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« Lettres recueillies dans une société et publiées pour l'instruction de quelques autres ». Aurions-nous eu la tentation de nous plonger dans un ouvrage portant un tel titre ? Et pourtant, ce roman publié en 1782, fut et reste un énorme succès. Devenu un classique de la littérature, il explore, en 175 lettres, les intrigues amoureuses de deux aristocrates, un homme et une femme, ne reculant devant rien pour assouvir leurs désirs les plus secrets et leur soif de vengeance. Conspiration machiavélique, trahison et pouvoir de destruction s'entrelacent. Une histoire des passions humaines que Choderlos de Laclos, l'auteur de ces « Liaisons dangereuses » a su capter avec tant de justesse, qu'il semble encore murmurer à nos oreilles, aujourd'hui. Le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil se confient, par écrit, sur leurs projets de conquêtes. Le premier met tout en œuvre pour séduire la vertueuse présidente de Tourvel, tandis que la seconde a pour objectif de dépraver, par pure vengeance, Cécile de Volanges, une jeune femme ignorante des choses de la vie. Tantôt alliés, tantôt rivaux, c'est avec une rare virtuosité qu'ils prennent plaisir à tromper leur entourage. Ce roman de la cruauté est un énorme scandale lors de sa première publication et continue de traîner sa réputation sulfureuse. Il interroge la place de la femme dans la société des Lumières, celle des inégalités de genre et de classes. Une certaine forme de désespoir aussi, ainsi que le rapport dominant-dominé. Quelle est l'actualité des « Liaisons dangereuses » ? Avec nous : Valérie André, directrice de recherches en histoire de la littérature à l'ULB, membre de l'Académie royale de Belgique. Avec nous : Valérie André, directrice de recherches en histoire de la littérature à l'ULB, membre de l'Académie royale de Belgique. Sujets traités : Actualité, Liaisons, dangereuses, Liaisons dangereuses, littérature, Choderlos de Laclos, vicomte Valmont, Marquise, de Merteuil , Cécile de Volanges, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:56 - Le Masque et la Plume - Les critiques du Masque sont tombés sous le charme de cette nouvelle adaptation du chef-d'œuvre de Choderlos de Laclos par Arnaud Denis, qui entre en résonance avec notre époque, tout en gardant son langage du 18ᵉ siècle.
O que eu não fui leitora no ano passado estou sendo nesse comecinho de ano!Um episódio com cinco dicas de livros, todos eles muito bons, e um grande favorito da vida no meio. Ouça para descobrir mais :)Citados no episódio:- O feiticeiro de Terramar - Úrsula K Le Guin- Frankstein - Mary Shelley- A casa dos espíritos - Isabel Allende- As relações perigosas - Choderlos de Laclos- O Baú do zumbi gelado - Rafael WeschenfelderSiga-me no Instagram @filme.da.semanaBluesky: @lalarilandEmail: podcastfilmedasemana@gmail.com
https://www.penguinrandomhouse.com/books/782813/the-watermark-by-sam-mills/ https://sammillsauthor.com Gateway books /Authors Roald Dahl Will Self Les Liaisons dangereuses - Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos Highlights of 2024 All My Precious Madness - Mark Bowles Desert Island Book Les Liaisons dangereuses - Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos Mrs. Caliban - Rachel Ingalls Yoga Vasistha Collected Virginia Woolf Roald Dahl Thomas Mann - The Magic Mountain Outline Trilogy - Rachel Cusk Animalia - Jean-Baptiste Del Amo Ulysses - Joyce E. M. Forster - Howard's End Alice in Wonderland
La pièce «Les Liaisons dangereuses » est une adaptation du chef-d'oeuvre de Choderlos de Laclos, un roman épistolaire sulfureux qui date du 18ème siècle. Cette histoire nous montre que l'on ne badine pas avec l'amour et que certaines liaisons peuvent s'avérer fatales. On découvre la Marquise de Merteuil. Pour se venger d'une ancienne infidélité, elle demande à son ancien amant le Vicomte de Valmont de déflorer avant son mariage la jeune Cécile de Volanges qui sort du couvent. Quant à Valmont, il s'est mis en tête de séduire Madame de Tourvel, une femme pieuse et mariée. Valmont va parvenir à ses fins. J'ai trouvé tous les comédiens excellents et j'ai été frappé par la modernité de la pièce. «Les Liaisons dangereuses », c'est jusqu'au 27 avril 2025 Rendez-vous à la Comédie des Champs-Elysées, 15 avenue Montaigne dans le 8ème, métro Alma Marceau ou Franklin Roosevelt Copyright Cédric Vasnier
ACTUABD - bande dessinée, manga, comics, webtoons, livres, BD
Le premier tome des aventures du chevalier Justin Henri de Saint-Sauveur, un aristocrate fin de race, libertin et dépravé du Siècle des lumières, nous avait enthousiasmé. La fin du premier volume le voit ruiné par ses noires intrigues et acculé à se réfugier loin de Versailles, au Canada. Ce pays de rudes marchands et de « sauvages » n'a bien sûr pas le raffinement enfariné de la cour du roi de France. Mais il n'empêche pas les intrigues. Retour sur une saga qui s'avère sans doute la meilleure BD historique de l'année 2024. Il faut dire qu'elle est le produit de deux des meilleurs talents de l'époque : au plumier, Alain Ayroles, le scénariste talentueux de Garulfo et de De Cape et de crocs qui sait nous trousser des intrigues et des dialogues de haut vol. Vous aviez aimé Les Indes fourbes qu'il avait écrit pour Jose Luis Munuera ? Vous adorerez L'Ombre des Lumières qui a la vertu d'être non seulement un album documenté et intéressant sur la présence des Français au Canada au XVIIIe siècle, mais aussi une BD à la forme sophistiquée, celle du roman épistolaire, dont la langue est aussi éblouissante que celle de son modèle, Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, lequel sera précisément adapté à l'écran, en 2025, sous le titre de Merteuil. Au trait, l'incomparable Richard Guérineau (Charly 9, Henriquet, l'homme-reine....), un maître de la bande dessinée historique. Nous venons de perdre cette année l'un des plus grands dans le genre : André Juillard. Guérineau peut sans frémir se pourvoir de son bâton de maréchal. Une interview de Didier Pasamonik — Une production ActuaBD.com - Montage : Kelian Nguyen — Photo : Didier Pasamonik - Musique : We March Together — Courtesy of Patrick Patrikios — Youtube Audio Library
La Marquise de Merteuil sollicite son ancien amant, le Vicomte de Valmont, pour lui proposer un défi immoral. On ne badine pas avec l'amour, et certaines liaisons, dangereuses, peuvent s'avérer fatales. On va parler séduction et manipulation, envie de venir y penser avec moi? Idée originale Amélie Damelincourt.Musique originale de John LKL.Visuel Clotilde Philippe.ça me fait penser, lire, regarder:Les Liaisons Dangereuses, Choderlos de LaclosCruel Intentions, Roger Kumble, 1999 (film)Cruel Intentions, Phoebe Fisher and Sara Goodman, 2024 (série sur Prime)De L'éducation des Femmes, Choderlos de Laclos, 1783L'Ecole des Femmes, MolièreGatsby le Magnifique, Francis Scott FitgueraldLe Château d'Otrante, Horace WalpoleLe Projet Blair Witch, Daniel Myrick et Eduardo Sánchez, 1999L'harmonie des Genres, Noémie De LattreL'amour Sous Algorithme, Judith Duportail, 2019Les Liaisons Dangereuses, Stephen Frears, 1988Les Liaisons Dangereuses, Adaptation et Mise en scène d'Arnaud DENIS, 2024 (Théâtre des Champs Elysées)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la quinzième édition des Rendez-vous littéraires rue Cambon consacrée à l'écrivaine Colette et qui s'est tenue à la librairie 7L, à Paris, CHANEL et Charlotte Casiraghi, ambassadrice et porte-parole de la Maison, ont invité l'autrice Emmanuelle Lambert ainsi que l'actrice et amie de la Maison Clémence Poésy.Animée par la journaliste Olivia Gesbert, cette conversation aborde le cheminement de Colette vers l'émancipation, la façon dont elle n'a cessé de se réinventer tout au long de sa vie, ainsi que son rapport à l'écriture et à la nature qui sont intrinsèquement liés. Collection Harlingue / Roger-Viollet Colette, Toby-chien parle (in « Les Vrilles de la vigne ») © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 © La Nouvelle Revue Française Colette, La Vagabonde © 1910-1926-1992 Albin Michel Colette, Chéri © J. Brouty, J. Fayard 1956, © Librairie Arthème Fayard, 1984 Colette, Le Blé en herbe © Flammarion, Paris, 1969 Première édition de La Chatte : 1933. © 1931, 1982 et 2007, Librairie Arthème Fayard et Éditions Grasset et Fasquelle Colette, La Naissance du jour © Flammarion, 1928 Colette, Sido ; 1er édition 1930 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Colette, Claudine à l'Ecole © 1900-1930 Albin Michel Colette, La Retraite sentimentale © Mercure de France, 1907 et 1922 INA, Entretiens avec Colette, 1950 Colette, Les Vrilles de la vigne ; 1ere édition 1958 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Virginia Woolf, Une chambre à soi, 1929 Colette, La fin de Chéri © Flammarion, 1983 Annie Ernaux lors du discours du Prix Nobel de 2022 Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782 Colette, Mes apprentissages : 1ere édition 1936 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Jean Cocteau, extrait de Passé défini, 1953 © Académie Goncourt
Pour la quinzième édition des Rendez-vous littéraires rue Cambon consacrée à l'écrivaine Colette et qui s'est tenue à la librairie 7L, à Paris, CHANEL et Charlotte Casiraghi, ambassadrice et porte-parole de la Maison, ont invité l'autrice Emmanuelle Lambert ainsi que l'actrice et amie de la Maison Clémence Poésy.Animée par la journaliste Olivia Gesbert, cette conversation aborde le cheminement de Colette vers l'émancipation, la façon dont elle n'a cessé de se réinventer tout au long de sa vie, ainsi que son rapport à l'écriture et à la nature qui sont intrinsèquement liés. Collection Harlingue / Roger-Viollet Colette, Toby-chien parle (in « Les Vrilles de la vigne ») © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 © La Nouvelle Revue Française Colette, La Vagabonde © 1910-1926-1992 Albin Michel Colette, Chéri © J. Brouty, J. Fayard 1956, © Librairie Arthème Fayard, 1984 Colette, Le Blé en herbe © Flammarion, Paris, 1969 Première édition de La Chatte : 1933. © 1931, 1982 et 2007, Librairie Arthème Fayard et Éditions Grasset et Fasquelle Colette, La Naissance du jour © Flammarion, 1928 Colette, Sido ; 1er édition 1930 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Colette, Claudine à l'Ecole © 1900-1930 Albin Michel Colette, La Retraite sentimentale © Mercure de France, 1907 et 1922 INA, Entretiens avec Colette, 1950 Colette, Les Vrilles de la vigne ; 1ere édition 1958 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Virginia Woolf, Une chambre à soi, 1929 Colette, La fin de Chéri © Flammarion, 1983 Annie Ernaux lors du discours du Prix Nobel de 2022 Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782 Colette, Mes apprentissages : 1ere édition 1936 © Librairie Arthème Fayard et Hachette Littératures, 2004 Jean Cocteau, extrait de Passé défini, 1953 © Académie Goncourt
C'est un petit peu tiré par la perruque poudrée... Vous savez que François Choderlos de Laclos aurait eu 283 ans le 19 octobre 2024 ? Son œuvre "Les liaisons dangereuses" est toujours aussi moderne et a fait l'objet de nombreuses adaptations et remakes, comme "Sexe intentions", en 1999, et sa non moins excellente BO truffée de tubes pop/rock dont "Bitter Sweet Symphony" du groupe The Verve. Ecoutez Le tube de la matinale avec Vincent Perrot du 19 octobre 2024.
En 1959, la sortie du film « Les Liaisons dangereuses », réalisé par Roger Vadim et adapté du roman éponyme de Choderlos de Laclos, a provoqué un véritable tollé.Ce film, mettant en scène un couple marié n'ayant d'autre loi que leur plaisir et leurs aventures extraconjugales, a été jugé indécent et vulgaire par une partie du public et des autorités. Le gouvernement autrichien est même allé jusqu'à suspendre la première projection sur les Champs-Élysées à Paris, tant le sujet était considéré comme choquant à l'époque.Malgré cette polémique, le film a finalement été autorisé, mais avec une interdiction aux moins de 16 ans. Il a néanmoins rencontré un grand succès, attirant près de 4 millions de spectateurs dans les salles.Notre équipe éditoriale a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Attention : épisode dangereux. Il peut vous emmener vers de nouveaux territoires qui bouleverseront peut-être votre quotidien. Alexandre Jardin - auteur de nombreux romans mais aussi scénariste, réalisateur, entrepreneur - a décidé de mener une existence extraordinaire, une destinée familiale. Son roman le plus reconnu, L'île des gauchers, raconte l'histoire de gauchers français qui partent s'installer dans une petite île du Pacifique : “Ils sont habitués à vivre à l'envers et vont construire un monde à l'envers à l'endroit où l'amour marche.” Alexandre, dans cet échange, raconte son enfance hors du commun, son quotidien poétique, comment et pourquoi prendre des risques, comment s'affranchir de la peur afin de ne suivre plus que ses désirs. Amour, processus créatif, politique, société, IA : tous les sujets y passent et sont décortiqués à travers le regard de ce personnage hors norme : Pourquoi rien ne peut remplacer la lecture Pourquoi la créativité guide le monde Les meilleures méthodes pour se connaître soi-même et créer des chefs d'œuvre L'hybridation de Françoise, son éditrice : yourscrib.ai Comment se débarrasser de la peur pour accomplir ses rêves ? Son prochain film au Vietnam Au fil d'une cascade d'anecdotes, toutes plus incroyables les unes que les autres, Alexandre nous offre un moment à part. Dans une sorte d'onirisme, cet épisode hors du commun pousse à vivre sans regret ni peur et à embrasser sa folie. En 2019, Alexandre déclarait au magazine Paris Match : “Dès l'instant où j'ai divorcé avec le réel, je suis entré dans un long somnambulisme où je réécrivais tout, en commençant par ma propre vie.” Il est important de noter qu'Alexandre est avant tout un romancier. Chacun est libre de juger comment il se positionne vis-à-vis des histoires qu'il raconte. La frontière entre réalité et fiction peut être mince, mais les apprentissages n'en sont pas nécessairement moins forts ou moins réels, bien au contraire. TIMELINE: 00:00:00 : Comment engager McDo pour encourager la lecture ? 00:10:05 : Pourquoi rien ne peut remplacer la lecture 00:15:46 : La création contre le cynisme : L'île des gauchers 00:25:02 : L'amour : derrière la raison, la poésie 00:33:58 : Dépasser la peur et embrasser la folie, l'exemple du Zubial 00:44:11 : Trouver le courage de se marrer 00:55:00 : Une IA pour hybrider Françoise, l'éditrice déchaînée 01:05:50 : L'alignement : la clef pour réussir de toute entreprise 01:17:07 : Insuffler la Liberté à ses enfants 01:21:44 : La transmission passe par les mots 01:35:36 : “On peut dissoudre une assemblée mais pas un peuple” 01:46:58 : Comment Alexandre travaille 02:02:30 : Un film au Vietnam et le rôle de la famille 02:15:48 : La joie de vivre et comment l'alimenter Les anciens épisodes de GDIY mentionnés : #401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul #177 - Gaspard Koenig - Philosophe - On ne naît pas libre, on le devient #378 - Nicolas Bouzou - Asterès - L'économie de la peur #6 Bernard Werber - vendre 30 millions de livres dans le monde, ça ne se fait pas tout seul #175 - Marc Lévy - Écrivain - Galérer avec le sourire #49 Joël Dicker - La vérité derrière l'affaire Harry Quebert - vendre 5 millions de livres avant 30 ans #59 CATHERINE BARBA - marraine ou mamie du web français? Nous avons parlé de : Yourscrib AI Lire et faire lire Opération lecture avec McDo Lire c'est partir Phu Tran Van (fondateur de B'Lao) Hadj Khelil Les Liaisons dangereuses (le film) 1000 mots Les maths par la main Aleria : Casabianda, prison ouverte aux secrets bien gardés Mo Gawdat: A WARNING about Stress & Anxiety! Les recommandations de lecture : L'Île des Gauchers d'Alexandre Jardin Le Zubial d'Alexandre Jardin Les Magiciens d'Alexandre Jardin Magellan de Stefan Zweig Le Zèbre d'Alexandre Jardin Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos Des gens très bien d'Alexandre Jardin Dom Juan de Molière Le portrait d'un homme heureux : Le Nôtre d'Erik Orsenna Mademoiselle Liberté d'Alexandre Jardin Frères d'Alexandre Jardin Vous pouvez contacter Alexandre sur Linkedin, X. La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.
Cosa si intende per relazione pericolosa? E cosa deve fare uno scrittore per rendere pericolosa una relazione tra personaggi? Paolo Restuccia ce lo spiega con una barzelletta. Buon ascolto!
Sie sind ein faszinierendes Paar, die Marquise de Merteuil und der Vicomte de Valmont: erotisch, böse, blitzgescheit. Die Verfilmung des Romans "Gefährliche Liebschaften" von Choderlos de Laclos zählt inzwischen fast zu den Klassikern der Filmgeschichte. Und der Stoff aus dem 18. Jahrhundert begeistert bis heute. Zur Eröffnung des Hamburger Theaterfestivals geben Caroline Peters und Martin Wuttke das intrigante Paar. Caroline Peters ist spätestens seit der Krimiserie "Mord mit Aussicht" auch abseits der Theaterbühne ein Star. Über die große Lust am Spiel, die Arbeit auf der Bühne und vor der Kamera und nicht zuletzt über ihre Liebe zu Postkarten spricht Caroline Peters mit Katja Weise bei NDR Kultur à la carte.
Chaque année environ 500 000 élèves passent les épreuves anticipées du bac de littérature. C'est l'occasion pour eux de découvrir leurs premières émotions littéraires, mais aussi… leurs premiers traumatismes. Cette année, c'est Gargantua de Pierre Rabelais qui semble destabiliser les élèves : humour scatologique, ancien français, discours humanistes un peu poussifs… On perd bien des repères, et on se demande ce que cette oeuvre fait là ! Mais quand on s'affranchit des contraintes d'un programme et des anxiétés d'un examen, peut-on être capable d'apprécier cette oeuvre hors norme ? C'est à cette question que Pierre et Léa décident de répondre dans ce nouvel épisode de Torchon, le podcast qui ici lit des livres pour que les lycéens n'aient pas à le faire ! Textes cités Le Siècle de Louis XIV de VoltaireL'œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance, Mikhaïl Bakhtine, 1982, Tel GallimardDiscours d'Emmanuel Macron à la Sorbonne, 2024 https://legrandcontinent.eu/fr/2024/04/25/batir-un-nouveau-paradigme-le-discours-integral-demmanuel-macron-a-la-sorbonne/Les Confessions de Rousseau La Légende des siècles de Victor Hugo Cahier d'un retour au pays natal d'Aimé Césaire, Presence Africaine, 1939La Malade imaginaire de Molière Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Choderlos de Laclos, l'auteur des Liaisons dangereuses, passe pour un chantre du libertinage. En réalité, il rêve de moraliser la société d'Ancien Régime qu'il juge décadente ! Virginie Girod vous raconte l'histoire d'un homme qui s'est soucié l'éducation des femmes dès le XVIIIe siècle. L'histoire des Laclos est celle d'une ascension sociale. Lorsque Pierre Choderlos de Laclos naît en 1741, il n'appartient pas encore à l'aristocratie. Son père n'intègre la noblesse de robe, des fonctionnaires d'État, que quelques années après sa naissance. Le jeune Pierre entame une carrière militaire. Seulement, la guerre de 7 ans s'achève en 1763. Faute de conflits à mener, Choderlos de Laclos va de garnison en garnison. D'abord affecté à La Rochelle, il part ensuite pour Strasbourg. Choderlos de Laclos y est initié à la Franc-maçonnerie. La fréquentation de différentes loges lui permet d'aiguiser son esprit et l'officier ne tarde pas à préférer la plume au canon. Son roman épistolaire Les Liaisons dangereuses raconte les déboires de Valmont, un libertin manipulé par Madame de Merteuil, une aristocrate aussi émancipée que malveillante. L'ouvrage paraît sous les initiales de Pierre Choderlos de Laclos, qui ne tarde pas à être reconnu. Ce dernier encourage les mères à l'offrir à leurs filles pour les prémunir des pièges que leur tendront les libertins. Mais le livre compte de nombreuses scènes érotiques. Si elles garantissent son succès, le public passe à côté de sa dimension moralisatrice. De manière générale, Choderlos de Laclos accorde une grande importance à l'éducation des filles, qu'il veut rendre maîtresses de leur destin. La France toute entière repense bientôt l'égalité et la citoyenneté : c'est la Révolution ! Selon certains historiens, Laclos aurait même fait partie des hommes qui ont accompagné la marche des femmes sur Versailles les 5 et 6 octobre 1789, qui ramène la famille royale à Paris. Thématiques : Moralisme, Liaisons dangereuses, Erotisme, littérature "Au Coeur de l'Histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier - Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin Bibliographie: Jean-Paul Bertaud, Choderlos de Laclos, Fayard, 2003. Georges Poisson, Choderlos de Laclos ou l'obstination, Grasset, 2005. Ressources en ligne : https://www.youtube.com/watch?v=NyUQkC6LqKg https://www.persee.fr/doc/dhs_0070-6760_2002_num_34_1_2511 https://francearchives.gouv.fr/fr/pages_histoire/39843#:~:text=Le%205%20septembre%201803%2C%20la,napolitains%20revenus%20détruisirent%20la%20tombe .
Analyse de cette oeuvre du XVIIIe siècle avec Michel Delon, professeur émérite de littérature française à l'université de la Sorbonne. Un podcast de France Télévisions, en partenariat avec l'académie de Paris. Par Nicolas Luiset
durée : 00:25:08 - Le Feuilleton - Qui pourrait ne pas frémir en songeant aux malheurs que peut causer une seule liaison dangereuse !
durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - Valmont, après avoir enfin séduit Madame de Tourvel, lui envoie une lettre de rupture cinglante que lui dicte la Marquise de Merteuil. Il peut de nouveau réclamer à cette dernière une nuit d'amour, comme prix de ses exploits et de son sacrifice.
durée : 00:25:01 - Le Feuilleton - Tandis que Madame de Merteuil s'amuse avec Danceny, Valmont, feignant un profond repentir, obtient un entretien avec Madame de Tourvel.
durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - Madame de Tourvel, craignant de succomber à son amour coupable pour Valmont, se réfugie dans un couvent, cependant que Valmont initie Cécile aux plaisirs charnels.
durée : 00:24:39 - Le Feuilleton - Cécile, piégée, succombe aux assauts de Valmont et sombre dans la mélancolie. Quant à Madame de Tourvel, elle aussi semble sur le point de céder au libertin.
durée : 00:24:54 - Le Feuilleton - Valmont, en même temps qu'il s'emploie à conquérir Madame de Tourvel, veut séduire Cécile : il lui demande de lui remettre la clef de sa chambre, sous prétexte de l'aider à correspondre avec Danceny.
durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - Valmont, tout en poursuivant ses assauts amoureux contre Madame de Tourvel, décide de séduire Cécile et de la perdre : pour cela, il commence par lui proposer de l'aider à correspondre avec Danceny dont elle est amoureuse.
durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - Encouragée par la Marquise de Merteuil, Cécile se livre à son amour pour Danceny. Valmont, quant à lui, envoie à Madame de Tourvel une lettre passionnée… qu'il a écrite sur le dos d'une maîtresse.
durée : 00:24:52 - Le Feuilleton - Valmont profite d'une occasion favorable pour déclarer son amour à Madame de Tourvel : saisie d'effroi, elle lui impose le silence. Quant à l'ingénue Cécile, guidée par la Marquise de Merteuil, elle aussi avoue son amour à Danceny.
durée : 00:24:58 - Le Feuilleton - Valmont, après avoir enfin séduit Madame de Tourvel, lui envoie une lettre de rupture cinglante que lui dicte la Marquise de Merteuil. Il peut de nouveau réclamer à cette dernière une nuit d'amour, comme prix de ses exploits et de son sacrifice.
durée : 00:24:54 - Le Feuilleton - Valmont, en même temps qu'il s'emploie à conquérir Madame de Tourvel, veut séduire Cécile : il lui demande de lui remettre la clef de sa chambre, sous prétexte de l'aider à correspondre avec Danceny.
durée : 00:25:08 - Le Feuilleton - Qui pourrait ne pas frémir en songeant aux malheurs que peut causer une seule liaison dangereuse !
durée : 00:25:01 - Le Feuilleton - Tandis que Madame de Merteuil s'amuse avec Danceny, Valmont, feignant un profond repentir, obtient un entretien avec Madame de Tourvel.
durée : 00:24:53 - Le Feuilleton - Madame de Tourvel, craignant de succomber à son amour coupable pour Valmont, se réfugie dans un couvent, cependant que Valmont initie Cécile aux plaisirs charnels.
durée : 00:24:39 - Le Feuilleton - Cécile, piégée, succombe aux assauts de Valmont et sombre dans la mélancolie. Quant à Madame de Tourvel, elle aussi semble sur le point de céder au libertin.
durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - Valmont, tout en poursuivant ses assauts amoureux contre Madame de Tourvel, décide de séduire Cécile et de la perdre : pour cela, il commence par lui proposer de l'aider à correspondre avec Danceny dont elle est amoureuse.
durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - Encouragée par la Marquise de Merteuil, Cécile se livre à son amour pour Danceny. Valmont, quant à lui, envoie à Madame de Tourvel une lettre passionnée… qu'il a écrite sur le dos d'une maîtresse.
durée : 00:24:52 - Le Feuilleton - Valmont profite d'une occasion favorable pour déclarer son amour à Madame de Tourvel : saisie d'effroi, elle lui impose le silence. Quant à l'ingénue Cécile, guidée par la Marquise de Merteuil, elle aussi avoue son amour à Danceny.
durée : 00:24:57 - Le Feuilleton - Quel plus grand défi pour un libertin comme le vicomte de Valmont que de vaincre la vertu et la piété d'une femme mariée, en l'occurrence, la très gracieuse Madame de Tourvel.
durée : 00:24:57 - Le Feuilleton - Quel plus grand défi pour un libertin comme le vicomte de Valmont que de vaincre la vertu et la piété d'une femme mariée, en l'occurrence, la très gracieuse Madame de Tourvel.
San Valentino: non solo cioccolatini e fiori, ma anche cuori spezzati. Questo è « Liaisons Dangereuses », il podcast realizzato dalla ns Redazione SB OnLine 'n' On Air che, partendo dal famoso romanzo dell'autore francese Choderlos de Laclos, è arrivata -come per gioco- a trattare il tema delle relazioni tossiche.Ad accompagnarvi in questo ascolto ci saranno le voci di Taylor Swift e Lady Gaga e tante altre. A voi l' ascolto!
On this episode, Cullan talks with Professor Michal Kšiňan about his monograph on the Slovak national hero and co-founder of Czechoslovakia, Milan Rastislav Štefánik. Michal talks about Štefánik's military career and meteoric rise and the place he continues to hold in Czechoslovakia history and memory. Thanks for listening! ABOUT THE BOOK https://www.routledge.com/authors/i21001-michal-kian This is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analysing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction”. He played the key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyse the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyse his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. ABOUT THE GUEST Michal Kšiňan is a researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences in Bratislava. He defended his PhD theses in history summa cum laude in 2011. He wrote his PhD theses en cotutelle between University Paris 1 Panthéon-Sorbonne, where he later also lectured (2018–2019), and the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences, Bratislava where he currently works. He wrote several books about Štefánik, edited or coedited 5 volumes and published dozens of scientific papers on different topics. His works were published in Slovak, French, English, Italian, German and Russian. In 2006, he graduated from history and French language and literature at the Faculty of Pedagogy, Comenius University, Bratislava. In 2007, he got his Master 2 recherche from Contemporary Central European History at University Paris 1 Panthéon-Sorbonne. PRODUCER'S NOTE: This episode was recorded on November 1, 2022 via Zoom. If you have questions, comments, or would like to be a guest on the show, please email slavxradio@utexas.edu and we will be in touch! CREDITS Host/Associate Producer: Cullan Bendig (@cullanwithana) Associate Producer: Lera Toropin (@earlportion) Assistant Producer: Taylor Ham Assistant Producer: Sergio Glajar Assistant Producer: Misha Simanovskyy (@MSimanovskyy) Executive Assistant: Eliza Fisher Supervising Producer: Katherine Birch Audio Editor: Blaine Young Recording and Sound Design: Michelle Daniel Music Producer: Charlie Harper (@charlieharpermusic) www.charlieharpermusic.com (Main Theme by Charlie Harper and additional background music by Shaolin Dub, Simon Mathewson, Blue Dot Sessions,) Executive Producer & Creator: Michelle Daniel (@MSDaniel) www.msdaniel.com DISCLAIMER: Texas Podcast Network is brought to you by The University of Texas at Austin. Podcasts are produced by faculty members and staffers at UT Austin who work with University Communications to craft content that adheres to journalistic best practices. The University of Texas at Austin offers these podcasts at no charge. Podcasts appearing on the network and this webpage represent the views of the hosts, not of The University of Texas at Austin. https://files.fireside.fm/file/fireside-uploads/images/9/9a59b135-7876-4254-b600-3839b3aa3ab1/P1EKcswq.png Special Guest: Michal Kšiňan.
Ce lundi, Virginie Girod remonte en 1782, alors que Choderlos de Laclos vient de faire paraître son roman épistolaire "Les liaisons dangereuses".
Qu'est-ce qu'un libertin ? Le libertinage est-il un jeu de dupes ? Et quelle est la condition de possibilité de l'amour après la séduction ? Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos nous permet de réponde à toutes ces questions. Become a member at https://plus.acast.com/s/kosmos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Das Hörspiel nach dem Briefroman von 1782 zeichnet eine dekadente scheinheilige Adelsgesellschaft kurz vor der Französischen Revolution, der es nur um Macht und sexuelle Libertinage geht.
Das Hörspiel nach dem Briefroman von 1782 zeichnet eine dekadente scheinheilige Adelsgesellschaft kurz vor der Französischen Revolution, der es nur um Macht und sexuelle Libertinage geht.
Solo Théâtre : « Les Liaisons Dangereuses » de Choderlos de Laclos(public) • Interprété par Les Livreurs • www.leslivreurs.com •
Le Classico" de Sébastien Ministru : « Les liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos. La jeune Cécile Volanges quitte son couvent pour faire l'apprentissage du monde et épouser le comte de Gercourt, mais une de ses parentes, la marquise de Merteuil, entend profiter de ce projet de mariage pour se venger d'une infidélité que lui a faite autrefois Gercourt. Elle charge donc son complice, le vicomte de Valmont, de pervertir Cécile avant ses noces. Mais loin de Paris, dans le château de sa vieille tante, Valmont s'est de son côté mis en tête de séduire la dévote présidente de Tourvel, et une idylle bientôt se noue entre la « petite Volanges » et le jeune Danceny. Rien ne semblait destiner Laclos à la littérature, et Les Liaisons dangereuses, qu'il fait paraître en 1782, sont la seule grande œuvre qu'ait achevée le capitaine et futur général d'artillerie. Le succès est immédiat, mais le roman, frappé de condamnation morale, cessera d'être réédité pendant une partie du xixe siècle. De Baudelaire à Giraudoux, de Malraux à Roger Vailland, ce sont des écrivains qui peu à peu l'imposent comme un chef-d'œuvre que le cinéma va populariser. Il se peut que l'impeccable maîtrise de ce roman par lettres nous soit devenue lointaine : elle n'empêche pas qu'il sollicite encore nos rêves et nos fantasmes. Chantal Goya pour "Le soulier qui vole", la comédie musicale écrite et mise en scène en 1980 par Jean-Jacques Debout, à voir le 16 octobre 2022 à Forest National à Bruxelles. Dans un petit village d'Alsace des enfants disent au revoir à leur professeur de musique quand ils aperçoivent dans le ciel une cigogne qui vole auprès d'un énorme Soulier. À l'intérieur, une jeune fille... Les enfants reconnaissent leur amie Marie-Rose. Elle leur présente son amie la cigogne Francette. Le géant Balthazar leur a prêté son Soulier contre la promesse de le lui ramener. Marie-Rose a une belle idée en tête, celle d'emmener tous les enfants dans une Forêt Magique où ils retrouveront leurs amis : le Lapin, le Panda, un Coucou, un Château Nougatine. Arrivés dans la Forêt, ils rencontrent tous leurs amis et, émerveillés, décident de partir dans un petit train vers Animauxville. Là, tout le village est tenu par des animaux : la mairie, le café, la pâtisserie, l'école et l'école de musique. Une grande fête costumée est organisée. Mais le temps passe très vite. Il faut se quitter et repartir en Alsace. La cigogne Francette part la première, puis vient le tour de Marie-Rose dans son beau Soulier qui vole. Elle s'en va rejoindre le Pays des Géants pour rendre, comme promis, le Soulier à son ami Balthazar. "Inspiré de faits réels" de Franck Istasse : Le film "Stigmata" de Rupert Wainwright sorti en 1999. Le père Almeida dans le film est totalement inspiré de Padre Pio, le plus grand stigmatisé du 20ème siècle...
Covering the pivotal period from the mid-seventeenth century through the era of the French Revolution, Christy Pichichero's The Military Enlightenment: War and Culture in the French Empire from Louis XIV to Napoleon (Cornell University Press, 2018; paperback ed. 2020) is a fascinating interdisciplinary study that pushes us to rethink our ideas about both the military and the Enlightenment in and beyond a a France that was a global, as well as a continental European imperial power. As Pichichero shows, the (long) eighteenth century holds the key to our understanding historical concepts and transformations that we tend to associate with later developments in military thought and practice, from conventions around "good" and "humane" conflict to ideas about community and civility between soldiers fighting together and on opposing sides. The book's five chapters explore a broad range of compelling events and sources, from the work of well known Enlightenment thinkers and authors such as Voltaire and Choderlos de Laclos, to military manuals and debates regarding how wars would and should be waged, how soldiers should be trained to think and act in battle. Now available in a new paperback edition, the book is a must-read for anyone interested in the longue durée of military culture and warfare, as well as those with an interest in all that the Enlightenment did and could mean. Roxanne Panchasi is an Associate Professor of History at Simon Fraser University in Vancouver, Canada who specializes in twentieth and twenty-first century France and empire.She is the founding host of New Books in French Studies, a channel launched in 2013. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
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Les lectures érotiques de Charlie vous emmènent dans l'univers libertin du 18ème siècle. Georges Souleyrac, l'auteur de cette semaine, est amoureux de la littérature libertine du 18ème siècle, c'est donc tout naturellement qu'il y a placé l'action de son premier roman, Confidences courtoises, édité aux éditions Ex Aequo dans la collection Alcôves. Confidences courtoises de Georges Souleyrac. Roman épistolaire le roman libertin du 18ème siècle Confidences courtoises est un roman épistolaire, il est donc construit, comme d'ailleurs les Liaisons Dangereuses de Choderlos de Laclos, sur un échange de lettres en la marquise du Plessy et le vicomte de Soulac.C'est érotique à souhait, bien écrit, fluide, et on plonge vraiment dans l'ambiance du 18ème. L'auteur a même inclus un glossaire érotique à la fin de son roman où l'on découvre plein d'expressions du 18ème pour parler de sexe. Succulent ! LIRE CE LIVRE : https://amzn.to/3uarVCJ Tous les podcasts érotiques https://charlie-liveshow.com Soutenez les lectures érotiques https://patreon.com/charlieliveshow MES SITES & les réseaux sociaux https://linktr.ee/charlieliveshow
Bentornati in Bookatini - il podcast per chi è ghiotto di libri. L'episodio 28 è dedicato ai libri a tema “Era meglio il libro?” - adattamenti cinematografici ben riusciti. Nell'episodio di oggi abbiamo chiacchierato di questi libri e di questi film: -Camera con vista, di E.M.Forster, Mondadori editoreFILM: Camera con vista, di James Ivory-Le relazioni pericolose, di Choderlos de Laclos, Feltrinelli editoreFILM: Le relazioni pericolose, di Stephen Frears-Shutter island, di Dennis Lehane, Longanesi editoreFILM: L'isola della paura, di Martin Scorsese-Un giorno, di David Nicholls, Neri Pozza editoreFILM: One day, di Lone SherfigAltri libri e film citati:-Chiamami col tuo nome, di André Aciman, Guanda editoreChiamami col tuo nome, di James Ivory-Mystic river, di Dennis Lehane, TEA editoreMystic river, di Clint Eastwood-La casa buia, di Dennis Lehane Piemme editoreGone Baby Gone diretto da Ben AffleckValmont, diretto da Milos Forman-Il talento di Mr. Ripley, di Patricia Highsmith, La nave di Teseo editoreIl talento di Mr. Ripley, di Anthony Minghella-Molto rumore per nulla, di William Shakespeare, Feltrinelli editoreMolto rumore per nulla, di Kenneth BranaghPotete contattarci, scrivere commenti, suggerimenti, domande e condividete con noi le vostre letture su questo tema contattandoci nella pagina Instagram Bookatini_podcast, dove potete trovare anche le nostre live, in onda a mercoledì alterni La sigla di Bookatini è scritta e suonata da Andrea Cerea
O romance epistolar As Relações Perigosas, de Choderlos de Laclos, é um clássico publicado em 1782 cujo objetivo parece ser mostrar “a decadência moral da sociedade aristocrática do século XVIII”, antes da Revolução Francesa, ou seja, durante o Iluminismo francês, com suas características muito específicas presentes na obra. Inspirado no romance Júlia ou a Nova Heloísa, de Jean-Jacques Rousseau, Laclos apresenta um narrador que teria encontrado uma série de cartas e resolveu publicá-las, revelando, assim, os deslizes morais de um grupo bem peculiar. O episódio está repleto de referências e comentários sobre o período histórico em que viveu o autor. Sem entregar o final dos personagens, comentamos também a força narrativa empregada por Laclos, que produziu uma verdadeira obra de arte literária. Os textos consultados para a composição do episódio estão no site da Caractere! Aperte o play e venha espiar essa correspondência audaciosa com a gente! A Rádio Caractere é Associada Amazon.com.br! Episódio mencionado Os Sofrimentos do Jovem Werther Canal do Paulo Rezzutti no YouTube --- Send in a voice message: https://anchor.fm/radio-caractere/message Support this podcast: https://anchor.fm/radio-caractere/support
In this episode, Erik Rostad discusses book 39 from his 2021 Reading List – Dangerous Liaisons by Choderlos de Laclos. Show Notes Author: Choderlos de Laclos Support the Podcast! Buy me a Book for my 2022 Reading List – Amazon Wish List Reading Resources Books of Titans Website The post Dangerous Liaisons by Choderlos de Laclos appeared first on Books of Titans.
Rubrique:romans Auteur: pierre-choderlos-de-laclos Lecture: Daniel LuttringerDurée: 16min Fichier: 11 Mo Résumé du livre audio: Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de... - Du Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil - La Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont - Madame de Volanges à madame de Rosemonde Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
“Tal vez podamos volver a empezar en la nueva tierra rica, en California. Pero tu no puedes empezar. Tu y yo somos la ira de un momento, mil imágenes. Somos esta tierra, esta tierra roja; y somos los años de inundación, y los del polvo y los de la sequía. No podemos empezar otra vez. Y cuando el propietario nos dijo que nos fuéramos: eso somos nosotros; y cuando el tractor derribó la casa, eso somos hasta que nos muramos. A California marcharemos con nuestra amargura. Y un día los ejércitos de amargura desfilarán todos en la misma dirección. Caminarán juntos y de ellos emanará el terror de la muerte.” “Las uvas de la ira”, película de 1.940 dirigida por John Ford, basada en la novela homónima de John Steinbeck de 1.939. Existe una estrecha relación entre el cine y el libro, y siempre se ha puesto sobre el tapete qué tan fiel puede ser la traslación de una obra literaria al cine, así como el eterno discurso entre la influencia que hay entre estas dos corrientes artísticas. Discusiones que cobran actualidad cada vez que se dice que una película está basada en un libro determinado, sea del género que sea, y que promueven un debate que siempre estará ahí, eternamente. El libro y el cine son un puente para la aventura ya que el cine utiliza la imagen para captar la atención y la emoción del espectador, y la literatura usa la palabra para crear imágenes en la mente del lector que van a despertar su sensibilidad. Esta relación entre el cine y la literatura no es nueva. Desde que los hermanos Lumière inventaran en cinematógrafo se trato de darle un contenido culto a las películas debido a la mirada despectiva de ciertas élites que consideraban al cine como un arte menor, un espectáculo de feria, exclusivo para el consumo de las clases bajas. Para dotarle de calidad surgió la idea de incorporar obras clásicas del teatro al cine para darle un contenido artístico, e incluso grandes artistas de los escenarios se unieron al experimento que recibió el nombre de “Cine de Arte” o “Teatro fotografiado”, pero todo resultó un fracaso y duró bien poco. Adolecía, sobre todo de actuaciones sobrecargadas típicas de su origen teatral. A pesar de ese traspié, el cine comenzó una estrecha relación con la literatura y buscó nuevos caminos para realizar adaptaciones literarias. Conviene observar que adaptar un libro al celuloide no debe ser labor fácil, ya que una adaptación no debe ser un calco completo del libro y más teniendo en cuenta que hay obras literarias que son demasiado voluminosas y por esa extensión es casi imposible trasladarlas a la pantalla, por lo que lo más correcto es sintetizarlas, y en eso el cine puede ayudar, pues la utilización de la imagen servirá en muchos aspectos para lograr esa síntesis que no desfigure la obra. Otro aspecto importante es mantener el espíritu del escritor, pues sin el una película no sería otra cosa que un envoltorio completamente vacío. Las adaptaciones no se hicieron esperar. George Méliès, el creador de los efectos especiales y director de películas geniales, se inspiró en Julio Verne y su obra “De la Tierra a la Luna”, para realizar su cinta “Viaje a la Luna” en 1.902. En Alemania, durante la década de 1.920, aparece una corriente llamada expresionismo, que explora los rincones más oscuros de la naturaleza humana. Esta tendencia toma como referentes muchas novelas de tipo gótico o de terror, como es el caso de “Drácula” escrita por Bram Stoker en 1.897, que fue llevada a la pantalla por Friedrich Murnau en 1.922 con el nombre de “Nosferatu”; la misma que tendría un excelente con la película homónima de Werner Herzog, en 1.979, para no tener que pagar derechos de autor. Otro caso es el de la obra “El Golem” de Gustav Meyrink, de 1.915, que también es llevada a la pantalla grande por Paul Wegener en 1.920. Con la aparición del cine sonoro empezó una fiebre por adaptar obras literarias al cine, en especial en Estados Unidos, donde los escritores que posteriormente se convirtieron en iconos de la literatura contemporánea norteamericana, en géneros como el drama o la novela negra, se convirtieron en guionistas de los grandes estudios de Hollywood. Tal es el caso de autores de la talla de Francis Scott Fitzgerald, William Faulkner, Raimomd Chandler, Dashiel Hammet, James M. Cain, Ernest Heminway, entre otros. Muchas de las magníficas películas de la edad de oro de los grandes estudios están basadas en sus guiones o en sus novelas. Destacaremos joyas como “El halcón maltés”, de 1.941, basada en la novela de Dashiell Hammet y dirigida por John Huston; “El largo adiós” de 1.973, de la obra de Raimond Chandler, dirigida por Robert Altman y “El cartero siempre llama dos veces” de James M. Cain, de la que se hicieron dos versiones: la de 1.946 dirigida por Tay Garnett, con Lana Turner y John Garfield como protagonistas (para mi, la mejor), y la de 1.981, de Bob Rafelson, con Jessica Lange y Jack Nicholson. Pero las adaptaciones literarias, en especial de los grandes clásicos, no siempre han llegado a buen puerto. Algunas de ellas incluso han deteriorado considerablemente el libro donde se originan, trastocando y envileciendo la obra literaria, a veces por razones económicas, de falta de rigor, de querer agradar al público, etc. El caso de “Don Quijote”, obra fundamental de la literatura universal, a pesar de tener decenas de adaptaciones con resultados desiguales, no ha llegado a cuajar. Existieron dos proyectos para filmar la vida del personaje de la triste figura, pero fueron abandonados por falta de dinero. Uno lo intentó realizar el inmenso Orson Welles en 1.957, del que sólo queda una versión en DVD, montada por su guionista Jesús Franco. Por su parte, Terry Gilliam, ex- integrante de los Monthy Python, comenzó una adaptación en el año 2000, aún no terminada, aunque existe un documental, llamado “Lost in La Mancha”, que augura que la película será una buena adaptación. En cuanto a obras teatrales, podemos citar esplendidos filmes basados en la obra monumental de William Shakespeare, poniendo énfasis en el gran actor y director Laurence Olivier. Pier Paolo Passolini, entre los años sesenta y setenta, adaptó magistralmente joyas de la literatura como “El Decamerón”, “Los cuentos de Canterbury”, “Las mil y una noches” y las tragedias griegas “Edipo” o “Medea”. Otro cineasta, el alemán Volker Schondorf, plasmó en 1.979 con gran pericia la monumental novela de Gunther Grass, “El tambor de hojalata”, obra mágica de la nueva literatura alemana, combinando fantasía con el más crudo realismo, describiendo el ascenso y caída del nazismo, todo ello bajo la mirada de un niño que se niega a crecer, encarnando una metáfora de la rebeldía. Por cierto el filme se llevó el Oscar a la mejor película extranjera, un premio más que merecido por su innegable calidad. En otro orden de cosas, los llamados han tenido un papel importante en el cine, a pesar de que muchos críticos literarios los rechacen por considerarlos una escritura inferior en la literatura, y algunos se han convertido en éxitos de taquilla, como el caso de “Lo que el viento se llevó” de Margaret Mitchel, de 1.937, llevada al cine por Victor Fleming en 1.939 y protagonizada por Clark Gable y Vivien Leigh, que obtuvo un éxito arrasador y se llevó diez premios óscar. “El padrino”, novela escrita por Mario Puzo , publicada en 1.969, y aclamada por crítica y público, fue adaptada al cine por Francis Ford Coppola en 1.972, y se convirtió en una trilogía que ocupa un lugar preeminente en la historia del llamado séptimo arte. A ello hay que sumar la calidad de su realización el magnífico guion del propio Puzo y Coppola y las actuaciones de actores en estado de gracia como Marlon Brando, Al Pacino, Robert de Niro, Robert Duvall y otros. En los últimos años, la relación, a veces peligrosa, entre estos dos artes se ha incrementado. Ante la carestía de ideas de la industria cinematográfica, esta no ha tenido otra alternativa que contar con toda obra literaria que encuentre a su alcance y que suponga que tiene asegurada una buena taquilla, con el fin de recuperar la inversión y generar ganancias. En algunas ocasiones ha salido airosa con películas como la trilogía de “El señor de los anillos” , de J.R. Tolkien, dirigida por Peter Jackson entre 2000 y 2003; “El perfume”, de Patrick Suskind de 2005, dirigida por el alemán Tom Tykwer; “Expiación” de Ian Mcewan, dirigida por el inglés Joe Wright o “No es país para viejos” de la novela de 2005 escrita por Corman McCarthy y dirigida por los hermanos Coen, que ganó cuatro premios óscar, entre ellos el de mejor actor secundario que recayó en Javier Bardem en 2007. Otro escritor al que ha recurrido el cine con frecuencia es Stephen King, creador omnipresente de best sellers del género de terror. Quizá la mejor adaptación de una obra suya sea “El resplandor” de 1.977, película dirigida por el gran Stanley Kubrick en 1.980, con su habitual maestría. Este género ha llevado a la gran pantalla monstruos clásicos como Drácula y Frankenstein, creados por la pluma de Bram Stoker y Mary Shelley, hasta el punto de que decenas de versiones de estos personajes han sido realizadas por los estudios Universal en Estados Unidos y la Hammer británica en las décadas de los treinta a los sesenta del pasado siglo. Habría que resaltar la versión que de Drácula hizo Francis Ford Coppola en 1.992 en su película “Drácula de Bram Stoker”. También la ciencia ficción nos ha trasladado con su poder de anticipación a los mundos creados por H.G. Wells, como “La máquina del tiempo” o “El hombre invisible”, o a la magnífica “Blade Runner” de 1.982 dirigida por Ridley Scott, basada en la novela “Sueñan los androides con ovejas eléctricas”, escrita por Philips K. Dick en el año 1.968, ambientada en un Los Angeles agobiado por la lluvia ácida y la presencia inquietante de robots inteligentes. Al despertar el siglo XX y en medio de la crisis de los sentimientos artísticos, se alza el joven cine adueñado de un estilo, salpicado de posibilidades. Luis Lumière se contenta con cinematografiar como antes había fotografiado, con una ciencia discreta de la composición: filma la salida de las fábricas, la entrada del tren en una estación, Venecia, la coronación del zar Nicolás II…..El cine permite registrar un acontecimiento, desde el más insignificante al más considerable, en su duración real, dando así cuerpo a la fugacidad misma. El cine fija a razón de dieciséis, y más tarde veinticuatro imágenes por segundo. En seguida empiezan a descubrirse las posibilidades. El nuevo arte ha de alimentarse abundantemente de los dos géneros literarios mayores: la novela y el teatro. Toma prestado de ellos su poder de evocación, su capacidad persuasiva, el ensueño, anudado al apetito que anhela conquistar a una sociedad industrial en pleno desarrollo. Luego la cinematografía estalla, se multiplica, se introduce en los más recónditos rincones y se derrama por el mundo con vocación literaria y principios universales: duración ajustada a lo que un espectador puede soportar sin impacientarse, sin necesidad de fragmentar su atención, personajes que evolucionan, argumento que conmociona, espacio y tiempo. Se ajusta al teatro en extensión y a la novela en técnica, y añade la imagen. Los autores literarios, con su mirada omnisciente, pueden entrar en los sentimientos de los personajes y desnudarnos su intimidad. El director de cine, usuario de un instrumento, la cámara, meramente testimonial, necesita armarse de una habilidad extrema para filmar la realidad humana de una historia tal como está escrita. Pocos directores han sido capaces de ofrecerla con la claridad y prudencia que exige el medio, con elegancia. La mayoría de las novelas que son llevadas al cine fallan en la transmisión de los mensajes que lanza en autor, casi siempre teñidos de frivolidad. Solo los directores más hábiles filman la circunstancia humana, la de lo creado en la interioridad, la de lo secreto, en busca de una eficacia dramática estrictamente visual. Pocos son capaces de filmar directamente, es decir, sin recurrir al diálogo explicativo, sentimientos como la sospecha, el deseo, los celos, la envidia…...La simplicidad y la claridad no es incompatibles con los sentimientos más sutiles de los seres humanos. Así el lenguaje del cine exige una especialización casi absoluta. El director no puede ser diestro en tal o cual aspecto, sino gestor y responsable de cada imagen, de cada plano, de cada escena, del guión, del argumento, del montaje, de la fotografía, del sonido, en fin, de muchas especialidades más que han hecho del cine un verdadero cúmulo industrial de las artes. Como sucede con las demás experiencias artísticas, las mayores inversiones no obtienen la mejor valoración crítica, y a menudo con pequeños presupuestos se obtenido magníficas películas. La antigua inquietud por transformar “El Quijote”, Anna Karénina”, “Guerra y Paz”, Madame Bovary” o “El lazarillo” u otras grandes obras literarias en grandes obras cinematográficas, ha cosechado más fracasos que éxitos. Novelas mediocres, sin embargo, se convirtieron en brillantes filmes. Todo esto y la conciencia de estar ante un nuevo lenguaje artístico ha catapultado el estudio del cine más que otras disciplinas, en un incremento considerable en la vida académica. Veamos, para terminar, un ejemplo de cómo se acomoda al cine la tradición de determinados usos literarios. Desde los inicios del arte de las letras, las formas narrativas plantearos un juego de metáforas útiles para plasmar de forma evocadora las muy diversas facetas del encuentro amoroso. Ese juego retórico de ocultación y misterio es particularmente incitador. Puesto que anima el deseo, excita la fantasía y provoca la pasión. La tradición literaria usa estos recursos, a medio camino entre la relación amorosa y el erotismo y tiene raíces tan lejanas en el tiempo como los relatos de “Las mil y una noches” en las recónditas literaturas orientales, “El arte de amar” de Ovidio y el “Satiricón” de Petronio , “El Decamerón”, de Boccaccio; el “Libro de buen amor” de Juan Ruiz; “La Celestina” de Fernando de Rojas; y tiene su continuidad en la literatura francesa (“Las amistades peligrosas” de Choderlos de Laclos), la inglesa (“el amante de Lady Chatterley” de D.H. Lawrence ) y la italiana (“la romana” de Alberto Moravia), solo por citar algunos ejemplos. El cine no se olvida de esa tradición y la trata con los mismos principios y similares metáforas e imágenes. Muchos, y con variable destreza, son sus cultivadores. Recordemos a Federico Fellini con “Amarcord” o a Luis Buñuel con “Belle de jour”. Y sin entrar en más valoraciones, pues las épocas recientes están tan pegadas a nuestros ojos que no podemos observarlas y probablemente la mayoría de las películas de moda serán olvidadas, esa corriente recuperó impulso comercial a través de títulos como “Instinto básico”, y en España con las producciones de Vicente Aranda y Bigas Luna. Pero no nos engañemos: la mejor película no es la de mayor presupuesto, ni la que logra un mayor éxito de taquilla, ni la del director más reconocido, ni la del actor de moda, ni la más publicitada, ni siquiera la dirigida con talento; la mejor película es la recreada por nuestra mente, por nuestro altísimo poder imaginativo. Y en ese sentido la mejor película no siempre se instala para dejarse acariciar por nuestra memoria tras haberla visto, pues muchas veces la película se adueña de nuestro pensamiento y se acomoda en nuestra razón durante la lectura de una gran novela porque la literatura es el mejor cine de nuestra vida.
“ Nadie comprendía el perfume de la oscura magnolia de tu vientre. Nadie sabía que martirizabas un colibrí de amor entre los dientes. Mil caballitos persas se dormían en la plaza con luna de tu frente, mientras que yo enlazaba cuatro noches tu cintura, enemiga de la nieve. Entre yeso y jazmines, tu mirada era un pálido ramo de simientes . Yo busqué, para darte, por mi pecho las letras de marfil que dicen siempre. Siempre, siempre: jardín de mi agonía, tu cuerpo fugitivo para siempre, la sangre de tus venas en mi boca, tu boca ya sin luz para mi muerte.” Federico García Lorca. La inspiración de la literatura, la fuente de la que bebe, su única razón de ser, es la propia vida. Y en la vida de cada uno, un momento trascendental es aquel en el que surge el amor. Nuestra existencia, tan llena de injusticias, de dolor, del color gris de la mediocridad y de la cruel herida del sinsentido, se ve iluminada, a veces, por un paréntesis resplandeciente que, súbitamente, le confiere sentido. Este paréntesis, esa tregua, la del amor, constituye, seguramente, el tema más tratado de la literatura, porque condensa todo lo que realmente preocupa al ser humano: lleva en sí el deseo y la felicidad de estar vivos, la angustia del tiempo y el sueño de escapar a la muerte, el anhelo de la libertad y la necesidad de compartir emociones, experiencias y pensamientos, la necesidad de no estar solos y comunicarnos con el otro. En este programa, hablaremos únicamente de novelas y de obras de teatro, y dejaremos a un lado la poesía, pues esta, no se detiene en explicar los procesos amorosos y su evolución, sino que lanza llamaradas que iluminan instantes, momentos… y que podrían dar lugar a uno o mil programas. Pienso que, conociendo todas las novelas y obras de teatro inolvidables, de las que vamos a hablar, quizá la más decisiva consecuencia que podamos sacar es que el sabor de la vida es para los que aman, como muy bien supieron todos esos personajes que jamás morirán. Comenzaremos por obras que tratan sobre el amor ideal. Se trata de obras de diferente condición. “Tristán e Isolda” y “Amadís de Gaula” son historias que pertenecen al mundo cortés y caballeresco, y en ese contexto hay que entender que su amor sea ideal. El amor de Don Quijote por Dulcinea, platónico, pertenece al mundo de las ideas: ni siquiera es segura la existencia de la amada. Cyrano de Bergerac, el drama de Rostand, idealiza a Roxana y sus sentimientos nunca se trasladan a un plano físico. En cuanto a Pigmalión, asistimos a la construcción de una mujer ideal, aunque su autor, George Bernard Shaw rechace el que Higgins se enamore de Eliza. De estos amores ideales pasaremos a las obras que inmortalizan el primer amor. La historia de la literatura está llena de estos primeros amores. Posiblemente el más famoso de la nuestra es el de Calisto y Melibea de “La Celestina”, la obra escrita por Fernando de Rojas a finales del siglo XV, cuya primera versión conocida es de 1.499. Termina trágicamente, como tantas historias de amores: Calisto muere por accidente y su amada Melibea, destrozada, se suicida. “La Celestina” combina el lenguaje culto y el ideal platónico amoroso de los protagonistas con el popular y las bajas pasiones de los criados y las prostitutas. En esta tragedia realista surge uno de los personajes con más fuerza, el más novedoso y original de la literatura española: Celestina, la bruja alcahueta, por lo que no es de extrañar que, con el tiempo, la obra, en principio titulada “Comedia de Calisto y Melibea”, acabara conociéndose con su nombre. Un siglo después, otra obra de teatro, “Romeo y Julieta”, de 1.595, escrita por William Shakespeare, presenta evidentes paralelismos con “La Celestina”. Es también una trágica historia de dos jóvenes amantes, que ponen el amor por encima de Dios. Pero hay una diferencia: en este caso ambos se suicidan por amor; narcotizada Julieta, Romeo cree que está muerta, y se suicida ante su supuesto cadáver. Julieta despierta y, al ver a Romeo muerto, se mata; es la pasión del amor llevada a su máximo extremo: sin el amante, la vida no tiene ningún sentido, y la muerte es lo único que puede volver a reunirlos. También una historia de un primer amor entre adolescentes es “El diablo en el cuerpo”, que Raimond Radiguet, en un ejemplo inusual de precocidad, publicó a los veinte años, con gran escándalo por considerarse inmoral su argumento: aún reciente la I Guerra Mundial, es la historia de un amor adúltero, entre un cínico muchacho de dieciséis años para quién el conflicto bélico supone simplemente unas largas vacaciones, y una muchacha de diecinueve (la mayor edad de ella es también fuera de lo convencional), cuyo marido, Jacques, está en el frente. Radiguet apenas pudo disfrutar de su éxito: publicada en marzo de 1.923, moriría de tifus en diciembre del mismo año. Según parece, aunque su autor siempre lo negara, la historia es en gran medida autobiográfica. Una de las obras más hermosas, en mi opinión, es “El sueño de los Héroes”, escrita por el argentino Adolfo Bioy Casares en 1.954. Es la historia de un primer amor entre los jóvenes Emilio Gauna y Clara y está llena de matices y sensibilidad, aunque susceptible de una lectura realista, pero también de una interpretación mágica y una reflexión sobre el destino, el azar y la tragedia. Todos estos primeros amores han encontrado un final trágico. Suele ser el desenlace de las historias sobre el amor en general donde la muerte también será protagonista. Pasemos ahora al amor romántico. “Las desventuras del joven Werther” de 1.774, novela epistolar de Goethe, es uno de los puntos de arranque del romanticismo alemán. “Cumbres borrascosas” de 1.847 y la única novela de Emily Brontë, es la recreación, cruel y romántica a la vez, de unas pasiones desaforadas. En este caso, las oscuras fuerzas de la naturaleza humana, más que la presión social, desencadenan el drama. La francesa “La dama de las camelias” de 1.848, está a caballo entre el romanticismo, con el sacrificio de Margarita, el deseo de redimirla de Armand, la exhumación de sus restos, y el realismo, que pretendía describir objetivamente la realidad, según la conocida fórmula de Stendhal: un espejo que se pasa a lo largo de un camino. No deja de ser revelador el que gran número de obras literarias, y entre ellas las novelas románticas, por hablar con libertad del alma humana y de sus pasiones, escandalizaran a los bienpensantes. El choque entre la sociedad y el individuo determina a menudo el desenlace trágico de las historias de amor. Con “Werther” nos reencontramos con el tema del suicidio, en este caso no por la muerte del ser amado, sino por la imposibilidad de lograr su amor; y no porque Carlota no sienta nada por él, sino por la fuerza de las convenciones. Werther es un espíritu vehemente, con la sensibilidad a flor de piel. Se emociona, se exalta, llora, pasa de la más desbordante felicidad al más negro pesar. En su época la novela tuvo una enorme resonancia e influencia. “Cumbres borrascosas”, una novela valiente, única en la tradición inglesa, es la historia de un amor turbulento, malsano, devastador, que tiene su expresión geográfica en el paisaje: los desolados páramos de Yorkshire y en el cementerio de la colina. La desmesura, la amoralidad, la fuerza del enloquecido amor de Heathcliff y Catherine, lo sugestivo de las metáforas, hacen de “Cumbres borrascosas” una novela que todavía hoy se lee con pasión, y que diríase inspirada en la frase del marqués de Sade: . Alejandro Dumas, hijo (1.824 – 1.895), hijo natural de una costurera y Alejandro Dumas, padre (hablamos de él en un programa y de su factoría literaria de donde salieron, entre otras novelas, “Los tres mosqueteros” y “El conde de Montecristo), conoció el éxito con “La dama de las camelias”, escrita a los 23 años e inspirada en una tormentosa relación vivida por el autor con Marie Duplessis, una entretenida que siempre llevaba una camelia en el corpiño. Fue, en palabras de Dumas . “La Traviata”, la opera de Verdi inspirada en la versión teatral que hizo el propio autor, y que alcanzó aún mayor éxito, contribuyó a su celebridad. Margarita Gautier es una cortesana de la alta sociedad de vida ardiente pero expresión virginal. Armand Duval considera un triunfo el que ella se enamore, mucho más meritorio que ser amado por una joven casta y pura, algo muy facil para él. Y se imagina que él la curará de su enfermedad moral (la prostitución) y de la física (la tuberculosis). Pero Armand la abandonará finalmente, después de las dudas, los celos, las separaciones y reconciliaciones, las humillaciones, las infidelidades y los problemas de dinero, y Margarita morirá sola y desgraciada, símbolo de la mujer que ha amado de verdad y que se ha sacrificado por el supuesto bien de su amante. El amor romántico ha sido superado por la hipocresía y el interés mercantil. Arrepentido, Duval se ocupará de que siempre haya camelias blancas en la tumba de su amada. En la ópera y en el cine (uno de los papeles más famosos de Greta Garbo), como en la obra teatral, Armand acudirá a verla moribunda en el lecho. El amor y la muerte se darán así un abrazo, y Margarita Gautier se despedirá del mundo con ese consuelo sublime. En la novela, más dura, no se produce este último encuentro. El amor y la muerte se confrontan al principio, de una manera macabra: Duval presencia la exhumación de su amada: sus ojos son agujeros, los labios han desaparecido. Werther, Heathcliff, Margarita Gautier son enamorados que en realidad, como en la gran mayoría de los romances, les ocurre que el que haya un obstáculo casi insalvable los hace más grandes. Ya hemos visto que, casi siempre, el amor ha de enfrentarse a las convenciones sociales, incluyendo en estas algo tan aceptado como la monogamia. El adulterio será protagonista ahora con novelas tan justamente aplaudidas como “Madame Bovary”, de Gustave Flaubert, publicada en 1.857 o “Anna Karénina” (León Tolstoi, 1.875). Sexo y dinero, como en “La dama de las camelias”, son fundamentales para el desarrollo de la historia de “Madame Bovary”. Emma, casada con el aburrido Charles, no se resigna a una vida gris; ella no quiera sofocar sus sentidos, sino disfrutarlos, y para ello no duda en enfrentarse a la moral imperante, enemiga del goce sensual. Es una rebelión egoísta, en realidad busca su propio placer, no luchar contra una injusticia individual o la opresión de una clase. Pero sus mezquinos amantes, León y Rodolphe, no se enamoran de ella, se cansan, se aprovechan. Endeudada, humillada, derrotada, sin ánimos ya para vivir junto a su indulgente y enamorado marido, Emma se envenena, y Charles se dejará morir lentamente. Esta obra es considerada por muchos como el arranque de la novela contemporánea y rompe con el romanticismo mediante un estilo literario que buscaba la objetividad y el realismo. En “Anna Karénina” nos encontramos con dos historias: la de Anna, que renunciará a todo por el oficial Vronski, incluso a su amado hijo, y la de Kiti y el terrateniente Lievin, quién encontrará la salvación interior gracias a las sencillas palabras de un campesino. De las dos historias, la que hace inmortal la novela de Tolstoi es, no hace falta decirlo, la primera. Anna Karénina es una mujer inteligente, libre y enérgica, que, al contrario de Emma Bovary, no se imagina la pasión según las novelas leídas, sino que, sin buscarla, es más, luchando contra ella, se la encuentra, se enamora, y afronta las consecuencias de su pasión adúltera: abandona a su marido, Karenin, hombre frio, ambicioso y falso, renuncia a todo, y se va a vivir con el conde Vronski, en un gesto valiente y honesto, actitud bien diferente de las otras damas de su entorno, que tienen aventuras y las ocultan. Pero, devorada por unos celos injustificados y por su propia pasión, que desborda la capacidad de amar de Vronski, vencida por las presiones de una sociedad demasiado rígida e intolerante, enloquecida, se suicida. Y, para que el círculo se cierre, lo hace arrojándose a las vías del tren en la estación donde vio por primera vez a su amado. Por supuesto, no sólo el amor extraconyugal se enfrenta a las convenciones sociales. Hay también historias de amor que exploran terrenos que fueron - o siguen siendo – tabúes como el de la homosexualidad, el incesto, el alcoholismo, el sadismo o la atracción por las nínfulas. “La muerte en Venecia” de Thomas Mann (1.914), cuenta la fascinación de un escritor llamado Aschenbach, por un bello adolescente polaco, Tasio. Venecia, símbolo de la decadencia física y creativa de Aschenbach, es el escenario de ese amor homosexual y platónico. De 1.957 es “Homo faber”, en la que Max Frisch, con gran maestría, escribe la tragedia con resonancias clásicas del amor entre un hombre maduro y una joven, ignorantes ambos de que son padre e hija. Sobre el tema del incesto tampoco podemos olvidar la impresionante “Sobre héroes y tumbas” de Ernesto Sábato. En el “Reposo del guerrero” de 1.958, Christiane Rochefort profundizó con lucidez en la desgraciada relación entre una joven y un escritor alcohólico. Todos conocemos las narraciones del marqués de Sade, los más célebres relatos sobre aberraciones sexuales, y del que procede el termino “sadismo”. Vladimir Nabokov escribió, en 1.955, “Lolita”, la historia de la fatal pasión de Humboldt, un maduro profesor por una adolescente de doce años. Groucho Marx, comentó al respecto: >. Libertinos, descreídos, se toman el amor como un juego, como una cacería, las conquistas como un reto para su vanidad: cobrada una pieza, ya piensan en la siguiente; desconocen que pueden ser víctimas de su propia trampa, que la apuesta por la que emprenden la conquista puede volverse en su contra. En “Las amistades peligrosas” novela epistolar de Choderlos de Laclos, Valmont y la marquesa de Merteuil, dos aristócratas que en un tiempo fueron amantes, viven exclusivamente para el placer y el engaño. Sus conquistas son pasatiempos de los que pronto se aburren y tienen a gala no enamorarse jamás. Cuando la marquesa apuesta con Valmont a que no podrá conquistar a la casta Madame de Tourvel, todos los los personajes comenzarán a enredarse en la telaraña de la tragedia. Valmont y Merteuil creen que el mundo es racional y se puede controlar mediante leyes, aunque estas sean suyas. Pero, al final, la arquitectura de mentiras se desmorona por que surge el amor, el gran intruso que se lleva todo por delante. Don Juan Tenorio es, probablemente junto con La Celestina y Don Quijote, la muestra capital de la creación literaria española que, como todos los grandes mitos, está sujeto a mil interpretaciones diferentes. Don Juan es un verdugo, sí, pero lo que le hace grande es que también es, a la vez, una víctima: es verdugo de las mujeres y víctima de sí mismo. Y su nombre – como el de la Celestina y Don Quijote – se ha incorporado al lenguaje coloquial como sinónimo de galán y conquistador, más allá de nuestras fronteras. Si Vronski tardó un año en seducir a Anna Karénina, Alvaro Mesía, , como le llama Clarín, tardará tres en conquistar a Ana Ozores. Comparable sólo a las más grandes novelas naturalistas de siglo XIX rusas o francesas, “La Regenta” es magnífica tanto por la descripción de una ciudad y un ambiente, como por el estudio de unos personajes y por el desarrollo de la acción. La Regenta se debate entre el donjuán provinciano Alvaro Mesía, su anciano marido, Víctor Quintanar, y su confesor, el Magistral de obispado, Fermín de Pas; o, dicho de otra manera, entre el amor, el deber matrimonial y la religión. El escenario es Vetusta, nombre que le da el autor a Oviedo, una ciudad provinciana, sofocada por la presión de la Iglesia y la hipocresía de las fuerzas conservadoras, guardianas de las buenas costumbres. Ana Ozores, La Regenta, modelo de belleza y comportamiento, es elegida como campo de batalla por los diferentes bandos, y toda Vetusta asiste al espectáculo, dispuesta a sacrificar a su más digna hija en cuanto cometa algún desliz. Don Alvaro deseará conquistarla por una banal apuesta y por premiar su vanidad desmesurada. Fermín de Pas, como prueba de su ambición y poder, querrá ganarla para la religión, aunque la ambivalencia de sus sentimientos (él también es de carne y se enamora atormentadamente) horrorizará a Ana, y la echará en brazos de Don Alvaro. Uno y otro le ofrecen una manera de evadirse de su vida tediosa, monótona, de un matrimonio en el que el marido no puede satisfacerla. Ambas vías, la religiosa y la sensual, se le cerrarán. El Magistral mostrará toda su mezquindad, al igual que don Alvaro, que huirá de la ciudad tras matar en duelo a Víctor Quintanar. Este tampoco es inocente, se ha casado con Ana por prestigio: ella es para él un florero más que una mujer. A Ana Ozores no le queda ni siquiera el consuelo de haber amado aun hombre de lo mereciera. En cuanto a obras cuyo argumento está relacionado con el amor no correspondido, podemos citar “El gran Gatsby” de Scott Fitzgerald, publicada en 1.925. En ella Jay Gatsby, romántico personaje, un triunfador solitario y sentimental, desea obtener el amor de Daisy, esposa de Tom Buchanan. No lo consigue, pero la historia es hermosa y en la novela evoca un mundo perdido con una poderosa melancolía, con una tristeza irreversible y delicada, que pocos autores han logrado transmitir con tanta hondura. Otelo, el moro de Venecia, protagonista del drama en verso y prosa de Shakespeare, se ha convertido en el símbolo del enamorado cegado por los celos. Otelo ama a Desdémona, pero esta historia de un gran amor, sucumbirá al poder de la mentira, la cizaña y la calumnia. En esta obra inmortal, la muerte se convierte, de nuevo, en protagonista. Otelo mata a su amada, y cuando, demasiado tarde, comprenda que sus celos y su ofuscación son fruto de malignas insidias, se suicida. . Así comienza “El túnel” del argentino Ernesto Sábato, publicada en 1.948, novela que desde sus primeras líneas evidencia un hondo pesimismo existencial. Juan Pablo Castel es un famoso pintor extraordinariamente tímido, de treinta y ocho años, que jamás ha tenido relación con una mujer, se enamora de una muchacha de unos veintiséis; se obsesiona con ella al verla mirando un detalle de un cuadro suyo en una exposición, una ventanita en la una solitaria mujer mira al mar, esperando algo. El que esa mujer – María Iribarne – preste atención al detalle en el que nadie más repara, convence a Castel de que es la única persona en el mundo que podría entenderle. Castel conseguirá conocerla. Surge el amor, pero un amor atormentado y extraño, que lleva al protagonista a la locura, a un túnel del que es incapaz de salir. Al matar a su amada, Castel se ha condenado a la soledad más absoluta. Desdémona y, en menor medida, María Iribarne son mujeres inocentes. Ellas no han hecho que cambien de vida Otelo ni Castel. No les han convertido en prófugos, bandoleros o asesinos… hasta que ellas mismas se convierten en sus víctimas. También Cora, protagonista de “El cartero siempre llama dos veces” escrita por James M. Cain en 1.934, y sobre todo Carmen, de la obra homónima (Merimée, 1.845), pueden considerarse víctimas de los hombres, pero sin olvidar que, a su vez, representan para ellos el peligro de la libertad, la rebeldía y la transgresión, eso si, de lo femenino. Diferentes entre sí, ellas y sus historias – porque, al contrario que Desdémona o que María Iribarne, si que son verdaderas protagonistas, y no meros receptáculos de las obsesiones o paranoias masculinas – resumen y ejemplifican un cierto tipo de amor: el amor fatal. Aunque en la literatura, el amor, como hemos visto, casi siempre lo es.
Michal Kšiňan's Milan Rastislav Štefánik: The Slovak National Hero and Co-Founder of Czechoslovakia is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analyzing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction.” He played a key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyze the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyze his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. Michal Kšiňan is a senior researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences. Leslie Waters is Assistant Professor of History at the University of Texas at El Paso and author of Borders on the Move: Territorial Change and Ethnic Cleansing in the Hungarian-Slovak Borderlands, 1938-1948 (University of Rochester, 2020). Email her at lwaters@utep.edu or tweet to @leslieh2Os. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Michal Kšiňan's Milan Rastislav Štefánik: The Slovak National Hero and Co-Founder of Czechoslovakia is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analyzing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction.” He played a key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyze the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyze his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. Michal Kšiňan is a senior researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences. Leslie Waters is Assistant Professor of History at the University of Texas at El Paso and author of Borders on the Move: Territorial Change and Ethnic Cleansing in the Hungarian-Slovak Borderlands, 1938-1948 (University of Rochester, 2020). Email her at lwaters@utep.edu or tweet to @leslieh2Os. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/history
Michal Kšiňan's Milan Rastislav Štefánik: The Slovak National Hero and Co-Founder of Czechoslovakia is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analyzing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction.” He played a key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyze the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyze his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. Michal Kšiňan is a senior researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences. Leslie Waters is Assistant Professor of History at the University of Texas at El Paso and author of Borders on the Move: Territorial Change and Ethnic Cleansing in the Hungarian-Slovak Borderlands, 1938-1948 (University of Rochester, 2020). Email her at lwaters@utep.edu or tweet to @leslieh2Os. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
Michal Kšiňan's Milan Rastislav Štefánik: The Slovak National Hero and Co-Founder of Czechoslovakia is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analyzing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction.” He played a key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyze the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyze his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. Michal Kšiňan is a senior researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences. Leslie Waters is Assistant Professor of History at the University of Texas at El Paso and author of Borders on the Move: Territorial Change and Ethnic Cleansing in the Hungarian-Slovak Borderlands, 1938-1948 (University of Rochester, 2020). Email her at lwaters@utep.edu or tweet to @leslieh2Os. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/biography
Michal Kšiňan's Milan Rastislav Štefánik: The Slovak National Hero and Co-Founder of Czechoslovakia is the first scientific biography of Milan Rastislav Štefánik (1880–1919) that is focused on analyzing the process of how he became the Slovak national hero. Although he is relatively unknown internationally, his contemporaries compared him “to Choderlos de Laclos for the use of military tactics in love affairs, to Lawrence of Arabia for vision, to Bonaparte for ambition ... and to one of apostles for conviction.” He played a key role in founding an independent Czechoslovakia in 1918 through his relentless worldwide travels during the First World War in order to create the Czechoslovak Army: he visited Serbia and Romania on the eve of invasion by the Central Powers, Russia before the February revolution, the United States after it declared war on Germany, Italy dealing with the consequences of defeat in the Caporetto battle, and again when Russia plunged into Civil War. Several historical methods are used to analyze the aforementioned central research question of this biography such as social capital to explain his rise in French society, the charismatic leader to understand how he convinced and won over a relatively large number of people; more traditional political, military, and diplomatic history to show his contribution to the founding of Czechoslovakia, and memory studies to analyze his extraordinary popularity in Slovakia. By mapping his intriguing life, the book will be of interest to scholars in a broad range of areas including history of Central Europe, especially Czechoslovakia, international relations, social history, French society at the beginning of the 20th century and biographical research. Michal Kšiňan is a senior researcher at the Institute of History of the Slovak Academy of Sciences. Leslie Waters is Assistant Professor of History at the University of Texas at El Paso and author of Borders on the Move: Territorial Change and Ethnic Cleansing in the Hungarian-Slovak Borderlands, 1938-1948 (University of Rochester, 2020). Email her at lwaters@utep.edu or tweet to @leslieh2Os. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/eastern-european-studies
Romance epistolar do século XVIII sobre libertinagem e devassidão
Même ses détracteurs, choqués par sa scandaleuse apologie du libertinage, ont été forcés d’y reconnaître un chef-d’œuvre. Publié en 1782, il cerne l’âme humaine jusque dans ses zones les plus sombres, tout en faisant le procès de la société de l’ancien régime. Pourtant, il n’a pas eu de suite. Pascal Bastien, professeur d’histoire, explique à Jacques Beauchamp que Les liaisons dangereuses ne débouche sur aucune véritable morale.
LISE CHARLES – LA DEMOISELLE À CŒUR OUVERT Lecture par Micha Lescot & Anna Mouglalis Octave Milton, écrivain en mal d'inspiration, est pensionnaire à la Villa Médicis. Le changement de cadre, hélas, ne résout rien, Octave s'ennuie, traîne dans ce décor idyllique et entretient par mails une correspondance avec l'énigmatique Livia qui ordonne, incite, et finalement, manipule son ex-amant. Octave n'a aucune motivation, il puise des histoires et des secrets dans la vie des autres et va jusqu'à piller le journal intime de Louise, une toute jeune fille de 14 ans. Bien sûr, la fin de l'histoire sera tragique. Publié en cette rentrée littéraire, le nouveau livre de Lise Charles est un roman épistolaire – par mails – très librement inspiré des Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. D'une cruauté abyssale et inattendue, cette correspondance plonge le lecteur au cœur des affres de la création. À lire – Lise Charles, La Demoiselle à cœur ouvert, P.O.L., 2020.
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! ▶️BONUS TRACK Bienvenidos a este hermano pequeño, de El Rugido de mi Impala. En los #BonusTrack, os hablaré de la banda sonora de películas que me han tocado por dentro de una forma especial. Primero, para los oyentes que han elegido apoyar el podcast, y pasado un poco de tiempo, disponible para todos. Para inaugurarlo, comienzo con la soundtrack de la película "Crueles Intenciones", de Roger Kumble, basada en la novela de "Las Amistades Peligrosas" de Choderlos de Laclos. Su música te atrapa desde el primer segundo de la historia, y no te suelta hasta que termina el último crédito. En este rugido, os mostraré la selección que Edward Shearmur, escogió para deleitarnos. Espero que os guste. Arrancamos. ********************************************** Twitter: @RugidoImpala Facebook: El Rugido de mi Impala PodcastEscucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de El Rugido de mi Impala. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/450351
durée : 00:58:27 - Avignon - Fictions - Quartett écrit en 1981 est un palimpseste des Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, couple de libertins maléfiques, déploient les artifices d'un jeu dont la visée est de détruire la civilisation en usant des moyens offerts par celle-ci.
durée : 00:58:27 - Avignon - Fictions - Quartett écrit en 1981 est un palimpseste des Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, couple de libertins maléfiques, déploient les artifices d'un jeu dont la visée est de détruire la civilisation en usant des moyens offerts par celle-ci.
durée : 00:58:27 - Avignon - Fictions - Quartett écrit en 1981 est un palimpseste des Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, couple de libertins maléfiques, déploient les artifices d'un jeu dont la visée est de détruire la civilisation en usant des moyens offerts par celle-ci.
durée : 00:04:04 - La chronique de Juliette Arnaud - -
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durée : 00:03:42 - La chronique de Juliette Arnaud - -
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durée : 00:04:00 - La chronique de Juliette Arnaud - par : Juliette ARNAUD - Deuxième partie de l'analyse de ce classique où il est question d'érotisme...
durée : 00:04:00 - La chronique de Juliette Arnaud - par : Juliette ARNAUD - Deuxième partie de l'analyse de ce classique où il est question d'érotisme...
I sjunde avsnittet blir det sex, sammansvärjningar och brevkorrespondens. Farliga förbindelser har legat till grund för otaliga filmatiseringar och teateruppsättningar, men på vilket sätt är Markisinnan de Merteuil och Victomte de Valmonts kärleksintriger intressanta för en 2020-talsläsare som nästan, men inte riktigt, vet vilket år franska revolutionen inträffade? (1789.) Hedvig imponeras över att författaren bakom denna erotikklassiker är en torr, tvångsmässig ballistikforskare, och vill för övrigt slå ett slag för Förbudets betydelse i kärlekslivet. Lydia vill å ena sidan påminna om dygdens fröjder, men å andra sidan också ta 1700-talsplayern Valmont i försvar för att så framgångsrikt ha besegrat dem. Litteratur etc: Farliga förbindelser av Choderlos de Laclos Les liaisons dangereuses av densamma, utgåva från GF Flammarion (1996) France Culture, Les chemins de la philosophie: https://www.franceculture.fr/emissions/les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance/tourments-de-la-seduction-44-choderlos-de-laclos Musik av Linus Lahti.
Themen der Sendung: "Serpentinen" von Bov Bjerg // "Heimweh nach einer anderen Welt: Storys" von Ottessa Moshfegh // Wirkungstreffer: "Gefährliche Liebschaften" von Choderlos de Laclos // "Das Evangelium der Aale" von Patrik Svensson // Autoren sind auch nur Leser: Pieke Biermann über "Spritzen. Geschichte der weiblichen Ejakulation" von Stephanie Haerdle // "Und seitab liegt die Stadt": neues Förderprogramm für Literaturveranstaltungen im ländlichen Raum
Pour ce treizème épisode de la saison 3, on parle littérature, et plus précisément de "Les Liaisons Dangereuses" de Choderlos de Laclos (1782) Crédits musicaux : Les Indes Galantes - Forêts Paisibles / Jean-Philippe Rameau © Please Mr. Postman / The Marvelettes © Dilemma / Nelly Feat. Kelly Rowland © What Goes Around Comes Around / Justin Timberlake © Les Liaisons Dangereuses / Frédéric Chateau © Libertine / Mylène Farmer © Prochain épisode le 24 janvier : "Good Kid, M.A.A.D City" de Kendrick Lamar (2012)Prochain livre le 17 janvier : "Candide" de Voltaire (1759)
Pour ce douzième épisode de la saison 3, on parle bande-dessinée, et plus précisément de "Titeuf : Dieu, le sexe et les bretelles" de ZEP (1993) Crédits musicaux : Générique de Titeuf (Saison 1) / Terry J. Neale et Rick Mulhal © Générique de Titeuf (Saison 3) / Mathieu Chedid © Oh les filles ! / Au Bonheur des Dames © Mes Copains / Renaud © Les Bêtises / Sabine Paturel © Bad Boy 4 Life / Puff Daddy © Prochain épisode le 17 janvier : "Les Liaisons Dangereuses" de Choderlos de Laclos (1782)Prochaine bande-dessinée le 7 février : "L'Homme Gribouillé" de Frederik Peeters et Serge Lehman (2018)
Pour ce neuvième épisode de la saison 3, on parle littérature, et plus précisément de "Le Petit Prince" d'Antoine de Saint-Exupéry (1943) Crédits musicaux : Le Petit Prince / Gérard Lenorman © Le Petit Prince / Tryo © Petit Prince / Lorenzo © Tellement je t'aime / Faudel © OK Boomer / Peter Kuli & Jedwill © I Wanna Be Your Lover / Prince © Prochain épisode le 6 décembre : Britney SpearsProchain livre le 17 janvier : "Les Liaisons Dangereuses" de Choderlos de Laclos (1782)
Pour ce quatrième épisode de notre podcast, nous avons décidé de diffuser l'intégralité du passionnant entretien que nous a accordé la philosophe et historienne de la pensée féministe Geneviève Fraisse. En préfaçant l'essai de Choderlos de Laclos “De l'égalité des femmes”, réédité par les éditions des Equateurs Parallèles, la chercheuse met en perspective un texte étonnement visionnaire dans le contexte actuel de l'affaire Weinstein, du #MeeToo et de la prise de parole des femmes. Choderlos de Laclos, au 18e siècle, explique avec brio comment l’homme a réduit la femme “en esclavage”. Selon lui, cette dernière n'a pas consenti. Elle a simplement cédé. Une théorie à mettre en perspective avec les mouvements qui interrogent actuellement notre société. Bonne écoute !
Calliopée, c'est un podcast tout beau tout neuf qui replonge dans la littérature pour interroger des sujets dans l'air du temps. Pour ce premier épisode, on revisite “Les Liaisons Dangereuses” de Choderlos de Laclos à la lumière de la question plus qu'actuelle du consentement. Bonne écoute !
L'actualité culturelle à New Delhi avec Sébastien Farcis. Psychanalyse d'un personnage avec Manon Dumais et Nicolas Lévesque; la Marquise Isabelle de Merteuil, Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Carte d’identité avec B-Brain. Écrivains sur le terrain avec Sarah Berthiaume et Alain Farah; la classe d'accueil. Que lisent les chefs? Les réponses de Philippe Couillard. Une entrevue avec Edith Patenaude pour la mise en scène de la pièce Oslo, de J.T. Rogers. L'analyse de textes de chansons avec Tatiana Polevoy et Brendan Kelly; Richard Séguin, LaF, Eminem.
In episode 185, Peter is joined by the returning guests Brittney and Justine, the wonderful and hilarious ladies of It's About Damn Crime. For their second appearance, the ladies chose one of Brittney's favorite Cruel Intentions, which was adapted from the novel Les liaisons dangereuses by Choderlos de Laclos. They also discuss how problematic the movie is and also debate whether Ryan Phillippe used a butt double (Update: He confirmed on Twitter!). Outro music: The Verve - Bitter Sweet Symphony
Nesta semana recebemos Isabella Lubrano para traçar intrigas maquiavélicas em "As Relações Perigosas" de Choderlos de Laclos. Trilha Sonora: Carefree de Kevin MacLeod está licenciada sob uma licença Creative Commons Attribution (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/) Origem: http://incompetech.com/music/royalty-free/index.html?isrc=USUAN1400037 Artista: http://incompetech.com/ Mande um recado pra gente: caixadehistorias@b9.com.br
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Cartas Núm. 25. y 26 Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 24. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 23. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 22. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 21. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 20. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 19. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 18. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 17. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 16. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
Si te gusta que te lean en voz alta, que te cuenten historias antes de dormir, este es tu podcast. Por la noche, cuando menos te lo esperes, los ojos se te cerraran mientras te leo. Y si quieres algo en especial, sólo tienes que pedirlo. No, esta vez no te lo diré bajito... ... te lo diré al oído. Relato: Fragmento de "Las amistades peligrosas", de Choderlos de Laclos. Carta Núm. 15. Música: "Fight In Vain" - Aspyccias Creative Commons
"El resto es literatura" espacio en la radio del programa de promoción de la lectura del Tecnológico de Monterrey: Pasión por la Lectura. En esta ocasión, el programa está dedicado al escritor francés Choderlos de Laclos y su novela "Las relaciones peligrosas".