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Richard Ramos, député MoDem du Loiret, a récemment déposé une proposition de loi visant à interdire l'hexane dans l'industrie alimentaire. Ce dérivé de pétrole utilisé notamment dans la fabrication des huiles présente-t-il des risques pour notre santé ? Explications. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 17 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Laurent Wauquiez propose de construire un centre de rétention pour transférer les OQTF dans l'archipel française de St Pierre et Miquelon
Laurent Wauquiez propose de construire un centre de rétention pour transférer les OQTF dans l'archipel française de St Pierre et Miquelon
Basée à Prague depuis 30 ans, Radio Free Europe est dans la tourmente ces dernières semaines, Elon Musk et Donald Trump ayant décidé que ce média public américain, tout comme Voice of America, ne devait plus être financé par l'État. Cette radio diffuse dans une trentaine de langues et cible prioritairement des pays où la presse n'est pas libre. Le gouvernement tchèque est rapidement monté au créneau pour défendre cette station et ses journalistes, mais les derniers développements ne sont guère encourageants. Le satellite permettant la transmission de la chaîne de télévision en langue russe de Radio Free Europe en Russie, Current Time, a été éteint jeudi 3 avril par les États-Unis. Propagandiste en chef du Kremlin, Margarita Simonian, directrice du média Russia Today, n'a pas caché sa joie à l'annonce de la fin du financement de Radio Free Europe, allant même jusqu'à parler d'un jour de fête pour la Russie.À Prague, en République Tchèque, l'arrêt des subventions, même s'il est contesté en justice, a pour conséquence la mise au chômage technique d'une partie du personnel. « Radio Free Europe Radio Liberty a une mission très particulière. Nous opérons dans des régions dans lesquelles la liberté de la presse n'est plus autorisée, ou bien est fortement restreinte. Grâce à notre travail, nous sommes devenus une bouée de sauvetage pour les membres de notre audience. Nos auditeurs sont en quête d'informations fiables et précises sur ce qui se passe dans leur propre pays et dans le monde », estime Stephen Capus, son directeur, qui refuse de baisser les bras. L'audience de Radio Free Europe est estimée à 50 millions de personnes par semaine, avec un fort impact également sur les réseaux sociaux. Preuve s'il en fallait que ce média américain, important durant la guerre froide, conserve un certain prestige et une certaine raison d'être, encore aujourd'hui.Le média américain, qui a renouvelé sa rédaction hongroise et qui possède encore des services roumains et bulgares, dérange dans de nombreux pays. Son antenne kirghize, Radio Azattyk, a été interdite par Bichkek en 2023. La documentariste tchèque Veronika Janatková vient de produire un film sur le travail d'un des journalistes de cette antenne. « C'est absolument essentiel, souligne-t-elle. Au Kirghizistan, cette affaire de corruption, qui est au cœur du documentaire, traîne depuis 2019. Mais une enquête journalistique de ce type n'aurait probablement pas été possible là-bas. En 2023, Radio Free Europe/Radio Azattyk, la section kirghize, a déjà été interdite dans le pays. Le fait qu'il ait existé une institution soutenant ce type de recherche et de journalisme en faisait le seul espace où de telles informations pouvaient être publiées. »Le chef de la diplomatie tchèque, Jan Lipavský, a tenté de motiver ses homologues européens à sauver cette radio basée à Prague depuis 30 ans. Mais rien n'est encore acquis pour l'heure, surtout que le budget annuel représenté en 2024 environ 142 millions de dollars.À lire aussiRépublique tchèque: Prague appelle à des discussions au sein de l'UE pour sauver Radio Free Europe
Basée à Prague depuis 30 ans, Radio Free Europe est dans la tourmente ces dernières semaines, Elon Musk et Donald Trump ayant décidé que ce média public américain, tout comme Voice of America, ne devait plus être financé par l'État. Cette radio diffuse dans une trentaine de langues et cible prioritairement des pays où la presse n'est pas libre. Le gouvernement tchèque est rapidement monté au créneau pour défendre cette station et ses journalistes, mais les derniers développements ne sont guère encourageants. Le satellite permettant la transmission de la chaîne de télévision en langue russe de Radio Free Europe en Russie, Current Time, a été éteint jeudi 3 avril par les États-Unis. Propagandiste en chef du Kremlin, Margarita Simonian, directrice du média Russia Today, n'a pas caché sa joie à l'annonce de la fin du financement de Radio Free Europe, allant même jusqu'à parler d'un jour de fête pour la Russie.À Prague, en République Tchèque, l'arrêt des subventions, même s'il est contesté en justice, a pour conséquence la mise au chômage technique d'une partie du personnel. « Radio Free Europe Radio Liberty a une mission très particulière. Nous opérons dans des régions dans lesquelles la liberté de la presse n'est plus autorisée, ou bien est fortement restreinte. Grâce à notre travail, nous sommes devenus une bouée de sauvetage pour les membres de notre audience. Nos auditeurs sont en quête d'informations fiables et précises sur ce qui se passe dans leur propre pays et dans le monde », estime Stephen Capus, son directeur, qui refuse de baisser les bras. L'audience de Radio Free Europe est estimée à 50 millions de personnes par semaine, avec un fort impact également sur les réseaux sociaux. Preuve s'il en fallait que ce média américain, important durant la guerre froide, conserve un certain prestige et une certaine raison d'être, encore aujourd'hui.Le média américain, qui a renouvelé sa rédaction hongroise et qui possède encore des services roumains et bulgares, dérange dans de nombreux pays. Son antenne kirghize, Radio Azattyk, a été interdite par Bichkek en 2023. La documentariste tchèque Veronika Janatková vient de produire un film sur le travail d'un des journalistes de cette antenne. « C'est absolument essentiel, souligne-t-elle. Au Kirghizistan, cette affaire de corruption, qui est au cœur du documentaire, traîne depuis 2019. Mais une enquête journalistique de ce type n'aurait probablement pas été possible là-bas. En 2023, Radio Free Europe/Radio Azattyk, la section kirghize, a déjà été interdite dans le pays. Le fait qu'il ait existé une institution soutenant ce type de recherche et de journalisme en faisait le seul espace où de telles informations pouvaient être publiées. »Le chef de la diplomatie tchèque, Jan Lipavský, a tenté de motiver ses homologues européens à sauver cette radio basée à Prague depuis 30 ans. Mais rien n'est encore acquis pour l'heure, surtout que le budget annuel représenté en 2024 environ 142 millions de dollars.À lire aussiRépublique tchèque: Prague appelle à des discussions au sein de l'UE pour sauver Radio Free Europe
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:11 - L'invité de 8h20 - Dans le Grand entretien ce vendredi, éclairage sur la situation géopolitique avec deux spécialistes : Isabelle Lasserre, correspondante diplomatique du Figaro, et Jean-Dominique Merchet, journaliste à l'Opinion, et expert des questions militaires.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi 14 mars, la performance dans ses indices boursiers américains et européens, a été abordée par Eric Lewin, président d'EL Finance, Pascale Seivy, direction commerciale Banque Privée France du Groupe Lombard Odier, Anna Boata, directrice de la recherche macroéconomique d'Allianz Trade, et Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, reçus par Marc Fiorentino, dans l'émission. C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:20:20 - Journal de 12h30 - Sous pression des Etats-Unis, l'Ukraine avait accepté en début de semaine le principe d'une trêve immédiate si celle-ci était également suivie par la Russie. Or, hier, Vladimir Poutine a émis des réserves, invoquant des "questions" à régler au préalable. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
durée : 00:20:20 - Journal de 12h30 - Sous pression des Etats-Unis, l'Ukraine avait accepté en début de semaine le principe d'une trêve immédiate si celle-ci était également suivie par la Russie. Or, hier, Vladimir Poutine a émis des réserves, invoquant des "questions" à régler au préalable. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1/ L'aide active à mourir : un nouveau droit comme un autre ? 2/ Soins palliatifs ou aide active à mourir : que faut-il choisir entre les deux ? 3/ L'euthanasie : comment empêcher les dérives ? Retrouvez un nouveau numéro des Débats Esprits Libres. Alexandre Devecchio reçoit la ministre Astrid Panosyan-Bouvet et Claire Fourcade.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Le principal et unique atout suisse aux Mondiaux de saut à ski à Trondheim se nomme Gregor Deschwanden. Mais le Lucernois ne semble plus aussi affûté que sur la Tournée des 4 Tremplins. Même notre consultant Sylvain Freiholz ne sait pas s'il sera en mesure de lutter pour les médailles.
Les 10 et 11 février se tient un Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle (IA) à Paris, l'IA qui a des conséquences sur la presse. Analyse des espoirs, mais aussi des craintes et des dangers de cette technologie pour le journalisme. L'Institut national de l'audiovisuel, l'INA, a publié cette semaine une cartographie des usages de l'intelligence artificielle pour le journalisme. Et ce dont on s'aperçoit, c'est que l'IA offre des avantages, comme de lui laisser les tâches répétitives pour se concentrer sur des sujets à valeur ajoutée ou de gagner du temps dans la rédaction, la vérification et même l'enquête. On l'a vu dans les Panama Papers ou d'autres fuites de documents, il est très utile de pouvoir interroger une masse de données à partir d'un robot pour extraire un compte, des liens, des ramifications...L'intelligence artificielle permet aussi de mieux connaître l'internaute et donc de lui adresser un contenu qui corresponde davantage à ses centres d'intérêt et qui favorise son engagement sur les réseaux sociaux. Elle peut aussi aider à créer des titres pertinents ou à faire remonter des tendances. Sans compter bien sûr les traductions automatiques qui peuvent rendre accessibles des médias de multiples pays.La technologie suscite des craintes dans les rédactionsCes craintes ne sont pas seulement liées à la peur de perdre son emploi. On peut se demander si les journalistes ne vont pas devenir « IA-dépendants », façonnés par les algorithmes, avec moins le souci de la découverte fortuite sur le terrain. D'autant que ces algorithmes renvoient à ce qui a été dit, écrit dans le passé, fût-il récent. Ils peuvent être un obstacle à la compréhension de l'inattendu.Il y a aussi une crainte sur les droits d'auteurs, tous les acteurs de l'IA se refusent à engager des négociations avec les médias sur ce sujet en particulier. Le New York Times a attaqué Open AI et des organisations représentant 3 000 titres de presse en France ont demandé, mercredi 5 février, que les pouvoirs publics imposent un dialogue à ces entreprises qui pillent leurs contenus pour entraîner leur modèle sans les rémunérer.À lire aussi Face à ChatGPT, le New York Times attaque en justice OpenAI et MicrosoftDe possibles dangers pour l'information L'IA fait redouter une grande vague de désinformation, surtout avec des modèles comme celui du chinois DeepSeek qui sont plus accessibles à des manipulateurs. On a vu en Roumanie comment des milliers de comptes se coordonnant pour amplifier la popularité de mots clés sur TikTok ont fait monter un candidat, au point d'entraîner l'annulation de l'élection. Le service français Viginum estime que le même type d'ingérence peut se produire en France.France Culture a d'ailleurs diffusé vendredi 7 février une émission, Les pieds sur Terre, avec des témoignages fabriqués par l'IA pour alerter sur le risque de manipulation. Alors l'IA favorise-t-elle les infox, les ingérences russes ou donne-t-elle des armes aux journalistes pour contrer cette désinformation ? Les deux sans doute. À lire aussi Intelligence artificielle : les médias s'en emparent autant qu'ils s'en méfient
Les 27 marins à bord du bateau, de 4 différentes nationalités, Néo-Zélandaise, Sud-Africaine, Namibienne et Indonésienne, auraient déposé plusieurs plaintes depuis l'année dernière pour irrégularités de paiement des salaires. Plus récemment, ils ont rapporté n'avoir pas reçu les salaires de décembre 2024 et janvier de cette année. Malgré cette situation, le bateau de pêche aurait quitté le port récemment, ce qui serait contraire au Merchant Shipping Act. Les membres d'équipage ont contacté Alain Malherbe, expert en affaires maritimes, qui nous donne les détails de la situation.
D'ici 2028, une machine à rayon révolutionnaire pour traiter le cancer devrait être opérationnelle. Créée par l'Institut Curie, la radiothérapie "flash" pourra abattre n'importe quelle tumeur de n'importe quelle zone. Et ce, le temps d'une respiration ou d'un battement de cils. Une promesse qui suscite beaucoup d'espoir.
La plupart des économistes sur place estiment que l'Australie saura faire valoir ce statut d'allié stratégique pour éviter d'être directement sanctionné. Mais redoutent que la hausse massive des droits de douane promise par Donald Trump sur les exportations venues de Chine, le principal partenaire commercial de l'Australie, aura indirectement des conséquences lourdes sur l'économie de l'île-continent. De notre correspondant à Canberra,Protéger le marché américain de la concurrence étrangère, en rendant artificiellement les produits venus d'ailleurs plus chers, c'est la promesse formulée par Donald Trump tout au long de sa campagne victorieuse. « Le mot droit de douane, c'est le plus beau mot dans le dictionnaire. Il va rendre notre pays riche », s'est-il exclamé. Un discours aux antipodes de celui porté par le gouvernement australien, qui se présente pour sa part comme un champion du libre échange.Mais malgré ces divergences de vue, l'économiste Richard Holden, de l'université de Nouvelle-Galles du Sud, et comme nombre de ses collègues, pense que l'Australie a de bons arguments pour échapper à de nouvelles barrières douanières. « Je crois que l'Australie est bien placée pour les éviter. Nous sommes un allié proche et assez important des États-Unis dans le Pacifique. Qui plus est, Donald Trump laisse entendre que le pacte Aukus va être maintenu, ce qui veut dire que nous allons devenir un allié militaire encore plus important pour les États-Unis. Et mettre en difficulté un allié de cette nature, ce n'est pas une très bonne idée. L'autre point important à souligner, c'est que la balance commerciale des États-Unis est excédentaire avec l'Australie », explique-t-il.En revanche, il est beaucoup moins optimiste concernant la Chine, avec qui Donald Trump a déjà mené une guerre commerciale lors de son premier mandat. Or, la Chine est aussi le premier partenaire commercial de l'Australie. Elle y a écoulé en 2023 plus de 130 milliards d'euros de marchandises, soit près du tiers de toutes ses exportations. « Des droits de douane massifs appauvriraient la Chine, à un point qu'ils ne seraient plus disposés, ou plus capables d'acheter nos produits agricoles haut de gamme, par exemple les homards, le bœuf wagyu ou nos vins les plus onéreux. Et cela nous ferait mal » redoute-t-il.Un point de vue partagé par Medo Pournader, de la faculté d'économie de l'université de Melbourne. Mais elle veut croire que l'Australie, malgré un protectionnisme américain a priori défavorable à son économie, pourrait tirer son épingle du jeu. « Ce n'est pas que du sang et des larmes, il y a peut-être même de belles opportunités pour l'Australie. Je crois que nous devons négocier avec les États-Unis pour éviter des droits de douane. Ou, a minima, qu'ils soient moins élevés que pour d'autres pays, ce qui nous permettrait d'exporter davantage de produits australiens aux États-Unis », espère-t-elle. Face à un président américain qui place les relations personnelles au-dessus de tout, tout dépendra de la capacité d'Anthony Albanese, le Premier ministre australien, à le séduire.À lire aussiLes États-Unis suspendent pour un mois leurs tarifs douaniers avec le Mexique et le Canada
La plupart des économistes locaux estiment que l'Australie saura faire valoir son statut d'allié stratégique pour éviter d'être directement sanctionné. Mais redoutent que la hausse massive des droits de douane promise par Donald Trump sur les exportations venues de Chine, le principal partenaire commercial de l'Australie, aura indirectement des conséquences lourdes sur l'économie de l'île-continent. De notre correspondant à Canberra,Protéger le marché américain de la concurrence étrangère, en rendant artificiellement les produits venus d'ailleurs plus chers, c'est la promesse formulée par Donald Trump tout au long de sa campagne victorieuse. « Le mot droit de douane, c'est le plus beau mot dans le dictionnaire. Il va rendre notre pays riche », s'est-il exclamé. Un discours aux antipodes de celui porté par le gouvernement australien, qui se présente pour sa part comme un champion du libre échange.Mais malgré ces divergences de vue, l'économiste Richard Holden, de l'université de Nouvelle-Galles du Sud, et comme nombre de ses collègues, pense que l'Australie a de bons arguments pour échapper à de nouvelles barrières douanières. « Je crois que l'Australie est bien placée pour les éviter. Nous sommes un allié proche et assez important des États-Unis dans le Pacifique. Qui plus est, Donald Trump laisse entendre que le pacte Aukus va être maintenu, ce qui veut dire que nous allons devenir un allié militaire encore plus important pour les États-Unis. Et mettre en difficulté un allié de cette nature, ce n'est pas une très bonne idée. L'autre point important à souligner, c'est que la balance commerciale des États-Unis est excédentaire avec l'Australie », explique-t-il.En revanche, il est beaucoup moins optimiste concernant la Chine, avec qui Donald Trump a déjà mené une guerre commerciale lors de son premier mandat. Or, la Chine est aussi le premier partenaire commercial de l'Australie. Elle y a écoulé en 2023 plus de 130 milliards d'euros de marchandises, soit près du tiers de toutes ses exportations. « Des droits de douane massifs appauvriraient la Chine, à un point qu'ils ne seraient plus disposés, ou plus capables d'acheter nos produits agricoles haut de gamme, par exemple les homards, le bœuf wagyu ou nos vins les plus onéreux. Et cela nous ferait mal » redoute-t-il.Un point de vue partagé par Medo Pournader, de la faculté d'économie de l'université de Melbourne. Mais elle veut croire que l'Australie, malgré un protectionnisme américain a priori défavorable à son économie, pourrait tirer son épingle du jeu. « Ce n'est pas que du sang et des larmes, il y a peut-être même de belles opportunités pour l'Australie. Je crois que nous devons négocier avec les États-Unis pour éviter des droits de douane. Ou, a minima, qu'ils soient moins élevés que pour d'autres pays, ce qui nous permettrait d'exporter davantage de produits australiens aux États-Unis », espère-t-elle. Face à un président américain qui place les relations personnelles au-dessus de tout, tout dépendra de la capacité d'Anthony Albanese, le Premier ministre australien, à le séduire.À lire aussiLes États-Unis suspendent pour un mois leurs tarifs douaniers avec le Mexique et le Canada
durée : 00:02:18 - Le grand format - Le réseau cuivre, vieux de plusieurs décennies, commence à être désactivé à partir de ce vendredi dans plus d'une centaine de communes, au profit de la fibre optique. Reportage en Sologne.
durée : 00:06:15 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le gouvernement israélien doit donner son feu vert, jeudi, à l'accord annoncé par le Qatar et les États-Unis sur un cessez-le-feu à Gaza, après plus de 15 mois d'une guerre entre Israël et le Hamas qui a fait des dizaines de milliers de morts dans l'enclave palestinienne.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Aujourd'hui considérée comme l'œuvre la plus connue au monde, La Joconde, de Léonard de Vinci, est également la plus mystérieuse. Dans cet épisode, on vous dévoile les secrets de ce célèbre tableau. Plusieurs questions tournent autour de ce portrait de femme, à commencer par sa date de conception, sur laquelle même les plus grands experts n'ont pas de certitude, puisqu'ils hésitent entre plusieurs périodes. Certains pensent à 1503, d'autre à 1513, et personne n'est d'accord sur la durée totale qu'à mis l'artiste pour achever son œuvre. Mais au-delà du mystère lié à la genèse du tableau, il en existe également énormément autour de sa signification ou de l'identité de La Joconde. Pourquoi peut-on considérer La Joconde comme un mystère ? Qui est représenté sur le tableau ? Quelles autres séries de mystères ou de légendes entourent La Joconde ? Ecoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast écrit et réalisé par Thomas Deseur. Date de première diffusion : 19 septembre 2022 A écouter aussi : Pourquoi Netflix a-t-il supprimé le partage de compte ? Quel est le point commun entre Alfred Hitchcock, Quentin Tarantino et M. Night Shyamalan ? Pourquoi Marilyn Monroe fascine-t-elle toujours autant ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:02 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Brian Thompson, patron d'une grande compagnie d'assurance-santé, a été tué par balles mercredi 4 décembre à Manhattan. Son assassin n'a pas encore été retrouvé.
Un meurtre qui suscite l'indignation aux États-Unis. Des vols en groupe dans des bijouteries du Grand Toronto. La Couronne va en appel pour une peine trop clémente. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l'agence QMI Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La chaussure gauche d'un témoin devient le centre des discussions... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
durée : 00:03:44 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Comment distinguer l'autorité légitime de l'abus de pouvoir ? L'autoritarisme est-il une réaction à l'instabilité de l'autorité ? Pourquoi représente-t-il une faiblesse de l'autorité ? Comment l'autorité légitime peut-elle être respectée et critiquée dans une démocratie ? - réalisation : Riyad Cairat
En RDC, la polémique enfle sur une éventuelle révision de la constitution. Voulue par le président Félix Tshisekedi pour élaborer une loi fondamentale qui «reflète les véritables besoins du pays», une partie de l'opposition et de la société civile appelle «à un sursaut patriotique» contre cette initiative qualifiée de «dangereuse pour la démocratie». La démarche du président de la République vous semble-t-elle légitime ? Une révision constitutionnelle est-elle nécessaire ?
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Ce come-back, ce retour fracassant suscite l'intérêt du monde entier, notamment des pays qui ont à faire avec l'Amérique. AvecKseniya Zhornokley de la rédaction ukrainienne pour nous parler du renouveau du cinéma de Kiev depuis deux ansElsa Vidal pour la rédaction en russe pour nous parler du vote russe lors de la présidentielle américaine mardi dernierAsble Lopez de la rédaction en espagnol à propos de la catastrophe qui a dévasté Valence et ses environs.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Ce come-back, ce retour fracassant suscite l'intérêt du monde entier, notamment des pays qui ont à faire avec l'Amérique. AvecKseniya Zhornokley de la rédaction ukrainienne pour nous parler du renouveau du cinéma de Kiev depuis deux ansElsa Vidal pour la rédaction en russe pour nous parler du vote russe lors de la présidentielle américaine mardi dernierAsble Lopez de la rédaction en espagnol à propos de la catastrophe qui a dévasté Valence et ses environs.
Cet accord de libre échange vise à faciliter les échanges commerciaux entre l'Union européenne et les pays d'Amérique du Sud en supprimant la quasi-totalité des droits de douane appliqués aux exportations de l'UE vers le Mercosur et en prévoyant un important quota d'importation de viande, de volaille et de sucre. Les agriculteurs français dénoncent une concurrence déloyale. Les explications de Martial You.
durée : 00:02:45 - Le brief politique - Y aura-t-il un ministère de l'Immigration dans le gouvernement de Michel Barnier ? Rien n'est acté, mais l'idée a fait bondir dans l'ex-majorité présidentielle.
durée : 00:15:06 - Journal de 18h - "Inacceptable, abjecte, horrible" : les dirigeants occidentaux condamnent unanimement l'attaque commise par un groupe de colons israéliens jeudi soir dans le village de Jit, en Cisjordanie occupée.
durée : 00:02:20 - Le monde est à nous - Polémique autour de la boxeuse algérienne Imane Khelif, vainqueur le 1er août en huitième de finale aux JO de l'italienne Angela Carini chez les moins de 66 kilos. La controverse est à la fois sportive, sociétale et politique. Imane Khelif, personne intersexe, est accusée par ses détracteurs d'être un homme.
durée : 00:15:23 - Journal de 18h - Les minorités ont été mises à l'honneur lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, suscitant l'enthousiasme de la gauche et d'une partie de la droite, mais indignant l'extrême droite et les milieux traditionnalistes.
durée : 00:15:23 - Journal de 18h - Les minorités ont été mises à l'honneur lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, suscitant l'enthousiasme de la gauche et d'une partie de la droite, mais indignant l'extrême droite et les milieux traditionnalistes.
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur la création d'un commandement militaire pour l'Afrique, sur le match France - Portugal et sur un mandat d'arrêt contre Bachar el-Assad. France : l'expulsion d'un Malien suscite de vives réactions Arrivé en France lorsqu'il avait 5 ans, Moussa Sacko, 25 ans, a été renvoyé à Bamako. Pour quelles raisons a-t-il été expulsé ? Avec Amélie Beaucour, Journaliste au service France de RFI.Défense : La France crée un commandement pour l'Afrique Alors que la France prévoit de réduire le nombre de ses soldats déployés sur le continent, pourquoi créer ce commandement militaire ? Quels changements apportera cette innovation ? Avec Franck Alexandre journaliste spécialisé des questions défense de RFI.Euro 2024 : la France va-t-elle enfin marquer ? La France affronte le Portugal en quarts de finale, après une victoire sans but marqué par les Bleus contre la Belgique. Les Bleus ont-ils leur chance face au Portugal ? Avec Antoine Grognet, envoyé spécial en Allemagne de RFI pour l'Euro 2024.France : le mandat d'arrêt visant Bachar el-Assad est de nouveau bloquéLe Parquet général de Paris conteste le mandat d'arrêt visant le président syrien pourtant validé la semaine dernière par la Cour d'appel de Paris. Pourquoi cette décision est-elle contestée ? Avec Laura Martel, journaliste au service France de RFI.
Le concours Eurovision: triomphe de l'anglo-wokisme exhibitionniste, ou spectacle familial léger et divertissant. Discussion avec Nic Payne, analyste politique.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:23 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Les propos du Pape François qui appelle l'Ukraine à « hisser le drapeau blanc » continuent à susciter de très vives réactions. Cette déclaration dépasse le cadre des relations tendues entre Kiev et l'Eglise catholique.
Ce 4 mars, l'Albanie et l'Otan inaugurent la base aérienne de Kuçova, dans le centre du pays. Stratégique, elle sera la seule base de l'Alliance dans les Balkans occidentaux. Alors que la ville s'appelait encore Qyteti stalin, Staline ville en 1991, cette reconversion est un symbole de l'évolution de ce petit pays en bordure de l'Adriatique, devenu un pilier des États-Unis et des Occidentaux dans la région. Sur place, ces changements majeurs sont suivis de près par la population locale.
Les projets d'infrastructures prévus dans le dossier de candidature de Paris aux JO ont été largement réduits, ou au moins retardésMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
durée : 00:10:15 - Journal de 18h - L'auteur de l'attaque au couteau survenue samedi soir à Paris était connu de la justice et des services de renseignement pour islamisme radical et troubles psychiatriques. Il avait interrompu son traitement médicamenteux en 2022.
durée : 00:10:15 - Journal de 18h - L'auteur de l'attaque au couteau survenue samedi soir à Paris était connu de la justice et des services de renseignement pour islamisme radical et troubles psychiatriques. Il avait interrompu son traitement médicamenteux en 2022.
durée : 00:20:13 - Journal de 18h - L'opération de l'armée israélienne dans l'hôpital Al-Shifa, à Gaza, suscite la plus grande inquiétude. Pour Paris, "Les civils n'ont pas à payer pour les crimes du Hamas".
durée : 00:20:13 - Journal de 18h - L'opération de l'armée israélienne dans l'hôpital Al-Shifa, à Gaza, suscite la plus grande inquiétude. Pour Paris, "Les civils n'ont pas à payer pour les crimes du Hamas".