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Tous les jours, Jérôme Rothen nous parle de son programme du soir. Forcément, avec une vie de star, il y a des choses à dire...
durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 1er sujet : 7 ressortissants chinois ont été condamnés à 20 ans de prison en Afrique du Sud pour avoir forcé 91 Malawites, dont 37 enfants, à travailler dans un atelier textile clandestin. 2e sujet : Apple a-t-il adapté son IA générative à la culture de l'ère Trump ? Politico pose la question.
Tous les jours, Jérôme Rothen nous parle de son programme du soir. Forcément, avec une vie de star, il y a des choses à dire...
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Le respect de la Torah serait-il la solution à tous nos problèmes ? Pourquoi ? Lors du don de la Torah, avons-nous vraiment accepté celle-ci de plein gré ? De nos jours, sommes-nous capables de supporter une trop grande sévérité ? Serait-ce efficace pour obtenir les résultats escomptés ? Et par le passé aussi, était-ce vraiment un bon moyen d'éduquer ? Pourquoi ?
durée : 00:03:08 - L'événement ici Lorraine Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:06 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Le service Spliiit, qui propose du partage de compte, est en procès avec les trois plateformes Netflix, Disney+ et AppleTV et doit engager une médiation pour éviter un procès. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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GESTIONNAIRES EN ACTION. Alimentation Couche Tard (ATD, 74,11$) a dévoilé le 2 septembre des résultats financiers légèrement supérieurs aux prévisions pour le premier trimestre de son exercice 2026. «Ce que je retiens avant tout, c'est la fin d'un cycle de recul aux États-Unis. On parle d'une progression de 0,4 % des ventes de magasins comparables (ouverts depuis plus d’un an). C'est modeste, oui, mais c'est surtout symbolique. On assiste à un point d'inflexion après sept trimestres consécutifs de baisse», résume Luc Girard, gestionnaire de portefeuille à Noël Girard Lehoux, Valeurs mobilières Desjardins. Il ajoute que le chiffre d'affaires est en léger recul à 17,3 milliards de dollars américains (G$US), tout en étant aussi supérieur aux prévisions des analystes, tout comme le bénéfice par action de 0,78$US. «Ce n'est pas un trimestre spectaculaire, bien évidemment, mais c'est rassurant. Ce qu'on voit ici, c'est une entreprise qui continue d'exécuter, même dans un environnement macroéconomique complexe. Pour les investisseurs, c'est un signal clair de résilience», juge-t-il. La seule ombre au tableau se situe du côté des marges bénéficiaires sur les ventes de carburant aux États-Unis. «C'est vraiment l'élément central du trimestre. Les marges sur le carburant ont reculé d'environ 10%. Elles sont passées de 41,5 cents à 37 cents le gallon. Forcément, le recul a un effet direct sur le bénéfice de l’entreprise. Mais attention, il faut remettre tout ça en perspective. On sort d'une période où les marges étaient exceptionnellement élevées, qui étaient dopées par l'inflation énergétique et aussi les tensions sur l'offre», explique-t-il. Les résultats de Couche-Tard étaient aussi les premiers à être dévoilés depuis l’abandon de l’acquisition de Seven & i Holdings, qui possède entre autres la bannière 7-Eleven. «Cette décision montre beaucoup de maturité stratégique. On parlait quand même d'une transaction de 46G$US, qui aurait quand même alourdi le bilan de façon significative. Dans le contexte actuel, où vous avez un coût de financement qui demeure élevé, où l'inflation maintient une pression sur les coûts opérationnels et où les marchés sont de plus en plus exigeants, on pense vraiment que c'était la bonne décision à prendre», analyse Luc Girard. Il souligne aussi que la direction de Couche-Tard a recommencé à racheter massivement de ses actions après la fin du premier trimestre. «On parle de près de 1G$US en rachats d'actions depuis la fin juillet. C'est un message qui est très clair. La direction estime que le titre est sous-évalué et elle agit donc en conséquence», affirme-t-il. L’oeil sur des actifs d’EG Group? Au mois d'août, divers médias ont parlé de la possibilité que la britannique EG Group puisse céder ses activités américaines de dépanneurs et de stations-services. Une telle acquisition serait, selon le gestionnaire de portefeuille, à la portée de Couche-Tard. «EG Group, effectivement, possède environ 1700 sites aux États-Unis et Couche-Tard a la capacité pour absorber ce type d'actifs sans fragiliser son bilan. La discipline est toutefois la clé. La société ne fera pas une acquisition à n'importe quel prix, surtout dans un contexte où les marchés sont plus volatils et que les investisseurs sont beaucoup plus attentifs à la qualité des actifs», raconte Luc Girard. Selon lui, Couche-Tard reste une entreprise résiliente, bien gérée et possède une capacité d'adaptation remarquable dans un environnement où l'inflation est modérée mais persistante et où les taux d'intérêt restent restrictifs. *Le balado «Gestionnaires en action» a reçu un honneur, étant reconnu en juin dernier dans le Top 100 des meilleurs balados sur les marchés financiers en ligne par la société américaine Million Podcasts.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:06 - Net Plus Ultra - par : Julien Baldacchino - Le service Spliiit, qui propose du partage de compte, est en procès avec les trois plateformes Netflix, Disney+ et AppleTV et doit engager une médiation pour éviter un procès. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'information fait les gros titres de la presse congolaise. « La Cour de cassation a condamné hier, relate le site Actualités CD, l'ancien ministre de la Justice Constant Mutamba à trois ans de travaux forcés pour détournement de fonds publics. Le dossier portait sur 19 millions de dollars destinés à la construction d'une prison à Kisangani. Outre la peine principale, la haute juridiction a prononcé à son encontre une interdiction de cinq ans d'accéder à toute fonction publique ». « Un verdict qui secoue Kinshasa », s'exclame Le Journal de Kinshasa. Dans la nuit de lundi à mardi, « la police est intervenue pour disperser des dizaines de partisans de l'ancien Garde des sceaux qui veillaient devant sa résidence à Ngaliema, manifestant leur soutien. Au petit matin, le périmètre autour de sa maison était quadrillé par les forces de l'ordre, prêtes à toute éventualité ». Un choc dans l'opinion Alors, sur le fond, certes, pointe Le Journal de Kinshasa, cette peine de 3 ans de travaux forcés est « bien en deçà des dix ans requis par le ministère public, mais elle crée un choc dans l'opinion entre ceux qui y voient une clémence calculée et d'autres, une justice qui passe. (…) Pour les partisans de Mutamba, qui dénonçaient un "procès politique", ce verdict pourrait être perçu comme une demi-victoire. Pour les observateurs, il marque peut-être la fin d'un long feuilleton judiciaire, mais ouvre un nouveau chapitre, celui de l'exécution de la peine et de la restitution des fonds. (…) Alors que Constant Mutamba a été immédiatement placé sous mandat de dépôt, une question persiste : cette sentence, ferme dans son principe mais clémente dans sa durée, apaisera-t-elle la rue ou attisera-t-elle davantage la colère ? » Instrumentalisation ? Scoop CD, autre site congolais, rappelle que l'ancien ministre de la Justice s'était fait le chantre de la lutte anti-corruption. Et que pour certains, le doute plane sur la véracité des accusations qui sont portées contre lui. « L'éviction politique de Mutamba lance un signal ambigu, écrit Scoop CD. Les réseaux mafieux qu'il dénonçait restent actifs ; les institutions judiciaires sont fragilisées ; l'impunité va s'accroitre davantage et l'État congolais est incapable de garantir la continuité de cette lutte. Le procès de Constant Mutamba dépasse largement le cadre d'un simple détournement de fonds, poursuit Scoop CD. Il cristallise les tensions profondes qui traversent la RDC : une justice en quête de crédibilité, un pouvoir politique miné par les soupçons d'impunité ». Il est vrai, analyse Afrik.com, que « ce procès, très médiatisé, revêt une portée symbolique forte dans un pays régulièrement secoué par des scandales de corruption. Ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba incarnait, aux yeux de nombreux Congolais, une contradiction flagrante : celui qui devait garantir l'intégrité du système judiciaire est désormais condamné pour l'avoir trahi. Pour ses partisans, il s'agit toutefois d'une justice instrumentalisée à des fins politiques. Le camp présidentiel, lui, présente ce verdict comme une preuve de la détermination de l'État à lutter contre l'impunité et à assainir la gestion publique ». Quel avenir ? La presse ouest-africaine met son grain de sel… Ledjely en Guinée, s'interroge : « si Mutamba est bien coupable des faits reprochés, certains de ses ennemis n'ont-ils pas profité de ses faux pas pour précipiter sa chute ? En tout cas, en RDC, ce n'est pas tous les jours qu'une sentence aussi sévère est prononcée pour une tentative de détournement qui n'a finalement pas abouti ». Et puis ce commentaire d'Aujourd'hui à Ouagadougou : « c'est la chute d'un jeune loup aux dents longues, qu'on promettait à un avenir enviable. Déjà, il était un candidat malheureux à la dernière présidentielle avec 0,2% des voix. A-t- il été victime de ses rapports difficiles avec la Première ministre Judith Suminwa Tuluka ? Quel avenir pour lui à 37 ans ? Il a encore le temps de voir venir, à condition de savoir nager dans les eaux troubles du fleuve Congo ». Kabila sort de son silence Enfin, toujours à propos de la RDC, cette déclaration de Joseph Kabila, la première depuis mai dernier. Déclaration à lire dans Jeune Afrique. Rappelons que l'ancien président congolais est jugé par contumace pour haute trahison. La peine de mort a été requise à son encontre. Kabila dénonce « des accusations mensongères » et un pouvoir « incapable d'assumer la responsabilité de ses échecs. (…) Aucun élément de preuve n'a été apporté pour soutenir ces accusations », affirme-t-il. Selon lui, ce procès s'inscrit dans une « stratégie pour faire taire l'opposition dans son ensemble ».
L'information fait les gros titres de la presse congolaise. « La Cour de cassation a condamné hier, relate le site Actualités CD, l'ancien ministre de la Justice Constant Mutamba à trois ans de travaux forcés pour détournement de fonds publics. Le dossier portait sur 19 millions de dollars destinés à la construction d'une prison à Kisangani. Outre la peine principale, la haute juridiction a prononcé à son encontre une interdiction de cinq ans d'accéder à toute fonction publique ». « Un verdict qui secoue Kinshasa », s'exclame Le Journal de Kinshasa. Dans la nuit de lundi à mardi, « la police est intervenue pour disperser des dizaines de partisans de l'ancien Garde des sceaux qui veillaient devant sa résidence à Ngaliema, manifestant leur soutien. Au petit matin, le périmètre autour de sa maison était quadrillé par les forces de l'ordre, prêtes à toute éventualité ». Un choc dans l'opinion Alors, sur le fond, certes, pointe Le Journal de Kinshasa, cette peine de 3 ans de travaux forcés est « bien en deçà des dix ans requis par le ministère public, mais elle crée un choc dans l'opinion entre ceux qui y voient une clémence calculée et d'autres, une justice qui passe. (…) Pour les partisans de Mutamba, qui dénonçaient un "procès politique", ce verdict pourrait être perçu comme une demi-victoire. Pour les observateurs, il marque peut-être la fin d'un long feuilleton judiciaire, mais ouvre un nouveau chapitre, celui de l'exécution de la peine et de la restitution des fonds. (…) Alors que Constant Mutamba a été immédiatement placé sous mandat de dépôt, une question persiste : cette sentence, ferme dans son principe mais clémente dans sa durée, apaisera-t-elle la rue ou attisera-t-elle davantage la colère ? » Instrumentalisation ? Scoop CD, autre site congolais, rappelle que l'ancien ministre de la Justice s'était fait le chantre de la lutte anti-corruption. Et que pour certains, le doute plane sur la véracité des accusations qui sont portées contre lui. « L'éviction politique de Mutamba lance un signal ambigu, écrit Scoop CD. Les réseaux mafieux qu'il dénonçait restent actifs ; les institutions judiciaires sont fragilisées ; l'impunité va s'accroitre davantage et l'État congolais est incapable de garantir la continuité de cette lutte. Le procès de Constant Mutamba dépasse largement le cadre d'un simple détournement de fonds, poursuit Scoop CD. Il cristallise les tensions profondes qui traversent la RDC : une justice en quête de crédibilité, un pouvoir politique miné par les soupçons d'impunité ». Il est vrai, analyse Afrik.com, que « ce procès, très médiatisé, revêt une portée symbolique forte dans un pays régulièrement secoué par des scandales de corruption. Ancien ministre de la Justice, Constant Mutamba incarnait, aux yeux de nombreux Congolais, une contradiction flagrante : celui qui devait garantir l'intégrité du système judiciaire est désormais condamné pour l'avoir trahi. Pour ses partisans, il s'agit toutefois d'une justice instrumentalisée à des fins politiques. Le camp présidentiel, lui, présente ce verdict comme une preuve de la détermination de l'État à lutter contre l'impunité et à assainir la gestion publique ». Quel avenir ? La presse ouest-africaine met son grain de sel… Ledjely en Guinée, s'interroge : « si Mutamba est bien coupable des faits reprochés, certains de ses ennemis n'ont-ils pas profité de ses faux pas pour précipiter sa chute ? En tout cas, en RDC, ce n'est pas tous les jours qu'une sentence aussi sévère est prononcée pour une tentative de détournement qui n'a finalement pas abouti ». Et puis ce commentaire d'Aujourd'hui à Ouagadougou : « c'est la chute d'un jeune loup aux dents longues, qu'on promettait à un avenir enviable. Déjà, il était un candidat malheureux à la dernière présidentielle avec 0,2% des voix. A-t- il été victime de ses rapports difficiles avec la Première ministre Judith Suminwa Tuluka ? Quel avenir pour lui à 37 ans ? Il a encore le temps de voir venir, à condition de savoir nager dans les eaux troubles du fleuve Congo ». Kabila sort de son silence Enfin, toujours à propos de la RDC, cette déclaration de Joseph Kabila, la première depuis mai dernier. Déclaration à lire dans Jeune Afrique. Rappelons que l'ancien président congolais est jugé par contumace pour haute trahison. La peine de mort a été requise à son encontre. Kabila dénonce « des accusations mensongères » et un pouvoir « incapable d'assumer la responsabilité de ses échecs. (…) Aucun élément de preuve n'a été apporté pour soutenir ces accusations », affirme-t-il. Selon lui, ce procès s'inscrit dans une « stratégie pour faire taire l'opposition dans son ensemble ».
En RD Congo, le verdict est tombé dans le procès de Constant Mutamba. L'ancien ministre de la Justice a été condamné à trois ans de travaux forcés et cinq ans d'inéligibilité pour détournement de fonds publics initialement alloués à la construction d'une prison. C'est la fin d'une saga judiciaire qui aura duré plusieurs mois à Kinshasa.
durée : 00:02:51 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Cela va devenir une obligation d'ici la fin de l'année scolaire. Mais installer des casiers, ou un autre dispositif, pour que les élèves les déposent, n'est pas si simple. Il faut notamment gérer la probable cohue à la fin des cours. Reportage au collège Teilhard de Chardin à Chamalièers. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
O QUE ROUBA SUA FORÇA - LÚCIA RODOVALHO by Sara Sede Brasília
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Ce vendredi 30 août, l'humanité commémore la Journée internationale des victimes des disparitions forcées. Nombreuses familles sont sans nouvelles de certains de leurs proches portés disparus du fait des violences et des régimes autoritaires. Les chiffres sont nette augmentation d'après les rapports des organismes humanitaires internationaux tels que la Croix-Rouge. C'est le cas en Syrie, au Venezuela et au Mexique. Anne Castagnos-Sen, responsable du plaidoyer multilatéral à Amnesty International-France est l'invitée de la mi-journée de RFI. À lire aussiLe nombre de disparitions forcées a augmenté de 70% en cinq ans, selon le CICR
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 29 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Solidus Labs launches The FoRC: The Future of Regulatory Compliance with Dante Disparte of Circle. They explore how stablecoins are driving financial inclusion, changing the compliance playbook, and redefining global finance. Topics include the GENIUS Act, blockchain-based monitoring, and Circle's newly announced Layer 1, Arc.
La recherche de solutions à la crise des réfugiés rwandais et congolais a été au cœur de la visite du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, cette semaine, à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo.Cette visite est intervenue alors que les initiatives se multiplient pour résoudre la crise sécuritaire dans l'Est du pays, y compris celle de populations déplacées. M. Grandi s'est ensuite rendu au Rwanda.Dans un entretien accordé à Ronely Ntibonera de notre partenaire Radio Okapi, M. Grandi souligne que cette crise des réfugiés, demandeurs d'asile et déplacés internes exige une action concertée afin de répondre à la crise humanitaire qu'elle engendre.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Legasse, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Carlos Vela… le joueur qui avait tout pour devenir une légende du foot… mais qui n'aimait pas vraiment ce sport !
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
À 7 000 km de l'archipel des Comores*, loin de l'océan Indien et de la côte sud-est du continent africain, voyage dans la cité portuaire surnommée « la cinquième île des Comores ». On connaît d'abord Marseille la Phocéenne fondée il y a 2 600 ans, Marseille la Méditerranéenne, la Corse, l'Italienne, l'Arménienne ou encore l'Algérienne, mais beaucoup moins la Comorienne ! Pourtant, selon une légende tenace, Marseille serait la plus grande ville comorienne au monde, devant même Moroni, la capitale de l'archipel ! Aujourd'hui, on estime que la population comorienne -d'origine ou de nationalité- atteint les 100 000 personnes et représente donc 10% des habitants de Marseille. En arrivant Gare Saint-Charles ou sur le Vieux-Port, dans les rues de la deuxième ville de France, si le métissage ne fait pas l'ombre d'un doute, pour ce qui est de la présence comorienne, il faut aller vers les quartiers Nord pour en saisir vraiment l'importance. C'est là que se concentre la communauté comorienne de Marseille, une communauté récente à l'échelle de la longue histoire de la ville, ouverte quoique réputée discrète, mais surtout fière de partager sa culture et son identité à la fois comorienne et marseillaise. Un reportage de Benoît Godin initialement diffusé en septembre 2024. * : « L'archipel des Comores, situé dans l'océan Indien, est composé de quatre îles. Trois d'entre elles font partie de l'État indépendant de l'Union des Comores. Mayotte est un département français. » À lire : Les Comoriens à Marseille : d'une mémoire à l'autre, de Karima Direche-Slimani et Fabienne Le Houérou. Éditions Autrement, 2002. Bien peu de choses à lire sur la vaste communauté marseillo-comorienne en dehors de cet ouvrage datant de 2002. Forcément daté, il reste malgré tout le livre le plus complet à ce jour sur ce sujet. La cinquième île : les Comoriens de Marseille, de Luc Saïd Mohamed Cheikh. Éditions Pragmatic, 2019. Un livre de photographies qui donne à voir quelques aspects de la vie des Comoriens de la cité phocéenne – prière du vendredi, figures politiques, cuisine... À voir : Le documentaire Planète Marseille, enfants des Comores, de Charlotte Penchenier, 2016. Le parcours de trois Marseillais d'origine comorienne (dont Fatima Ahmed, que l'on entend dans notre reportage) qui tentent de concilier leurs différentes parts d'identité. Sur Marseille, n'hésitez pas à vous rendre chez Marie-Rose Said, « présidente » et cuisinière des « Terrasses de Moroni Mamoudzou », une bonne table comorienne. À écouter : La série en deux épisodes de Vladimir Cagnolari pour Si loin si proche en 2018 : Je viens de Marseille et je vais à Ouellah, suivi de Je viens de Ouellah et je vais à Marseille. On y suit Chebli Msaïdié, chanteur et producteur de musique de retour au pays. Et on y découvre une tradition comorienne essentielle : le Anda, ou « grand mariage ».
À 7 000 km de l'archipel des Comores*, loin de l'océan Indien et de la côte sud-est du continent africain, voyage dans la cité portuaire surnommée « la cinquième île des Comores ». On connaît d'abord Marseille la Phocéenne fondée il y a 2 600 ans, Marseille la Méditerranéenne, la Corse, l'Italienne, l'Arménienne ou encore l'Algérienne, mais beaucoup moins la Comorienne ! Pourtant, selon une légende tenace, Marseille serait la plus grande ville comorienne au monde, devant même Moroni, la capitale de l'archipel ! Aujourd'hui, on estime que la population comorienne -d'origine ou de nationalité- atteint les 100 000 personnes et représente donc 10% des habitants de Marseille. En arrivant Gare Saint-Charles ou sur le Vieux-Port, dans les rues de la deuxième ville de France, si le métissage ne fait pas l'ombre d'un doute, pour ce qui est de la présence comorienne, il faut aller vers les quartiers Nord pour en saisir vraiment l'importance. C'est là que se concentre la communauté comorienne de Marseille, une communauté récente à l'échelle de la longue histoire de la ville, ouverte quoique réputée discrète, mais surtout fière de partager sa culture et son identité à la fois comorienne et marseillaise. Un reportage de Benoît Godin initialement diffusé en septembre 2024. * : « L'archipel des Comores, situé dans l'océan Indien, est composé de quatre îles. Trois d'entre elles font partie de l'État indépendant de l'Union des Comores. Mayotte est un département français. » À lire : Les Comoriens à Marseille : d'une mémoire à l'autre, de Karima Direche-Slimani et Fabienne Le Houérou. Éditions Autrement, 2002. Bien peu de choses à lire sur la vaste communauté marseillo-comorienne en dehors de cet ouvrage datant de 2002. Forcément daté, il reste malgré tout le livre le plus complet à ce jour sur ce sujet. La cinquième île : les Comoriens de Marseille, de Luc Saïd Mohamed Cheikh. Éditions Pragmatic, 2019. Un livre de photographies qui donne à voir quelques aspects de la vie des Comoriens de la cité phocéenne – prière du vendredi, figures politiques, cuisine... À voir : Le documentaire Planète Marseille, enfants des Comores, de Charlotte Penchenier, 2016. Le parcours de trois Marseillais d'origine comorienne (dont Fatima Ahmed, que l'on entend dans notre reportage) qui tentent de concilier leurs différentes parts d'identité. Sur Marseille, n'hésitez pas à vous rendre chez Marie-Rose Said, « présidente » et cuisinière des « Terrasses de Moroni Mamoudzou », une bonne table comorienne. À écouter : La série en deux épisodes de Vladimir Cagnolari pour Si loin si proche en 2018 : Je viens de Marseille et je vais à Ouellah, suivi de Je viens de Ouellah et je vais à Marseille. On y suit Chebli Msaïdié, chanteur et producteur de musique de retour au pays. Et on y découvre une tradition comorienne essentielle : le Anda, ou « grand mariage ».
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Le New York Times résume ainsi les dernières annonces du gouvernement de Benyamin Netanyahu : « Israël a approuvé » mercredi « l'implantation de nouvelles colonies en Cisjordanie et a annoncé poursuivre son projet de reprise de la ville de Gaza, faisant fi des critiques internationales et défiant le soutien croissant à la création d'un État palestinien indépendant ». À l'instar du Figaro à Paris, la presse internationale publie les premières images de l'offensive israélienne en périphérie de la ville de Gaza. Objectif : « s'emparer de cette ville et des camps de réfugiés du centre du territoire, considérés comme les derniers bastions du Hamas, prendre le contrôle sécuritaire de toute la bande de Gaza et libérer les otages qui y sont toujours retenus », rapporte le journal. Fuite en avant. Non, s'exclame le Guardian à Londres, cette offensive n'est qu'une fuite en avant. « Netanyahu est aux abois. Il estime qu'une guerre sans fin pourrait le maintenir au pouvoir et lui éviter le procès pour corruption qui doit reprendre prochainement. (…) Israël doit mettre fin aux massacres, s'exclame le quotidien britannique. S'emparer de la ville de Gaza et l'occuper ne feraient qu'accentuer l'horreur. (…) Un cessez-le-feu est donc plus urgent que jamais. Donald Trump pourrait mettre un terme à cette extermination et mettre fin à l'impunité d'Israël. Au lieu de cela, hier, déplore le Guardian, les États-Unis ont sanctionné plusieurs responsables de la Cour pénale internationale dans le cadre de l'affaire contre le Premier ministre israélien. Mais, pointe encore le journal, si Donald Trump espère toujours un accord plus large au Moyen-Orient, celui-ci ne peut être construit sur les ruines de Gaza. D'autres États devraient aller au-delà de l'étape importante, mais symbolique, de la reconnaissance d'un État palestinien. » Le Haaretz, quotidien de gauche israélien, s'emporte contre la volte-face du chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Eyal Zamir, au départ opposé à cette offensive et qui a finalement plié. « Nous avons un gouvernement insensé, s'exclame Haaretz. Refuser d'obéir à ses ordres est non seulement permis, mais c'est un devoir. Les généraux qui planifient et exécutent une telle folie sont pleinement complices de ce crime. Un crime contre ce que signifie être israélien, un crime contre l'humanité, un crime contre l'État. » À lire aussi«La politique israélienne favorise l'antisémitisme», dit l'ex-ministre palestinien Anwar Abu Eisheh « Guerre, annexion, colonisation » Autre offensive menée par Netanyahu, mais diplomatique : le Premier ministre israélien s'en prend à la France et à l'Australie qui ont promis de reconnaître l'État de Palestine en septembre. « La perspective de ces reconnaissances est vécue comme une attaque par Israël, pointe Le Soir à Bruxelles. Reste que « depuis le début de la guerre, Benyamin Netanyahu n'a pas présenté de vision politique claire pour mettre fin au conflit ». Et le quotidien belge de citer Ofer Bronchtein, Franco-Israélien qui conseille Emmanuel Macron sur les affaires israélo-palestiniennes : « Netanyahu ne veut pas de l'État palestinien, affirme-t-il. Le seul plan concret, c'est celui de l'extrême droite israélienne : guerre, annexion, colonisation… Tout cela cause un préjudice énorme à la population. C'est en refusant d'arrêter sa guerre contre le Hamas, qui n'est désormais plus une menace militaire, que le gouvernement israélien nourrit l'antisémitisme. » Se ressaisir ? La colonisation qui s'intensifie justement. Mercredi 20 août, un plan controversé pour la création d'une nouvelle, à l'est de Jérusalem, a été validé, ouvrant la voie à la séparation physique entre le nord et le sud de la Cisjordanie occupée. Un plan qui « met ainsi fin au rêve d'un État palestinien », constate la Repubblica à Rome. Pour le Jerusalem Post, quotidien israélien pourtant proche du pouvoir, « Israël doit se ressaisir sur le plan diplomatique. (…) Nous devons enfin présenter un plan crédible pour le "jour d'après" que les autres capitales pourront soutenir, affirme le journal. Les grandes lignes ne sont pas un mystère : la libération de tous les otages comme point de départ de tout cessez-le-feu durable ; une Autorité palestinienne restructurée, réformée et démilitarisée qui puisse gouverner Gaza et la Cisjordanie avec un contrôle extérieur – ou un organisme international qui gouvernerait Gaza jusqu'à ce que les forces locales soient en mesure de le faire. (…) Il faut être lucide, s'exclame encore le Jerusalem Post. (…) Le mois de septembre approche. (…) Israël a besoin d'arriver avec un programme de reconnaissance de la Palestine. » À lire aussiIsraël: le ministre de la Défense rappelle 60 000 réservistes après l'approbation du plan de conquête de Gaza-ville
durée : 00:03:23 - Un mayennais rencontre Gandalf - Tristan Chéné, qui a consacré tout son grenier de sa maison de Forcé à des films et des décors de films "fantasy", a pu rencontrer à Londres des acteurs de la trilogie Le Seigneur des Anneaux, le samedi 16 août 2025. Celle avec l'acteur incarnant Gandalf a particulièrement marqué le Mayennais. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est un scandale qui couve, depuis des années, et qui éclate au plus mauvais moment pour le Danemark, confronté aux pressions de Donald Trump sur le territoire autonome du Groenland. Sur ces terres du grand Nord, les femmes inuites racontent désormais une oppression systématique. La stérilisation forcée de milliers d'entre elles entre 1966 et 1970, et une discrimination par le biais d'un test de parentalité qui aboutissait au placement de nombreux enfants par les services sociaux. (Rediffusion) En pleine crise diplomatique avec les États-Unis, le Danemark a finalement annoncé le 21 janvier 2025 la fin de ces tests tant décriés ! Quant à la parole, elle se libère... À Nuuk, Ottilia Ferey a pu recueillir le témoignage de ces femmes aux parcours brisés. La désinformation à Bruxelles 1 milliard 900 000 dollars, c'est le budget annuel consacré par la Russie à la propagande étrangère... C'est une des nombreuses informations mises à jour par une association qui met en lien des dizaines de chercheurs spécialisés dans la lutte contre les fausses informations. Le EU disinfolab a son siège à Bruxelles et notre correspondante Elena Louazon a pu leur rendre visite. Chasse à courre au Royaume-Uni C'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire. La chronique musique de Vincent Théval Avec le groupe anglais Tunng et leur titre Everything Else. Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
C'est un scandale qui couve, depuis des années, et qui éclate au plus mauvais moment pour le Danemark, confronté aux pressions de Donald Trump sur le territoire autonome du Groenland. Sur ces terres du grand Nord, les femmes inuites racontent désormais une oppression systématique. La stérilisation forcée de milliers d'entre elles entre 1966 et 1970, et une discrimination par le biais d'un test de parentalité qui aboutissait au placement de nombreux enfants par les services sociaux. (Rediffusion) En pleine crise diplomatique avec les États-Unis, le Danemark a finalement annoncé le 21 janvier 2025 la fin de ces tests tant décriés ! Quant à la parole, elle se libère... À Nuuk, Ottilia Ferey a pu recueillir le témoignage de ces femmes aux parcours brisés. La désinformation à Bruxelles 1 milliard 900 000 dollars, c'est le budget annuel consacré par la Russie à la propagande étrangère... C'est une des nombreuses informations mises à jour par une association qui met en lien des dizaines de chercheurs spécialisés dans la lutte contre les fausses informations. Le EU disinfolab a son siège à Bruxelles et notre correspondante Elena Louazon a pu leur rendre visite. Chasse à courre au Royaume-Uni C'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire. La chronique musique de Vincent Théval Avec le groupe anglais Tunng et leur titre Everything Else. Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
Ils représentent plus de la moitié de la population en Haïti... Et pourtant, les jeunes font face à d'énormes difficultés. Peterson Luxama est allé à leur rencontre, à Port-au-Prince. Absence de politiques ciblées pour leur intégration, manque d'emplois, insécurité, précarité…à l'occasion de la Journée internationale de la jeunesse, ce mardi 12 août 2025, beaucoup de jeunes Haïtiens expriment leur désespoir. Certains ne croient plus en un avenir meilleur, tandis que d'autres, malgré tout, gardent l'espoir d'un possible changement. Aux États-Unis, Donald Trump a provoqué la surprise hier en décidant de déployer des agents du FBI, ainsi que les agents de la garde nationale dans les rues de Washington… Le président a pris des mesures exceptionnelles face à ce qu'il considère comme une hausse de la criminalité dans la capitale. Pourtant, les chiffres disent le contraire : selon le ministère de la Justice, les taux de criminalité n'ont jamais été aussi bas depuis les trente dernières années. «Le taux de criminalité à Washington aujourd'hui est plus haut que ceux de Bogota en Colombie, ou que celui de Mexico… ces villes dont vous entendez parler et qui sont considérées comme les pires endroits de la terre. C'est plus haut, c'est bien plus haut.» Voilà ce que pense Donald Trump de Washington... Forcément, aujourd'hui, presque toute la presse américaine titre sur le sujet. Hier lundi (11 août 2025), des mesures exceptionnelles ont été prises... Alors, il y a les médias conservateurs et pro-Trump qui s'en réjouissent. Washington est «aussi effrayante que l'enfer», titre le New York Post... et puis il y a d'autres quotidiens, comme le Washington Post, qui tentent de décrypter la stratégie de Trump derrière une telle décision. Les journalistes expliquent que l'idée de déployer la Garde nationale et de placer la police de la ville sous l'autorité directe du président est bien pensée... et née avant même l'entrée en fonction du président. La hausse de la criminalité invoquée par Trump est un prétexte. Pour le journal Politico, ces «mesures d'urgence» déployées par le président servent en fait à consolider son pouvoir sur la ville, qui est sous l'autorité du Congrès et non pas d'un État comme les autres villes américaines. Les journalistes rappellent tout de même que le président va se heurter à des limites : sans l'accord du Congrès, son administration ne pourra pas prolonger indéfiniment son contrôle sur la police de Washington. Au Chili, l'espoir d'un traité mondial pour préserver la planète de la pollution plastique... «Je ne veux pas être négatif», écrit Maximiliano Proaño, sous-secrétaire à l'Environnement, sur le site du média chilien El Mostrador. Il explique fonder beaucoup d'espoir dans le traité international contre la pollution plastique, en négociation à Genève en ce moment même. Proaño évoque le cas du Chili, très exposé à ce fléau, étant le plus gros consommateur de bouteilles plastiques du continent américain. Ces dernières années, plusieurs études ont montré la contamination aux microplastiques au Chili. Sur le site La Tercera, la journaliste Ceina Iberti explique comment ces particules se retrouvent dans les sols, les boissons et les plats des habitants. «Le pays est confronté à un vide réglementaire», alarme-t-elle. Le gouvernement semble, lui, déterminé à s'investir à Genève : «Le Chili arrive avec une position claire, appelant à un accord ambitieux, juste et efficace. Nous avons besoin de règles mondiales», a précisé le sous-secrétaire. Au Canada, des faux consultants et des faux avocats soutirent de l'argent aux populations immigrées... Oui, c'est une enquête vidéo du média canadien Le Devoir. Deux journalistes y montrent comment certains profitent de la vulnérabilité des nouveaux arrivants au Canada pour leur extorquer de l'argent. Ces derniers se font passer pour des avocats spécialisés en droit de l'immigration et demandent des sommes astronomiques à des demandeurs d'asile. L'un d'eux, appelé Gourdip, confie avoir payé 6 500 dollars à un consultant fantôme pour une demande d'asile qui n'a jamais été déposée. L'enquête révèle que les réfugiés sont particulièrement visés, car ils sont une cible de choix pour les fraudeurs. Ils ont 45 jours après leur arrivée pour déposer une demande d'asile et monter un dossier. C'est là que les arnaqueurs interviennent, proposant des services rapides et à moindre coût. Dans l'enquête, Sarah Champagne et Félix Pednaut, les journalistes du Devoir, donnent donc des clés pour mieux les identifier. Ils ont même rencontré un fraudeur en caméra cachée. En Argentine, une série Netflix connaît un succès phénoménal El Eternauta, «l'Eternaute», a été diffusée fin avril 2025. C'est l'une des séries non anglophones qui a réalisé le meilleur démarrage sur la plateforme. Une semaine après sa sortie, les six épisodes avaient été vus par près de 11 millions de personnes à travers le monde. Et un phénomène assez inattendu s'est produit : la série a relancé la recherche des bébés disparus pendant la dictature argentine de 1976 à 1983. Journal de la 1re L'attention est portée sur la tempête tropicale Erin, qui est en ce moment près du Cap-Vert. Elle pourrait bien traverser l'Atlantique et se rapprocher des Antilles ce samedi (16 août 2025) en fin de semaine. Les météorologues craignent qu'elle se transforme en ouragan de catégorie 3.
C'est le coup de gueule de la semaine dans le monde du sport : décorticage et débat autour de cette sortie médiatique !
durée : 00:02:38 - C'est mon boulot - La vie professionnelle se termine parfois au tribunal. Dans "C'est mon boulot" au mois d'août, on explore des litiges entre salariés et employeurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:43 - Journal de 12h30 - Israël va prendre la main sur la ville de Gaza, avant d'étendre ses efforts à l'enclave. Près d'un million de personnes sont menacées de départs forcés.
durée : 00:14:43 - Journal de 12h30 - Israël va prendre la main sur la ville de Gaza, avant d'étendre ses efforts à l'enclave. Près d'un million de personnes sont menacées de départs forcés.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:27 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Patrice Leconte est l'invité exceptionnel du Monde d'Élodie à l'occasion de la sortie de son dernier roman "La tentation du lac", aux éditions Arthaud. Dans ce troisième épisode, il nous parle du film "Ridicule" avec Charles Berling et Jean Rochefort. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:07:28 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Patrice Leconte est l'invité exceptionnel du Monde d'Élodie à l'occasion de la sortie de son dernier roman "La tentation du lac", aux éditions Arthaud. Dans ce troisième épisode, il nous parle du film "Ridicule" avec Charles Berling et Jean Rochefort. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
From Acts 2 to 2 Corinthians 9 and Deuteronomy 28, this word will ignite your spirit, clarify your covenant, and remind you that Jesus is healing everything.If you're in a season of pressure, pain, or pruning—press play.You're not just going through it. You're being activated for it.Pastor Shug shares how walking into God's promise sometimes feels like preparing for war. But this time, he didn't just preach healing—he experienced it.
Tu connais le Festival Agir à Lyon ? Inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité le 28 septembre !__ L'empathie, c'est bien. Enfin, tu es sûr ? Pourquoi on ne ressent pas la même empathie pour tous ? Nos émotions sont-elles fiables pour distinguer le bien du mal ?Samah Karaki est de retour pour déconstruire l'empathie dans son nouveau livre "L'empathie est politique".SOMMAIRE01:41 Questions mitraillettes08:33 Pourquoi l'empathie ?09:49 Forcément positif ?13:38 Le mensonge de l'empathie25:08 Le camp des gentils28:45 Un message__Merci au sponsor du mois : le Festival Agir à Lyon ! Ami Lyonnais, inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité à Lyon le 28 septembre !Au programme : Ateliers, balade sur la nature en ville et témoignages de reconversion pro ! L'Institut Transitions qui forme en 1 an aux métiers de la transition sera sur place.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le chef de l'État camerounais, Paul Biya, sera-t-il candidat à sa succession lors de la présidentielle du mois d'octobre prochain ? « C'est du 50/50 », répond ce lundi sur RFI le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Dans cette interview, le porte-parole du gouvernement camerounais réagit également à la démission récente de ses deux collègues, Bello Bouba Maïgari et Issa Tchiroma Bakary, et à l'annonce de leur candidature à la présidentielle à venir. « Au parti RDPC au pouvoir, les rangs sont en train de se resserrer », déclare-t-il. En ligne de Yaoundé, le ministre de la Communication et Porte-parole du gouvernement répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Les départs annoncés des ministres Bello Bouba Maigari et Issa Tchiroma Bakary de votre gouvernement, est-ce que ce n'est pas un coup dur à trois mois de l'élection présidentielle ? René-Emmanuel Sadi : Des alliés qui partent et non des moindres, effectivement, on peut forcément le regretter. Pour autant, nous ne croyons pas qu'il faille faire tout un drame de ces démissions de quelques membres du gouvernement, en l'occurrence des ministres appartenant au FSNC et à l'UNDP. Je le dis parce que le Cameroun est un pays de liberté et de démocratie et ceci est un acquis irréversible que nous devons incontestablement à l'engagement du président Paul Biya. Le RDPC, quant à lui, en prend forcément acte et le RDPC, fort de ses nombreux atouts et de son maillage territorial, reste debout et serein. C'est vrai que la concurrence sera sans doute un peu plus forte puisque nous avons perdu des alliés, mais le RDPC va s'organiser, les rangs sont en train de se resserrer et il est quasiment certain, de mon point de vue, que nous allons préserver cette position dominante que nous avons non seulement sur l'ensemble du pays, mais particulièrement dans la zone du septentrion. Enfin, pour ce qui est de la prétendue absence au sommet de l'État, il n'en est rien. Le président de la République conduit bel et bien les affaires de la République dans un style qui lui est propre, fait de discrétion et d'efficacité, sans tapage. Alors en effet, c'est Issa Tchiroma Bakary qui a parlé de l'absence de Paul Biya en tant que président de la République. Il a expliqué que, lors des réunions, le président ne s'exprimait plus, qu'il était absent et qu'il ne gouvernait plus. Qu'est-ce que vous répondez à cela ? Je pense que cette absence est une absence apparente. Cette absence apparente n'enlève rien à l'efficacité de l'homme et n'enlève rien à sa connaissance parfaite des dossiers. Il suit au quotidien tout ce qui se passe. Il est certainement l'homme le plus informé. Mais quand on a 92 ans, est-ce qu'il n'est pas normal qu'on ait quelquefois quelques absences ? Justement, à 92 ans, c'est un énorme mérite que de continuer à gouverner son pays. C'est un énorme mérite que de s'intéresser aux affaires de l'État, de suivre les dossiers. Je pense que la chance qu'on a, c'est que le président, à cet âge, a une mémoire phénoménale. C'est vrai, l'âge est là, il est important. Mais évidemment, quand on peut, malgré cet âge, continuer à suivre ses dossiers, c'est aussi un grand mérite qu'il faut saluer. Est-ce que le Secrétaire général de la Présidence Ferdinand Ngoh Ngoh n'est pas quelquefois le vrai patron du pays, quand le président n'est pas en mesure de gouverner à chaque heure de la journée ? Non, non, je ne dirai pas la même chose. Le Secrétaire général de la Présidence peut donc, en tant que collaborateur le plus proche du président de la République, le connaissant, il peut anticiper. Je peux vous dire qu'il est tenu de rendre compte et, s'il a anticipé que la décision qu'il a eu à prendre n'est pas celle qui convenait, le chef de l'État est en mesure d'apporter les corrections nécessaires et, évidemment, il s'exécute dans ce sens-là. Alors, à trois mois de la présidentielle, tous les grands partis ont investi leur candidat, ou du moins ont annoncé qui sera leur candidat. Tous sauf le RDPC au pouvoir. Pourquoi ? Tout simplement parce que le RDPC connaît les dispositions de la loi. Nous avons encore suffisamment de temps pour que le RDPC se prononce et donc nous attendons dans les meilleurs délais possibles sous la conduite de son président national, le président Paul Biya. Nous entendons nous décider dans ce sens-là. Le chef de l'État lui-même a laissé entendre que, le moment venu, il dirait à ses militants s'il est candidat ou non. Quand Paul Biya s'exprimera, est-ce que vous êtes certain qu'il dira : « Oui, je suis candidat ? » ou est-ce qu'il y a une hypothèse où il pourrait dire : « Eh bien, non, je ne serai pas candidat, ce sera quelqu'un d'autre » ? Je ne suis pas un devin, pour vous dire. Il se prononcera en son âme et conscience. Et c'est un homme d'une très grande clairvoyance, d'une très grande sagesse. Il saura dire à ses compatriotes la position qui sera la sienne. Mais pour dire les choses familièrement, à votre avis, c'est du 50/50, ou il y a plus de chances qu'il dise oui ou qu'il dise non ? C'est du 50/50. Forcément, puisqu'il l'a dit, qu'il se prononcera le moment venu. Forcément, c'est du 50/50. Donc le jeu est ouvert ! Écoutez, c'est lui qui nous a dit qu'il va se prononcer le moment venu. Ses militants, beaucoup ont fait des appels au président et c'est à lui qu'il appartient de répondre à ses militants. Et il peut y avoir une surprise ? Bon, peut-être que ça peut être une surprise dans un sens comme dans l'autre. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: dans le sud-ouest anglophone, les élites du RDPC derrière Paul Biya
Le rappeur togolais Aamron est au micro de France 24. Il avait été arrêté dans la nuit du 26 mai dernier à son domicile par une escouade de la gendarmerie, puis interné à l'hôpital psychiatrique de Zébé. Il a été libéré, samedi 21 juin. Son arrestation avait amorcé une série de manifestations citoyennes, sanctionnées par des dizaines d'interpellation à travers tout le pays et des cas de torture, selon un rapport publié par Amnesty International et la Fédération Internationale pour les Droits Humains.
En RD Congo, l'AFC/M23 - groupe armé soutenu par le Rwanda - est accusé d'avoir transféré de force plus de 1 500 personnes de l'est du pays vers le Rwanda. Le groupe armé affirme qu'il s'agissait de citoyens rwandais. Mais Human Rights Watch évoque des retours involontaires constituant une violation du droit international.
Song of Solomon 1:16 - 2:7Introduction* Recording from the mountains of Kauai - a place of beauty and peace* This is sermon #4 in the Song of Solomon series* Topic: "Crazy Love" - the passionate, movie-like love we see in ScriptureI. What Crazy Love Looks Like (1:16-2:3)A. Beautiful and Delightful (1:16-17)* "You are beautiful, my beloved. Truly delightful"* Their "couch is green" - outdoor intimacy in God's creation* Building a life together with quality materials (cedar, pine)* Crazy love says "I want to start a life with you, not just be roommates"B. Standing Out Among Others (2:1-3)* She: "I am a rose of Sharon, a lily of the valley" (I'm ordinary)* He: "You are a lily among brambles" (You stand out to me)* She: "He is like an apple tree among forest trees" (He stands out to me)* This is the "only eyes for each other" kind of love we long forC. Protection and Provision (2:3)* "I sat in his shadow" - finding protection and provision* "His fruit was sweet" - enjoying his care and leadership* Crazy love includes a man's commitment to protect and provideII. Why We Miss This Kind of Love (2:4-6)A. We Look for Joy in the Wrong Places (2:4)* "He brought me to his banqueting house" - the place of joy and celebration* We seek joy in money, power, fame instead of relationship with Christ* We fly different banners over our lives instead of His banner of loveB. We Choose Pleasure Over Covenant (2:5-6)* "I am sick with love" - she's lovesick but chooses to wait* "Sustain me with raisins" - being practical instead of giving in to desire* We go straight to pleasure instead of building on covenant* Same with our relationship with God - we want feelings without the gospel's hard truthsC. We Don't See the Full Picture (2:6)* "His left hand under my head, his right hand embraces me"* She's thinking about their whole life together - spiritual, physical, financial* We focus on just one aspect instead of the complete person/relationshipIII. How to Get Crazy Love Right (2:7)A. The Power Source* "By the gazelles and does of the field" (sounds like "Lord of Hosts" and "God Almighty" in Hebrew)* Only God's power can help us do relationships His wayB. God's Timing* "Do not stir up or awaken love until it pleases"* Don't force it too early, don't delay it too long* Wait for God's perfect timing, just as Jesus didC. Following God's Design* Marriage as covenant, not just roommates* Obedience to God's design brings abundance and protection* Like driving within the lane lines - stepping outside God's intention is dangerousConclusion* God offers us both the "safe choice" and the "wild" passionate love* Jesus is both the responsible provider and the passionate lover of our souls* True crazy love is only possible through covenant relationship* The earthly marriage is just a hint of our eternal marriage with ChristApplication Questions* What stood out to you in this message?* Are you looking for joy in God's banqueting house or somewhere else?* How can you better see the "full picture" in your relationships?* Are you waiting for God's timing or trying to force/delay love?RetryAmake a podcast episode description from thisEditAmen Podcast Episode DescriptionEpisode Title: Crazy Love: What the Bible Says About Passionate Romance | Song of Solomon Series #4Description:What if God wants you to experience the kind of crazy, passionate love you see in movies - not despite being a Christian, but because of it?In this episode recorded from the beautiful mountains of Kauai, we dive into Song of Solomon 1:16-2:7 to discover what "crazy love" actually looks like in Scripture. You might be surprised to learn that the Bible doesn't just endorse safe, practical relationships - it celebrates the kind of dizzying, movie-like romance that makes you want to build a whole life with someone.In this episode, we explore:* Why biblical love is both wild AND wise (it's not either/or!)* The difference between building a marriage vs. just being roommates* Why we miss out on crazy love (hint: it's about covenant, not just feelings)* How to know when it's the right time to "awaken love"* What separate bedrooms and delayed intimacy reveal about our hearts* Why God's design for relationships leads to the deepest satisfactionWe also discuss how our relationship with Christ mirrors this passionate love - He's both the "safe choice" and the "wild" lover of our souls who went to crazy lengths to pursue us.Whether you're single, dating, engaged, or married, this episode will challenge you to see God's design for love in a fresh way and help you understand why doing relationships His way leads to the kind of romance movies try to capture.Recorded on location in the mountains of Kauai
Song of Solomon 1:16 - 2:7* Recording from the mountains of Kauai - a place of beauty and peace* This is sermon #4 in the Song of Solomon series* Topic: "Crazy Love" - the passionate, movie-like love we see in ScriptureI. What Crazy Love Looks Like (1:16-2:3)A. Beautiful and Delightful (1:16-17)* "You are beautiful, my beloved. Truly delightful"* Their "couch is green" - outdoor intimacy in God's creation* Building a life together with quality materials (cedar, pine)* Crazy love says "I want to start a life with you, not just be roommates"B. Standing Out Among Others (2:1-3)* She: "I am a rose of Sharon, a lily of the valley" (I'm ordinary)* He: "You are a lily among brambles" (You stand out to me)* She: "He is like an apple tree among forest trees" (He stands out to me)* This is the "only eyes for each other" kind of love we long forC. Protection and Provision (2:3)* "I sat in his shadow" - finding protection and provision* "His fruit was sweet" - enjoying his care and leadership* Crazy love includes a man's commitment to protect and provideII. Why We Miss This Kind of Love (2:4-6)A. We Look for Joy in the Wrong Places (2:4)* "He brought me to his banqueting house" - the place of joy and celebration* We seek joy in money, power, fame instead of relationship with Christ* We fly different banners over our lives instead of His banner of loveB. We Choose Pleasure Over Covenant (2:5-6)* "I am sick with love" - she's lovesick but chooses to wait* "Sustain me with raisins" - being practical instead of giving in to desire* We go straight to pleasure instead of building on covenant* Same with our relationship with God - we want feelings without the gospel's hard truthsC. We Don't See the Full Picture (2:6)* "His left hand under my head, his right hand embraces me"* She's thinking about their whole life together - spiritual, physical, financial* We focus on just one aspect instead of the complete person/relationshipIII. How to Get Crazy Love Right (2:7)A. The Power Source* "By the gazelles and does of the field" (sounds like "Lord of Hosts" and "God Almighty" in Hebrew)* Only God's power can help us do relationships His wayB. God's Timing* "Do not stir up or awaken love until it pleases"* Don't force it too early, don't delay it too long* Wait for God's perfect timing, just as Jesus didC. Following God's Design* Marriage as covenant, not just roommates* Obedience to God's design brings abundance and protection* Like driving within the lane lines - stepping outside God's intention is dangerousConclusion* God offers us both the "safe choice" and the "wild" passionate love* Jesus is both the responsible provider and the passionate lover of our souls* True crazy love is only possible through covenant relationship* The earthly marriage is just a hint of our eternal marriage with ChristApplication Questions* What stood out to you in this message?* Are you looking for joy in God's banqueting house or somewhere else?* How can you better see the "full picture" in your relationships?* Are you waiting for God's timing or trying to force/delay love?RetryAmake a podcast episode description from thisEditAmen Podcast Episode DescriptionEpisode Title: Crazy Love: What the Bible Says About Passionate Romance | Song of Solomon Series #4Description:What if God wants you to experience the kind of crazy, passionate love you see in movies - not despite being a Christian, but because of it?In this episode recorded from the beautiful mountains of Kauai, we dive into Song of Solomon 1:16-2:7 to discover what "crazy love" actually looks like in Scripture. You might be surprised to learn that the Bible doesn't just endorse safe, practical relationships - it celebrates the kind of dizzying, movie-like romance that makes you want to build a whole life with someone.In this episode, we explore:* Why biblical love is both wild AND wise (it's not either/or!)* The difference between building a marriage vs. just being roommates* Why we miss out on crazy love (hint: it's about covenant, not just feelings)* How to know when it's the right time to "awaken love"* What separate bedrooms and delayed intimacy reveal about our hearts* Why God's design for relationships leads to the deepest satisfactionWe also discuss how our relationship with Christ mirrors this passionate love - He's both the "safe choice" and the "wild" lover of our souls who went to crazy lengths to pursue us.Whether you're single, dating, engaged, or married, this episode will challenge you to see God's design for love in a fresh way and help you understand why doing relationships His way leads to the kind of romance movies try to capture.Recorded on location in the mountains of Kauai