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Inondations, pluies intenses et destruction de routes ou de maisons : c'est ce qui attend la Colombie jusqu'au mois de juin, d'après l'institut météorologique du pays. La saison des pluies, qui a débuté le mois dernier avec le phénomène de la Niña, a déjà causé de nombreux dégâts et a fait au moins deux morts dans la ville de Medellin, le 30 avril. Le maire de la ville a déclaré l'état d'urgence pour catastrophe naturelle et un appel aux dons a été lancé pour venir en aide aux sinistrés. De notre correspondante à Medellin,Le bruit de la pluie est devenu le quotidien des habitants de l'arrondissement San Antonio Desperado de Medellin. Chaque année, les précipitations sont de plus en plus fortes. En ce début de la saison hivernale, les conséquences sont déjà visibles. Alejandro Castagno est agriculteur de père en fils. Ce quadragénaire est natif de San Antonio Desperado et il a été témoin de plusieurs inondations, dont la dernière en date, au début du mois d'avril : « Les affluents de ruisseaux sont obstrués, bouchés à cause de l'abattage des arbres, donc de nombreux bassins se retrouvent avec des sortes de barrages qui bloquent l'eau. La matière végétale s'accumule et se déverse partout et inonde les maisons qui sont proches des ruisseaux. C'était le cas dans le district d'Astilleros. »Natalia Mesa, sa voisine, s'inquiète de la fissure qui traverse la route près de chez elle : « Regardez, quelqu'un a essayé de boucher le trou. Ici, on voit des débris et de la terre, mais comme les camions continuent de passer dessus, notamment les poids lourds, eh bien la fissure continue de se creuser. Le trou dans le sol est énorme, surtout qu'il se trouve sur une faille géologique. D'ailleurs, juste en face, avant, il y avait une très belle maison. La famille a dû être évacuée et la maison détruite. »Risque de précipitations supérieures à la normalePour prévenir ces phénomènes, les pompiers de Medellin sont en train de cartographier le secteur. À l'aide d'un drone, deux pompiers scannent la montagne pour détecter les éventuelles fissures ou mouvements de plaques tectoniques d'une des zones inondées, il y a quelques jours. « Dans ce type de cas, il est avant tout question de glissements de terrain. C'est parce que ce sous-sol est devenu une sorte de nappe phréatique. Il pleut tellement que le terrain ne parvient plus absorber l'eau. Du coup, l'eau commence à se déplacer vers le bas de la montagne, à travers ces chemins sur le côté. Le cours d'eau augmente, ça peut se transformer en un barrage et finir par déborder. Avec les débris et blocs de rochers, ça se transforme en coulées de boue », explique le capitaine Juan Guillermo Usma, sous-commandant du corps des pompiers de Medellin.Pour faire face à ces phénomènes climatiques dits du Niño et de la Niña, les autorités utilisent un système d'alerte, « le Siata ». « Nous avons une surveillance en temps réel via le satellite, mais même si cela aide, il est parfois difficile d'avoir des prévisions précises, notamment concernant la quantité de précipitations attendues, admet Carlos Quintero, directeur du département de gestion des risques et des catastrophes de Medellin. Le sujet des catastrophes naturelles est un sujet ambigu, complexe. Tout ce que nous pouvons établir, ce sont des scénarios de risque d'origine naturelle. »D'après l'Institut de météorologie colombien (Ideam), la saison de fortes pluies en Colombie s'étendra jusqu'à la fin juin. Dans son rapport, l'organisme prévoit des précipitations supérieures de 20 à 50% à la normale au cours de mai.
Inondations, pluies intenses et destruction de routes ou de maisons : c'est ce qui attend la Colombie jusqu'au mois de juin, d'après l'institut météorologique du pays. La saison des pluies, qui a débuté le mois dernier avec le phénomène de la Niña, a déjà causé de nombreux dégâts et a fait au moins deux morts dans la ville de Medellin, le 30 avril. Le maire de la ville a déclaré l'état d'urgence pour catastrophe naturelle et un appel aux dons a été lancé pour venir en aide aux sinistrés. De notre correspondante à Medellin,Le bruit de la pluie est devenu le quotidien des habitants de l'arrondissement San Antonio Desperado de Medellin. Chaque année, les précipitations sont de plus en plus fortes. En ce début de la saison hivernale, les conséquences sont déjà visibles. Alejandro Castagno est agriculteur de père en fils. Ce quadragénaire est natif de San Antonio Desperado et il a été témoin de plusieurs inondations, dont la dernière en date, au début du mois d'avril : « Les affluents de ruisseaux sont obstrués, bouchés à cause de l'abattage des arbres, donc de nombreux bassins se retrouvent avec des sortes de barrages qui bloquent l'eau. La matière végétale s'accumule et se déverse partout et inonde les maisons qui sont proches des ruisseaux. C'était le cas dans le district d'Astilleros. »Natalia Mesa, sa voisine, s'inquiète de la fissure qui traverse la route près de chez elle : « Regardez, quelqu'un a essayé de boucher le trou. Ici, on voit des débris et de la terre, mais comme les camions continuent de passer dessus, notamment les poids lourds, eh bien la fissure continue de se creuser. Le trou dans le sol est énorme, surtout qu'il se trouve sur une faille géologique. D'ailleurs, juste en face, avant, il y avait une très belle maison. La famille a dû être évacuée et la maison détruite. »Risque de précipitations supérieures à la normalePour prévenir ces phénomènes, les pompiers de Medellin sont en train de cartographier le secteur. À l'aide d'un drone, deux pompiers scannent la montagne pour détecter les éventuelles fissures ou mouvements de plaques tectoniques d'une des zones inondées, il y a quelques jours. « Dans ce type de cas, il est avant tout question de glissements de terrain. C'est parce que ce sous-sol est devenu une sorte de nappe phréatique. Il pleut tellement que le terrain ne parvient plus absorber l'eau. Du coup, l'eau commence à se déplacer vers le bas de la montagne, à travers ces chemins sur le côté. Le cours d'eau augmente, ça peut se transformer en un barrage et finir par déborder. Avec les débris et blocs de rochers, ça se transforme en coulées de boue », explique le capitaine Juan Guillermo Usma, sous-commandant du corps des pompiers de Medellin.Pour faire face à ces phénomènes climatiques dits du Niño et de la Niña, les autorités utilisent un système d'alerte, « le Siata ». « Nous avons une surveillance en temps réel via le satellite, mais même si cela aide, il est parfois difficile d'avoir des prévisions précises, notamment concernant la quantité de précipitations attendues, admet Carlos Quintero, directeur du département de gestion des risques et des catastrophes de Medellin. Le sujet des catastrophes naturelles est un sujet ambigu, complexe. Tout ce que nous pouvons établir, ce sont des scénarios de risque d'origine naturelle. »D'après l'Institut de météorologie colombien (Ideam), la saison de fortes pluies en Colombie s'étendra jusqu'à la fin juin. Dans son rapport, l'organisme prévoit des précipitations supérieures de 20 à 50% à la normale au cours de mai.
En 6AM de Caracol Radio habló Max Henríquez, meteorólogo, quién comunicó cuáles son los riesgos del cambio de las funciones meteorológicas que ahora están a cargo de la Aeronáutica y no del IDEAM
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En 6AM de Caracol Radio estuvo la mayor Carolina Rueda, jefe del IDEAM, para explicar un poco si disminuirán las lluvias durante el primer trimestre del año y cuáles serán los departamentos que sí tendrán precipitaciones.
Resumen informativo con las noticias más destacadas de Colombia del martes 17 de diciembre de 2024 a las doce de la noche.
Además, la directora del Ideam entregó un pronóstico: ¿hasta cuándo irán las lluvias en Colombia?See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ghilsiane Echeverry, directora del Ideam, también entregó un panorama sobre la situación de los embalses en Colombia.
En este episodio hablamos un poco de las difucultades de informar sobre la sequía, el fenómeno de la niña y la responsabilidad de las empresas y corporaciones. Sara Trejos, María Paula Martínez y Andrés PáramoPost: Rodrigo RodriguezNotas del episodio - LluviasManual de periodismo El VeinteEl agua para quién. Shots de cienciaEscasez de agua en Bogotá ¿Cómo llegamos a este punto? | EL ESPECTADOR 'Bogotá no tiene nada que ver con el agua que Coca-Cola extrae de La Calera': Carlos Fernando Galán I El Tiempo Colombia entra en alerta ante la llegada del fenómeno ‘La Niña' I El País¿Volverán los tiempos de lluvia pronto a Bogotá y Colombia? El Ideam dice que la temporada seca podría extenderse hasta abril del 2025 I El TiempoBajas lluvias y altas temperaturas tienen a Colombia en llamas: el país enfrenta 15 incendios forestales activos y 4 controlados I El TiempoCultivos del agro que se afectarían con Fenómeno de La Niña I Valora AnalitikLa falta de lluvias obliga a que Bogotá vuelva al racionamiento diario de agua por sectores I Rfi¿Continuarán las lluvias? Este es el pronóstico del IDEAM para Bolívar y Cundinamarca I Caracol RadioIdeam mantiene alerta por ciclón tropical en el Caribe: habrá fuertes lluvias en esta zona I BluSan Andrés y Providencia en alerta: ciclón tropical afectaría a las islas en las próximas horas I El Colombiano Get bonus content on Patreon Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Colombia se encuentra en alerta por cuenta de la sequía en varias zonas del territorio nacional. El ideam hace un pronóstico de lluvias y habla sobre la situación de los embalses.
Ghisliane Echeverry Prieto, directora del Ideam, explicó en La FM de RCN los riesgos en Colombia si el huracán Beryl llega a pasar por el país.
Aunque no se espera que el huracán Beryl llegue directamente a Colombia, los efectos del fenómeno se están sintiendo en forma de aumento de lluvias, vientos fuertes, oleaje y posible mar de leva, según describió la directora del Ideam. See omnystudio.com/listener for privacy information.
En esta edición de Regresando a Casa, Gobierno gastó 90% de las dos reformas tributarias en el subsidio a los combustibles, en junio fueron registradas 57.302 motos nuevas, El huracán Beryl subió a categoría cinco y el Ideam elevó a La Guajira a alerta amarilla
Ayer el biólogo experto en cartografía y conservación Juan Carlos Sandino, denunció en Mañanas Blu, con Camila Zuluaga, dijo que lleva un año diciéndole al Ministerio de Ambiente que las cifras entregadas por el IDEAM donde se habla de una reducción del 29% no son reales, que no hay precisión en los resultados por lo que los convierte en no confiables y eso tendría repercusiones a nivel internacional.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Hace un año la ministra de Ambiente Susana Muhammad anunció las cifras del IDEAM sobre deforestación 2022, en las que se demostraba una reducción del 29% frente a 2021.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ghisliane Echeverry, directora del IDEAM, habló en Blu Radio sobre los efectos del fenómeno de La Niña en Colombia yqué tan fuerte se registrará en las diferentes regiones del país.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Bogotá sigue enfrentando su desafío hídrico. Tras la agudización del fenómeno de El Niño, y a pesar de las recientes lluvias, los niveles en los embalses que abastecen de agua a la capital siguen siendo preocupantes. Durante la última semana, Bogotá ha enfrentado una situación alarmante en términos hídricos. La sequía prolongada y los récords de calor registrados en el país en lo corrido del año tienen en alerta a los embalses, que están solo a unos puntos de alcanzar el nivel crítico.María del Mar Vásquez, meteoróloga del Instituto de Hidrología, Meteorología y Estudios Ambientales, IDEAM, en Bogotá, explica a RFI la falta de lluvias: "Lo que llevamos del mes de abril en general en el país hemos presenciado una disminución de volúmenes de lluvia respecto al promedio mensual multianual y esto se ha debido fundamentalmente a la dinámica atmosférica, caracterizada por vientos moderados del este y noreste, que ha disipado la nubosidad dejando cielos entre ligera y parcialmente nublados, especialmente sobre la parte centro y norte del país donde se encuentra la capital Bogotá".Leer tambiénBogotá multará el despilfarro de agua ante la grave sequía"Esto sumado también a la dinámica generada en alguna medida por la condición calidad de El Niño que se ha presentado desde finales de El año pasado y continuamos con estas condiciones y esta dinámica, pues también favorece la inhibición de las lluvias", prosigue la experta.En Colombia, el Fenómeno del Niño suele estar asociado con periodos de sequía prolongada, un patrón climático natural que ocurre periódicamente en el Pacífico tropical, que se caracteriza por el calentamiento anormal de las aguas superficiales del océano."El fenómeno El Niño en realidad es una de las fases de El Niño-Oscilación del Sur. Esto es una circulación que se genera en el centro del Pacífico. Normalmente tenemos vientos que vienen del este. Sin embargo, cuando se presenta un fenómeno de El Niño, estos vientos se debilitan y hacen que el océano Pacífico se caliente", responde a RFI Mar Vásquez."Estos cambios de temperatura, cambios en la circulación de los vientos, hacen que se cambien las dinámicas de circulación de vientos también a nivel local en nuestro país, lo que para nuestro país significa en este caso que haya una disminución de las lluvias de manera generalizada", concluye.Leer tambiénContinúan los racionamientos de agua en BogotáAunque las lluvias han aumentado en los últimos días, la primavera durará poco, un periodo aún insuficiente para devolverle el agua a la capital.
Bogotá sigue enfrentando su desafío hídrico. Tras la agudización del fenómeno de El Niño, y a pesar de las recientes lluvias, los niveles en los embalses que abastecen de agua a la capital siguen siendo preocupantes. Durante la última semana, Bogotá ha enfrentado una situación alarmante en términos hídricos. La sequía prolongada y los récords de calor registrados en el país en lo corrido del año tienen en alerta a los embalses, que están solo a unos puntos de alcanzar el nivel crítico.María del Mar Vásquez, meteoróloga del Instituto de Hidrología, Meteorología y Estudios Ambientales, IDEAM, en Bogotá, explica a RFI la falta de lluvias: "Lo que llevamos del mes de abril en general en el país hemos presenciado una disminución de volúmenes de lluvia respecto al promedio mensual multianual y esto se ha debido fundamentalmente a la dinámica atmosférica, caracterizada por vientos moderados del este y noreste, que ha disipado la nubosidad dejando cielos entre ligera y parcialmente nublados, especialmente sobre la parte centro y norte del país donde se encuentra la capital Bogotá".Leer tambiénBogotá multará el despilfarro de agua ante la grave sequía"Esto sumado también a la dinámica generada en alguna medida por la condición calidad de El Niño que se ha presentado desde finales de El año pasado y continuamos con estas condiciones y esta dinámica, pues también favorece la inhibición de las lluvias", prosigue la experta.En Colombia, el Fenómeno del Niño suele estar asociado con periodos de sequía prolongada, un patrón climático natural que ocurre periódicamente en el Pacífico tropical, que se caracteriza por el calentamiento anormal de las aguas superficiales del océano."El fenómeno El Niño en realidad es una de las fases de El Niño-Oscilación del Sur. Esto es una circulación que se genera en el centro del Pacífico. Normalmente tenemos vientos que vienen del este. Sin embargo, cuando se presenta un fenómeno de El Niño, estos vientos se debilitan y hacen que el océano Pacífico se caliente", responde a RFI Mar Vásquez."Estos cambios de temperatura, cambios en la circulación de los vientos, hacen que se cambien las dinámicas de circulación de vientos también a nivel local en nuestro país, lo que para nuestro país significa en este caso que haya una disminución de las lluvias de manera generalizada", concluye.Leer tambiénContinúan los racionamientos de agua en BogotáAunque las lluvias han aumentado en los últimos días, la primavera durará poco, un periodo aún insuficiente para devolverle el agua a la capital.
La directora del Instituto de Hidrología, Meteorología y Estudios Ambientales (Ideam), Ghisliane Echeverry, compartió en 6AM el pronóstico del clima y la razón por la cual se han presentado anomalías en las condiciones históricas
Ghisliane Echeverry, directora del IDEAM, habla del nivel de abastecimiento de los embalses en todo el país
Ghisliane Echeverry, directora del Ideam, en Blu Radio explicó cómo avanza el fenómeno de El Niño en el país y por qué persisten las lluvias en diferentes zonas del territorio nacional.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ghisliane echeverry, directora del ideam, dijo que el fenómeno de el niño está en su etapa madura y llegará a un estado de neutralidad entre abril y junio de este año.
Colombia enfrenta desde hace varios días una serie de incendios que han alcanzado incluso los cerros que rodean la capital de Bogotá, con graves consecuencias para la calidad del aire. Además de la crisis climática general del planeta, una experta en meteorología señala que el fenómeno de El Niño intensifica esta situación. Por el momento, Colombia ha perdido más de 17mil hectáreas de vegetación a causa de los incendios, lo que equivale a 25 mil canchas de fútbol.En el Páramo de Berlín (departamenot de Santander), los frailejones, plantas endémicas de alta montaña que crecen al ritmo de 1 cm por año de altura fueron reducidos a cenizas .Y buena parte del país está en alerta indicó la directora del Instituto de Meteorología Nacional, el IDEAM, Ghisliane Echeverry: “Tenemos, a nuestra actualización del mediodía (del viernes 26 de enero), más de 900 municipios amenazados por incendios forestales esto es prácticamente casi todo el país”.Leer también"Este sol no picaba así antes": el fuego sorprende a los Andes colombianosDesde la semana pasada, Colombia lucha contra varios incendios que afectan bosques, ecosistemas montañosos en los que nace el agua y los cerros aledaños a Bogotá. Según el IDEAM, esta situación se debe a tres factores, su directora, Ghisliane Echeverry: “Lo que está sucediendo en este momento es que además de ser temporada seca, está intensificado ese efecto por un fenómeno de fondo que es el fenómeno del Niño; (esto) está haciendo que esta sea una época mucho más seca de lo habitual y además estamos dentro del marco de una crisis climática."Acabamos de cerrar el año 2023 como el año más caliente de la historia y eso también está afectando por supuesto, las temperaturas en todo el territorio nacional. Municipios como Jerusalén (departamento de Cundinamarca) ha alcanzado 40.6 °C de temperatura. Esa es la temperatura más alta que ha alcanzado este municipio para un mes de enero. Esto puede indicar que también estaría configurándose el enero más caliente, teniendo en cuenta que tenemos datos de 30 años de seguimiento a la temperatura".Estado de calamidad decretadoEl presidente Gustavo Petro ha decretado el estado de calamidad para movilizar fondos adicionales y ha solicitado ayuda internacional si los bomberos nacionales llegaran al límite de su capacidad.En Bogotá, la calidad del aire se vio afectada por los incendios con niveles altos de partículas finas. Paula Henao, jefa de bomberos de la capital: “Hemos tenido sectores afectados donde hemos recomendado no realizar deporte al aire libre, usar tapabocas, se ha suspendido clase en algunos colegios, pero digamos que la calidad del aire no está afectada en todas partes, está afectada en las zonas donde se han venido presentando los incendios”.Según las previsiones de IDEAM, el fenómeno el Niño que agrava el calor en Colombia podría durar hasta el mes de abril.
Colombia enfrenta desde hace varios días una serie de incendios que han alcanzado incluso los cerros que rodean la capital de Bogotá, con graves consecuencias para la calidad del aire. Además de la crisis climática general del planeta, una experta en meteorología señala que el fenómeno de El Niño intensifica esta situación. Por el momento, Colombia ha perdido más de 17mil hectáreas de vegetación a causa de los incendios, lo que equivale a 25 mil canchas de fútbol.En el Páramo de Berlín (departamenot de Santander), los frailejones, plantas endémicas de alta montaña que crecen al ritmo de 1 cm por año de altura fueron reducidos a cenizas .Y buena parte del país está en alerta indicó la directora del Instituto de Meteorología Nacional, el IDEAM, Ghisliane Echeverry: “Tenemos, a nuestra actualización del mediodía (del viernes 26 de enero), más de 900 municipios amenazados por incendios forestales esto es prácticamente casi todo el país”.Leer también"Este sol no picaba así antes": el fuego sorprende a los Andes colombianosDesde la semana pasada, Colombia lucha contra varios incendios que afectan bosques, ecosistemas montañosos en los que nace el agua y los cerros aledaños a Bogotá. Según el IDEAM, esta situación se debe a tres factores, su directora, Ghisliane Echeverry: “Lo que está sucediendo en este momento es que además de ser temporada seca, está intensificado ese efecto por un fenómeno de fondo que es el fenómeno del Niño; (esto) está haciendo que esta sea una época mucho más seca de lo habitual y además estamos dentro del marco de una crisis climática."Acabamos de cerrar el año 2023 como el año más caliente de la historia y eso también está afectando por supuesto, las temperaturas en todo el territorio nacional. Municipios como Jerusalén (departamento de Cundinamarca) ha alcanzado 40.6 °C de temperatura. Esa es la temperatura más alta que ha alcanzado este municipio para un mes de enero. Esto puede indicar que también estaría configurándose el enero más caliente, teniendo en cuenta que tenemos datos de 30 años de seguimiento a la temperatura".Estado de calamidad decretadoEl presidente Gustavo Petro ha decretado el estado de calamidad para movilizar fondos adicionales y ha solicitado ayuda internacional si los bomberos nacionales llegaran al límite de su capacidad.En Bogotá, la calidad del aire se vio afectada por los incendios con niveles altos de partículas finas. Paula Henao, jefa de bomberos de la capital: “Hemos tenido sectores afectados donde hemos recomendado no realizar deporte al aire libre, usar tapabocas, se ha suspendido clase en algunos colegios, pero digamos que la calidad del aire no está afectada en todas partes, está afectada en las zonas donde se han venido presentando los incendios”.Según las previsiones de IDEAM, el fenómeno el Niño que agrava el calor en Colombia podría durar hasta el mes de abril.
Tal y como pronosticaron las autoridades, el año comenzó con altas temperaturas, superando históricos en algunas ciudades y regiones del país. Las consecuencias económicas son grandes y sectores como el ganadero ya anunciaron pérdidas por más de $122.000 millones. Pero la historia no termina ahí y el Instituto de Hidrología, Meteorología y Estudios Ambientales, Ideam, alertó que febrero sería aún más caliente que este mes. Con corte al 24 de enero, la entidad informó que 977 municipios están en riesgo por amenaza de incendios. “Es importante entender que estamos en la temporada seca, lo cual es usual para estos meses, principalmente en las regiones de la Orinoquía, Andina y Caribe, y el efecto está intensificado por el fenómeno de El Niño, con condiciones más secas de lo normal”, dijo Ghisliane Echeverry, directora general del Ideam. Es clave entender que el PIB de los sectores agro y energía crece hasta 0,5% y 0,6% menos durante épocas de El Niño, principalmente porque hay una disminución en la productividad de los cultivos y porque los embalses presentan disminuciones con las altas temperaturas.
Según el Ideam, los departamentos más afectados por los incendios en Colombia son Cundinamarca, Boyacá y Norte de Santander, con cifras preocupantes de incidentes.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Ghisliane Echeverry, directora del IDEAM, se refirió en 6AM Hoy por Hoy a la ola de calor y los incendios en Bogotá y otros puntos en el país.
Ghisliane Echeverry Prieto, directora del Ideam, afirmó en La FM de RCN que el fenómeno de El Niño iría hasta abril.
IDEAM advierte que al menos 63 municipios del país tienen riesgo por los incendios forestales que se pueden presentar tras la llegada del Fenómeno del Niño. En este capítulo del Eco Podcast de RCN, estaremos revisando esas alertas y la situación de los cuerpos de bomberos en diferentes regiones del país, donde se presentan dificultades para su funcionamiento. Además, revisaremos con una oficial de Bosques y Cambio Climático de La WWF Colombia, cómo hacer para evitar estos incendios forestales y qué daños le causan al medioambiente
En medio de este ejercicio electoral en Caracol Radio consultamos a Diana Rueda, directora del Ideam, quien dio detalles sobre el pronóstico del clima nacional.
Escuche esta y más noticias de LA PATRIA Radio de lunes a viernes por los 1540 AM de Radio Cóndor en Manizales y en www.lapatria.com, encuentre videos de las transmisiones en nuestro Facebook Live: www.facebook.com/lapatria.manizales/videos
La Organización Meteorológica Mundial alertó sobre el riesgo de que en los próximos 5 años las temperaturas en el planeta experimenten incrementos desconocidos hasta ahora. El cambio climático y la probabilidad, cada vez más alta, de que se presente el Fenómeno del Niño hacen que el organismo internacional advierta sobre la urgencia de prepararse para enfrentar consecuencias críticas. En este episodio nos preguntamos qué tan preparados estamos en Colombia y qué riesgos se pueden enfrentar en el suministro energético y de alimentos. Entrevistamos a la jefe de la oficina de Pronóstico y Alertas del Ideam, la mayor Diana Rueda, quien nos hace un detallado reporte sobre lo que puede pasar y las regiones que se verían impactadas si llega el Fenómeno del Niño que aún no se ha declarado formalmente.
En este episodio de Eco Podcast hablamos de agua y de varios temas que tienen que ver con la posibilidad de tener acceso a ese recurso. Esta semana se anunció que se amplía el parque Nacional Sierra Nevada de Santa Marta, lo que es buena noticia para varios asuntos y uno de ellos es la reserva de agua. Hablamos también de los problemas que hay en varias regiones para el acceso al servicio de agua potable. También les contamos de un gran proyecto en un corregimiento de Riohacha en donde se ha lanzado un proyecto para que las mujeres tengan una menstruación en dignidad y precisamente el acceso al agua es parte clave de ese proyecto. Y conversamos con Nelson Omar Vargas Martínez, subdirector de hidrología del Ideam y nos cuenta del Informe Nacional del Agua.
En 6AM Hoy por Hoy de Caracol Radio habló el capitán Álvaro Farfán, delegado del cuerpo oficial de Bomberos de Cundinamarca, sobre la alerta naranja emitida por el IDEAM debido a la cantidad de incendios en el departamento.
Las lluvias atípicas que se han presentado en enero no solo confirmaron las predicciones hechas por el Ideam, sino que también tomaron por sorpresa a varios departamentos los cuales no esperaban tales magnitudes. De esta forma y según explicó Luis Alfonso López Álvarez, Jefe (E) de la Oficina del Servicio de Pronósticos y Alertas del Ideam y según datos comparados con la Unidad Nacional para la Gestión del Riesgo de Desastres (Ungrd), son más de 10 departamentos los que han presentado las mayores afectaciones por lluvias durante lo corrido del mes, entre los que se encuentran: Cundinamarca, Risaralda, Antioquia, Chocó, Caldas, Tolima y Valle del Cauca.
No obstante, aclararon que en algunas zonas del país pueden disminuir las precipitaciones.
Yolanda González, directora del IDEAM, reiteró que la temporada crítica de lluvias e inundaciones ya pasó y el país atraviesa una época de transición
La directora de la entidad, Yolanda González, aseguró que en los próximos días la ciudad verá fuertes lluvias.
La UAEGRD y el IDEAM advirtieron sobre posibles emergencias en algunas cuencas del río Bogotá
Podcast: según el Ideam, la depresión tropical pasaría a huracán categoría este fin de semana.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Mientras el gobierno de Iván Duque —que termina en una semana— saca pecho por las cifras de deforestación, organizaciones civiles acusan a las entidades nacionales de amañar los datos por el aplauso internacional. Hoy revisamos por qué las cifras no cuadran y los retos del próximo presidente, Gustavo Petro, para atacar este crimen ambiental en el segundo país más biodiverso del mundo.Invitados: Elisa Castrillón, periodista de La Silla Vacía; y Rodrigo Botero, director de la Fundación para la conservación y el desarrollo sostenible.Producción periodística: Fernando Cruz, periodista de La Silla Vacía.Producción sonora: Akorde Media.Para saber más puede leer:Aunque la deforestación aumentó, Duque interpretó las cifras a su favor:https://www.lasillavacia.com/historias/silla-nacional/aunque-la-deforestacion-aumento-duque-interpreto-las-cifras-a-su-favor/ Memo para Petro: el país que recibe en temas ambientales:https://www.lasillavacia.com/historias/silla-nacional/memo-para-petro-el-pais-que-recibe-en-temas-ambientales/Lo que revelan las propuestas de deforestación sobre los candidatos:https://www.lasillavacia.com/historias/silla-nacional/lo-que-revelan-las-propuestas-de-deforestacion-sobre-los-candidatos/
En diálogo con La FM, el director del Centro de Investigaciones Oceanográficas e Hidrográficas del Caribe, el capitán de Fragata Andrés Diaz, explicó las medidas frente al ciclón tropical en Colombia.
Entrevista en La FM a Fernando Abello director de la Oficina de Gestión del Riesgo de Cartagena Onda tropical en el Caribe.