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Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Baptiste des Monstiers, journaliste. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:46:34 - La 20e heure - par : Eva Bester - La romancière et nouvelliste Anne Serre, lauréate du Goncourt de la nouvelle en 2020 pour "Au cœur d'un été tout en or", vient nous présenter "Vertu et Rosalinde", d'une part son dernier roman paru en aout dernier au Mercure de France ainsi que la réédition de "Au secours", livre édité en 1998. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec le père Mathieu Rey https://www.paroisseetfamille.com/magasin/avent-careme/277-avent-2025-et-temps-de-noel-pour-les-cancres-a-l-ecole-des-saints-9791094621691.html
Avec Olivier Jaune
Découvrez le 1er épisode de notre 32ème histoire audio pour enfants : Elvire et la radio de Noël !La Radio de Noël, écoutée par de nombreux enfants, vient d'être sabotée. Quelqu'un brouille les ondes à l'heure de la matinale… et sans la radio, le traîneau du Père Noël ne pourra pas trouver son chemin dans le ciel ! Aidez-nous à mener l'enquête pour savoir qui sabote la radio et pourquoi !Au travers de cette histoire sous forme de calendrier de l'avent, retrouvez un épisode et une activité à faire tous les jours du 1er au 24 décembre pour progresser dans l'enquête. Pour cela, TÉLÉCHARGEZ votre cahier d'activités pour 8.95€ sur notre PATREON : https://www.patreon.com/posts/le-calendrier-de-144535869Une histoire originale d'Envolées Contées, écrite par Lucile Petit, co-réalisée par Suzanne Jolys et Héloïse Pierre ; illustrée par Marie Brd.Pour en savoir plus, RDV sur :notre site : https://www.clap.audio/envoleesconteesnotre compte instagram @envoleesconteesBonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez notre 32ème histoire audio pour enfants : Elvire et la radio de Noël !La Radio de Noël, écoutée par tous les enfants de la planète, vient d'être sabotée. Quelqu'un brouille les ondes à l'heure de la matinale… et sans la radio, le traîneau du Père Noël ne pourra pas trouver son chemin dans le ciel ! Aidez-nous à mener l'enquête pour savoir qui sabote la radio et pourquoi !Au travers de cette histoire sous forme de calendrier de l'avent, vous pourrez retrouver : un épisode et une activité à faire tous les jours du 1er au 24 décembre pour progresser dans l'enquête.Pour cela, retrouvez le premier épisode sur toutes les ondes à partir du 1er décembre, et télécharger votre cahier d'activités pour 8.99€ sur notre PATREON : https://www.patreon.com/posts/le-calendrier-de-144535869Une histoire originale d'Envolées Contées, écrite par Lucile Petit, co-réalisée par Suzanne Jolys et Héloïse Pierre ; illustrée par Marie Brd.Pour en savoir plus, RDV sur :notre site : https://www.clap.audio/envoleesconteesnotre compte instagram @envoleesconteesBonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'est de la République du Congo, déchiré par les conflits armés depuis une décennie, des organisations humanitaires locales et internationales sont à pied d'œuvre pour soutenir les milliers des personnes qui souffrent suite à la guerre. Parmi ces organisations, le Club RFI intervient dans les communautés au travers des aides, en soutenant la population meurtrière. Durant deux ans, plus de 100 000 femmes et enfants ont été pris en charge dans l'accompagnement psychosocial. Aujourd'hui, ces bénévoles nous racontent leurs engagements pour la communauté au risque de leurs vies. Dans le quartier Himbi, au cœur de Goma, sous un silence accompagné du chant des oiseaux, Nathalie Muchinya et Alphanie Thembo racontent leur engagement en faveur des habitants de l'est du pays. En dépit des incertitudes, ces deux membres du Club RFI de Goma sont décidées à aller à la rescousse des communautés. « Depuis la guerre du M23, j'organise deux séances de groupe de paroles, de résilience émotionnelle et de décharge émotionnelle avec les jeunes. Travailler pour le bien des autres personnes sans attendre quelque chose en retour », explique Alphanie Thembo. « Ce qui m'anime aujourd'hui est de travailler en tant que bénévole au sein du club RFI Goma. C'est cet esprit d'abord d'humanité. L'humanitaire, c'est vraiment important pour moi et ce service qu'on rend à la communauté. Quelqu'un vient et témoigne de ce que vous lui avez fait ressentir, ce que vous lui avez encore donné, de nouveau cet espoir de vivre », abonde Nathalie Muchinya. Nathanaël Bora, chargé de programme au sein de l'organisation, estime que servir les communautés qui souffrent devrait animer l'humanité aujourd'hui : « Nous ne sommes pas affectés de la même manière. Bien sûr que, nous aussi, vivons dans cette communauté. Il y a des difficultés que nous connaissons. Par exemple, à cause de ce conflit, il y a des femmes qui sont violées. Alors qu'est-ce que nous, au Club RFI, nous faisons ? Nous cherchons à mettre ensemble le psychologue bénévole pour l'accompagnement psychologique de ces femmes violées, de ces victimes de violences sexuelles. Je suis vraiment motivé à continuer à aider ma communauté. Parce que ma communauté a besoin des œuvres caritatives, des œuvres de bénévolat pour surmonter toutes les difficultés que nous connaissons. » Des besoins énormes Depuis la prise des villes de Goma et Bukavu, les besoins sont devenus énormes. Maître Zacharie Bashwira, coordonnateur du Club RFI, plaide pour plus du financement, au regard de la crise actuelle qui s'accentue et dont les femmes et les jeunes, dit-il, sont les premières victimes. « Notre objectif, c'est d'arriver à encadrer ces jeunes. Les clubs RFI, par exemple, viennent de donner une chance à une trentaine de jeunes orphelins de guerre qui vivent dans les orphelinats à Goma et à Nyiragongo. Nous les avons formés à des métiers professionnels. Aujourd'hui, ils sont sur le marché de l'emploi. On ne va pas s'arrêter là. On va continuer ces cycles pour essayer de passer d'une jeunesse à risque à une jeunesse opportune », détaille-t-il. Aujourd'hui, le Club RFI à Goma compte 39 volontaires permanents et une centaine des bénévoles occasionnels, qui œuvrent tous au service de la communauté.
Peines bonbon : qu’est-ce qui empêche ces criminels de recommencer? Nouveau règlement dans Ville St-Laurent pour pollution sonore. Quelqu’un a essayé de frauder Benoit ! La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
École Bedford: certains professeurs n’ont plus le droit d’enseigner, alors que d’autres sont toujours suspendus avec plein salaire. Marwah Rizqy a donné sa version à l’UPAC. La rencontre Maréchal-Dumont avec Isabelle Maréchal et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:46:29 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivain, poète, journaliste et réalisateur américain Dennis Cooper collabore de nouveau avec Zac Farley en réalisant « Room temperature », une comédie dramatique baignée d'horreur dans l'Amérique de l'ouest à la période d'Halloween. - invités : Dennis COOPER - Dennis Cooper : - réalisé par : Lola COSTANTINI Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Robert, 89 ans, se sent seul après avoir vécu des décennies en solitaire, en partie par ses propres choix relationnels. Il cherche à retrouver une vie de couple et de famille stable, avec une personne qui partage ses valeurs de simplicité et de chaleur humaine. Il espère rencontrer quelqu'un qui apprécie les plaisirs simples de la vie. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Le Fil philo - Vous voulez savoir ce qu'il faut faire pour être quelqu'un de bien ? Emmanuel Kant, philosophe du XVIIIᵉ siècle, vous répondrait que chaque dilemme moral est une expérience intime de liberté. Vraiment ? - réalisation : Françoise Le Floch
Complétez la phrase : "je connais quelqu'un qui sait faire… "
Chaque soir dans un podcast inédit, un ou une membre de l'équipe vous dévoile l'un des cas les plus attendus de l'émission du lendemain ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'histoire d'un jeune soudanais accusé d'être un passeur, et finalement reconnu victime par la justice en France. Ibrahim Aboubakar a passé plus de deux ans en détention préventive, avant d'être relaxé par le tribunal correctionnel de Paris, où il était jugé pour le naufrage entre la France et le Royaume-Uni d'une embarcation, en août 2023 ; sept migrants avaient perdu la vie. Huit hommes, afghans et kurdes irakiens, ont été condamnés à des peines de trois à 15 ans de prison. Ibrahim Aboubakar, lui, a enfin retrouvé la liberté. Dans le box, Ibrahim Aboubakar est le seul Africain. Mais aussi le seul rescapé de cette nuit d'horreur. Les autres accusés, eux, étaient restés à terre, après avoir organisé la traversée tragique en août 2023. Si le trentenaire soudanais est poursuivi, comme les autres, pour des activités supposées de passeurs, et sa responsabilité présumée dans la mort de sept exilés, c'est parce qu'il est accusé, depuis le début de l'enquête, d'avoir piloté le bateau pneumatique. « Le premier regard porté par les policiers sur les rescapés du naufrage, c'est de rechercher les pilotes du bateau. Parce que les policiers considèrent que les pilotes sont coupables, en gros, d'aider au trafic illicite de migrants. Et donc, plutôt que de venir en aide à des gens qui sont en train de cracher de l'eau de mer, leur seule préoccupation est d'interpeller des personnes considérées comme des barreurs ou les pilotes des navires », dénonce Me Raphaël Kempf, l'avocat Ibrahim Aboubakar. Les rescapés, tous Afghans, à l'exception d'Ibrahim et d'un jeune Sud-Soudanais, désignent les deux Africains, comme les pilotes. Peut-être sur ordre des passeurs, suggère l'avocat. Ibrahim Aboubakar a toujours nié. Pour MeKempf, le trentenaire est une victime dans cette affaire. « Lui-même aurait pu perdre la vie dans ce naufrage. C'est absolument terrible de l'accuser d'avoir une part de responsabilité. Les lois qui punissent les passeurs exigent qu'il y ait une forme d'enrichissement, ce qui n'est absolument pas le cas. On en vient à punir quelqu'un et à l'enfermer en prison pendant plus de deux ans. Quelqu'un qui n'a souhaité que fuir la situation génocidaire et trouver un pays d'accueil où il puisse construire une existence un peu digne », explique-t-il. Du Soudan aux côtes du nord de la France Contrairement aux autres accusés, Ibrahim Aboubakar a longuement été interrogé sur son parcours, du Soudan aux côtes du nord de la France. Bruno Bourgin, bénévole pour l'association La Cimade, est allé à sa rencontre en prison. Il décrit une longue série de fuites. « Son village a été détruit en 2003. Sa famille s'est réfugiée dans un camp à côté d'El-Geneina. Quand les choses se sont complètement dégradées en 2022-2023, ce fut la fuite au Tchad. Et c'est là qu'il a laissé sa famille. Fuite suivante, il est parti en Libye en pensant y trouver du travail. Et puis là, il s'est fait ramasser par une milice, torturé. Ce qui le tient, c'est vraiment cette volonté farouche de trouver une solution pour pouvoir venir en aide à sa famille », raconte Bruno Bourgin. La traversée de la Méditerranée, l'Italie, puis la France... Le sort d'Ibrahim Aboubakar doit être distingué de celui des autres prévenus, a tranché la procureure. « Il est temps que vous sortiez de prison », lui a-t-elle lancé, même si elle reste persuadée que le trentenaire était bien à la barre du bateau. Pour cette raison, elle a réclamé à son encontre deux ans de prison avec sursis. Le tribunal l'a finalement relaxé. Ibrahim Aboubakar peut enfin cesser de fuir. À lire aussiNaufrage dans la Manche en 2023: 3 à 15 ans de prison requis contre huit passeurs présumés
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Journée historique en Guinée. Ce mardi 11 novembre marquera le lancement de la mine de Simandou, cette immense réserve de deux milliards de tonnes de fer à haute teneur. Une mine dont les Guinéens attendaient l'exploitation depuis trente ans. Bientôt, les deux principaux opérateurs, Winning Consortium Simandou (WCS), un consortium d'entreprises chinoises, et Simfer, une filiale de l'anglo-australienne Rio Tinto associée à la chinoise Chinalco, exporteront 120 millions de tonnes de fer par an, générant des milliards de dollars de revenus pour l'État guinéen. Ce projet lèguera aussi un chemin de fer de plus de 600 km entre le port de Morebaya et la mine dans l'est du pays. Et prévoit la construction, dans un deuxième temps, d'un port en eau profonde et d'une usine de transformation du minerai. Le ministre des Mines Bouna Sylla répond aux questions de RFI. RFI : Ce mardi 11 novembre marque le lancement du projet Simandou. Cela fait presque trente ans que l'on parle de ce projet, qui se concrétise enfin. C'est un jour historique pour la Guinée. Est-ce une satisfaction pour vous ? Bouna Sylla: C'est plus qu'une satisfaction. C'est plutôt le passage du rêve à la réalité pour des millions de Guinéens. Depuis nos pères fondateurs, tous les dirigeants qui se sont succédé ont eu pour objectif de réaliser ce projet. Finalement, c'est grâce au leadership du président de la République, Mamadi Doumbouya, que ce projet voit le jour de manière concrète, avec les infrastructures que vous voyez devant vous. Ce gigantesque projet est le plus gros projet mine-infrastructures dans le monde, avec 20 milliards de dollars d'investissements. Comme vous le dites, ce sera un des plus grands projets miniers du monde. Les entreprises doivent produire et exporter à terme 120 millions de tonnes de fer par an. Cela va générer des revenus considérables pour l'État guinéen à travers des taxes et des impôts. À combien chiffrez-vous ces revenus ? Quand on atteindra les 120 millions de tonnes, ce sera environ deux milliards de dollars de revenus qui seront générés par le projet, sans compter les revenus indirects. Le projet ne sera pas uniquement pour l'exportation du minerai brut, comme on l'a connu par le passé, mais ce minerai sera également transformé sur place pour plus de valeur ajoutée. Les premières années, les entreprises bénéficieront d'exonérations d'impôts relativement importantes. Les dix premières années, Winning Consortium Simandou (WCS) ne payera pas d'impôts sur les sociétés et Simfer bénéficiera d'une exonération de 50 % les huit premières années. Pourquoi ces exonérations aux entreprises ? Dans l'industrie minière, les revenus les plus sûrs sont les royalties, c'est-à-dire les taxes minières. Il n'y a pas d'exonération sur les taxes minières. Dans le cas de Simfer, les impôts sur les sociétés sont remplacés par le pilier deux de l'OCDE pour que, dès les premières années de profits, il y a 15 % de profits qui sont partagés avec l'État. À la fin de la période de l'impôt minimum forfaitaire de l'OCDE, on passera au droit commun qui est de 30 %. Dans combien de temps atteindra-t-on la production de 120 millions de tonnes de fer ? Dans les accords, c'est trois ans. Mais avec l'avance qui a été prise par les partenaires industriels dans la réalisation du projet, nous atteindrons ces 120 millions de tonnes au bout de deux ans. Simandou en phase d'exploitation représente environ combien d'emplois directs et indirects ? En phase de construction, c'est plus de 50 000 emplois. En phase d'exploitation, c'est entre 10 000 et 15 000 emplois directs, sans compter tous les emplois indirects. Quand vous mettez tout ça ensemble, cela sera au moins plus de 20 000 emplois. On est en train de passer de la phase de construction de la mine à la phase d'exploitation. Ces prochains mois, on va vers une perte de 30 000 emplois à peu près. Justement, dans le cadre du comité stratégique du projet Simandou, on a une task force qui s'appelle la « Task force de mobilisation » afin d'éviter que les 50 000 personnes qui travaillent sur ce projet ne se retrouvent pas au chômage. C'est pour cela que nous travaillons pour créer de nouveaux projets dans le cadre du programme Simandou 2040. Dans le secteur minier, on a un projet de raffinerie qu'on a lancé au mois de mars dernier, qui va absorber une partie de ces employés. D'ici à la fin de l'année, on va lancer un nouveau projet de raffinerie de transformation de bauxite en alumine. Tous ces projets que nous allons lancer permettront d'absorber, dans le cadre de la remobilisation des démobilisés du projet, ces 50 000 personnes et leur trouver des perspectives. Ce qui va permettre de réduire la pauvreté dans le pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023 sous le Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD). Qu'est-ce qui a changé à la suite de ces renégociations ? Au niveau fiscal, on a amélioré substantiellement les revenus attendus par l'État dans le projet de plus de 20 % par rapport aux conventions initiales. Mais aussi, chose extrêmement importante, les infrastructures telles que renégociées vont faire du transport marchandises, passagers et minerais. Il y aura un train de passagers par jour dans chaque direction et trois trains marchandises par semaine, ce qui permettra d'augmenter encore plus l'impact économique du projet pour l'ensemble du pays. Les conventions ont été renégociées en 2022 et 2023. Une partie des résultats de ces négociations ont été publiés, mais pas tout. Notamment, la convention de codéveloppement, qui crée la Compagnie du Transguinéen (CTG) et qui encadre la gestion des infrastructures du projet, n'a pas été publiée. Certains observateurs estiment que c'est un manque de transparence. Quand est-ce que cette convention sera publiée ? Il faut se rendre compte que c'est un projet complexe. Il entre en production aujourd'hui, mais il y avait quelques documents qui étaient en cours d'ajustement. Après la construction des infrastructures, il faut six mois de mise en service pour s'assurer que l'ensemble de l'infrastructure est robuste. C'est après tout cela que l'on peut entrer dans les questions de publication des documents. On ne va pas publier quelque chose alors qu'on a six mois de mise en service. À la fin de la mise en service, c'est validé par les certificateurs indépendants internationaux qui sont recrutés, qui disent : « Tout est ok. Voici le coût des investissements. Le chemin de fer fonctionne bien, la signalisation fonctionne bien. Les boucles ferroviaires, etc. » C'est à la fin de tout cela que l'on pourra publier. Mais une fois que la mise en service du projet est finalisée, c'est-à-dire pas avant six mois, vers juin 2026. Puisque cette convention, pour l'heure, n'est pas publiée, on a peu de précisions encore sur la CTG qui sera l'opérateur des infrastructures. Quel est le statut de cette entreprise ? Les entreprises minières vont-elles, par exemple, devoir payer une redevance pour utiliser les infrastructures ? Qu'est-ce que va rapporter à l'État guinéen ? C'est une société anonyme, privée, de droit guinéen, qui est propriétaire des infrastructures et qui est opérateur de ces infrastructures pour les 35 prochaines années. Le modèle économique du projet, c'est que les principaux clients de la CTG, ce sont les mines. Les mines vont faire transporter leurs minerais sur le chemin de fer et l'exporter via le port. Ce n'est pas gratuit, ils vont payer des redevances d'utilisation de l'infrastructure. Ce sont ces redevances qui permettent à la CTG de fonctionner, mais également de rembourser les dettes contractées pour le financement de la réalisation de l'infrastructure. Certains responsables guinéens ont affirmé à plusieurs reprises que les entreprises minières construisaient un port en eau profonde pour accueillir les minéraliers, qui sont les bateaux servant à exporter le fer. Pourtant, sur les sites Internet de Simfer et de Winning Consortium Simandou, il est indiqué qu'ils construisent des ports de barges qui, elles, iront en haute mer pour déposer le fer sur des minéraliers. Finalement, quel type de ports aura-t-on pour ce projet ? À la fin de l'atteinte des 120 millions de tonnes, au bout de deux ou trois ans, on va engager les études de faisabilité pour l'extension de la capacité du port, pour passer à un port en eau profonde. Il faut d'abord faire les études de faisabilité qui nous diront combien de temps prendra la construction de l'infrastructure. Les conventions prévoient que les entreprises fassent une étude de faisabilité dans les deux ans, soit pour une aciérie d'une capacité de 500 000 tonnes par an, soit d'une usine de pellets - un produit intermédiaire entre le fer et l'acier - d'une capacité de deux millions de tonnes par an. En Guinée, l'un des problèmes majeurs pour l'industrialisation, c'est le manque d'énergie. Avec quelles solutions énergétiques peut-on construire de telles usines en Guinée ? Déjà, il y a une capacité aujourd'hui hydroélectrique qui permet de fournir de l'énergie à ce projet d'aciérie ou d'usines de pellets de 2 millions de tonnes. Il y a un barrage en construction de 300 mégawatts, qui est à plus de 45 % terminé. Il y a d'autres projets thermiques qui sont également en construction. Il y a une planification énergétique aujourd'hui du pays pour aligner les besoins énergétiques et industriels du pays avec le développement de nouveaux projets. Ce projet Simandou, avec les flux de revenus que cela va générer pour l'État, permettra également d'avoir plus de capacités de financement pour de nouvelles capacités énergétiques. En Guinée, il y a un autre grand gisement de fer, c'est la mine de fer du mont Nimba, qui n'est pas très loin de Simandou d'ailleurs. Ce projet reste bloqué parce que jusque là, les entreprises privilégiaient de faire sortir le minerai par le Liberia qui est plus proche, alors que l'État guinéen privilégiait une sortie par un port guinéen. Aujourd'hui, l'option que vous privilégiez, c'est de faire un raccordement entre le chemin de fer de Simandou et le mont Nimba ? La volonté du gouvernement, c'est de faire une boucle ferroviaire sur l'ensemble du pays. Le gisement du mont Nimba est à 130 kilomètres du chemin de fer de Simandou, ce n'est pas très loin. La question de capacité ne se pose pas, car il y a une capacité disponible sur l'infrastructure ferroviaire. Cela augmente aussi la viabilité du projet de Nimba, du fait de la disponibilité de l'infrastructure du Simandou. Il y a d'autres projets miniers de moindre envergure qui sont aussi en souffrance depuis un moment. Notamment la bauxite à Dabola-Tougué et le fer à Kalia, dans la région de Faranah. Envisagez-vous aussi de faire des raccordement de chemin de fer pour relancer ces projets miniers ? Tout le mérite de ce projet Simandou tel qu'il est pensé, conçu et réalisé, c'est d'être une infrastructure multi utilisateurs. Cela veut dire qu'il y a un droit d'accès des tiers qui sont le long du corridor. Vous avez parlé du projet de bauxite de Dabola-Tougué, du projet de minerai de fer de Kalia, et on vient de parler du mont Nimba. Tous ces projets négocieront des accords d'accès ferroviaire pour pouvoir transporter leurs minerais vers les ports qui se trouvent sur la côte. L'avantage du co-développement, c'est que ça permet d'avoir une infrastructure qui est économiquement viable parce que ça réduit les dépenses d'investissement de capital (Capex) pour tous les investisseurs. Cela permet aussi aux mines de pouvoir transporter leurs minerais à des prix compétitifs et devenir beaucoup plus viables. Le minerai de Kalia, s'il n'y avait pas la disponibilité de cette infrastructure, est difficile à sortir, car il est piégé dans l'arrière-pays. Mais du fait de la disponibilité de cette infrastructure et du droit d'accès qu'elle offre, avec des principes tarifaires extrêmement transparents pour tous les utilisateurs, c'est une chance pour tous les projets qui se trouvent le long du corridor d'être sur le marché. Une chance aussi pour la Guinée d'avoir à réaliser ces infrastructures conformément à cette vision. Sinon, on allait se retrouver avec une infrastructure dédiée uniquement au minerai de fer de Simandou, ce qui n'avait aucun sens. Malheureusement, sur les chantiers, il y a eu un certain nombre d'accidents et de morts. Winning Consortium a déclaré en octobre qu'il y avait eu deux morts chez eux. Nos confrères de Reuters ont publié en mars une enquête dévoilant qu'il y avait eu une dizaine de morts chez Winning Consortium. Au mois d'août, il y a eu un mort chez Rio Tinto. Quel est votre bilan du nombre de morts sur les chantiers ? Je ne commente pas les chiffres, mais ce que je peux vous dire que pour tous ces accidents, on a recruté des firmes indépendantes pour des enquêtes. Les résultats de ces enquêtes vont être révélés. Mais votre bilan, combien y a-t-il eu de morts sur la phase de construction en tout ? Comme je vous ai dit, il y a des enquêtes qui sont en cours. Quelqu'un peut aller au travail et il rentre le soir, il a la malaria, il meurt. On va déterminer si c'est à cause de son travail ou non. C'est pour cela que l'on met en place des enquêtes indépendantes. Il y a des firmes internationales qui ont été recrutées, qui font ces enquêtes dont les résultats seront communiquées ultérieurement. Les questions d'accident et de santé-sécurité pour les travailleurs du secteur minier sont un sujet extrêmement important pour nous. Nous travaillons avec tous les partenaires internationaux afin de prendre des mesures afin que ce type d'accident ne puisse se reproduire. Dans les conventions, il est prévu que 5 % des revenus induits par le projet Simandou aillent dans l'éducation. Pourriez-vous préciser ce projet ? 5 % des revenus de chacune des mines, en termes d'impôts et taxes, que l'État guinéen va percevoir, vont être affectés au financement du système éducatif à l'intérieur du pays. Construire des écoles, des bibliothèques, des enseignants pour augmenter le niveau de l'éducation, le niveau d'alphabétisation. Ensuite 20 % des impôts et taxes que l'État va percevoir provenant de la CTG pour amener aux meilleurs lycéens guinéens, des 33 préfectures du pays pendant les 35 prochaines années, des bourses d'études en France, aux États-Unis, en Chine, au Japon, dans le monde entier pour former les générations futures. L'argent pour les générations futures, c'est l'investissement sur le capital humain. Avec les 5 % de revenus induits par Simandou et les 20 % de la CTG, combien tablez-vous pour le budget de ce programme ? Pas moins de 200 à 300 millions de dollars par an. Il faut préciser que toutes ces bourses seront pour les filières scientifiques et techniques, parce que il faut former plus de gens pour la production que pour la gestion. Ce qui ferait à peu près combien de bourses d'études par an ? Je ne peux pas vous dire aujourd'hui avec certitude combien de personnes on pourrait envoyer, mais c'est des milliers de jeunes qui vont en profiter. À lire aussiGuinée: les autorités inaugurent le mégaprojet minier de Simandou
Si tu veux apprendre à garder ton calme et rester alignée même quand on te déstabilise, télécharge mon guide ESSENCE, il est offert.C'est la première étape avant de rejoindre mon programme du même nom.--Quand l'admiration se transforme en malaise, il devient difficile de savoir comment réagir.Tu veux rester bienveillante, mais tu te sens observée, imitée, vidée.Dans cet épisode, je t'explique comment poser des limites claires sans te sentir coupable, et pourquoi s'éloigner peut parfois être la forme la plus saine d'aide.
Soirée entre amis, scène de rue ou simple story sur les réseaux... Filmer quelqu'un paraît anodin. Mais a-t-on le droit de diffuser ces images sans son accord ? Quels risques encoure-t-on ? Réponse dans ce podcast avec Me Emma Leoty. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 07 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:20 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Pascal Rambert, l'auteur contemporain français le plus joué à l'étranger, présente au Festival d'Automne sa nouvelle création Les Conséquences. Après "Clôture de l'amour", le metteur en scène explore ce qui demeure après la rupture et les mots de trop : ces conséquences qui façonnent nos existences. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Pascal Rambert auteur et metteur en scène
Quand tu reçois quelqu'un, tu ne reçois pas que lui by Rav David Touitou
En 2020, Céline et sa famille emménagent dans une nouvelle maison. Les voisins ont un terrain en hauteur. Un mur de soutènement sépare les deux terrains. Problème, le voisin n'entretient pas les arbres et le mur. A cause de cela, les arbres tombent sur le terrain de Céline et le mur s'effondre. Malgré la gravité de la situation, rien n'est fait. L'enquêteur Thomas Renard revient sur les rebondissements du dossier traité ce matin en direct. Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, chroniqueur. - Eliot Deval, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Elisabeth Assayag, chroniqueuse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 05 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:45:05 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivain, professeur américain Percival Everett, dont les écrits se situent à la frontière de plusieurs genres littéraires, vient nous parler de son livre "James" sorti aux Éditions de l'Olivier pour lequel il fut lauréat du prix Pulitzer de la fiction cette année. - invités : Percival EVERETT - Percival Everett : romancier américain - réalisé par : Lola COSTANTINI Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 05 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Quelle chance d'avoir pu rencontrer le premier poète de l'Afrique équatoriale Française, grand Prix de l'AEF en 56... Un dissident de la négritude à qui j'ai donné du Monsieur Martial Sinda. Il est rentré dans le studio comme une légende de poète-historien congolais, protégé de Léopold Sedar Senghor, il était de cette génération qui a vu le Blanc sur le dos du Noir, puis le Noir devenir Négritude, puis la Négritude l'accueillir en son sein littéraire. (Rediffusion) Martial Sinda, né en Afrique, le pays des commentaires est l'auteur d'un recueil de poèmes devenu collector Premier chant du départ & du non moins fameux. Le Messianisme congolais et ses incidences politiques depuis son apparition jusqu'à l'époque de l'indépendance, 1921-1961. ESM rend hommage à ce grand Quelqu'un disparu, l'été dernier, en rediffusant cet entretien qu'il nous accordait en 2014 où j'osais lui demander «Quand on vous demande d'où êtes-vous, que répondez-vous ?» Les choix musicaux de Martial Sinda - Moune de Rivel Amédée - Franklin Boukaka Les Immortels - Sidney Bechet Petite fleur.
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Comment se séparer le mieux possible ? Ou le moins pire possible ? Quels sont les petits détours qu'on peut tolérer ? A retrouver en vidéo sur le compte Instagram @madame.meuf Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:15 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani - Ce jeudi 30 octobre 2025, Trump et Xi Jinping se sont rencontrés dans la nuit. Mais ce qui devrait vraiment nous intéresser, c'est une autre rencontre qui, elle, n'a pas eu lieu.
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
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Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Fatima Aït Bounoua, professeure de français, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Écouter ce que Jésus demande et le mettre en pratique
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Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Jérôme Marty, médecin généraliste,, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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C'est un réflexe que l'on a tous, dès qu'on entend un éternuement, on se précipite pour placer une petite formule : le fameux “à tes souhaits”. Considéré comme une politesse aussi habituelle que “merci” ou “bonjour”, on ne la remarque même plus. D'ailleurs, pour beaucoup, on ne sait pas d'où elle vient. Cette petite phrase anodine est pourtant mystérieuse, plusieurs hypothèses sont avancées quant à son origine. Les premières traces d'une formule qui y ressemble remontent à l'Antiquité. En Grèce, l'éternuement avait alors deux significations principales, suivant les phases de la Lune ou le moment de la journée. Est-ce qu'on dit “à tes souhaits” depuis longtemps ? Comment on est passé de “Que Jupiter te conserve” à “À tes souhaits” ? Et alors, comment c'est devenu une formule de politesse ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : janvier 2023 À écouter aussi : Pourquoi dit-on avoir les dents du bonheur ? Pourquoi dit-on merde pour souhaiter bonne chance ? Pourquoi dit-on que la Joconde nous suit du regard ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On a tous déjà menti. Tout le monde ment, c'est un fait. Parfois par intérêt, parfois pour éviter de blesser quelqu'un ou protéger une relation. Comme le disait l'essayiste et journaliste Maurice Chapelan, “Le mensonge est l'oxygène de la respiration sociale”. Mais certains mensonges font plus de mal que de bien. Alors, comment savoir si quelqu'un vous ment ? Il existe des signes, des indices, et tout commence par une chose essentielle : écouter attentivement ce qu'il dit. Comment repérer les mensonges dans les paroles ? Comment reconnaître le langage corporel d'un menteur ? Comment démasquer un menteur ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. Première diffusion : mars 2025. À écouter ensuite : Clitoris : quelles sont les 3 choses à savoir ? Comment peut-on se préparer à l'augmentation des catastrophes naturelles ? Pourquoi considère-t-on les femmes comme une minorité, alors qu'elles sont plus nombreuses sur Terre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que Cédric Jubillar assure n'avoir "jamais levé la main" sur son épouse, l'avocat des proches de Delphine affirme que l'accusé a une perception biaisée de la violence. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:46 - La Série fiction - " C'est le bordel à tous les étages. Quelqu'un - je sais pas si on peut appeler ça un collègue - a volé 5000 balles et trois cents grammes de coke ce week-end…! "
durée : 00:28:46 - La Série fiction - " C'est le bordel à tous les étages. Quelqu'un - je sais pas si on peut appeler ça un collègue - a volé 5000 balles et trois cents grammes de coke ce week-end…! "
Dans cet épisode, je plonge dans un sujet aussi drôle que riche en vocabulaire : la connerie, les cons et les connards.Tout part d'une petite histoire personnelle qui m'a inspiré cette réflexion.Ensuite, je t'aide à explorer les nuances de sens entre ces mots familiers du français et leur usage au quotidien.Enfin, je partage l'analyse d'un universitaire qui propose une définition précise (et surprenante !) de ce qu'est un connard.Un épisode à la fois linguistique, culturel et plein d'humour, parfait pour enrichir ton français authentique.Si tu veux mieux comprendre le français parlé, ses subtilités et ses expressions populaires, cet épisode est fait pour toi !Le magazine que j'ai mentionné est : Psychologie de la connerie Bonne écoute,Virginie d'ehoui!------------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Tu veux enfin passer à la vitesse supérieure ? Prends des cours particuliers avec moi, c'est ici.Le club de lecture de roman policier, c'est ici.Un dollar fait la différence pour sauver les chiens et chats errants au Mexique, fais un don