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Tipeee : https://fr.tipeee.com/tatami-connexion/Import Fight : https://import-fight.com/?srsltid=AfmBOorPLaRoGMlD5TMi_ToZnEBnkq6Mr3p_RFLl7lU5Idm0R0ySUfQdCode : TATAMI10Bienvenu sur le format actualité MMA et JJB du podcast TATAMI Connexion : Restons Connecté !Chaque semaine nous allons parler des sujets qui anime nos sports et qui attise toutes les conversation !Cette semaine programme chargé avec :- L'UFC Paris officialisé- Gane travaille sa lutte au Bahreïn- Nassourdine répond à Borralho- Chimaev au 317 ?- DDP out ? Chimaev vs Imavov ou Borralho- Baki nous parle des entraînement chez Ott + défend Doumbé- La somme que doit déboursé Netflix pour diffuser l'UFC- Gordon Ryan à la retraite ? + The Ultimate Grappler Bonne écoute !!
Et si le torchons brûlait entre Max Verstappen et Red Bull ? Les performances difficiles de la RB 21, les départs en cascade en interne dont celui très symbolique de Adrian Newey, une brouille avec Christian Horner... Tant de raisons qui pourraient expliquer la tension à l'arrivée du GP de Bahreïn entre Helmut Marko, conseiller spécial de l'écurie autrichienne et Raymond Vermeulen, manager du pilote. Alors que le très sérieux quotidien sportif italien, la Gazzetta dello sport, confirmait ce vendredi une offre record de 264 millions sur 3 ans d'Aston Martin pour le quadruple champion du monde, Mercedes doit-elle tout faire pour tenter de convaincre le néerlandais de rejoindre ses rangs ? Doit-elle sacrifier George Russell ou Andrea Kimi Antonelli ? La firme à l'étoile a-t-elle les moyens de convaincre "Mad Max" de quitter Red Bull pour les rejoindre ? L'équipe de Pole Position vous brief sur tout ce qu'il faut savoir sur la 5ème manche de cette saison 2025 de Formule 1, avant les qualifications et le GP d'Arabie Saoudite.
Aujourd'hui dans GRAND PRIX, retour sur la victoire d'Oscar Piastri au Grand Prix de Bahreïn !
La F1 termine son premier triple-header de la saison en Arabie Saoudite pour la 5e manche du championnat du monde. Un circuit urbain qui a profité à Red Bull lors des 3 dernières années mais l'écurie autrichienne apparait en grande difficulté depuis le dernier Grand Prix de Bahreïn. Max Verstappen a reconnu les difficultés de son team pour rivaliser pour le titre. Christian Horner et Helmut Marko les deux patrons de Red Bull s'inquiètent d'un potentiel départ de leur quadruple champion du monde en fin de saison. Lando Norris, de son côté, doit absolument relever la tête et garder la 1e place du championnat. La pression mise par son coéquipier Oscar Piastri est de plus en plus insistante.
Ensemble, Docdis, Shini et Wicou commentent l'actualité F1, reviennent sur le déroulement du Grand Prix de Bahreïn, distribuent les bons points et les poings dans la gueule, et élisent le move du GP.
Retour sur l'actualité sportive de ces derniers jours avec la course cycliste Paris-Roubaix, le Masters 1000 de Monte Carlo, le GP de formule 1 de Bahreïn, la ligue 1 de football, la ligue des champions et le marathon de Paris.
On revient sur le grand prix de Bahreïn 2025
Retour sur l'actualité sportive de ces derniers jours avec la course cycliste Paris-Roubaix, le Masters 1000 de Monte Carlo, le GP de formule 1 de Bahreïn, la ligue 1 de football, la ligue des champions et le marathon de Paris.
Oscar Piastri remporte sa 2e course de saison, la 4e de sa carrière, après un week-end parfait à Bahreïn. Pour son 50e Grand Prix en carrière, l'Australien a signé la pole position, le meilleur tour en course et remporté la victoire dans un Grand Prix maitrisé de A à Z sans être menacé une seule fois. Et si c'était lui, le grand favori pour le titre mondial ? Lando Norris, son coéquipier, a souffert de la comparaison en accumulant les erreurs. George Russel s'intercale à la 2e place sur sa Mercedes. Grosse performance de Pierre Gasly qui inscrit les premiers points d'Alpine en championnat avec sa 7e place. Son ancien coéquipier Esteban Ocon se hisse lui aussi dans les points pour la deuxième fois de la saison en terminant 8e.
Le Bulletin GP revient sur le Grand Prix de Bahreïn 2025, qui a vu Oscar Piastri remporter sa deuxième victoire de la saison. Son coéquipier chez McLaren, Lando Norris, a terminé troisième dans une course brouillonne. On apprend, en direct, la confirmation de la non-pénalité imposée à George Russell. Débat et réactions à chaud de l'équipe sur cette décision.Suivez-nous sur Facebook, Instagram, Threads et Bluesky (@lebulletingp).Pour rejoindre le groupe Facebook de La Monoplace: https://www.facebook.com/groups/427199868294999/
Avec ses 765km2 de superficie, Bahreïn est le plus petit Etat du golf persique. Il possède néanmoins un circuit et accueille cette saison le quatrième Grand Prix du calendrier. Fabrice Jaton et Luc Domenjoz sont sur place. Ils viennent de rendre l'antenne sur RTS 2 et analysent les qualifications du jour en direct dans Sport Première.
Cette saison 2025 de formule 1 est une nouvelle année de transition pour Alpine, depuis l'annonce d'un nouveau remaniement en cours de saison dernière et l'arrêt des moteurs Renault à fin de celle-ci. Alors que le chassas semble être bien né, des exécutions et stratégies ratées ont coûté des points à Alpine, la seule équipe à ne pas en avoir marqué en ce début de saison. Alors qu'un 4ème week-end pointe le bout de son nez à Bahreïn sur le circuit de Sakhir, Pierre Gasly a allumé la mèche pointant le grave retard de l'unité de puissance française. Dans un contexte brûlant côté pilotes, ou Jack Doohan semble déjà sous pression, Alpine peut-elle débloquer son compteur points ce week-end ? L'équipe de Pole Position vous brief sur tout ce qu'il faut savoir sur la 4ème manche de cette saison 2025 de Formule 1, avant les qualifications et le GP de Bahreïn.
Le Warm-Up du Grand Prix de Bahreïn, 4e manche de la saison. Après le Japon et avant l'Arabie Saoudite, la F1 pose ses valises sur le circuit de Sakhir, lieu des essais hivernaux. Les pilotes connaissent ce tracé par cœur et beaucoup d'écuries, dont la Scuderia Ferrari, vont obtenir leurs premières évolutions sur leur monoplace. McLaren s'avance en favori mais Oscar Piastri a concédé que l'écart tendait à se réduire avec la concurrence. Nicolas Paolorsi, Louis Gerbier et Alexandre Khaldi décortiquent le début de saison difficile de Carlos Sainz. Focus également sur l'absence d'Aston Martin et le début de saison de Kick Sauber.
Les essais hivernaux de Bahreïn laissaient présager d'un léger avantage pour McLaren... Et cette première séance de qualification de la saison à Melbourne a renforcé cette tendance ! Lando Norris et Oscar Piastri ayant relégué la concurrence à près de 4/10èmes sur leur tour rapide, est-ce que McLaren entame cette saison 2025 avec un avantage décisif ? Cette saison que l'on présentait comme l'une des plus excitantes de la l'ère hybride est-elle d'ors et déjà pliée ? Comment les autres écuries et pilotes jugent cette performance des papayes ? Se dirige-t-on vers un duel fratricide entre Norris et Piastri ? Manu, Lucas, Jeremie et Brice vous briefent avant le tout premier Grand Prix de la saison
Dans ce dernier épisode de la grande preview des Pistonnés, Manu, Brice et Hamza font le pointsur la bataille devant pour le titre pilotes et constructeurs. Si McLaren semble ressortir des essais de Bahreïn avec un léger avantage, l'écart avec Red Bull, Ferrari et Mercedes semble assez serrépour nous offrir une lutte folle devant. Max Verstappen et Red Bull sauront-ils résister et conserver le titre pilote ? Hamilton avec Ferrari peut-il aller chercher le 8ème ? Mercedes peut-elle être labonne surprise ? Quid de la lutte interne chez McLaren entre Piastri et Norris ?Programme de l'émission :
Ensemble, Robert, Shini et Wicou commentent l'actualité F1 de cet hiver, reviennent sur le déroulement des essais hivernaux à Bahreïn et pronostiquent leurs top/flop pour le classement James Braddock de fin d'année.
Dans une entrevue exclusive aux Amateurs de Sports, le gardien des Canadiens de Montréal, Samuel Montembeault, partage avec Mario Langlois l’ambiance dans le vestiaire du tricolore. Le Québécois aborde aussi le régime alimentaire d'un gardien de but professionnel. Ce dernier revient sur son expérience à la Confrontation des 4 Nations. Selon lui, les joueurs ont tellement été ravis des installations du CH et de l’ambiance survoltée aux matchs du Centre Bell, au point où ça pourrait influencer des joueurs autonomes à choisir Montréal le moment venu. Saison terminée pour Kirby Dach: l'histoire se répète pour l'attaquant! Encore une fois, une grave blessure au genou droit met fin à la saison de Kirby Dach. Il s'agit de la 3e fois en 3 ans que l'attaquant ne peut disputer une saison complète. Martin McGuire fait le point sur la situation. Sur le même sujet, Antoine Roussel affirme qu’il faudra passer à autre chose dans le cas de Kirby Dach. De plus, à une semaine de la date limite des transactions, comment le stress s'empare-t-il de certains joueurs? La 75e saison de Formule 1 débutera avec des essais au Bahreïn cette fin de semaine. Le coureur Lewis Hamilton y fera ses débuts avec l'écurie Ferrari. Hugues Léger aborde la croissance phénoménale que connaît la F1 qui vaut aujourd'hui les 20 milliards de dollars. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
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Les premiers coups de volants de la saison ont été donnés sur le circuit de Shakir à Bahreïn pour les premiers essais hivernaux de la saison. Le Paddock RMC revient sur les premières tendances observées, les comportements des monoplaces et les différentes stratégies adoptées par les écuries pour ces essais. Tous les regards sont braqués sur Lewis Hamilton qui déchaine les passions pour ses premiers tours avec la Scuderia Ferrari. Le Britannique est l'attraction de ces essais. La FIA a annoncé que 2 arrêts seront désormais obligatoires à Monaco. Une décision prise pour relancer l'attractivité des courses en Principauté et provoquer plus de dépassements. Nicolas Paolorsi, Louis Gerbier et Alexandre Khaldi réagissent cette règle qui ne sera appliquée qu'à Monaco.
La saison 2025 a été lancée en grande pompe dans un show rassemblant plus de 15000 personnes à Londres pour les 75 ans de la Formule 1. Le clou du spectacle a été l'arrivée sur la scène de Charles Leclerc et Lewis Hamilton. Le Britannique a été ovationné comme une rock star. La cohabitation semble pour le moment très saine entre les deux pilotes. Louis Gerbier et Baptiste Crocis reviennent sur cette soirée d'inauguration ainsi que sur le potentiel affiché par les 2 écuries une semaine avant les premiers tests hivernaux à Bahreïn.
« L'avenir de l'Europe se joue en ce moment, s'exclame Libération à Paris : samedi dernier à la Conférence sur la sécurité de Munich, hier lundi au mini-sommet européen de Paris, ce mardi à Riyad lors de la première rencontre de haut niveau depuis trois ans entre responsables américains et russes. Et si, prévient Libération, à la fin de cette semaine, le rapport de force avec les États-Unis et la Russie reste défavorable au Vieux Continent, il faut se préparer à une période d'instabilité et de solitude extrêmement dangereuse, a minima pour les quatre ans à venir. En gros, l'Amérique ne peut plus être considérée comme une alliée ».Malgré tout Libération se veut optimiste :« même s'il est tard, il est encore temps pour les Européens de réagir, de serrer les rangs et bâtir enfin une défense européenne. Le britannique Keir Starmer semble prêt à regagner le giron de l'Europe, Emmanuel Macron a beaucoup de défauts mais c'est un fervent Européen, le futur chancelier allemand ne pourra pas être plus mou qu'Olaf Scholz (espérons que l'extrême droite ne fasse pas une percée surprise dimanche), et la Pologne de Donald Tusk est au taquet, militairement et économiquement ».Divisions…Reste que pour l'instant, les Européens n'arrivent pas à se mettre d'accord… C'est ce que souligne le Corriere Della Sera à Rome. « Le seul succès certain de la journée d'hier est que les onze Européens ont réussi à se réunir rapidement, invités en urgence par le président Emmanuel Macron pour répondre aux diktats américains. Mais la “réunion informelle“ de Paris semble avoir cristallisé, plutôt qu'aplani, les différences ». Notamment sur l'envoi de troupes en Ukraine. « La France et le Royaume-Uni seraient prêts à envoyer une force de 25 à 30 000 hommes, croit savoir le Corriere Della Sera.Mais de nombreux autres pays se montrent réticents : l'Espagne, la Pologne, et surtout l'Italie et l'Allemagne. “Une solution inefficace“, selon la Première ministre Giorgia Meloni, qui souligne que les discussions à Paris ne doivent pas être interprétées comme un “front anti-Trump“. Olaf Scholz est également clair sur l'envoi de soldats européens pour maintenir la paix : “Je pense qu'il est complètement prématuré et inapproprié d'en parler maintenant. Nous ne sommes pas encore en paix, mais au milieu d'une guerre que la Russie mène toujours“ ».Un accord américano-russe d'ici Pâques ?Et pendant ce temps, l'administration Trump appuie sur l'accélérateur… C'est ce que constate Le Soir à Bruxelles : « les émissaires américains, au premier rang desquels le secrétaire d'État Marco Rubio, devraient entamer, ce mardi en Arabie saoudite, des pourparlers inédits avec une délégation russe. Pour Washington, il ne s'agit encore que de poser les “prémices“ d'une future négociation ».Toutefois, « à Washington, on parle d'un accord d'ici Pâques, relève le Süddeutsche Zeitung ; deux mois seraient un délai extrêmement court pour résoudre une tâche aussi complexe, commente le quotidien allemand. Et cela nourrit à nouveau les craintes des Européens que l'administration Trump soit plus intéressée par une solution rapide que par un accord garantissant les besoins de sécurité de l'Ukraine et de l'Europe ». Autre crainte, souligne encore le Süddeutsche Zeitung : « que Trump se laisse marcher sur les pieds par Poutine, comme lors de sa première présidence ».La montée en puissance diplomatique de l'Arabie saouditeEnfin, cette question : pourquoi cette réunion américano-russe se tient à Riyad ? Réponse de La Croix à Paris : « en creux, c'est aussi la montée en puissance stratégique de l'Arabie saoudite de Mohammed Ben Salman que mettent au jour ces pourparlers. Le pays est le principal partenaire arabe des Américains : ils partagent notamment de forts intérêts économiques autour du pétrole dont ils sont, avec la Russie, les plus gros producteurs mondiaux. Mais la pierre angulaire de la relation américano-saoudienne est politique et porte un nom, relève La Croix : les accords d'Abraham. Impulsés par Donald Trump lors de son premier mandat, ils normalisent les relations entre Israël, Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Maroc et le Soudan… Le président américain fait désormais de l'entente entre l'État hébreu et l'Arabie saoudite une priorité ».Toutefois, pointe le journal, « pas sans l'établissement d'un État palestinien viable et durable, répond Riyad, qui accueillera vendredi un sommet arabe pour discuter des alternatives au plan Trump pour Gaza ».
Die heutige Episode hat wieder viel Spaß gemacht. Zu Gast ist Prof. Christoph Kletzer. Ich bin auf ihn gestoßen über einen Artikel in der Presse mit dem Titel »Der humpelnde Staat« — und das soll auch der Titel dieser Episode sein. Prof. Christoph Kletzer ist Professor am King's College London und eine profilierte Stimme in politischen Debatten. »Eine seltsame Krankheit hat unsere europäische Staatsordnung befallen: Sie interessiert sich immer stärker für die kleinsten Details unseres Lebens, wird immer einfallsreicher bei der Tiefenregulierung des Alltags, lässt uns aber mit unseren brennendsten Nöten allein.« Wir beginnen mit der Frage nach den immer stärker werdenden staatlichen Eingriffen. Welche Beispiele kann man dafür nennen? »Im Grunde haben wir alle so kleine Sandboxen, in denen wir spielen dürfen« Und dennoch verlieren viele der westlichen Staaten zunehmend die Fähigkeiten, ihre Kernaufgaben zu erfüllen. Erleben wir in den vergangenen Jahrzehnten einen zunehmenden Illiberalismus? Das Ganze scheint gepaart zu sein mit einer wachsenden Moralisierung aller möglichen Lebensbereiche. »Die Unfähigkeit im Großen wird durch aggressiven Kleingeist kompensiert.« Was ist die Rolle der einzelnen Akteure und des Systems? »Die Funktion des Systems ist das, was es tut« — »The purpose of a system is what it does«, Stafford Beer Woher kommt dieses Verrutschen des staatlichen Fokus? »Machtlosigkeit im Inneren wird mit technokratischem Verwaltungsstaatshandeln kompensiert. Das ist zum Teil in die DNA der Europäischen Union eingeschrieben.« Sie wird als Neo-Funktionalismus bezeichnet. Was bedeutet dies? Wurden wir in eine politische Einheit geschummelt? Wer hat eigentlich welche Kompetenz und wer trägt für welche Entscheidungen konkret Verantwortung? »Das wirkt mir eher nach FIFA als nach einem demokratischen System.« Oder wie der Komplexitätsforscher Peter Kruse es ausgedrückt hat: »In einem Krabbenkorb herrscht immer eine Mordsdynamik, aber bei genauerem Hinsehen stellt man fest, dass eigentlich nichts richtig vorwärtsgeht.« Wie kann man komplexe Systeme strukturieren oder Ordnung in komplexe Systeme bringen? Gibt es einen verfassungsrechtlichen Geburtsfehler in der EU? Kann man diesen noch beheben? Wird das Problem überhaupt diskutiert? Welche Rolle spielen Preise in der Selbstorganisation komplexer Wirtschaften? Kann Innovation als Arbitrage betrachtet werden? Wie viel kann bei einer komplexen Einheit wie der EU zentral gesteuert werden und wie viel muss sich durch selbstorganisierende Phänomene gestalten lassen? Sollten wir bei Kernaufgaben (was sind diese?) zentralistischer handeln und mehr Staat haben, aber beim Rest viel weniger Staat zulassen? Was können wir von der Situation in Argentinien und Javier Milei lernen? Warum sind Preiskontrollen fast immer eine verheerende Idee? Gleiten Top-Down organisierte, etatistische Systeme immer in Totalitarismus ab? Was sind Interventionsspiralen, wie entstehen sie und wie kann man sie vermeiden? Erleben wir eine Auflösung der regelbasierten globalen Ordnung und wie ist das zu bewerten, vor allem auch aus europäischer Perspektive? Werden wir vom Aufschwung, der aus Nationen wie den USA oder Argentinien kommt, überrollt; haben wir mit unserer Trägheit hier überhaupt noch eine Chance, mitzukommen? Gibt es eine »Angst vor Groß« in Europa? Dafür aber dominieren Sendungsbewusstsein und Hochmut? Wie spielt diese Angst zusammen mit einer der aktuell größten technologischen Veränderungen, der künstlichen Intelligenz? Haben wir es im politischen und bürokratischen Systemen mit einer Destillation der Inkompetenz zu tun? Oder liegt das Problem eher bei einer Politisierung der Justiz? »Die künftige Konfliktlage ist zwischen Justiz und Parlament.« Wer regiert eigentlich unsere Nationen? Politik oder »Deep State«? War der »Marsch durch die Institutionen« erfolgreich und hat unsere Nationen nachhaltig beschädigt? Wer hat eigentlich den Anreiz, in die öffentliche Verwaltung zu gehen? Braucht es die überschießende Rhetorik von Milei, um überhaupt eine Chance zu haben, den Stillstand zu beenden? »By liberty, was meant protection against the tyranny of the political rulers.«, John Stuart Mill Erleben wir eine Umkehrung der hart erkämpften Werte der Aktivisten des 19. und frühen 20. Jahrhunderts? Ist der Schutz von Politikern wichtiger als die freie Meinungsäußerung? Wo sind wir hingeraten? Was bedeutet Liberalismus überhaupt und wie hat sich der Begriff verändert? Wie setzt sich der liberale Staat gegen seine Feinde zur Wehr? Aber wer entscheidet, wer der Feind ist Wie weit kann der Staat »neutral« bleiben, wie weit muss er Werte haben? Von der Wiege bis zur Bahre, vom Staat bevormundet? Ist das dann zu viel? Oder wollen das viele wirklich? »Die Schwierigkeit der Menschen, erwachsen zu werden, ist auch ein Wohlstandsphänomen. Der Wohlstand, den wir haben, führt auch zum ewigen Kind.« Aber dazu kommt noch eine weitere Dimension: »Auch die Hypermoral ist ja eine infantile Geschichte.« Woher kommen eigentlich die großen Veränderungen im späten 20. und 21. Jahrhundert? »Die neue Revolution ist nicht ausgegangen von der Arbeiterschaft, sondern von der administrativen Elite«, James Burnham Schafft der administrative Staat immer neue Situationen, die immer neue Eingriffe notwendig machen und die eigene Macht verstärken? Werden also immer neue paternalistische Strukturen notwendig, um die Probleme zu »lösen«, die selbst zuvor verursacht wurden? Und diese Problemlösung erzeugt wieder neue Probleme, die … Ist das Lösen der Probleme im Sinne der Machtstruktur gar nicht wünschenswert? Trifft dies nicht nur auf politische, sondern auch auf andere Organisationsstrukturen zu? Was ist die »eisige Nacht der polaren Kälte« nach Max Weber? Kann man eine Bürokratie der Debürokratisierung und damit eine Multiplikation des Problems vermeiden? Lässt sich dieses Dilemma rational, vernünftig lösen oder stecken wir hier in der Pathologie der Rationalität fest? Braucht es einen Clown, um den gordischen Knoten durchzuschlagen? Aber steckt in dieser Irrationalität nicht auch eine Gefahr? Welches unbekannte Know-how steckt — nach konservativer Logik — in den etablierten Strukturen? Stehen wir vor der Wahl einer tödlichen Verfettung oder einer gefährlichen Operation? Was wählen wir? Welches Hindernis stellt Statusdenken und Verhaften in Hierarchien dar? Signalisierung vor Bedeutung? Hilft das Denken von Foucault, um diese Problemlagen besser zu verstehen? »Academia has a tendency, when unchecked (from lack of skin in the game), to evolve into a ritualistic self-referential publishing game.«, Nassim Taleb Spielen wir in der Wissenschaft Cargo-Kult im 21. Jahrhundert? »Wenn man nur die richtigen Wörter sagt [passend zum jeweiligen Kult], dann ist es schon wahr.« Und der Cargo-Kult applaudiert. »Status können wir in Europa. Und Status ist per definitionem Abwendung von Realität.« Wie gehen wir in die Zukunft? »Ich bin für den Einzelnen optimistisch, fürs Kollektiv weniger.« Referenzen Andere Episoden Episode 111: Macht. Ein Gespräch mit Christine Bauer-Jelinek Episode 107: How to Organise Complex Societies? A Conversation with Johan Norberg Episode 106: Wissenschaft als Ersatzreligion? Ein Gespräch mit Manfred Glauninger Episode 103: Schwarze Schwäne in Extremistan; die Welt des Nassim Taleb, ein Gespräch mit Ralph Zlabinger Episode 99: Entkopplung, Kopplung, Rückkopplung Episode 96: Ist der heutigen Welt nur mehr mit Komödie beizukommen? Ein Gespräch mit Vince Ebert Episode 95: Geopolitik und Militär, ein Gespräch mit Brigadier Prof. Walter Feichtinger Episode 88: Liberalismus und Freiheitsgrade, ein Gespräch mit Prof. Christoph Möllers Episode 77: Freie Privatstädte, ein Gespräch mit Dr. Titus Gebel Episode 72: Scheitern an komplexen Problemen? Wissenschaft, Sprache und Gesellschaft — Ein Gespräch mit Jan David Zimmermann Christoph Kletzer Kings College X Fachliche Referenzen Christoph Kletzer, Presse Kommentar, Der humpelnde Staat: So geht sicher nichts weiter (2024) Stafford Beer, The Heart of Enterprise, Wiley (1979) Thomas Sowell, intellectuals and Society, Basic Books (2010) Friedrich von Hayek, The Road to Serfdom, Routledge (1944) John Stuart Mill, On Liberty (1859) David Graeber, The Dawn of Everything, A New History of Humanity, Farrar, Strauss and Giroux (2021) Max Weber, Politik als Beruf (1919) Nassim Taleb, Skin in the Game, Penguin (2018) Steven Brindle, Brunel: The Man Who Built the World, W&N (2006)
ADHS begleitet uns von der Wiege bis zur Bahre. In dieser Episode erfahren wir von Christina, 51, wie sich das Syndrom im Erwachsenenalter äußern kann - v.a. wenn es im Kindes- und Jugendalter unentdeckt geblieben ist.Schwerpunkte dieser Episode sind u.a:Warum es oft die Diagnose unserer Kinder ist, die uns auf den eigenen Diagnoseweg bringt.Was ADHS für die berufliche Laufbahn bedeuten kann.Wie die ADHS die Partnerwahl beeinflussen kann.Links und RessourcenLeitfaden-PDF zu dieser Folge: https://adhshilfe.net/kristinaADHS-Family Elterntraining (Aufbau, Inhalt und Anmeldung): www.adhshilfe.net/kursPodcast 29 zum ADHS-Family-Kurs (Elterntraining): https://adhshilfe.net/29-der-adhs-family-online-kurs/Webinaraufzeichnung: www.adhshilfe.net/webinaraufzeichnungMeine Telefonnummer: 0043 676 495 84 65Nummern zu anderen Erwachsenen-Podcasts: 58-62, 70, 79-81, 158, 183, 184Weitere RessourcenGehirnvideo: https://adhshilfe.net/gehirnvideo/ADHS kindgerecht erklärt:https://adhshilfe.net/symptome-und-staerken-video/Lehrervideo - https://adhshilfe.net/lehrervideoADHS-Family-Kurs - https://adhshilfe.net/kursVideo “Aushandeln von Regeln und Grenzen“ - https://www.facebook.com/adhsfamily/videos/446265270073258YoutubeNewsletterInstagramADHS Family Facebook Seite
Spieleveteranen-Episode #386 (48-2024) Besetzung: Heinrich Lenhardt und Jörg Langer begrüßen Gastveteran Sebastian Gerstl Aufnahmedatum: 19.11.2024 Laufzeit: 1:37:47 Stunden (0:00:15 News & Smalltalk – 0:44:50 Speedball 2: Brutal Deluxe) Fairplay ist überbewertet: Statt bunter Karten gibt's Bonuspunkte, wenn man bei Speedball 2 Gegenspieler auf die Bahre befördert. Hinter der rauen Schale steckt ein faszinierender spielerischer Kern, die rasante Sportart der Zukunft packt enorm viel Action in 2 x 90 Sekunden Matchlänge. Was ist die Erfolgsformel des Kultspiels der Bitmap Brothers, wie viel Spaß macht die Amiga-Version heute noch? Die Spieleveteranen-Altherrenmannschaft wird durch Sebastian »Unchained« Gerstl verstärkt, der sich an intensive Kollegstufen-Turniere erinnert und auch von der jüngsten Speedball-Neuauflage berichtet. Bevor die Eisverkäufer ins Stadion gelassen werden, diskutieren wir zu Beginn der Sendung bemerkenswerte News, Spieleneuheiten und Hörerpost-Erkenntnisse. Unterstützt die Spieleveteranen und hört das volle Programm: https://www.patreon.com/spieleveteranen 0:00:15 News & Smalltalk 0:04:08 Gemischte News: Valve feiert das Half-Life 2-Jubiläum mit Update und Dokumentation, bei Xbox denkt man (immer noch) über Mobil-Hardware nach, Blizzard belädt die Warcraft Remastered Battle Chest, Epic gibt Community-Versionen von Unreal und Unreal Tournament seinen Segen. 0:18:59 Was haben wir zuletzt gespielt? STALKER 2: Heart of Chornobyl, Little Big Adventure: Twinsen's Quest (Demo). 0:35:01 Hörerpost von Oliver Klee (hier der Link zum Spiegel-Artikel über schwedische Personalpronomen). 0:38:15 Wir begrüßen Gastveteran Sebastian Gerstl, der sich derzeit mit Fallout London und Billy the Kid beschäftigt. 0:44:50 Das alte Spiel: Speedball 2 – Brutal Deluxe 0:45:10 Bereits 1988 eröffneten die Bitmap Brothers ihre erste Speedball-Arena. Zwei Jahre später folgte der verbesserte Nachfolger, der längst als Amiga-Kultspiel gilt – warum eigentlich? 0:56:09 Deluxe-Spaß gibt es vor allem im Zwei-Spieler-Modus, Solo-Speedballer werden durch Liga-Modus und Team-Management motiviert. 1:11:18 Bislang konnte keine Neuauflage dem 1990-Spiel das Wasser reichen. Was ist Sebastians erster Eindruck vom 2024-Speedball, das seit kurzem im Early Access erhältlich ist? 1:22:08 Der historische Pressespiegel mit einem Wertungsmysterium, gefolgt vom Veteranenfazit. 1:35:21 Abspann.
Porsche, titré chez les Pilotes, Toyota chez les Constructeurs en Hypercar au terme d'une saison qui a aussi vu Ferrari remporter les 24 Heures du Mans : tout le monde est-il content après la finale du WEC à Bahreïn ? Endurance-Info revient sur les 8 Heures disputées sur le circuit de Sakhir, et qui ont vu Toyota et Vista AF Corse épingler les derniers succès 2024.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Grand Prix de Sao Paulo a donné un lieu à un scénario à rebondissement à cause de conditions dantesques. Une nouvelle masterclass de Max Verstappen, un double podium inattendu d'Esteban Ocon et de Pierre Gasly, et un septuple champion du monde en perdition : c'est l'heure du debrief du Grand Prix de F1dans les Fous du Volant Pour ce 20e épisode de la saison, Gilles Della Posta et Stéphane Vrignaud reçoivent également un invité exceptionnel Kevin Estre, le champion du monde d'endurance 2024. Le Français a été titré ce week-end lors des 8 heures de Bahreïn avec la Porsche 923 n°6 aux côtés d'André Lotterer et de Laurens Vanthoor.Bonne écoute !Présentation : Gilles Della Posta et Stéphane Vrignaud - Réalisation : Marion Rabot - Graphisme : Marko PopovicEcoutez d'autres épisodes des Fous du Volant en vous abonnant sur Apple Podcasts et retrouvez les meilleurs moments de ce podcast en extraits vidéo sur Eurosport.fr. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Der Sachverständigenrat Wirtschaft empfiehlt eine staatliche geförderte „Aktienkultur“ von der Wiege bis zur Bahre. Erste Gehversuche auf dem Kapitalmarkt sollen dafür selbst die Kleinsten der Gesellschaft machen. Damit später auch ja keiner mehr auf dumme Gedanken kommt, etwa den, das irre Geld- und Giersystem infrage zu stellen. Ein Schmähstück von Ralf Wurzbacher. Dieser Beitrag istWeiterlesen
18. Sonntag nach Pfingsten Von der Stadt Jesu, dem würdigen Kommunionempfang und dem Kapharnaum meines Herzens. Heute mit P. Korbinian Mendler FSSP. Evangelium: Mt. 9, 1-8 In jener Zeit stieg Jesus in ein Boot, fuhr über den See und kam in seine Stadt. Und siehe, da brachten sie zu ihm einen Gelähmten, der auf einer Bahre lag. Als Jesus ihren Glauben sah, sagte er zu dem Gelähmten: Sei getrost, mein Sohn, deine Sünden sind dir vergeben. Und siehe, da sprachen einige der Schriftgelehrten bei sich: Dieser lästert! Als Jesus ihre Gedanken sah, sagte er: Warum denkt ihr Böses in euren Herzen? Was ist leichter zu sagen: Deine Sünden sind dir vergeben, oder zu sagen: Steh auf und geh umher? Damit ihr aber wisst, dass der Menschensohn die Vollmacht hat, auf Erden Sünden zu vergeben – da sprach er zu dem Gelähmten: Steh auf, nimm deine Bahre und geh nach Hause! Und er stand auf und ging nach Hause. Als aber die Scharen dies sahen, wurden sie von Furcht ergriffen und verherrlichten Gott, der den Menschen solche Macht gegeben hat. - - - Follow / Folgen: Telegram: https://t.me/FSSP_PodcastSpotify: https://spoti.fi/3GNH1nI YouTube: http://bit.ly/3kXm9SGApple Podcast: https://bit.ly/3MH6cfnAmazon Music: https://amzn.to/3L0sp6T
In jener Zeit kam Jesus in eine Stadt namens Nain; seine Jünger und eine große Volksmenge folgten ihm. Als er in die Nähe des Stadttors kam, siehe, da trug man einen Toten heraus.Es war der einzige Sohn seiner Mutter, einer Witwe. Und viele Leute aus der Stadt begleiteten sie.Als der Herr die Frau sah, hatte er Mitleid mit ihr und sagte zu ihr: Weine nicht! Und er trat heran und berührte die Bahre. Die Träger blieben stehen und er sagte: Jüngling, ich sage dir: Steh auf Da setzte sich der Tote auf und begann zu sprechen und Jesus gab ihn seiner Mutter zurück. Alle wurden von Furcht ergriffen; sie priesen Gott und sagten: Ein großer Prophet ist unter uns erweckt worden: Gott hat sein Volk heimgesucht. Und diese Kunde über ihn verbreitete sich überall in Judäa und im ganzen Gebiet ringsum. (© Ständige Kommission für die Herausgabe der gemeinsamen liturgischen Bücher im deutschen Sprachgebiet)
In jener Zeit kam Jesus in eine Stadt namens Nain; seine Jünger und eine große Volksmenge folgten ihm. Als er in die Nähe des Stadttors kam, siehe, da trug man einen Toten heraus. Es war der einzige Sohn seiner Mutter, einer Witwe. Und viele Leute aus der Stadt begleiteten sie. Als der Herr die Frau sah, hatte er Mitleid mit ihr und sagte zu ihr: Weine nicht! Und er trat heran und berührte die Bahre. Die Träger blieben stehen und er sagte: Jüngling, ich sage dir: Steh auf Da setzte sich der Tote auf und begann zu sprechen und Jesus gab ihn seiner Mutter zurück. Alle wurden von Furcht ergriffen; sie priesen Gott und sagten: Ein großer Prophet ist unter uns erweckt worden: Gott hat sein Volk heimgesucht. Und diese Kunde über ihn verbreitete sich überall in Judäa und im ganzen Gebiet ringsum. (© Ständige Kommission für die Herausgabe der gemeinsamen liturgischen Bücher im deutschen Sprachgebiet)
15. Sonntag nach Pfingsten Vom Ende unserer weltlichen Güter, dem Tod der Seele und der Bewahrung vor dem ewigen Tod. Heute mit P. Alexander Mayer FSSP. Evangelium: Lk. 7, 11-16 In jener Zeit ging Jesus in eine Stadt namens Naim, und mit ihm gingen seine Jünger und eine große Schar. Als er sich dem Stadttor näherte, siehe, da trug man einen Toten hinaus, den einzigen Sohn seiner Mutter, die Witwe war, und viel Volk aus der Stadt war bei ihr. Als der Herr sie sah, wurde er von Erbarmen bewegt und sagte zu ihr: Weine nicht! Dann trat er hinzu und rührte die Bahre an. (Jene aber, die sie trugen, standen still.) Und er sprach: Jüngling, ich sage dir: Steh auf! Da richtete sich der Tote auf und begann zu reden, und er gab ihn seiner Mutter zurück. Nun wurden alle von Furcht ergriffen. Sie verherrlichten Gott und sagten: Ein großer Prophet ist unter uns aufgestanden, und Gott hat sein Volk heimgesucht. - - - Follow / Folgen: Telegram: https://t.me/FSSP_PodcastSpotify: https://spoti.fi/3GNH1nI YouTube: http://bit.ly/3kXm9SGApple Podcast: https://bit.ly/3MH6cfnAmazon Music: https://amzn.to/3L0sp6T
Onze médailles pour le Kenya : quatre médailles d'or, deux d'argent et cinq de bronze. Toutes gagnées en athlétisme. Les coureurs olympiques de ce pays d'Afrique de l'Est repartent de Paris victorieux. Sur place, les Kényans ont suivi leur performance avec fierté, malgré quelques déceptions. De notre correspondante à Nairobi, Des cris de joie dans ce bar de Nairobi. Benson Kipruto vient de finir le marathon en troisième position. Une médaille de bronze acclamée par les Kényans rassemblés pour suivre l'épreuve olympique. Wevin est venue avec son club de course à pied. « C'est sympa de le regarder avec d'autres coureurs et aussi de reconnaître la difficulté de l'épreuve, raconte-t-il. Je viens de courir 10 kilomètres, c'était fatigant, je ne me vois pas en faire 42 ! Pour moi, chaque Kényan qui participe aux JO est une superstar. Qu'ils gagnent une médaille ou non, ils font de leur mieux ! »Parmi les fiertés pour le Kenya : Faith Kipyegon qui a remporté sa troisième médaille d'or sur le 1 500 mètres. Ou Beatrice Chebet qui a fait un doublé en or sur le 5 000 et le 10 000m. Mais pour beaucoup, comme Georgette, il y a une déception sur le marathon. « J'espérais que Kipchoge puisse gagner, déplore-t-elle. Le marathon pour nous Kényans, c'est notre épreuve. On repart avec le bronze, c'est mieux que rien. »Eliud Kipchoge, double champion olympique du marathon à Rio et Tokyo, espérait remporter sa troisième médaille d'or. Il a finalement abandonné au trentième kilomètre, citant une douleur dans le dos. Njeri Wangari comprend : le parcours était difficile... Pour ces jeux, elle a un autre regret. « Ce que je trouve dommage, c'est que nous avons des athlètes qui ont les capacités de représenter le Kenya dans des compétitions internationales, mais à qui on ne donne pas une chance, regrette-t-elle. Un bon exemple, c'est l'athlète, Winfred Mutile Yavi. Elle est Kényane, mais elle n'a jamais été sélectionnée pour l'équipe nationale, ce qui l'a poussé à obtenir la nationalité de Bahreïn. Et elle a gagné une médaille d'or. C'était douloureux de regarder une compatriote kényane monter sur le podium pour un autre pays. »En cause : une rude compétition pour l'athlétisme au Kenya. D'autres ont tenté leur chance ailleurs. En escrime, rugby, volleyball ou encore lancer de javelot. Anthony a suivi les épreuves de près : « C'était la première fois que le Kenya était représenté en escrime, il y a des enfants qui voient ça, ça leur donne envie. Il y a aussi Julius Yego qui a très bien performé et est arrivé cinquième sur le lancer de javelot. Voir ces sports sur lesquels nous n'avions pas forcément misé avant être représenté, nous prouve que nous pouvons évoluer. Nous aurons plus de diversité aux prochains Jeux olympiques. »Pour le moment, sur les réseaux sociaux, les messages de félicitations affluent pour les médaillés.À lire aussiJO 2024: la Kényane Faith Kipyegon entre dans l'histoire avec une 3e médaille d'or sur 1 500m
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
Un PIB multiplié par cinq en 20 ans, une politique d'investissements géants, une diversification économique tous azimuts : les Émirats Arabes Unis et leur fleuron Dubaï sont devenus une puissance majeure au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe. RFI vous propose un dossier spécial avec deux émissions tournées dans cette ville en pleine expansion et qui tente de répondre aux nombreuses critiques notamment sur son opacité financière ainsi que sur sa dépendance aux hydrocarbures. La première de ces deux émissions s'intéresse aux investissements de grande ampleur passés, en cours ou à venir aux Émirats arabes unis et plus largement dans les États du Golfe, notamment l'Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, Bahreïn, le Koweït ou l'Irak. Parmi leurs grands partenaires, la France dont de nombreuses entreprises ont décidé de se lancer sur ces marchés attractifs bien que très concurrentiels. À l'occasion du sommet Vision Golfe, les 4 et 5 juin 2024 au ministère de l'Économie à Paris, nous avons décidé de leur donner la parole pour qu'elles expliquent leur choix, leurs réussites mais aussi leurs difficultés pour s'implanter dans cette région, malgré les risques géopolitiques.NOS INVITÉS :- Axel Baroux, directeur de Business France pour le Proche et le Moyen-Orient- Pascal Dufour, vice-président de Digital Virgo chargé du Moyen-Orient, de la Turquie et de l'Afrique du Nord- Valérie Hawley, directrice du Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de l'Université Sorbonne - Abu Dhabi (SCAI).Transition énergétique, finance, fiscalité, tourisme, technologie, recherche, recrutement de talents : les sujets sont multiples pour cet échange rythmé par plusieurs témoignages d'acteurs économiques installés aux Emirats arabes Unis : François Dao (vice-président d'EDF Renouvelables pour la région Moyen-Orient et Afrique), Geoffrey Bunetel (directeur de cabinet du président du Groupe Chalhoub), Nathalie Martial-Braz, vice-chancelière de l'Université Paris Sorbonne Abu Dhabi, Zakaria Elabid (étudiant-chercheur au Centre de recherche sur l'Intelligence artificielle de la Sorbonne Abu-Dhabi).Cette émission enregistrée dans les locaux de Business France est l'un des éléments d'un large dossier que vous propose RFI à l'occasion de Vision Golfe. Reportages, analyses et vidéos pour comprendre comment Dubaï est devenue un hub économique incontournable, au carrefour de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique. Le samedi 1er juin 2024, Éco d'ici Éco d'ailleurs sera ainsi totalement consacré aux liens économiques entre Dubaï et le continent africain.
durée : 00:05:37 - La Revue de presse internationale - par : Éloïse Roger - Le roi de Bahreïn, Hamad ben Issa Al Khalifa, a gracié près de 1 600 prisonniers politiques la veille de l'Aïd El-Fitr. Une décision saluée mais jugée insuffisante pour l'opposition.
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Profitez de l'offre de nos partenaires : https://nordvpn.com/orlf1Les essais hivernaux qui sont tenus sur le circuit de Bahreïn nous permettent-ils - déjà - d'établir une hiérarchie ?Une chose est sûre, RedBull ne semble pas prêt à mettre fin à sa domination. Sa nouvelle voiture a aligné les meilleurs temps, elle qui adopte le concept de zéro pontons, un camouflet pour Mercedes qui a été la première écurie à l'expérimenter avant de l'abandonner …Où en est la concurrence et notamment Ferrari, avec la signature surprise d'Hamilton l'année prochaine ? Qui pour le remplacer chez Mercedes ? Où en est Alpine ? Et enfin retour sur le Horner Gate, le patron de Red Bull est-il sur la sellette ? Débats !Avec Eric Boullier, Fabrice Marsella, Guillaume Pommier, Alain Di Duca, Laurent Pantanacce & Olivier Frigara !Rendez-vous chaque lundi après chaque Grand Prix sur YouTube pour découvrir une nouvelle émission ! #ORLF1 #formule1 #f1 #formula1 #bahrain #bahreingp Tous nos liens :
Sans surprise Max Verstappen a remporté la première course de la saison à Bahreïn. Si Red Bull domine déjà la concurrence du côté sportif, l'écurie autrichienne est en crise avec l'affaire Horner qui agite le paddock. A l'autre bout du classement, Alpine est toujours en éternelle restructuration suite à un résultat catastrophique pour l'écurie française. Dans ce nouvel épisode des Fous du Volant, on débriefera aussi de la première manche du championnat d'endurance.Pour commencer, l'affaire Christian Horner est loin d'être terminé alors que l'écurie autrichienne a dominé la première manche de la saison 2024, Jos Verstappen à réclamer le départ du patron de Red Bull samedi à l'issue de la course. La guerre des clans a débuté entre la famille Verstappen et Horner. Mercedes pourra-t-elle en profiter ? Eléments de réponse avec Gilles Della Posta et Stéphane Vrignaud.Dans la deuxième partie, nouveaux changements organisationnels chez Alpine après la manche inaugurale de la saison 2024 à Bahreïn. Avec une monoplace mal née, Esteban Ocon et Pierre Gasly n'ont pas pu faire mieux que la 17e et 18e place. L'écurie française a réagi en restructurant de nouveau ses équipes techniques. Analyse de la situation d'Alpine dans le nouvel épisode des Fous du Volant.Pour finir, nos journalistes débriefent les 1812km du Qatar. Porsche a triomphé avec un premier triplé cette saison en endurance après l'abandon de la Peugeot de Jean-Éric Vergne en toute fin d'épreuve. Ferrari et Toyota sont un peu plus bas au classement mais attention aux deux constructeurs qui pourraient revenir aux avant-postes. Bienvenue dans le deuxième épisode des Fous du Volant 2024 et bonne écoute !Présentation : Gilles Della Posta et Stéphane Vrignaud - Réalisation : Marion Rabot - Graphisme : Quentin Guichard Ecoutez d'autres épisodes des Fous du Volant en vous abonnant sur Apple Podcasts. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la lignée de la saison dernière, Max Verstappen a remporté le premier Grand Prix de la saison à Bahreïn. Seul au monde, le Néerlandais devance son coéquipier Sergio Perez.Verstappen est-il déjà imbattable ? Retour sur le premier Grand Prix de la saison ! Casting de l'épisode : Nicolas Paolorsi, Jean-Luc Roy et Paul Laffite
Stéphane Bern raconte, à la veille de la reprise du championnat du monde de Formule 1 au Bahreïn, celui qui en fut le premier “maestro”, un pilote argentin qui n'avait peur de rien et qui s'est pris pour celui qu'il était. Ou la véritable histoire de Fangio, le premier numéro 1 de la Formule1… Quelle place Fangio a-t-il dans l'histoire du sport automobile ? Comment est-il devenu quintuple champion du monde de Formule 1 ? Quel homme se cachait derrière les titres et la légende ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Sylvain Reisser, journaliste automobile et auteur de "Les mille vies de Fangio" (Editions du Rocher).
C'est un effet inattendu des tensions en mer Rouge : une société israélienne associée à un partenaire émirien lance une nouvelle route commerciale terrestre pour contourner le canal de Suez. Elle relie Dubaï à Haïfa en traversant l'Arabie saoudite et la Jordanie. C'était un rêve des Israéliens. Un rêve qui butait sur la quasi-absence des relations diplomatiques entre l'État hébreu et l'ensemble des pays du Golfe. La startup israélienne Trucknet met en relation transporteurs et exportateurs, elle y pense depuis longtemps. Elle avait même un projet pilote dans ses cartons. Les attaques des Houthis lui ont donné de bonnes raisons de passer à la vitesse supérieure. Elle signe en décembre un accord de coopération avec le transporteur émirien Puretrans. Dans la foulée, une dizaine de camions empruntent ce corridor terrestre, avec la bénédiction des autorités émiraties, jordaniennes et saoudiennes, malgré les tensions causées par la guerre dans la bande de Gaza. L'essai est concluant, Trucknet met aussi à la disposition de ses clients un transporteur égyptien et un autre basé à Bahreïn.Une route alternative favorable aux intérêts israéliensCette route alternative évitant l'Égypte est une voie royale pour développer le port d'Haïfa, qui revendique un titre de porte d'entrée vers l'Europe. C'est aussi un moyen d'approfondir l'intégration économique avec les pays du Golfe. Cette route avait d'ailleurs été évoquée au moment de la signature des accords d'Abraham entre l'État hébreu et les Émirats arabes unis. Les pays voisins ont aussi beaucoup à gagner. En droits de douane pour les Émiriens et les Saoudiens et en accès élargi pour la Jordanie. Le Liban aimerait aussi profiter de cette nouvelle voie d'approvisionnement. L'armateur Hapag Llyod, le numéro 5 mondial, croit lui aussi au bienfait de la route pour désenclaver les ports saoudiens de la mer rouge. Il pourrait mettre en service une ligne reliant Dubaï à Jeddah, aujourd'hui coupée du monde à cause des tirs des Houthis.Une concurrence pour le canal de SuezTant que les Houthis menacent les navires passant par la mer Rouge, ce corridor est un « rival » du canal de Suez. Parce que le voyage ne dure que 3 à 4 jours, au lieu de 10 par la mer, voire beaucoup plus si les cargos doivent contourner l'Afrique. Parce que le coût est aujourd'hui cinq fois moins cher que par la voie maritime, plombée par les primes de risque. Cette route express convient bien à des produits de petites tailles comme les produits électroniques ou des denrées périssables, les fruits et légumes que les Israéliens expédient en Orient par exemple. À condition que la sécurité soit garantie. Jusqu'à maintenant les Houthis évitent de cibler les bateaux émiriens ou saoudiens, ils pourraient changer d'avis. Sur le long terme, la voie maritime et le canal de Suez demeurent la meilleure solution, en coût et en accès, surtout pour des marchandises difficiles à transporter par camion comme le pétrole ou le gaz.
C dans l'air l'invité du 25 janvier 2024 - Louis Colart, journaliste au pôle Enquêtes du Soir, co-auteur de “Qatargate”, aux éditions Harper Collins. L'affaire du Qatargate a éclaté pendant le Mondial de rugby en 2022 qui se déroulait au Qatar. Dans une enquête publiée chez Harper Collins, Louis Colart et Joël Matriche reviennent sur ce scandale de corruption dans lequel des parlementaires de différents bords politiques et diverses nationalités sont impliqués dans cette affaire. Ils démontrent les rouages de cette organisation clandestine et de ce trafic d'influence en plein cœur de l'Europe. Tout commence cinq ans avant le Mondial de football 2022, quand le Qatar se retrouve isolé, face une coalition emmenée par les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite (rejointe par le Bahreïn et l'Égypte) qui lui impose un blocus diplomatique et économique. À partir de ce moment là, au sein des institutions européennes, il existait donc un réseau impliquant un lobbyiste, plusieurs parlementaires européens et assistants parlementaires qui travaillant de manière clandestine afin d'influencer les décisions du Parlement européen en faveur du Qatar. Louis Colart est journaliste au pôle Enquêtes du Soir. Il publie "Qatargate", aux éditions Harper Collins. Il reviendra que ce scandale de corruption qui a éclaté en plein cœur de l'Europe.
La plupart des experts sont d'accord pour dire que l'attaque du Hamas contre Israël a également été motivée pour torpiller l'extension des accords d'Abraham. Ces accords de paix négociés avec des pays comme le Maroc, mais également les Émirats arabes unis et Bahreïn. Ces accords historiques de paix devaient normalement s'élargir à l'Arabie saoudite. Et si l'attaque du Hamas n'avait pas eu lieu, cela aurait signifié qu'Israël aurait été en paix avec toutes les monarchies du Golfe et d'ailleurs. Ce rapprochement effectué dans le cadre de ces accords n'a pu se faire que parce que ces pays ont un ennemi commun avec Israël, à savoir l'Iran. l'Iran a donc un intérêt objectif à faire capoter ce rapprochement, puisque la répression d'Israël l'empêchera automatiquement. Le Hamas et l'Iran ont donc fait le calcul de prendre leurs distances avec une paix qui engage les régimes, mais pas nécessairement les peuples. Comme l'écrit Dominique Moïsi, l'un de nos grands géopoliticiens francophones : si le marché du pétrole reste aussi calme, c'est parce que nous ne sommes pas en 1963. À l'époque, l'embargo sur l'or noir avait fait l'unanimité des pays exportateurs de pétrole du Moyen-Orient. Et aujourd'hui, ce n'est pas du tout le cas. La plupart des régimes qui entourent Israël, sauf la Syrie, détestent le Hamas. Mais la pression médiatique et les images véhiculées par ces médias empêcheront donc à court et moyen terme cette normalisation entre les pétromonarchies du Golfe et Israël. Et c'est là où j'en viens à l'Arabie saoudite. Son prince héritier, Mohammed Ben Salmane, gouverne d'une main de fer son royaume tant que son père le laisse faire. Et l'obsession du jeune prince héritier, c'est de diversifier son économie au plus vite… Mots–Clés : prévisions, Agence internationale de l'énergie, planète, énergie fossile, pays exportateurs, pétrole, Vision 2030, milliards, dollars, pays, dépendance, prince, héritier, diversification, Emirats Arabes Unis, prix, or, footballeurs, monde, investisseurs, pub, jeunesse, femmes, voiture, voyager, mari, frère, restaurant, concert, mixte, stars américaines, stars libanaises, destination touristique, lieux culturels, mer Rouge, préislamique, judaïque, tribus juives, ville industrielle, port flottant, monde, projets, géographie, local, normalisation, Etat d'Israël, conflit, répercussions, média, politique, palais, royaume. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
Samedi 7 octobre, quelque 5.000 roquettes tirées depuis la bande de Gaza se sont abattues sur le territoire de l'État hébreu, alors que s'infiltraient par bateaux, motos et parachutes un nombre indéterminé de combattants des Brigades Al-Qassam, la branche armée du Hamas. D'une ampleur inédite, l'opération Déluge d'al-Aqsa a surpris Israël, qui a répliqué le jour même en lançant l'offensive Glaives de fer sur Gaza.L'offensive a été condamnée par de nombreux pays à travers le monde, mais réveille les tensions du Proche-Orient à l'Occident. Applaudie par l'Iran, dont on soupçonne qu'elle apporte une aide active au Hamas, elle bouleverse les tentatives de normalisation des relations entre Israël et certains de ses voisins, que ce soient les accords d'Abraham (les traités de paix entre Israël et les Émirats arabes unis d'une part et entre Israël et Bahreïn d'autre part), ou le rapprochement avec l'Arabie saoudite. Et si pour l'instant, le peuple israélien fait bloc, quelques voix s'élèvent, critiques envers le gouvernement de Benyamin Nétanyahou.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son et montage: Nina ParejaMixage: Victor BenhamouPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», d'Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.
« C'est un terrible engrenage qui est en train de s'enclencher au Moyen-Orient et personne ne peut en prédire l'issue, soupire Libération. L'attaque terroriste du Hamas sur Israël a plongé dans l'horreur l'État hébreu qui enterre ses plus de 800 morts et pleure ses otages qu'il sait menacés à chaque seconde, surtout depuis les menaces d'exécution lancées hier soir par le Hamas. Mais elle plonge aussi dans l'horreur les Palestiniens de Gaza, qui ne sont pas tous des soutiens du Hamas : plus de 600 ont déjà été tués et beaucoup encore risquent de mourir sous les bombes, ou même de faim vu qu'Israël a décrété un siège total de ce qui est déjà une prison à ciel ouvert. »« Comme dans un cycle inlassablement funeste, une chape de mort s'abat de nouveau sur Israël et la bande de Gaza, renchérit Le Figaro. La férocité dont a fait preuve le Hamas palestinien en massacrant par centaines des civils chez eux et des jeunes lors d'un concert dans le désert a ouvert une traînée de sang qui peut se transformer en rivière. En attendant de porter son "Sabre de fer" au cœur de Gaza, l'état-major de Tsahal rassemble ses forces et impose un "siège complet" à l'enclave palestinienne, constate encore Le Figaro. À l'enfermement de 2 millions de miséreux depuis des décennies s'ajoutent dorénavant les coupures d'eau, de gaz et d'électricité. Et les bombardements déjà constants, en représailles ou pour préparer le terrain, promettent là aussi aux civils de payer le prix fort dans la guerre qui s'annonce. »L'heure n'est pas à la paix…Dans ces conditions, tout espoir de paix est vain…En effet, relève Le Parisien, « la moitié de la population palestinienne a moins de 20 ans ; la moitié de la population israélienne, moins de 30 ans. Ces générations n'ont, pour ainsi dire, jamais entendu leurs leaders parler de dialogue, de négociation, de cohabitation. Elles ont grandi au mieux dans la méfiance, au pire dans la haine des jeunes du même âge qui leur font face. Comment cela pourrait-il constituer une base pour la paix ? »D'autant, souligne Le Monde, que « les fossoyeurs d'Oslo, la droite israélienne et le Hamas, sont aux avant-postes. Ils n'ont rien d'autre à offrir que des impasses : l'éradication, mille fois promise, du Hamas pour Benyamin Netanyahu, dont les civils de Gaza paieraient le prix ; la "victoire" selon le Hamas, qui n'est rien d'autre qu'un carnage sans lendemain. Du fait du désengagement des États-Unis et des Européens, la normalisation entre Israël et plusieurs pays arabes – à l'exception de ceux restés dans l'orbite iranienne (Liban et Syrie) – cette normalisation aurait pu permettre, estime Le Monde, de rouvrir une perspective politique et d'apporter une réponse à la question palestinienne, probablement imparfaite mais préférable au gouffre actuel. Cette question a été considérée, à tort, comme totalement accessoire par ceux qui ont déjà franchi le pas (Maroc, Émirats arabes unis, Bahreïn). La paix doit pourtant être la paix pour tous, s'exclame le quotidien du soir. Un sursaut international est impératif pour pouvoir encore espérer. »En effet, complète La Charente Libre, « devant l'impossibilité d'imaginer une quelconque négociation et face à cette guerre effroyable qui pourrait s'étendre, la communauté internationale, à commencer par le monde arabe et les États-Unis, semble être la seule à terme capable de débloquer une situation inextricable aujourd'hui. Ce n'est pas le moment de l'évoquer mais il est encore temps de l'envisager. »Vers une régionalisation du conflit ?Alors, que va-t-il se passer demain et après-demain ? Pour Les Echos, « le soutien militaire, logistique et financier de l'Iran à l'action du Hamas va probablement conduire Israël à punir l'Iran. Comment ? Question capitale. Un nouveau cycle de violence interétatique pourrait s'ouvrir au Proche-Orient. (…) Une guerre régionale entre Israël et l'Iran est-elle sur le point de commencer ? »Et puis, sur le plan intérieur, s'interrogent encore Les Echos, « le gouvernement d'extrême-droite israélien (critiqué pour n'avoir rien vu venir) va-t-il s'effondrer ou bien être renforcé ? (…) Les prochains jours seront décisifs. »
C dans l'air du 7 octobre : Israël «en guerre» Israël en état de guerre. Des dizaines de roquettes ont été tirées sur le pays depuis la bande de Gaza ce matin. «Nous avons décidé de mettre un terme à tous les crimes de l'occupation», a déclaré Mohammad Deif, le leader de la branche militaire du Hamas, le mouvement islamiste au pouvoir à Gaza. Il a revendiqué le tir de « plus de 5 000 roquettes » pour lancer l'opération « Déluge Al-Aqsa ». «Trop c'est trop », a-t-il justifié avant d'exhorter tous les Palestiniens à affronter Israël. Ces événements mettent fin à une trêve respectée depuis mai entre Israël et ce territoire. Un décompte provisoire des services d'urgence israéliens fait état d'au moins 40 morts israéliens et environ 779 blessés. « Nous sommes en guerre », a dit le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, dans un message vidéo avertissant que le Hamas paierait « un prix sans précédent ». Le ministre de la défense israélien, Yoav Galant, a qualifié l'attaque du Hamas de « grave erreur ». Il a également affirmé que les soldats israéliens « sont en train de combattre l'ennemi à chaque endroit ». Il a approuvé le rappel des réservistes. Car en riposte à l'offensive du Hamas, Israël a lancé l'opération « Glaives de fer » et commencé à bombarder Gaza. Plusieurs dizaines d'avions de combat frappent des cibles de l'organisation islamiste sur ce territoire. Neuf morts côté palestinien ont pour l'heure été dénombrés à Gaza. L'armée israélienne a par ailleurs fait état de l'infiltration d'« un nombre indéterminé de terroristes » sur le territoire du pays à partir de la bande de Gaza. L'ambassade américaine a déclaré se trouver « aux côtés d'Israël ». Le chef de la diplomatie européenne Josep Borell a dénoncé la prise d'otage de civils par le Hamas, en violation du droit international et a réclamé leur libération. Le Hezbollah pro-iranien au Liban, qui dispose d'une puissante branche armée, a revanche félicité le mouvement islamiste Hamas pour son « opération héroïque à grande échelle ». Emmanuel Macron a de son côté déclaré qu'il «condamne fermement les attaques terroristes» survenues en Israël. Dans la région, 75 ans après sa fondation, l'Etat hébreu n'est toujours pas reconnu par la majorité de ses voisins. La « normalisation », soit la reconnaissance de l'État d'Israël et l'établissement de relations diplomatiques avec lui, a longtemps été impensable dans le monde arabe, au nom du soutien à la cause palestinienne. Quelques pays arabes ont toutefois franchi le pas ces dernières années, fortement encouragés par les États-Unis. Après l'Egypte en 1979, la Jordanie en 1994, la Mauritanie en 1999, les Émirats arabes unis et Bahreïn signent des traités de paix bilatéraux avec Israël en 2020. Avec plus de remous, le Maroc et le Soudan se sont également rapprochés d'Israël. Actuellement, des négociations sont très avancées entre Israël et l'Arabie Saoudite, la puissante monarchie pétrolière. Ces violences surviennent à un moment où la société israélienne est déjà sous tension. De nombreux citoyens dénoncent une radicalisation de l'exécutif. Une réforme de la justice est au centre de vives inquiétudes. Elle transférerait plusieurs prérogatives du pouvoir judiciaire à l'exécutif, donc au gouvernement. L'opposition juge que l'état de droit dans le pays est menacé. Malgré des manifestations monstre, la rue n'a pas été entendue. La loi a en effet été votée par la Knesset, le Parlement du pays, en juillet. Elle est examinée depuis plusieurs semaines par les quinze juges de la Cour suprême. Si ces derniers censurent la loi, le pays pourrait se trouver au bord d'une grave crise constitutionnelle. Comment Israël va-t-il riposter à l'attaque du Hamas ? De quels moyens militaires dispose l'organisation islamiste au pouvoir à Gaza ? Comment les pays de la région vont-ils réagir à la crise en cours ? Comment le gouvernement israélien, déjà contesté par une profonde crise politique interne, va-t-il répondre à la situation actuelle ? LES EXPERTS : - PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et « L'Obs » - Frédéric METEZEAU - Journaliste à la cellule investigation de Radio-France - Ancien correspondant en Israël - ZIAD MAJED Politologue – Spécialiste du Proche-Orient - TAMAR SEBOK - Correspondante à Paris du quotidien Yedioth Ahronoth. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
La Formule 1 s'apprête à faire son grand retour la semaine prochaine. Ce week-end, à Bahreïn, c'était l'heure des tests pour les voitures des différentes écuries. L'occasion de voir pour la première fois de l'année les pilotes au volant de leurs futurs bolides, et notamment les petits nouveaux. Parmi eux un Australien, Oscar Piastri, grand espoir de la Formule 1.