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Un festival c'est une certaine idée du vivre ensemble, une utopie collective éphémère. Entre les budgets alloués à la culture qui diminuent, le spectre de la guerre et des multinationales du divertissement qui oublient trop souvent l'artistique, proposer un événement comme Babel Music XP en embarquant la région, la ville de Marseille et la métropole relève de l'acte de résistance. Babel c'est un salon professionnel avec un programme de conférences, et un festival qui accueille 30 projets artistiques venus de 21 pays et de 4 continents. Olivier Rey, le directeur, a même parlé hier d'un Babel de "combat et d'unité". Face à la montée des intolérances, c'est sûr qu'on a besoin de se serrer les coudes et d'affirmer haut et fort des valeurs d'ouverture, de curiosité, de partage, surtout dans une ville comme Marseille dont la position géographique et l'histoire en font un formidable point de brassage culturel. Ce soir, en direct du Dock des Suds, sur la Tsugi Radio, on ira au Brésil, en Afrique du Sud, en Jordanie, en Palestine, et au Congo, mais d'abord dans le Massif Central. Avec le groupe Brama, 4 jeunes musiciens et musicienne qui s'inspire du répertoire traditionnel, qui joue de la vielle à roue, de la guitare, de la basse et de la batterie et qui ont fait danser l'Espace Julien jeudi pour la première soirée de ce Babel Music XP. Ils sont en tournée cette semaine avec le Bal Barré et Superparquet, autre groupe inspiré par la musique traditionnelle, ce soir à Rouen, demain à La Rochelle et dimanche à La Marbrerie à Montreuil. Mais hier ils étaient ici à Marseille et pour commencer l'interview j'ai eu envie de demander à Amandine, comment, quand on est une jeune musicienne, on choisit la vielle à roue.
Babel Music XP c'est du 20 au 22 mars à Marseille, Olivier Rey nous parle de l'édition 2025 en première partie, suivie de l'interview et du set de La Louuve ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Babel Music XP c'est du 20 au 22 mars à Marseille, Olivier Rey nous parle de l'édition 2025 en première partie, suivie de l'interview et du set de La Louuve !
Suenan músicas que nos llevan por Francia, Polonia, Persia, Palestina, Siria o India, a la vez que anunciamos la próxima celebración del encuentro global Babel Music XP en Marsella, con cuyo director, Olivier Rey, hablamos. We hear music that takes us through France, Poland, Persia, Palestine, Syria, and India, while also announcing the upcoming global gathering Babel Music XP in Marseille. We also speak with its director, Olivier Rey. - Trancexpress - Suite of polkas - Trancexpress - La Mòssa - Canzone rò curtiell' - Wanda pétrichor - Ablaye Cissoko & Cyrille Brotto - Meuno ma terée - Djiyo - Jawa - Taba waqti - Last breaths from Aleppo - Ensemble Chakâm - Olive - Les vents brûlants - The Raghu Dixit Project - Shakkarpari [+ Béla Fleck] - Shakkar - &Fusion - &Fusion - La marche du bonheur - (&Fusion - Trois temps soleil - La marche du bonheur) #Mundofonews: - Babel Music XP Voz invitada: Guest voice: - Olivier Rey (Babel Music XP) Ablaye Cissoko & Cyrille Brotto
durée : 00:54:42 - Côté Club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités propose une spéciale Fiesta des Suds en compagnie de son conseiler artistique Olivier Rey, son programmateur Frédéric André et es artistes Flavia Coehlo et Sami Galbi . Bienvenue au Club ! - réalisé par : Stéphane LE GUENNEC
durée : 00:54:42 - Côté Club - par : Laurent Goumarre - Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités propose une spéciale Fiesta des Suds en compagnie de son conseiler artistique Olivier Rey, son programmateur Frédéric André et es artistes Flavia Coehlo et Sami Galbi . Bienvenue au Club ! - réalisé par : Stéphane LE GUENNEC
Si je vous dis Fiesta, et que vous êtes un fidèle de Tsugi Radio, il y a de fortes chances que vous pensiez instantanément - des Suds. Du 10 au 13 octobre, l'esplanade du J4, au pied du Mucem, va cette année encore s'illuminer et faire danser le public marseillais pour la 33ème Fiesta des Suds. Un festival pluriel, métissé, généreux et populaire. Un festival qui n'est pas dans la photocopie des line-ups de ses voisins parce qu'il a la chance de se tenir dans une ville riche de toute sa diversité. Depuis 1992, la Fiesta des Suds regarde partout aussi bien au-delà des mers que dans l'underground de la Cité Phocéenne pour mieux abolir les frontières, toutes les frontières : entre les pays, les générations, les styles. À la Fiesta on pratiquait l'hybridation bien avant que ce soit un mot à la mode. MC Solaar, Olivia Ruiz, les stars du reggae Danakil, mais aussi Makoto San, Diogo Strausz, Voilaaa Soundsystem, Goldie B, Scorpio Queen, Kabeaushé pour ne citer que quelques noms que vous avez déjà pu entendre sur Tsugi Radio. Aujourd'hui, avant de retrouver le rendez-vous dans l'espace littéraire de notre libraire, Nicolas Jalageas, c'est Place de la Fiesta jusqu'à 19h, avec une partie de l'équipe du festival, Frédéric André et Olivier Rey, et aussi avec un artiste dont la musique, le parcours et les origines sont tellement « fiesta » qu'il aurait été impensable de ne pas le programmer cette année depuis son passage remarqué aux Trans Musicales : Sami Galbi. Nicolas Jalageas fait sa rentrée littéraire et nous présente ses coups de cœurs : Gabriel Gauthier "Space" et Célestin de Meeûs "Mythologie du .12"
Marseille, dans le sud de la France, accueille le festival Babel Music XP. Un festival de musique qui mélange à la fois concerts et rencontres professionnelles. 2 000 professionnels du secteur musical, artistes, producteurs, tourneurs ou encore festivals sont présents. Le but étant de donner une plus grande visibilité aux artistes du sud et musiques qui ne sont pas forcément dans le courant dominant. Pour en savoir plus sur le festival : Babel Music XPOn essaie d'éclater le vieux concept de world musicÀ lire aussiBabel Music XP : de nouveaux horizons pour les musiques du monde
Marseille, dans le sud de la France, accueille le festival Babel Music XP. Un festival de musique qui mélange à la fois concerts et rencontres professionnelles. 2 000 professionnels du secteur musical, artistes, producteurs, tourneurs ou encore festivals sont présents. Le but étant de donner une plus grande visibilité aux artistes du sud et musiques qui ne sont pas forcément dans le courant dominant. Pour en savoir plus sur le festival : Babel Music XPOn essaie d'éclater le vieux concept de world musicÀ lire aussiBabel Music XP : de nouveaux horizons pour les musiques du monde
Nouvelle semaine qui démarre sur Tsugi Radio avec de beaux rendez-vous aussi : demain je recevrai Martin Luminet avant son passage à la Cigale le 5 mars, jeudi c'est le duo Gwendoline qui donne une suite à Après c'est gobelet, avec C'est à moi ça. Samedi, jean Fromageau recevra Clara Ysé dans Jazz The Two Of Us. Mais commençons dans l'ordre avec au menu de cette Place des Fêtes du 26 février, un focus sur Babel Music XP, qui fera de Marseille la capitale des musiques actuelles du monde du 28 au 30 mars prochain. Jean Fromageau et ça part en fav'. Ainsi que la revue de presse musicale d'Angèle Chatelier juste avant son départ pour le festival Montréal en Lumière où nous la retrouverons plus tard cette semaine. Jalen Ngonda "Illusions" Glass Beams "Mahal" Clarissa Connelly "An Embroidery" Cindy Pooch "Tout ou rien (unplugged)" John Glacier "Money Shows" Françoiz Breut "Ode aux vers" Ça part en fav' : 30/70 "Pleasure" Moby & Anfisa Letyago "You & Me (girls of the internet remix)
Programa bitemático, en cuya primera parte repasamos la discografía de los plurilondinenses Don Kipper, con la voz invitada de Josh Middleton. La segunda parte la dedicamos al Babel Music XP, que tendrá lugar en Marsella a finales de marzo y al que asistirá el equipo de Mundofonías. Escuchamos algunas de las propuestas que se podrán escuchar allí en vivo, con inspiraciones griegas, tunecinas, anatolias y occitanas, mientras charlamos también con su director, Olivier Rey. Bitematic program, in the first part of which we review the discography of the pluriLondoners Don Kipper, with the guest voice of Josh Middleton. The second part is dedicated to Babel Music XP, which will take place in Marseille at the end of March and will be attended by the Mundofonías team. We listen to some of the proposals that will be heard there live, with Greek, Tunisian, Anatolian and Occitan inspirations, while we also chat with its director, Olivier Rey. • Don Kipper - Varshaver freylekhs / Alef freylekhs / Prohibition - Don Kipper • Don Kipper - Duj duj kolo - Krisallis • Don Kipper - Welcome - Seven sisters • Don Kipper - In my head - Always can't go on forever • Dafné Kritharas - Aidinikos choros - Djoyas be mar • Ghoula - Drum & gasba - Demi-écrémé • Eléonore Fourniau - Esmer eman - Esmer eman [single] • Belugueta - Lenga d'Òc - Espigòts Voces invitadas Guest voices • Josh Middleton (Don Kipper) • Olivier Rey (Babel Music XP) 📸 Dafne Kritharas (Jeff Humbert)
Table ronde : face au transhumanisme, avec Olivier Rey et Adriano Scianca, animation par Valentin Schirmer, samedi 15 avril 2023 à la Maison de la Chimie à Paris. Pour en savoir plus : https://institut-iliade.com/iliade/colloque-iliade-2023/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Frisch vom AWS Summit Berlin: In dieser Episode des “AWS Cloud Horizonte Podcast” spricht Oliver Steenbuck von AWS mit den Gästen Olivier Rey, Head of IT Service Center, Swiss Post, John Lenser, People and Transformation Lead Cloud, Swiss Post und Simon Messerli, Solutions Architect, AWS. Wir sprechen darüber wie die Schweizerische Post ihre Transformation durchführt um den Titel als beste Post der Welt für die nächsten 10 Jahre zu behalten. Olivier und John teilen mit uns wie wichtig Autonomie für Teams ist und wie sie ihre Kollegen befähigen.
C'est beau une renaissance… La dernière fois que Babel Med Music a eu lieu c'était il y a 5 ans. La baisse des dotations publiques, puis une petite pandémie mondiale, ont empêché la tenue de cette événement si important pour Marseille et pour les artistes du monde entier. Et grâce à l'arrivée aux commandes d'une nouvelle génération au sein de Latinissimo dont la détermination n'a jamais manqué, Babel Music XP est né pour écrire un nouveau chapitre de la belle aventure commencée en 2005 et créée par l'équipe de la Fiesta des Suds. Festival le soir au Dock des Suds, marché et rencontre professionnelles à la friche de la belle de mai où nous nous trouvons aujourd'hui, Babel Music XP réussit l'exploit de réunir des artistes et des acteurices de la musique de 4 continents. Histoire de prendre le pouls d'une sono mondiale prophétisée par le regretté Rémy Kolpa-Kopoul qui n'aura jamais été aussi réelle et vivante qu'ici à Marseille. Notre programme du jour en est le preuve : l'afro-trans à haute teneur en sueur de KUTU, les expérimentations entre bass music et chants traditionnels du Maghreb de Caïn & Muchi, ou la fusion généreuse et irrésistible de Dowdelin qui sont déjà ici autour de la table. Mais pour commencer, je reçois, le directeur de Babel Music XP, un directeur qui affiche un large sourire, Olivier Rey. Et juste avant le live de KUTU, regards croisés avec la chercheuse Eldina Soldo, le programmateur Alex Stevens, et le Directeur Général de la Friche de la Belle de Mai, Alban Corbier-Labasse sur les défis qui attendent la musique live dans les années à venir.
Du 23 au 25 mars, Babel Music XP place Marseille en épicentre économique et culturel de la filière musicale. Avec son salon professionnel à Friche La Belle de Mai et son festival planétaire ouvert au grand public au Dock des Suds, Babel Music XP se positionne en hub méditerranéen sur la carte mondiale des musiques. À cette occasion, rencontre avec Kutu (France - Éthiopie), Nomadic Massive (Canada), Yacko & Tuan Tigabelas (Indonésie) et Olivier Rey, directeur du festival. Retrouvez notre playlist sur Deezer : Yacko X Diton King - Women king Tuan Tigabelas - Last roar Nomadic Massive - Pocket full of lingo Kutu - Walaita Kutu - Wey nedo Nomadic Massive - Bay yo klé
Olivier Rey est le directeur du Festival Babel Music XP.Avant ça il était tromboniste et auteur dans le groupe Kanjar'Oc et dans d'autres projets musicaux. En parallèle de cette activité là, grâce à sa formation, il travaillait déjà sur des festivals, ce à quoi il se consacre aujourd'hui. Dans le Worldmix de Néo Géo Nova, il nous guide à travers la programmation du festival des musiques actuelles du monde, qui se tiendra à Marseille du 23 au 25 mars prochain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la Russie a attaqué l'Ukraine il y a un an, quelle implication de la scène musicale ? Lola Avril, notre docteure en science politiques tente de répondre à cette question. Nous allons également faire un tour à Marseille, la ville de France la plus connectée sur les cultures des Suds, pour évoquer, avec Olivier Rey, le retour en grand format de Babel Music XP, du 23 au 25 mars entre la Friche Belle de Mai et le Dock des Suds : le meilleur endroit pour prendre le pouls des musiques actuelles du monde. Mais tout d'abord, coup de fil à Irène Drésel, première femme en 48 éditions des Césars à repartir avec le trophée de la meilleure musique de film. pour À plein temps, film d'Éric Gravel avec Laure Calamy.
Dans ce nouveau numéro des archives d'Eugène Saccomano à la présentation de "On refait le match", retour sur la dernière remontée des Verts de Saint-Étienne en Ligue 1. Nous sommes le lundi 10 mai 2004, trois jours après un succès 1-0 à Niort des joueurs de Frédéric Antonetti, qui officialise la promotion dans l'élite. Ce retour de l'ASSE dans l'élite après trois saisons en Ligue 2 est-il une bonne nouvelle pour le football français ? Va-t-il s'inscrire dans la durée ? Les Verts ont-ils enfin trouvé les bons dirigeants ? Le club doit-il se débarrasser du mythe des anciens Verts ? Autour de "Sacco", chacun affute ses arguments : Dominique Grimault, Vincent Duluc, Pascal Praud, Olivier Rey et Sébastien Tarrago. Tous les jeudis, retrouvez une archive de "On refait le match" avec Eugène Saccomano pour revivre les grands moments du football français et international.
Lundi 6 mai 2002. Une nouvelle ère vient de s'ouvrir en Ligue 1. Deux jours plus tôt, l'Olympique Lyonnais a décroché son premier titre de champion de France grâce à un succès 3-1 face à Lens lors de la 38e et dernière journée. Autour d'Eugène Saccomano, Olivier Rey, Vincent Machenaud, Vincent Duluc et Pascal Praud et Dominique Grimaud débriefent cette "finale" du championnat de France, tire le bilan de la saison lyonnaise... et ne savent pas encore que le club de Jean-Michel Aulas règnera sur la Ligue 1 durant huit saisons. Souvenirs. Tous les jeudis, retrouvez une archive de "On refait le match" avec Eugène Saccomano pour revivre les grands moments du football français et international.
Dans ce nouveau numéro des archives d'Eugène Saccomano à la présentation de "On refait le match", retour sur la liste des 23 de l'équipe de France pour le Mondial 2006 en Allemagne. La veille, Raymond Domenech a pris tout le monde de court en retenant Pascal Chimbonda. L'arrière droit de Wigan ne compte alors aucune sélection, et il ne disputera finalement que 12 minutes sous le maillot Bleu, en amical. Autre novice dans cette liste, le Marseillais Franck Ribéry. Que penser de ces choix ? Qui sont les grands oubliés ? Les Bleus ont-ils les armes pour être sacrés champions du monde, ou au moins atteindre la finale du 9 juillet comme le martèle le sélectionneur ? Autour de "Sacco", les échanges sont particulièrement animés entre Gilles Verdez, Didier Roustan, Vincent Machenaud, Pascal Praud et Olivier Rey.
Lundi 6 mai 2002. Une nouvelle ère vient de s'ouvrir en Ligue 1. Deux jours plus tôt, l'Olympique Lyonnais a décroché son premier titre de champion de France grâce à un succès 3-1 face à Lens lors de la 38e et dernière journée. Autour d'Eugène Saccomano, Olivier Rey, Vincent Machenaud, Vincent Duluc et Pascal Praud et Dominique Grimaud débriefent cette "finale" du championnat de France, tire le bilan de la saison lyonnaise... et ne savent pas encore que le club de Jean-Michel Aulas règnera sur la Ligue 1 durant huit saisons. Souvenirs. Tous les jeudis, retrouvez une archive de "On refait le match" avec Eugène Saccomano pour revivre les grands moments du football français et international.
Il existe une science dont le but est de comprendre et améliorer les mécanismes par lesquels les humains (en particulier les plus jeunes) apprennent, se sociabilisent, acquièrent des connaissances et s'autonomisent jusque dans cette acquisition. Où en est l'école actuelle vis-à-vis de la recherche sur ces sujets ? Nous en parlerons avec le chercheur Olivier Rey de l'Institut Français de l'Education. Lien Youtube de l'émission : https://www.youtube.com/watch?v=yDvEKSktRz8&list=PLceYkF8JBqYTKNWGfvWIrhV6s6uyKl9qC&index=58&ab_channel=LaTroncheenBiais Merci beaucoup à ceux qui soutiennent déjà le travail de la Tronche en Biais via les plateformes de financement : - Helloasso : https://www.helloasso.com/associations/association-pour-la-science-et-la-transmission-de-l-esprit-critique - Tipeee : https://fr.tipeee.com/la-tronche-en-biais - Utip : https://utip.io/astec - La boutique de la TeB : https://shop.spreadshirt.fr/la-tronche-en-biais/ Présentation : Acermendax & Vled Tapas Régie : Sisyphe, Loki Jackal, Morgane, Gabriel Design : Loki Jackal Musique : Vled Tapas Editeur podcast : Corentin Savre
durée : 00:32:52 - La Grande Table idées - par : Olivia Gesbert - Comment réparer l'eau, cette ressource terrestre qui est aussi une source d'inspiration poétique depuis des millénaires ? C'est ce que nous allons tenter de comprendre avec le philosophe Olivier Rey et le chef étoilé Christopher Coutanceau. - invités : Olivier Rey Mathématicien et philosophe, chercheur au CNRS, enseignant en philosophie à l'Université Paris 1, membre de l'Institut d'histoire et de philosophie des sciences et des techniques; Christopher Coutanceau Chef trois étoiles, propriétaire du restaurant Christopher Coutanceau à La Rochelle, salué par le Prix de la Gastronomie Durable par le Guide Michelin
Dès le week-end prochain, la station du Granier va rouvrir au public après 18 mois de fermeture. Olivier Rey, président de l'association « les Skieurs du Granier » qui gère la station, revient sur cet événement. Crise du covid, bénévoles, calendrier, pass sanitaire, il explique tout. Our GDPR privacy policy was updated on August 8, 2022. Visit acast.com/privacy for more information.
Médecine au carrefour des sciences émission présentée par José Cohen et Philippe Grimbert, professeurs des universités, praticiens hospitaliers, université Paris-Est-Créteil. Ils reçoivent Olivier Rey, mathématicien et philosophe, membre de l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (CNRS/Université Paris 1 Panthéon- Sorbonne) pour son livre « L’idolâtrie de la vie » paru chez Gallimard À propos du livre : «L’idolâtrie de la vie» paru aux éditions Gallimard «Quand on ne peut plus donner sa vie, il ne reste plus qu’à la conserver.» Olivier Rey En tant qu’il commande un respect absolu, le sacré se trouvait an-ciennement placé au-dessus de la vie. C’est pourquoi il pouvait, le cas échéant, réclamer le sacrifice de celle-ci. Comment la vie nue en est-elle venue à prendre elle-même la place du sacré? Au point que sa conservation, comme l’a montré la crise engendrée en 2020 par l’épidémie de coronavirus, semble bien être devenue le fondement ultime de la légitimité de nos gouvernements. Que cela apprend-il du rapport des populations à la politique, au pouvoir? À quelles servitudes nous disposons-nous, si nous accordons à la «vie» la position suprême? Olivier Rey est mathématicien et philosophe, membre de l'Institut d'histoire et de philosophie des sciences et des techniques (CNRS/Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Il est l'auteur de deux romans dont Après la chute (PGDR, 2014), et d'essais dont Le testament de Melville (Gallimard, 2011), Une question de taille (Stock, 2014), Leurre et malheur du transhumanisme (Desclée de Brouwer, 2018).
TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.bastabugie.it/it/articoli.php?id=6396GLI ITALIANI SONO PRONTI A RINUNCIARE AD OGNI LIBERTA' di Emanuele BoffiPrendiamo sempre con le molle i sondaggi e le analisi statistiche e sociologiche, ma non possiamo negare di aver trovato nell'ultimo Rapporto Censis, presentato ieri a Roma, la conferma di una situazione che sentiamo come veritiera. Il Rapporto è pieno di considerazioni interessanti, ma qui ci limiteremo a riportare quelle che, a nostro avviso, fotografano molto bene un "clima" - non sapremmo altrimenti come definirlo - che vige nel nostro paese. Significativo ci pare il fatto che si dica che gli italiani preferiscano essere «sudditi piuttosto che morti».La citazione, tratta dalla sintesi del Rapporto, è un po' lunga ma merita di essere riproposta.MEGLIO SUDDITI CHE MORTI«Spaventata, dolente, indecisa tra risentimento e speranza: ecco l'Italia nell'anno della paura nera, l'anno del Covid-19. Il 73,4% degli italiani indica nella paura dell'ignoto e nell'ansia conseguente il sentimento prevalente in famiglia. In questi mesi, il 77% ha visto modificarsi in modo permanente almeno una dimensione fondamentale della propria vita: lo stato di salute o il lavoro, le relazioni o il tempo libero. Lo Stato, pur percepito come impreparato di fronte all'ondata dei contagi, si è palesato come il salvagente a cui aggrapparsi nel massimo pericolo. Ma, oltre al ciclopico debito pubblico, le scorie dell'epidemia saranno molte, diversificate e di lungo periodo. La prima scoria è la propensione a rinunciare volontariamente alla solitamente apprezzatissima sovranità personale:- il 57,8% degli italiani è disposto a rinunciare alle libertà personali in nome della tutela della salute collettiva, lasciando al Governo le decisioni su quando e come uscire di casa, su cosa è autorizzato e cosa non lo è, sulle persone che si possono incontrare, sulle limitazioni della mobilità personale; - il 38,5% è pronto a rinunciare ai propri diritti civili per un maggiore benessere economico, introducendo limiti al diritto di sciopero, alla libertà di opinione, di organizzarsi, di iscriversi a sindacati e associazioni. La paura pervasiva dell'ignoto porta alla dicotomia ultimativa: "meglio sudditi che morti". E porta a vite non sovrane, volontariamente sottomesse al buon Leviatano. Cresce allora il livore della logica "o salute o forca": - il 77,1% degli italiani chiede pene severissime per chi non indossa le mascherine di protezione delle vie respiratorie, non rispetta il distanziamento sociale o i divieti di assembramento; - il 76,9% è fermamente convinto che chi ha sbagliato nell'emergenza, che siano politici, dirigenti della sanità o altri soggetti, deve pagare per gli errori commessi, che hanno provocato la diffusione del contagio negli ospedali e nelle case di riposo per gli anziani; - il 56,6% vuole addirittura il carcere per i contagiati che non rispettano rigorosamente le regole della quarantena e dell'isolamento, e così minacciano la salute degli altri; - il 31,2% non vuole che vengano curati (o vuole che vengano curati solo dopo, in coda agli altri) coloro che, a causa dei loro comportamenti irresponsabili o irregolari, hanno provocato la propria malattia; - e il 49,3% dei giovani vuole che gli anziani siano curati dopo di loro. C'è un rimosso in cui pulsano risentimenti antichi e recentissimi di diversa origine, intensità, cause. Non sorprende, quindi, che persino una misura assolutamente indicibile per la società italiana come la pena di morte torni nella sfera del praticabile: quasi la metà degli italiani (il 43,7%) è favorevole alla sua introduzione nel nostro ordinamento (e il dato sale al 44,7% tra i giovani)».GLI ITALIANI SOGNANO IL MODELLO CINESESono numeri impressionanti che mostrano come l'unico vero sentimento oggi imperante nel paese è la paura con tutte le sue conseguenze. C'è lo Stato, identificato come un dio imperfetto, ma pur sempre l'unico cui affidarsi. C'è l'odio per chi si sottrae alle regole che va punito o non curato (c'è persino la forca per chi ha sbagliato). C'è il risentimento generazionale che colpisce gli anziani, cui è addossata la colpa delle proprie limitazioni.Oggi sulla Terra esiste un paese dove lo Stato è tutto, chi sbaglia è punito, il sospetto e il risentimento sono forme di controllo sociale, la libertà è limitata al massimo: è la Cina. Su questo giornale, già da tempo, discutiamo della tendenza da parte, per ora, di alcuni intellettuali di proporre quello cinese come modello più efficiente della democrazia per affrontare le sfide di un mondo sempre più veloce e senza punti di riferimento ideali stabili. Ora, almeno a giudicare dallo studio del Censis, sembra che inizino a pensarlo anche gli italiani. Forse bisognerebbe far notare loro che è proprio all'interno di quel "paradiso" che è nato e si è diffuso il virus e che è lo Stato cinese ad averlo tenuto nascosto provocando i danni che conosciamo. E forse bisognerebbe far notare loro cosa sta succedendo a Hong Kong.Oltre a questo, c'è un altro aspetto da sottolineare: di cosa si ha paura? Si ha paura di perdere la vita, l'unica cosa che abbiamo. Qui si torna all'analisi di Olivier Rey, il matematico francese di cui vi abbiamo parlato qualche giorno fa, autore di un saggio che spiega molte cose sul tempo presente. Se la vita ristretta alla sola accezione biologica è l'unico valore, essa diventa "tirannica". In suo nome si può e si deve fare tutto e chi "può e deve" fare tutto è lo Stato, cui si dà pieno potere. Scriveva infatti Rey che il mondo all'era del Covid certifica la vittoria di Hobbes: stiamo costruendo una società «nella quale l'individuo accetta di sottomettersi al potere assoluto del Leviatano in cambio della protezione che dovrebbe assicurargli contro la morte».Nota di BastaBugie: la redazione di Tempi (composta da Alessandro, Gianpaolo, Matteo, Michele, Raffaele, Tommaso) nell'articolo seguente dal titolo "Vivi. Né morti, né tantomeno sudditi" parla del Rapporto Censis sulla situazione in cui si trova l'Italia.Ecco l'articolo completo pubblicato su Tempi il 6 dicembre 2020:Nel leggere alcuni passaggi del Rapporto Censis pubblicato il 4 dicembre 2020, siamo sobbalzati sulla sedia. Nel comunicato stampa che lo accompagna, l'analisi è impietosa: «Spaventata, dolente, indecisa tra risentimento e speranza: ecco l'Italia nell'anno della paura nera. Il 73,4% degli italiani indica nella paura dell'ignoto e nell'ansia conseguente il sentimento prevalente. Che porta alla dicotomia ultimativa: meglio sudditi che morti».L'immagine del suddito ci ha colpiti. Il suddito è colui che rinuncia a vivere, in nome della tranquillità, della sicurezza e della paura della morte. Il suddito ritiene che la propria libertà, il proprio cuore che esprime un desiderio di pienezza e felicità, e la stessa propria vita non siano esigenze assolute. Anzi: il suddito ha paura di disturbare i sapienti, di compiere errori e mettere a repentaglio se stesso e gli altri, quando esercita le proprie scelte e le proprie decisioni. Meglio attendere istruzioni, e seguirle in nome del "benessere della collettività". Il potere (il sovrano) è ben felice di trovare di fronte a sé tali sudditi. Ritenendo di conoscere meglio di loro il bene e il male, e in ultima analisi i loro desideri, ben si presta all'arduo ruolo di "compiere scelte difficili". Il sovrano solleva il suddito della rischiosa scelta di come impiegare la propria libertà, fornendo dettagliate istruzioni e indicazioni: le regole, che nella visione del sovrano (colto e istruito, a volte) salveranno il mondo. E così, procede con Dpcm onnicomprensivi e con Faq esplicative. Una tale situazione è per noi intollerabile. La nostra esperienza e il nostro cuore si ribellano a una alternativa stupida tra l'autoriduzione in schiavitù (la sudditanza) e il mettere in atto comportamenti irresponsabili e folli (la morte). Siamo consapevoli che il periodo storico che viviamo richieda prudenza e attenzione. Ma dentro una tale ragionevole attenzione, vogliamo essere liberi di seguire quello che rende la vita vera: il tempo speso con gli amici veri, l'esperienza educativa dei nostri figli, l'affetto per i nostri genitori, la possibilità di assistere un malato, la vista dalla cima di una montagna innevata, la Messa per celebrare il Natale. Soprattutto, non tolleriamo che questa dimensione di pienezza della vita sia banalizzata da regolette scritte da un sovrano autodefinitosi illuminato, che forte della propria laurea in legge o in medicina ci voglia spiegare (o imporre!) come vivere il periodo delle feste, o come abbracciare un nostro caro alla fine del proprio cammino. È possibile essere vivi, liberi e non sudditi anche in questo momento perché la libertà è la possibilità di aderire al vero riconosciuto e riconoscibile nella nostra vita, in tutte le circostanze. Un desiderio, un grido che resiste e che chiede un senso, appartiene alla nostra natura umana e si ridesta in tutta la sua portata quando troviamo davanti a noi una Presenza che risponde. L'esperienza della pienezza che abbiamo sperimentato mettendoci in gioco dentro le questioni della vita (il lavoro, la famiglia, l'amicizia, le passioni) è troppo bella, e troppo forte, per arrendersi di fronte alla pandemia. E non può temere il tiranno, o aver paura della morte. [...]
Idolâtrie de la Vie Je n’ai jamais été déçu par les essais d’Olivier Rey, mathématicien et philosophe, qui a l’art de mettre les pieds dans le plat des préjugés, qu’il s’agisse de la science, ou plutôt du scientisme, des statistiques ou du transhumanisme. Le petit tract qu’il a publié sur le coronavirus est de la […]
durée : 00:51:41 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - L'émission du jour évoque la valeur des vies humaines et les conditions d'existence au sein de la société. Réflexions philosophiques en compagnie de Pierre Manent et Olivier Rey. - réalisation : François Caunac - invités : Pierre Manent Philosophe, historien et directeur d’études honoraire à l’EHESS; Olivier Rey mathématicien et philosophe, chercheur au CNRS, enseignant en philosophie à l’Université Paris 1
Olivier Rey en duplex, mathématicien et philosophe, chercheur au CNRS, enseignant en philosophie à l’université Paris 1, qui publie » L’Idolâtrie de la vie » ( éditions Tracts Gallimard)
Alors qu’elle semblait initialement appartenir à l’univers de la science-fiction, la question du transhumanisme s’impose de plus en plus comme une réalité avec laquelle nous devrons composer, individuellement et collectivement. Qu’est-ce que le transhumanisme, exactement, et quels sont ses enjeux? Pourquoi nous séduit-il, et en quoi nous menace-t-il, néanmoins? Pour nous éclairer et y comprendre quelque chose, je reçois aujourd’hui le philosophe Olivier Rey, qui a publié Leurre et malheur du transhumanisme.
La statistique est aujourd’hui un fait social total : elle règne sur la société, régente les institutions et domine la politique. Un vêtement de courbes, d’indices, de graphiques et de taux recouvre l’ensemble de la vie. L’éducation disparaît derrière les enquêtes PISA, l’université derrière le classement de Shanghai, les chômeurs derrière la courbe du chômage… La statistique devait refléter l’état du monde, le monde est devenu un reflet de la statistique. Conférence du 6 avril 2017 au Club 44.