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Die Themen: Krawattenspiel eskaliert auf einer Hochzeit und endet in Schlägerei; Friedrich Merz spricht von einer historischen Zäsur und warnt davor, Spielball der Großmächte zu werden; eine neue Rentenkommission könnte künftig über die Altersvorsorge von Millionen entscheiden; Trumps Stabschefin Susie Wiles rechnet ungewöhnlich offen mit dem Ex-Präsidenten ab; Großbritannien kauft sich mit hohen Kosten zurück ins Erasmus-Programm; Xavier Naidoo startet trotz Kontroversen wieder eine Tour und sorgt erneut für Debatten und in Großbritannien wird ein Mann bestraft, weil er ein Blatt ausspuckt Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
Judy Dempsey. Judy Dempsey details the pressure on Friedrich Merz's coalition from the far-right Alternative for Germany (AfD), describing the anti-immigrant party as "biting at the heels" of the government. With the AfD polling closely behind, Dempsey highlights the urgency for Merz to address immigration, pension reform, and healthcare costs.
Die Themen: Disney-Film löst Giftschlangen-Hype in China aus; EU stoppt Verbrenner-Aus; Kreml lehnt Waffenruhe über Weihnachten ab; Die nächste Machtprobe für Friedrich Merz; Kritik an Trumps Reaktion auf Reiners Tod; Brigitte Macron entschuldigt sich ein bisschen für ihre „Dreckige Schlampen“-Aussage, Kylian Mbappé gewinnt Gehaltsstreit mit PSG und Ousmane Dembélé ist Weltfußballer des Jahres Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
“Verantwortung für Deutschland” - so ist der Koalitionsvertrag von CDU/CSU und SPD überschrieben. Kanzler Friedrich Merz und sein schwarz-rotes Bündnis sind im Mai 2025 mit dem Versprechen eines grundlegenden Politikwechsels gestartet. Die Bürgerinnen und Bürger sollten bereits im Sommer spüren, dass sich etwas verändere im Land. Doch was in den ersten Monaten der schwarzen-roten Koalition vor allem hängen bleibt, ist offener Streit und Koalitionspartner, die offenbar nicht an einem Strang ziehen. In dieser 11KM-Folge zieht Jim-Bob Nickschas aus dem ARD-Hauptstadtstudio eine politische Zwischenbilanz zum Jahresausklang. Es geht um hoch gesteckte Erwartungen, hausgemachte Koalitionskrisen, politisches Handwerk und die Frage: Wieviel Streit kann die schwarz-rote Koalition noch vertragen? Alle Entwicklungen zur schwarz-roten Koalition bei tagesschau.de: https://www.tagesschau.de/thema/schwarz-rot Hört hier unsere frühere 11KM-Folge “Streit über die Rente: Wie kaputt ist das System?”: https://1.ard.de/11KM_Rentenstreit Und wie die neue Bahn-Chefin für mehr Pünktlichkeit sorgen will, hört ihr in dieser 11KM-Folge: https://1.ard.de/11KM_Neue_Bahnchefin Hier geht's zu “Der zweite Gedanke” - das ist unser Podcast-Tipp: https://www.ardaudiothek.de/episode/urn:ard:episode:d4df853fc4ec8958/ Diese und viele weitere Folgen von 11KM findet ihr überall da, wo es Podcasts gibt, auch hier in der ARD Audiothek: https://www.ardaudiothek.de/sendung/11km-der-tagesschau-podcast/12200383/ An dieser Folge waren beteiligt: Folgenautorin: Lisa Hentschel Mitarbeit: Charlotte Horn, Julius Bretzel und Marc Hoffmann Host: Elena Kuch Produktion: Jonas Teichmann, Konrad Winkler und Jürgen Kopp Planung: Caspar von Au und Hardy Funk Distribution: Kerstin Ammermann Redaktionsleitung: Fumiko Lipp und Nicole Dienemann 11KM: der tagesschau-Podcast wird produziert von BR24 und NDR Info. Die redaktionelle Verantwortung für diese Episode liegt beim BR.
Friedrich Merz, Germany's chancellor, said there was a “real chance” of peace in Ukraine, following a second day of negotiations in Berlin between officials from Ukraine, America and Europe. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
C dans l'air l'invité du 15 décembre 2025 avec Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l'Europe.Arrivera-t-on bientôt à un accord de paix ? Arrivé hier à Berlin pour de nouveaux pourparlers avec le chancelier Friedrich Merz, mais aussi les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, le président ukrainien Volodymyr Zelensky paraît vouloir engager ces négociations cruciales dans un état d'esprit d'ouverture et de recherche du compromis. Dans un geste visant visiblement à faire avancer les pourparlers pour mettre fin à la guerre provoquée par l'invasion russe, il a déclaré être prêt à renoncer aux demandes d'adhésion de l'Ukraine à l'Otan, en échange de garanties bilatérales de sécurité conclues avec les Etats-Unis, des membres de l'Union européenne et un certain nombre d'autres pays.Le dirigeant ukrainien sait pertinemment - et a d'ailleurs admis - qu'il était peu probable que son pays rejoigne l'Otan dans un avenir proche, tant est forte l'opposition de la Russie sur ce point. "La non-adhésion de Kiev à l'Otan est une "pierre angulaire" des pourparlers, a rappelé Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, aujourd'hui. Washington n'a pas encore fait connaître sa position sur les amendements proposés par l'Ukraine et ses alliés européens au plan de paix américain. Dans ces négociations, l'Europe cherche à faire valoir sa voix et ses intérêts. Dans la foulée de Macron, le chancelier allemand est désormais lui aussi à la manoeuvre. Hôte des pourparlers se déroulant en Allemagne, Friedrich Merz s'est montré particulièrement virulent dans un discours prononcé en Bavière, samedi, comparant la guerre de Poutine en Ukraine à l'annexion par Adolf Hitler des régions frontalières germanophones de la Tchécoslovaquie en 1938.Benjamin Haddad , ministre délégué chargé de l'Europe, est notre invité. Il reviendra avec nous sur la situation des pourparlers concernant l'Ukraine, mais aussi sur le rôle que les Européens peuvent jouer. Comment qualifier la relation transatlantique actuellement, alors que le gouvernement américain a averti récemment l'UE d'un risque d'"effacement civilisationnel" ?
C dans l'air du 16 décembre 2025 - Paix en Ukraine: Trump y croit, l'Europe aussi...Est-ce enfin un vrai tournant, près de quatre ans après le début de l'invasion russe en Ukraine ? Le président des États-Unis a affirmé qu'un accord n'a « jamais » été aussi « proche » afin de mettre fin à la guerre, ce lundi 15 décembre. Des propos prononcés depuis le Bureau ovale, à la suite d'un entretien avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, et plusieurs dirigeants européens réunis à Berlin. Les États-Unis ont assuré avoir offert à Kiev des garanties de sécurité « très fortes », comparables à la protection permise par l'article 5 de l'Otan, tout en restant acceptables pour Moscou.De leur côté, les dirigeants des principaux pays européens, dont la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, ont fait part d'une proposition de « force multinationale pour l'Ukraine ». Cette unité, formée par des pays « volontaires » et soutenue par les États-Unis, aurait pour objectif d'aider l'Ukraine à maintenir durablement une armée de 800 000 soldats. Un « mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu », dirigé par Washington, est également prévu. Désormais, il appartient « à la Russie de montrer sa volonté d'œuvrer en faveur d'une paix durable », ont avancé les dirigeants européens.Ce mardi, le Kremlin a écarté la proposition de Volodymyr Zelensky d'une trêve de Noël. Dans une interview à la chaîne ABC News, diffusée hier, un vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, avait répété que la Russie n'accepterait « à aucun moment » la présence en Ukraine de forces de l'Otan ou de troupes européennes.Après sa rencontre avec le chancelier allemand Friedrich Merz à Berlin et un appel téléphonique avec Donald Trump hier soir, Volodymyr Zelensky a déclaré aux journalistes ukrainiens qu'il refusait d'abandonner le Donbass. « Les Américains veulent trouver un compromis. Ils proposent une zone économique libre », a-t-il poursuivi. « Je tiens à le souligner une fois de plus : une zone économique libre ne signifie pas un contrôle de la Fédération de Russie. Ce sont des caractéristiques importantes pour moi dans toute discussion concernant le Donbass. Ni de jure ni de facto, nous ne reconnaîtrons le Donbass comme russe », a-t-il déclaré avant de se rendre, cet après-midi, à un sommet du Conseil de l'Europe sur d'éventuelles réparations visant à indemniser l'Ukraine face à l'offensive russe.L'événement, qui se tient à La Haye, réunit de hauts responsables européens afin de mettre en place un organisme international chargé de statuer sur des dizaines de milliards d'euros. L'option d'un « prêt de réparation », gagé sur les avoirs russes immobilisés, provoque toujours des dissensions au sein des Vingt-Sept. Soutenu par de nombreux États membres de l'Union européenne, dont l'Allemagne, ce plan se heurte à l'opposition ferme de la Belgique, rejointe par trois pays (Bulgarie, Malte, Italie). Les dirigeants de l'UE vont devoir trancher lors d'un sommet qui débute jeudi.Pendant ce temps, la guerre se poursuit sur le front ukrainien, mais aussi bien au-delà. Le Service de sécurité ukrainien (SBU) a mené ces derniers jours une attaque contre deux plateformes pétrolières russes en mer Caspienne, à 700 kilomètres de ses frontières. Ces frappes, qui rappellent l'opération « Toile d'araignée », ont contraint le géant Lukoil à suspendre sa production. Kiev a également affirmé, lundi, avoir « fait exploser » un sous-marin russe à l'aide d'un drone naval dans le port de Novorossiïsk, en Russie, au bord de la mer Noire.Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire Des trains dans la guerre- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille
Friedrich Merz hatte eingeladen. Das Ziel der Europäer: eine Rolle spielen. Am Ende steht nun die Zusage für eine “multinationale Truppe” für die Ukraine. Was bedeutet das? Und: Donald Trump verklagt die BBC auf zehn Milliarden US-Dollar. Grieß, Thielko
Vor genau einem Jahr verlor Olaf Scholz die Vertrauensfrage und Friedrich Merz wurde später Kanzler. Gordon Repinski zieht eine politische Bilanz. Was hat Merz aus der Opposition heraus damals am 16. Dezember 2024 angekündigt, was hat er als Regierungschef eingelöst und wo ist er hinter den eigenen Ansprüchen zurückgeblieben. Im Mittelpunkt stehen Außenpolitik, Wirtschaft und der Stil der schwarz-roten Koalition. Parallel richtet sich der Blick dorthin in Berlin, wo sich Bewegung in den Gesprächen über ein Ende des Krieges in der Ukraine zeigt. Erstmals seit 2022 erscheint ein Waffenstillstand zumindest vorstellbar. Hans von der Burchard berichtet von den Gesprächen im Kanzleramt und erklärt, welche Rolle Sicherheitsgarantien, territoriale Fragen und der Druck aus Washington spielen. Im 200-Sekunden-Interview spricht Marie Agnes Strack Zimmermann, FDP Verteidigungspolitikerin im Europäischen Parlament, über die Grenzen des aktuellen Prozesses. Sie warnt vor falschem Optimismus, kritisiert die amerikanische Verhandlungsführung und fordert klare Entscheidungen Europas, etwa beim Umgang mit eingefrorenen russischen Vermögen. Und: Bundestagspräsidentin Julia Klöckner feiert Geburtstag, den Spaziergang aus dem Sommer mit ihr gib es hier. Das Berlin Playbook als Podcast gibt es jeden Morgen ab 5 Uhr. Gordon Repinski und das POLITICO-Team liefern Politik zum Hören – kompakt, international, hintergründig. Für alle Hauptstadt-Profis: Der Berlin Playbook-Newsletter bietet jeden Morgen die wichtigsten Themen und Einordnungen. Jetzt kostenlos abonnieren. Mehr von Host und POLITICO Executive Editor Gordon Repinski: Instagram: @gordon.repinski | X: @GordonRepinski. Legal Notice (Belgium) POLITICO SRL Forme sociale: Société à Responsabilité Limitée Siège social: Rue De La Loi 62, 1040 Bruxelles Numéro d'entreprise: 0526.900.436 RPM Bruxelles info@politico.eu www.politico.eu Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Germania urmează să trimită trupe în Polonia, în efortul de a consolida flancul estic al NATO. Mișcarea vine în contextul creșterii îngrijorărilor cu privire la planurile agresive ale Rusiei. Numărul soldaților este mic, misiunea lor este pur defensivă, dar semnificațiile acestui gest sunt importante. Germania va trimite soldați Bundeswehr pentru a ajuta Polonia la granița sa estică cu Belarus și cu exclava rusă din Kaliningrad. Potrivit unui purtător de cuvânt al Ministerului Apărării din Germania, principala sarcină a soldaților germani din Polonia va consta în „activități de inginerie militară”. Ei vor ajuta la „construirea de fortificații, săparea de tranșee, instalarea gardurilor de sârmă ghimpată sau ridicarea de bariere pentru tancuri”. Potrivit oficialului de la Berlin, efectivele trimise vor fi de aproximativ 50 de militari. Se așteaptă ca militarii să participe la proiect din al doilea trimestru al anului 2026 până la sfârșitul anului 2027. Purtătorul de cuvânt a subliniat că nu este necesară aprobarea parlamentară pentru desfășurare, deoarece „nu există niciun pericol imediat pentru soldați din cauza conflictelor militare”. Deși numărul militarilor germani care ajută la efortul de apărare al Poloniei este mic, simbolistica este importantă. Gestul este menit să arate Rusiei că europenii iau amenințările în serios și că sunt uniți în fața acestora. Anunțul de la Berlin vine după ce cancelarul Friedrich Merz a avertizat că Vladimir Putin va continua războiul, dacă Ucraina va cădea. Într-un discurs ținut sâmbătă, la o conferință a Uniunii Creștin-Sociale din Bavaria, el l-a comparat pe președintele rus Vladimir Putin cu Adolf Hitler. „Așa cum Sudeții nu au fost suficienți în 1938, Putin nu se va opri”, a spus Merz, referindu-se teritoriul Cehoslovaciei pe care aliații i l-au cedat liderului nazist prin acordul de la Munchen. De asemenea, într-o conferință desfășurată joi la Berlin, secretarul general al NATO, Mark Rutte, a avertizat statele membre ale alianței în privința amenințării Rusiei și a cerut cheltuieli mai mari pentru apărare, inclusiv ca reacție la noua strategie de securitate a SUA. „Noi suntem următoarea țintă a Rusiei. Și suntem deja în pericol”, a declarat Rutte la Berlin. Într-un discurs cu accente sumbre, el a spus că trebuie să ne pregătim ”pentru un război de amploarea celui pe care l-au îndurat bunicii și străbunicii noștri.” Să mai amintim că, de la invazia pe scară largă declanșată de Rusia în 2022, Varșovia a susținut cu fermitate Kievul și a fost o rută de tranzit pentru armele furnizate de aliații occidentali ai Ucrainei. La rândul ei, Germania este al doilea cel mai mare furnizor de ajutor militar al Ucrainei după Statele Unite. Berlinul a trimis Kievului o cantitate imensă de echipamente, de la sisteme de apărare aeriană la vehicule blindate. După instalatrea președintelui Donald Trump la Casa Albă, Uniunea Europeană și-a asumat singură susținerea financiară pentru Urcaina, inclusiv prin cumpărarea de echipamente militare din Statele Unite. Ascultați rubrica ”Eurocronica”, cu Ovidiu Nahoi, în fiecare zi, de luni până vineri, de la 8.45 și în reluare duminica, de la 15.00, numai la RFI România
Vor einem Jahr stand Deutschland vor Neuwahlen. Am 16. Dezember 2024 hatte sich der damalige Kanzler Olaf Scholz im Bundestag das Misstrauen aussprechen lassen. Schon damals zeichnete sich ab: Der nächste Regierungschef würde Friedrich Merz heißen. Im Interview blickt der Investigativ-Journalist Gerhard Wisnewski nun auf die ersten Monate der schwarz-roten Koalition zurück – und fällt ein vernichtendes Urteil.
Friedrich Merz hat ein internationales Spitzentreffen zusammengebracht, bei dem es um einen möglichen Weg zu einem Waffenstillstand in der Ukraine geht. Wolodymyr Selenskyj ist in der Hauptstadt, ebenso die amerikanischen Unterhändler Jared Kushner und Steve Witkoff. Europa verhandelt mit, unter hohem Zeitdruck und mit offenen Fragen zu Sicherheitsgarantien und der Zukunft des amerikanischen Vorschlags für einen Frieden-Rahmen. Gordon Repinski berichtet, warum dieser Tag zu einem Wendepunkt werden könnte, oder zu einem weiteren gescheiterten Versuch. Im 200-Sekunden-Interview spricht Andrij Melnyk, ukrainischer Botschafter bei den Vereinten Nationen und früherer Botschafter in Berlin, über die Erwartungen an die Gespräche. Er erklärt, warum Europa eine stärkere Rolle einnehmen muss, welche Garantien für die Ukraine unverzichtbar sind und wie weit sein Land bereit ist, in den Verhandlungen zu gehen, ohne seine territoriale Integrität aufzugeben. Danach richtet sich der Blick in die USA. Pauline von Pezold analysiert den Auftritt des AfD-Außenpolitikers Markus Frohnmaier beim Young Republican Club in New York. Dort wurde sichtbar, wie eng sich Teile der AfD an das Umfeld von Donald Trump anbinden und welche strategische Bedeutung dieser Schulterschluss für kommende Wahlen in Deutschland hat. Zum Schluss geht es nach Baden-Württemberg. Maximilian Stascheit berichtet vom Grünen Parteitag in Ludwigsburg. Cem Özdemir setzt im Wahlkampf auf Bekanntheit und Kontinuität, um das Staatsministerium zu verteidigen. Ein Parteitag zwischen Aufholjagd, Personalisierung und der Frage, ob dieses Konzept im Autoland aufgeht. Das Berlin Playbook als Podcast gibt es jeden Morgen ab 5 Uhr. Gordon Repinski und das POLITICO-Team liefern Politik zum Hören – kompakt, international, hintergründig. Für alle Hauptstadt-Profis: Der Berlin Playbook-Newsletter bietet jeden Morgen die wichtigsten Themen und Einordnungen. Jetzt kostenlos abonnieren. Mehr von Host und POLITICO Executive Editor Gordon Repinski: Instagram: @gordon.repinski | X: @GordonRepinski. Legal Notice (Belgium) POLITICO SRL Forme sociale: Société à Responsabilité Limitée Siège social: Rue De La Loi 62, 1040 Bruxelles Numéro d'entreprise: 0526.900.436 RPM Bruxelles info@politico.eu www.politico.eu Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
In Berlijn vindt overleg plaats tussen president Zelensky en Amerikaanse gezanten over een mogelijke vredesregeling voor Oekraïne. Zelensky is bereid het NAVO-lidmaatschap op te geven, mits er stevige veiligheidsgaranties van Europese en Amerikaanse zijde komen. Vandaag schuiven ook Europese leiders aan, zoals Friedrich Merz en Emmanuel Macron. De Amerikanen willen zien dat Oekraïne concessies doet.
In Berlijn vindt overleg plaats tussen president Zelensky en Amerikaanse gezanten over een mogelijke vredesregeling voor Oekraïne. Zelensky is bereid het NAVO-lidmaatschap op te geven, mits er stevige veiligheidsgaranties van Europese en Amerikaanse zijde komen. Vandaag schuiven ook Europese leiders aan, zoals Friedrich Merz en Emmanuel Macron. De Amerikanen willen zien dat Oekraïne concessies doet. In Den Haag bivakkeren de top van D66, VVD en CDA met informateur Rianna Letschert op De Zwaluwenberg om de formatie vlot te trekken. Er is lichte spanning, vooral richting de VVD, en een ambitieuze deadline: op 30 januari moet een onderhandelingsstuk liggen, onder meer over de financiële onderbouwing. Vandaag ligt in de Tweede Kamer ook de strafbaarstelling illegaliteit op tafel, een punt dat de formatie extra onder druk kan zetten, vooral als het in de Senaat stuit op bezwaren.De Australische premier Albanese wil strengere wapenwetgeving na een aanslag op Bondi Beach waarbij zestien doden vielen. De aanval, door een vader en zoon, wordt door de politie als antisemitisch en terroristisch bestempeld. De heldendaad van fruitverkoper Ahmed al-Ahmed, die een van de daders overmeesterde, wordt breed geprezen. Inmiddels is er een inzamelingsactie gestart die 700.000 dollar heeft opgehaald.Deze omschrijving is met AI gemaakt en gecontroleerd door een BNR-redacteur.Over deze podcastBNR Nieuws Vandaag is de podcast met daarin BNR Ochtendnieuws en BNR Avondnieuws. Je krijgt 's ochtends vroeg en aan het einde van de werkdag in 20 minuten het belangrijkste nieuws van de dag. Abonneer je via bnr.nl/podcast/bnrnieuwsvandaag, de BNR-app, Spotify en Apple Podcasts. Of luister elke dag live via bnr.nl/live.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Die Bundesregierung bereitet sich auf den Selenskyj-Besuch in Berlin vor. Ein wichtiger Lobbyverband beschäftigt einen AfD-Politiker. Und: Die Rolle der Frauen in der Bundeswehr. Das ist die Lage am Samstagmorgen. Die Artikel zum Nachlesen: Was für Friedrich Merz jetzt auf dem Spiel steht Was Frauen zur Bundeswehr zieht - gegen alle Widerstände Der Feind in den eigenen Reihen+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Statt die Mütterrente zu erhöhen, wäre es viel wichtiger ein System zu etablieren, in dem Frauen gar nicht darauf angewiesen sind, meint unsere Gesprächspartnerin. Außerdem: Immer mehr Länder boykottieren den ESC. Und: große Männer-Egos. Von WDR 5.
C dans l'air du 11 décembre 2025 - Ukraine : Zelensky prêt à lâcher des territoiresUne proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes dans le cadre d'un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été soumise à Donald Trump, a annoncé ce jeudi 11 décembre le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain s'était montré ces derniers jours particulièrement critique envers les dirigeants ukrainiens et même européens. Hier, il a déclaré avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien un peu plus tôt avec le président de la République, le Premier ministre britannique et le chancelier allemand."Ils aimeraient que nous participions à une réunion en Europe ce week-end. Nous allons prendre une décision en fonction de ce qu'ils nous diront. Nous ne voulons pas perdre notre temps", a ensuite affirmé Donald Trump, ajoutant : "Avant d'aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir". Mardi, dans une interview accordée au média en ligne Politico, quelques jours après la publication de la Stratégie de sécurité nationale américaine, Donald Trump a également redoublé de critiques contre des dirigeants politiques européens qu'il juge faibles et une Europe déclinante ; contre l'Ukraine, qui n'a selon lui aucune chance car la Russie est la plus grande, et un Zelensky "perdant" accusé d'"utiliser la guerre" pour ne pas remettre en jeu son mandat.Visé par de nouveaux propos acerbes de Donald Trump, le président ukrainien avait assuré mardi être "prêt" à organiser une élection présidentielle en Ukraine, mais pas dans n'importe quelles conditions. "Je demande maintenant (...) aux États-Unis de m'aider, avec nos partenaires européens, à garantir la sécurité nécessaire pour la tenue d'élections. Si cela se produit, l'Ukraine sera prête à organiser des élections dans les 60 à 90 prochains jours", a-t-il assuré. Avec cette déclaration, Volodymyr Zelensky renvoie la balle aux Américains, qui ont échoué à obtenir un cessez-le-feu malgré des mois de négociations avec la Russie.Pour l'heure, la guerre se poursuit et l'Ukraine a lancé ce jeudi une importante attaque aérienne sur Moscou et plusieurs régions de Russie. En mer Noire, un pétrolier russe de sa flotte fantôme a également été touché hier par un drone ukrainien. Le secteur énergétique russe, poumon économique du pays, est sous la pression des sanctions occidentales visant à assécher le financement de la guerre menée par Moscou et de l'intensification, depuis cet été, des frappes ukrainiennes qui visent ses raffineries et infrastructures d'hydrocarbures. Selon l'AIE, les revenus pétroliers du pays sont tombés à leur plus bas niveau depuis 2020.Alors, où en sont les discussions sur un plan de paix en Ukraine ? Pourquoi Donald Trump multiplie-t-il les critiques envers l'Europe ? Faut-il craindre des ingérences étrangères lors des prochaines élections en France ? Enfin, que faut-il retenir du débat et du vote sur la défense nationale qui se sont déroulés hier à l'Assemblée ?Nos experts :- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream
C dans l'air du 11 décembre 2025 - Ukraine : Zelensky prêt à lâcher des territoiresUne proposition concernant des concessions territoriales ukrainiennes dans le cadre d'un plan pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été soumise à Donald Trump, a annoncé ce jeudi 11 décembre le chancelier allemand Friedrich Merz. Le président américain s'était montré ces derniers jours particulièrement critique envers les dirigeants ukrainiens et même européens. Hier, il a déclaré avoir eu des "mots assez forts" pendant son entretien un peu plus tôt avec le président de la République, le Premier ministre britannique et le chancelier allemand."Ils aimeraient que nous participions à une réunion en Europe ce week-end. Nous allons prendre une décision en fonction de ce qu'ils nous diront. Nous ne voulons pas perdre notre temps", a ensuite affirmé Donald Trump, ajoutant : "Avant d'aller à une réunion, il y a des choses que nous voulons savoir". Mardi, dans une interview accordée au média en ligne Politico, quelques jours après la publication de la Stratégie de sécurité nationale américaine, Donald Trump a également redoublé de critiques contre des dirigeants politiques européens qu'il juge faibles et une Europe déclinante ; contre l'Ukraine, qui n'a selon lui aucune chance car la Russie est la plus grande, et un Zelensky "perdant" accusé d'"utiliser la guerre" pour ne pas remettre en jeu son mandat.Visé par de nouveaux propos acerbes de Donald Trump, le président ukrainien avait assuré mardi être "prêt" à organiser une élection présidentielle en Ukraine, mais pas dans n'importe quelles conditions. "Je demande maintenant (...) aux États-Unis de m'aider, avec nos partenaires européens, à garantir la sécurité nécessaire pour la tenue d'élections. Si cela se produit, l'Ukraine sera prête à organiser des élections dans les 60 à 90 prochains jours", a-t-il assuré. Avec cette déclaration, Volodymyr Zelensky renvoie la balle aux Américains, qui ont échoué à obtenir un cessez-le-feu malgré des mois de négociations avec la Russie.Pour l'heure, la guerre se poursuit et l'Ukraine a lancé ce jeudi une importante attaque aérienne sur Moscou et plusieurs régions de Russie. En mer Noire, un pétrolier russe de sa flotte fantôme a également été touché hier par un drone ukrainien. Le secteur énergétique russe, poumon économique du pays, est sous la pression des sanctions occidentales visant à assécher le financement de la guerre menée par Moscou et de l'intensification, depuis cet été, des frappes ukrainiennes qui visent ses raffineries et infrastructures d'hydrocarbures. Selon l'AIE, les revenus pétroliers du pays sont tombés à leur plus bas niveau depuis 2020.Alors, où en sont les discussions sur un plan de paix en Ukraine ? Pourquoi Donald Trump multiplie-t-il les critiques envers l'Europe ? Faut-il craindre des ingérences étrangères lors des prochaines élections en France ? Enfin, que faut-il retenir du débat et du vote sur la défense nationale qui se sont déroulés hier à l'Assemblée ?Nos experts :- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Marion VAN RENTERGHEM ( en duplex) - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream
El Tesoro de EEUU anuncia nuevas sanciones contra varios buques petroleros venezolanos y también contra miembros de la familia de Nicolás Maduro. Es una nueva vuelta de tuerca y un aumento más de la presión de Washington sobre el régimen venezolano.Hoy se han reunido el secretario general de la OTAN, Mark Rutte, y el canciller alemán, Friedrich Merz. Consideran que no se están tomando suficientemente en serio la amenaza rusa. Hablaremos de ello.Vamos a estar en Afganistán, donde el recorte de fondos en la ayuda internacional sigue haciendo estragos. También en Gaza, cuya situación es aún más límite con las inundaciones debido a las fuertes lluvias de los últimos días. En Portugal, donde se ha convocado una huelga general por primera vez en los últimos 12 años; en Bolivia porque el expresidente Luis Arce ha sido detenido por presuntos delitos de corrupción; y en Bulgaria, tras la dimisión del primer ministro.Además estará con nosotros Pilar Requena, presidenta de la Red de Periodismo de Investigación de la Unión Europea de Radiodifusión para hablar de las amenazas híbridas.Escuchar audio
Die Themen: Mitarbeiterin erschien regelmäßig zu früh zum Dienst – fristlose Kündigung; Streit um „Totalverweigerer“: Dobrindt und Reiche wollen Bürgergeldbeschluss blockieren; Friedrich Merz versucht, Koalitionsstreit über Reform herunterzukochen; Helfer von Aschaffenburg abgeschoben; Merz versichert Trump Kurswechsel in deutscher Migrationspolitik; Brigitte Macron beleidigt Aktivistinnen als “dreckige Vollidiotinnen”; Jens Lehmann fordert mehr Patriotismus bei TV-Experten; Ich-Geschenke: Der neue Trend zum Fest; CDU-Abgeordneter präsentiert Panzerwagen als Adventskalender im Büro und Fürze von Frauen riechen schlimmer als die von Männern Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
Un an après la chute du régime du Bachar el-Assad en Syrie, quelles conséquences pour tous les Syriens qui avaient fui le régime ? Se posent-ils la question du retour ? Selon les chiffres des Nations unies, 1,2 million de réfugiés ont déjà choisi de rentrer, tandis que près de deux millions qui étaient des déplacés internes ont pu retrouver leur région d'origine. Pression allemande pour le retour En Allemagne où l'on trouve la plus grande communauté de réfugiés syriens d'Europe occidentale, près d'un million, le gouvernement de Friedrich Merz a pris une position très en rupture avec l'histoire récente. Sous la pression du parti d'extrême droite AFD, Berlin veut désormais inciter, voire même forcer les retours. La communauté installée depuis dix ans, avec parfois des enfants nés sur le sol allemand, a accueilli ces propos avec scepticisme et incompréhension. Reportage à Berlin de Delphine Nerbollier. La Turquie toujours pays d'accueil Et qu'en est-il en Turquie ? Le pays voisin de la Syrie, qui a accueilli de loin le plus grand nombre de réfugiés. Certes, les sentiments anti-migrants ont émergé dans la société, mais le gouvernement Erdogan ne renie pas son statut de pays d'accueil. Sa principale préoccupation reste la stabilité de l'autre côté de la frontière. D'autant que les réfugiés syriens sont aussi devenus essentiels à la bonne marche de l'économie. Depuis Ankara, les explications d'Anne Andlauer. En Pologne, l'éducation à la santé ne passera pas par l'école... Une nouvelle matière destinée à donner des connaissances de base aux élèves sur des thèmes aussi vastes que, le bien manger, l'activité physique, mais aussi la santé mentale, et l'éducation sexuelle fait désormais l'objet d'un boycott de la part des parents. 70% des familles ont désinscrit leur enfant de cette matière optionnelle. En cause, une campagne de l'Église qui a aussi été relayée par les politiques. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat. La chronique musique de Vincent Théval L 'Islandaise Ólöf Arnalds Heimurinn núna.
Un an après la chute du régime du Bachar el-Assad en Syrie, quelles conséquences pour tous les Syriens qui avaient fui le régime ? Se posent-ils la question du retour ? Selon les chiffres des Nations unies, 1,2 million de réfugiés ont déjà choisi de rentrer, tandis que près de deux millions qui étaient des déplacés internes ont pu retrouver leur région d'origine. Pression allemande pour le retour En Allemagne où l'on trouve la plus grande communauté de réfugiés syriens d'Europe occidentale, près d'un million, le gouvernement de Friedrich Merz a pris une position très en rupture avec l'histoire récente. Sous la pression du parti d'extrême droite AFD, Berlin veut désormais inciter, voire même forcer les retours. La communauté installée depuis dix ans, avec parfois des enfants nés sur le sol allemand, a accueilli ces propos avec scepticisme et incompréhension. Reportage à Berlin de Delphine Nerbollier. La Turquie toujours pays d'accueil Et qu'en est-il en Turquie ? Le pays voisin de la Syrie, qui a accueilli de loin le plus grand nombre de réfugiés. Certes, les sentiments anti-migrants ont émergé dans la société, mais le gouvernement Erdogan ne renie pas son statut de pays d'accueil. Sa principale préoccupation reste la stabilité de l'autre côté de la frontière. D'autant que les réfugiés syriens sont aussi devenus essentiels à la bonne marche de l'économie. Depuis Ankara, les explications d'Anne Andlauer. En Pologne, l'éducation à la santé ne passera pas par l'école... Une nouvelle matière destinée à donner des connaissances de base aux élèves sur des thèmes aussi vastes que, le bien manger, l'activité physique, mais aussi la santé mentale, et l'éducation sexuelle fait désormais l'objet d'un boycott de la part des parents. 70% des familles ont désinscrit leur enfant de cette matière optionnelle. En cause, une campagne de l'Église qui a aussi été relayée par les politiques. Reportage à Varsovie d'Adrien Sarlat. La chronique musique de Vincent Théval L 'Islandaise Ólöf Arnalds Heimurinn núna.
Die Themen: Katy Perry und Justin Trudeau sind auch auf Instagram ein Paar; Ukraine-Treffen in London; Reaktionen auf die neue US-Sicherheitsstrategie; Zahl der Firmeninsolvenzen auf Höchststand; Heidi Reichinnek spricht über ihre Migräne-Erkrankung; Die Strafanträge von Friedrich Merz und Miley Cyrus ekelt sich vor Papier Hosts der heutigen Folge sind Markus Feldenkirchen (DER SPIEGEL) und Yasmine M'Barek (Zeit Online) Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/ApokalypseundFilterkaffee
In Deutschland lief es für Kanzler Friedrich Merz in letzter Zeit nicht besonders gut. Es gab Kritik zu Äusserungen zur Migrationspolitik - Stichwort "Stadtbild-Debatte". Jetzt hat sich Merz im Fernsehen den Publikumsfragen gestellt. SRF4 News-Redaktor Julius Schmid fasst zusammen. · Netflix will Warner Brothers kaufen. Ob es wirklich dazu kommt, ist nun aber wieder offen. Denn auch der Paramount-Konzern will Warner Brothers kaufen - und hat ein neues, höheres Angebot gemacht. Wirtschaftsredaktor Matthias Heim ordnet ein. · Auf der kanarischen Insel Teneriffa sind am Sonntag vier Menschen ums Leben gekommen, weil sie von Riesenwellen beim Baden überrascht und ins Meer gespült wurden. Es ist bereits der zweite solche Vorfall innerhalb kurzer Zeit. Karsten Mohr betreibt eine Tauchschule auf den Kanaren und erklärt, wie es dazu kommen kann. · Jodeln soll zum Weltkulturerbe ernannt werden. Diese Woche tagt darüber der zuständige Auschuss der UNO-Organisation Unesco. SRF4 News-Redaktorin Silvia Staub sagt, was man sich davon erhofft und wie jodeln genau funktioniert.
Die Franse president, Emmanuel Macron, sê sanksies wat die Europese Unie en Amerika die afgelope maande teen Rusland ingestel het, het tans ʼn groot uitwerking op Rusland se ekonomie. Hy het gister in Downing-straat in Londen met die Oekraïnse president Volodymyr Zelensky, Britse eerste minister Keir Starmer, en Duitse kanselier Friedrich Merz beraadslaag. Macron sê druk op Rusland het momentum geskep vir gekoördineerde, diplomatieke gesprekke:
Die europäische Idee ist mit Nationalstolz in den Mitgliedsstaaten vereinbar, meint unser Gast. Unsere Kommentatorin findet Bürgerbeteiligung im Vorfeld der Olympia-Bewerbung überflüssig. Vorher muss unser Host Philipp Anft nochmal etwas über Merz und die Stadtbild-Debatte sagen. Von WDR 5.
Hamberger, Katharina www.deutschlandfunk.de, @mediasres
C dans l'air du 8 décembre 2025 - Trump lâche l'Europe, le Kremlin jubile...Sous pression américaine, Volodymyr Zelensky est reçu aujourd'hui à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer, en présence du président Emmanuel Macron et du chancelier allemand Friedrich Merz. Objectif : faire le point et peser sur les négociations en cours en Floride entre les Ukrainiens et les Américains. Les discussions qui se déroulent aux États-Unis interviennent dans le cadre du plan américain visant à mettre fin à la guerre déclenchée voilà bientôt quatre ans par la Russie. Les Européens entendent peser sur les discussions depuis plusieurs semaines et éviter la rupture avec une administration américaine qui multiplie les gestes hostiles.Ainsi, les États-Unis ont dévoilé vendredi dernier leur nouvelle stratégie de sécurité nationale. Dans ce document de 33 pages, qui trace leurs priorités de politique étrangère, Washington est d'une violence inédite vis-à-vis des Européens. Cette nouvelle doctrine américaine salue la montée en puissance des « partis européens patriotiques » – situés à l'extrême droite de l'échiquier politique – et justifie son ingérence dans les affaires européennes au prétexte de la préservation de l'identité et des valeurs du Vieux Continent. Celui-ci est présenté comme menacé « d'un effacement civilisationnel », en raison notamment de l'immigration, de la « censure » de la liberté d'expression ou encore de l'« asphyxie réglementaire ».Le document stratégique, qui reprend finalement les propos énoncés à Munich en février 2025 par le vice-président américain J. D. Vance, marque un tournant historique amorcé depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.Au sein de l'UE comme à Londres, les réactions se veulent mesurées pour ne pas creuser davantage un fossé de plus en plus béant. Berlin a ainsi réagi promptement via son ministre des Affaires étrangères, Johann Wadephul, estimant que l'Allemagne n'avait pas besoin de « conseils venant de l'extérieur », notamment sur « la liberté d'expression » ou « l'organisation des sociétés libres ».Mais les sujets de friction se multiplient : l'amende de 120 millions d'euros infligée par Bruxelles à X, le réseau social d'Elon Musk, pour manquement aux règles européennes, suscite la colère de Washington. Elon Musk lui-même a appelé dans un tweet au démantèlement de l'Union européenne. Il a également répondu « c'est à peu près ça » à un message d'une utilisatrice comparant l'UE à l'Allemagne nazie et la qualifiant de « quatrième Reich ». « Cela fait partie de la liberté d'expression que nous chérissons dans l'UE, et qui permet les déclarations les plus folles », a réagi la porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs- Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, autrice de L'Ukraine se lève - Hélène KOHL ( en duplex) - Journaliste – Le Podkast
C dans l'air du 8 décembre 2025 - Trump lâche l'Europe, le Kremlin jubile...Sous pression américaine, Volodymyr Zelensky est reçu aujourd'hui à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer, en présence du président Emmanuel Macron et du chancelier allemand Friedrich Merz. Objectif : faire le point et peser sur les négociations en cours en Floride entre les Ukrainiens et les Américains. Les discussions qui se déroulent aux États-Unis interviennent dans le cadre du plan américain visant à mettre fin à la guerre déclenchée voilà bientôt quatre ans par la Russie. Les Européens entendent peser sur les discussions depuis plusieurs semaines et éviter la rupture avec une administration américaine qui multiplie les gestes hostiles.Ainsi, les États-Unis ont dévoilé vendredi dernier leur nouvelle stratégie de sécurité nationale. Dans ce document de 33 pages, qui trace leurs priorités de politique étrangère, Washington est d'une violence inédite vis-à-vis des Européens. Cette nouvelle doctrine américaine salue la montée en puissance des « partis européens patriotiques » – situés à l'extrême droite de l'échiquier politique – et justifie son ingérence dans les affaires européennes au prétexte de la préservation de l'identité et des valeurs du Vieux Continent. Celui-ci est présenté comme menacé « d'un effacement civilisationnel », en raison notamment de l'immigration, de la « censure » de la liberté d'expression ou encore de l'« asphyxie réglementaire ».Le document stratégique, qui reprend finalement les propos énoncés à Munich en février 2025 par le vice-président américain J. D. Vance, marque un tournant historique amorcé depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.Au sein de l'UE comme à Londres, les réactions se veulent mesurées pour ne pas creuser davantage un fossé de plus en plus béant. Berlin a ainsi réagi promptement via son ministre des Affaires étrangères, Johann Wadephul, estimant que l'Allemagne n'avait pas besoin de « conseils venant de l'extérieur », notamment sur « la liberté d'expression » ou « l'organisation des sociétés libres ».Mais les sujets de friction se multiplient : l'amende de 120 millions d'euros infligée par Bruxelles à X, le réseau social d'Elon Musk, pour manquement aux règles européennes, suscite la colère de Washington. Elon Musk lui-même a appelé dans un tweet au démantèlement de l'Union européenne. Il a également répondu « c'est à peu près ça » à un message d'une utilisatrice comparant l'UE à l'Allemagne nazie et la qualifiant de « quatrième Reich ». « Cela fait partie de la liberté d'expression que nous chérissons dans l'UE, et qui permet les déclarations les plus folles », a réagi la porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs- Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, autrice de L'Ukraine se lève - Hélène KOHL ( en duplex) - Journaliste – Le Podkast
C dans l'air du 8 décembre 2025 - Trump lâche l'Europe, le Kremlin jubile...Sous pression américaine, Volodymyr Zelensky est reçu aujourd'hui à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer, en présence du président Emmanuel Macron et du chancelier allemand Friedrich Merz. Objectif : faire le point et peser sur les négociations en cours en Floride entre les Ukrainiens et les Américains. Les discussions qui se déroulent aux États-Unis interviennent dans le cadre du plan américain visant à mettre fin à la guerre déclenchée voilà bientôt quatre ans par la Russie. Les Européens entendent peser sur les discussions depuis plusieurs semaines et éviter la rupture avec une administration américaine qui multiplie les gestes hostiles.Ainsi, les États-Unis ont dévoilé vendredi dernier leur nouvelle stratégie de sécurité nationale. Dans ce document de 33 pages, qui trace leurs priorités de politique étrangère, Washington est d'une violence inédite vis-à-vis des Européens. Cette nouvelle doctrine américaine salue la montée en puissance des « partis européens patriotiques » – situés à l'extrême droite de l'échiquier politique – et justifie son ingérence dans les affaires européennes au prétexte de la préservation de l'identité et des valeurs du Vieux Continent. Celui-ci est présenté comme menacé « d'un effacement civilisationnel », en raison notamment de l'immigration, de la « censure » de la liberté d'expression ou encore de l'« asphyxie réglementaire ».Le document stratégique, qui reprend finalement les propos énoncés à Munich en février 2025 par le vice-président américain J. D. Vance, marque un tournant historique amorcé depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.Au sein de l'UE comme à Londres, les réactions se veulent mesurées pour ne pas creuser davantage un fossé de plus en plus béant. Berlin a ainsi réagi promptement via son ministre des Affaires étrangères, Johann Wadephul, estimant que l'Allemagne n'avait pas besoin de « conseils venant de l'extérieur », notamment sur « la liberté d'expression » ou « l'organisation des sociétés libres ».Mais les sujets de friction se multiplient : l'amende de 120 millions d'euros infligée par Bruxelles à X, le réseau social d'Elon Musk, pour manquement aux règles européennes, suscite la colère de Washington. Elon Musk lui-même a appelé dans un tweet au démantèlement de l'Union européenne. Il a également répondu « c'est à peu près ça » à un message d'une utilisatrice comparant l'UE à l'Allemagne nazie et la qualifiant de « quatrième Reich ». « Cela fait partie de la liberté d'expression que nous chérissons dans l'UE, et qui permet les déclarations les plus folles », a réagi la porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs- Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, autrice de L'Ukraine se lève - Hélène KOHL ( en duplex) - Journaliste – Le Podkast
C dans l'air du 8 décembre 2025 - Trump lâche l'Europe, le Kremlin jubile...Sous pression américaine, Volodymyr Zelensky est reçu aujourd'hui à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer, en présence du président Emmanuel Macron et du chancelier allemand Friedrich Merz. Objectif : faire le point et peser sur les négociations en cours en Floride entre les Ukrainiens et les Américains. Les discussions qui se déroulent aux États-Unis interviennent dans le cadre du plan américain visant à mettre fin à la guerre déclenchée voilà bientôt quatre ans par la Russie. Les Européens entendent peser sur les discussions depuis plusieurs semaines et éviter la rupture avec une administration américaine qui multiplie les gestes hostiles.Ainsi, les États-Unis ont dévoilé vendredi dernier leur nouvelle stratégie de sécurité nationale. Dans ce document de 33 pages, qui trace leurs priorités de politique étrangère, Washington est d'une violence inédite vis-à-vis des Européens. Cette nouvelle doctrine américaine salue la montée en puissance des « partis européens patriotiques » – situés à l'extrême droite de l'échiquier politique – et justifie son ingérence dans les affaires européennes au prétexte de la préservation de l'identité et des valeurs du Vieux Continent. Celui-ci est présenté comme menacé « d'un effacement civilisationnel », en raison notamment de l'immigration, de la « censure » de la liberté d'expression ou encore de l'« asphyxie réglementaire ».Le document stratégique, qui reprend finalement les propos énoncés à Munich en février 2025 par le vice-président américain J. D. Vance, marque un tournant historique amorcé depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.Au sein de l'UE comme à Londres, les réactions se veulent mesurées pour ne pas creuser davantage un fossé de plus en plus béant. Berlin a ainsi réagi promptement via son ministre des Affaires étrangères, Johann Wadephul, estimant que l'Allemagne n'avait pas besoin de « conseils venant de l'extérieur », notamment sur « la liberté d'expression » ou « l'organisation des sociétés libres ».Mais les sujets de friction se multiplient : l'amende de 120 millions d'euros infligée par Bruxelles à X, le réseau social d'Elon Musk, pour manquement aux règles européennes, suscite la colère de Washington. Elon Musk lui-même a appelé dans un tweet au démantèlement de l'Union européenne. Il a également répondu « c'est à peu près ça » à un message d'une utilisatrice comparant l'UE à l'Allemagne nazie et la qualifiant de « quatrième Reich ». « Cela fait partie de la liberté d'expression que nous chérissons dans l'UE, et qui permet les déclarations les plus folles », a réagi la porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho.Nos experts :- Gallagher FENWICK - Journaliste, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs- Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, autrice de L'Ukraine se lève - Hélène KOHL ( en duplex) - Journaliste – Le Podkast
Summary In dieser Episode diskutieren Hannah und Fred über die aktuelle gesundheitliche Situation, bevor sie in die traditionelle Besprechung des Sachverständigenratsgutachtens einsteigen. Sie beleuchten die Struktur und die Kapitel des Gutachtens, die wirtschaftliche Lage in Deutschland sowie die Prognosen für die Zukunft. Ein zentrales Thema ist die Kritik an den aktuellen politischen Maßnahmen und der Umgang mit Sondervermögen. Die Diskussion umfasst auch die Herausforderungen der europäischen Integration und die Notwendigkeit einer stärkeren Zusammenarbeit. In dieser Episode wird das Konzept des 28. Regimes im Unternehmensrecht diskutiert, das als zusätzliche regulatorische Option für Unternehmen in der EU dient. Es wird die Notwendigkeit einer gemeinsamen europäischen Verteidigungspolitik hervorgehoben, um die Verteidigungsfähigkeit der EU zu stärken. Zudem wird die Reform der Unternehmensbesteuerung und die Problematik der Vermögensverteilung in Deutschland behandelt, insbesondere im Hinblick auf die Erbschaftssteuer und die Ungleichheit in der Vermögensverteilung. Abschließend wird ein Ausblick auf zukünftige Herausforderungen gegeben. (Zusammenfassung von Riverside AI)
In der ARD Arena wird heute Abend Bundeskanzler Friedrich Merz live Fragen der Zuschauerinnen und Zuschauer beantworten. Hätten auch Sie Fragen an den Kanzler und wie beurteilen Sie seine bisherige Performance? Diskussion mit Filmemacher Stephan Lamby und Moderatorin Anja Backhaus Von WDR 5.
Some of the country's biggest investment managers have sent a stark signal to Labour MPs. They worry that any attempt to oust Keir Starmer as PM could rattle the markets, weaken the pound and risk a Truss-style shock. As Labour Together, the group that campaigned for Starmer's leadership, tests the waters for potential successors, Sam and Anne unpack what's happening inside the party.In Downing Street Starmer hosts a high stake gathering with Volodymyr Zelenskyy, Emmanuel Macron and Friedrich Merz, as Donald Trump publicly pressures Ukraine to accept his peace terms. Sam and Anne look at what could be unfolding behind closed doors.Plus, in Clacton, Nigel Farage has been reported to police over his electoral expenditure. Reform UK denies the claims.
Wie sicher sitzt Friedrich Merz wirklich im Kanzleramt? In dieser Q&A-Folge beantwortet Paul die drängendsten Fragen unserer Hörerinnen und Hörer - von der Zukunft der Regierung über die Lage in der Ukraine bis zu seinem gefährlichsten Moment als Reporter.Paul und Filipp sprechen über die innenpolitischen Spannungen zwischen Union und SPD, neue Risiken für Europa durch die kürzlich veröffentlichte US-Sicherheitsstrategie - und wie realistisch eine Wiedereroberung ukrainischer Gebiete überhaupt noch ist. Dazu: Pauls Einschätzung zur Frage, ob Merz in einem Jahr noch Kanzler ist, welche Rolle politische Berater wirklich spielen und warum er seinen Job niemals freiwillig hinschmeißen würde.Wenn euch der Podcast gefällt, dann lasst gerne Like & Abo da! Ihr habt Fragen, Kritik oder Themenvorschläge? Schreibt an ronzheimer@axelspringer.comPaul auf Instagram | Paul auf XUnd ganz neu: Paul jetzt auch auf YouTube!Redaktion: Filipp Piatov & Lieven JenrichExecutive Producer: Daniel van Moll Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Nemški kancler Friedrich Merz se mudi na obisku v Izraelu. Ob prihodu je potrdil, da bo podpora Izraelu ostala ključni del nemške politike. Prav tako se je zavzel za razorožitev palestinskega gibanja Hamas in poudaril pomen rešitve dveh držav. Potem, ko se je Mertz v Jeruzalemu sestal s predsednikom Jicakom Herzogom, ga je sprejel tudi premier Benjamin Netanjahu. Srečal se je tudi z nekaterimi talci, ki jih je Hamas izpustil, prav tako pa bo obiskal spominski center Jad Vašem. Palestinsko skrajno gibanje Hamas je medtem sporočilo, da je pripravljeno svoje orožje predati palestinskim oblastem v Gazi pod pogojem, da se konča izraelska okupacija enklave. V oddaji tudi: - Dogovor o končanju vojne med Rusijo in Ukrajino naj bi bil blizu. - Stranke na slovenskem političnem prizorišču iščejo pravo formulo za uspeh na spomladanskih volitvah. - Delodajalci lahko od jutri vlagajo zahtevke za delno povračilo nadomestila plače zaradi skrajšanega delovnega časa.
„Friedrich Merz wird dem Chaos nicht mehr Herr und führt das Land immer noch tiefer in die Krise“, analysiert Roland Tichy die aktuelle politische und gesellschaftliche Lage in seinem wöchentlichen Videoessay zu Lage der Nation. Im Zentrum steht die massive Kritik an den Rentenreformen, der wirtschaftlichen Abwärtsspirale, der Energiekrise sowie der außenpolitischen Isolation Deutschlands. Tichy thematisiert zudem den Verlust von Meinungsfreiheit, die Rolle der EU als Zensurinstanz und den Umgang deutscher Politiker mit internationalen Partnern wie den USA, Russland und China. Besonders kritisch setzt sich Tichy mit der Rolle der Antifa auseinander, die er als paramilitärische Organisation beschreibt, und wirft der Bundesregierung Untätigkeit gegenüber dieser Entwicklung vor. Die zentrale Frage lautet: Ist der deutsche Rechtsstaat noch handlungsfähig – und wie lange bleibt Friedrich Merz noch Kanzler?
Friedrich Merz bricht zu einer heiklen Reise nach Israel auf. Die Wagenknecht-Partei bemüht sich um einen Neuanfang. Und: Die Europäer kämpfen gegen die Bedeutungslosigkeit. Das ist die Lage am Samstagmorgen. Hier die Artikel zum Nachlesen: Mehr Hintergründe hier: Netanyahus Werk und Trumps Beitrag Mehr Hintergründe hier: In Sahras Welt Mehr Hintergründe hier: »Wir dürfen die Ukraine und Wolodymyr nicht mit diesen Jungs alleinlassen«+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Die schwarz-rote Koalition kann aufatmen: Das Rentenpaket ist beschlossen und der Weihnachtsfrieden erstmal gesichert. Dank einiger „Rentenrebellen“ aus der Union, die über ihren Schatten gesprungen sind. Dem vorausgegangen war jedoch eine Woche voller Konflikte, Misstrauen und öffentlicher Reibereien. Im Zentrum des Streits stand die Junge Gruppe der Union, die Friedrich Merz eine hauchdünne Kanzlermehrheit beim Rentenpaket verweigern wollte - unter anderem mit dem Argument, eine echte Rentenreform sei mit dem Koalitionspartner SPD nicht zu machen. Da half dann auch die Zusage des Kanzlers über eine solche nur bedingt. Aber kann eine Regierung stabil weiterrregieren - wenn die eigene Fraktion ihr nicht mehr vollständig vertraut? Wie stabil ist das Vertrauen innerhalb der Union und zwischen den Partnern der schwarz-roten Regierung? Der Apofika-Presseklub mit Susanne Gaschke (Neue Zürcher Zeitung), Anna Lehmann (taz), Robin Alexander (Welt) und natürlich unserem Host, Markus Feldenkirchen (Spiegel) Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/presseklub
2025 - das Jahr der Labubus, Friedrich Merz wird mit Hängen und Würgen zum Kanzler gewählt und Donald Trump legt sich mit Pinguinen an. Das und vieles mehr gibt's im großen Jahresrückblick - Teil 1.
Friedrich Merz geht bei der Rentenabstimmung ins Risiko. Die WM-Auslosung wird zur Trump-Show. Und: Schulstreik gegen den neuen Wehrdienst. Das ist die Lage am Freitagmorgen. Die Artikel zum Nachlesen: Mehr Hintergründe hier: Am Abend legt Merz dann die Latte im Rentenstreit ganz hoch Mehr Hintergründe hier: »Ich möchte kein Jahr meines Lebens einer Regierung widmen, der die eigene Jugend egal ist« Die ganze Geschichte hier: The Big Show+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Friedrich Merz darf sich über eine Kanzlermehrheit freuen. Netflix entscheidet die Bieterschlacht um den Medienkonzern Warner Bros. vorläufig für sich. Und die Onlineplattform X soll nach dem Willen der EU 120 Millionen Euro Strafe zahlen. Das ist die Lage am Freitagabend. Die Artikel zum Nachlesen: Abstimmung im Bundestag: Die drei Lehren aus der Rentendebatte Geplante Übernahme von Warner Bros.: Krönt Netflix sich jetzt zum König von Hollywood – und killt die Kinos? Onlineplattform von Elon Musk: EU verhängt Millionenstrafe gegen X wegen Transparenzmängeln+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Beidh cruinniú ag Seansailéir na Gearmáine Friedrich Merz le Príomh-Aire na Beilge Bart De Wever agus Uachtarán an Coimisiúin Eorpaigh Ursula Von der Leyen sa mBruiséil inniu chun plean an Coimisiún socmhainní reoite na Rúise a chur i dtreo na hÚcráine.
Chancellor Merz has received praise internationally for many German foreign policy and defense initiatives in 2025: suspending the “debt brake” to allow for more security investments, expanding the Bundeswehr, committing …
Spahn unter Druck: Rentenstreit spaltet die Union | Deutsche Post: Service im Rückwärtsgang | Die Grünen: Zwischen Krise und Konfetti | Jahresrückblick 2025 - Christian Ehring zeigt den Irrsinn der Woche.
Spahn unter Druck: Rentenstreit spaltet die Union | Deutsche Post: Service im Rückwärtsgang | Die Grünen: Zwischen Krise und Konfetti | Jahresrückblick 2025 - Christian Ehring zeigt den Irrsinn der Woche.
La Unión Europea está estudiando permitir que los motores de combustión sigan circulando más allá de 2035, la fecha fijada para prohibir su matriculación. Este giro en la política comunitaria llega tras la presión del Gobierno alemán, que ha reclamado formalmente a la presidenta de la Comisión, Ursula von der Leyen, que reconsidere el calendario, una información analizada en el programa 'Herrera en COPE' por la corresponsal de COPE en Alemania, Rosalía Sánchez.El canciller alemán, Friedrich Merz, ha liderado esta iniciativa como una de sus promesas electorales. Tras un acuerdo interno, su Gobierno envió un escrito a Bruselas argumentando que Europa debe mantener todas las tecnologías abiertas hasta completar la transición energética con seguridad, es decir, "no cerrar la puerta a tecnología sin tener suficientemente desarrolladas o difundidas las siguientes", según explicó la corresponsal.La propuesta ha tenido una "acogida muy positiva", según ha reconocido el ...
Die Bundesregierung will das gesetzliche Rentensystem reformieren – gegen den Willen einiger junger Abgeordneter der Union. Die sagen, die Reformpläne sind zu teuer und lösen die langfristigen Probleme nicht. Trotz einer erfolgreichen Probeabstimmung der Unionsfraktion am Dienstagnachmittag ist weiter offen, wie die geplante Abstimmung des Reformpakets im Bundestag am Freitag ausgeht. Gibt es keine Einigung, könnte die Koalition platzen. Jan-Peter Bartels ist im ARD-Hauptstadtstudio zuständig für Sozialpolitik und Experte in Sachen Rente. Mit ihm schauen wir in dieser 11KM-Folge in Ruhe auf die Details. Es geht um umstrittene Haltelinien, sinkende Rentenniveaus und um ein System, das besser ist als sein Ruf. Alle weiteren Nachrichten zur Diskussion um das Rentenpaket findet ihr auf der Themenseite auf tagesschau.de: https://www.tagesschau.de/thema/rentenpaket In dieser früheren 11KM-Folge “Die Billionen-Frage: Wie die Regierung den Sozialstaat reformieren will“ haben wir ebenfalls mit Jan-Peter Bartels über die großen Reformen gesprochen, die die Regierung angehen möchte: https://1.ard.de/11KM_Sozialstaat Hier geht's zum Flexikon, unserem Podcast-Tipp: https://1.ard.de/Flexikon_107?cp2 Diese und viele weitere Folgen von 11KM findet ihr überall da, wo es Podcasts gibt, auch hier in der ARD Audiothek: https://www.ardaudiothek.de/sendung/11km-der-tagesschau-podcast/12200383/ An dieser Folge waren beteiligt: Folgenautor: Caspar von Au Mitarbeit: Niklas Münch, Lukas Waschbüsch Host: Elena Kuch Produktion: Regina Staerke, Fabian Zweck, Alexander Gerhardt Planung: Caspar von Au und Hardy Funk Distribution: Kerstin Ammermann Redaktionsleitung: Fumiko Lipp und Nicole Dienemann 11KM: der tagesschau-Podcast wird produziert von BR24 und NDR Info. Die redaktionelle Verantwortung für diese Episode liegt beim BR.
We assess the impact of Pope Leo’s first foreign trip to Turkey and Lebanon. Then: the history of democracy in Gdańsk as Polish prime minister Donald Tusk and German chancellor Friedrich Merz meet in Berlin. Plus: we dive into Monocle’s new Switzerland handbook.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Europa har återigen hamnat vid sidlinjen av fredssamtalen där USA förhandlar med Ryssland. Samtidigt går åsikterna isär om framtida europeisk trupp till Ukraina. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radios app. När Donald Trumps sändebud åker till Moskva för att möta Vladimir Putin är det återigen tydligt att USA håller i taktpinnen och Europa hamnar vid sidan av. Samtidigt fortsätter Europas tungviktare att betona vikten av europeiskt inflytande och säkerhetsgarantier för Ukraina, men frågan om framtida fredsbevarande europeisk trupp till Ukraina splittrar. Frankrike och Emmanuel Macron har varit drivande i diskussionen tillsammans med Storbritannien, men för Tyskland och Friedrich Merz är frågan om att skicka soldater utomlands känslig. Både Tyskland och Frankrike är just nu samtidigt i färd med att införa ny frivillig militärtjänst för att stärka sina respektive försvarsmakter. Hör om hur det står till med försvarsviljan i de båda länderna och hur diskussionen låter när fler unga fransmän och tyskar nu ska motiveras till att vilja göra militärtjänst. Tyskland inspireras uttryckligen av Sverige och försvarsminister Pistorius pratar om ”den svenska modellen” som en förebild.Medverkande: Andreas Liljeheden, Brysselkorrespondent. Cecilia Blomberg, korrespondent i Paris. Katarina von Arndt, korrespondent i Berlin. Programledare: Parisa HöglundProducent: Therese Rosenvinge