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Journée historique en Guinée. Ce mardi 11 novembre marquera le lancement de la mine de Simandou, cette immense réserve de deux milliards de tonnes de fer à haute teneur. Une mine dont les Guinéens attendaient l'exploitation depuis trente ans. Bientôt, les deux principaux opérateurs, Winning Consortium Simandou (WCS), un consortium d'entreprises chinoises, et Simfer, une filiale de l'anglo-australienne Rio Tinto associée à la chinoise Chinalco, exporteront 120 millions de tonnes de fer par an, générant des milliards de dollars de revenus pour l'État guinéen. Ce projet lèguera aussi un chemin de fer de plus de 600 km entre le port de Morebaya et la mine dans l'est du pays. Et prévoit la construction, dans un deuxième temps, d'un port en eau profonde et d'une usine de transformation du minerai. Le ministre des Mines Bouna Sylla répond aux questions de RFI. RFI : Ce mardi 11 novembre marque le lancement du projet Simandou. Cela fait presque trente ans que l'on parle de ce projet, qui se concrétise enfin. C'est un jour historique pour la Guinée. Est-ce une satisfaction pour vous ? Bouna Sylla: C'est plus qu'une satisfaction. C'est plutôt le passage du rêve à la réalité pour des millions de Guinéens. Depuis nos pères fondateurs, tous les dirigeants qui se sont succédé ont eu pour objectif de réaliser ce projet. Finalement, c'est grâce au leadership du président de la République, Mamadi Doumbouya, que ce projet voit le jour de manière concrète, avec les infrastructures que vous voyez devant vous. Ce gigantesque projet est le plus gros projet mine-infrastructures dans le monde, avec 20 milliards de dollars d'investissements. Comme vous le dites, ce sera un des plus grands projets miniers du monde. Les entreprises doivent produire et exporter à terme 120 millions de tonnes de fer par an. Cela va générer des revenus considérables pour l'État guinéen à travers des taxes et des impôts. À combien chiffrez-vous ces revenus ? Quand on atteindra les 120 millions de tonnes, ce sera environ deux milliards de dollars de revenus qui seront générés par le projet, sans compter les revenus indirects. Le projet ne sera pas uniquement pour l'exportation du minerai brut, comme on l'a connu par le passé, mais ce minerai sera également transformé sur place pour plus de valeur ajoutée. Les premières années, les entreprises bénéficieront d'exonérations d'impôts relativement importantes. Les dix premières années, Winning Consortium Simandou (WCS) ne payera pas d'impôts sur les sociétés et Simfer bénéficiera d'une exonération de 50 % les huit premières années. Pourquoi ces exonérations aux entreprises ? Dans l'industrie minière, les revenus les plus sûrs sont les royalties, c'est-à-dire les taxes minières. Il n'y a pas d'exonération sur les taxes minières. Dans le cas de Simfer, les impôts sur les sociétés sont remplacés par le pilier deux de l'OCDE pour que, dès les premières années de profits, il y a 15 % de profits qui sont partagés avec l'État. À la fin de la période de l'impôt minimum forfaitaire de l'OCDE, on passera au droit commun qui est de 30 %. Dans combien de temps atteindra-t-on la production de 120 millions de tonnes de fer ? Dans les accords, c'est trois ans. Mais avec l'avance qui a été prise par les partenaires industriels dans la réalisation du projet, nous atteindrons ces 120 millions de tonnes au bout de deux ans. Simandou en phase d'exploitation représente environ combien d'emplois directs et indirects ? En phase de construction, c'est plus de 50 000 emplois. En phase d'exploitation, c'est entre 10 000 et 15 000 emplois directs, sans compter tous les emplois indirects. Quand vous mettez tout ça ensemble, cela sera au moins plus de 20 000 emplois. On est en train de passer de la phase de construction de la mine à la phase d'exploitation. Ces prochains mois, on va vers une perte de 30 000 emplois à peu près. Justement, dans le cadre du comité stratégique du projet Simandou, on a une task force qui s'appelle la « Task force de mobilisation » afin d'éviter que les 50 000 personnes qui travaillent sur ce projet ne se retrouvent pas au chômage. C'est pour cela que nous travaillons pour créer de nouveaux projets dans le cadre du programme Simandou 2040. Dans le secteur minier, on a un projet de raffinerie qu'on a lancé au mois de mars dernier, qui va absorber une partie de ces employés. D'ici à la fin de l'année, on va lancer un nouveau projet de raffinerie de transformation de bauxite en alumine. Tous ces projets que nous allons lancer permettront d'absorber, dans le cadre de la remobilisation des démobilisés du projet, ces 50 000 personnes et leur trouver des perspectives. Ce qui va permettre de réduire la pauvreté dans le pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023 sous le Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD). Qu'est-ce qui a changé à la suite de ces renégociations ? Au niveau fiscal, on a amélioré substantiellement les revenus attendus par l'État dans le projet de plus de 20 % par rapport aux conventions initiales. Mais aussi, chose extrêmement importante, les infrastructures telles que renégociées vont faire du transport marchandises, passagers et minerais. Il y aura un train de passagers par jour dans chaque direction et trois trains marchandises par semaine, ce qui permettra d'augmenter encore plus l'impact économique du projet pour l'ensemble du pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023. Une partie des résultats de ces négociations ont été publiés, mais pas tout. Notamment, la convention de codéveloppement, qui crée la Compagnie du Transguinéen (CTG) et qui encadre la gestion des infrastructures du projet, n'a pas été publiée. Certains observateurs estiment que c'est un manque de transparence. Quand est-ce que cette convention sera publiée ? Il faut se rendre compte que c'est un projet complexe. Il entre en production aujourd'hui, mais il y avait quelques documents qui étaient en cours d'ajustement. Après la construction des infrastructures, il faut six mois de mise en service pour s'assurer que l'ensemble de l'infrastructure est robuste. C'est après tout cela que l'on peut entrer dans les questions de publication des documents. On ne va pas publier quelque chose alors qu'on a six mois de mise en service. À la fin de la mise en service, c'est validé par les certificateurs indépendants internationaux qui sont recrutés, qui disent : « Tout est ok. Voici le coût des investissements. Le chemin de fer fonctionne bien, la signalisation fonctionne bien. Les boucles ferroviaires, etc. » C'est à la fin de tout cela que l'on pourra publier. Mais une fois que la mise en service du projet est finalisée, c'est-à-dire pas avant six mois, vers juin 2026. Puisque cette convention, pour l'heure, n'est pas publiée, on a peu de précisions encore sur la CTG qui sera l'opérateur des infrastructures. Quel est le statut de cette entreprise ? Les entreprises minières vont-elles, par exemple, devoir payer une redevance pour utiliser les infrastructures ? Qu'est-ce que va rapporter à l'État guinéen ? C'est une société anonyme, privée, de droit guinéen, qui est propriétaire des infrastructures et qui est opérateur de ces infrastructures pour les 35 prochaines années. Le modèle économique du projet, c'est que les principaux clients de la CTG, ce sont les mines. Les mines vont faire transporter leurs minerais sur le chemin de fer et l'exporter via le port. Ce n'est pas gratuit, ils vont payer des redevances d'utilisation de l'infrastructure. Ce sont ces redevances qui permettent à la CTG de fonctionner, mais également de rembourser les dettes contractées pour le financement de la réalisation de l'infrastructure. Certains responsables guinéens ont affirmé à plusieurs reprises que les entreprises minières construisaient un port en eau profonde pour accueillir les minéraliers, qui sont les bateaux servant à exporter le fer. Pourtant, sur les sites Internet de Simfer et de Winning Consortium Simandou, il est indiqué qu'ils construisent des ports de barges qui, elles, iront en haute mer pour déposer le fer sur des minéraliers. Finalement, quel type de ports aura-t-on pour ce projet ? À la fin de l'atteinte des 120 millions de tonnes, au bout de deux ou trois ans, on va engager les études de faisabilité pour l'extension de la capacité du port, pour passer à un port en eau profonde. Il faut d'abord faire les études de faisabilité qui nous diront combien de temps prendra la construction de l'infrastructure. Les conventions prévoient que les entreprises fassent une étude de faisabilité dans les deux ans, soit pour une aciérie d'une capacité de 500 000 tonnes par an, soit d'une usine de pellets - un produit intermédiaire entre le fer et l'acier - d'une capacité de deux millions de tonnes par an. En Guinée, l'un des problèmes majeurs pour l'industrialisation, c'est le manque d'énergie. Avec quelles solutions énergétiques peut-on construire de telles usines en Guinée ? Déjà, il y a une capacité aujourd'hui hydroélectrique qui permet de fournir de l'énergie à ce projet d'aciérie ou d'usines de pellets de 2 millions de tonnes. Il y a un barrage en construction de 300 mégawatts, qui est à plus de 45 % terminé. Il y a d'autres projets thermiques qui sont également en construction. Il y a une planification énergétique aujourd'hui du pays pour aligner les besoins énergétiques et industriels du pays avec le développement de nouveaux projets. Ce projet Simandou, avec les flux de revenus que cela va générer pour l'État, permettra également d'avoir plus de capacités de financement pour de nouvelles capacités énergétiques. En Guinée, il y a un autre grand gisement de fer, c'est la mine de fer du mont Nimba, qui n'est pas très loin de Simandou d'ailleurs. Ce projet reste bloqué parce que jusque là, les entreprises privilégiaient de faire sortir le minerai par le Liberia qui est plus proche, alors que l'État guinéen privilégiait une sortie par un port guinéen. Aujourd'hui, l'option que vous privilégiez, c'est de faire un raccordement entre le chemin de fer de Simandou et le mont Nimba ? La volonté du gouvernement, c'est de faire une boucle ferroviaire sur l'ensemble du pays. Le gisement du mont Nimba est à 130 kilomètres du chemin de fer de Simandou, ce n'est pas très loin. La question de capacité ne se pose pas, car il y a une capacité disponible sur l'infrastructure ferroviaire. Cela augmente aussi la viabilité du projet de Nimba, du fait de la disponibilité de l'infrastructure du Simandou. Il y a d'autres projets miniers de moindre envergure qui sont aussi en souffrance depuis un moment. Notamment la bauxite à Dabola-Tougué et le fer à Kalia, dans la région de Faranah. Envisagez-vous aussi de faire des raccordement de chemin de fer pour relancer ces projets miniers ? Tout le mérite de ce projet Simandou tel qu'il est pensé, conçu et réalisé, c'est d'être une infrastructure multi utilisateurs. Cela veut dire qu'il y a un droit d'accès des tiers qui sont le long du corridor. Vous avez parlé du projet de bauxite de Dabola-Tougué, du projet de minerai de fer de Kalia, et on vient de parler du mont Nimba. Tous ces projets négocieront des accords d'accès ferroviaire pour pouvoir transporter leurs minerais vers les ports qui se trouvent sur la côte. L'avantage du co-développement, c'est que ça permet d'avoir une infrastructure qui est économiquement viable parce que ça réduit les dépenses d'investissement de capital (Capex) pour tous les investisseurs. Cela permet aussi aux mines de pouvoir transporter leurs minerais à des prix compétitifs et devenir beaucoup plus viables. Le minerai de Kalia, s'il n'y avait pas la disponibilité de cette infrastructure, est difficile à sortir, car il est piégé dans l'arrière-pays. Mais du fait de la disponibilité de cette infrastructure et du droit d'accès qu'elle offre, avec des principes tarifaires extrêmement transparents pour tous les utilisateurs, c'est une chance pour tous les projets qui se trouvent le long du corridor d'être sur le marché. Une chance aussi pour la Guinée d'avoir à réaliser ces infrastructures conformément à cette vision. Sinon, on allait se retrouver avec une infrastructure dédiée uniquement au minerai de fer de Simandou, ce qui n'avait aucun sens. Malheureusement, sur les chantiers, il y a eu un certain nombre d'accidents et de morts. Winning Consortium a déclaré en octobre qu'il y avait eu deux morts chez eux. Nos confrères de Reuters ont publié en mars une enquête dévoilant qu'il y avait eu une dizaine de morts chez Winning Consortium. Au mois d'août, il y a eu un mort chez Rio Tinto. Quel est votre bilan du nombre de morts sur les chantiers ? Je ne commente pas les chiffres, mais ce que je peux vous dire que pour tous ces accidents, on a recruté des firmes indépendantes pour des enquêtes. Les résultats de ces enquêtes vont être révélés. Mais votre bilan, combien y a-t-il eu de morts sur la phase de construction en tout ? Comme je vous ai dit, il y a des enquêtes qui sont en cours. Quelqu'un peut aller au travail et il rentre le soir, il a la malaria, il meurt. On va déterminer si c'est à cause de son travail ou non. C'est pour cela que l'on met en place des enquêtes indépendantes. Il y a des firmes internationales qui ont été recrutées, qui font ces enquêtes dont les résultats seront communiquées ultérieurement. Les questions d'accident et de santé-sécurité pour les travailleurs du secteur minier sont un sujet extrêmement important pour nous. Nous travaillons avec tous les partenaires internationaux afin de prendre des mesures afin que ce type d'accident ne puisse se reproduire. Dans les conventions, il est prévu que 5 % des revenus induits par le projet Simandou aillent dans l'éducation. Pourriez-vous préciser ce projet ? 5 % des revenus de chacune des mines, en termes d'impôts et taxes, que l'État guinéen va percevoir, vont être affectés au financement du système éducatif à l'intérieur du pays. Construire des écoles, des bibliothèques, des enseignants pour augmenter le niveau de l'éducation, le niveau d'alphabétisation. Ensuite 20 % des impôts et taxes que l'État va percevoir provenant de la CTG pour amener aux meilleurs lycéens guinéens, des 33 préfectures du pays pendant les 35 prochaines années, des bourses d'études en France, aux États-Unis, en Chine, au Japon, dans le monde entier pour former les générations futures. L'argent pour les générations futures, c'est l'investissement sur le capital humain. Avec les 5 % de revenus induits par Simandou et les 20 % de la CTG, combien tablez-vous pour le budget de ce programme ? Pas moins de 200 à 300 millions de dollars par an. Il faut préciser que toutes ces bourses seront pour les filières scientifiques et techniques, parce que il faut former plus de gens pour la production que pour la gestion. Ce qui ferait à peu près combien de bourses d'études par an ? Je ne peux pas vous dire aujourd'hui avec certitude combien de personnes on pourrait envoyer, mais c'est des milliers de jeunes qui vont en profiter. 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Soirée entre amis, scène de rue ou simple story sur les réseaux... Filmer quelqu'un paraît anodin. Mais a-t-on le droit de diffuser ces images sans son accord ? Quels risques encoure-t-on ? Réponse dans ce podcast avec Me Emma Leoty. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 07 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:20 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Pascal Rambert, l'auteur contemporain français le plus joué à l'étranger, présente au Festival d'Automne sa nouvelle création Les Conséquences. Après "Clôture de l'amour", le metteur en scène explore ce qui demeure après la rupture et les mots de trop : ces conséquences qui façonnent nos existences. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Pascal Rambert auteur et metteur en scène
Quand tu reçois quelqu'un, tu ne reçois pas que lui by Rav David Touitou
COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Luc 16, 1-8 En ce temps-là, Jésus disait aux disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens. Il le convoqua et lui dit : “Qu'est-ce que j'apprends à ton sujet ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car tu ne peux plus être mon gérant.” Le gérant se dit en lui-même : “Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gestion ? Travailler la terre ? Je n'en ai pas la force. Mendier ? J'aurais honte. Je sais ce que je vais faire, pour qu'une fois renvoyé de ma gérance, des gens m'accueillent chez eux.” Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : “Combien dois-tu à mon maître ?” Il répondit : “Cent barils d'huile.” Le gérant lui dit : “Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante.” Puis il demanda à un autre : “Et toi, combien dois-tu ?” Il répondit : “Cent sacs de blé.” Le gérant lui dit : “Voici ton reçu, écris 80.” Le maître fit l'éloge de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté ; en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière. »
En Ukraine, la situation est très compliquée pour la défense ukrainienne à Pokrovsk. Assiégée par l'armée russe depuis plus d'un an, cette ville en ruine figure comme l'épicentre des combats sur le front est. L'offensive des soldats de Moscou s'intensifie sur le terrain, mais aussi en ligne, à coups d'infox générées par intelligence artificielle. À en croire une série de vidéos mensongères diffusées sur les réseaux sociaux ces derniers jours, des milliers de soldats ukrainiens « se seraient rendus à l'armée russe dans la région de Pokrovsk ». L'une d'entre-t-elle montre des dizaines d'hommes, désarmés, abandonnant leur tranchée. Une autre met en scène des centaines de combattants ukrainiens, alignés dans un champ, les mains sur la tête. Ces vidéos cumulent des millions de vues sur X, TikTok et Facebook. Vérification faite, ces clips ne sont pas réels. Ils ont tous ont été générés par Sora 2, le générateur de vidéos artificielles développé par Open AI, la start-up derrière Chat GPT. Plusieurs éléments le prouvent, à commencer par le petit logo Sora, apposé sur les images. Visuellement, on remarque aussi plusieurs incohérences, notamment au niveau des visages et des tenues portées par les soldats. De plus, ces vidéos durent chacune dix secondes. C'est, à ce jour, la durée standard des clips générés par Sora 2. Dans les faits, des milliers de soldats ukrainiens n'ont pas déposé les armes dans la région de Pokrovsk. L'armée russe elle-même n'a jamais communiqué sur un tel événement. À lire aussiSora 2: le générateur de vidéos par IA qui a tout pour devenir une usine à infox De jeunes soldats ukrainiens en pleurs ? Une autre vidéo mensongère censée montrer un soldat ukrainien en pleurs a également fait le tour des réseaux sociaux cette semaine. On y voit un jeune homme, dans un véhicule blindé, demander de l'aide en ukrainien. « J'ai été mobilisé, je me rends à Tchassiv Yar. Aidez-moi. Je ne veux pas mourir. Je n'ai que 23 ans », dit-il, les larmes aux yeux. Les comptes qui diffusent cette vidéo affirment que l'Ukraine forcerait les jeunes à aller à l'abattoir. Sauf qu'une nouvelle fois, tout est faux puisque cette vidéo a aussi été générée via Sora 2. Ce clip provient d'un compte TikTok, récemment supprimé, qui publiait quotidiennement ce type de contenu. C'est un cas particulier, car le visage du jeune homme visible dans ce clip correspond à celui d'un véritable influenceur russe, bel et bien vivant. Quelqu'un a donc détourné son identité. Dans les faits, la conscription en Ukraine ne concerne pas les moins de 25 ans. Désinformer et détourner l'attention Cette campagne de désinformation vise à dénigrer l'armée ukrainienne et affaiblir le soutien occidental à l'Ukraine. L'objectif, c'est aussi de détourner l'attention des difficultés rencontrées par l'armée russe depuis le lancement de son invasion à grande échelle en février 2022.
En 2020, Céline et sa famille emménagent dans une nouvelle maison. Les voisins ont un terrain en hauteur. Un mur de soutènement sépare les deux terrains. Problème, le voisin n'entretient pas les arbres et le mur. A cause de cela, les arbres tombent sur le terrain de Céline et le mur s'effondre. Malgré la gravité de la situation, rien n'est fait. L'enquêteur Thomas Renard revient sur les rebondissements du dossier traité ce matin en direct. Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 05 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:05 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivain, professeur américain Percival Everett, dont les écrits se situent à la frontière de plusieurs genres littéraires, vient nous parler de son livre "James" sorti aux Éditions de l'Olivier pour lequel il fut lauréat du prix Pulitzer de la fiction cette année. - invités : Percival EVERETT - Percival Everett : romancier américain - réalisé par : Lola COSTANTINI Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Quelle chance d'avoir pu rencontrer le premier poète de l'Afrique équatoriale Française, grand Prix de l'AEF en 56... Un dissident de la négritude à qui j'ai donné du Monsieur Martial Sinda. Il est rentré dans le studio comme une légende de poète-historien congolais, protégé de Léopold Sedar Senghor, il était de cette génération qui a vu le Blanc sur le dos du Noir, puis le Noir devenir Négritude, puis la Négritude l'accueillir en son sein littéraire. (Rediffusion) Martial Sinda, né en Afrique, le pays des commentaires est l'auteur d'un recueil de poèmes devenu collector Premier chant du départ & du non moins fameux. Le Messianisme congolais et ses incidences politiques depuis son apparition jusqu'à l'époque de l'indépendance, 1921-1961. ESM rend hommage à ce grand Quelqu'un disparu, l'été dernier, en rediffusant cet entretien qu'il nous accordait en 2014 où j'osais lui demander «Quand on vous demande d'où êtes-vous, que répondez-vous ?» Les choix musicaux de Martial Sinda - Moune de Rivel Amédée - Franklin Boukaka Les Immortels - Sidney Bechet Petite fleur.
« Les luttes, comme la terre, comme les rues, sont à ceux qui les travaillent », c'est ce qu'écrit Neige Sinno. Dans son dernier livre (La Realidad, P.O.L), elle nous entraîne à la découverte du mouvement zapatiste dans le Chiapas au Mexique. Après le coup de poing de « Triste tigre » (2013) - texte important sur l'inceste - elle poursuit ses réflexions autour de toutes les formes de domination. Neige Sinno est notre invité, cette semaine. La foi a-t-elle besoin de la religion ? Alors que le pape François est décédé le 21 avril 2025, c'est question que creuse la philosophe et écrivaine Camille Moreau dans son billet « A quoi tu penses ? » Enfin, dans « En toutes lettres ! », l'écrivaine et musicienne Blandine Rinkel écrit aux panneaux JC Decaux. Ce numéro vous avait déjà été proposé en avril 2025. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Comment se séparer le mieux possible ? Ou le moins pire possible ? Quels sont les petits détours qu'on peut tolérer ? A retrouver en vidéo sur le compte Instagram @madame.meuf Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:15 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Ce jeudi 30 octobre 2025, Trump et Xi Jinping se sont rencontrés dans la nuit. Mais ce qui devrait vraiment nous intéresser, c'est une autre rencontre qui, elle, n'a pas eu lieu.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
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COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Lc 13, 22-30 En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : “Seigneur, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes.” Alors vous vous mettrez à dire : “Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.” Il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.” Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Fatima Aït Bounoua, professeure de français, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Voici l'Évangile du mercredi 29 octobre 2025 : « On viendra de l'orient et de l'occident, prendre place au festin dans le royaume de Dieu » (Lc 13, 22-30) En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : “Seigneur, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes.” Alors vous vous mettrez à dire : “Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.” Il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.” Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Écouter ce que Jésus demande et le mettre en pratique
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COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Lc 13, 1-9 Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l'affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu'ils offraient. Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. » Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu'un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n'en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n'en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?” Mais le vigneron lui répondit : “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l'avenir. Sinon, tu le couperas.” »
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Jérôme Marty, médecin généraliste,, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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C'est un réflexe que l'on a tous, dès qu'on entend un éternuement, on se précipite pour placer une petite formule : le fameux “à tes souhaits”. Considéré comme une politesse aussi habituelle que “merci” ou “bonjour”, on ne la remarque même plus. D'ailleurs, pour beaucoup, on ne sait pas d'où elle vient. Cette petite phrase anodine est pourtant mystérieuse, plusieurs hypothèses sont avancées quant à son origine. Les premières traces d'une formule qui y ressemble remontent à l'Antiquité. En Grèce, l'éternuement avait alors deux significations principales, suivant les phases de la Lune ou le moment de la journée. Est-ce qu'on dit “à tes souhaits” depuis longtemps ? Comment on est passé de “Que Jupiter te conserve” à “À tes souhaits” ? Et alors, comment c'est devenu une formule de politesse ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : janvier 2023 À écouter aussi : Pourquoi dit-on avoir les dents du bonheur ? Pourquoi dit-on merde pour souhaiter bonne chance ? Pourquoi dit-on que la Joconde nous suit du regard ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ancien enseignant-chercheur en géographie, Michel Bussi né en 1965 a grandi en Normandie. C'est en 2006, à l'âge de quarante ans, qu'il publie son premier roman, «Code Lupin». Cinq ans plus tard, son polar «Nymphéas noirs», maintes fois récompensé, le révèle au grand public. Depuis, 21 titres ont paru aux Presses de la Cité, 12 millions d'exemplaires ont été vendus dans 38 pays : l'œuvre de Michel Bussi est aujourd'hui incontournable, en France comme à l'étranger. «Un pays si beau, vu du ciel. Un pays, à hauteur d'hommes, si cruel.» Octobre 1990. Le capitaine français Jorik Arteta, en mission au Rwanda, rencontre Espérance, jeune professeure engagée dans la transition démocratique de son pays. 6 avril 1994. Un éclair déchire le ciel de Kigali. Le Falcon du président rwandais explose en plein vol. Commencent alors cent jours de terreur et de sang. Les auteurs des tirs de missiles ne seront jamais identifiés. Quelqu'un, pourtant, connaît la vérité. Noël 2024. Jorik, sa fille et sa petite-fille s'envolent pour le Rwanda. Tous poursuivent leur propre quête, tourmentée par les fantômes du passé. Dans Les Ombres du monde, Michel Bussi fait entrer l'Histoire dans le roman et le roman dans l'Histoire, articulant, en maître du suspense, la construction romanesque avec les faits historiques. (Présentation des éditions Presses de la Cité) ILLUSTRATION MUSICALE : «Petit Pays» de Gaël Faye.
On a tous déjà menti. Tout le monde ment, c'est un fait. Parfois par intérêt, parfois pour éviter de blesser quelqu'un ou protéger une relation. Comme le disait l'essayiste et journaliste Maurice Chapelan, “Le mensonge est l'oxygène de la respiration sociale”. Mais certains mensonges font plus de mal que de bien. Alors, comment savoir si quelqu'un vous ment ? Il existe des signes, des indices, et tout commence par une chose essentielle : écouter attentivement ce qu'il dit. Comment repérer les mensonges dans les paroles ? Comment reconnaître le langage corporel d'un menteur ? Comment démasquer un menteur ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. Première diffusion : mars 2025. À écouter ensuite : Clitoris : quelles sont les 3 choses à savoir ? Comment peut-on se préparer à l'augmentation des catastrophes naturelles ? Pourquoi considère-t-on les femmes comme une minorité, alors qu'elles sont plus nombreuses sur Terre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que Cédric Jubillar assure n'avoir "jamais levé la main" sur son épouse, l'avocat des proches de Delphine affirme que l'accusé a une perception biaisée de la violence. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que Cédric Jubillar assure n'avoir "jamais levé la main" sur son épouse, l'avocat des proches de Delphine affirme que l'accusé a une perception biaisée de la violence. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : -Gauthier Le Bret -Eliot Deval -Georges Fenech Invité : -Martin Garagnon, Vice-Président Renaissance des Hauts-de-Seine Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:46 - La Série fiction - " C'est le bordel à tous les étages. Quelqu'un - je sais pas si on peut appeler ça un collègue - a volé 5000 balles et trois cents grammes de coke ce week-end…! "
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Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 29 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Dans cet épisode, je plonge dans un sujet aussi drôle que riche en vocabulaire : la connerie, les cons et les connards.Tout part d'une petite histoire personnelle qui m'a inspiré cette réflexion.Ensuite, je t'aide à explorer les nuances de sens entre ces mots familiers du français et leur usage au quotidien.Enfin, je partage l'analyse d'un universitaire qui propose une définition précise (et surprenante !) de ce qu'est un connard.Un épisode à la fois linguistique, culturel et plein d'humour, parfait pour enrichir ton français authentique.Si tu veux mieux comprendre le français parlé, ses subtilités et ses expressions populaires, cet épisode est fait pour toi !Le magazine que j'ai mentionné est : Psychologie de la connerie Bonne écoute,Virginie d'ehoui!------------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Tu veux enfin passer à la vitesse supérieure ? Prends des cours particuliers avec moi, c'est ici.Le club de lecture de roman policier, c'est ici.Un dollar fait la différence pour sauver les chiens et chats errants au Mexique, fais un don
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ne manquez pas la session EN DIRECT de juillet où Audrey nous emmènera plus en profondeur dans le puissant sujet de notre Autorité en Christ ! Découvrez où Audrey sera prochainement en consultant notre site web ! www.gotell.fr/itineraire Restez connectés avec Audrey Mack ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
Rejoignez Audrey ce mois-ci (juin) alors qu'elle prend le temps de répondre à certaines de vos questions les plus fréquentes lors de la session en direct ! Découvrez où Audrey sera prochainement en consultant notre site web ! www.gotell.fr/itineraire Restez connectés avec Audrey Mack ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.