Le meilleur du polar au cinéma et en podcast. Un film, un invité et un interrogatoire serré pour chaque épisode. De quoi démêler le vrai du faux avec notre brigade cinéphile.
Une nouvelle enquête qui sent bon le portnawak du tout début des années 90 avec l'over the top Ricochet de Russell Mulchay sorti en 1991 ! Le fringant Denzel Washington affronte un John Lithgow psychopathe en mode Hannibal Lecter et qui synthétise à merveille toutes les outrances de son époque. Soit le temps béni des grosses productions à la fois tendues et musclées où tout était permis entre détonations, exagérations et autres pétages de plomb légendaires. Et c'est Cédric Belconde, alias The Last Geek Hero, derrière la chaîne youtube TOP 25 Action Movies qui vient mettre sa touche de C4 dans l'émission. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode, une fois n'est pas coutume, un retour sur l'ouvrage L'Encyclopédie du crime au cinéma signé Alain Bauer et Stéphane Boudsocq soit 200 faits réels pour 240 films et Etroite Surveillance le très sympathique Buddy Movie de John Badham (1987). Enfin en guise d'hommage au grand Gene Hackman nous reviendrons sur quelques unes de ses oeuvres les plus noires en fin d'émission. Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Dans cette nouvelle enquête on prend la direction du Japon de l'après guerre pour suivre le parcours sanglant du chien fou Rikio Ishikawa, yakuza autant impitoyable qu'incontrôlable et honni de tous les clans de Tokyo avec Le Cimetière de la morale réalisé en 1975. Soit l'un des sommets de la riche carrière de Kinji Fukasaku véritable cinéaste artisan et touche à tout. Une émission placée sous le genre du yakuza eiga donc entre son histoire, ses tropes et ses plus illustres représentants. Et c'est Hakim Fdaouch, réalisateur de courts métrages, conférencier en cinéma et animateur de l'excellente émission Radio Days, qui passe cette fois en confession avec son oeil aussi affuté qu'un katana. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur le dérangeant Ichi the killer de Takashi Miike (2001), Doberman Cop pour rétablir l'équilibre entre flics et voyous toujours de Kinji Fukasaku (1977), le lugubre Les Copains d'Eddie Coyle de Peter Yates (1973) et Gonin la perle noire de Takashi Ishii (1995). Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Avec cette nouvelle enquête on prend la direction les années 50 où plusieurs meurtres ont été commis dans un lugubre manoir victorien, avec plusieurs suspects à la clé et aux mobiles établis, avec Cluedo réalisé en 1985 par Jonathan Lynn et adapté du jeu de société mondialement connu. Un autre format consacré d'avantage à un genre bien particulier du cinéma policier, à la fois ludique et mordant, qui nous vient tout droit de la littérature: le whodunit. De quoi faire le plein de recommandations avant les fêtes avec cette émission spéciale et qui se déguste comme une sucrerie à l'arsenic. Installez vous confortablement sous un plaid, bien au chaud et nous vous dirons qui l'a fait. Et cette fois ci c'est un esprit redoutable que nous accueillons en interrogatoire en la personne d'Alban Liebl, médiateur, conférencier et formateur en cinéma notamment pour le dispositif Lycéens au cinéma. De quoi faire travailler vos petites cellules grises ! Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur Le Limier le chef-d'oeuvre de Joseph L. Mankiewicz (1972) et sur une véritable curiosité avec La Grande cuisine ou l'art et la manière d'assaisonner les chefs de Ted Kotcheff (1978) Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Pour les besoins de cette nouvelle enquête direction La Courneuve et sa cité dortoir des 4000, sa grisaille et ses matins blêmes sans espoir pour mieux tenter de s'en échapper avec Le Choix des armes, diamant noir qui oppose les générations, les approches et les territoires réalisé en 1981 par un Alain Corneau alors en pleine possession de ses moyens. Un épisode un plus long que d'habitude qui revient certes sur l'un de nos plus beaux polars hexagonaux mais aussi sur tout un tas d'autres films policiers de l'époque entre Tir Groupé, La Guerre des polices, Pile ou face etc...sous la forme de digressions passionnantes. Et pour se prêter à l'exercice de l'interrogatoire c'est au tour de Jérôme Wybon (réalisateur de nombreux documentaires, concepteur de bonus et directeur de collection pour Studiocanal avec Nos Années 70 et plus récemment Nos Années 80) d'être notre invité. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur Amsterdamned le giallo hollandais de Dick Maas (1988) et deux titres présents sur la collection Nos Années 70 justement avec Défense de savoir de Nadine Trintignant (1973) et Le Secret de Robert Enrico (1974) Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce nouvel épisode on part du côté du New-Jersey sur les terres fictives de Garrison, ville dortoir non loin de la tentaculaire New-York et véritable enclave peuplée de flics corrompus, pour évoquer l'un des tous meilleurs film de Sylvester Stallone, à savoir l'excellent Copland réalisé en 1997 par James Mangold artisan prodige venu du cinéma indépendant américain. Où quand le polar devient western urbain quelque part entre Martin Scorsese et Anthony Mann, entre Sidney Lumet et John Ford. Le tout servi par le classicisme d'une mise en scène solide et intemporelle et un casting cinq étoiles. Le pur film du dimanche soir au sens le plus noble du terme avec un duo de choc cette semaine avec les tauliers de l'excellent podcast Entourloupe dans l'azimut, Messieurs Stefan Michalski et Antoine Legrand. Les Martin Riggs et Roger Murtaugh de la critique ! Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur deux très grands films de Clint "Dieu" Eastwood: Mystic River (2003) et Le Cas Richard Jewell (2019). Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Direction Yokohama, ville Japonaise située au sud de Tokyo, pour cette nouvelle enquête sous forme de dilemme moral et autour d'un enfant kidnappé avec Entre le ciel et l'enfer de Akira Kurosawa réalisé en 1963. Une véritable tempête sous un crane pour l'immense Toshirō Mifune, sa quinzième et avant-dernière collaboration avec le cinéaste avant le magnifique Barberousse, et avant de basculée en enquête ultra-réaliste nous menant progressivement dans les bas-fond les plus sordides de la ville. Soit l'un des plus beaux polars jamais réalisés. Et c'est Gérald Duchaussoy, responsable de la section Cannes Classics au Festival de Cannes, chargé de la programmation au Marché International du Film Classique au festival Lumière, à Lyon et co-auteur de Mario Bava, le magicien des couleurs paru Lobster Films en 2019, qui nous accompagne cette fois-ci. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur le tétanisant L'Homme qui voulait savoir de George Sluizer (1988) et le thriller d'action toujours très efficace L'Enjeu de Barbet Schroeder (1998) Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Dans cette toute nouvelle enquête retour sur Le Coup de l'escalier de Robert Wise, chef-d'oeuvre crépusculaire que beaucoup considèrent comme l'un des tous derniers témoignages du film noir classique. Un Caper Movie fondateur et adoré par bon nombre de réalisateurs au point d'être par exemple le film préféré de Jean-Pierre Melville, le maître incontesté du genre, qui prétendait l'avoir vu plus de 120 fois ! Une oeuvre d'une maîtrise totale à la fois noire, nihiliste et politique autour de la question raciale aux Etats-Unis. Une thématique qui divisera son équipe de braqueurs et qui ruinera un plan pourtant bien huilé et portée par l'engagement de Harry Belafonte et le charisme taciturne de Robert Ryan. Et c'est au tour de l'expert Victor Norek, derrière l'excellente chaîne Youtube Le Cinématographeur et auteur du livre L'Oeuvre de Steven Spielberg. L'art du blockbuster - volume 1 paru chez Third Editions, de se prêter au jeu de l'interrogatoire concernant le film. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une mise en perspective avec le Munich de Steven Spielberg (2005) et le désespéré Génération Sacrifiée des frères Hughes (1995). Un dossier mené par Rafael Lorenzo.
Nouvelle enquête consacrée cette fois-ci au mal-aimé (le mot est faible) et pourtant sidérant de justesse et de maîtrise Assassin(s) de Mathieu Kassovitz. Une oeuvre noire et désespérée qui portraitise sans concession aucune une ultra-violence qui se transmet de génération en génération, un certain artisanat du mal et un sentiment d'abstraction total en lien avec la prolifération des images. Un film qui fit scandale lors de son passage au 50ème festival de Cannes en 1997, toujours aussi pertinent dans sa dénonciation des maux de nos sociétés modernes et soutenu par un Michel Serrault impérial et renouvelé dans un registre qu'on ne lui connaissait pas encore à quasi 70 ans. Et qui d'autre que le professionnel du podcast Mergrin, derrière les excellentes émissions Planète of the tapes, L'Auberge des darons et Le Journal Podcastique, pour venir défendre ce qui semble être l'indéfendable ? Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une petite pépite avec le thriller coréen Monster Boy; Hwayi de Joon-Hwan Jang et le surprenant Max et Jérémie de Claire Devers. Un dossier comme d'habitude mené par Rafael Lorenzo.
Nouveau dossier consacré cette fois ci au peu connu Freebie and the bean (Les Anges Gardiens par chez nous et à ne pas confondre avec le film de Jean-Marie Poiré) mais qui possède une réelle importance dans l'histoire du cinéma américain dans la mesure où il est considéré comme le tout premier buddy-movie ! Réalisé en 1974 par Richard Rush, cinéaste issu de la mythique écurie Roger Corman et s'ayant illustré avec des comédies contre-culturelles, bien avant 48 Heures de Walter Hill ou L'Arme Fatale de Richard Donner voici donc le prototype très Nouvel Hollywood de ce qui allait donner l'un des sous-genres policiers les plus populaires et spectaculaires des 80's. Porté par le duo de flics James Caan/Allan Arkin qui n'arrête jamais de jacter et de s'engueuler Freebie and the bean est un festival de destruction massive, des courses poursuites dantesque et de punchlines toutes plus drôles les unes que les autres quelque part entre French Connection et Un drôle de couple. Un genre est né ! Et pour vous donner envie de découvrir cette pépite bien trop méconnue Aurélien Gouriou-Valès, co-animateur du podcast La 36ème chambre du cinéphage et auteur pour la chaîne youtube Le Ciné-Club de Monsieur Bobine revient et prolonge ainsi sa garde-à-vue ! Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode une déclaration d'amour au cinéma du grand Walter Hill et un retour sur La Relève de Clint Eastwood (1990) où quand Dieu lui-même décide d'offrir sa propre version du buddy-movie. Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Pour cette toute nouvelle enquête retour sur un polar atypique, peu cité et pourtant véritable pierre angulaire du cinéma policer de Jacques Deray avec le fascinant Symphonie pour un massacre réalisé en 1963. Un engrenage fatal porté par une mise en scène élégante, discrète et maitrisée de bout en bout, un scénario astucieux signé du trio Jacques Deray-Claude Sautet-José Giovanni et un casting solide avec à sa tête un Jean Rochefort comme on l'a jamais vu ailleurs, déployant ici une facette de son jeu inédite, sombre et impassible. Et c'est cette fois-ci Baptiste Dorsaz, scénariste, professeur de cinéma et mélomane expert en musique de films français, qui se prête au jeu de l'interrogatoire pour défendre cette relecture du film noir à la française. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur l'incroyable et malheureusement méconnu Le Gang des otages de Edouard Molinaro (1973) et deux films de Guillaume Nicloux servis par de beaux contre-emplois avec Une Affaire Privée (2002) et Cette femme-là (2003) Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce tout nouveau dossier retour sur un véritable diamant noir à la fois brut, moderne et épuisant avec Uncut Gems des frères Safdie. Quand Adam Sandler délaisse la comédie pour mieux se glisser dans la peau d'un joailler looser, criblé de dettes et qui ne cesse de prendre les mauvaises décisions, le tout devant la caméra de Benny et Josh Safdie (jeunes prodiges issus du cinéma indépendant new-yorkais) cela donne forcément un polar cinéphile, hors-normes et au rythme éreintant. Et qui de mieux que Bertrand Mougnaud de l'excellente chaîne Youtube Festi2films pour évoquer cette oeuvre d'une densité folle et sortie par chez nous sur la plateforme Netflix ? "This Is How I Win." Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur l'autodestructeur Bad Lieutenant le chef-d'oeuvre d'Abel Ferrara (1992) et le méconnu et pourtant totalement dévastateur Talk Radio d'Oliver Stone (1988).
Dans cette nouvelle affaire on revient sur un véritable diamant noir enragé et incontrôlable porté par un Oliver Reed au sommet de son charisme avec La Cible Hurlante de Douglas Hickox. Un polar carré, sec et à l'os qui ne s'embête pas du superflu à la lisière du fantastique par moment pour mieux retracer le parcours d'un lion en cage qui se transforme en bête blessée. Et cette fois ci c'est au tour d'Aurélien Gouriou-Valès, auteur pour la chaîne youtube Le Ciné-Club de Monsieur Bobine et co-animateur du podcast La 36ème chambre du cinéphage, de se prêter au jeu de l'interrogatoire et de nous évoquer cette pépite malheureusement trop méconnue. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur La Poursuite Implacable (Revolver) de Sergio Sollima (1973) l'autre grand polar à la même époque mettant en vedette Oliver Reed. Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce nouvel épisode on traverse les Alpes direction Milan avec l'un des plus grands sommets du Poliziottesco, ce filon italien qui déferla avec violence sur les 70's avec des polars musclés et droitards, et pourtant à contre-courant du genre avec Milan Calibre 9 le film coup de poing signé par Fernando Di Leo en 1972. Un cinéaste passionnant que certains appellent le Jean-Pierre Melville italien et qui signa une bonne poignée de films explosifs, réalistes et mélancoliques à commencer par Milan Calibre 9 premier volet de la Trilogie du milieu également composée des excellents Passeport pour deux tueurs et Le Boss. Le tout en compagnie de notre invité Gravlax, véritable Parrain des podcasts cinéma, venu avec son éloquence qu'on lui connait. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur un autre néo-polar italien mythique à savoir La Rançon de la peur d'Umberto Lenzi (1974) et le chef-d'oeuvre de Damiano Damiani Confession d'un commissaire de police au procureur de la république (1971) Un dossier rondement mené par Rafael Lorenzo.
Dans ce nouveau dossier on part du côté de Londres et dans l'univers du grand banditisme avec Du Sang sur la Tamise le film de gangster culte signé John Mackenzie en 1980. Un pré-Scarface à l'anglaise monstrueux, instable et chaotique porté par la prestation hallucinante d'un Bob Hoskins à la mâchoire serrée et prêt à vous sauter à la gorge. Le tout en compagnie de notre invité du jour Max Pereira du podcast Raging Fire Club, spécialement mandaté par Scotland Yard pour l'occasion. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur Election 2 la fresque criminelle de Johnnie To (2006) et Robbery où le casse du siècle selon Peter Yates, futur réalisateur de Bullitt (1967) Une enquête implacable menée par Rafael Lorenzo.
Dans cet épisode direction Madrid pour une toute nouvelle enquête consacrée au percutant Pas de répit pour les salauds, ou No Habrá paz para los malvados dans la langue de Cervantes, un film réalisé par Enrique Urbizu en 2011. Et c'est au tour de Nicolas Gilli, rédacteur en chef du site Furyosa.com, auteur de bons nombres d'articles et d'analyses et fin connaisseur du cinéma policier espagnol de se prêter au jeu de l'interrogatoire. Pas de répit pour les salauds un polar hard-boiled, superbement mis en scène et qui nous fait découvrir les arcanes d'un crime désormais globalisé, d'une société espagnole corrompue et d'une police toujours plus borderline. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur A.C.A.B: All Cops Are Bastards le premier film coup de poing de Stefano Sollima (2012) et Torrente el brazo tonto de la ley la comédie policière outrancière de Santiago Segura (1998). Un dossier de Bien connu des services de police mené par Rafael Lorenzo.
Direction Hong-Kong et Macao et le milieu interlope pour cette toute nouvelle enquête sur le crépusculaire Exilé de Johnnie To, réalisé en 2006. Dans ce nouveau podcast c'est au tour de Johan Pomier, véritable pilier de Supergrave l'émission, de se livrer au jeu de l'interrogatoire. Exilé un film de gangsters entre Sergio Leone, Sam Peckinpah et Jean-Pierre Melville pour une oeuvre sombre sur la fin d'un monde et de l'amitié entre les hommes. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode The City of violence de Ryoo Seung-Wan (2006) et Les Lyonnais de Olivier Marchal (2011) Une investigation de Bien connu des services de police menée par Rafael Lorenzo.
Nouveau dossier, nouvelle enquête, nouveaux aveux sur un grand polar récent avec Misanthrope de Damián Szifrón. Et cela en compagnie de Yoan Orszulik auteur pour la chaîne Youtube Le Ciné-club de Monsieur Bobine, rédacteur pour le site Furyosa.com et co-auteur du livre L'œuvre des Wachowski, la matrice d'un art social paru chez Third Editions. Misanthrope un thriller aussi noir que la nuit et dans la mouvance du meilleur du cinéma policier américain quelque part entre Dirty Harry, Seven et Le Silence des agneaux. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Ici à l'occurrence Cure de Kiyoshi Kurosawa (1997) et Les Veuves de Steve McQueen (2018). Un interrogatoire de Bien connu des services de police musclé et mené par Rafael Lorenzo.
Premier dossier, première enquête, premier face à face et où l'on revient en compagnie de Fabrice Calzettoni, responsable de la médiation culturelle de l'Institut Lumière, sur le chef-d'oeuvre Garde à vue. Un film de Claude Miller réalisé en 1981 et qui met en vedette un duo d'acteurs de légende: Michel Serrault et Lino Ventura. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Ici à l'occurrence Maigret tend un piège de Jean Delannoy (1958) et Flic Story de Jacques Deray (1975). Un interrogatoire mené tambour battant par Rafael Lorenzo.