French actor
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“Les Misérables”, l'adaptation du chef-d'œuvre de Victor Hugo en version restaurée.Cette adaptation de l'œuvre phare de Victor Hugo, propose une sélection des moments les plus marquants du roman, admirablement mis en valeur par une troupe de comédiens hors pairs. Jean Rochefort, Jean Vilar, Jean-Roger Caussimon et bien d'autres grandes voix, incarnent les personnages mythiques de Jean Valjean, Fantine, Gavroche, Cosette et Marius à travers lesquels Hugo illustre les mœurs, la misère et l'injustice sociale de la première moitié du XIXe siècle.Fidèle au texte original, cette adaptation permet une véritable immersion sonore au cœur du chef-d'œuvre de Victor Hugo avec ses péripéties, ses passions, mais aussi ses réflexions philosophiques. Elle parvient à mettre en lumière la tonalité poétique de cette fresque sociale et historique.Un podcast de 10 épisodes de la collection Grands Classiques. Un nouvel épisode à retrouver chaque vendredi à 18h, jusqu'au 11 juillet.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
One a very special REMOTE episode of WILD IN THE STREETS, Doug calls in from Newfoundland to discuss the mixed up crime comedy MEAN FRANK AND CRAZY TONY from 1973. Featuring Lee Van Cleef as a tight-lipped mobster and Tony Lo Bianco as the wannabe wise-guy who worships him, the two get into all sorts of trouble, including an impressive car chase ("Mon dieu!"), a factory shootout and more power drill mayhem than you can throw an apple core at. There's plenty of action, Edwige Fenech and Jean Rochefort pop up in supporting roles, and you even get a horn-heavy score from Riz Ortolani. What's not to love? Listen and find out! The post Episode 273 – Wild in the Streets – Mean Frank and Crazy Tony (1973) first appeared on Cinema Smorgasbord.
"Patrice Leconte, un bronzé au Grévin" diffusé dans "Beau Geste" du dimanche mai 2025 à 22h45 sur France 2.Scénariste, réalisateur, dessinateur mais aussi écrivain, Patrice Leconte a publié 7 romans et le dernier s'appelle "la tentation du lac". C'est surtout une carrière parallèle à nos vies avec 30 films dont quelques-uns resteront des films cultes. La troupe du splendid, Coluche, Jean Rochefort, Johnny Hallyday, Patrice Leconte se confie aux statues de cire du musée Grévins et à l'oreille de Pierre Lescure."Beau geste" c'est une plongée au cœur du cinéma en train de se fabriquer. Menée par Pierre Lescure, Beau geste va là où bat le pouls du cinéma : en tournage, en avant-première, dans les festivals, en France comme à l'étranger, sur les films intimistes comme les comédies populaires. Pierre Lescure discute avec les artistes qui font l'actualité dans des lieux qui font sens : salles de cinéma, musées, librairies…https://www.instagram.com/beaugeste_france2?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=ZDNlZDc0MzIxNw==https://www.france.tv/france-2/beau-geste/
C'est avec son sourire si particulier, joyeux mais mélancolique, que Guillaume Canet explore avec nous la librairie du Panthéon. Entre des allusions à ses premiers films, en tant qu'acteur puis en tant que réalisateur, il en profite pour nous raconter quelques anecdotes, sur Leonardo DiCaprio, Jean Rochefort, Marion Cotillard, ou encore Alba Rohrwacher avec qui il sera à l'écran dans Hors saison.
Hassan et Naïma sont tous les 2 originaires d'un petit village du Maroc, Sebaâ Aïyoun dans la région de Fès-Meknès, Sebaâ Aïyoun qui signifie sept sources en arabe. Naïma découvre Porquerolles en 1986 à l'âge de 11 ans, avec son frère Hamad et sa mère Fatima. Ils y rejoignent son père Habibi embauché 2 ans plus tôt par Sébastien Le Ber, propriétaire du Domaine de l'île, l'un des 2 grands domaines viticoles alors présents sur l'île avec le domaine de la Courtade. Après quelques années près d'Avignon à Châteaurenard, Hassan rejoint Porquerolles en 1994. Il est embauché au Domaine de l'île pendant 2 saisons à la taille des vignes. Ils se marient avec Naïma en 1996, et leur premier enfant Iliès voit le jour en 1998. A la suite de ses saisons au Domaine de l'île, Hassan travaille un temps dans la restauration à l'Oustaou, puis après un passage sur le continent où il exercera différentes activités, ils reviennent s'installer sur l'île en 2003. Hassan prend ses fonctions de tractoriste puis de contremaitre au Domaine de la Courtade tenu alors par Henri Vidal, jusqu'en 2015. Aujourd'hui Hassan travaille pour Veolia au ramassage des déchets sur l'île et ils ont monté avec Naïma leur micro entreprise de restauration spécialisée dans la cuisine orientale. Avec Hassan, Naïma et leurs enfants, on a parlé des domaines viticoles de l'île, de Jean Rochefort, Florence Arthaud, Henri Vidal et de nombreux porquerollais, de la sensibilisation au tri des déchets, du Maroc, de famille, de solidarité, de fraternité, de partage et de cuisine. Pour retrouver toutes les notes de l'épisode, rendez-vous ici.Support the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
durée : 00:30:04 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - - réalisation : Virginie Mourthé
Sneak ON AIR, la première et la seule émission de radio 100% sneakers au monde !!! sur la radio RBS tous les mardis de 20h à 21h. Animée par l'équipe de Sneakers EMPIRE. Actu sneakers, invités, SANA, talk. Story insta de l'épisode. Pour cet épisode, nous vous proposons une heure de talk, d'actu, et de débats autour des sneakers avec comme thème les sneakers à la télévision. De Jerry Seinfeld au Prince de Bel Air en passant par Jean Rochefort à Lupin.
Send us a textWelcome back to The Fixate & Binge Podcast, for the seventh episode of a new 10-part series on underappreciated films.Spanning over 55 -years of forgotten Hollywood gems, join Joe for every episode as he discusses in depth his selection of five films that are worth rewatching or even viewing for the first time!Part 8 of this 10-part series the following films are reviewed:CONFESSIONS OF A DANGEROUS MIND (2002) Starring Sam Rockwell, Julia Roberts, George ClooneyTHE BLIND SWORDSMAN: ZATOICHI (2003) Starring Takeshi Kitano, Tadanobu AsanoDEAD MAN'S SHOES (2004) Starring Paddy Considine, Toby KebbellLUCKY NUMBER SLEVIN (2006) Starring Josh Hartnett, Bruce Willis, Morgan Freeman, Ben Kingsley, Stanley Tuck, Lucy LuiTELL NO ONE (2006) Starring François Cluzet, Marie-Josée Croze, Kristin Scott Thomas, Jean Rochefort, Guillaume Canet, Joe Also provides a spoiler-free impression on the meaning of Yorgos Lanthimos' latest film KINDS OF KINDNESS that you won't want to miss!The hope of this podcast is to engender a greater appreciation of the magic of moviemaking and how far the film industry has come in the preceding decades.Thank you for listening! You can find and follow us with the links below!Read our Letterboxd reviews at:https://letterboxd.com/fixateandbinge/Follow us on Instagram at:https://www.instagram.com/fixateandbingepodcast/?hl=msFollow us on TikTok at:https://www.tiktok.com/@fixateandbingepodcastVisit our website at:https://fixateandbingepodcast.com/
Zeus, le cheval de fer galopant sur la Seine lors de la cérémonie d'ouverture des JO, est exposé au Château de Versailles. De Pégase à Jappeloup, en passant par Tornado et Jolly Jumper, voici une compilation des grandes références de ce symbole d'aventure, la “plus belle conquête de l'homme” dixit le regretté Jean Rochefort. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet été, je ne vous abandonne pas et vous propose de découvrir ou redécouvrir des épisodes de Chiffon. Et bien sûr on se retrouve à la rentrée avec de nouveaux invités et peut-être des surprises...Pour ce nouvel épisode de Chiffon, j'ai invité une journaliste qui a commenté et résumé les Fashion Week sur TF1 pendant des années. Viviane Blassel m'a reçue chez elle un matin de novembre. Et selon moi, cette femme incarne l'élégance ! Pour elle, la mode est liée à la sociologie, la psychologie, l'économie et les bouleversements de notre société, ce qui fait "qu'on ne s'habille pas par hasard". Vous apprendrez au cour de cette épisode, qu'avant d'être journaliste de mode, cette grande brune au timbre de voix mythique a été comédienne auprès des plus grands comme Delphine Serig, Jean Rochefort ou encore Nadine Trintignant.Quand on lui demande son avis sur la mode actuelle, Viviane reconnait que ce milieu a bien changé et regrette que les directeurs artistiques des grandes maisons subissent une véritable pression financière. Pour elle, cela ressemble au « mercato du football » qui « ne laisse plus beaucoup de place à la vraie création ».Viviane adore s'habiller chez Zara. Ses vêtements ADN ? Les pantalons larges à poche et les pulls noirs pour accentuer sa silhouette androgyne. L'accessoire est aussi très important pour elle car ils finissent une silhouette. Par contre, jamais vous ne la verrez porter des pantacourts ou une jupe culotte !Sa définition de l'élégance ? "C'est une harmonie avec soi, avec le mouvement et avec les autres". Et si cette adéquation n'est pas réussie cela... lui irrite les yeux ! Tout est dit ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour cette toute nouvelle enquête retour sur un polar atypique, peu cité et pourtant véritable pierre angulaire du cinéma policer de Jacques Deray avec le fascinant Symphonie pour un massacre réalisé en 1963. Un engrenage fatal porté par une mise en scène élégante, discrète et maitrisée de bout en bout, un scénario astucieux signé du trio Jacques Deray-Claude Sautet-José Giovanni et un casting solide avec à sa tête un Jean Rochefort comme on l'a jamais vu ailleurs, déployant ici une facette de son jeu inédite, sombre et impassible. Et c'est cette fois-ci Baptiste Dorsaz, scénariste, professeur de cinéma et mélomane expert en musique de films français, qui se prête au jeu de l'interrogatoire pour défendre cette relecture du film noir à la française. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur l'incroyable et malheureusement méconnu Le Gang des otages de Edouard Molinaro (1973) et deux films de Guillaume Nicloux servis par de beaux contre-emplois avec Une Affaire Privée (2002) et Cette femme-là (2003) Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
A* Nous sommes au début des années 1950, à Paris, au Conservatoire national supérieur d'art dramatique. C'est-là, dans ce creuset de talents en devenir, dans les classes de Louis Jouvet ou René Simon, que se rencontre une poignée de filles et de garçons qui s'apprêtent à opérer, quelques temps plus tard, une sorte de hold-up sur les scènes de théâtre et les écrans de cinéma. On appelle, aujourd'hui, ce vivier éclot au sortir de la guerre, incarnant l'enthousiasme d'une jeunesse qui ne demande qu'à exprimer son appétit de vivre : « La bande du conservatoire ». Jean-Paul Belmondo, Annie Girardot, Françoise Fabian, Michel Beaune, Guy Bedos, Bruno Cremer, Jean-Pierre Mocky, Claude Rich, Jean Rochefort, Pierre Vernier et Jean-Pierre Marielle. Marielle, fils d'industriel, ayant grandi à Précy-le-Sec, en Bourgogne-Franche-Comté. Il fait partie de ces artistes qui ont accompagné plusieurs générations de spectateurs et spectatrices, il est de la famille comme on le disait de ses camarades qui ont incarné la seconde moitié du vingtième siècle. Ce monde en profonde mutation peuplé d'hommes et des femmes en équilibre. Avec, chez Marielle, une touche d'ironie, une manière de dire « on ne me la fait pas … » Jean-Pierre Marielle a tiré sa révérence le 24 avril 2019. Il est inoubliable. Retrouvons-le au travers des archives de la Sonuma dans une séquence réalisée par LA. Sujets traités : Jean-Pierre Marielle, Louis Jouvet, René Simon, Jean-Paul Belmondo, Annie Girardot, Françoise Fabian, Michel Beaune, Guy Bedos, Bruno Cremer, cinéma Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
C'est avec son sourire si particulier, joyeux mais mélancolique, que Guillaume Canet explore avec nous la librairie du Panthéon. Entre des allusions à ses premiers films, en tant qu'acteur puis en tant que réalisateur, il en profite pour nous raconter quelques anecdotes, sur Leonardo DiCaprio, Jean Rochefort, Marion Cotillard, ou encore Alba Rohrwacher avec qui il sera à l'écran dans Hors saison.
Stéphane Bern raconte, à l'occasion de la 49e cérémonie des César, un jeune premier qui ne l'était déjà plus vraiment, auréolé du César du meilleur second rôle avant de tenir le haut de l'affiche. Un jeu, une voix et une moustache aussi. Ou la véritable histoire de Jean Rochefort, le premier lauréat des César… Quels ont été les meilleurs rôles de Jean Rochefort ? Quel homme se cachait derrière cette moustache et ce flegme ? Qui sont aujourd'hui ses héritiers au cinéma ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Franck Vallières, journaliste, critique cinéma à Canal + et chroniqueur dans l'émission "Clap" de Laurie Cholewa sur Europe1.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de Jean Rochefort, le premier lauréat des César.
Dans son récit, Stéphane Bern nous raconte l'histoire de Jean Rochefort, le premier lauréat des César.
L'animateur de l'émission « Faut voir ! », sur Canal+, et auteur de « Pixi, une douce addiction », âgé de 70 ans, nous reçoit dans son bureau dans le centre de Paris, au cœur d'un petit immeuble situé entre l'Opéra et les Tuileries.Antoine de Caunes évoque son enfance parisienne auprès de deux personnalités de la télé française qui mènent une vie de saltimbanque. Il se remémore le bain culturel dans lequel il a grandi, lié au plaisir et au divertissement, sa découverte de Cyrano et des Beatles sur scène. Il aborde son admiration pour Laurel et Hardy, Johnny Cash, Frédéric Dard, Bruce Springsteen, Jean Rochefort, Nicolas Mathieu ou le dessinateur Riff Reb's ainsi que sa passion pour les Pixi, auxquels il a consacré un livre. Et s'épanche sur sa conception de son travail à la télévision.Il revient longuement sur l'importance de Trouville dans sa vie. « C'est un lieu fondamental. J'ai commencé à y aller, je devais avoir 3 ans et j'y retournais tous les étés dans la même maison. La mer, la lumière de toute la baie de Seine… C'est un endroit assez unique. Chaque fois que j'y retourne j'ai le même genre d'émotions. Quand vous vous promenez en fin d'après-midi sur la plage à l'automne, le temps est aboli. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project
durée : 01:25:15 - Le Tribunal des flagrants délires - Le Tribunal des flagrants délires, l'émission quotidienne de Claude Villers et Monique Desbarbat recevait un invité qui devait se défendre, face à au président Villers, la docteure folie Eve Ruggierri, et le procureur Guenolé Azerthiope.
durée : 00:54:58 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Le réalisateur Terry Gilliam tente, pendant 20 ans, de réaliser une adaptation de "Don Quichotte", avec Jean Rochefort dans le rôle principal. Le film ne se fera jamais, victime de trop de déboires. Écoutez le récit de ce tournage maudit. - réalisé par : Marion Le Lay, Stéphane COSME, Flora BERNARD
durée : 01:14:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Il y a la nouvelle de Mérimée qui met en scène l'intraitable Colomba. Mais Maupassant, Bazin, Flaubert et Rousseau ont aussi écrit sur la Corse. "La Corse et les écrivains français", une émission d'analyses et de lectures, notamment par Jean Rochefort, produite par Paule Chavasse en 1969.
C'est à nouveau août. Et chez La Grosse Bouffe, cela ne peut signifier qu'une chose : c'est l'heure du d-d-d-d-d-d-d-duel ! Et par duel, nous voulons bien évidemment dire classements et comparatifs. Dans cette quatrième édition de ce rendez-vous annuel attendu tant par petits comme grands, nous parlons de trancheuse à mimolette, d'IAM, de Bernard Lavilliers, de Jean Rochefort, des boissons préférées de Bertrand et Thomas, de produits salivants, d'eau qui croque, de Périgueux (encore), de colorants, de fromages qui se tiennent bien, de la bonne méthode pour réchauffer une part de pizza, d'invitées passées, de légendes urbaines (ou peut-être pas) à propos des chaînes de boulangerie, de méthodes un peu particulières pour cuire le maquereau et de ports de pêche vendéens. La Grosse Bouffe est un podcast dédié au manger et au boire. Les nouveaux épisodes sortent tous les 21 du mois. Retrouvez La Grosse Bouffe sur Ausha, Apple Podcast et toutes les autres plateformes de téléchargement de podcasts. Vous pouvez également nous suivre et glisser en DM sur Twitter à @la_grossebouffe, et nous écrire à lagrossebouffepodcast@gmail.com.
Gabriel Yared (37°2 le matin, Le talentueux Mr Ripley), Maurice Jarre (Lawrence d'Arabie, Docteur Jivago), Bruno Coulais (Microcosmos, Les Choristes), Alexandre Desplat (Harry Potter, The Grand Budapest Hotel) : par leur savoir et leur expérience, ces compositeurs partagent leur passion, tout en analysant leur profession. C'est en se replongeant dans des archives et en réunissant également les témoignages de cinéastes et de musiciens que ces entretiens inédits ont pu voir le jour. Ils nous permettent de revisiter le parcours singulier de ces compositeurs et de nous immerger dans leur univers artistique. Cette collection interroge les relations entre la musique et le cinéma, et permet de comprendre le processus de création. Pascale Cuenot part à la rencontre de Maurice Jarre et des cinéastes et musiciens avec lesquels il a collaborés, de Jean-Pierre Mocky à Jean Rochefort et Omar Sharif.
Gabriel Yared (37°2 le matin, Le talentueux Mr Ripley), Maurice Jarre (Lawrence d'Arabie, Docteur Jivago), Bruno Coulais (Microcosmos, Les Choristes), Alexandre Desplat (Harry Potter, The Grand Budapest Hotel) : par leur savoir et leur expérience, ces compositeurs partagent leur passion, tout en analysant leur profession. C'est en se replongeant dans des archives et en réunissant également les témoignages de cinéastes et de musiciens que ces entretiens inédits ont pu voir le jour. Ils nous permettent de revisiter le parcours singulier de ces compositeurs et de nous immerger dans leur univers artistique. Cette collection interroge les relations entre la musique et le cinéma, et permet de comprendre le processus de création. Pascale Cuenot échange avec Jean Rochefort au sujet de la personnalité de Maurice Jarre avec qui il a travaillé en 1961 pour la pièce Loin de Rueil (de Maurice Jarre et Roger Pillaudin d'après Raymond Queneau, mise en scène Maurice Jarre et Jean Vilar) au TNP Théâtre national de Chaillot.
Gabriel Yared (37°2 le matin, Le talentueux Mr Ripley), Maurice Jarre (Lawrence d'Arabie, Docteur Jivago), Bruno Coulais (Microcosmos, Les Choristes), Alexandre Desplat (Harry Potter, The Grand Budapest Hotel) : par leur savoir et leur expérience, ces compositeurs partagent leur passion, tout en analysant leur profession. C'est en se replongeant dans des archives et en réunissant également les témoignages de cinéastes et de musiciens que ces entretiens inédits ont pu voir le jour. Ils nous permettent de revisiter le parcours singulier de ces compositeurs et de nous immerger dans leur univers artistique. Cette collection interroge les relations entre la musique et le cinéma, et permet de comprendre le processus de création. Pascale Cuenot part à la rencontre de Maurice Jarre et des cinéastes et musiciens avec lesquels il a collaborés, de Jean-Pierre Mocky à Jean Rochefort et Omar Sharif.
Gabriel Yared (37°2 le matin, Le talentueux Mr Ripley), Maurice Jarre (Lawrence d'Arabie, Docteur Jivago), Bruno Coulais (Microcosmos, Les Choristes), Alexandre Desplat (Harry Potter, The Grand Budapest Hotel) : par leur savoir et leur expérience, ces compositeurs partagent leur passion, tout en analysant leur profession. C'est en se replongeant dans des archives et en réunissant également les témoignages de cinéastes et de musiciens que ces entretiens inédits ont pu voir le jour. Ils nous permettent de revisiter le parcours singulier de ces compositeurs et de nous immerger dans leur univers artistique. Cette collection interroge les relations entre la musique et le cinéma, et permet de comprendre le processus de création. Pascale Cuenot part à la rencontre de Maurice Jarre et des cinéastes et musiciens avec lesquels il a collaborés, de Jean-Pierre Mocky à Jean Rochefort et Omar Sharif.
Vendredi 24 février avait lieu la 48è Cérémonie des César. A cette occasion, Florian Gazan vous raconte pourquoi Philippe Noiret, Jean Rochefort et Romy Schneider ont obtenu des "César uniques". Si ces acteurs ont été récompensés lors de la toute première cérémonie le 3 avril 1976, ce n'est pas la raison pour laquelle les trophées sont uniques... Tous les jours à 6h50 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée à l'actualité.
Tous les mois, les trois amoureux de chanson que nous sommes vous faisons découvrir nos coups de cœur d'hier et surtout d'aujourd'hui. Mais de temps à autres, nous invitons des amis. Des artistes qui nous accompagnent depuis de nombreuses années, qu'on a croisés de festival en émission de radio ou en salle de concert. Au printemps 2002, Jeanne et Vincent faisaient leurs débuts parisiens sur la scène du théâtre de l'Européen alors que "Tes parents" était déjà en haute rotation sur France Inter. Dans ce début de siècle troublé par les attentats et la guerre - ce qui n'a malheureusement pas beaucoup changé - Delerm débarque avec ses chansons intimistes. S'il irrite quelques grincheux, nombreux vont tomber sous le charme de sa tendresse, de son humour et de sa plume. Il faut aller voir Vincent Delerm sur scène, est alors une phrase qu'on attend répétée à l'envi par celles et ceux qui sont allés le découvrir à son piano. 20 ans après et toujours sans autotune, Delerm reste un artiste à part sur la scène française qui fait - ce qu'on aime bien par ici - tomber quelques barrières et valser les étiquettes. Il a collaboré avec le producteur techno French 79, il est photographe, il a écrit des livres-jeunesse dont un lu par Jean Rochefort, il a réalisé un film, "Je ne sais pas si c'est tout le monde" en 2019, composé des bandes originales et monté un très beau spectacle, "Memory" créé en 2011 aux Bouffes du Nord avec Macha Makeïeff. Celui dont un des vêtements préférés est le col roulé d'Antoine Doisnel dans les 400 coups de Truffaut (coucou Monsieur le Ministre) vient ce soir dans Serge, l'émission, fêter ses 20 ans de carrière. Avant la sortie d'un très beau coffret collector, comme il sait si bien les faire, le 28 octobre chez Tôt ou Tard. Et pour se souvenir de ses débuts à l'Européen avec Jeanne Cherhal, je vous propose qu'on lui laisse la parole.
"Le Crabe-Tambour" est le chef-dʹœuvre de 1977 de Pierre Schoendoerffer. Le réalisateur adapte son propre roman, Grand Prix du roman de lʹAcadémie française sorti lʹannée précédente. A lʹécran, les épisodes de la vie du lieutenant de vaisseau Willsdorff dans le film, surnommé le Crabe-Tambour, racontés par ses amis et compagnons, soit un commandant rongé par le cancer et un médecin. Le film se présente comme une suite de discussions et dʹévocations de souvenirs en flashbacks, sur fond de travail et de vie à bord dʹun bateau escorteur dans les eaux glacées près de Terre-Neuve. Le personnage du Crabe-Tambour y apparaît comme la figure centrale, un chat noir fiché sur lʹépaule, figure mythique, personnification dʹun idéal. Le film se teinte de la nostalgie de ces officiers marqués par les désillusions au sortir des guerres françaises, Indochine et Algérie. Récit des survivants, récit des hommes en marche, récits des hommes qui ont fait ces guerres, le film pose des questions, sans apporter de réponses et raconte simplement la fin du voyage. Jean Rochefort, Claude Rich, Jacques Perrin et Jacques Dufilho se partagent lʹaffiche. En 1978, le film remporte trois Césars, dont celui du Meilleur acteur pour Jean- Rochefort et de la meilleure photographie pour Raoul Coutard. Il est temps de lever lʹancre. Et comme le dit un des personnages: "Adieu vieille Europe, que le diable t'emporte!". REFERENCES GUERAND, Jean-Philippe, Jean Rochefort, Prince sans rire, Robert Laffont, 2017 CHERON, Bénédicte, Pierre Schoendoerffer, CNRS Editions, 2012
Clémence est comédienne. Elle a publié en septembre dernier un livre intitulé « Papa » paru chez Plon, un vibrant hommage à son père Jean Rochefort dans lequel elle revient avec humour et tendresse sur le destin hors norme de son père. Elle évoque son enfance, livre par petites touches et saynètes des anecdotes savoureuses qui révèlent la personnalité délicate, facétieuse, voire un peu fantasque mais aussi profonde altruiste, humble, parfois mélancolique de son père et les liens qui les unissent.Clémence est familière de Porquerolles depuis son plus jeune âge. Ses parents s'y sont mariés en 1989 au domaine de la Courtade dont son grand-père, Henri Vidal, architecte et inventeur de la terre armée était propriétaire avant que le lieu ne soit rachetée par Édouard Carmignac pour être transformé en Fondation. Avec émotion et sensibilité, pudeur et légèreté aussi, Clémence nous partage quelques-uns de ses souvenirs avec son père, ce qu'il lui a transmis et comment il l'accompagne aujourd'hui. On y découvre également son lien à l'île de Porquerolles et avant elle celui de sa famille au «caillou », comme aimait la nommer Jean Rochefort. Une rencontre lumineuse à l'image de mon invitée. Article complet et notes de l'épisode sont à retrouver sur fragileporquerolles.com
« L'île peut présenter un tableau idyllique quand on vient de l'extérieur. Mais il ne s'y trouve pas non plus l'équilibre que l'on recherche tous » L'année dernière à la même époque, je recevais le docteur Philippe Lentz pour qu'il nous partage sa vision du confinement et de la situation sanitaire sur l'île. Quelques mois avant le déclenchement de cette crise, j'avais déjà tendu le micro à Philippe pour l'écouter me raconter son parcours, son lien à Porquerolles et aux porquerollais, son choix d'exercer ici et son quotidien de médecin urgentiste sur l'île. C'est le témoignage que je vous propose de découvrir aujourd'hui. Il n'est donc pas question de COVID dans cet épisode. La parole de Philippe nous ramène dans la vie d'avant en quelque sorte, bien qu'à Porquerolles, certaines constantes demeurent quand on est médecin, COVID ou pas.Philippe est arrivé à Porquerolles il y a une vingtaine d'années. Après avoir assuré des remplacements pendant 3 ans sur d'autres îles, en Nouvelle-Calédonie dans les Antilles ou à Port-Cros, il découvre Porquerolles. Il prend la succession du médecin en place, conscient du « piège » à venir exercer ici, que ses collègues ne manquent pas de lui rappeler : « Tu es celui qui aime le plus Porquerolles mais tu es celui qui en profites le moins »Amoureux de nature et de mer, Porquerolles semble en effet la destination rêvée. Pourtant, on comprend vite en l'écoutant que c'est sur d'autres rivages que Philippe se ressource en famille. A Porquerolles, il est le médecin, avec ce que cela signifie de responsabilités et de disponibilité. Autant attaché à la nature qu'à la vie de village, il aime ce côté « pétillant, à la Pagnol » de la vie insulaire dont il déplore la lente disparition. Il est aussi conscient des limites à vivre dans un endroit où les interactions sont si resserrées « Quand on est dans un petit village, il faut composer avec la nature humaine. ».Dans son manuscrit « Carnet de santé à Porquerolles » que Philippe m'a permis de lire en amont de l'entretien, il livre un mélange d'impressions et de souvenirs personnels sur l'île, de références historiques, artistiques. Il y raconte sa vie de médecin à Porquerolles, propose un véritable « manuel de survie » sur l'île : comment survivre aux piqûres de méduses, de taons et d'oursins…Totalement inclassable, à la fois sérieux, précis, et très documenté sur l'Histoire, la médecine, les plantes médicinales, l'ouvrage, ponctué d'anecdotes truculentes, ne manque ni d'humour de poésie. Philippe explique comment lui est venu l'idée de ce livre, évoque avec discrétion quelques visiteurs de renom : Jean Rochefort dont il fut l'ami, Mylène Demongeot, des ministres, Kad Merad ou Zinedine Zidane…Dans cet entretien, il décrit l'évolution de la pratique médicale sur l'île, depuis la médecine naturelle à base de plantes pratiquée par l'Abbé Bozon à la fin du 19ème siècle à celle qu'il pratique aujourd'hui avec les internes dont il s'entourent durant la haute saison pour faire face à l'afflux de touristes. Il nous partage le tiraillement entre l'exercice de son métier, son engagement, sa vie de famille…Une consultation à cœur ouvert qui ravira tous les auditeurs atteints de porquerollite, cette maladie locale, incurable et contagieuse dont on ne souhaite pas forcément guérir…et tous ceux qui s'interrogent sur le quotidien d'un médecin urgentiste sur une île telle que Porquerolles.Pour écouter le témoignage de Philippe pendant le confinement, l'épisode est disponible ici : https://fragileporquerolles.com/12/ Article complet et notes de l'épisode sont à retrouver sur fragileporquerolles.com
Nous faire redécouvrir un tube dʹun été passé : les programmateurs musicaux de Vertigo relèvent chaque jour le défi. Aujourdʹhui cʹest Jean-Baptiste Roumens qui sʹy colle et nous fait voyager en 1987. En juin de cette année là, sort au cinéma le film "Tandem" de Patrice Leconte, avec Jean Rochefort, Michel Mortez inspiré par Lucien Jeunesse (animateur du "Jeu des mille francs") et son fidèle technicien Rivetot interprété par Gérard Jugnot. Le film sera un succès de lʹété 87… Mais aussi sa chanson, "Il mio rifugio", commandée par Patrice Leconte à lʹauteur / compositeur et interprète François Bernheim > "Il mio rifugio" nʹest rien dʹautre que la transposition, en italien, dʹune chanson que Bernheim avait sortie en 1976 et passée inaperçue à lʹépoque. Cʹest Patrice Leconte qui voulait une chanson en italien, acceptant la proposition de François Bernheim de la faire interpréter par Richard Cocciante…
Tout le monde connaît le film iconique "Calmos", sorti en 1976. Laurent Gerra revisite ce classique, sous Coronavirus, avec Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort...
Deuxième épisode du Ciné-Récit de Jean-Louis Dupont et Léon Michaux consacré à Yves Robert, décédé il y a 20 ans. Pour l'acteur et cinéaste, les qualités populaires d'un film sont essentielles. Il revient sur ses rôles, sur les courts métrages et sur les films qu'il a réalisés, dont le premier est ‘Ni vu ni connu' avec Louis de Funès. Suivront notamment La guerre des boutons et Alexandre le Bienheureux dans les années 60, Un éléphant ça trompe énormément ou Courage fuyons dans les années 70, et puis Pagnol avec la gloire de mon père, le château de ma mère en 1990. Il évoque ses relations avec Claude Sautet, Louis de Funès, Jean Rochefort, Jean Carmet, et surtout Miou Miou avec qui il a entretenu une belle amitié. Photo : Getty Images
Qui est ce mysterieux Etienne Dorsay au grand succès sur Twitter et à qui le Nouvel Obs vient de dédier un très bel article...
Ce sont des César obtenus en 1976 lors de la toute première cérémonie. Mais ce n'est pas qu'ils ont été les premiers à recevoir le prix de la meilleure actrice pour Romy Schneider, du meilleur acteur pour Philippe Noiret et du meilleur second rôle masculin pour Jean Rochefort que ces César sont uniques. Cette saison, les Grosses Têtes vous proposent de découvrir ou redécouvrir le nouveau podcast de Florian Gazan. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals. Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
Ce sont des César obtenus en 1976 lors de la toute première cérémonie, dont le président était cette année-là Jean Gabin. Mais ce n'est pas qu'ils ont été les premiers à recevoir le prix de la meilleure actrice pour Romy Schneider, du meilleur acteur pour Philippe Noiret et du meilleur second rôle masculin pour Jean Rochefort que ces César sont uniques. C'est lié à la nature même du trophée. Lorsque Georges Cravenne, le créateur de la cérémonie, décide de faire l'équivalent français des Oscars, il fait appel pour créer la statuette qu'on remettra aux vainqueurs au sculpteur César. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.
durée : 00:04:08 - La chronique de Christine Gonzalez - par : Christine Gonzalez - Retrouvez l'interview exclusive de Jean Rochefort par Christine Gonzalez.
Planvenguts dins la tuta de l'ors ariejes/ Bienvenue dans la grotte de l'ours ariégeois Dans sa grotte, un ours vit, hiberne, claque parfois ses réserves de nourritures, bref c'est son refuge dans lequel il peut s'abriter, se reposer ou fuir la bêtise de ses contemporains. Je vous invite à pénétrer dans ma grotte. Vous trouverez dans cet espace de la musique, tous styles de musiques même, de l'humour, parfois second degrés ou sous la ceinture et des anecdotes. Allez vous êtes devant la porte « acabatz d'entrar » (finissez d'entrer). https://www.radiolocalitiz.fr/le-coin-de-lours-ariegeois/ Titres diffusés : Mano Negra - Le Bruit Du Frigo : https://music.apple.com/fr/album/le-bruit-du-frigo/1244822902?i=1244823537 Nicolas Bacchus - Filet mignon : https://music.apple.com/fr/album/filet-mignon/420118338?i=420118340 Marvin Gaye - Let's Get It On : https://music.apple.com/fr/album/lets-get-it-on/1442835298?i=1442835454 Les Charlots - Je bois : https://music.apple.com/fr/album/je-bois/293236351?i=293236390 Java - L'amer à boire : https://music.apple.com/fr/album/lamer-à-boire/1528968932?i=1528969120 Dionysos - L'homme sans trucage (feat. Jean Rochefort) : https://music.apple.com/fr/album/lhomme-sans-trucage-feat-jean-rochefort/1442659950?i=1442660639
durée : 00:04:27 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - Amis depuis leurs débuts au théâtre dans les années 1950, ils le sont restés toute leur vie. Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle et Philippe Noiret sont au cœur d'un très savoureux documentaire de Pascal Forneri.
Invité : Philippe Guedj Au programme de cette année 1976 : Rocky, les raisons d'un succès surprise. Marathon Man, Rocky et l'arrivée du Steadicam. César, Calmos, Un éléphant...La grande année de Jean Rochefort. Assaut et le cinéma de John Carpenter. Tour du monde : Taxi Driver (Martin Scorsese), Network (Sidney Lumet) et 1900 (Bernardo Bertolucci).
durée : 00:04:37 - La chronique de Christine Gonzalez - Aujourd'hui, JupiDead reçoit un invité de marque: Jean Rochefort a choisi le micro de France Inter pour donner une interview exclusive depuis l'au-delà.
Mehdi Charef, hommage à Jean-Paul Belmondo et Didier Tronchet Mehdi Charef pour « La cité de mon père » aux éditions Hors d'Atteinte, Séquence Hommage à Jean Paul Belmondo avec Clémence Rochefort, fille de Jean Rochefort, pour un témoignage exclusif sur la relation entre les deux acteurs et le Psychiatre québécois Serge Marquis qui nous explique la passion autour de cette icone, Didier Tronchet pour « Catastrophobes » aux éditions Fluide Glacial. Présentation : Emmanuel KHERAD
- La confidence inédite de l'ancien Président de la République française, François Hollande ; - Séquence inattendue inédite au bord du lac Léman, en Suisse, avec l'auteur français Grégoire Delacourt ; - Entretien « 15 ans de Librairie Francophone » dans les rues d'Erevan, en Arménie, avec l'auteur haïtien Lyonel Trouillot. - Le club Francophone inédit autour de l'acteur français Jean Rochefort avec sa fille, Clémence Rochefort. - Séquence livre de poche avec le conseil de La Librairie Albertine à New-York et l'auteure belge Caroline Lamarche, Prix Goncourt de la nouvelle 2019 pour « Nous sommes à la lisière » chez Folio. - Le coup de cœur créole inédit de la chanteuse réunionnaise Christine Salem.
- La confidence inédite de l'ancien Président de la République française, François Hollande ; - Séquence inattendue inédite au bord du lac Léman, en Suisse, avec l'auteur français Grégoire Delacourt ; - Entretien « 15 ans de Librairie Francophone » dans les rues d'Erevan, en Arménie, avec l'auteur haïtien Lyonel Trouillot. - Le club Francophone inédit autour de l'acteur français Jean Rochefort avec sa fille, Clémence Rochefort. - Séquence livre de poche avec le conseil de La Librairie Albertine à New-York et l'auteure belge Caroline Lamarche, Prix Goncourt de la nouvelle 2019 pour « Nous sommes à la lisière » chez Folio. - Le coup de cœur créole inédit de la chanteuse réunionnaise Christine Salem.
durée : 00:54:15 - La librairie francophone - par : Emmanuel Kherad - Aujourd'hui un Club Francophone « hommage » à Jean Rochefort, des escales en Suisse avec Grégoire Delacourt, en Arménie avec Lyonel Trouillot, à New York avec une libraire et vous entendrez l'ancien président François Hollande, la belge Caroline Lamarche et la chanteuse réunionnaise Christine Salem.
In this first edition of the Director's Highlight series, Aric and Marisa take on selected films of the controversial juggernaut Luis Buñuel. They spotlight three memorable periods of his long career: his surrealist origins in Paris, his filmmaking in Mexico, and his great late career run of films produced in France.These eras of Buñuel's career are examined through six films: UN CHIEN ANDALOU (1929), Buñuel and Salvador Dali's surrealist experimental short, VIRIDIANA (1961), the acclaimed Palme d'Or winning critique of religous charity, THE EXTERMINATING ANGEL (1962), an absurd satire of aristocratic norms, THE MILKY WAY (1969), a spiritual road film questioning the significance of religious virtues, THE DISCREET CHARM OF THE BOURGEOISIE (1972), a film about an illogical dinner party that turns catastrophic, and THE PHANTOM OF LIBERTY (1974), a film arranged by dream-logic that passes through episodes of history. Please consider supporting this show through our Patreon!Keep up with us on Instagram and Twitter: @filmchatterpod.Check out the films mentioned in this episode on our Letterboxd.Thanks for tuning in!Powered and distributed by Simplecast
durée : 00:07:11 - Info médias - Pour célébrer son 10e anniversaire, le trimestriel qui revisite la culture populaire française consacre sa couverture à Jean Rochefort
Ce matin, Cathy nous fait voyager dans près de 60 décennies de cinéma français en compagnie de 3 géants, 3 acteurs cultes qui ont marqué plusieurs générations de cinéphiles : Jean-Pierre Marielle, Philippe Noiret et Jean Rochefort !
« L’île peut présenter un tableau idyllique quand on vient de l’extérieur. Mais il ne s’y trouve pas non plus l’équilibre que l’on recherche tous » L’année dernière à la même époque, je recevais le docteur Philippe Lentz pour qu’il nous partage sa vision du confinement et de la situation sanitaire sur l’île. Quelques mois avant le déclenchement de cette crise, j’avais déjà tendu le micro à Philippe pour l’écouter me raconter son parcours, son lien à Porquerolles et aux porquerollais, son choix d’exercer ici et son quotidien de médecin urgentiste sur l’île. C’est le témoignage que je vous propose de découvrir aujourd’hui. Il n’est donc pas question de COVID dans cet épisode. La parole de Philippe nous ramène dans la vie d’avant en quelque sorte, bien qu’à Porquerolles, certaines constantes demeurent quand on est médecin, COVID ou pas.Philippe est arrivé à Porquerolles il y a une vingtaine d’années. Après avoir assuré des remplacements pendant 3 ans sur d’autres îles, en Nouvelle-Calédonie dans les Antilles ou à Port-Cros, il découvre Porquerolles. Il prend la succession du médecin en place, conscient du « piège » à venir exercer ici, que ses collègues ne manquent pas de lui rappeler : « Tu es celui qui aime le plus Porquerolles mais tu es celui qui en profites le moins »Amoureux de nature et de mer, Porquerolles semble en effet la destination rêvée. Pourtant, on comprend vite en l’écoutant que c’est sur d’autres rivages que Philippe se ressource en famille. A Porquerolles, il est le médecin, avec ce que cela signifie de responsabilités et de disponibilité. Autant attaché à la nature qu’à la vie de village, il aime ce côté « pétillant, à la Pagnol » de la vie insulaire dont il déplore la lente disparition. Il est aussi conscient des limites à vivre dans un endroit où les interactions sont si resserrées « Quand on est dans un petit village, il faut composer avec la nature humaine. ».Dans son manuscrit « Carnet de santé à Porquerolles » que Philippe m’a permis de lire en amont de l’entretien, il livre un mélange d’impressions et de souvenirs personnels sur l’île, de références historiques, artistiques. Il y raconte sa vie de médecin à Porquerolles, propose un véritable « manuel de survie » sur l’île : comment survivre aux piqûres de méduses, de taons et d’oursins…Totalement inclassable, à la fois sérieux, précis, et très documenté sur l’Histoire, la médecine, les plantes médicinales, l’ouvrage, ponctué d’anecdotes truculentes, ne manque ni d’humour de poésie. Philippe explique comment lui est venu l’idée de ce livre, évoque avec discrétion quelques visiteurs de renom : Jean Rochefort dont il fut l’ami, Mylène Demongeot, des ministres, Kad Merad ou Zinedine Zidane…Dans cet entretien, il décrit l’évolution de la pratique médicale sur l’île, depuis la médecine naturelle à base de plantes pratiquée par l’Abbé Bozon à la fin du 19ème siècle à celle qu’il pratique aujourd’hui avec les internes dont il s’entourent durant la haute saison pour faire face à l’afflux de touristes. Il nous partage le tiraillement entre l’exercice de son métier, son engagement, sa vie de famille…Une consultation à cœur ouvert qui ravira tous les auditeurs atteints de porquerollite, cette maladie locale, incurable et contagieuse dont on ne souhaite pas forcément guérir…et tous ceux qui s’interrogent sur le quotidien d’un médecin urgentiste sur une île telle que Porquerolles.Pour écouter le témoignage de Philippe pendant le confinement, l’épisode est disponible ici : https://fragileporquerolles.com/12/ Article complet et notes de l'épisode sont à retrouver sur fragileporquerolles.com
Clémence est comédienne. Elle a publié en septembre dernier un livre intitulé « Papa » paru chez Plon, un vibrant hommage à son père Jean Rochefort dans lequel elle revient avec humour et tendresse sur le destin hors norme de son père. Elle évoque son enfance, livre par petites touches et saynètes des anecdotes savoureuses qui révèlent la personnalité délicate, facétieuse, voire un peu fantasque mais aussi profonde altruiste, humble, parfois mélancolique de son père et les liens qui les unissent.Clémence est familière de Porquerolles depuis son plus jeune âge. Ses parents s’y sont mariés en 1989 au domaine de la Courtade dont son grand-père, Henri Vidal, architecte et inventeur de la terre armée était propriétaire avant que le lieu ne soit rachetée par Édouard Carmignac pour être transformé en Fondation. Avec émotion et sensibilité, pudeur et légèreté aussi, Clémence nous partage quelques-uns de ses souvenirs avec son père, ce qu’il lui a transmis et comment il l’accompagne aujourd’hui. On y découvre également son lien à l’île de Porquerolles et avant elle celui de sa famille au «caillou », comme aimait la nommer Jean Rochefort. Une rencontre lumineuse à l’image de mon invitée. Jean Rochefort aurait eu 91 ans aujourd’hui. Article complet et notes de l'épisode sont à retrouver sur fragileporquerolles.com