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durée : 00:28:46 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Bahar Makooi - Reza, Iranien de Paris n'a pas vu sa sœur depuis 21 ans. Il vient aujourd'hui la chercher à l'aéroport d'Orly. - réalisation : Vincent Abouchar, Sylvain Richard
durée : 00:13:05 - L'invité d'un jour dans le monde - Alors que se poursuit le conflit entre la République islamique et Israël, les yeux sont désormais rivés sur Donald Trump. Le États-Unis interviendront-ils en Iran ? Sylvain Cypel, journaliste à Orient XXI et ancien correspondant du Monde à New York, était l'invité de France Inter.
Pour débuter l'émission de ce mardi 17 juin 2025, les GG : Didier Giraud, agriculteur, Barbara Lefebvre, enseignante, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : Israël/Iran, faut-il faire tomber le régime iranien ?
durée : 00:05:24 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après une quatrième nuit de frappes israéliennes sur l'Iran et la riposte de Téhéran avec des missiles, le site d'enrichissement d'uranium de Fordo, enfoui dans une montagne au sud de Téhéran, sera "le test ultime" de la puissance aérienne israélienne. Des explosions ont été entendues cette nuit.
durée : 00:24:21 - 8h30 franceinfo - Israël a lancé, depuis vendredi, une offensive aérienne d'une ampleur inédite sur le territoire iranien. Dominique Moïsi, géopolitologue, conseiller spécial à l'institut Montaigne indique que "l'Iran n'a jamais été aussi faible à l'extérieur."
Tous les matins, à 6h45, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique de Matthieu Belliard
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Tous les vendredis, samedis et dimanches à 20h15, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Régis Le Sommier, grand reporter et auteur de l'ouvrage "Qui est le diable ? L'autre ou l'occident ?" (Ed Max Milo).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Joshua Zarka, ambassadeur d'Israël en France.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Frédéric Encel, docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences-Po Paris et auteur de "La guerre mondiale n'aura pas lieu" chez Odile Jacob.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce qui fait la Une de l'actualité en France, c'est la violence à l'école après plusieurs agressions. La dernière en date, une surveillante assassinée à coups de couteau par un adolescent de 14 ans en Haute-Marne... Avant cela, une autre actualité avec l'Iran, il y a ce qui pourrait déclencher une guerre ouverte entre l'Iran et Israël après les frappes de Tashal qui ont tué le chef des guides de la révolution et des responsables du programme nucléaire iranien. Avec - Mihaela Antoche de la rédaction roumaine avec un pays à la recherche de son nouveau gouvernement après l'élection présidentielle - Lucia Muzell pour la rédaction brésilienne à propos de la conférence sur les océans à Nice - Paul Myers de la rédaction anglophone au sujet de compétitions de tennis. Après Roland-Garros, Wimbledon à Londres. À lire aussiMeurtre d'une surveillante à Nogent: le collégien n'a exprimé «aucune compassion»
Frappes israéliennes contre l'Iran : la France appelle à éviter l'escalade car Teheran a déjà annoncé que la riposte à l'attaque massive Israélienne. On en parle avec Pierre Haski, éditorialiste géopolitique sur France Inter, chroniqueur à L'Obs et Armin Arefi, Grand Reporter au Point, spécialiste du Proche et Moyen-Orient.Tous les soirs du lundi au vendredi à 18h55 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Regain de tensions géopolitiques au Moyen-Orient après les frappes d'Israël contre l'Iran, visant son programme nucléaire et ses installations militaires. Au moins 20 hauts gradés iraniens ont été tués. Malgré l'enthousiasme de Donald Trump, Washington assure ne pas être impliqué dans ces frappes et avoir juste été prévenu. Des frappes qui interviennent au lendemain de l'annonce, par l'Iran, de l'accélération de sa production d'uranium enrichi. Analyse et décryptage avec l'invitée de la mi-journée de RFI, Héloïse Fayet, chercheuse au Centre d'études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri), responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération. RFI : Ces frappes interviennent au lendemain de l'annonce par l'Iran de l'accélération de sa production d'uranium enrichi. Fallait-il s'attendre à cette réaction militaire israélienne ? Héloïse Fayet : Tout d'abord, l'annonce iranienne d'hier, sur l'accélération de son programme, est elle-même une réaction à une motion de censure qui a été décidée au Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique, donc l'agence qui supervise notamment le programme nucléaire iranien. On est sur un enchaînement de causes et de conséquences. Cependant, la frappe israélienne, enfin l'opération israélienne, est à voir dans un contexte beaucoup plus global. Cela fait plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années, qu'Israël s'inquiète de la menace que représente l'Iran pour sa sécurité. Et s'inquiète beaucoup plus d'un programme de missiles balistiques conventionnels qui existe – et que l'Iran a déjà employé à plusieurs reprises contre Israël – plutôt que d'une menace nucléaire. Qui pour l'instant ne s'est pas concrétisée. Car rappelons qu'aujourd'hui, tous les services de renseignement du monde – ceux qui s'y intéressent –s'accordent à dire que l'Iran n'a pas d'arme nucléaire fonctionnelle. Et donc aujourd'hui ne présentait pas de menace nucléaire directe et concrète pour Israël. Qui, rappelons-le, est un État qui possède l'arme nucléaire. Le site de Natanz a été touché, mais pas ceux de Fordow et d'Ispahan. Est-ce que Natanz a un intérêt particulier pour l'armée israélienne ? Aujourd'hui, il y a deux sites principaux qui concourent à la progression du programme nucléaire iranien : le site de Natanz et le site de Fordow. En réalité, le site de Fordow est plus important pour le programme nucléaire iranien, mais il est aussi beaucoup mieux protégé. Étant donné que c'est un site en grande partie construit sous une montagne qui est donc bunkérisé et qui est extrêmement difficile à détruire. Si les Israéliens veulent effectuer des dégâts importants sur le site de Fordow, ils auraient besoin de bombes pénétrantes qu'ils n'ont pas dans leur arsenal. Ils auraient besoin d'un soutien américain s'ils voulaient faire des dommages importants sur le site de Fordow. C'est pour cela qu'ils se sont plus concentrés sur le site de Natanz qui lui est moins protégé. Mais à ce stade, c'est assez compliqué de voir, de comprendre l'étendue des dégâts qui ont été provoqués par les frappes israéliennes. Les Israéliens affirment qu'ils ont détruit des installations souterraines à Natanz. Pour l'instant, l'analyse des images satellitaires montre plutôt la destruction d'infrastructures vitales pour le bon fonctionnement du site. Mais peut-être pas de centrifugeuses, la pièce principale de la production d'uranium utilisée par l'Iran. Aujourd'hui, c'est trop tôt pour évaluer l'impact concret qui est fait par ces frappes sur le programme nucléaire iranien. En réalité, pour moi, c'est presque une attaque contre-productive par rapport au nucléaire iranien, étant donné que les dégâts ne sont à priori pas si importants que cela, mais que l'Iran avait toujours affirmé que si jamais il y avait des attaques contre ses installations nucléaires, alors plus rien ne les arrêterait pour sortir du traité de non-prolifération nucléaire et franchir le seuil nucléaire, donc effectuer les étapes techniques nécessaires pour développer une arme nucléaire. Il faut espérer que les Israéliens aient une vision différente de la chose, avec peut-être du renseignement supplémentaire. Sinon, ils viennent de donner aux Iraniens l'excuse dont ils avaient besoin pour continuer leur programme nucléaire. D'un point de vue strictement légal, du droit international, Israël avait-il le droit de frapper ces installations nucléaires ? C'est assez complexe parce que les États peuvent frapper un État souverain si jamais il y a une menace imminente sur leur propre sécurité et leur propre souveraineté. Ce sera le défi pour Israël qui, il faut le rappeler, n'est pas à une violation du droit international près, mais va devoir justifier son attaque. Ils ont commencé à le faire, notamment en publiant des vidéos et des documents et leurs propres analyses où ils considèrent que la menace iranienne sur le territoire israélien était imminente. On peut avoir une analyse un petit peu différente. Mais il faut rappeler, comme l'explique Rafael Grossi, le directeur de l'AIEA, qu'il y a un statut particulier autour des centrales nucléaires qui sont censées être des sites sensibles que l'on est censé s'abstenir de frapper. On voit bien que les Russes n'ont pas ce genre de précaution en Ukraine, où ils attaquent régulièrement la centrale de Zaporijjia. Là, nous sommes sur des échelles différentes, étant donné que le site de Natanz pose moins de risque en terme d'accidents nucléaires que Zaporijjia. Pour l'instant, l'Agence Internationale de l'énergie atomique se montre assez rassurante par rapport à la situation à Natanz. En tout cas, cela montre quand même une tendance globale à attaquer des sites nucléaires civils à des fins militaires. Quel était l'objectif d'Israël selon vous ? Prouver à l'Iran qu'il peut le frapper sur son sol, sur ses installations nucléaires ? Il faut se rappeler que ce n'est pas la première fois qu'Israël frappe l'Iran directement sur son territoire. En octobre dernier, il y avait eu un enchaînement similaire. Après la mort de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, par une frappe israélienne au Liban, les Iraniens avaient répliqué en frappant le territoire israélien, ce qui n'avait quasiment pas fait de dégâts. Ensuite, les Israéliens avaient répondu à cette frappe iranienne par des frappes sur le territoire iranien. Ils avaient déjà démontré leurs excellentes capacités de ciblage. C'est-à-dire qu'ils savaient précisément où est tel matériel, ce qui va provoquer des dégâts importants, ce qui est important pour le régime iranien. À l'époque, ils avaient détruit certains éléments de défense antiaérienne de sites sensibles du programme balistique conventionnel iranien. Là, ils montrent qu'ils peuvent le refaire. Il montre aussi qu'ils ne laissent aucune chance à la diplomatie, aucune chance aux négociations. Donald Trump avait donné le 12 juin comme date butoir des négociations sur le nucléaire iranien, qui avaient lieu entre l'Iran et les États-Unis. Il n'y a pas eu d'accord avant le 12 juin. Les Israéliens se sont sentis capables et libérés peut-être d'une sorte d'obligation vis-à-vis des États-Unis pour conduire ces frappes sur le territoire iranien. Avec, il faut le rappeler, l'autorisation évidemment des États-Unis. Donald Trump a reconnu qu'il avait été mis au courant et qu'il ne s'y était pas opposé. Il y a certains officiels israéliens qui affirment qu'ils ont eu un « green-light », un feu vert en français, donc un soutien total. Alors, pas de soutien militaire concret parce qu'à mon sens, les Américains essaient de se protéger pour éviter les répliques sur leurs propres installations militaires au Moyen-Orient. Mais il est possible qu'il y ait eu du soutien en termes de renseignement et un soutien aussi politique, évidemment. L'attaque de drones conduite en riposte sur le territoire israélien par l'Iran semble plus symbolique que réellement menaçante... Oui, les drones ont quasiment tous été interceptés avant même qu'ils n'atteignent l'espace aérien israélien. Les Iraniens devaient faire quelque chose pour répliquer immédiatement. S'il y a une riposte plus importante, elle va probablement prendre un peu plus de temps à être conçue. Parce que, comme on l'a expliqué, l'état-major iranien, qui aurait été capable de concevoir une opération et de la coordonner, a été tué. Alors, les remplaçants ont déjà été nommés pour une partie, mais il y a quand même une expertise qui a été perdue. Il y a des sites qui ont été endommagés, mais il y a aussi des lanceurs mobiles. Is ont encore la possibilité de faire des frappes contre le territoire israélien. Mais là aussi, c'est aux Iraniens de choisir s'ils veulent effectuer une attaque « tout pour le tout ». C'est-à-dire une attaque saturante avec plusieurs centaines de missiles balistiques sur une échelle encore plus importante que ce qu'on a connu en avril et en octobre. Qui pourrait réellement causer des dégâts sur le territoire israélien s'il y a une saturation de la défense anti-missile israélienne et avec un soutien occidental. Mais ce qui provoquerait peut-être de nouveau une réponse israélienne. À ce jeu-là, il est possible qu'Israël puisse tenir plus longtemps, notamment parce qu'ils sont soutenus par les Occidentaux. Ce sont les Iraniens qui ont les cartes en main, mais peut être moins de cartes qu'avant la frappe israélienne – car c'est évidemment l'objectif d'Israël que de frapper cet arsenal balistique. Ils peuvent aussi, comme on l'a dit, frapper des sites américains dans la région, mais peut-être qu'ils n'ont pas envie de trop impliquer les Américains dans cette histoire. On ne peut pas vraiment faire de pronostic. On scrutera avec beaucoup d'attention toutes les déclarations iraniennes ces prochains jours. Et les mouvements autour des bases de missiles balistiques iraniens. Est-ce une grosse perte pour l'Iran, tous ces hauts responsables qui ont été tués ? C'est une perte importante, parce que cela montre un certain état de faiblesse du régime iranien. Selon certaines informations qui commencent à apparaître, ils auraient tous été réunis dans le même bunker pour une réunion. Donc évidemment, c'étaient des cibles assez faciles à frapper. Il est quand même assez surprenant que, alors qu'il y avait déjà eu des alertes la nuit précédente concernant de possibles frappes israéliennes, que le régime iranien n'ait pris quasiment pas de précautions. Est-ce une sorte d'arrogance du côté iranien ? Mais aussi, du côté israélien, ils ne semblent pas trop se préparer, eux, à une riposte iranienne. Il est certain que, dans l'histoire, les principales victimes, ce sont les populations. C'est peut-être cela que cherche Israël, essayer à nouveau de provoquer les populations iraniennes à se révolter contre le régime. Mais même la stratégie de pression maximale économique qui avait été mise en œuvre par les États-Unis n'a pas réussi. Il me semble peu probable que cet objectif de changement de régime, qui est poursuivi insidieusement par Israël, n'aboutisse. Les États-Unis et l'Iran négocient directement en ce moment. Un sixième cycle de discussion était prévu ce dimanche. Pensez-vous qu'il aura lieu ? Les Iraniens ont dit évidemment qu'ils n'y participeraient pas. Comme tout le monde, ce vendredi matin, on se réveille et on voit l'interview de Donald Trump dans Fox News qui dit : « J'espère qu'ils viendront à la table des négociations tout de même dimanche, même s'il y aura une partie qui sera absente. » Parce qu'une partie des négociateurs ont été tués dans la frappe israélienne. Cela montre une telle déconnexion, je trouve, entre les enjeux réels et cette façon de communiquer par Donald Trump. Cela ne peut que mettre à mon avis de l'huile sur le feu. S'il imaginait qu'une telle opération, qu'il a approuvé, pourrait n'avoir aucune conséquence sur les négociations, je pense qu'il s'est complètement fourvoyé. Mais voilà, c'est la politique étrangère de Donald Trump. À lire aussiToutes les dernières infos sur l'Iran
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Le Journal en français facile du jeudi 12 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bkpd.A
Émission du 28 mai 2025 (00:00) - Le générique d'ouverture(01:04) - Le sommaire Dans cette 35ème émission :(02:55) - Le palmarès du Festival de Cannes 2025(08:14) - Le débrief du Festival de Cannes 2025 par l'équipe de The Cinema Show (47:06) - "Mission : Impossible - The Final Reckoning" de Christopher McQuarrie(1:06:31) - "La Venue de l'avenir" de Cédric Klapisch(1:14:56) - "Bop To The Top !" (1:15:56) - Quiz "Le cinéma Iranien" (1:25:53) - Les Recos de l'équipe (1:28:41) - Le générique de fin Nos recos de la semaine ⤵️Le film "Horribilis" de James Gunn : https://www.allocine.fr/film/fichefil...Le film "We Are Coming, chronique d'une révolution féministe" de Nina Faure : https://www.wearecoming-lefilm.fr/La bande-dessinée "Hoka Hey !" de Neyef : https://www.editions-ruedesevres.fr/H...Le Café Solo à Montpellier : https://www.instagram.com/cafesolomon...Le film "Jay & Bob contre-attaquent" de Kevin Smith : https://www.primevideo.com/-/fr/detai...Notre jeu concours pour gagner des places pour "Le Bonheur est une bête sauvage" au Pathé Comédie : https://www.instagram.com/p/DKM3eOYod... Retrouvez The Cinema Show sur ⤵️Facebook : / rcmcinemashowInstagram : / thecinemashow_rcmTwitter : / thecinemashow1 Émission du 28 mai 2025 (00:00) - Le générique d'ouverture(01:04) - Le sommaire Dans cette 35ème émission :(02:55) - Le palmarès du Festival de Cannes 2025(08:14) - Le débrief du Festival de Cannes 2025 par l'équipe de The Cinema Show (47:06) - "Mission : Impossible - The Final Reckoning" de Christopher McQuarrie(1:06:31) - "La Venue de l'avenir" de Cédric Klapisch(1:14:56) - "Bop To The Top !" (1:15:56) - Quiz "Le cinéma Iranien" (1:25:53) - Les Recos de l'équipe (1:28:41) - Le générique de fin Nos recos de la semaine ⤵️Le film "Horribilis" de James Gunn : https://www.allocine.fr/film/fichefil...Le film "We Are Coming, chronique d'une révolution féministe" de Nina Faure : https://www.wearecoming-lefilm.fr/La bande-dessinée "Hoka Hey !" de Neyef : https://www.editions-ruedesevres.fr/H...Le Café Solo à Montpellier : https://www.instagram.com/cafesolomon...Le film "Jay & Bob contre-attaquent" de Kevin Smith : https://www.primevideo.com/-/fr/detai...Notre jeu concours pour gagner des places pour "Le Bonheur est une bête sauvage" au Pathé Comédie : https://www.instagram.com/p/DKM3eOYod... Retrouvez The Cinema Show sur ⤵️Facebook : / rcmcinemashowInstagram : / thecinemashow_rcmTwitter : / thecinemashow1
L'Agence internationale de l'énergie atomique a condamné ce jeudi 12 juin Téhéran pour « non-respect de ses obligations nucléaires ». En réaction, la République islamique a annoncé la prochaine construction d'un nouveau site d'enrichissement d'uranium. Le tout en pleine période de pourparlers avec les États-Unis. Entretien avec David Rigoulet-Roze, chercheur associé à l'Iris et à l'Institut français d'analyse stratégique, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques.
Ecoutez l'émission du 04 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le jury du festival de Cannes, présidé par Juliette Binoche, a récompensé " Un simple accident ", réalisé en toute clandestinité par un réalisateur condamné par le régime islamique. Le reste du palmarès équilibre avec justesse dimension politique, sociale et humaniste. Commentaire par Rafael Wolf.
À Cannes hier soir, Jafar Panahi a reçu une Palme d'or « tellement méritée », s'exclame le Parisien-Dimanche, au-dessus de la photo du réalisateur iranien, souriant, derrière ses lunettes noires qu'il n'a pas quittées de la cérémonie. « Plusieurs fois emprisonné sans son pays, Jafar Panahi a été récompensé pour un grand film politique et bourré d'humour », ajoute le Parisien-Dimanche. Ce film, c'est Un simple accident, que le journal résume ainsi : « une comédie noire sur la revanche du petit peuple contre un ancien tortionnaire, tourné avec trois fois rien et qui tient aussi bien du thriller que de la comédie et du grand film politique ». « L'émotion l'a terrassé sur son siège pendant quelques secondes, alors que la salle se levait pour l'applaudir », raconte la Tribune Dimanche, il remporte « la Palme d'or de l'engagement et de la liberté ». Le Journal du Dimanche salut, de son côté, une Palme d'or « symbole de résistance », et rapporte les propos de Jafar Panahi, tenus quelques heures avant la cérémonie : « Dimanche, je reprends l'avion pour Téhéran, je ne sais pas quels ennuis m'y attendent, mais l'Iran est mon pays et je ne saurai pas faire du cinéma ailleurs ».Ça se passe loinGros plan sur la guerre en Ukraine, vue de Russie. « Après trois ans de guerre », raconte le Point, « la population russe navigue entre soutien, désillusion et ressentiment ». « Pour une grande majorité d'habitants », poursuit l'hebdomadaire, « la guerre, pudiquement appelée "opération militaire spéciale", continue d'être une gêne lointaine ». À l'université par exemple, un étudiant grec raconte que ses compagnons russes « sont plus en colère contre l'Union européenne qui les sanctionne que contre leur gouvernement qui a commencé et soutient cette guerre ». À Moscou, un opposant au régime, lui, explique : « Ça se passe loin, là-bas. Le plus important, c'est de ne pas être touché directement ». « Il ne souhaite pas la défaite ». « Sinon », dit-il, « ce sera la guerre civile ». Le Point a aussi rencontré Laura, une couturière à la retraite, qui « ne veut plus rien entendre au sujet de l'opération spéciale ». « Il y a un an, trois mois après avoir été mobilisé, son petit-fils de 18 ans est mort en Ukraine. Il repose « en héros », au cimetière ». « Laura n'en dira pas plus », conclut le Point.Personne ne viendra nous sauverDirection les États-Unis où « la résistance s'organise ». C'est en tout cas ce que croit savoir le Nouvel Obs, il est allé à la rencontre des membres du collectif Indivisibles, qui mènent la révolte contre Donald Trump. Comme Mary Ann, qui, nous dit-on, « a hissé, sur sa pelouse tondue de près, un drapeau américain à l'envers. Un SOS angoissé, signe d'un pays en détresse. Quelques semaines plus tard, elle a planté un petit panneau qui invite à l'action en lettres blanches : march, protest, strike, vote », poursuit le Nouvel Obs, qui est aussi allé à un meeting des Indivisibles. L'un des co-fondateurs du mouvement, Ezra Levin, s'exclame face au public: « La peur est contagieuse, mais le courage aussi ! Personne ne viendra nous sauver. Les luttes historiques contre les autoritarismes nous apprennent que le succès dépend d'une opposition persistante, courageuse, large et unifiée ». Et puis il y a Bernie Sanders, l'ex-candidat à l'élection présidentielle, « l'apport du sénateur de 83 ans à la résistance est capital », estime le Nouvel Obs. « Lui qui n'appartient à aucun parti est devenu l'improbable visage de l'opposition à Trump. Partout le vieux routier de la gauche attire les foules ». « Il faut rallier les classes populaires, Bernie Sanders l'a compris très tôt ». Il va vers « une Amérique populaire, en miroir de celle de Trump, cherchant elle aussi à exprimer sa colère ».De Gaza au sud de la FranceEnfin, M, le supplément du Monde nous emmène à la rencontre d'une famille palestinienne réfugiée en France. Ils sont sortis de l'enfer de Gaza, toute la famille d'Husam Al Najar, les parents et les cinq enfants, « âgés de 4 à 20 ans ». Ils vivent désormais dans le Gard, dans le sud de la France, « dans un hameau à 600 mètres d'altitude ». Un havre de paix, avec « ses paysages verdoyants à perte de vue ». Pour la photo, la famille pose devant une maison aux tuiles roses. Mais Husam Al Najar « a le vertige ». « Il ne s'éternise pas et préfère retourner dans le salon », raconte M. « Je n'arrive pas à rester dehors », dit-il. « J'ai besoin de me sentir entre des murs solides ». S'ils sont tous en France aujourd'hui, précise le magazine, c'est « grâce à une chercheuse du CNRS qui a œuvré sans relâche pour qu'Husam Al-Najar, docteur en ingénierie de l'environnement, puisse bénéficier d'un programme national d'aide aux scientifiques en exil ». Ils sont arrivés fin avril et sont bien décidés à s'intégrer en France. Diana Al-Najar, « la mère de famille, veut apprendre le français au plus vite et passer le permis de conduire. Nour 18 ans et Aya 16 ans, échangent déjà quelques paroles dans un français impeccable », raconte M. Pour cette famille, « arrivée, avec pour tout bagage un téléphone portable », c'est le début d'une nouvelle vie.
II manquait jusqu'ici une évidence et "Un simple accident" de l'Iranien Jafar Panahi projeté mardi 20 mai apparait comme un candidat très sérieux au palmarès de samedi. Un véritable pamphlet contre le régime islamique qui raconte comment d'anciennes victimes de la répression vont croire reconnaitre un de leur bourreau, l'enlever, projeter de le supprimer mais finalement avoir un doute... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:52 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Maïlys Khider qui rentre de Cuba ; suivi d'une table-ronde sur les négociations entre Washington et Téhéran au sujet du programme nucléaire iranien. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maïlys Khider Journaliste indépendante; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier; Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
durée : 00:33:28 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Les diplomates états-uniens et iraniens se réunissent cette semaine dans la capitale omanaise pour discuter d'un possible accord sur le programme nucléaire iranien. Une soudaine convergence d'intérêts qui a permis aux deux États de renouer des contacts directs pour la première fois depuis 45 ans. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier
Les prochaines discussions entre l'Iran et les États-Unis sur le nucléaire de Téhéran prévues ce samedi s'annoncent tendues. Hier, mardi 22 avril 2025, Washington a imposé de nouvelles sanctions à l'Iran, ce qui a provoqué la vive réaction de Téhéran. L'enjeu est de taille alors que l'Iran se rapproche de l'arme nucléaire, sept ans après que les États-Unis ont quitté le précédent accord. Sur quoi peuvent déboucher les négociations en cours ? Quel accord est-il possible ? Pour en débattre :- David Rigoulet-Roze, chercheur associé à l'IRIS et à l'Institut français d'analyse stratégique, spécialiste du Moyen-Orient et de la péninsule arabique, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques - Clément Therme, chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris, spécialiste du monde iranien.
Les prochaines discussions entre l'Iran et les États-Unis sur le nucléaire de Téhéran prévues ce samedi s'annoncent tendues. Hier, mardi 22 avril 2025, Washington a imposé de nouvelles sanctions à l'Iran, ce qui a provoqué la vive réaction de Téhéran. L'enjeu est de taille alors que l'Iran se rapproche de l'arme nucléaire, sept ans après que les États-Unis ont quitté le précédent accord. Sur quoi peuvent déboucher les négociations en cours ? Quel accord est-il possible ? Pour en débattre :- David Rigoulet-Roze, chercheur associé à l'IRIS et à l'Institut français d'analyse stratégique, spécialiste du Moyen-Orient et de la péninsule arabique, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques - Clément Therme, chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris, spécialiste du monde iranien.
Ce mardi 22 avril, les progrès significatives entre l'Iran et les USA, et les pour-parlers prévus cette semaine, ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'émission 28 minutes du 19/04/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po ; Gil Mihaely, historien et directeur de publication de la revue “Conflits” ; Birgit Holzer, correspondante pour la presse régionale allemande à Paris et le dessinateur de presse Philippe Geluck. Nucléaire iranien : peut-on faire confiance aux mollahs ?“L'Iran et les États-Unis ont peu de temps”, a mis en garde jeudi 17 avril le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique, en visite à Téhéran. Les deux pays viennent de reprendre le dialogue autour du programme nucléaire iranien. En 2018, Donald Trump quittait unilatéralement l'accord de Vienne, signé en 2015, qui limitait les capacités nucléaires iraniennes à une application strictement civile. Depuis le retrait américain et le rétablissement des sanctions envers l'Iran, le texte était caduc puisque la République islamique a augmenté son niveau d'enrichissement de l'uranium jusqu'à 60 %, là où l'accord le limitait à 3,67 %. L'Iran se rapproche ainsi de la possibilité de détenir l'arme atomique, qui nécessite un niveau d'enrichissement de 90 %. Face à Trump, qui peut parler au nom de l'Europe ?Jeudi 17 avril, Giorgia Meloni était reçue à Washington par Donald Trump. Favorisée par leur idéologie commune, la présidente du Conseil italien avait l'intention de profiter de cette occasion pour porter la voix de l'Europe au sujet de la guerre en Ukraine ou encore des droits de douane imposés par les États-Unis. Malgré une visite qui s'est bien déroulée, le président américain n'a annoncé aucun engagement. Giorgia Meloni a avancé la possibilité d'une visite prochaine de Donald Trump en Italie où il pourrait rencontrer des dirigeants européens. Pourrait-elle être la seule à pouvoir parler au nom de l'Europe au président américain, hostile à l'Union européenne ? Nous recevons le réalisateur Lawrence Valin qui réalise et joue dans le film “Little Jaffna”, en salles le 30 avril. À travers ce polar, il représente la communauté tamoule en France, une minorité qui possède peu, voire pas du tout de représentation à l'écran. Dans ce film, le personnage principal est un jeune policier, désigné par la DGSI pour infiltrer une organisation indépendantiste tamoule, qui doit faire tomber un de ses argentiers. En intégrant un gang à Little Jaffna dans le quartier de La Chapelle, à Paris, le personnage va progressivement s'identifier à ceux qu'il doit détruire. Valérie Brochard rend visite à nos voisins britanniques où la Cour suprême a tranché mercredi 16 avril sur la définition légale d'une femme qui repose, selon ce texte, sur le sexe biologique et non sur le genre. Depuis 2018, le litige oppose le gouvernement écossais, fortement engagé en faveur des droits des personnes transgenres, et une association féministe baptisée “For Women Scotland” qui juge les droits des femmes menacés par certaines revendications transactivistes. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Nayib Bukele, président du Salvador, qui a considérablement fait chuter la criminalité. Ces résultats ont été obtenus en réprimant sans pitié les gangs de ce pays d'Amérique centrale. Il a construit une prison gigantesque, où les détenus sont entassés et privés de tout droit. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé américaine qui revient sur le vol de la fusée Blue Origin qui a emmené six femmes dans l'espace, dont Katy Perry mais aussi la femme de Jeff Bezos. L'objectif était de promouvoir les très brefs et très coûteux vols spatiaux proposés par le fondateur du groupe Amazon. Paola Puerari s'intéresse aux prochains candidats pour la présidentielle de 2027. Cette semaine, le quotidien “L'Opinion” a décidé de placer des personnalités issues de la société civile, comme Michel-Edouard Leclerc ou Cyril Hanouna, dans un sondage sur les intentions de vote. L'un de ces outsiders pourrait-il bouleverser le jeu politique ? Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi est-ce que c'est si difficile d'aller sur Mars ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 19 avril 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Des pourparlers entre l'Iran et les États-Unis se sont tenus à Rome sur le nucléaire iranien. Pourquoi Donald Trump relance ce dossier ? Quels sont les enjeux de ces nouvelles rencontres ? Thierry Coville, chercheur à l'Institut des Relations internationales et stratégiques et auteur de l'Iran, une puissance en mouvement publié aux éditions Eyrolles, est l'invité international de la mi-journée de RFI. À lire aussiNucléaire iranien: nouveau round de négociations entre les États-Unis et l'Iran à Rome
L'émission 28 minutes du 16/04/2025 À la découverte de l'albatros, l'oiseau des mers qui a inspiré les premiers aviateursDeborah Pardo est docteure en biologie des populations et spécialiste des albatros. Membre de la Société des explorateurs français, elle a longuement navigué à travers l'Arctique et les terres australes. Depuis, elle s'engage pour le climat, notamment auprès des entreprises. Le 17 avril, elle publie "Déployer sa vie comme un albatros" (éditions Tana), un ouvrage dans lequel elle analyse la crise environnementale en cours. L'albatros y a une fonction métaphorique et comparative, “celui qui pourrait nous aider à nous unir” afin de construire un meilleur rapport, plus respectueux, avec la nature. Illustré à l'encre par Amandine Comte, ce livre est pensé comme “un manifeste pour nous aider à passer à l'action”.Nucléaire iranien : vers un accord historique entre Trump et les mollahs ?C'est un revirement inattendu de la part de Donald Trump qui a entamé avec l'Iran des négociations au sujet du nucléaire iranien. En 2017, il quittait unilatéralement l'accord de Vienne signé en 2015, qui limitait les capacités nucléaires iraniennes à une application strictement civile. Depuis le retrait américain et le rétablissement des sanctions envers l'Iran, le texte était caduc puisque la République islamique a augmenté son niveau d'enrichissement de l'uranium jusqu'à 60 %, là où l'accord le limitait à 3,67 %. L'Iran se rapproche ainsi de la possibilité de détenir l'arme atomique, qui nécessite un niveau d'enrichissement de 90 %. Ce samedi 12 avril, Steve Witkoff, émissaire américain au Moyen-Orient, a négocié directement avec Abbas Araghchi, ministre iranien des Affaires étrangères. Les deux pays n'avaient plus de relations diplomatiques depuis 1980. Téhéran s'est félicité d'un climat "fondé sur le respect mutuel" tandis que Washington a salué des échanges "très positifs et constructifs". Les États-Unis souhaitent la fin du programme nucléaire iranien contre la levée de ses sanctions qui ont été renforcées ces dernières semaines. L'arrêt de l'ensemble du programme nucléaire n'est toutefois "pas négociable", selon Abbas Araghchi.Enfin, Xavier Mauduit nous raconte un déficit public historique : celui de Louis XVI, si important qu'il a créé les finances publiques modernes. Marie Bonnisseau nous conte la méthode miracle de l'enseigne Leroy Merlin face à la "raie du plombier" qui parasite les bricoleurs.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 16/04/2025 Nucléaire iranien : vers un accord historique entre Trump et les mollahs ?C'est un revirement inattendu de la part de Donald Trump qui a entamé avec l'Iran des négociations au sujet du nucléaire iranien. En 2017, il quittait unilatéralement l'accord de Vienne signé en 2015, qui limitait les capacités nucléaires iraniennes à une application strictement civile. Depuis le retrait américain et le rétablissement des sanctions envers l'Iran, le texte était caduc puisque la République islamique a augmenté son niveau d'enrichissement de l'uranium jusqu'à 60 %, là où l'accord le limitait à 3,67 %. L'Iran se rapproche ainsi de la possibilité de détenir l'arme atomique, qui nécessite un niveau d'enrichissement de 90 %. Ce samedi 12 avril, Steve Witkoff, émissaire américain au Moyen-Orient, a négocié directement avec Abbas Araghchi, ministre iranien des Affaires étrangères. Les deux pays n'avaient plus de relations diplomatiques depuis 1980. Téhéran s'est félicité d'un climat "fondé sur le respect mutuel" tandis que Washington a salué des échanges "très positifs et constructifs". Les États-Unis souhaitent la fin du programme nucléaire iranien contre la levée de ses sanctions qui ont été renforcées ces dernières semaines. L'arrêt de l'ensemble du programme nucléaire n'est toutefois "pas négociable", selon Abbas Araghchi.On en débat avec le Héloïse Fayet, chercheuse à l'Ifri, spécialiste du nucléaire iranien ; Farid Vahid, chercheur à la fondation Jean-Jaurès, spécialiste du Moyen-Orient et Nicolas Tenzer, enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions stratégiques.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Samedi se sont tenus, sous l'égide du Sultanat d'Oman, des pourparlers entre l'Iran et les États-Unis sur le nucléaire iranien. Samedi prochain, ces discussions se poursuivront, à Rome cette fois-ci. Les deux parties ont tenu des propos encourageants. Cela semble un revirement complet par rapport à la première présidence Trump. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:34 - L'invité d'un jour dans le monde - "Un jour dans le monde" reçoit le chercheur David Rigoulet-Roze pour analyser la deuxième round des négociations entre Washington et Téhéran sur le nucléaire iranien, qui aura lieu samedi 19 avril.
durée : 00:37:24 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Après avoir entamé des discussions le 12 avril dernier à Mascate (Oman), les États-Unis et l'Iran s'apprêtent à démarrer le prochain round de négociations sur le nucléaire iranien, samedi 19 avril. - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:37:24 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Après avoir entamé des discussions le 12 avril dernier à Mascate (Oman), les États-Unis et l'Iran s'apprêtent à démarrer le prochain round de négociations sur le nucléaire iranien, samedi 19 avril. - réalisé par : Thomas Lenglain
Ce week-end, deux ennemis historiques se sont retrouvés : les États-Unis et l'Iran, qui n'ont aucune relation diplomatique depuis près de 50 ans, ont entamé des discussions dans le sultanat d'Oman. L'objectif, pour Washington, est de contenir le développement du programme nucléaire iranien, et de l'empêcher de développer la bombe atomique. Pour Téhéran, il s'agit de faire baisser le risque d'une confrontation militaire, et de réduire les sanctions économiques qui pèsent sur le régime. Mais la route sera longue et sinueuse : surtout que c'est Donald Trump qui avait mis fin en 2018 à l'accord international sur le nucléaire iranien. Alors, que cherche aujourd'hui le président américain ? Au moment où Téhéran est affaibli, Donald Trump a-t-il les moyens de faire fléchir ce régime, et de signer un deal sur le nucléaire iranien ? C'est ce que nous verrons ce soir, dans Décryptage. Avec : Benjamin Hautecouverture, maître de recherche pour la fondation pour la recherche stratégique
durée : 00:48:21 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce samedi 12 avril autour de Victor Matet.
Il fallait avoir le coeur bien accroché cette semaine pour naviguer sur les marchés. Donald Trump continue de donner le tempo. La Chine a décidé de rendre chaque coup. Le président américain s'est également emparé d'un autre dossier délicat : celui du nucléaire iranien. Les discussions directes reprennent avec beaucoup d'incertitude. La mobilisation populaire en faveur du maire d'Istanbul se poursuit. Ekrem Imamoglu est emprisonné depuis 3 semaines. Son procès a été reporté au 16 juin.
Comment la critique internationale a vanté le courage du cinéaste Mohammad Rasoulof pour ce drame familial ? A peine sortie de « Baby Girl », Nicole Kidman est de retour… Mais que raconte « Holland » ? Victor Belmondo, fils de Paul, petit-fils de Bébel, est-il convaincant dans le polar « Bastion 36 » ? Les découvertes musicales de Mardi Follies : Will Smith- Bulletproof Ours - Quand t'arrêtes de pédaler Al Bano & Romina Power – Felicità Pâle regard- Lundi bleu Sheila - Et Dieu Dans Tout ça Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures avec les choix musicaux de Rudy dans leur intégralité sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:25 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - L'Iran se dit ouvert à des négociations indirectes avec les Etats-Unis. Mais peut-on vraiment y croire ? Il faudrait remplir beaucoup de conditions pour que de telles discussions soient productives.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:48:19 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'histoire d'une guerre de l'ombre : celle menée par le Mossad - les services secrets extérieurs israéliens – contre le programme nucléaire iranien.
durée : 00:03:30 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - La proposition de Donald Trump d'une prise de contrôle de Gaza a éclipsé une autre déclaration du président américain, favorable à « un accord de paix » avec l'Iran. Des obstacles demeurent mais la probabilité d'un nouveau compromis a augmenté.
durée : 00:03:23 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Sort aujourd'hui au cinéma le deuxième long-métrage de Maryam Moghaddam et Behtash Sanaeeha, l'histoire d'une septuagénaire qui décide de profiter de la vie, un film dont le tournage contraint fait paradoxalement toute la puissance cinématographique et politique.
C'est parce que toutes les négociations diplomatiques ont échoué que le troisième otage français en Iran a décidé, lundi 13 janvier 2025, de sortir du silence, et de dévoiler son identité. Depuis la terrible prison d'Evin à Téhéran, où il croupit depuis plus de deux ans, Olivier Grondeau a réussi à faire passer un message à Radio France, un émouvant appel à l'aide alors qu'ils sont à bout de forces. Les trois otages français, Olivier Grondeau, mais également l'enseignante Cécile Kohler et son compagnon Jacques Paris, des « otages d'État » dénonce le Quai d'Orsay, sont officiellement emprisonnés pour « espionnage ». L'accusation, toujours la même avec laquelle le régime iranien arrête et emprisonne des citoyens étrangers ou binationaux, pour faire pression sur la communauté internationale. Une stratégie de la « diplomatie des otages » face à laquelle les Occidentaux semblent bien impuissants. Comment sortir de ce bras-de-fer sordide ? Avec : - Chirinne Ardakani, avocate d'Olivier Grondeau, et présidente du collectif Iran Justice - Clément Therme, chargé de cours à l'Université Paul Valéry de Montpellier, auteur de l'article « La diplomatie des otages de Téhéran. Le cas des Européens détenus en Iran », publié sur le site de l'IFRI ( Institut français des relations internationales).
durée : 00:58:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Margaux Leridon - Après l'affaiblissement du Hamas et du Hezbollah, le renversement de Bachar Al-Assad marque la chute d'un nouveau domino de l'axe pro-Iranien et antisioniste au Proche-Orient. Dans ce contexte d'équilibres incertains, la Syrie doit désormais se reconstruire et nouer des alliances. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Bernard Hourcade Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI; Ziad Majed Politiste, professeur à l'Université américaine de Paris ; Iris Lambert Journaliste en Irak et Syrie (Libération, La Croix, Le Soir) et doctorante au CERI (Sciences Po/CNRS)
durée : 00:12:51 - L'invité d'un jour dans le monde - Depuis la chute de Bachar al-Assad, l'ordre international au Moyen-Orient subit de profonds bouleversements. L'investiture prochaine de Donald Trump ne fait qu'ajouter à l'incertitude.
Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/ Loin de l'image véhiculée par les récits de Marco Polo dans le Livre des merveilles ou encore de nos jour par un jeu vidéo au titre évocateur, Les Assassins d'Alamût met en lumière les fondements politiques, culturels et religieux qui ont contribué au développement de la secte chiite des ismaéliens nizarites, appartenant en leur temps à l'islam minoritaire. Au Moyen Âge, en Occident, nombreuses furent les fondations d'ordres religieux. Nous en connaissons bien les règles et la discipline. Pourtant, lorsqu'en Orient, au XIe siècle, un jeune Iranien du nom d'Hassan Sabbah fonde l'ordre des Assassins, ses membres sont très rapidement perçus comme des fanatiques et des meurtriers, et ce au-delà de leur territoire, au-delà même de leur temps, jusqu'à nos jours. Les Assassins, terme qui qualifie en réalité les ismaéliens nizarites, apparaissent à la suite d'une crise de succession qui survient à la mort du calife fatimide al-Mustansir, en 1094. Son fils aîné, Nizar, est écarté du pouvoir, mais en Iran le missionnaire Hassan ibn al-Sabbah lui apporte son soutien. Il organise dès lors un mouvement autour de grands maîtres ayant pris pour base la forteresse d'Alamût, dans le nord de l'Iran actuel. Parfois qualifiée de secte, cet ordre religieux se maintient en Orient malgré la puissance de ses opposants venus de l'Empire seldjoukide. Mais les incursions des Mongols et de leur chef Gengis Khan finissent par faire chuter l'ordre des Assassins. L'auteur : Yves Bomati, historien, spécialiste de l'Iran et auteur de L' Âge d'or de la Perse. L'épopée des Saffavides 1501-1722, rétablit une vision historique de l'ordre des ismaéliens nizarites à travers son ouvrage, Les Assassins d'Alamut (Armand Colin, Paris, 2024, 288 p. 23,90 €). *** Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/ Twitter : https://twitter.com/Storiavoce
Les experts :Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur D'un monde à l'autre (Robert Lafont) Agnès LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO, l'Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient, auteure du Livre noir de Gaza (Seuil) Agnès VAHRAMIAN - Directrice de la radio Franceinfo, ancienne correspondante au Moyen-Orient Mariam PIRZADEH - journaliste à France 24, ancienne correspondante à Téhéran
C dans l'air du 5 octobre - Proche-Orient : un an d'escaladeLe Liban, désormais soumis aux bombardements israéliens du nord au sud. La nuit dernière, Tel Aviv a frappé près de Tripoli, tuant l'un des commandants du Hamas et sa famille. Un an après l'ouverture par le Hezbollah d'un front contre Israël au début de la guerre à Gaza, Tsahal poursuit donc son intensification du conflit au Liban, entamée le 23 septembre. Plus d'un millier de Libanais sont morts depuis cette date, et 1,2 million d'entre eux ont été déplacés, selon les autorités libanaises.Mardi, deux cents missiles iraniens avaient été lancés sur l'Etat hébreu. Une attaque justifiée par les Gardiens de la révolution comme une réaction « à la mort des chefs du Hezbollah et du Hamas ». Un an après le massacre du 7 octobre, l'escalade est donc bien réelle dans la région. La communauté internationale s'inquiète d'une guerre totale.La capacité militaire de l'Iran pose aussi question. Car si son armée est vieillissante, celle-ci a su démontrer sa force cette semaine avec son arsenal de missiles. Mais l'attaque a aussi mis en lumière les limites de la capacité de riposte d'une armée sans aviation, et sans défense antiaérienne ni antibalistique. Selon les renseignements américains, Téhéran ne serait aussi qu'à quelques semaines de disposer de l'arme atomique. Une option possible pour Israël serait donc d'essayer de détruire les installations du programme nucléaire iranien.Pendant ce temps, en Israël, certains citoyens jusque-là pacifistes soutiennent dorénavant la politique guerrière de Benjamin Netanyahu. C dans l'air est allé à la rencontre d'un avocat israélien dont les convictions ont été bouleversées depuis les événements du 7 octobre 2023.Alors, est-on au bord d'une guerre totale au Proche-Orient ? Quelle est la santé réelle de l'armée iranienne ? Un an après les attentats du 7 octobre, comment les événements en cours sont-ils perçus par la société israélienne ? Les experts :Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur D'un monde à l'autre (Robert Lafont) Agnès LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO, l'Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient, auteure du Livre noir de Gaza (Seuil) Agnès VAHRAMIAN - Directrice de la radio Franceinfo, ancienne correspondante au Moyen-Orient Mariam PIRZADEH - journaliste à France 24, ancienne correspondante à Téhéran
En 1090, un jeune Iranien du nom de Hasan Sabbah trouve refuge dans la forteresse d'Alamût et y fonde l'un des Ordres les plus énigmatiques du Moyen Âge : les Assassins. Présentés par leurs ennemis comme de fanatiques meurtriers, ces derniers auraient fait régner la terreur au Moyen-Orient, aussi bien en Perse qu'en Syrie, durant près de deux siècles.Pour lire la réalité derrière le mythe, Yves Bomati interroge les sources occidentales et iraniennes et révèle le fonctionnement de cet Ordre médiéval à la discipline implacable, lié par une culture du secret, une doctrine ésotérique aux hautes valeurs morales et une volonté farouche de défier ses contempteurs.Dans un Moyen-Orient sous tensions, les Assassins se heurtèrent aux assauts répétés des empires concurrents – les Turcs seldjoukides ou encore les Mongols de Gengis Khan – ainsi qu'aux velléités des Croisés qui, dès 1095, poussèrent à la constitution des États latins d'Orient et au contrôle de la Terre sainte.Portant un regard neuf tant sur les plans historique, politique que religieux, Yves Bomati éclaire les dessous trop méconnus de cet Ordre ismaélien qui, à partir de sa chute en 1256, a survécu dans la clandestinité et continue d'exister aujourd'hui dans les actions de ses héritiers spirituels directs, les Aga Khans.Yves Bomati est notre invité pour les Interviews Timeline