Podcast appearances and mentions of Eddie Constantine

  • 22PODCASTS
  • 29EPISODES
  • 1hAVG DURATION
  • 1MONTHLY NEW EPISODE
  • Mar 25, 2025LATEST
Eddie Constantine

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about Eddie Constantine

Latest podcast episodes about Eddie Constantine

Reely Old Movies
#186 "Alphaville (1965)" Review

Reely Old Movies

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 9:59


This week Harrison will review "Alphaville (1965)" starring Eddie Constantine and directed by Jean-Luc Godard #alphaville #eddieconstantine #jeanlucgodard #reelyoldmovies Join my Discord!: https://discord.gg/VWcP6ge2 Donate to my Streamlab here: https://streamlabs.com/sl_id_ff883caf-a8d0-3d7b-980b-9557565e1fe3/tip Social Media Links: https://linktr.ee/reelyoldmovies

La partition
«La dernière séance», la partition d'Eddy Mitchell

La partition

Play Episode Listen Later Feb 13, 2025 6:19


Rejoignez-nous pour une passionnante exploration de la vie d'Eddie Mitchell, une figure emblématique du monde du spectacle français. Né à Belleville dans les années 30, Eddie Mitchell a baigné dans la magie du cinéma dès son plus jeune âge, grâce à son père mélomane qui l'emmenait régulièrement dans les salles obscures de son quartier.

La French P@rty
Eddie Constantine

La French P@rty

Play Episode Listen Later Sep 24, 2024 130:19


mélange azimut pour public épicurien....

eddie constantine
Bien connu des services de police
Bien connu des services de police - Du Sang sur la Tamise de John Mackenzie (1980)

Bien connu des services de police

Play Episode Listen Later Mar 15, 2024 42:35


Dans ce nouveau dossier on part du côté de Londres et dans l'univers du grand banditisme avec Du Sang sur la Tamise le film de gangster culte signé John Mackenzie en 1980. Un pré-Scarface à l'anglaise monstrueux, instable et chaotique porté par la prestation hallucinante d'un Bob Hoskins à la mâchoire serrée et prêt à vous sauter à la gorge.  Le tout en compagnie de notre invité du jour Max Pereira du podcast Raging Fire Club, spécialement mandaté par Scotland Yard pour l'occasion. Retrouvez la photo signalétique de l'invité en début d'émission ainsi que les complices (un film dans le même giron) en toute fin de podcast. Avec dans cet épisode un retour sur Election 2 la fresque criminelle de Johnnie To (2006) et Robbery où le casse du siècle selon Peter Yates, futur réalisateur de Bullitt (1967) Une enquête implacable menée par Rafael Lorenzo.

Les Nuits de France Culture
Eddie Constantine : "Je bois 240 whiskies par film, les coups qu'on donne c'est déjà fatiguant, mais ceux qu'on reçoit... 50, 60 par bobine ça compte à la fin de la journée"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Feb 25, 2023 30:00


durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Eddie Constantine : "Je bois 240 whiskies par film, les coups qu'on donne c'est déjà fatiguant, mais ceux qu'on reçoit... 50, 60 par bobine ça compte à la fin de la journée"

Les Nuits de France Culture
La joie de vivre - Renée Faure (1ère diffusion : 03/05/1953)

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 4, 2022 75:00


durée : 01:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Henri Spade et Robert Chazal - Avec Robert Lamoureux, Renée Faure, Denise Duval, Georges Brassens, Eddie Constantine, Paul-Emile Deiber, Félix Marten, Jean Raymond et les Garçons de la Rue

Pop Corn
"Neige" de Juliet Berto : le retour d'une comète des années 80

Pop Corn

Play Episode Listen Later Jan 5, 2022 3:42


Au début des années 80, on ne faisait pas des boules avec la neige, mais on se la fourrait dans le nez. Dans le Nord de Paris, de Pigalle à Barbès, c'est comme ça qu'on appelait la cocaïne. Elle et d'autres drogues faisaient partie des murs du coin, étaient presque des résidentes de ces quartiers qui n'avaient encore aucune idée de ce qu'était la gentrification. A l'époque, ils sont encore une sorte de cour des miracles du XXe siècle ; à la fois à la marge et communauté prolo solidaire. Le cinéma français d'alors s'y est souvent intéressé, notamment du côté du polar, de La Balance à Diva, souvent pour s'y encanailler. Moins pour réellement filmer cette faune dans son décor naturel. Juliet Berto, actrice chez Rivette ou Godard en a fait sa propre nouvelle vague de réalisatrice avec Neige, premier long-métrage, co-réalisé avec son compagnon, Jean-Henri Roger, se souvenant du réalisme poétique des dialogues Prévert et Carné tout en observant des corps contemporains. Du cinéma qui bat le pavé, renoue avec une galerie de personnages gouailleurs, qu'ils soient barmaid, travelo, curé ou dealer. Du vrai cinéma de quartier donc ?D'autant plus quand Neige est un film très resserré autour de sa chronique de village urbain, qui réinjectait dans ses veines l'envie, justement, de la Nouvelle Vague de faire entrer la vie dans le cinéma. Berto et Roger avaient même l'habitude de dire que ce film s'était fait sous leurs fenêtres, celle d'une rue du 18e arrondissement côté Goutte d'or, cadre qui a donc fait office de naturalisme. La fiction autour du quotidien et de ses petits trafics s'y adapte, d'une poursuite dans un magasin Tati à un flinguage sous les néons d'une fête foraine. Neige est un film qui prône donc le mélange, entre patronnage d'acteurs d'avant comme Eddie Constantine ou Raymond Bussières et nouvelles trognes d'alors, celles de Jean-François Balmer, Jean-François Stévenin ou même Bernard Lavilliers dans une apparition furtive, voire Berto valsant entre devant et derrière la caméra. Quarante ans après sa sortie initiale, Neige a forcément un goût de cinéma disparu, un peu unique – Deux ans plus tard, Cap Canaille, le second et avant-dernier film de Berto, se délocalisait à Marseille, mais avait déjà perdu de ce regard à la fois franc, sans aucun second degré, essayant de capter ce qui subsistait encore de lumière et de chaleur dans ces années 80 qui ne tenaient déjà plus leurs promesses sociales. Vu d'aujourd'hui, Neige sidère au minimum par son refus du misérabilisme (oui, il est donc question de came, mais on n'en verra jamais un gramme à l'écran) mais surtout par cette capacité à être accro à l'urgence de vivre ; du vrai cinéma immersif qui continue à baigner dans un jus qui manque à la production française actuelle. Tout comme Berto et Roger, morts et enterrés depuis longtemps. Neige est aujourd'hui déterré d'années d'invisibilité en salle, mais toujours aussi immaculé.Reprise en salles, le 5 janvier Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Million Dollar Session
DIVA OU DIVINE..REINES DU SWING

Million Dollar Session

Play Episode Listen Later Sep 11, 2021 59:07


Melanie Di Biaso, Eddie Constantine, Diana Krall, Willie Nelson, Bonnie Rait, JJ Milteau, Socho Stephan, Blue Beat 02,Toots telemans & Liz White,.....

Les Nuits de France Culture
Eddie Constantine : "Je bois 240 whiskies par film, les coups qu'on donne c'est déjà fatiguant, mais ceux qu'on reçoit... 50, 60 par bobine ça compte à la fin de la journée"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 29, 2021 30:00


durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans l'émission "La parole est à la nuit", le chanteur et acteur Eddie Constantine racontait sa vie dans un programme fantaisiste mi-entretien, mi-fiction (1ère diffusion : 17/12/1955 Chaîne Parisienne). - réalisation : Virginie Mourthé

Nočni obisk
Noč šansona, 5. del

Nočni obisk

Play Episode Listen Later Aug 1, 2021 38:51


To noč se bomo spet zadrževali ob pariških odrih 50-ih let in poslušali pevce, ki so bili takrat njihova stalnica in so pomembno sooblikovali podobo francoskega šansona. Tokratni interpreti bodo: René-Louis Lafforgue, Andrel, Lucienne Delyle, Bourvil, Guy Béart in Eddie Constantine.

bourvil tokratni guy b eddie constantine
L'Atelier Balmain
1.7: Fun, Fear and Fate

L'Atelier Balmain

Play Episode Listen Later Jul 29, 2021 70:35


A key person behind the rapid early growth of Balmain and smooth operations of the legendary flagship at 44 François Premier was Ginette Spanier. Spanier was the first person to be named as Balmain's Directrice, (the Director of the house), and she remained in that position for almost thirty years. While her name may not be familiar to many today, she was a well-known personality during her time at Balmain—due not only to her superb management of the house's rapid growth, but also to her amazing life story. It's an incredible history that—just as the announcer of the popular television series “This Is Your Life” notes in the snippet we use to begin this episode—can be summed up as one of “fun, fear and fate.” Because Ginette Spanier was not only a genius at management—she was also a war hero. Spanier's extraordinary history, told in a trio of best-selling autobiographies, is composed of a series of startling changes and her perfect adaptation to each of them. She began life as a rich Parisian. But, after her upper-class family moved to London, her parents lost their fortune during the Great Depression. Suddenly needing to work, Spanier transformed herself into a Fortnum and Mason salesgirl, rubbing shoulders with royals, artists and aristocrats of the time. And then, after moving back to Paris to live with her new French husband in 1939, she was forced to spend the years of the Nazi occupation on the run, sheltered by brave résistants, as she and her husband—both Jewish—fled the Germans and their Vichy collaborators. Immediately after the liberation of Paris, she joined the Allied forces, helping to recruit, train and organize needed support staff for the American army, as it headed east toward Berlin. After the Nazis were finally defeated, Spanier worked to create and managing the team of translators that assisted in the prosecution of the some of the modern era's most horrific war criminals, at the historic judgement at Nuremberg. So… it's clear that Spanier did not come with the typical background that one might expect for a Director of a French luxury haute couture house. As Directrice of Balmain for almost 30 years, Spanier oversaw the everyday workings of Balmain—skillfully managing all members of the team and working closely with Pierre Balmain to make key decisions on collections and strategy. She also oversaw the house's daily shows and its large team of in-house haute-couture models, known as the Balmain Cabine. To best understand how Paris' post-war model and show system worked, the podcast is joined once again by the award-winning fashion journalist Lynn Yaeger. And of course, Lynn was happy to share some amazing (and sometimes quite scandalous) tales with us.CREDITS L'ATELIER BALMAIN EPISODE SEVENFun, Fear and Fate Fun, Fear and Fate: Ginette Spanier and Mid-Century BalmainBalmain Creative Director: Olivier RousteingAudio: This Is Your Life, 09.02.1972: Courtesy of Ralph Edwards Productions, TIYL Productions & FremantleSpecial Podcast Guest: Lynn YaegerEpisode Direction and Production: Seb LascouxBalmain Historian: Julia GuillonEpisode Coordination: Alya NazaralyResearch Assistance: Pénélope André and Yasmine Ban AbdallahDigital Coordination/Graphic Identity: Jeremy MaceEpisode researched, written and presented by John Gilligan To explore further:Pierre Balmain: My Years and Seasons, (Doubleday, 1965)Ginette Spanier: It Isn't All Mink (Collins, 1959 and V&A Publishing, 2017)Ginette Spanier: And Now It's Sables (R. Hale, 1970)Ginette Spanier: Long Road To Freedom (R. Hale, 1976)See acast.com/privacy for privacy and opt-out information. This Episode's Music:PRALINE SUNG BY JEAN SABLONBalmain's Creative Director, Olivier Rousteing, makes it very clear—collection after collection—that he believes that fashion can never be separated from music. Inspired by Rousteing, each l'Atelier Balmain podcast carefully selects artists and music that reflect and strengthen the story being told. During this episode, Lynn Yaeger managed to give her own distinctive spin to the translated lyrics of an early 1950's French hit song about one of Balmain's biggest stars: Praline. Paris has had many beautiful women (and men) working as in-house models—but there are few who ever managed to become as famous as Praline. And we can't think of any other couture showroom model who ever had a hit song written about them! This 1951 tune was written by Eddie Constantine and sung by Jean Sablon. The melody is introduced with an astounded spoken reaction — “wait, you don't know who Praline is?” — and then Jean Sablon breaks into a song that follows the Praline through one of her day as Balmain's star model, beginning with her morning stroll down the Champs Elysées, following her through a tough day of shows , (while she always manages to keep looking perfectly put together), and finally, although she's tired, she is persuaded to go out at night and ends up falling in love with the singer. That singer ends his tune by letting his listeners know that he is now the lucky guy who's engaged to Praline. Et la vie est jolie! Sur les Champs ElyséesSes cheveux tout bouclésElle est fraîche et jolie,C'est Praline regardez-la marcherElle a l'air de danserSur le coup de midi c'est PralineElle est toujours bien habilléeOn dirait qu'elle est richeBien chapeautée, chaussée, gantée,Elle a même un canicheCar elle est mannequinDu velours au satinElle pass' la journée, c'est PralineUne robe du soir, le manteau rayé noir,La robe de mariée, c'est PralineHuit heur's tout' seule et fatiguéeElle rentre chez elleDemain il faut recommencerElle oublie qu'elle est belleSur les Champs ElyséesDes Messieurs distinguésFeraient bien des folies pour PralineEll' fait " non " gentimentEll' ne veut qu'un amant" Et ce s'ra pour la vie " dit PralineLe soir où je l'ai rencontréeEll' m'a fait un sourire et puisOn est aller danserAprès... j'peux pas vous l'direDepuis tout a changé nous sommes fiancésEt la vie est jolie Ah! PralineOn va se marier c'est banal à pleurerMais c'est moi qui souris à PralineA ma PralineOn the Champs ElyséesHer hair all in curlsShe is fresh and prettyIt's Praline watch her walkShe seems to dance And at noon it's PralineShe is always well dressedLooks like she's richNice hat, heels, gloves,She even has a poodleBecause she is a model From velvet to satinShe spends the day,it's PralineAn evening dress,the black striped coat,The wedding dressIt's Praline Eight hours all alone and tiredShe returns homeTomorrow we have to start againShe forgets that she is beautiful On the Champs ElyséesDistinguished GentlemenWould do crazy things for PralineShe says "no" nicely She only wants a true love"one that will be for life"said Praline The night I met herShe gave me a smileand then We went dancingAfter ... I can't tell you Since then, everything has changedwe are engagedAnd life is prettyah! PralineWe are going to get married,it's expected to cryBut me I smile at PralineTo my Praline℗ 1951 Parlophone / Warner Music France, a Warner Music Group CompanyComposer: Bob AstorComposer: Eddie ConstantineWriter: Francois Jacques See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Kaffepojkarna
Avsnitt 125 – år ????

Kaffepojkarna

Play Episode Listen Later May 20, 2021 49:35


Hänryckningens tid är inne, så låt dig hänryckas av Kaffepojkarna. Denna tid, när vårsolens vänliga lågor glänser som tungor av eld. Ja, ni kan väl er Tegnér? Eddie Constantine uttrycker samma sak i sång: C’est si bon – Det är så gott.

tegn eddie constantine
Gone With The Bushes
Episode 136 - Alphaville (1965)

Gone With The Bushes

Play Episode Listen Later Sep 15, 2020 130:03


"I'm fine. Thanks.  Don't mention it." Alphaville (1965) written and directed by Jean-Luc Godard and starring Eddie Constantine and Anna Karina. Next Time: Psycho (1960)

Les Nuits de France Culture
La joie de vivre - Renée Faure (1ère diffusion : 03/05/1953)

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 29, 2020 75:00


durée : 01:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Henri Spade et Robert Chazal - Avec Robert Lamoureux, Renée Faure, Denise Duval, Georges Brassens, Eddie Constantine, Paul-Emile Deiber, Félix Marten, Jean Raymond et les Garçons de la Rue - réalisation : Virginie Mourthé

Million Dollar Session
MDS 15 06 20 1

Million Dollar Session

Play Episode Listen Later Jun 13, 2020 60:30


Joe Bonamassa, Lee Rocker,Willie Nelson,Rolling Stones, Two Beatles, Paul Personne Hubert Felix Thiéfaine , Huges Haufray, Eddie Constantine,Ben Sidran,

Les Nuits de France Culture
La Nuit du Cinéma Pathé (11/12) : Eddie Constantine : "Je bois 240 whiskies par film, les coups qu'on donne c'est déjà fatiguant, mais ceux qu'on reçoit... 50, 60 par bobine ça compte à la fin de la journée"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Apr 18, 2020 30:00


durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans l'émission "La parole est à la nuit", le chanteur et acteur Eddie Constantine racontait sa vie dans un programme fantaisiste mi-entretien, mi-fiction (1ère diffusion : 17/12/1955 Chaîne Parisienne). - réalisation : Virginie Mourthé

Bayerisches Feuilleton
"Pass auf, Eddie!" | Kinokult und Kultkinos im Schwabing der 60er Jahre

Bayerisches Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 3, 2020 53:19


Die Schwabinger Kultkinos der 1960er Jahre waren das Dorado für Cineasten und angehende Regisseure. "Arri" oder "Türkendolch" waren die Filmhochschulen jener Zeit. Actionfilme mit Eddie Constantine wurden zu legendären Happenings.

The Force Fed Sci-Fi Movie Podcast

This time, we're diving into French cinema and reviewing the 1965 neo-noir, thriller Alphaville and along the way we ask, is this film just ripping off the works of George Orwell and Aldous Huxley, who exactly is Lemmy Caution, why does he look so haggard, and is there hope for an English language remake? Let's dig in…. Alphaville Movie Cast and Crew Directed by Jean-Luc Godard: If that name doesn't sound familiar to you, don't worry since it wasn't familiar to us either, but after doing some digging into his career, we discovered he's one of the most influential filmmakers in French cinema and pioneered the New Wave style of film making during the 1960's and 1970's. While he exclusively made films in France, directors like Martin Scorsese, Quentin Tarantino, Brian De Palma and Steven Soderbergh have cited Godard as an influence on their respective styles of directing. He was also awarded an Honorary Oscar in 2010 due to his contributions to the world of cinema. Eddie Constantine as Lemmy Caution: You may be noticing a trend of naming people you may not have heard of before, but Constantine is considered one of the legends of French cinema. Constantine was a well-traveled individual before he wound up in France - born in Los Angeles and emigrating to Vienna in order to jump start a singing career, but returned to America when that career path didn't yield results. He then returned to Europe when the only acting parts he could get in Hollywood were minor roles and began performing in cabarets where he was discovered by legendary French singer, Edith Piaf and he helped her break into English markets. The character of Lemmy Caution became his signature role after this discovery, but more on that later. Anna Karina as Natacha Von Braun: At the time Alphaville was being filmed, Karina and Goddard were married and they continued to work together even after they divorced. Karina is also a legend of French cinema and continued appearing in films as recently as 2008. She also became known as a director, model, singer and writer during her iconic career. Who is Lemmy Caution? Alphaville doesn't address this question until almost 50 minutes into the story, but as our podcast show hosts point out, the film really begins to move after this revelation. We're introduced to Caution as a journalist named Ivan Johnson, but it's not clear if he's there looking for a story or just on holiday. It becomes obvious that he's not really a journalist when he pulls out a handgun and begins shooting at an intruder in his hotel room. Lemmy's real mission is to investigate the city of Alphaville and either destroy the malevolent computer that controls the city, Alpha 60 or to assassinate the creator of Alpha 60, Professor von Braun. The Alpha 60 entity does appear in the film, but as a disembodied gravelly voice that offers vague philosophy as it tries to control its population. Caution's pursuit of Professor von Braun becomes complicated when he falls in love with von Braun's daughter, Natacha, and his mission gains additional objectives as he now has to save her from Alphaville's imminent destruction. The character of Lemmy Caution was created by a British author named Peter Cheney who started his career as a FBI agent, but later became a private detective (starting to sound eerily similar to James Bond). Despite Caution being an American agent created by a British author, he has yet to appear in an English language adaptation. Following World War II, American culture was heavily promoted in France and the population formed an attachment to the American liberators from Nazi occupation. French film producers began to mine for material that would appeal to audiences - Caution became an obvious answer to adapt for the big screen. Constantine would go on to appear as the character in many films beginning in the mid 1950's to the late 1980's, but Alphaville was a polarizing film at the time of release as fans had associated the...

The ACE: Atomic Cinema Experiment (Sci Fi Movie Podcast)
Test Subject #35: Alphaville (1965)

The ACE: Atomic Cinema Experiment (Sci Fi Movie Podcast)

Play Episode Listen Later Nov 27, 2019 75:12


In this episode of the science fiction podcast 'The ACE: Atomic Cinema Experiment,' we discuss the French classic 'Alphaville.' The film is Directed by Jean-Luc Godard and stars Eddie Constantine, Anna Karina & Akim Tamiroff. patreon: https://www.patreon.com/mildfuzztv twitter: https://twitter.com/Mild_Fuzz facebook: https://www.facebook.com/mildfuzznetwork Email: mftvquestions@gmail.com Audio version: https://the-ace-atomic-cinema-experime.pinecast.co UK Merch store: https://shop.spreadshirt.co.uk/mild-fuzz-tv/ US Merch store: https://shop.spreadshirt.com/mild-fuzz-tv-us SciFiPodcast #SciFi #ScienceFiction

Future Primitive Podcasts
Finding Authenticity

Future Primitive Podcasts

Play Episode Listen Later Aug 5, 2019 45:39


Tanya Constantine speaks with Joanna about: memoir as catharsis; who is Eddie Constantine?; an American in Paris; a difficult childhood; a testament to the resilience of the human spirit; being the child of a celebrity; looking for authenticity; a long process of clearing pain and trauma; searching for the truth of one’s identity; the medicine of MDMA; becoming a finder; grounding with the Earth and the Sun; relaxing into who you are; a balance between doing and being; competing with Frank Sinatra and Charles Aznavour; trying to understand. The post Finding Authenticity appeared first on Future Primitive Podcasts.

Kulttuuriykkönen
Kylmän sodan juonittelut pudottivat Edvin Laineen Tuntemattoman Cannesista - elokuva kukoisti ja puhutteli kansaa sodan jälkeen

Kulttuuriykkönen

Play Episode Listen Later May 20, 2019 52:34


Elokuvateollisuuden kerma on paraikaa koolla Ranskan Cannesissa 72. kertaa. Tänä vuonna elokuvajuhlilla saa maailmanensi-iltansa peräti kaksi suomalaista elokuvaa, Teemu Nikin All Inclusive ja J-P Valkeapään Koirat eivät käytä housuja. Suomalaiset ovat pyrkineet Cannesiin jo 1950-luvulla, mutta politiikka piti Tuntemattoman sotilaan pois filmijuhlilta vuonna 1956. Television saavuttua kansalaisten olohuoneisiin taistelu yleisön kiinnostuksesta sai elokuvantekijät apinoimaan ranskalaisia toimintaelokuvia, vaan minkälaisin seurauksin? Keskustelemassa ovat Unelmatehdas Liisankadulla - Suomen Filmiteollisuus Oy:n tarina -kirjan toimittaja, Oulun Yliopiston elokuvatutkimuksen lehtori Kimmo Laine ja kirjaan Eddie Constantine -mukaelmista kirjoittanut elokuva- ja televisiotutkimuksen dosentti Jaakko Seppälä Helsingin yliopistosta. Janne Sundqvist haastattelee Ranskan Rivieran legendaarisessa elokuvatapahtumassa ohjaaja J-P Valkeapäätä (Koirat eivät käytä housuja), ohjaaja Mikko Myllylahtea (Metsurin tarina) ja tuottaja Jani Pösöä (All Inclusive). Juontajana on Pauliina Grym.

Million Dollar Session
MDS 20 mai 2019

Million Dollar Session

Play Episode Listen Later May 17, 2019 61:35


Paul Personne & Hubert Felix Thiéfaine, Ray Charles, Stacy Kent, John Lee Hooker, Screamin Jay hawkins, Eddie Constantine,Benoit Blue Boy,Hugh Laurie, Hilton Ruiz.....

NADA MÁS QUE MÚSICA
Nada más que música - Canción francesa, años 60 - II

NADA MÁS QUE MÚSICA

Play Episode Listen Later Jan 10, 2019 32:32


Seguimos con la espléndida generación de artistas que brillaron en el país vecino durante la década de los sesenta. Empezamos esta segunda parte de nuestro especial con Jacques Brel. Brel realmente era belga pero vivió toda su vida artística en París y sus últimos años en las islas Marquesas, en la Polinesia Francesa. A partir de 1952 empezó a componer sus primeras canciones que cantaba por los múltiples cabarets de Bruselas con la oposición frontal de su familia. El perseveró en su empeño y, abandonando a su mujer y sus hijas, en 1953 se marchó a París y solo cuando hubo conseguido un relativo éxito reunió de nuevo a su familia. En 1956 ya iba de gira por Europa y fue entonces cuando grabó su primer gran éxito: Qunad on n’a que l’amour En 1957 grabó su segundo sencillo, recibiendo el Grand Prix de l’Académie Charles cros y al año siguiente consiguió por fin ser aclamado en el Olympia. A partir de este momento, las giras fueron imparables. Vamos a escuchar la grabación de estos conciertos. Jacques Brel, en directo, desde el Olympia de Paris: Mathilde. En 1959 Brel graba lo que sería su obra maestra y su mayor éxito, el sencillo Ne me quitte pas (No me abandones), una sentida balada con una sencilla estructura melódica y una poderosa letra inspirada en la ruptura amorosa con Suzanne Gabriello "Zizou", Brel abandonó a su amante embarazada mientras ella suplicaba. Esto detalle es muy interesante ya que, contra lo que pudiera parecer, no es el Brel el que suplica para que no le abandone su amante sino que es ella, embarazada, la que le pide, desesperadamente, que no le deje. La más bella canción de amor de todos los tiempos es en realidad la humillación que se impuso el cantautor belga por el miserable trato que brindó a su amante 'Zizou'. Brel acabó como un cobarde. Al final, se comportó como un hombre melindroso y poco fiable que se resistió a abandonar a su esposa y que se agarró a la vieja costumbre machista de presumir de esposa y querida. Ahora bien, la canción es preciosa. En 1973 lo abandonó todo y se retiró a las Islas Marquesas, en la Polinesia Francesa, donde se dedicaría a navegar en su velero Askoy y a pilotar un bimotor que utilizaría como avión-taxi para ayudar a los habitantes de las islas. Murió a causa de un cáncer de pulmón en París en octubre de 1978 y fue enterrado en las Islas Marquesas, a pocos metros de la tumba del pintor Paul Gauguin. Esta canción, Les Marquises, fue su última grabación En la misma onda que nuestro amigo Jacques Brel, encontramos a un genial Georges Brassens. Nacido en Séte, Francia, el 22 de octubre de 1921, fue el exponente más relevante, tanto de la canción francesa como de la trova anarquista del siglo XX. Su fama se cimentó gracias a melodías sencillas y elegantes y a sus letras, variadas y elaboradas. Se le considera uno de los mejores poetas franceses de la posguerra, no en vano ganó el premio nacional de poesía de su pais. Procedente de una humilde familia obrera, se trasladó a París en 1939 y tras realizar estudios elementales, entró a trabajar en Renault. De ideología libertaria, militó en la resistencia francesa tras la ocupación alemana de París en la Segunda Guerra Mundial, colaboró con la publicación clandestina Libertaires y, en 1942, publicó su primer libro de poemas. A principios de los cincuenta comenzó a grabar sus primeras canciones, y entre ellas, esta conocida “La mala reputación” Su peculiar forma de hacer le llevó a ser referencia obligada para los intelectuales franceses del momento y sus periódicas presentaciones en L'Olympia fueron seguidas por públicos de más de una generación. Como he dicho antes, la simplicidad de sus canciones contrasta con unos textos llenos de ironía, de alto contenido político y crítica social. Como en esta admirable “Marinette”. Os acordareis de la versión que de esta canción hizo Javier Krahe, y es que Brassens fue admirado por el resto de los autores e intérpretes europeos que versionaron sus canciones en múltiples ocasiones, y no solo por artistas ligados al Folk o a la canción de autor, sino también al Rock, como el español Loquillo, o Paco Ibáñez, que cantó varias de sus canciones durante su largo exilio parisino y que fue el introductor de Brassens en España, Pi De La Serra, Joaquín Carbonel y, de alguna manera, Luis Eduardo Aute, Joan Manuel Serrat o Joaquín Sabina mantienen claras influencias de Brassens en algunas de sus composiciones. Nos despedimos de Brassens con una de estas versiones: Joaquín Carbonel y Joaquín Sabina cantan la divertida “El Gorila” Brassens murió de cáncer en 1981, en Saint-Gely-du-Fesc, después de haber sufrido problemas de salud durante muchos años. En otra línea, diametralmente distinta, nos encontramos con Charles Adnavour. Charles Aznavour nació en París de padres armenios, y su nombre es ………… impronunciable. Debutó en la canción junto a su hermana Aída, al mismo tiempo que en el teatro en 1933, donde interpretó desde los 11 años diferentes papeles infantiles. Aznavour escribió canciones para estrellas como Piaf, Juliette Gréco, Eddie Constantine, pero al principio de su carrera tuvo muchas dificultades para triunfar. Más tarde, supo explotar este periodo de su vida en una canción que recoge el estado de ánimo de un fracasado en el mundo de la canción: «Je m'voyais déjà» que es la que acabamos de escuchar. Su primer triunfo data de 1953, cuando actuó en el teatro Olympia y «Sur ma vie» se convirtió en su primer gran éxito. Aznavour poseía una capacidad especial para resumir en pocas frases una situación en la que se encuentran muchas personas. También supo explotar muy bien su persona, su talla, su voz: sus defectos se convirtieron en cualidades. Y otra de su cualidades fue saber elegir a sus colegas. En 1944 grabó con Frank Sinatra el clásico “You Make Me Feel So Young” para el álbum Duets del legendario crooner norteamericano. Y, aunque sea brevemente, no quiero dejar pasar una fenomenal versión que de su canción “Morir de amor” hicieron a duo Aznavour y Compay Segundo. El 1 de octubre de 2018, fue encontrado muerto en una bañera en su casa en Mouriès a la edad de 94 años. Un informe de autopsia concluyó que Aznavour murió de un paro cardiorrespiratorio complicado por un edema pulmonar. Le despedimos con una canción que le hace justicia: For me formidable Y vamos con Edith Piaf. Nació en París, el 19 de diciembre de 1915, bajo el nombre de Édith Giovanna Gassion. Su infancia fue tremenda. Para hacernos una idea, relataremos esquemáticamente por lo que pasó nuestra, todavía, pequeña estrella: Su padre era acróbata, que bueno, dicho así, tampoco tiene nada de particular, pero el Sr. Gassion, que así se llamaba, para celebrar su nacimiento se emborrachó y dejó a su madre, Annetta, de origen ítalo-bereber que, a su vez, era cantante ambulante. Sin ningún tipo de ayuda, tuvo que afrontar el parto sola. Salió a la calle por sus propios medios, pero no consiguió llegar al hospital y Edith nació en plena calle debajo de una farola frente al número 72 de la calle de Belleville en París. Y vamos a poner un poco de música porque si no esto va a acabar mal. “No, nada de nada, no lamento nada, ni el bien ni el mal que me hayan hecho” Toda una declaración de principios. Pero seguimos con la historia. Annetta, su madre, al ser demasiado pobre como para criar a la pequeña Edith, la confía a su madre, o sea, a su abuela, quien en vez de darle leche con biberón, la alimentaba con vino, con la excusa de que así se eliminaban los microbios. Después la entrega a su padre, el tal Sr. Gassion, quien está a punto de ir al frente en la Primera Guerra Mundial, lo que lo lleva a dejar a la niña con su madre, o sea, la abuela paterna de Édith, que era dueña de una casa de prostitución en Bernay, Normandía, donde la niña es criada por las prostitutas de la casa. Bueno, no se que decir, que esta señora cantara cosas como “La vie en rose” tiene mucho, mucho mérito. En 1933, con diecisiete años, y después de deambular cantando por las calles de París, se enamoró de un chico de recados, Louis Dupont, con quien poco después tuvo su única hija, una niña llamada Marcelle, que murió a la edad de dos años de meningitis. Pero bueno, por lo demás, todo bien. Y bueno, a pesar de sus innumerables romances fallidos, de su adicción a la morfina, del fallecimiento de su única hija a la edad de dos años, Edith Piaf fue una mujer comprometida con su tiempo. Durante la ocupación alemana, la cantante cambia su nombre artístico de "La Môme Piaf" por el de "Edith Piaf" y continúa dando conciertos, sin ceder a la ocupación nazi. Ella interpreta canciones con un doble sentido evocando la Resistencia cuando interpreta Tu es partout en la que alude a la traición de un amante. En este período tan difícil para todos los habitantes de Francia, Piaf se erige como protectora de los artistas judíos, perseguidos por las autoridades alemanas. Edith se convirtió también en una especie de icono parisino y en la década de 1950, Piaf era famosa en muchos países. El público norteamericano la consagró en 1956 en el Carnegie Hall de Nueva York, al que regresó con frecuencia, tras iniciar ese mismo año una cura de desintoxicación. Hymne a l’amour, una desgarrada canción de amor. En 1959, Édith se desploma en escena durante una gira en Nueva York. Volvió a París en un penoso estado de salud y sin Moustaki, su romance del momento que la abandona antes de regresar a Francia. En 1961, Édith Piaf, a petición de Bruno Coquatrix, ofrece una serie de conciertos, tal vez los más memorables y emotivos de su carrera, en el Olympia de París, local que estaba bajo amenaza de desaparecer por problemas financieros. Es en ése, su salón de espectáculos favorito, en donde interpreta la canción Non, je ne regrette rien, canción que, como hemos visto, se adapta perfectamente a su persona. Con ello salva al Olympia. El 11 de octubre de 1963, Édith Piaf fallece en Plascassier a los 47 años de edad, por causa de cáncer hepático. Y con este final tan dramático pero real como la vida misma, acaba nuestro programa de hoy y esta miniserie dedicada a la música francesa de los años 60.

NADA MÁS QUE MÚSICA
Nada más que música - Canción francesa, años 60 - II

NADA MÁS QUE MÚSICA

Play Episode Listen Later Jan 10, 2019 32:32


Seguimos con la espléndida generación de artistas que brillaron en el país vecino durante la década de los sesenta. Empezamos esta segunda parte de nuestro especial con Jacques Brel. Brel realmente era belga pero vivió toda su vida artística en París y sus últimos años en las islas Marquesas, en la Polinesia Francesa. A partir de 1952 empezó a componer sus primeras canciones que cantaba por los múltiples cabarets de Bruselas con la oposición frontal de su familia. El perseveró en su empeño y, abandonando a su mujer y sus hijas, en 1953 se marchó a París y solo cuando hubo conseguido un relativo éxito reunió de nuevo a su familia. En 1956 ya iba de gira por Europa y fue entonces cuando grabó su primer gran éxito: Qunad on n’a que l’amour En 1957 grabó su segundo sencillo, recibiendo el Grand Prix de l’Académie Charles cros y al año siguiente consiguió por fin ser aclamado en el Olympia. A partir de este momento, las giras fueron imparables. Vamos a escuchar la grabación de estos conciertos. Jacques Brel, en directo, desde el Olympia de Paris: Mathilde. En 1959 Brel graba lo que sería su obra maestra y su mayor éxito, el sencillo Ne me quitte pas (No me abandones), una sentida balada con una sencilla estructura melódica y una poderosa letra inspirada en la ruptura amorosa con Suzanne Gabriello "Zizou", Brel abandonó a su amante embarazada mientras ella suplicaba. Esto detalle es muy interesante ya que, contra lo que pudiera parecer, no es el Brel el que suplica para que no le abandone su amante sino que es ella, embarazada, la que le pide, desesperadamente, que no le deje. La más bella canción de amor de todos los tiempos es en realidad la humillación que se impuso el cantautor belga por el miserable trato que brindó a su amante 'Zizou'. Brel acabó como un cobarde. Al final, se comportó como un hombre melindroso y poco fiable que se resistió a abandonar a su esposa y que se agarró a la vieja costumbre machista de presumir de esposa y querida. Ahora bien, la canción es preciosa. En 1973 lo abandonó todo y se retiró a las Islas Marquesas, en la Polinesia Francesa, donde se dedicaría a navegar en su velero Askoy y a pilotar un bimotor que utilizaría como avión-taxi para ayudar a los habitantes de las islas. Murió a causa de un cáncer de pulmón en París en octubre de 1978 y fue enterrado en las Islas Marquesas, a pocos metros de la tumba del pintor Paul Gauguin. Esta canción, Les Marquises, fue su última grabación En la misma onda que nuestro amigo Jacques Brel, encontramos a un genial Georges Brassens. Nacido en Séte, Francia, el 22 de octubre de 1921, fue el exponente más relevante, tanto de la canción francesa como de la trova anarquista del siglo XX. Su fama se cimentó gracias a melodías sencillas y elegantes y a sus letras, variadas y elaboradas. Se le considera uno de los mejores poetas franceses de la posguerra, no en vano ganó el premio nacional de poesía de su pais. Procedente de una humilde familia obrera, se trasladó a París en 1939 y tras realizar estudios elementales, entró a trabajar en Renault. De ideología libertaria, militó en la resistencia francesa tras la ocupación alemana de París en la Segunda Guerra Mundial, colaboró con la publicación clandestina Libertaires y, en 1942, publicó su primer libro de poemas. A principios de los cincuenta comenzó a grabar sus primeras canciones, y entre ellas, esta conocida “La mala reputación” Su peculiar forma de hacer le llevó a ser referencia obligada para los intelectuales franceses del momento y sus periódicas presentaciones en L'Olympia fueron seguidas por públicos de más de una generación. Como he dicho antes, la simplicidad de sus canciones contrasta con unos textos llenos de ironía, de alto contenido político y crítica social. Como en esta admirable “Marinette”. Os acordareis de la versión que de esta canción hizo Javier Krahe, y es que Brassens fue admirado por el resto de los autores e intérpretes europeos que versionaron sus canciones en múltiples ocasiones, y no solo por artistas ligados al Folk o a la canción de autor, sino también al Rock, como el español Loquillo, o Paco Ibáñez, que cantó varias de sus canciones durante su largo exilio parisino y que fue el introductor de Brassens en España, Pi De La Serra, Joaquín Carbonel y, de alguna manera, Luis Eduardo Aute, Joan Manuel Serrat o Joaquín Sabina mantienen claras influencias de Brassens en algunas de sus composiciones. Nos despedimos de Brassens con una de estas versiones: Joaquín Carbonel y Joaquín Sabina cantan la divertida “El Gorila” Brassens murió de cáncer en 1981, en Saint-Gely-du-Fesc, después de haber sufrido problemas de salud durante muchos años. En otra línea, diametralmente distinta, nos encontramos con Charles Adnavour. Charles Aznavour nació en París de padres armenios, y su nombre es ………… impronunciable. Debutó en la canción junto a su hermana Aída, al mismo tiempo que en el teatro en 1933, donde interpretó desde los 11 años diferentes papeles infantiles. Aznavour escribió canciones para estrellas como Piaf, Juliette Gréco, Eddie Constantine, pero al principio de su carrera tuvo muchas dificultades para triunfar. Más tarde, supo explotar este periodo de su vida en una canción que recoge el estado de ánimo de un fracasado en el mundo de la canción: «Je m'voyais déjà» que es la que acabamos de escuchar. Su primer triunfo data de 1953, cuando actuó en el teatro Olympia y «Sur ma vie» se convirtió en su primer gran éxito. Aznavour poseía una capacidad especial para resumir en pocas frases una situación en la que se encuentran muchas personas. También supo explotar muy bien su persona, su talla, su voz: sus defectos se convirtieron en cualidades. Y otra de su cualidades fue saber elegir a sus colegas. En 1944 grabó con Frank Sinatra el clásico “You Make Me Feel So Young” para el álbum Duets del legendario crooner norteamericano. Y, aunque sea brevemente, no quiero dejar pasar una fenomenal versión que de su canción “Morir de amor” hicieron a duo Aznavour y Compay Segundo. El 1 de octubre de 2018, fue encontrado muerto en una bañera en su casa en Mouriès a la edad de 94 años. Un informe de autopsia concluyó que Aznavour murió de un paro cardiorrespiratorio complicado por un edema pulmonar. Le despedimos con una canción que le hace justicia: For me formidable Y vamos con Edith Piaf. Nació en París, el 19 de diciembre de 1915, bajo el nombre de Édith Giovanna Gassion. Su infancia fue tremenda. Para hacernos una idea, relataremos esquemáticamente por lo que pasó nuestra, todavía, pequeña estrella: Su padre era acróbata, que bueno, dicho así, tampoco tiene nada de particular, pero el Sr. Gassion, que así se llamaba, para celebrar su nacimiento se emborrachó y dejó a su madre, Annetta, de origen ítalo-bereber que, a su vez, era cantante ambulante. Sin ningún tipo de ayuda, tuvo que afrontar el parto sola. Salió a la calle por sus propios medios, pero no consiguió llegar al hospital y Edith nació en plena calle debajo de una farola frente al número 72 de la calle de Belleville en París. Y vamos a poner un poco de música porque si no esto va a acabar mal. “No, nada de nada, no lamento nada, ni el bien ni el mal que me hayan hecho” Toda una declaración de principios. Pero seguimos con la historia. Annetta, su madre, al ser demasiado pobre como para criar a la pequeña Edith, la confía a su madre, o sea, a su abuela, quien en vez de darle leche con biberón, la alimentaba con vino, con la excusa de que así se eliminaban los microbios. Después la entrega a su padre, el tal Sr. Gassion, quien está a punto de ir al frente en la Primera Guerra Mundial, lo que lo lleva a dejar a la niña con su madre, o sea, la abuela paterna de Édith, que era dueña de una casa de prostitución en Bernay, Normandía, donde la niña es criada por las prostitutas de la casa. Bueno, no se que decir, que esta señora cantara cosas como “La vie en rose” tiene mucho, mucho mérito. En 1933, con diecisiete años, y después de deambular cantando por las calles de París, se enamoró de un chico de recados, Louis Dupont, con quien poco después tuvo su única hija, una niña llamada Marcelle, que murió a la edad de dos años de meningitis. Pero bueno, por lo demás, todo bien. Y bueno, a pesar de sus innumerables romances fallidos, de su adicción a la morfina, del fallecimiento de su única hija a la edad de dos años, Edith Piaf fue una mujer comprometida con su tiempo. Durante la ocupación alemana, la cantante cambia su nombre artístico de "La Môme Piaf" por el de "Edith Piaf" y continúa dando conciertos, sin ceder a la ocupación nazi. Ella interpreta canciones con un doble sentido evocando la Resistencia cuando interpreta Tu es partout en la que alude a la traición de un amante. En este período tan difícil para todos los habitantes de Francia, Piaf se erige como protectora de los artistas judíos, perseguidos por las autoridades alemanas. Edith se convirtió también en una especie de icono parisino y en la década de 1950, Piaf era famosa en muchos países. El público norteamericano la consagró en 1956 en el Carnegie Hall de Nueva York, al que regresó con frecuencia, tras iniciar ese mismo año una cura de desintoxicación. Hymne a l’amour, una desgarrada canción de amor. En 1959, Édith se desploma en escena durante una gira en Nueva York. Volvió a París en un penoso estado de salud y sin Moustaki, su romance del momento que la abandona antes de regresar a Francia. En 1961, Édith Piaf, a petición de Bruno Coquatrix, ofrece una serie de conciertos, tal vez los más memorables y emotivos de su carrera, en el Olympia de París, local que estaba bajo amenaza de desaparecer por problemas financieros. Es en ése, su salón de espectáculos favorito, en donde interpreta la canción Non, je ne regrette rien, canción que, como hemos visto, se adapta perfectamente a su persona. Con ello salva al Olympia. El 11 de octubre de 1963, Édith Piaf fallece en Plascassier a los 47 años de edad, por causa de cáncer hepático. Y con este final tan dramático pero real como la vida misma, acaba nuestro programa de hoy y esta miniserie dedicada a la música francesa de los años 60.

Third Eye Cinema / Weird Scenes Inside the Goldmine podcast
Weird Scenes 6/21/18: Watch Out, Baby…it’s Eddie Constantine!

Third Eye Cinema / Weird Scenes Inside the Goldmine podcast

Play Episode Listen Later Jun 21, 2018 89:35


A Russian-Pole cabaret singer and contemporary (and collaborator!) of Edith Piaf, Eddie Constantine made his fame in the bohemian Left Bank of Paris…first as a proto-Serge Gainsbourg chanteur…but more famously, as the unlikely star of a long running series of generally hard boiled neo-noir (but just as often, self-mocking and comedically oriented!) crime pictures. Much beloved, oft imitated but never paralleled, Constantine would appear in films by the likes of Jean Luc Godard and Jesus (Jess) Franco, appearing in contemporaneous and parallel series as long running detective novel standby Nick Carter and his own Lemmy Caution, as well as any number of similarly-minded one off roles to which he brought simultaneous good humor, a hard luck “tough guy” noir ethos, likeability and gravitas. Join us as we celebrate one of the greats of French cinema, the inimitable Eddie Constantine! Week 48: Watch Out, Baby…it’s Eddie Constantine!   https://weirdscenes1.wordpress.com/ https://www.facebook.com/WeirdScenes1 https://twitter.com/WeirdScenes1 (@weirdscenes1)

Where the Long Tail Ends
Still Watching the Skies: Episode 21 "Alphaville"

Where the Long Tail Ends

Play Episode Listen Later May 1, 2016 88:37


Let's dance in style, let's dance for a while, Heaven can wait we're only watching the skies. Hoping for the best, but expecting the worst, Are you gonna drop the bomb or not? Wait, wrong ALPHAVILLE. Instead, this month Cody, Robert, and Nat turn their attention to Jean-Luc Godard's 1965 science fiction noir ALPHAVILLE starring Eddie Constantine and Anna Karina. We also turn our attention to BATMAN V SUPERMAN: DAWN OF JUSTICE and get Cody to spill some Tales From Out of School.

The Projection Booth Podcast
Episode 244: Alphaville (1965)

The Projection Booth Podcast

Play Episode Listen Later Nov 11, 2015 128:05


Noirvember continues as we look at Jean-Luc Godard's 1965 sci-fi philosophical Noir starring Eddie Constantine and Anna Karina, Alphaville.Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

The Projection Booth Podcast
TPB: Alphaville

The Projection Booth Podcast

Play Episode Listen Later Nov 10, 2015 128:01


Noirvember continues as we look at Jean-Luc Godard's 1965 sci-fi philosophical Noir starring Eddie Constantine and Anna Karina, Alphaville.

noir jean luc godard alphaville noirvember anna karina eddie constantine david sterritt lemmy caution cullen gallagher
Films récents - FilmsDocumentaires.com

Peintre, photographe, graphiste, auteur de documentaires cultes, réalisateur d'ovnis cinématographiques et de publicités, le goût de la transgression tenaille cet artiste protéiforme.Broadway by lightLes Américains ont inventé le jazz pour se consoler de la mort, la star pour se consoler de la femme. Pour se consoler de la nuit, ils ont inventé Broadway.Muhammad Ali, the GreatestEn 1964, Cassius Clay devient champion du monde des poids lourds. Dix ans après, le 30 octobre à Kinshasa, Zaïre, Muhammad Ali va se mesurer à l'imbattable démolisseur, George Foreman.Qui êtes-vous Polly Maggoo ?Une comédie satirique signée William Klein sur les mondes de la mode et des médias. Avec Sami Frey, Dorothy Mac Gowan, Jean Rochefort, Philippe Noiret ...Grands soirs et petits matinsMai 68. Les symboles de l'autorité sont contestés par des millions de grévistes et d'étudiants. Avec Daniel Cohn-Bendit, Charles De Gaulle, Serge July, Bernard Kouchner...Mister FreedomUne fable éminemment politique sur le mythe impérialiste du Superman américain, servie par un casting de rêve. Avec Delphine Seyrig, John Abbey, Philippe Noiret, Jean-Claude Drouot, Sami Frey, Serge Gainsbourg, Rufus … Festival panafricain d'Alger 1969Juillet 1969, William Klein filme le premier Festival culturel panafricain d'Alger. Avec Nina Simone, Archie Shepp, Miriam Makeba …Eldridge Cleaver, Black Panther1969, à Alger devenue la « Mecque des révolutionnaires », William Klein réalise le portrait d'Eldridge Cleaver.Le couple témoinA quoi vont ressembler les citoyens de l'an 2000 ? Avec André Dussollier, Anémone, Zouc, Eddie Constantine…The FrenchRoland Garros, 1981, avec Björn Borg, Jimmy Connors, John McEnroe, Ivan Lendl, Chris Evert-Lloyd, Yannick Noah …Contactsla série de référence créé par William Klein. Découvrez les deux exigences qui caractérisent son style : la proximité et le mouvement.In and Out of fashion Un film jubilatoire sur son parcours artistique. Les In et Out de Klein avec la mode.Le MessieLe chef-d'œuvre de Haendel revisité par William Klein.Bonus :Le livre William Klein Films, 120 pages.Des entretiens et séquences commentées par William Klein. 2 heures Loin du Vietnam : les deux séquences réalisées par Klein pour ce film collectif. 30 minLangues audio : Français, Version OriginaleFilms couleur ou N&B - Formats cinéma respectésSon Dolby digital 5.1 ou stéréo ou monoCoffret 10 DVD Pal Zone 2