO dans quelques jours, le 1ᵉʳ octobre. Est-ce que vous pourriez nous décrire un peu sa personnalité ?Dans les moments où je l'ai fréquentée — j'imagine que les derniers événements l'ont sans doute transformée —, c'était quelqu'un d'extrêmement concis, précis. Elle est docteure, spécialisée dans les questions d'énergie. Et puis elle a beaucoup travaillé sur le climat. C'est une universitaire, donc qui est plutôt issue, elle, des classes moyennes intellectuelles de Mexico. Et ce qui est intéressant, c'est qu'elle a été beaucoup, de mon point de vue, transformée par ces mobilisations auxquelles elle a participé depuis 2006. Elle avait déjà participé à des mobilisations antérieures. Elle avait participé à une mobilisation très importante en 1988 de l'Université nationale autonome comme étudiante. Mais en fait, toutes les mobilisations qui ont succédé après 2006 lui ont donné un ancrage dans les quartiers populaires et lui ont appris aussi finalement à créer ce lien plus personnalisé. Donc, par exemple, en avril 2023, je l'ai suivie dans la visite de centres communautaires qu'elle a créés, 300 centres communautaires à l'échelle de Mexico et où elle allait rencontrer les usagers, donc très à l'écoute. Le responsable du programme me disait : c'est très intéressant parce qu'elle ne vient pas pour faire des discours, ce qui est un peu le style de López Obrador, elle vient pour écouter les gens. J'ai passé l'après-midi avec elle, et durant cet après-midi, elle a parlé avec des jeunes qui avaient été déscolarisés, des mères de famille, des jeunes enfants, avec cette attitude finalement d'écoute, de comprendre la situation de ses administrés. Donc, un style quand même très différent de López Obrador.Et à l'époque, aviez-vous pensé que, éventuellement, elle pourrait devenir un jour présidente ?À l'époque de la « mobilisation des adelitas », pas du tout, et d'ailleurs, les journalistes non plus. Parce que quand j'ai cherché une photo pour la couverture de mon ouvrage, j'ai voulu une photo d'elle dans la « mobilisation des adelitas » et il n'y en avait aucune. Donc, elle était complètement invisible aussi pour la presse, même pour la presse mexicaine.
A partir de este 1 de octubre, México será presidido por primera vez por una mujer. Claudia Sheinbaum Pardo, de 62 años, toma el relevo de Andrés Manuel López Obrador, en el poder desde 2018. “Va a haber continuidad en temas de infraestructura, como la ampliación de los trenes, pero va a haber un margen de maniobra en temas medioambientales o de mujeres, que fue un punto bastante débil de López Obrador”, afirma la investigadora Hélène Combes, del Centro Nacional de Investigaciones Científicas de Francia (CNRS).
A partir de este 1° de octubre México será presidido por primera vez por una mujer. Claudia Sheinbaum Pardo, de 62 años, toma el relevo de Andrés Manuel López Obrador en el poder desde 2018. “Va a haber continuidad en temas de infraestructura, como la ampliación de los trenes, pero va a haber un margen de maniobra en temas medioambientales o de mujeres, que fue un punto bastante débil de López Obrador”, afirma Hélène Combes, investigadora en el CNRS. Co-fundadora del movimiento Morena, Claudia Sheinbaum, toma las riendas de un país cuya vida política ha estado centrada alrededor de la figura de Andrés Manuel López Obrador. A esta científica y académica que estuvo al frente del Gobierno de la ciudad de México, le esperan varios retos en el sexenio como la lucha contra la inseguridad, un déficit por las nubes y el sector judicial en pie de guerra por la última reforma.Muy cercana al ex presidente saliente, Sheinbaum tendrá que resaltar dentro de un sistema político popularizado como el 'obradorismo' en referencia a AMLO e imprimir cierta independencia. De momento, López Obrador anunció que se va a jubilar y que va a escribir un libro. "Vamos a ver si cumple o no cumple con eso. Durante la campaña estuvo sumamente presente. Incluso la autoridad electoral le pidió dejar de hacer sus conferencias matutinas", explica Hélène Combes que acaba de publicar el libro en francés 'De la calle a la presidencia'; y que durante 15 años ha estado yendo y viniendo a México para analizar la creación y estructuración del movimiento Morena, desde el campamento del Zócalo en 2006 hasta el nacimiento del partido de izquierdas, Morena, en 2011 y el acceso al poder de Amlo en 2018. La composición de los nuevos equipos gubernamentales está tomando bastante tiempo, lo que Combes interpreta como un pulso entre Sheinbaum y López Obrador. "Durante el Congreso de Morena el domingo pasado, dijo muy claramente que López Obrador se jubila. Era un mensaje hacia él. Por otro lado, uno de los hijos de López Obrador, fue también nombrado el domingo pasado secretario de Organización de Morena, que es un puesto clave dentro del partido. Veremos pues en los próximos meses cómo se va reconfigurando el juego", afirma la investigadora francesa. El sector judicial, en pie de guerra La última de las reformas de AMLO fue la del sistema judicial. Ahora los jueces van a ser elegidos como si fueran candidatos políticos en lugar de llegar a su puesto por carrera. Una reforma que provocó una ola de protestas en todo el país.Según Combes, el poder judicial, que emplea en México a unas 6.000 personas, actúa como ascensor social, lo que explica la magnitud de la protesta. "A los ministerios públicos llegan personas de sectores sociales populares o de clase media baja, muchos de ellos son los primeros en llegar a la Universidad y financian sus estudios con empleos en el Poder Judicial. Eso explica en gran medida la movilización actual", analiza.Un tema muy complejo que hereda Sheinbaum. "Todo van a depender de cómo se va a manejar el tema de la de la organización de las de las elecciones, estamos en un momento incierto", asegura Combes.'Abrazos, no balazos' y el papel creciente del EjércitoEn materia de lucha contra el narcotráfico y la inseguridad, la nueva presidenta nombró como secretario de Seguridad a Omar García Arzú, que ya trabajó con ella durante la etapa de la Gobernación de la Ciudad de México. "Tuvo muy buenos resultados en la Ciudad de México, con una baja consecuente de la delincuencia y de la percepción de la delincuencia", destaca. Sobre la estrategia de lucha contra la inseguridad, parece que no va a haber muchos cambios, según palabras de la propia presidenta mexicana. Para Combes, el punto clave es el lugar que se le da al Ejército en esta estrategia de 'Abrazos, no balazos'. "Durante el gobierno de AMLO fue un poco más complejo. Por ejemplo, en 2019, se capturó al hijo del Chapo y luego lo liberaron porque puso en riesgo a a muchos civiles. Pero volvieron a capturarlo en 2023. Entonces no es tan sencillo (...) hay un miedo a la militarización. Se acaba de aprobar una ley de incorpora la Guardia Nacional al Ejército. Vamos a ver qué pasa", afirma. 10 años sin resolver el crimen de los 43 estudiantes asesinados en AyotzinapaCuando AMLO llegó al poder en 2018, prometió esclarecer este crimen, llevar a los responsables ante la justicia. Seis años después, los familiares denuncian que es el mayor fracaso de su sexenio. "El caso se fue complejizando en estos diez años", dice Hélène Combes. "Hay una Comisión de la Verdad que acaba de entregar un informe sobre la violencia política en México y esa comisión ha denunciado también mucho el papel del ejército. Y también el hecho de que el Ejército está bloqueando el proceso. Volvemos al mismo tema compplejo, que es esa alianza totalmente sorprendente entre este gobierno de izquierda y el Ejército. Es un punto que no va a ser fácil resolver", reconoce. ¿Sheinbaum se atreverá con la reforma tributaria? Otro de los retos, sin duda, es la economía y las finanzas públicas. El déficit público en México marca récords, el 6% del Producto Interno Bruto. No estaba tan alto desde la década de los 80. Esto podría estrechar el margen de maniobra de la presidenta en temas como las ayudas sociales que tanto apoyo suscitaron hacia AMLO. "Eso depende un poco de la de la amplitud que tenga la reforma fiscal", responde la investigadora. Según la OCDE, la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos, los ingresos tributarios de México, representan el 16,9% del PIB, muy por debajo de la media de los países de América Latina, el 21,5% y aun mas lejos que el promedio de los países de la OCDE, equivalente al 34% del PIB. "México tiene una recaudación fiscal muy baja, sumamente baja, no se ha hecho una reforma fiscal. Ella ha hablado de este tema durante la campaña,quiere hacer más eficiente la recaudación de los impuestos porque seguramente va a ser difícil financiar programas adicionales como los que ha anunciado, o dar más apoyo a todas las mujeres de más de 64 años", concluye Hélène Combes. #EscalaenParís también está en redesUn programa coordinado por Florencia Valdés. Realizado por Vanessa Loiseau y Souheil Khedir.
A partir de este 1° de octubre México será presidido por primera vez por una mujer. Claudia Sheinbaum Pardo, de 62 años, toma el relevo de Andrés Manuel López Obrador en el poder desde 2018. “Va a haber continuidad en temas de infraestructura, como la ampliación de los trenes, pero va a haber un margen de maniobra en temas medioambientales o de mujeres, que fue un punto bastante débil de López Obrador”, afirma Hélène Combes, investigadora en el CNRS. Co-fundadora del movimiento Morena, Claudia Sheinbaum, toma las riendas de un país cuya vida política ha estado centrada alrededor de la figura de Andrés Manuel López Obrador. A esta científica y académica que estuvo al frente del Gobierno de la ciudad de México, le esperan varios retos en el sexenio como la lucha contra la inseguridad, un déficit por las nubes y el sector judicial en pie de guerra por la última reforma.Muy cercana al ex presidente saliente, Sheinbaum tendrá que resaltar dentro de un sistema político popularizado como el 'obradorismo' en referencia a AMLO e imprimir cierta independencia. De momento, López Obrador anunció que se va a jubilar y que va a escribir un libro. "Vamos a ver si cumple o no cumple con eso. Durante la campaña estuvo sumamente presente. Incluso la autoridad electoral le pidió dejar de hacer sus conferencias matutinas", explica Hélène Combes que acaba de publicar el libro en francés 'De la calle a la presidencia'; y que durante 15 años ha estado yendo y viniendo a México para analizar la creación y estructuración del movimiento Morena, desde el campamento del Zócalo en 2006 hasta el nacimiento del partido de izquierdas, Morena, en 2011 y el acceso al poder de Amlo en 2018. La composición de los nuevos equipos gubernamentales está tomando bastante tiempo, lo que Combes interpreta como un pulso entre Sheinbaum y López Obrador. "Durante el Congreso de Morena el domingo pasado, dijo muy claramente que López Obrador se jubila. Era un mensaje hacia él. Por otro lado, uno de los hijos de López Obrador, fue también nombrado el domingo pasado secretario de Organización de Morena, que es un puesto clave dentro del partido. Veremos pues en los próximos meses cómo se va reconfigurando el juego", afirma la investigadora francesa. El sector judicial, en pie de guerra La última de las reformas de AMLO fue la del sistema judicial. Ahora los jueces van a ser elegidos como si fueran candidatos políticos en lugar de llegar a su puesto por carrera. Una reforma que provocó una ola de protestas en todo el país.Según Combes, el poder judicial, que emplea en México a unas 6.000 personas, actúa como ascensor social, lo que explica la magnitud de la protesta. "A los ministerios públicos llegan personas de sectores sociales populares o de clase media baja, muchos de ellos son los primeros en llegar a la Universidad y financian sus estudios con empleos en el Poder Judicial. Eso explica en gran medida la movilización actual", analiza.Un tema muy complejo que hereda Sheinbaum. "Todo van a depender de cómo se va a manejar el tema de la de la organización de las de las elecciones, estamos en un momento incierto", asegura Combes.'Abrazos, no balazos' y el papel creciente del EjércitoEn materia de lucha contra el narcotráfico y la inseguridad, la nueva presidenta nombró como secretario de Seguridad a Omar García Arzú, que ya trabajó con ella durante la etapa de la Gobernación de la Ciudad de México. "Tuvo muy buenos resultados en la Ciudad de México, con una baja consecuente de la delincuencia y de la percepción de la delincuencia", destaca. Sobre la estrategia de lucha contra la inseguridad, parece que no va a haber muchos cambios, según palabras de la propia presidenta mexicana. Para Combes, el punto clave es el lugar que se le da al Ejército en esta estrategia de 'Abrazos, no balazos'. "Durante el gobierno de AMLO fue un poco más complejo. Por ejemplo, en 2019, se capturó al hijo del Chapo y luego lo liberaron porque puso en riesgo a a muchos civiles. Pero volvieron a capturarlo en 2023. Entonces no es tan sencillo (...) hay un miedo a la militarización. Se acaba de aprobar una ley de incorpora la Guardia Nacional al Ejército. Vamos a ver qué pasa", afirma. 10 años sin resolver el crimen de los 43 estudiantes asesinados en AyotzinapaCuando AMLO llegó al poder en 2018, prometió esclarecer este crimen, llevar a los responsables ante la justicia. Seis años después, los familiares denuncian que es el mayor fracaso de su sexenio. "El caso se fue complejizando en estos diez años", dice Hélène Combes. "Hay una Comisión de la Verdad que acaba de entregar un informe sobre la violencia política en México y esa comisión ha denunciado también mucho el papel del ejército. Y también el hecho de que el Ejército está bloqueando el proceso. Volvemos al mismo tema compplejo, que es esa alianza totalmente sorprendente entre este gobierno de izquierda y el Ejército. Es un punto que no va a ser fácil resolver", reconoce. ¿Sheinbaum se atreverá con la reforma tributaria? Otro de los retos, sin duda, es la economía y las finanzas públicas. El déficit público en México marca récords, el 6% del Producto Interno Bruto. No estaba tan alto desde la década de los 80. Esto podría estrechar el margen de maniobra de la presidenta en temas como las ayudas sociales que tanto apoyo suscitaron hacia AMLO. "Eso depende un poco de la de la amplitud que tenga la reforma fiscal", responde la investigadora. Según la OCDE, la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos, los ingresos tributarios de México, representan el 16,9% del PIB, muy por debajo de la media de los países de América Latina, el 21,5% y aun mas lejos que el promedio de los países de la OCDE, equivalente al 34% del PIB. "México tiene una recaudación fiscal muy baja, sumamente baja, no se ha hecho una reforma fiscal. Ella ha hablado de este tema durante la campaña,quiere hacer más eficiente la recaudación de los impuestos porque seguramente va a ser difícil financiar programas adicionales como los que ha anunciado, o dar más apoyo a todas las mujeres de más de 64 años", concluye Hélène Combes. #EscalaenParís también está en redesUn programa coordinado por Florencia Valdés. Realizado por Vanessa Loiseau y Souheil Khedir.
Retrouvez l'émission en direct tous les lundis sur Twitch. LA GRANDE PREVIEW du TOP14 !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Join Pete McKendrick on The Roofr Report as he interviews the September Roofr of the Month, Corey Combs from South Shore Roofing. Corey shares his journey from the restaurant industry to becoming a successful roofing contractor. He discusses the challenges of running a roofing business, the importance of processes, and adapting to market changes. Corey also provides insights into the benefits of focusing on retail roofing, the role of technology, and the significance of key hires. Don't miss this insightful conversation about navigating the highs and lows of the roofing industry.
Dr. Alain Combes has is a professor of intensive care medicine at Sorbonne Université in Paris. Dr. Combes' research focuses on the care of critically ill cardiac patients, mechanical circulatory […]
In this conversation, Tara interviews Julie Combes from NHS Elect about clinical supervision in healthcare. They discuss the challenges of providing clinical supervision, the importance of time and support, and the benefits of clinical supervision for professionals and organisations. Julie explains the role of NHS Elect in providing support and resources for healthcare systems and individuals. They also touch on the differences between clinical supervision in hospital trusts and primary care, as well as the skills required to be an effective clinical supervisor. Julie offers advice for individuals who want to become clinical supervisors and for those in organisations without a structured supervision program. This week, Julie & Tara discuss: Clinical supervision being a valuable practice in healthcare, providing protected time for reflective conversations and development opportunities. A major challenge is time in providing and accessing clinical supervision. Clinical supervision is not mandatory in all organisations, but it can have positive impacts on retention rates and staff well-being. If an organisation does not have a structured clinical supervision program. To find out more, visit the NHS Elect website here. Work with THC Primary Care I'm Tara Humphrey and I'm the founder of THC Primary Care, a leading healthcare consultancy. I provide project and network management to Primary Care Networks and consulting support to clinical leads. To date, I've worked with 11 Training Hubs and supported over 120 Primary Care Networks and 3 GP Federations. I understand and appreciate the complexity of healthcare and what it takes to deliver projects across multiple practices. I have over 20 years of project management and business development experience across the private and public sector and have an MBA in Leadership and Management in Healthcare. I'm also published in the London Journal of Primary Care and the author of over 250 blogs. For more weekly insights and advice sign up to my newsletter. Improving the Business of Healthcare – One episode at a time… Thanks for tuning into this week's episode of the Business of Healthcare Podcast. If you enjoyed this episode, head over to Apple Podcasts to subscribe, leave your honest review, and share your favourite episodes on social media. Find us on Twitter, Instagram and LinkedIn or visit our website: THC Primary Care.
Dans la tête de François Hollande : l'ancien Président de la République est investi dans la 1re circonscription de la Corrèze, qui avait initialement été attribuée au maire de Tulle. Depuis 5 jours, Bernard Combes a œuvré pour le retour surprise de François Hollande dans la vie politique active. Il est l'invité de RTL.
Dans la tête de François Hollande : l'ancien Président de la République est investi dans la 1re circonscription de la Corrèze, qui avait initialement été attribuée au maire de Tulle. Depuis 5 jours, Bernard Combes a œuvré pour le retour surprise de François Hollande dans la vie politique active. Il est l'invité de RTL.
durée : 00:32:33 - Bienvenue chez vous avec les Toqués de Drôme Ardèche - "Bienvenue à la ferme" fait son pique-nique et à cette occasion, Corine Lafrogne Pelle d'Aromabeille, Céline Bres de Gaec de brette vieille, et Laurence Reichert de l'Asinerie des Combes, exposantes pour l'événement nous présentent leurs produits.
Au Mexique, Claudia Sheinbaum a été largement élue ce dimanche (2 juin 2024), avec 58 à 60% des voix selon les premiers résultats partiels. Sa concurrente, l'ex-sénatrice de centre-droit Xochitl Galvez, a reconnu dans la nuit sa défaite. Portée par la popularité du président sortant, Claudia Sheinbaum devient la première femme à présider le pays. La fête a duré jusque tard dans la nuit, la candidate de gauche est venue saluer la foule, insistant sur le fait qu'après 200 ans de République, elle allait devenir la première femme présidente du Mexique. Claudi Sheinbaum est revenue sur son programme, et a promis à nouveau un gouvernement de la continuité, rapporte la correspondante de RFI Gwendolina Duval : « ce sera un gouvernement de l'austérité, de la discipline financière et fiscale, et avec l'autonomie de la Banque centrale du Mexique ».Hélène Combes, directrice de recherches au CNRS, en ce moment au Mexique, rappelle qu'il y avait environ 50 000 homicides par an au Mexique, entre insécurité ordinaire, présence des cartels et afflux d'armes venant illégalement des États-Unis. Un défi qui dépasse donc largement l'échelle nationale. « Ce que propose Claudia Sheinbaum, qui avait amélioré les conditions de sécurité de manière très nette à Mexico (lorsqu'elle était maire), c'est réduire le taux d'impunité qui est très élevé, lié à des problèmes d'organisation du pouvoir judiciaire et à des méthodes d'enquête », explique Hélène Combes, qui parle de « tâche absolument titanesque ».Le défi va aussi être sur le front des politiques sociales : « il y a eu des améliorations pendant la période de Lopez Obrador, la pauvreté a diminué de manière significative mais on partait de très loin ». Le Mexique n'est pas un pays pauvre, c'est un pays inégalitaire, insiste la chercheuse.La presse mexicaine revient sur les différents dossiers qui attendent la présidente. Un éditorialiste de La Razon explique qu'il aurait aimé se réveiller, après avoir voté ce dimanche (2 juin 2024), dans un pays sans corruption, où le système de santé est le même qu'au Danemark, où l'on peut sortir sans danger dans les rues, où les milliers de disparus ont été retrouvés, où la pauvreté a été éradiquée et où les impôts sont bien utilisés : « Malheureusement, ce n'est pas le cas ». « En plus de participer aux élections », écrit le journaliste, « nous devons travailler chaque jour pour faire avancer notre pays. Nous avons voté, l'autre partie du travail consiste à exiger des résultats de la part de ceux qui ont été élus. » Et peut-être aussi de travailler ensemble : si dans Milenio, on se félicite que « le vote d'hier ne laisse planer aucun doute sur la légitimité de l'ancienne cheffe de gouvernement à gouverner », et on souligne la faiblesse des partis d'opposition révélée, selon l'éditorialiste, par ces élections, dans El Universal, un soutien de la nouvelle présidente, le sénateur Ricardo Monreal Avila, semble tendre la main à « tous ceux qui veulent un Mexique meilleur » : « nous ne devons pas laisser de côté ceux qui ne partagent pas notre vision – ces voix ne seront pas ignorées (…) notre mouvement est pleinement engagé pour la démocratie, la pluralité et l'intégration de toutes les forces de notre pays ».Enfin, Claudia Sheinbaum a aussi beaucoup parlé des femmes ce dimanche. Hélène Combes parle d'un « engagement réel de la classe politique mexicaine », et d'une « féminisation profonde de la société mexicaine depuis une trentaine d'années, à tous les niveaux » - le pays est un des pays les plus féminisés au monde au niveau du personnel législatif. Son féminisme est donc à remettre dans un contexte plus global « d'étapes qui ont déjà été gagnées dans l'espace politique au Mexique ». Le féminisme de la nouvelle présidente est aussi très ancré, explique la chercheuse, dans ce qu'on appelle en Amérique latine le « féminisme populaire », qui s'intéresse aux femmes des milieux populaires, « et qui peut être un peu différent des attentes que peuvent avoir les classes moyennes en termes de remises en cause de la société patriarcale ». Les démêlés judiciaires de Donald Trump et Hunter Biden Aux États-Unis, Donald Trump avertit qu'une peine de prison pourrait être « un point de rupture » pour ses soutiens.Dans l'interview que l'ancien président a accordée à Fox News diffusée ce dimanche (2 juin), il a aussi répété que pour lui le verdict dans l'affaire Stormy Daniels est « le résultat d'une justice utilisée contre lui comme une arme et que son équipe compte faire appel », écrit Politico. Le candidat à la présidentielle a ajouté que le procès a été « très dur » pour sa famille, particulièrement pour sa femme.Du côté de la famille Biden, le procès du fils du président commence ce lundi (3 juin 2024).Hunter Biden est accusé, rappelle le Washington Post, d'avoir menti lors de l'obtention d'une arme et de posséder illégalement ladite arme. Hunter Biden « n'est pas une figure politique, et les accusations qui le visent n'ont rien à voir avec son père, mais », souligne le quotidien, « c'est quand même un moment extraordinaire : il est jugé alors que le président Biden vit les tourments de sa campagne de réélection ». Et, souligne le Washington Post, « le procès menace de révéler certains des moments les plus douloureux et tumultueux de la famille Biden dans un procès public ». Politico note de son côté que les deux juges qui s'occupent des procès de Hunter Biden (car il y en aura un autre au mois de septembre 2024, pour fraude fiscale) « ont beaucoup de choses en commun », entre autres, ils ont été tous les deux nommés par Donald Trump. Un éditorialiste du New York Times estime qu'Hunter Biden « ferait mieux de plaider coupable. Rapidement. : un procès embarrassant qu'il a de bonnes chances de perdre ne ferait qu'aggraver la situation ».À lire aussiÉtats-Unis: pas de verdict trouvé sur l'affaire Donald Trump-Stormy Daniels au premier jour de délibérationsÀ lire aussiÉtats-Unis: le fils de Joe Biden devant la justice pour détention illégale d'arme à feuLe Journal de La 1èreLes « algues sargasses » déferlent une nouvelle fois sur les côtes guadeloupéennes…À lire aussiVers une année noire pour les échouements de sargasses sur les côtes atlantiques
Chaque dimanche, retrouvez le livre coup de coeur de la semaine : roman, thriller, littérature... laissez-vous inspirer pour vos prochaines lectures ! RDV chaque dimanche à 08h50 et 10h20 sur LYON 1ERE. Ecoutez LYON 1ERE sur lyonpremiere.fr, l'application et à Lyon sur 90.2FM et en DAB+.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une journée électorale d'une dimension inédite au Mexique en ce dimanche 2 juin : présidentielle, législatives, fédérales et municipales. Autre nouveauté : deux femmes sont favorites pour la magistrature suprême : Claudia Scheinbaum et Xochitl Galvez. Eclairage avec l'invitée d'"Au Coeur de l'Info": Hélène Combes, directrice de recherches au CNRS, rattachée au CERI de Sciences Po, en direct de Mexico.
Le Mexique a développé une stratégie d'insertion internationale fondée sur la relation avec le grand voisin nord-américain. Celle-ci s'est traduite par un traité de libre-échange incluant aussi le Canada et qui a progressivement transformé le régime socio-économique mexicain. La pandémie puis l'invasion de l'Ukraine, tout comme le conflit latent entre la Chine et Taiwan sont venus conforter les choix du Mexique vers une plus grande résistance des chaines d'approvisionnement aux aléas des relations internationales et une plus grande autonomie. Le pays tire profit de la croissance des USA qui se transmet au Mexique et bénéficie de l'ouverture de nouvelles usines de la part de multinationales situées à la pointe du développement technologique.Les entreprises chinoises, longtemps dissuadées par les risques d'instabilité économique et politique du Mexique s'y font désormais concurrence. La société mexicaine n'en reste pas moins traversée par de sérieuses et nombreuses contradictions et tensions. Le Mexique est l'un des pays les plus violents au monde. Le trafic de drogue s'est déplacé de la Colombie au Mexique. Disparus et homicides se comptent par dizaines de milliers par an, sur fond d'impunité. La relation de Mexico avec Washington trouve toute sa tension sur la question migratoire. La lutte contre l'immigration illégale est devenue un thème politique central aux États-Unis et le Mexique est directement concerné. Le maintien d'une relation forte avec les États-Unis reste une priorité de politique étrangère pour le Mexique, aujourd'hui le plus grand partenaire commercial des États-Unis, devant la Chine. Y aura-t-il continuité avec la victoire probable de Claudia Sheinbaum à la présidentielle du 2 juin 2024 ? La réponse est probablement au Nord, avec l'élection américaine de novembre 2024.Invités : Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS, rattachée au CERI de Sciences Po. « De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico », CNRS Éditions Florencia Valdes, journaliste au service Amérique Latine de RFI Jean-Louis Martin, économiste, chercheur associé à l'IFRI pour l'Amérique Latine Alain Musset, géographe à l'Institut Universitaire de France.
Pour la première fois de l'histoire du Mexique, une femme est en position de remporter l'élection présidentielle du 2 juin 2024. Candidate du Mouvement de régénération nationale (Morena), parti de gauche de l'actuel président au pouvoir, Claudia Sheinbaum pourrait bien succéder à Andres Manuel Lopez Obrador (AMLO) qui avait été élu président du Mexique en 2018, à l'issue d'une campagne au cours de laquelle il avait promis de réduire la corruption, l'impunité et l'insécurité. Face à Claudia Sheinbaum, une autre femme, Xochitl Galvez, chef de file de l'opposition de droite au parti au pouvoir, candidate d'une coalition de trois mouvements le Parti de l'Action Nationale, PAN, le Parti de la Révolution Institutionnelle, PRI et le Parti de la révolution démocratique, PRD. La candidate qui gagnera l'élection présidentielle aura plusieurs défis de taille. Le pays connait une économie stagnante et un taux de criminalité élevé. Les femmes mexicaines devraient sortir gagnantes de cette élection alors que le Mexique est souvent décrit comme ayant une culture machiste et que plus de dix femmes y sont tuées chaque jour. La campagne électorale s'est déroulée dans un contexte de grande violence, constituée d'attaques et d'assassinats, symboles de la présence du crime organisé au sein de la vie politique. L'élection du 2 juin se veut historique, elle est la plus large jamais organisée, que ce soit au niveau du nombre de votants 98 millions, qu'à celui des postes à pourvoir. 628 sièges au Congrès, 9 gouvernorats sur 32 États et une myriade d'élus locaux. Invités : Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS, rattachée au CERI de Sciences Po. « De la rue à la présidence. Foyers contestataires à Mexico », CNRS Éditions Florencia Valdes, journaliste au service Amérique Latine de RFI Jean-Louis Martin, économiste, chercheur associé à l'IFRI pour l'Amérique Latine Alain Musset, géographe à l'Institut Universitaire de France.
Babs Drougge på P3 Nyheter förklarar morgonens stora nyheter, alltid tillsammans med programledarna för Morgonpasset i P3: Linnéa Wikblad och David Druid. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Artisten och producenten Sean 'Diddy' Combes erkänner nu att han misshandlat sin dåvarande flickvän 2016 – något som han tidigare nekat till. Detta efter att CNN publicerat en våldsam övervakningsvideo som överensstämmer med exflickvännens stämningsansökan från förra året.Sen pratar vi om att Irans president, utrikesminister samt sju högt uppsatta tjänstemän dött i en helikopterkrasch som inträffade på söndagen. Detta bekräftas under morgonen, så hur stor påverkan får dödsfallen på Irans politiska klimat?
Alors que le taux de réussite au bac atteint 90%, les études supérieures se sont démocratisées, devenant même un critère de sélection pour de nombreux emplois. Cependant, dans quelles conditions évoluent étudiants, doctorants et vacataires dans les universités en 2024 ? Qu'en est-il de la santé mentale des étudiants, de la pression pendant la thèse ou de la précarité de l'emploi ? Depuis près de 15 ans, Le Labo des savoirs se consacre à la science, à toutes les sciences, en particulier dans les laboratoires. Cependant, cette recherche ne serait pas possible sans les scientifiques, le personnel, les doctorants, doctorantes et toutes les personnes qui constituent l'université. Aujourd'hui, plutôt que de vous parler des sciences, nous allons nous intéresser à ce que signifie, en 2024, étudier, travailler ou aspirer à faire partie de l'enseignement supérieur et de la recherche universitaire. Universitaires, tous et toutes précaires, c'est notre nouvelle émission du Labo des savoirs. Nous commencerons avec une chronique de Yeltaz qui nous fera un rappel sur le quotidien des étudiants et étudiantes, qui peut impacter leur santé mentale et leurs études.Nous aurons ensuite une interview d'Adèle Combes, docteure en neurobiologie et consultante en communication médicale au sujet de son ouvrage Comment l'université broie les jeunes chercheurs aux éditions Autrement et des conditions de vie en thèse.Et pour terminer, autour de la question des statuts précaires de l'enseignement supérieur et de la recherche, Jérémy a pu poser ses questions à Julien Gossa, maitre de conférence en informatique à l'Université de Strasbourg, travaillant sur les transformations de l'enseignement supérieur au laboratoire SAGE. Une émission animée, préparée et réalisée par Dounia Saez, avec une chronique de Yeltaz Blandin et une interview de Jérémy Freixas.
Découvrez "Ce que je n'oserais jamais te dire", un roman de Bruno Combes
Join Joseph Hughes, founder of Contractor Dynamics, as he sits down with renowned entrepreneurs Randy Hurtado and Corey Combes to uncover the secrets of building and scaling a successful roofing business. This enlightening conversation dives deep into the strategies that helped them develop multiple eight-figure companies. In this video, you'll discover:
Oyez, oyez, solopreneurs.euses, microentrepreneurs.euses, salarié.e.s en état de ras-le-bol & en réflexion sur une éventuelle reconversion, vous êtes au bon endroit avec cet épisode ! Mon invitée va nous donner des clés pour réaliser ou pérenniser au mieux votre rêve d'indépendance professionnelle. Je suis en joie de vous présenter Emilie Combes. Anciennement dans le secteur bancaire, Emilie est aujourd'hui prof de yoga mais c'est principalement de sa seconde casquette, le coaching professionnel, que nous allons parler dans cet épisode. Donc, au programme du jour : bilan de compétences, équilibre vie perso vie pro, ou encore slow entreprenariat... mais comme toujours, tout cela saupoudré d'un petit peu magie et de spiritualité ! Je vous propose pour commencer de découvrir le parcours inspirant d'Emilie pour tous ceux qui pensent à se reconvertir. Car, comme c'est malheureusement souvent le cas, c'est seulement lorsque son corps a lâché, qu'elle n'a plus eu d'autres choix que de changer de voie. Je vous invite donc à écouter attentivement, non seulement cet épisode, mais aussi et surtout votre corps pour observer d'éventuels signaux d'alarme de sa part, vous indiquant que vous n'êtes plus au bon endroit professionnellement. N'attendez pas le burn-out ou toute autre expression douloureuse de votre corps pour oser mettre fin à une situation qui ne vous convient plus. Nous parlerons donc évidemment de respect des besoins, des valeurs, du rythme.... afin d'avancer en douceur, pas à pas, sur ses projets. Emilie nous offre également des exemples de bonnes questions à se poser, que vous retrouverez dans le descriptif de l'épisode. Et si vous êtes du genre à être hyper curieux.se, à avoir plein de passions, d'idées, d'envies, sans savoir quoi faire, ni quelle direction prendre,... pas de panique ! Au contraire, dans cet épisode nous évoquerons beaucoup les profils multipotentiels, car la vie fait que c'est dans cette direction qu'Emilie s'est spécialisée. Des conseils d'Emilie à appliquer dans l'ordre suivant : Ecouter son cœur/Remettre au centre ses intuitions et envies Orienter son projet avec des questions plus rationnelles --> le rationnel vient au service de l'intuitif Voir ce dont on dispose et utiliser ce que l'on a déjà à disposition (ex du frigo!) Les bonnes questions à se poser A quoi de plus grand que moi ai-je envie de contribuer ? Quel cadeau ai-je envie d'apporter au monde ? Qu'est-ce qui me rend unique ? Qu'est-ce qui m'anime profondément ? Sur quoi ai-je envie d'avoir de l'impact? [demander à ses proches/collègues] Pourquoi ferais-tu appel à moi ? Quelles sont mes valeurs qui ne sont pas respectées ? Comment puis-je respecter mon rythme biologique ? Comment puis-je me recharger ? Qu'est-ce qui me ressource ? Ai-je suffisamment de temps pour me ressourcer ? Quel est l'environnement favorable pour que je puisse m'épanouir ? Quelles sont mes valeurs ? Qu'est-ce qui me met en joie ? (Vous trouverez les citations inspirantes de l'épisode plus bas) ~~~ Sources citées et vocabulaire : Pour Emilie, la "part divine" est un synonyme du "Soi" de Carl Gustav Jung ou du "Soi" en yoga Modèle de la spirale dynamique : l'évolution des consciences se fait par étapes Caractéristiques du profil multipotentiel : «dispersion, difficulté de faire des choix, curiosité, besoin de sens, beaucoup d'idées, de passions, très intuitif» La chanson "Cuatro Vientos" de Danit ~~~ Vous voulez en savoir plus sur mon invitée ? https://www.instagram.com/syntonie_coaching/ https://syntonie-coaching.fr/ Pour prendre un rdv gratuit avec Emilie https://zcal.co/i/d8pyVlqU ~~~ Vous avez apprécié cet épisode? Vous souhaitez me soutenir? ❤️ Abonnez-vous sur la plateforme de podcast de votre choix, mettez des commentaires, des likes, des étoiles, des bonnes notes, parlez-en autour de vous, partagez pour que d'autres puissent le découvrir à leur tour ! ⭐
In episode 15 of Wake Up to Wealth, Brandon Brittingham is joined by Jay Combes as they discuss their experiences and insights into investing in short-term rental properties. They emphasize the need for diligence, smart investing strategies, and exceptional customer service in the hospitality business.Tune in to learn about the unique market dynamics and investment opportunities in this thriving vacation rental market.SOCIAL MEDIA LINKSBrandon BrittinghamInstagram: https://www.instagram.com/mailboxmoneyb/Facebook: https://www.facebook.com/brandon.brittingham.1/Jay CombesInstagram: https://www.instagram.com/tnstrpro/Facebook: https://www.facebook.com/jaycombes2WEBSITEBrandon Brittingham: https://www.brandonsbrain.org/homeJay Combes: https://www.investingwithjay.com/
Episode 28! In this episodes we talk about ECMO! PRONECMO evaluated the effect of prone positioning on patients already on ECMO by Schmidt et al in JAMA December 2023 and then EOLIA by Combes et al in NEJM 2018 which is our old article which randomized patients to ECMO or not. Great discussion here!PRONECMO: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38038395/EOLIA: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29791822/Be sure to follow us on the social @icucast for the associated figures, comments, and other content not available in the audio format! Email us at icuedandtoddcast@gmail.com with any questions or suggestions! Thank you Mike Gannon for the intro and exit music!
Matthew Bannister on Sir Horace Ové, the director whose films told stories of the experiences of black people in Britain. Su Gorman, who campaigned for justice for the victims of the contaminated blood scandal, after her own husband was infected with hepatitis C. Roger Whittaker, the singer best known for his hits Durham Town and The Last Farewell, and his skill at whistling. Jean Combes, the naturalist whose meticulous records of the moment when trees came into leaf in the spring cast light on the effects of climate change. Interviewee: Zak Ové Interviewee: Jan Smith Interviewee: Caroline Wheeler Interviewee: Siobhan Grogan Interviewee: Sue Stout Interviewee: Professor Tim Sparks Producer: Gareth Nelson-Davies Archive used: Horace Ové interview Galeforce Television, YouTube uploaded 04/10/2010; Horace Ové interview, Caribbean Links, BBC Radio 4, 03/02/1984; Reggae, Review, BBC Two, 26/03/1971; Horace Ové interview, Newsnight, BBC Two, 02/02/1982; Pressure: Discussion Panel, The Derek Jarman Lab, uploaded 21/05/2021; Play for Today: A Hole in Babylon, BBC One, 29/11/1979; Contaminated Blood Inquiry, Today, Radio 4, 24/09/2018; Contaminated Blood Scandal, BBC News, 17/08/2022; Roger Whittaker interview, BBC Radio 2, 01/01/2000.
Tom Combes preaches on Habakkuk.
In this episode, we're excited to welcome David Combes, Co-Founder/Principal of The Botanical Group, to share some insight on West Hollywood's thriving restaurant and nightlife scene. We'll dive into David's career journey and learn how he built a company that operates some of the neighborhood's most dynamic eateries and entertainment venues – from the chic yet laid-back EP/LP rooftop bar and restaurant, to the fun (and first of its kind) Melrose Rooftop Theatre, and the Melbourne-inspired Strings of Life Cafe. Tune in for a fascinating and insightful discussion with one of West Hollywood's most innovative entrepreneurs, and get ready to discover the hidden gems of the city's vibrant culinary and entertainment scene!
For this episode I am happy to be joined by Jon Stewart, a former Pro Wrestler & Governor Candidate for Illinois. We start off the episode by talking about wrestling for a little bit but eventually we get into the reason Jon came on. Jon first contacted me telling me he had a groundbreaking story about the 1997 Victor Alien Interview smuggled film. Anybody who wants to hear about a government secret broke open should definitely enjoy this episode. Jon's Bio: Jon Stewart is a retired American professional wrestler and former candidate for the U.S. Congress and the Office of Illinois Governor. He is best known for competing in the American Wrestling Association on ESPN, World Wrestling Association (WWA) and AWA Superstars of Wrestling LIVE. At his peak, Stewart wrestled on the ESPN Main Event eight separate times, eventually wrestling for the AWA Light Heavyweight Championship of the World in 1990. After his wrestling career was over, Stewart ran for the United States Congress in 2000. Because of Jesse Ventura's success, Stewart's campaign was featured on the OReilly Factor, Hannity and Combes, MSNBC and unbelievable to many sports writers, a feature article about Stewart also ran in the New York Times Magazine. In 2018, Stewart unsuccessfully ran for the Libertarian Parties nomination for Governor of IL. Stewart also has a foot into reality tv programming. He is an independent creative producer associated with INE Entertainment. After his wrestling career was over in 2008, Stewart became a Libertarian and also started as President of his families auto dealership. Stewart is past co-host of the podcast Truthbusters LIVE on the Triple T Network and he is currently in post production on his documentary, "The Grey Area". In August of this year, he became the choose ballot replacement for Secretary of State for the Libertarian Party. Paranormal the New Normal/Maniacal Music Musings Podcasts Facebook Group: https://www.facebook.com/groups/545827736965770/?ref=share Tiktok: https://www.tiktok.com/@juggalobastardpodcasts?is_from_webapp=1&sender_device=pc YouTube: https://www.youtube.com/channel/UC8xJ2KnRBKlYvyo8CMR7jMg
Join Joseph's conversation with Corey Combes to gain insight to some of the lessons that Corey has gone through on his way to building a market-leading brand and company in his local area. Corey is a sharp business owner because he is continually assessing, learning, and improving processes. Whether you're just starting out, or you're striving to break through to that next level, there are some immediately actionable nuggets in here.
Le Larousse publié en 1929 définit l'anticléricalisme comme « la caractéristique du combisme » qui est « l'ensemble des opinions et tendances politiques du ministre Combes et ses partisans ». Peut-on réduire la politique du sénateur Émile Combes (1835-1921) à l'anticléricalisme ? Le combisme est-il une idéologie ou doit-il être identifié à un moment politique précis ? Quelle est la singularité du parcours d'Émile Combes ? Quel est le rôle du sénateur dans l'exil des congrégations suite à la loi sur les associations de 1901, dans la séparation de l'Église et de l'État (1905) et dans la rupture des relations diplomatiques avec le Vatican (1904) ? Peut-il être considéré comme le père de la laïcité française ? L'affrontement de mémoire entretenu par une gauche anticléricale et une droite catholique hantée par le souvenir de « persécutions » a-t-il nui à l'histoire de cette personnalité ? L'invité : Julien Bouchet est historien spécialiste d'histoire politique. Il a soutenu, en 2013, une thèse sur Le combisme dans la France du début du XXème siècle : pratiques de pouvoir, réceptions et dissensions. Il a dirigé avec Pierre Triomphe, la publication des actes d'un colloque sur Émile Combes organisé au Sénat et à Pons en mai et juin 2021 : Émile Combes et le combisme (2022, éditions Atlande, 390 pages, 21,00 €). À lire aussi : "Clemenceau, le « Père la victoire »" : https://bit.ly/3WO7VC7 "La tour Eiffel, ou la naissance d'un colosse de fer" : https://bit.ly/3TnmNEw
Join Drs. Hugh Ross and David Block as they discuss the theological and philosophical implications of the dynamically open systems in our universe and how those systems point to the reality of God's existence. In this episode, Hugh and David discuss how the gold-plated mirrors of the James Webb Space Telescope (JWST) are revealing a plethora of detail in both our low- and high-z redshift universe. Galaxies are dynamically open systems, interacting and colliding with one another. This is true for look-back times of 13 billion years or a mere 2 million years. An example of a dynamically open system in our local universe is a near head-on collision in the Andromeda Spiral Galaxy, Messier 31. Hugh and David also explore the larger implications of high-z JWST images, especially in terms of Cauchy data in spacetimes with singularities. References: “An almost head-on collision as the origin of two off-centre rings in the Andromeda galaxy” https://doi.org/10.1038/nature05184, D.L. Block, F. Bourmaud, F. Combes, et. al (article) Help us create even more empowering resources! Support Reasons to Believe at: https://support.reasons.org/ Follow RTB_Official for updates! Facebook: https://www.facebook.com/RTBofficial Twitter: https://twitter.com/RTB_official Instagram: http://instagram.com/rtb_official Website: http://www.reasons.org
durée : 01:55:18 - Les Matins - par : Guillaume Erner - En première partie, décryptage du remaniement du gouvernement Borne avec le politiste Martial Foucault. Avant de recevoir l'astrophysicienne Françoise Combes, qui participe au podcast "Les mondes de Chloé" de France Culture. - invités : Martial Foucault Professeur de sciences politiques et directeur du Cevipof, le Centre de recherches politiques de Sciences Po; Françoise Combes Astrophysicienne à l'Observatoire de Paris, professeure au Collège de France et membre de l'Académie des sciences
Un épisode
On this episode, cinematographer Pascal Combes shares his worst day ever: While on coming up as a cinematographer, Pascal found himself in a nightmare situation when his equipment got seized at the Mexican border before a shoot...