Podcasts about quelqu

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Les Grandes Gueules
La charge du jour - Jean-François Copé : "Sébastien Lecornu est quelqu'un d'extrêmement solide, travailleur... ce qui va faire un petit changement" - 10/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 3:27


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Didier Giraud et Bruno Poncet, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le Réveil Chérie
20% des hommes font ceci dès leur 1er mois de relation avec quelqu'un, de quoi s'agit-il ? - Le sondage du jour

Le Réveil Chérie

Play Episode Listen Later Sep 10, 2025 0:50


Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''''actualité !

Tout savoir en 24 minutes
Bonnardel: «Il fallait sacrifier quelqu'un sur l'autel de SAAQclic…», note Mario

Tout savoir en 24 minutes

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 19:13


Le poste de François Bonnardel sacrifié. Sondage: la CAQ descendrait en 4e position… Vers un autre SAAQclic? Le premier ministre français démissionnera aujourd’hui. Epstein: voici la lettre qui «n’existait pas». Coup de théâtre: Révolution est de retour Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

la Voix des Mots, podcast écriture, édition & bien-être
99 - Écrire pour exister : Comète et moi contre l'invisibilisation dans l'édition

la Voix des Mots, podcast écriture, édition & bien-être

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 24:22


Hello, j'espère que tu vas bien, que tu as passé un bel été, et que la rentrée se déroule en douceur. Ça faisait un petit moment que tu n'avais pas entendu ma voix ou lu mes mots : le dernier épisode datait du début du mois d'août. J'ai pris le temps de réfléchir, de poser mes intentions pour ce podcast et pour tout ce que j'ai envie de partager avec toi. J'en suis arrivée à la conclusion que, pour l'instant, un rythme d'un épisode par mois est ce qui me convient le mieux.Je préfère miser sur la régularité et l'engagement plutôt que de me disperser. Bien sûr, si une actualité brûlante surgit ou si un sujet me touche particulièrement, je pourrai toujours faire un épisode bonus. Mais en ce moment, avec la fin d'année qui s'annonce bien chargée, je préfère rester réaliste et tenir la cadence.Et aujourd'hui, j'ai envie de te raconter ce qui a bougé ces dernières semaines, ce qui a traversé ma tête et mon cœur, ce qui m'a révoltée aussi… Parce qu'on va parler de visibilité, de place en librairie, de commentaires parfois violents, mais aussi de mon parcours d'autrice, depuis mes premiers mots d'enfant jusqu'à la signature de mon roman Comète en maison d'édition.Le déclic : chercher des livres qui ressemblent à ComèteTout a commencé par une scène toute simple, presque banale : en juin, j'étais à Paris et j'ai eu envie d'aller fouiller en librairie. Pas pour acheter au hasard, mais pour répondre à une question très précise : où sont rangés les romans contemporains écrits par des personnes noires françaises, avec des personnages noirs ? Pas francophones venus d'ailleurs, pas des traductions, mais bien des voix d'ici, en France.Je suis allée dans trois FNAC et trois grandes librairies. Et j'ai fait chou blanc. Personne n'a pu m'orienter. Je ne trouvais pas ce que je cherchais. Bien sûr, je sais que ces livres existent, mais leur invisibilité m'a sauté au visage. Et immédiatement, une question m'a frappée : le jour où Comète sortira en librairie, où sera-t-il rangé ?Parce que soyons honnêtes : si un roman est rangé par la tranche dans un rayon anonyme, il est invisible. S'il n'est pas mis en avant avec d'autres livres similaires, comment le lecteur ou la lectrice lambda pourra-t-il tomber dessus ? Et si, au contraire, il est tout seul, isolé, est-ce qu'il ne deviendra pas “trop” ? Trop ostentatoire, trop intrigant ?Je me suis perdue dans ces questions, pas toujours rationnelles peut-être, mais profondément liées à une réalité : je n'ai pas trouvé de romans qui ressemblent au mien.Oui, il y a des exceptions, comme Léonora Miano. Mais si on ajoute le critère du Young Adult, alors là… c'est encore plus vide. Et si en plus on cherche un roman contemporain qui ne parle pas uniquement de racisme ou d'esclavage mais aussi d'identité, de trauma, d'amitié, d'amour… on touche au désert.L'invisibilisation : un sujet qu'on ne peut pas taireAu départ, je me suis dit : “ok, c'est ta réflexion perso, pas besoin d'en parler.” Je me suis convaincue que le sujet était déjà “vu, connu, revu”. Mais c'était sans compter sur une vidéo d'une influenceuse littéraire, moisreadingbooks, qui a dénoncé l'absence de personnages noirs sur les couvertures des romances à la FNAC.Sa vidéo, les commentaires, les débats… tout ça m'a rappelé que non, ce n'est pas un sujet clos. L'invisibilisation est toujours là, bien vivace. Et mon expérience dans les rayons parisiens le confirmait.Alors j'ai décidé d'en parler moi aussi. J'ai posté des vidéos, partagé mes réflexions. Et évidemment, les commentaires haineux n'ont pas tardé. J'étais préparée à la critique, mais je ne m'attendais pas à une telle déferlante. Certaines personnes laissent tomber la haine comme on jette un déchet : sans lire, sans chercher à comprendre qui est en face.Parmi ces messages, il y en a un qui m'a particulièrement marquée – au point de m'avoir fait rire tant il était violent. Quelqu'un a écrit que si ces livres n'existaient pas, c'était parce que “les personnes noires ne savent pas écrire”. Oui, tu as bien lu. Je l'ai vu sur TikTok, sur Instagram, sous plusieurs formes, mais toujours avec la même idée.Bien sûr, je sais que ces gens ne représentent pas tout le monde. Mais quand les messages se multiplient, quand ce n'est jamais la même personne et que pourtant les propos se ressemblent, alors oui, ça reflète une manière de penser encore présente en France. Et ça, il faut le dénoncer.Ma réponse : documenter, inspirer, rassemblerPlutôt que de me taire, j'ai décidé de documenter ma vie d'autrice. De montrer les coulisses, les difficultés, les petites victoires aussi. Parce que si je partage, peut-être que d'autres personnes noires oseront le faire aussi. Peut-être qu'on pourra s'allier, se donner des conseils, trouver des moyens d'améliorer notre visibilité en librairie.Parce que soyons clairs : le seul vrai critère devrait être la qualité d'un roman. Pas la couleur de peau de son autrice. Pas le fait que les personnages soient noirs ou pas. Si une histoire est originale, bien écrite, en accord avec la ligne éditoriale d'une maison, pourquoi devrait-elle avoir moins de chances ?Quand on me dit “s'il n'y a pas ces romans, c'est qu'il n'y a pas de demande”… je ne peux pas m'empêcher de repenser à l'industrie cosmétique. Pendant longtemps, les grandes marques proposaient un seul fond de teint “pour toutes les peaux noires”. Elles ignoraient une énorme partie du marché. Puis Rihanna est arrivée avec Fenty Beauty et a prouvé qu'en réalité, la demande était là. Qu'il suffisait d'écouter.Je me demande souvent si un jour, une maison d'édition indépendante aura le courage de créer ses propres canaux de diffusion, ses propres codes, pour répondre à cette demande ignorée. Peut-être que oui. Peut-être que non. Mais ce qui est sûr, c'est qu'avec le contexte actuel en France – où l'extrême droite rachète des groupes éditoriaux – il est urgent qu'on agisse.Du vlog au podcast : trouver le bon formatC'est pour ça que j'ai commencé à poster des vlogs courts sur Instagram. Parce que je sais que beaucoup de gens n'ont pas le temps pour du contenu long. Ils ne lisent même pas les descriptions. Alors j'essaie d'être concise. Mais je sais aussi qu'il y a des personnes comme toi, qui aiment plonger dans du contenu plus long, prendre le temps. C'est pour ça qu'existent ce podcast et cette newsletter : pour raconter autrement.Et pour ce premier “cycle” de vlogs, j'ai demandé à mes abonnés s'ils voulaient que je commence par mon parcours d'autrice ou par mes outils. C'est mon parcours qui a gagné. Alors voilà, je t'emmène avec moi dans ce récit.Les débuts : une machine à écrire et des mots sombresMon histoire avec l'écriture a commencé très tôt. À 6 ans, on m'a offert une petite machine à écrire, sous forme de jouet. J'y tapais des mots, des débuts de phrases, des embryons d'histoires. Mais c'est vraiment à 11 ans que tout s'est déclenché : j'écrivais des nouvelles sombres, parfois macabres. J'avais un côté dark assumé, comme beaucoup d'ados. Et en parallèle, je tenais un journal intime… mais en poésie.Pourquoi la poésie ? Parce qu'au lycée, j'ai découvert Les Fleurs du Mal. Et ce recueil m'a happée. Il m'a donné envie de traduire mes pensées en vers, de transformer mes émotions en images.À 15 ans, j'ai même commencé une saga de science-fiction. J'ai atteint 70 pages avant d'abandonner. Quand je repense à Comète aujourd'hui, je souris : à l'époque, je croyais qu'écrire 70 pages, c'était énorme.La blessure : “tu ne seras pas écrivaine”Et puis il y a eu un moment décisif. J'étais au lycée Louis-le-Grand, l'un des meilleurs de France. J'ai osé montrer mes poèmes à ma prof de français. Sa réponse a été un coup de massue : “ce n'est pas de la poésie, et de toute façon tu ne seras jamais écrivaine, pas en tant que femme noire en France.”Ces mots m'ont blessée profondément. J'ai rangé mes cahiers. Et la vie a pris le dessus. On m'a répété qu'il fallait être autonome, indépendante, surtout en tant que femme noire dans un pays raciste. Alors j'ai suivi le chemin “sûr” : prépa, école de commerce, une carrière dans le marketing digital.Pendant dix ans, j'ai enchaîné désillusions, burn-outs, fatigue. Mais je me disais : “au pire, tu écriras à la retraite.”La renaissance : Instagram et l'auto-éditionPuis il y a eu le confinement. Une pause forcée. Un moment de respiration. Et là, je me suis dit : “et si c'était le moment de revenir à ton rêve d'enfant ?”J'ai ouvert un compte Instagram en mai 2020. J'ai posté des textes. Les retours ont été encourageants. Et en décembre, six mois plus tard, j'ai auto-publié mon premier recueil : au-delà de nos maux. Il s'est vendu à près de 2000 exemplaires, dont 500 rien que la première année.En 2021, j'ai commencé à animer des ateliers d'écriture. En 2023, j'ai publié un deuxième recueil, tant que j'aimerai. Et surtout, j'ai pris une décision : me lancer dans l'écriture d'un roman.L'étape décisive : la formation LICARES et ComètePour ne pas me lancer dans le vide, j'ai suivi la formation LICARES (avec le code promo MAHUNA, tu bénéficies d'une réduction, détails en bas). Elle m'a appris la structure, la rigueur, les attentes du monde éditorial. J'ai compris que l'édition n'était pas seulement une affaire de passion, mais aussi une entreprise avec ses contraintes.Grâce à cette formation, j'ai pu développer Comète. L'idée est née en mars 2024, nourrie par plusieurs projets avortés. J'ai écrit, réécrit, bêta-testé. En janvier 2025, le manuscrit était terminé. En avril, j'ai rencontré mon éditrice. En juin, j'ai signé le contrat.Tout est allé vite. Trop vite presque. Mais j'ai eu cette chance incroyable : c'est l'éditrice qui est venue me chercher.Et maintenant ?Aujourd'hui, j'attends ses retours pour entamer les corrections éditoriales. En parallèle, j'ai déjà terminé le tome 2, qui est en réalité un préquel. Je travaille aussi avec mon agente littéraire pour trouver la bonne maison.Quand je regarde mon parcours, je me sens encore “bébé autrice”. Mon premier livre auto-édité est sorti en 2020 : ça ne fait “que” quatre ans. Mais en même temps, j'ai l'impression d'avoir parcouru un monde.Et surtout, je sais pourquoi j'écris. J'écris pour raconter mes histoires, mais aussi pour réduire l'invisibilisation. Pour qu'un jour, une jeune fille noire de 11 ans puisse entrer dans une librairie et trouver un roman où elle se reconnaît.Je sais que je ne suis pas la première à porter cette lutte. Mais je crois à la force du nombre, à la puissance des voix qui s'élèvent. Tant qu'on continue d'en parler, il n'y a pas de raison pour que rien ne change.Alors je continuerai, sur Instagram, dans ce podcast, dans cette newsletter. Je continuerai à écrire mes colères, mes espoirs, mes histoires. Parce qu'au fond, tout est lié : la littérature, la visibilité, l'émotion, le soin.Merci d'avoir pris le temps de me lire. Merci d'être là. Et prends soin de toi, de tes émotions, de ta créativité. On en aura besoin pour la suite.La Formation LICARESAvec le code MAHUNA (lien affilié), bénéficie de 80€ de réductionDates : Du 6 octobre au 14 décembre 2025Inscriptions ouvertes : Du 8 septembre au 28 septembreSi tu ne sais pas par où commencer pour écrire un roman, si tu veux envoyer un roman de qualité professionnel et le faire correctement, je te recommande cette formation. Elle a été fondamentale dans ma réussite. Je te prépare un prochain épisode avec tous les détails. This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit mahunapoesie.substack.com

EMCI TV Prières inspirées
Prière pour quelqu'un qui a chuté

EMCI TV Prières inspirées

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025


Les Grandes Gueules
Le soutien du jour - Mourad Boudjellal : "Un maire ce n'est pas un homme politique, c'est quelqu'un qui a une ambition pour sa ville. Il est aussi légitime qu'un pecno qui sort d'un parti politique. Ce sera un bon maire"

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 0:53


Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La fermeté du jour - Emmanuel de Villiers : "Dès que quelqu'un rentre illégalement en France, ça doit être un facteur d'expulsion sans discussion" - 04/09

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 0:32


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Emmanuel De Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Passe le plaid by Jamesetshona
La PIRE chose que vous avez trouvé dans le téléphone de quelqu'un - Ça kouma

Passe le plaid by Jamesetshona

Play Episode Listen Later Sep 4, 2025 29:21


Hello l'équipeOn se retrouve pour un nouvel épisode de CA KOUMA !La pire chose que vous avez trouvé dans le téléphone de quelqu'un

Le GOTELL Podcast En Français
LIVE - Vivre avec courage c'est maintenant !

Le GOTELL Podcast En Français

Play Episode Listen Later Sep 2, 2025 61:23


Découvrez où Audrey sera prochainement en consultant notre site web ! www.gotell.fr/itineraire  Restez connectés avec Audrey Mack ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux :

Le Réveil Chérie
20% des célibataires ont déjà fait ceci pour plaire à quelqu'un ! Mais quoi ? - Le chiffre du jour

Le Réveil Chérie

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 1:09


Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l''actualité !

Happy Work
REPLAY- Comment gérer quelqu'un qui vous ment au travail ?

Happy Work

Play Episode Listen Later Aug 28, 2025 8:36


Ça nous est tous arrivé d'être confronté à un mensonge, que ce soit de la part d'un collègue, d'un manager ou d'un membre de notre équipe. Mais comment réagir sans exploser ou en faire une montagne ?

Le GOTELL Podcast En Français
LIVE - Réponses à certaines questions

Le GOTELL Podcast En Français

Play Episode Listen Later Aug 27, 2025 59:02


Découvrez où Audrey sera prochainement en consultant notre site web ! www.gotell.fr/itineraire  Restez connectés avec Audrey Mack ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux :

Apprendre l'espagnol avec LinguaBoost
Leçon 51: Tu attends qui ?

Apprendre l'espagnol avec LinguaBoost

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 18:38


Dans cette leçon, vous apprendrez les phrases suivantes : Tu attends qui ? / Tu attends quelqu'un ? / J'attends un ami. / Désolé, je suis en retard. Tu attends depuis combien de temps ? / Ça fait quinze minutes que j'attends ici. / Tu pars maintenant ? / Je vais attendre encore cinq minutes, puis je vais partir. / Quelqu'un t'attend ? / Je dois y aller. Mes enfants attendent.

Apprendre l'italien avec LinguaBoost
Leçon 51: Tu attends qui ?

Apprendre l'italien avec LinguaBoost

Play Episode Listen Later Aug 26, 2025 14:43


Dans cette leçon, vous apprendrez les phrases suivantes : Tu attends qui ? / Tu attends quelqu'un ? / J'attends un ami. / Désolé, je suis en retard. Tu attends depuis combien de temps ? / Ça fait quinze minutes que j'attends ici. / Tu pars maintenant ? / Je vais attendre encore cinq minutes, puis je vais partir. / Quelqu'un t'attend ? / Je dois y aller. Mes enfants attendent.

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !
Évangile du jour & commentaire • dimanche 24 août : Courage ! L'Amour vaincra !

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !

Play Episode Listen Later Aug 24, 2025 6:49


Commentaire de L'Évangile du jour Luc 13, 22-30 En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : ‘Seigneur, ouvre-nous', il vous répondra : ‘Je ne sais pas d'où vous êtes.' Alors vous vous mettrez à dire : ‘Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.' Il vous répondra : ‘Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.' Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op)  Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur

L'Évangile du jour
Évangile du 24 août : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » (Lc 13, 22-30)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Aug 23, 2025 1:29


Voici l'Évangile du dimanche 24 août 2025 : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » (Lc 13, 22-30) En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : ‘Seigneur, ouvre-nous', il vous répondra : ‘Je ne sais pas d'où vous êtes.' Alors vous vous mettrez à dire : ‘Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.' Il vous répondra : ‘Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.' Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Home(icides)
L'affaire Grégory, le drame qui a bouleversé les Français (4/8) : Bernard Laroche, la piste inaboutie

Home(icides)

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 14:00


[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Retour sur une saison événement en 8 épisodes qui vous a marqués. Voici le drame familial le plus emblématique du XXème siècle : l'affaire Grégory. Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, 4 ans, est retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne, une rivière des Vosges. Depuis près de 40 ans, cet infanticide est toujours irrésolu. Ce cold case français a connu des décennies de rebondissements et de fausses pistes. Dans cette saison événement, Caroline Nogueras retrace toute l'enquête, au cœur de l'intimité des familles Villemin, Jacob, Laroche, Bolle… En invitée exceptionnelle, nous recevons Maître Marie-Christine Chastant-Morand, l'avocate du couple Villemin. Caroline Nogueras sera aussi accompagnée de deux invités pour éclaircir les zones d'ombre : Thibaut Solano, auteur de “La Voix rauque” et le journaliste Jacques Expert qui a couvert toute l'affaire à l'époque. Bernard Laroche, la piste inaboutie 150 personnes sont passées à la gendarmerie pour se soumettre à la dictée. Et une écriture semble correspondre à celle du corbeau. Celle de Bernard Laroche. Le 31 octobre, Bernard et Marie-Ange sont de nouveau interrogés. Lui répète ce qu'il a déjà dit. Au moment du meurtre, il était chez son cousin Michel Villemin. Ce dernier a confirmé. Vers 18h, il est allé acheter du vin. La caissière a confirmé sa présence. Entre les deux, un collègue de l'usine Zonca lui a fait faux bon, il est passé chez la tante Louisette. Quelqu'un peut le confirmer ? Oui, sa belle sœur Murielle, une collégienne de 15 ans, était là. La jeune femme entendue par les gendarmes dit qu'elle est arrivée après lui. Leurs récits ne collent pas... Production et diffusion : Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les Grandes Gueules
Dylan, livreur, au 3216 : "Quand je paie quelqu'un pour faire du mal, j'appelle ça un tueur à gages. Il y a des vidéos de 12 minutes de passage à tabac, en lui tirant des feux d'artifice dans le visage" - 21/08

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Aug 21, 2025 5:29


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Eglise Sur Le Roc
2025 AOÛT 10 Quelqu'un avec qui le partager _ Pst Chantale Paul-Hus

Eglise Sur Le Roc

Play Episode Listen Later Aug 12, 2025 55:38


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Invité Afrique
Bokar Ture: «Pour mon père Stokely Carmichael, la Guinée était le coin le plus révolutionnaire d'Afrique»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 18:12


De Stokely Carmichael, figure des luttes noires du XXème siècle, on connaît surtout le combat aux États-Unis, comme dirigeant des Black Panther. On sait moins qu'en 1968, Carmichael a rejoint la Guinée avec son épouse, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Il est alors devenu un proche collaborateur du président ghanéen en exil Kwame Nkrumah et s'est engagé aux côtés de la révolution guinéenne. Bokar Ture, fils de Stokely Carmichael, a accordé un entretien à RFI : il raconte les années africaines de la vie de son père. RFI : Votre père a été un acteur important des luttes noires du XXème siècle. Aux États-Unis, où il a été l'un des responsables des Black Panther… mais aussi dans son parcours transatlantique puisqu'il vient s'installer en 1968 en Guinée. Parlez-nous d'abord de lui. D'où vient-il ? Comment est née cette conscience militante noire ?  Bokar Ture : Kwame Ture est né Stokely Carmichael à Trinidad et Tobago, connu aussi en français comme Trinité-et-Tobago, en 1941. Il immigre plus tard aux États-Unis pour retrouver sa mère -donc ma grand-mère- qui y était déjà installée quelques années plus tôt. Elle avait pu avoir sa nationalité américaine parce qu'elle était née à Panama. Comment a commencé cette conscience ? Déjà, il avait un penchant politique très tôt. Il y a une de ses tantes qui racontait une anecdote : quand il était jeune, il la poussait à aller voter pour un syndicaliste à l'île de Trinidad. Et au lycée, aux États-Unis, il fréquentait déjà des groupes gauchistes. Un de ses amis de classe était le fils du président du Parti communiste américain dans les années 1952. Et donc, très tôt, il a pu découvrir les discours marxistes. Et bien sûr, il vivait au sud du Bronx, à côté de Harlem. Et la 125e rue de Harlem est une rue reconnue pour des discours politiques de tout genre, de différents groupes.  Il a été l'un de ceux qui ont travaillé l'idée de Black Power. Il a même coécrit, en 1967 avec Charles Hamilton, un ouvrage qui le théorise, intitulé Black Power, the politics of Liberation in America.  Effectivement, le concept de Black Power existait avant. Il y avait un livre qui s'appelait Black Power par Richard Wright, qui a été écrit pendant les années 1950 et qui était un ouvrage dédié à Kwame Nkrumah. Mais personne n'a rendu l'idée de Black Power aussi populaire que Kwame Ture - Stokely Carmichael à l'époque. Notamment durant une marche contre la peur au sud des États-Unis, aux côtés de Martin Luther King, où il disait, plus ou moins : « On est fatigué de mendier notre liberté, comme on l'a fait ces dernières années dans les droits civiques. Maintenant, ce qu'on va faire, c'est de demander le Black Power », le pouvoir noir, qui était un appel à une autodétermination en termes de structures politiques et économiques pour les personnes noires descendantes d'africains aux États-Unis.  En 1968, votre père épouse une première femme, la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba. Au-delà de la relation amoureuse qui s'est nouée entre eux, cette union reflète-t-elle aussi une pensée de votre père, de plus en plus tournée vers l'Afrique et vers le panafricanisme à cette époque ?  Ce n'est pas un tournant, c'est une continuité. Kwame Ture a toujours été Africain dans l'âme. Il vient d'un milieu où l'Afrique est centrale dans l'identité noire. Bien avant qu'il ne se marie avec Miriam Makeba. On le voit dans des photos au début des années 1960 avec ses camarades où il est en tenue africaine. Il se sentait toujours africain. Pour lui, être noir et africain, il ne voyait pas de distinction et toute sa vie était ainsi. Quand il a marié Tantie Miriam, comme je l'appelle, c'était juste une continuité. Après aussi, ma mère, Marlyatou Barry, qui était aussi une Guinéenne. C'était juste une continuité de sa façon de vivre.  Comment se fait concrètement la connexion entre votre père et le premier responsable guinéen, Ahmed Sékou Touré ? Stokely Carmichael, à l'époque, faisait une tournée mondiale et il a rencontré Shirley Graham Du Bois, qui était la veuve de W.E.B Du Bois, qui est aussi une légende de l'histoire de la lutte antiraciste et du développement du panafricanisme. Elle a invité Stokely Carmichael à venir en Guinée pour une conférence du Parti démocratique de Guinée pour rencontrer Kwame Nkrumah et Sékou Touré. Quand il est venu, il a rencontré les deux présidents. Il avait déjà beaucoup entendu parler de Kwame Nkrumah, parce que mon grand-père a travaillé dans un bateau un moment. Il est parti au Ghana et quand il est revenu à New York, il expliquait que c'était la première fois qu'il avait vu une nation noire, indépendante, avec sa propre armée, un président, etc. et il expliquait ceci à un jeune Stokely Carmichael. Cela a vraiment marqué sa pensée. Quelques années plus tard, ils se voient face à face avec Kwame Nkrumah. Après la conférence, en quittant la Guinée, il part dire au revoir à Sékou Touré, qui lui dit : « Écoute, mon fils. Ici, c'est chez toi, tu peux revenir quand tu veux. C'est ta maison. »  Il part voir Kwame Nkrumah qui lui dit « Écoute, moi, je cherche un secrétaire politique, donc si ça t'intéresse, tu es toujours le bienvenu. » Un an et demi plus tard, deux ans pratiquement, il était de retour avec sa nouvelle épouse, Miriam Makeba.  Qu'est ce qui fait qu'il vient s'installer à Conakry à cette époque ?  Pour lui, c'était le coin le plus révolutionnaire en Afrique. Lumumba a été assassiné très tôt donc il n'y avait plus le Congo. Après, il y a eu le coup d'État contre Kwame Nkrumah en 1966. Modibo Keïta en 1968. Quand lui est arrivé, le seul autre pays, c'était la Tanzanie, mais qui était beaucoup moins radicale. Donc il a choisi la Guinée. C'était le pays qui s'alignait le plus avec sa pensée du pouvoir noir à l'échelle mondiale.  Il est aussi menacé aux États-Unis. C'est aussi pour cela qu'il quitte les États-Unis ? De toute façon, mon père était prêt à se martyriser. Il a vu Malcolm X tué, il a vu Martin Luther King tué et les agences voulaient sa tête. Il a échappé à pas mal d'attentats. Mais ce n'était pas la raison centrale. Déjà, il y avait l'invitation. Ensuite, il ne voyait pas les États-Unis comme le centre de cette lutte à laquelle il a dédié sa vie. Il voyait l'Afrique comme étant une partie essentielle. Pour lui, en venant en Guinée, il rejoignait l'Afrique, il rejoignait la révolution africaine qui pouvait donner la dignité à tout le peuple noir à travers le monde.  Diriez-vous qu'il y a un vrai projet politique international derrière cette volonté de s'installer en Guinée ?  Il a toujours eu ce projet. Quand il parlait de Black Power, déjà, dans le livre dont vous avez parlé, il parlait aussi des colonies en Afrique. Dans Black Power, lui et Charles Hamilton faisaient le parallèle entre la situation que vivaient les Afro-Américains aux États-Unis et la situation que vivaient les Africains en Afrique et aux Caraïbes aussi. Il faisait ce parallèle. Dans sa tête, c'était quelque chose qui était un combat international dès le début.  Quelles sont les idées sur lesquelles votre père, Stokely Carmichael – Kwame Ture, une fois qu'il change de nom – et Ahmed Sékou Touré se retrouvaient ?  On parle de personnes qui avaient la même vision d'une Afrique unie, une Afrique libre où il n'y a pas d'inégalités. Ils étaient tous deux penchés vers des idées socialistes. Ils étaient totalement alignés idéologiquement. Sékou Touré était un de ses mentors, une de ces personnes qui l'ont formé dans cette idéologie.  Ils se retrouvent dans l'idée, qui est défendue par Ahmed Sékou Touré à l'époque, d'authenticité africaine ? À 100 %. Et il s'intègre à 100 %. Je peux vous dire que moi, par exemple, j'ai très peu de souvenirs de mon père en habit occidental. Il s'habillait en tenue africaine, cousue en Afrique. Il s'est enraciné dans la population africaine. Ce qui était quand même unique parce que tout le monde était tourné vers une façon de vivre occidentale. Et lui non, il voulait se réapproprier son héritage culturel.  Et la volonté de promouvoir les cultures africaines, de leur donner leur vraie place ? C'est exactement cela, revaloriser la culture africaine, la culture noire, se réapproprier celle-ci. Et ne pas avoir de complexes vis-à-vis des cultures européennes, dominantes et autres.  Depuis le début de cet entretien, on joue avec deux noms pour parler de votre père, Stokely Carmichael, Kwame Ture. À un moment donné de sa vie, il décide de passer du nom de Stokely Carmichael à celui de Kwame Ture. C'est une démarche qui dit aussi beaucoup de choses sur le lien qu'il a avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré.  Effectivement. Il y avait un précédent aux États-Unis. Il y avait pas mal d'Afro-Américains, notamment dans son milieu révolutionnaire, qui changeaient de nom. Notamment Malcolm X, Mohamed Ali. Bien sûr, le nom est inspiré de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. L'anecdote, c'est qu'il était en Tanzanie lors d'un entretien radio. Après l'entretien, apparemment, un vieil homme venu à pied d'un village lointain est venu le voir et lui a dit : « Écoute mon fils, j'ai vraiment aimé ton entretien. Mais il y a une chose : ton nom sonne un peu bizarre, un peu féminin, il faut le changer ». Il a alors pris le nom de Kwame Nkrumah et de Sékou Touré. Lorsqu'il venait l'annoncer à Sékou Touré et lui dire : « J'ai pris le prénom de Kwame », Sékou Touré lui a répondu : « C'est bien, parce qu'à chaque fois que nous avons des débats, tu prends toujours son parti. » Il lui a répondu : « Mais j'ai pris le nom Touré comme nom de famille. ». Ce qui était approprié, car c'étaient ses deux mentors. À lire aussiKwame Ture, le destin hors du commun d'un Black Panther parti s'installer en Guinée [1/2] Comment est-ce que vous décririez les liens qu'il entretenait avec Kwame Nkrumah et Ahmed Sékou Touré ? En Kwame Nkrumah, il voyait un symbole de cette lutte. Il était prêt à le suivre. Il a mené quelques opérations au Ghana pour essayer de voir s'il pouvait réinstaurer Kwame Nkrumah au pouvoir. Il était très proche de lui. Et Sékou Touré était comme un père pour lui. En 1970, votre père vit l'un des moments charnières de l'histoire de la Première République guinéenne, à savoir l'attaque contre Conakry du 22 novembre 1970. Savez-vous comment il a vécu ces journées ?  Je sais qu'il était un participant dans l'action de repousser les troupes portugaises. Il était armé ce jour et a dû utiliser son arme. Selon ce que j'ai appris, il était un des premiers à alerter les autorités, y compris le président, du fait qu'il y avait une attaque qui venait. Ca tirait sur sa case, donc il devait quitter sa maison. Lui et Miriam Makeba ont dû se réfugier quelque part d'autre où il l'a laissée et lui est ressorti pour aider à défendre la ville.  Cette opération conjointe de militaires portugais et de rebelles guinéens a conduit à la plus grande vague d'arrestations en Guinée de toute la Première République. La vie du pays va être rythmée pendant de longs mois par des confessions publiques de personnes présentées comme les complices d'un « complot impérialiste » aux ramifications tentaculaires. Comment est-ce que votre père se positionnait par rapport à cette thèse du complot permanent contre la Guinée ? Et plus généralement, quel regard portait-il sur l'État policier qu'était aussi devenu la Guinée de cette époque ?  C'est quelque chose de très complexe et malheureusement, la Guinée ne s'est toujours pas réconciliée avec ce passé et les positions sont assez ancrées. Maintenant, si on parle de Kwame Ture précisément, pour lui, c'était un régime panafricaniste, le seul régime panafricaniste radical. Et malgré toutes ses erreurs, c'était celui qui pouvait tenir jusqu'au bout cette conviction qu'il avait lui-même. Il était totalement d'accord avec le fait qu'il fallait conserver ce régime pour qu'il ne bascule pas dans un régime néocolonialiste.  À tout prix ? À tout prix.  En 1974, il y a un autre évènement important pour l'Afrique et plus généralement pour le monde noir, c'est le combat en Afrique, à Kinshasa, entre Mohamed Ali et George Foreman. Dans un livre de mémoires, votre père indique qu'il a été invité par Mohamed Ali lui-même à venir à Kinshasa pour le combat. Est-ce que vous savez ce que représentait cet affrontement pour votre père ?  Mohamed Ali était son ami. Il y avait ce symbole de Mohamed Ali qui représentait l'Africain fier et George Foreman qui était un peu l'opposé de cela. Mais après, il a rencontré George Foreman et il disait que George Foreman l'avait séduit avec son charme, l'a embrassé et tout. Je pense qu'au-delà du symbolique, mon père était beaucoup plus intéressé par ce qui se passait au Congo démocratique, c'est-à-dire le Zaïre à l'époque, et le fait que c'était sous le régime de Mobutu Sese Seko, auquel il était farouchement opposé par ce qu'il représentait en termes de corruption et d'alignement avec les puissances coloniales. Qui sont de manière générale les acteurs politiques qui fréquentaient le salon de votre père dans ces années 1970 et au début des années 1980, pendant la Première République en Guinée ? On parle d'un melting pot qui ne dit pas son nom. Que ce soit des artistes - Miriam Makeba et Nina Simone, qui était une de ses amies très proches - ou des activistes de partout dans le monde. Qui venaient à Conakry et qui venaient le rencontrer ? Qui venaient à Conakry ou qui y vivaient. Parce que vous savez qu'à une époque, Conakry était un centre du monde noir où on conciliait l'art, les mouvements de libération, etc. Il y avait un grand nombre de personnes qui y vivaient, comme Amilcar Cabral, comme Kwame Nkrumahn, avant même il y avait Félix-Roland Moumié du Cameroun, pour ce qui est de la politique. Concernant les arts et la littérature, il y avait Ousmane Sembène qui y vivait, il y avait Maryse Condé qui y vivait. C'était vraiment un centre… et il se retrouve chez lui avec toutes ces personnes, plus ou moins de différentes sphères. Moi, je peux raconter avoir vu des activistes exilés sud-africains, Tsietsi Mashinini, qui a commencé la révolte estudiantine de Soweto, qui était parmi d'autres exilés sud-africains. Il y avait beaucoup d'Afro-Américains, bien sûr, des Black Panthers exilés. Il y avait la diplomatie guinéenne, des diplomates de pays gauchistes et souverainistes, il y avait tout un monde. Mais aussi, il faut savoir que Kwame Ture était vraiment penché vers la masse, la masse populaire. Donc autour de tout ça, on voit un chef villageois qui est assis ou on voit la personne déshéritée du quartier qui est là, assise, qui peut recevoir un repas. Parce que notre maison était comme un centre communautaire pour la jeunesse du quartier. Il amenait tous les enfants du quartier à la plage chaque dimanche. Puis se retrouvait peut-être un mardi à saluer un chef d'État. Puis avait une conférence avec un groupe communautaire. Moi, j'ai vu tout cela dans cette maison. C'était quelque chose de magique. Il recevait où, justement ? Dans son salon, dans son bureau ? Y avait-il un rituel autour de la réception de ses amis politiques ? Déjà, il avait une véranda où il était assis… parce que c'était un bibliophile. Il lisait beaucoup, il écrivait beaucoup. Il ne lisait pas pour le plaisir, mais il lisait pour ses conférences. Après, il y a des gens qui venaient pour le rencontrer. Je sais qu'il y a eu Charles Taylor qui était venu de nulle part pour le rencontrer. C'était vraiment un melting pot.    À cette époque, votre père continue aussi ses voyages et ses tournées, il n'est pas tout le temps à Conakry ? Il était très organisé. Sur toutes ses photos, il écrivait les dates et les lieux. On se demande comment il pouvait parcourir toutes ces distances en si peu de temps. Un jour, on le voit au Connecticut. Le lendemain, on le voit à Paris, banni, chassé. En Angleterre, peut-être, d'où il est banni et chassé. Parce que c'était très compliqué pour lui d'avoir accès a beaucoup de pays. Après, on le voit en Californie... Il était partout. Sékou Touré disparaît en 1984. Mais votre père continue, lui, son engagement pour ses idées au sein du Parti démocratique de Guinée. Qu'est-ce qui a marqué ces années de militantisme politique sous Lansana Conté ? Le contexte a vraiment changé !  Et c'est là que l'on voit vraiment les convictions de l'homme. Parce que, du jour au lendemain, tout a changé. Il a été arrêté par le régime de Lansana Conté. Donc, il a perdu les privilèges qu'il avait, bien sûr, où il connaissait le président et était sous sa tutelle. Mais malgré cela, il a décidé de rester en Guinée. La moitié de sa vie guinéenne, quinze ans, s'est passée ainsi. Il a décidé malgré tout de rester en Guinée, d'être actif dans la vie politique guinéenne et la vie sociale de la Guinée.  … Et de rester fidèle à ses convictions.  Exactement. Vous êtes à l'époque enfant. Quel souvenir est-ce que vous gardez de ces années, de votre maison à Conakry, de ceux qui y passaient ? Quelle était l'ambiance ? Vous disiez tout à l'heure que tout le quartier se retrouvait chez vous…  C'est cela. Mon père était d'une gentillesse rare, d'un altruisme qu'on ne retrouve pas très souvent. Donc effectivement, c'était pour moi quelque chose de très formateur. Comment quelqu'un peut traiter un chef d'État avec le même respect qu'il traite la personne la plus déshéritée du quartier. Et toutes ces personnes pouvaient se retrouver chez lui, devant lui, avec le même respect, ou peut-être même le déshérité avec un peu plus d'amour.  Vous appelez régulièrement les Guinéens à se souvenir de votre père, Stokely Carmichael / Kwame Ture. Avez-vous le sentiment que son histoire a été oubliée en Guinée ?  Je parle de manière générale. Il y a une politique de mémoire en Guinée qui doit être améliorée. Stokely Carmichael est un pont unique entre l'Afrique et l'Amérique. On parle d'un personnage qui a passé la moitié de sa vie en Guinée. À ce stade, l'État guinéen n'a pas fait une seule initiative pour se réapproprier de l'héritage de cette personnalité.  Donc il y a un vrai chantier ? Il y a un chantier.  Une dernière question plus personnelle. Quel père a été Stokely Carmichael ? Quelle image retenez-vous de lui ?  Un père adorable, d'une gentillesse rarissime, qui m'a beaucoup appris, que j'ai profondément aimé. Quelqu'un qui était attaché à tout ce qui est beau dans le monde, à commencer par les enfants. ►A lire pour aller plus loin : BERTHO Elara, Un couple panafricain, Editions Rot-Bo-Krik, 2025 À (ré)écouterElara Bertho: «Replacer Conakry au centre des imaginaires, c'était un peu l'idée de cet ouvrage»

Ah ouais ?
Pourquoi on appelle "boulanger" quelqu'un qui vend du pain ?

Ah ouais ?

Play Episode Listen Later Aug 8, 2025 2:16


REDIFF - En plein mois d'août, il est parfois difficile de trouver une boulangerie ouverte ! Mais au fait, pourquoi un artisan qui fabrique du pain, on appelle ça un boulanger ? Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu'un, même dans l'abondance, ne dépend pas de ce qu'il possède. » Lc 12, 13-21

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin

Play Episode Listen Later Aug 3, 2025


Aujourd'hui, nous sommes le dimanche 3 août, 18ème dimanche du temps ordinaire. En ce moment à Rome, ils sont des milliers à se rassembler pour le week-end final du Jubilé des jeunes voulu par le Pape.Pour commencer ce temps de prière, j'imagine une foule, au milieu de laquelle un homme dialogue avec Jésus, et Jésus répond par une parabole. Je peux lui parler moi aussi : Seigneur, donne-moi la grâce de choisir les chemins qui... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Donne-moi seulement de t'aimer de Ignace de Loyola interprété par Laurent Grzybowski - Mille raisons d'espérer © ADF-Bayard Musique ; Rooftops and rainbows de Keri Newdigate interprété par Keri Newdigate - Still waters © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration
Peut-on vraiment changer quelqu'un ? avec Albert Moukheiber | NO BULLSHIT #4

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 30:43


Pour ce 4ème épisode de NoBullshit, je retrouve Albert Moukheiber, neuroscientifique et psychologue clinicien, pour explorer des questions simples mais sans réponse évidente.Peut-on vraiment changer quelqu'un ? Comment aider un proche à sortir d'un comportement toxique ?Et pourquoi on tient autant à mettre des étiquettes sur les autres et soi-même ?On parle de ce qui rend le changement possible ou pas.Des comportements qu'on peut transformer, et de ceux qu'il est vain de vouloir changer.Et de la difficulté à évoluer quand on s'est longtemps défini par une étiquette, un tempérament, ou un “je suis comme ça”.Bonne écoute et n'hésitez pas à nous partager vos questions pour les prochains épisodes de No Bullshit sur le compte instagram InPower : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/?hl=fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'alignement - Boris Duda
Arrête de chercher à briller. Commence à rayonner - Ludivine Gil

L'alignement - Boris Duda

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 64:04


La première fois que j'ai lu un post de Ludivine Gil, j'ai senti un truc rare. Quelqu'un qui ne cherche pas à briller. Mais qui rayonne. Ludivine est coach pour dirigeants et entrepreneurs. Elle ne joue pas un rôle. Elle ne cherche pas à impressionner. Elle parle vrai. Elle vit ce qu'elle transmet. Et c'est pour ça qu'on lui fait confiance. Je voulais absolument l'inviter sur mon podcast.

L'oeil de...
"Est-ce que quelqu'un qui n'a pas réussi à sauver ses cheveux peut réussir à sauver l'Économie française ?"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 2:47


BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière, ici en matière d'Économie. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le GOTELL Podcast En Français
Bonne et mauvaises attentes

Le GOTELL Podcast En Français

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 9:25


Découvrez où Audrey sera prochainement en consultant notre site web ! www.gotell.fr/itineraire ✨ Restez connectés avec Audrey Mack ! Suivez-nous sur les réseaux sociaux :

Les Grandes Gueules
La révolte du jour - Charles Consigny : "J'invite les gens à désobéir. Une plage n'appartient pas à l'État. Si quelqu'un veut se mettre nu ou dormir sur la plage, ça doit échapper au pouvoir temporel" - 30/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 1:35


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Rav Touitou
Quelqu'un me met le mauvais œil - Question au Rav

Rav Touitou

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 0:51


Quelqu'un me met le mauvais œil - Question au Rav by Rav David Touitou

Happy Work
REPLAY-Comment gérer quelqu'un avec qui on est pas d'accord ?

Happy Work

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 7:46


Vous l'aurez sans doute remarqué... nous sommes dans une période où les débats font rage et le nombre de désaccords est grand.Dans notre vie personnelle comme professionnelle, gérer une personne en désaccord avec nous peut être un véritable défi.

Podcast Francais Authentique
Ne pas arriver à la cheville de quelqu'un

Podcast Francais Authentique

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 6:37


Pour plus d'informations :   https://www.francaisauthentique.com/ne-pas-arriver-a-la-cheville-de-quelquun

Les Grandes Gueules
Le mépris du jour - Ornel, entrepreneur, au 3216 : "Je suis quelqu'un d'honnête et intégré, mais je suis stigmatisé et catégorisé comme Français de papier. Je me sens visé par Retailleau." - 18/06

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 1:37


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Théâtre
"Tu, mio" de Erri de Luca 3/5 : Quelqu'un venu de loin

Théâtre

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 18:45


durée : 00:18:45 - Lectures du soir - "C'était une nuit calme, la mer n'arrivait pas à avancer d'un pouce sur le rivage. Quand elle est ainsi, on ne dirait pas de la mer mais du ciel. Au-dessus du cercle de nos têtes, des étoiles pleuvaient à mitraille, sans un souffle d'air dans les pins. "

Les Grandes Gueules
La honte du jour - Jérôme Marty : "J'ai vu des gens partir quand il y avait des personnes de couleur dans la salle d'attente. Un jour, quelqu'un s'est barrée parce qu'il y avait 2 familles de couleur dans la salle" -

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 1:40


Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
« Si quelqu'un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui.» Mt 5, 38-42

Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025


Aujourd'hui, nous sommes le lundi 16 juin. Un instant, je me rends présente à tout ce qui se passe autour de moi : je contemple mon environnement et les bruits qui me parviennent. Tu es là, ô Esprit Saint, Toi qui es présent sur toute l'étendue de la terre, tu es ici. Donne-moi de mieux discerner ce que... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Donne-moi seulement de t'aimer de Ignace de Loyola interprété par Laurent Grzybowski - Mille raisons d'espérer © ADF-Bayard Musique.

Soeur Simone-Pierre
Comment honorer quelqu'un avec vos biens

Soeur Simone-Pierre

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 55:08


LA BELLE EXPERIENCE ( Comment honorer quelqu'un avec vos biens ) 25-05-2025

Bruno dans la radio
Les chiffres de Maurine du 03 juin - 55% des femmes souhaitent une relation avec quelqu'un de plus...

Bruno dans la radio

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 3:56


Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Fatima Aït Bounoua : "Quand on viole quelqu'un, on l'a tué. On ne répare pas les gens qu'on viol. Soyons du côté des victimes. Il y a eu 300 meurtres" - 29/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 29, 2025 2:02


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

L'heure bleue
Constance Rivière : "Un artiste, c'est quelqu'un qui nous porte à décaler le regard"

L'heure bleue

Play Episode Listen Later May 21, 2025 48:48


durée : 00:48:48 - La 20e heure - par : Eva Bester - Haute-fonctionnaire et écrivaine, Constance Rivière est, depuis 2022, directrice générale du Palais de la Porte Dorée, à Paris. Le lieu, qui abrite le musée de l'Histoire de l'immigration, accueille jusqu'au mois d'août une exposition, “Banlieues chéries”.

Nicolas Canteloup - la revue de presque sur Europe 1
Jean-Luc Lemoine : «On rêve tous de rencontrer quelqu'un qui nous trouve du charme en étant non alcoolisé»

Nicolas Canteloup - la revue de presque sur Europe 1

Play Episode Listen Later May 20, 2025 5:53


Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
" Le bosseur du jour - Charles Consigny : ""Quelqu'un qui fait plus d'efforts, qui se lève plus tôt, qui se couche plus tard, qui fait des études, qui bosse les week-ends... il faut lui laisser le fruit de son travail"&

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 19, 2025 1:03


Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
L'impunité du jour - Antoine Diers : "Notre société bascule dans une impunité quasi absolue. Je rêve de vivre dans une société où l'on se dit : 'Je vais me faire péter la gueule si j'attaque quelqu'un'" - 14/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 14, 2025 1:13


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Grandes Gueules
La brutalité du jour - Joëlle Dago-Serry : "Où est-ce qu'on vit ? On ne peut plus faire un déplacement sans croiser quelqu'un de violent. Et c'est comme ça partout en France. Il faut du budget pour la sécurité et la justice"

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 14, 2025 1:32


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Prière du matin
« Si quelqu'un reçoit celui que j'envoie, il me reçoit...» (Jn 13, 16-20)

Prière du matin

Play Episode Listen Later May 14, 2025 8:42


« Si quelqu'un reçoit celui que j'envoie, il me reçoit moi-même » (Jn 13, 16-20)Méditation par Sœur Catherine de CosterChant Final : "Avec la force de l'Esprit" de GRZYBOWSKI LaurentDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
Le melon du jour - Louis Sarkozy - "Mon père est un puits de culture. Sur les romans du XIXe siècle, je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui ait une plus grande culture que lui." - 12/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 12, 2025 3:06


Aujourd'hui, c'est au tour de Louis Sarkozy, auteur de "Napoléon Bonaparte : L'Empire des Livres" (Éd. Passés Composés), de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.

Rothen s'enflamme
Jérôme Rothen : "J'en veux à Mikel Arteta, il a un discours de quelqu'un d'aigri. Au match aller, il a pris une leçon de la part de Luis Enrique" – 08/05

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later May 8, 2025 5:14


La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des

Podcast Francais Authentique
Pense à ça la prochaine fois que tu seras agacé par quelqu'un

Podcast Francais Authentique

Play Episode Listen Later May 7, 2025 19:26


Pour plus d'informations :   https://www.francaisauthentique.com/pense-a-ca-la-prochaine-fois-que-tu-seras-agace-par-quelquun

Ah ouais ?
AH OUAIS ? - 873. Pourquoi on appelle "boulanger" quelqu'un qui vend du pain ?

Ah ouais ?

Play Episode Listen Later May 1, 2025 2:16


Aujourd'hui 1er mai, les boulangeries seront donc fermées et on ne pourra pas acheter de pain. Mais au fait, pourquoi une personne qui fabrique du pain, on l'appelle un boulanger ? Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.