Podcasts about lorrains

Un dimanche à Bordeaux , c'est de faire le tour de ce qui fait les petits commerces ainsi que les marchés de quartier et pour ce nouvel épisode, je vous amène à la rencontre et de découvrir Sandrine qui a créé Pâtés de Maison, une maison 100% de pâtes en croûte .Sucre, salé ou végétal tel est son credo pour faire plaisir aux gourmands amateurs du Pâté en Croûte mais vous y trouverez aussi entre autre et au souhait des clients des pâtés Lorrains, des petits pickes d'oignons et pleins de gourmandises.Pour suivre Sandrine, rendez-vous sur son compte instagram pour savoir les marchés dont les Chartrons le dimanche.Copyright : Bordeauxfood / 2024Directeur de publication  : Thomas GalharagueHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

durée : 00:02:45 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord

durée : 00:05:58 - Denis Renaud, président de l'AEIM 54 - Un congrès autour de l'école inclusive se tient à Nancy ce mercredi 9 octobre. La manifestation "Moi aussi, j'ai école" se déroule au centre Prouvé. Pour en parler, nous recevions, ce mercredi matin, sur France Bleu Sud Lorraine, Denis Renaud, président de l'AEIM en Meurthe-et-Moselle.

durée : 00:03:16 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord - Sur le compte Facebook de France Bleu Lorraine, les Lorrains expriment leur tristesse.

durée : 00:03:14 - L'Alsace de JPP - Comment passer d'un taureau en liberté au débat sur la sortie de l'Alsace du Grand-Est en passant par la Lorraine ? Réponse dans la chronique de Jean-Philippe Pierre...

L'arbitrage français vit une saison compliquée. Dernier épisode en date, ce carton rouge très sévère distribué à l'attaquant géorgien du FC Metz Georges Mikautadze samedi par Ruddy Buquet (défaite de Metz 2-3 face à Rennes), privant a priori les Lorrains, en lutte pour le maintien, de leur meilleur joueur pour la prochaine journée. Alors, la Ligue 1 est-elle malade de ses arbitres ? C'est la question que pose Florian Gazan à Éric Silvestro.

durée : 00:07:08 - Richard Laganier, recteur de l'académie Nancy-Metz - Une trentaine d'établissements scolaires lorrains ont été la cible de menaces via les espaces numériques de travail, dans la nuit de dimanche 24 à lundi 25 mars. Le recteur de l'académie Nancy-Metz, Richard Laganier, est l'invité de France Bleu Lorraine ce mardi.

durée : 00:08:46 - L'invité de la rédaction de France Bleu Lorraine Matin - A l'occasion de la journée spéciale, ce lundi, consacrée à la Semaine de la presse et des médias à l'école nous recevions, sur France Bleu Sud Lorraine, Florent Dénèchère le coordinateur du Centre pour l'Éducation aux Médias et à l'Information au sein de notre rectorat Nancy Metz.

Prenons l'air avec notre guide nature photographe en Lorraine ! Simple randonnée nature ou sorties en bateau, voici quelques circuits que Laurine Desfargeas a testé pour nous !

Vous rêvez d'une compta sans pépins ? Découvrez Clementine, l'entreprise qui porte bien son nom et qui ambitionne de révolutionner le monde de l'expertise comptable en ligne !

Depuis longtemps, les enfants attendent avec impatience la venue du Père Noël ou, pour ceux vivant dans l'est de la France, celle de saint Nicolas. Ces deux personnages, en effet, viennent leur distribuer des cadeaux. Du moins le font-ils si les enfants se montrés sages et obéissants durant l'année qui s'achève. Quant aux autres, ils pourraient recevoir des visites moins agréables. Celle du Père Fouettard, d'abord, qui donne le fouet aux petits Lorrains dissipés. Et celle, ensuite, d'un certain Hans Trapp, souvent assimilé, d'ailleurs, au Père Fouettard. Ce personnage menaçant vient plutôt châtier les enfants alsaciens turbulents. Si des personnages comme le Père Noël ou le Père Fouettard sont des figures légendaires, celui de Hans Trapp a un fondement historique. Ce personnage, qui s'appelait en réalité Hans von Trotha, vivait, à la fin du XVe siècle, dans l'Électorat de Palatinat, qui faisait partie du Saint-Empire germanique. En 1480, l'Électeur, qui gouverne le pays, donne à ce seigneur le château de Bertwarstein. Une décision qui provoque la colère de l'abbé de Wissembourg, le propriétaire du château. L'abbé et ses moines protestent donc. En guise de réponse, Hans von Trotha provoque l'inondation des terres de l'abbaye en détournant le cours d'une rivière. Ce qui plonge la région dans le marasme. L'abbé en appelle au Pape, qui convoque le fautif. Au lieu d'obtempérer, le seigneur critique le pontife, qui l'excommunie derechef. Ajoutée à son action contre l'abbé de Wissembourg, considérée comme un véritable méfait, cette excommunication est à l'origine de la mauvaise réputation de Hans von Trotha. Surnommé Hans Trapp, une référence au bruit de ses pas, le personnage, qui aurait conclu un pacte avec le diable, aurait continué de parcourir l'Alsace. Durant les veillées, les paysans racontaient à voix basse que Hans Trapp détroussait les voyageurs et enlevait les enfants indociles pour les manger ou les abandonner dans la forêt. Seul le bon saint Nicolas serait capable de venir à bout de ce personnage terrifiant qu'on peut encore voir défiler lors de la traditionnelle procession du marché de Noël de Wissembourg. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Depuis longtemps, les enfants attendent avec impatience la venue du Père Noël ou, pour ceux vivant dans l'est de la France, celle de saint Nicolas. Ces deux personnages, en effet, viennent leur distribuer des cadeaux.Du moins le font-ils si les enfants se montrés sages et obéissants durant l'année qui s'achève. Quant aux autres, ils pourraient recevoir des visites moins agréables. Celle du Père Fouettard, d'abord, qui donne le fouet aux petits Lorrains dissipés.Et celle, ensuite, d'un certain Hans Trapp, souvent assimilé, d'ailleurs, au Père Fouettard. Ce personnage menaçant vient plutôt châtier les enfants alsaciens turbulents.Si des personnages comme le Père Noël ou le Père Fouettard sont des figures légendaires, celui de Hans Trapp a un fondement historique.Ce personnage, qui s'appelait en réalité Hans von Trotha, vivait, à la fin du XVe siècle, dans l'Électorat de Palatinat, qui faisait partie du Saint-Empire germanique.En 1480, l'Électeur, qui gouverne le pays, donne à ce seigneur le château de Bertwarstein. Une décision qui provoque la colère de l'abbé de Wissembourg, le propriétaire du château.L'abbé et ses moines protestent donc. En guise de réponse, Hans von Trotha provoque l'inondation des terres de l'abbaye en détournant le cours d'une rivière. Ce qui plonge la région dans le marasme.L'abbé en appelle au Pape, qui convoque le fautif. Au lieu d'obtempérer, le seigneur critique le pontife, qui l'excommunie derechef. Ajoutée à son action contre l'abbé de Wissembourg, considérée comme un véritable méfait, cette excommunication est à l'origine de la mauvaise réputation de Hans von Trotha.Surnommé Hans Trapp, une référence au bruit de ses pas, le personnage, qui aurait conclu un pacte avec le diable, aurait continué de parcourir l'Alsace. Durant les veillées, les paysans racontaient à voix basse que Hans Trapp détroussait les voyageurs et enlevait les enfants indociles pour les manger ou les abandonner dans la forêt.Seul le bon saint Nicolas serait capable de venir à bout de ce personnage terrifiant qu'on peut encore voir défiler lors de la traditionnelle procession du marché de Noël de Wissembourg. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

durée : 00:05:38 - Serge Bounaix, de la Fédération française des motards en colère en Meurthe-et-Moselle - La décision du gouvernement d'imposer un contrôle technique aux deux roues à partir du mois d'Avril met les motards en colère. Certains comme l'invité de France Bleu Sud Lorraine ce matin parle de loi "inique " et prône la désobéissance civile".

Tiens, voila du boudin sont les premières paroles de la marche officielle de la Légion étrangère française.  Je cite :  “Tiens, Voilà du boudin, voilà du boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Pour les Belges, y en a plus. Ce sont des tireurs au cul” Pas très sympa, ça. tout le monde veut son boudin. L'insulte raciste en plus, y en a qui ont été cancel pour moins que ça Alors, la question que tout le monde se pose, Pourquoi il y en a plus pour les Belges ? Bon déja, j'arrête et je vous livre la vérité toute nue, le boudin du légionnaire n'est pas une spécialité charcutière à base de boyaux de porc mais bien le surnom donné à la toile de tente roulée faisant partie du paquetage réglementaire du légionnaire d'antan. Cela formait un boudin au dessus du sac à dos, on a appelé donc ça tout naturellement un boudin. En tout cas, c'est la théorie qui est la plus retenue et la plus logique car on en est pas à cent pour cent certain. Et en parlant de théorie retenue, il n'y a pas moins de 3 explications sur le fait que les belges n'en ont pas, de boudin. Deux événements qui impliquent la neutralité belge, l'une pour les guerres franco -prussiennes de 1870, l'autre pour l'expédition au mexique de Napoléon 3. Et enfin, une troisième théorie, sans doute la plus logique mais qui n'est pas la plus traditionnellement retenue est une question de recrutement. Je cite : “Une autre version semble trouver ses sources dans la diminution des effectifs de la Légion et une décision ministérielle du 6 mars 1871, rappelée par une circulaire du 27 novembre 1873, qui suspend d'une manière générale les engagements volontaires des étrangers et spécifie que seuls les Alsaciens, les Lorrains (notamment ressortissants des régions annexées par le nouvel Empire Allemand et devenus de fait et de jure des étrangers) et les Suisses peuvent obtenir des autorisations.” Voila pourquoi, ils en auraient mais pas les belges. Difficile de trouver la bonne explication. Ou alors est ce un mélange des trois, allez savoir. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

durée : 00:29:11 - Côté saveurs avec France Bleu Lorraine - FB Sud Lorraine - Chaque jour des idées en cuisine avec les chefs Lorrains et on prend des idées. Aujourd'hui, c'est Florane Degremont qui nous a rejoint pour nous donner des petites idées pour des salades idéales en été.

Comme l'opéra ou les autres genres musicaux, la musique militaire a ses classiques. 3tiens, voilà du boudin" en fait partie. C'est en effet l'une des plus célèbres chansons de marche, celle de la Légion étrangère. Elle a été composée par Wilhem, un des restaurateurs du chant choral, dans la première moitié du XIXe siècle, et par A.Dussenty, un chef de musique de la Légion.Comme son nom l'indique, sa fonction de cette chanson de marche est de rythmer le pas des légionnaires. Or, on le sait, il est plus lent que celui des autres soldats. Dans les régiments français, en effet, la cadence est de 120 pas par minute.De leur côté, les légionnaires ne font, en moyenne, que 88 pas par minute. Et c'est le tempo de "tiens voilà du boudin" qui leur permet de tenir ce rythme plus lent.C'est d'ailleurs parce qu'ils marchent moins vite que leurs camarades que les légionnaires défilent les derniers lors des défilés.Mais d'où viennent les curieuses paroles qui débutent le chant, "tiens, voilà du boudin" ? Les légionnaires expriment-ils ainsi leurs préférences culinaires ?En fait, ce "boudin" ne fait pas référence à la spécialité charcutière bien connue. Il désigne, en réalité, le paquetage du légionnaire. Celui-ci comprend notamment une toile de tente, que le militaire doit rouler d'une certaine manière et fixer sur son sac.Et sa forme évoque assez bien celle d'un boudin. Mais la suite des paroles peut sembler tout aussi curieuse. On y apprend donc qu'il y aura bien du boudin pour "les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains" , mais que "pour les Belges y en a plus".Qu'avaient donc fait les Belges pour mériter un tel ostracisme ? Les légionnaires belges avaient dû obtempérer aux ordres de leur Roi, Léopold II qui, voulant respecter la neutralité de la Belgique, leur avait ordonné de quitter la Légion au moment de la déclaration de guerre franco-prussienne, en 1870.Ils avaient donc dû, sous les yeux de leurs camarades un peu moqueurs, abandonner leur paquetage, et leur "boudin", avant de partir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Comme l'opéra ou les autres genres musicaux, la musique militaire a ses classiques. 3tiens, voilà du boudin" en fait partie. C'est en effet l'une des plus célèbres chansons de marche, celle de la Légion étrangère. Elle a été composée par Wilhem, un des restaurateurs du chant choral, dans la première moitié du XIXe siècle, et par A.Dussenty, un chef de musique de la Légion. Comme son nom l'indique, sa fonction de cette chanson de marche est de rythmer le pas des légionnaires. Or, on le sait, il est plus lent que celui des autres soldats. Dans les régiments français, en effet, la cadence est de 120 pas par minute. De leur côté, les légionnaires ne font, en moyenne, que 88 pas par minute. Et c'est le tempo de "tiens voilà du boudin" qui leur permet de tenir ce rythme plus lent. C'est d'ailleurs parce qu'ils marchent moins vite que leurs camarades que les légionnaires défilent les derniers lors des défilés. Mais d'où viennent les curieuses paroles qui débutent le chant, "tiens, voilà du boudin" ? Les légionnaires expriment-ils ainsi leurs préférences culinaires ? En fait, ce "boudin" ne fait pas référence à la spécialité charcutière bien connue. Il désigne, en réalité, le paquetage du légionnaire. Celui-ci comprend notamment une toile de tente, que le militaire doit rouler d'une certaine manière et fixer sur son sac. Et sa forme évoque assez bien celle d'un boudin. Mais la suite des paroles peut sembler tout aussi curieuse. On y apprend donc qu'il y aura bien du boudin pour "les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains" , mais que "pour les Belges y en a plus". Qu'avaient donc fait les Belges pour mériter un tel ostracisme ? Les légionnaires belges avaient dû obtempérer aux ordres de leur Roi, Léopold II qui, voulant respecter la neutralité de la Belgique, leur avait ordonné de quitter la Légion au moment de la déclaration de guerre franco-prussienne, en 1870. Ils avaient donc dû, sous les yeux de leurs camarades un peu moqueurs, abandonner leur paquetage, et leur "boudin", avant de partir. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Sujets traités :  Nouveau jour et nouveaux vœux. Aujourd'hui, nous vous proposons de vous rendre du côté du Val d'Argent. Pour 2023, Jean-Marc Burrus, président de la Communauté de communes du territoire, souhaite à ses habitants de passer une belle année, et ce malgré le contexte actuel sur fond de crise économique et de guerre en Ukraine. La solidarité sera une nouvelle fois le maître mot. On l'écoute. Installations de murs anti-bruit et de détecteurs d'air ont notamment été évoquées. Nouvelle année signifie aussi bonnes résolutions… Pour 2023, le sport et le sommeil arrivent en tête dans le Grand Est. Selon le Baromètre Sport-Santé de la Fédération française d'éducation physique et de gymnastique volontaire et l'Institut Ipsos, 26% des habitants du Grand Est place la pratique d'une activité sportive en première résolution de l'année 2023. Une tendance en baisse tout de même, dans la région comme au niveau national, puisque 35% des Alsaciens, Champenois et Lorrains auraient renoncé à une pratique sportive en raison de l'inflation. Autre résolution, à égalité avec la première : avoir un rythme de sommeil plus régulier. Là aussi, 26% des habitants du Grand Est en ressentent le besoin, contre 17% en 2022. Sur la troisième marche du podium, à 2 points, on retrouve la résolution « passer plus de temps avec sa famille et ses amis ». Les salariés d'Heineken à Schiltigheim en grève. La production de bière, qui aurait initialement dû reprendre ce lundi, est toujours à l'arrêt. Et ce, pour une durée indéterminée. L'intersyndicale CGT FO et CFDT continue son bras de fer avec la direction. Les grévistes protestent toujours contre la fermeture de la brasserie. Selon eux, Heineken pourrait sauver le site en investissant 50 millions d'euros. Les négociations doivent reprendre la semaine prochaine, dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi. Pour rappel, Heineken avait annoncé en novembre dernier, son intention de fermer le site schilikois d'ici trois ans, les employés s'étaient mis en grève dès le lendemain, pour une durée de 24h. Le Marckolswing fait son retour dans le Ried ! Après trois ans d'absence, la salle des fêtes de Marckolsheim accueillera à nouveau cet événement qui célèbre le jazz et le swing. Cette 15ème édition, toujours dans la même formule, se tiendra du 16 au 18 mars prochain. Ecoute, diner, mais aussi seconde partie dansante sont notamment au programme. Encore à Marckolsheim, les vendredis du jazz devraient aussi faire leur retour à partir du mois d'avril. Attention, le tunnel Maurice Lemaire, reliant Sainte-Marie-aux-Mines à Lusse, sur la Nationale 159, sera fermé cette nuit et la nuit prochaine, de 21h à 5h, pour travaux de maintenance. Accident mortel hier sur la Départementale 243. Deux véhicules se sont percutés aux alentours de 12h30, entre Betschdorf et Rittershoffen, dans le Nord du Bas-Rhin. Une personne est décédée et d'autres ont été prises en charge par les secours. A Strasbourg, une septuagénaire a été retrouvée morte le 30 décembre à son domicile. Son fil de 44 ans est soupçonné. Il a été retrouvé le jour-même en bas de chez elle, ensanglanté. L'homme était agité et tenait des propos incohérents. Il a tenté d'échapper à la police arrivant sur les lieux. L'individu a été interpellé et, au vu de son état, hospitalisé d'office en psychiatrie. La victime de 71 ans présentait des blessures à l'arme blanche, une autopsie est à venir. Son fils, principal suspect, n'a pas pu être interrogé en raison de ses troubles mentaux. A Haguenau, c'est un père de famille qui a tiré sur l'agresseur présumé de sa fille. En août dernier, la jeune fille de 17 ans avait porté plainte pour agression sexuelle. Sans avancée du dossier, le 28 décembre, son père a retrouvé et a tiré plusieurs fois sur l'agresseur présumé, son ex beau-fr...

Sujets traités :  Nouveau jour et nouveaux vœux. Aujourd'hui, nous vous proposons de vous rendre du côté du Val d'Argent. Pour 2023, Jean-Marc Burrus, président de la Communauté de communes du territoire, souhaite à ses habitants de passer une belle année, et ce malgré le contexte actuel sur fond de crise économique et de guerre en Ukraine. La solidarité sera une nouvelle fois le maître mot. On l'écoute. Installations de murs anti-bruit et de détecteurs d'air ont notamment été évoquées. Nouvelle année signifie aussi bonnes résolutions… Pour 2023, le sport et le sommeil arrivent en tête dans le Grand Est. Selon le Baromètre Sport-Santé de la Fédération française d'éducation physique et de gymnastique volontaire et l'Institut Ipsos, 26% des habitants du Grand Est place la pratique d'une activité sportive en première résolution de l'année 2023. Une tendance en baisse tout de même, dans la région comme au niveau national, puisque 35% des Alsaciens, Champenois et Lorrains auraient renoncé à une pratique sportive en raison de l'inflation. Autre résolution, à égalité avec la première : avoir un rythme de sommeil plus régulier. Là aussi, 26% des habitants du Grand Est en ressentent le besoin, contre 17% en 2022. Sur la troisième marche du podium, à 2 points, on retrouve la résolution « passer plus de temps avec sa famille et ses amis ». Les salariés d'Heineken à Schiltigheim en grève. La production de bière, qui aurait initialement dû reprendre ce lundi, est toujours à l'arrêt. Et ce, pour une durée indéterminée. L'intersyndicale CGT FO et CFDT continue son bras de fer avec la direction. Les grévistes protestent toujours contre la fermeture de la brasserie. Selon eux, Heineken pourrait sauver le site en investissant 50 millions d'euros. Les négociations doivent reprendre la semaine prochaine, dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi. Pour rappel, Heineken avait annoncé en novembre dernier, son intention de fermer le site schilikois d'ici trois ans, les employés s'étaient mis en grève dès le lendemain, pour une durée de 24h. Le Marckolswing fait son retour dans le Ried ! Après trois ans d'absence, la salle des fêtes de Marckolsheim accueillera à nouveau cet événement qui célèbre le jazz et le swing. Cette 15ème édition, toujours dans la même formule, se tiendra du 16 au 18 mars prochain. Ecoute, diner, mais aussi seconde partie dansante sont notamment au programme. Encore à Marckolsheim, les vendredis du jazz devraient aussi faire leur retour à partir du mois d'avril. Attention, le tunnel Maurice Lemaire, reliant Sainte-Marie-aux-Mines à Lusse, sur la Nationale 159, sera fermé cette nuit et la nuit prochaine, de 21h à 5h, pour travaux de maintenance. Accident mortel hier sur la Départementale 243. Deux véhicules se sont percutés aux alentours de 12h30, entre Betschdorf et Rittershoffen, dans le Nord du Bas-Rhin. Une personne est décédée et d'autres ont été prises en charge par les secours. A Strasbourg, une septuagénaire a été retrouvée morte le 30 décembre à son domicile. Son fil de 44 ans est soupçonné. Il a été retrouvé le jour-même en bas de chez elle, ensanglanté. L'homme était agité et tenait des propos incohérents. Il a tenté d'échapper à la police arrivant sur les lieux. L'individu a été interpellé et, au vu de son état, hospitalisé d'office en psychiatrie. La victime de 71 ans présentait des blessures à l'arme blanche, une autopsie est à venir. Son fils, principal suspect, n'a pas pu être interrogé en raison de ses troubles mentaux. A Haguenau, c'est un père de famille qui a tiré sur l'agresseur présumé de sa fille. En août dernier, la jeune fille de 17 ans avait porté plainte pour agression sexuelle. Sans avancée du dossier, le 28 décembre, son père a retrouvé et a tiré plusieurs fois sur l'agresseur présumé, son ex beau-frère, le blessant aux jambes et à un bras. Lundi, le père a été condamné à 2 ans de prison. 

durée : 00:04:13 - Les Invités de France Bleu Lorraine - FB Sud Lorraine -

Il est célébré tous les 6 décembre dans l'est de la France et les enfants ne rateraient ça pour rien au monde. Nancy, Metz ou encore Épinal : chaque grande ville honore le saint-patron des Lorrains et chaque commune attend avec impatience son arrivée dans les écoles. Sa légende ne s'arrête d'ailleurs pas à nos frontières : en Allemagne, aux Pays-Bas et dans plusieurs pays d'Europe centrale et de l'Est, des festivités sont aussi organisées. Et dire que sa légende remonte au 3e siècle après Jésus-Christ ! Mais comment se fait-il qu'encore aujourd'hui, on célèbre cet imminent personnage ?Quelle est son histoire et d'où vient sa légende ? Quels sont vraiment ses miracles et d'où viennent ces intrigants personnages qui l'accompagnent comme le père Fouettard ?Pour percer une bonne fois pour toute le mystère qui entoure cette tradition, nous nous sommes rendus là où tout a commencé en France, à Saint-Nicolas-de-Port. Ou plutôt devrait-on dire à Port, qui était le nom de la ville avant que le chevalier Albert de Varangéville ne ramène au Xe siècle une relique du saint enterré à Bari, en Italie. Le reste, c'est Christophe Garland, directeur de la communication de la ville de Saint-Nicolas-de-Port, qui nous le raconte...Interview réalisée par Stéphane Cuny=> Le reportage complet à retrouver ici Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Chocolat chaud, pain d'épice ou encore friandises... Les grandes festivités de la Saint-Nicolas ont débuté ce vendredi 18 novembre à Nancy en Lorraine. Toute la ville est illuminée et animée à travers ses huit villages de Noël répartis dans la commune. Saint-Nicolas, le "père Noël des Lorrains", c'est en effet une grande tradition datant du XVe siècle dans la région. Si les fêtes de Noël se passent en famille, la Saint-Nicolas est un moment de partage entre amis : "On boit, on mange et on se retrouve", savoure un commerçant nancéien.

Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les cryptomonnaies rencontrent un franc succès auprès des investisseurs Lorrains et Francs-Comtois malgré la crise sanitaire. En quoi consistent ces monnaies virtuelles ? Pourquoi un tel engouement pour le Bitcoin ? Quels sont les risques ? Décryptage avec Thibaut Boutrou, responsable marketing de la société Just Mining, implantée à Metz-----Pour plus d'info, retrouvez notre enquête interactive Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Paris sportifs, PMU, poker... Des milliers de Lorrains et Francs-Comtois se sont mis à parier en ligne depuis le Covid-19. Un secteur en plein boom et l'arrivée de nouveaux joueurs suite aux confinements et à l'Euro 2021 notamment. Qui sont ces nouveaux parieurs ? Quel regard porte les joueurs expérimentés sur cet engouement pouvant rapidement conduire à l'endettement et l'addiction ? Entretien avec deux parieurs : Robin Chaillet, 25 ans, et Philippe Thomassin, 57 ans.Entretiens réalisés par Jordan Curé-Heaton Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

durée : 00:03:19 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour depuis 10 jours, Jérôme nous raconte la guerre de 1870-1871 et ce qui s'est passé après elle : l'annexion de la Moselle. Aujourd'hui, en conclusion de ces rendez-vous, il nous rappelle que les Lorrains de l'époque rêvaient de la réunion des deux Lorraines.

durée : 00:03:14 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - A l'occasion des 150 ans de la défaite de 1871, et de l'annexion de la Moselle et de l'Alsace par l'Allemagne, Jérôme nous raconte cette époque et nous rappelle toutes les conséquences qu'elle a encore de nos jours. Nous nous souvenons des "optants".

durée : 00:47:38 - Embarquement immédiat pour la gourmandise ! - Chaque samedi on s'offre un petit café avec des personnalités. Lorrains souvent, ces invités nous parlent aussi de leurs plats préférés et de leur métier ou de leur passion. Aujourd'hui, rencontre avec deux passionnés de Nancy, de Lorraine et de tourisme, gourmands aussi, Marine et Florent..

durée : 00:02:56 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour Jérome nous raconte ce qu'il trouve beau ou bon en Lorraine. Aujourd'hui, il nous emmène visiter quelques cimetières en Lorraine

durée : 00:25:36 - Embarquement immédiat pour la gourmandise ! - Aujourd'hui c'est une journée spéciale dédiée à nos agriculteurs par France Bleu. Du coup, on a zoomé sur nos agriculteurs vosgiens qui produisent du fromage en vente directe. Et Philippe Laruelle, le chef de la Maison DeBuyer (ustensiles culinaires) nous a donné des idées pour les cuisiner.

durée : 00:02:46 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour Jérôme se réjouit en parlant de notre Lorraine. Aujourd'hui, il est comme pas mal d'entre nous : elles nous manquent nos montagnes à nous les Lorraines et les Lorrains des plaines, de Nancy ou de Metz, qui attendons de pouvoir rejoindre Gérardmer, la Bresse et les montagnes des Vosges

durée : 00:04:14 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord

durée : 00:02:43 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour Jérôme nous raconte ce qu'il trouve beau ou bon en Lorraine. Toute cette semaine, il nous raconte la Saint Nicolas et ses belles traditions. Aujourd'hui, direction l'Italie et Rome pour saluer la présence de Saint Nicolas et de la Lorraine : l'église Saint Nicolas des Lorrains

durée : 00:02:59 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour Jérôme nous raconte son amour pour la Lorraine. Aujourd'hui, il s'arrête sur la rivière Moselle. Pour lui c'est un lien entre les Lorraines et les Lorrains.

durée : 00:04:00 - La Bonne Adresse du Jour de France Bleu Lorraine Nord - Des bons produits lorrains juste à côté de chez vous en Moselle !

durée : 00:04:02 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour, Jérôme Prod'homme nous raconte la Lorraine qu'il aime. C'est beau ou c'est bon et c'est en Lorraine. Beau comme le talent des auteur(e)s qui sont né(e)s, ont vécu ou on écrit ici...

durée : 00:03:44 - Le Like de France Bleu Lorraine Nord - La neige est précoce dans les Vosges, les Lorrains s'émerveillent

durée : 00:23:30 - Embarquement immédiat pour la gourmandise ! - Chaque jour, Jérôme nous raconte ce qu'il aime en Lorraine. Aujourd'hui, alors que ça bosse dans nos vignes puisque les vendanges ont commencé, il nous parle des vins de Lorraine. Une très ancienne tradition, au moins aussi ancienne que celle du bois...

durée : 00:03:04 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour, Jérôme Prod'homme nous raconte ce qu'il trouve beau ou bon en Lorraine. Aujourd'hui, il nous rappelle comme la Lorraine compte de nombreux et beaux châteaux privés. Les propriétaires vivent une histoire personnelle émouvante et passionnante, que le château vienne de la famille ou pas...

durée : 00:03:04 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour, Jérôme nous raconte ce qu'il aime en Lorraine. Aujourd'hui, il nous rappelle ce petit bonheur qu'est un passage par nos marchés...

durée : 00:03:26 - C'est beau c'est bon c'est en Lorraine - Chaque jour, Jérôme Prod'homme nous raconte ce qu'il trouve beau et bon en Lorraine. Aujourd'hui, zoom sur le savoir-faire si ancien et si beau de nos brasseurs Lorrains...

durée : 00:02:08 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:01:55 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:01:53 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:02:05 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:01:39 - 100% ASNL, la minute - L'ASNL en opération reconquête. Après avoir perdu leur premier match à domicile samedi dernier, les joueurs de Jean-Louis Garcia affrontent Chambly, ce vendredi pour la 26e journée de Ligue 2. Ce n'est pas parce les Lorrains ont gagné 3-0 au match aller qu'ils prennent cette rencontre à la légère.

durée : 00:01:55 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:02:12 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:02:04 - Les p'tits Lorrains France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:05:35 - Ta photo dans le journal France Bleu Sud Lorraine

durée : 00:03:03 - Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord - par : Vianney HUGUENOT

durée : 00:04:01 - Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord - par : Vianney HUGUENOT

durée : 00:03:28 - Les Rencontres de Vianney HUGUENOT France Bleu Lorraine Nord - par : Vianney HUGUENOT

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BULLES D'HISTOIRE les mardi et samedi à 10h30. Chronique animée par Stéphane Dubreil sur les bandes dessinées historiques. Cette semaine, "Le Voyage de Marcel Grob" de Philippe Colin (scénario) et Sébastien Goethals (dessins) aux éditions Futuropolis. Les Malgré-nous sont des Alsaciens et des Lorrains qui ont été intégrés de forces dans l’armée allemande à partir de 1942. Cette histoire douloureuse est souvent cachée dans cette région et au cœur des familles. Avec le Voyage de Marcel Grob, Philippe Collin, au scénario et Sébastien Goethals, au dessin, reviennent avec une rare intelligence sur l’histoire de Marcel, incorporé de force dans la Waffen SS.  Crédit photo de Philippe Collin (gauche) : Jean-Luc Bertini Ed. Futuropolis